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2 filles pas si lesbiennes que ça

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Lue : 24971 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 08/02/2012

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L’an dernier, lors d’une randonnée dans les Alpes, je fis connaissance de deux charmantes demoiselles qui voyageaient ensemble. Ce genre de vacances facilite le contact, les questions tournent inévitablement sur le chemin de randonnée, les paysages et les autres expériences de voyage vécus par les uns ou les autres.
Elles étaient toutes deux adorables et j’imaginais en séduire une ou l’autre, je compris rapidement que les filles étaient tout autre chose que deux copines, les regards qu’elles se lançaient, les mains qui se cherchaient ne faisaient aucun doute, elles étaient des lesbiennes très sexy.
Je ne montrais rien de ma légère déception et comme nous poursuivions la même route nous avions décidé de cheminer ensemble.

Les quatre jours qui suivirent me révélèrent qu’Agnès et Chloé étaient d’agréables compagnes.
Lorsque nous nous sommes séparés, nous avons échangé nos adresses en nous promettant de nous revoir.

Comme souvent, ces promesses s’oublient et le rythme du travail et de la vie quotidienne estompent les souvenirs.
Quelque mois plus tard, je leur écrivis en y joignant une photo de nous trois faite par un autre randonneur. Par retour de mail, j’obtins une réponse chaleureuse dans laquelle elles réitérèrent leur souhait de me voir.

Nous convînmes d’un week-end et je pris le train pour leur rendre visite. Elles m’attendaient à la descente du train et m’embarquèrent pour leur appartement en se moquant gentiment de ma tenue. J’étais parti en retard d’une réunion interminable et je n’avais pas pu me changer comme prévu, j’étais donc en costume et cravate, étouffant dans la chaleur printanière alors que mes deux amies légèrement vêtues rayonnaient.

Leur appartement ne possédait qu’une chambre et elles me proposèrent de me mettre à l’aise avant de sortir pour se balader. Elles me laissèrent seuls et se rendirent dans le séjour attenant. Je commençais à me déshabiller, j’étais en slip et je cherchais mon short quand Agnès entra. Un peu gêné, j’accélérai mes recherches ; elle s’approcha sans un mot et se mit à caresser doucement mon torse, puis elle approcha sa bouche et commença à mordiller mes tétons. Ma queue commença à durcir, elle se mit à genoux, et avec les dents, descendit mon slip pour libérer ma bite. J’avais une vue plongeante sur une poitrine généreuse d’un blanc laiteux de rousse, je devinais la dentelle du soutien gorge que ne couvrait pas complètement la légère et courte robe blanche. Elle se mit à humer ma toison, mes couilles et entrepris de lécher ma queue de la base au gland avec une rare douceur. Elle se releva, me laissant un peu frustré, au moment ou Chloé entra.

Celle ci s’approcha d’Agnès et lui enleva sa robe, lui descendit sa culotte de dentelle faisant apparaître une toison rousse flamboyante, elle acheva l’effeuillage par le soutien gorge qui libéra deux seins en poire. Puis Chloé, enleva son chemisier et son short, elle ne portait pas de sous vêtement et elle livra à mon regard, dans une pose langoureuse, deux petits seins bruns aux larges aréoles et un sexe brun touffu qui n’avait jamais du connaître de rasoir.

Chloé me bascula sur le lit, et me chevauchant commença à frotter son pubis contre ma queue. Agnès vint m’offrir son sexe à lécher et les deux amantes au dessus de moi s’embrassaient à pleine langue et se caressaient les seins. J’adorais la forte odeur de la rousse et la toison hirsute de la brune m’excitait fortement. Je confesse ici un goût prononcé pour les sexes féminins poilus. Il m’est arrivé de posséder des sexes rasés ou épilés et je n’ai pas boudé mon plaisir. Néanmoins, les poils pubiens retiennent mieux les odeurs intimes des filles chaudes et ce parfum me ferait bander sur mon lit de mort. Je suçai délicatement le clitoris d’Agnès, Chloé s’était suffisamment masturbée sur mon sexe et elle vint s’empaler sans crier gare sur ma bite tendue.

Les deux filles accélèrent le rythme et nous jouîmes tous les trois très rapidement. Chloé bascula sur le lit et écarta ses cuisses, Agnès se plaça devant elle et se mit à lécher le foutre qui s’en écoulait, offrant à mon regard un cul blanc et rond. Tout en continuant la « toilette » de sa compagne, elle écarta ses fesses avec les mains dans une invitation non équivoque. Sa raie était glabre et sa rondelle serrée, pour laisser le temps à ma bite de durcir je me mis en devoir de lécher ce cul offert. Elle était excitée et transpirai légèrement accentuant l’odeur forte de son sexe et se sa rondelle, les lecteurs et lectrices auront compris que ce parfum était pour moi comme un aphrodisiaque et la forme revint vite. Je frottais mon gland contre sa rondelle et sans sommation je l’empalais jusqu’à ce que mes couilles ballottent contre ses cuisses. Chloé se dégagea du lit, Agnès avait d’ailleurs abandonné ses caresses buccales, je la vis se lever, fouiller dans l’armoire et revenir avec un gode ceinture de belle dimension. J’imaginais qu’elle allait pénétrer le sexe d’Agnès, mais elle se plaça derrière moi. Avant que je puise faire un geste, elle avait mis sa langue dans mon cul et salivait fortement pour le lubrifier. Elle se mit en position et m’encula, enfilant dans mon anus qui n’avait jusqu’alors connu qu’un ou deux doigts un sexe en latex bien plus gros que mon propre engin court mais fort épais.

Cette pénétration sauvage ne fit que m’exciter davantage et je pilonnais Agnès initiant un rythme que Chloé suivit. Le sexe tendu, concentré sur mon plaisir, savourant la pénétration anale que j’imposai et que je recevais, je jouis une nouvelle fois suivi par Agnès.

On se dégagea de nos étreintes et nous tombâmes Agnès et moi sur le dos cote à cote, épuisés. Chloé nous regardait, encore excitée, elle avait gardé le godemichet, luisant de salive et un peu souillé. Elle se mit en 69 au dessus d’Agnès qui se mit à engloutir le gode pendant que sa copine se démenait avec la langue sur sa fente et lapait au mieux qu’elle pouvait le jus qui s’écoulait de son cul. J’observai la scène, fasciné par ces deux belles filles et émoustillé par leur jeu, je me mis à me caresser la bite. Je me mis à genou derrière Chloé admirant de près son cul. Comme son pubis, la fente était très velue, j’y frottai mon sexe encore ramolli. Le fort parfum de sexe et de cul que nous dégagions me fit à nouveau bander et je pénétrai Chloé sans difficulté, son cul ne semblait attendre que ça, il était mouillé à souhait et délicieusement serré. Le plaisir fut plus long à venir et il fut d’autant plus intense.

Le week-end s’annonçait bien.
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Commentaires du récit : 2 filles pas si lesbiennes que ça

Le 17/08/2022 - 17:46 par Sexty53
Vraiment une très belle histoire

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