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3 petites anecdotes

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Lue : 11729 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 24/04/2016

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Comme je l'ai dit, mon histoire (le client) est la dernière que j'ai à raconter, (je n'ai qu'une seule vie), mais il m'est aussi arrivé quelques situations érotiques, voir amusantes parfois, des petits instants agréables autant qu'inhabituels, des petits plaisirs qui arrivent sans qu'on s'y attende, en voici trois conté ci-dessous.

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Location en Auvergne

Nous avions loué une maison en Auvergne, pas exactement ce qu'on avait compris, mais bon, pour une seule semaine, ça allait, on arrive un samedi midi et tous nous accueillent, la maison était grande et séparée par un couloir de trois mètres de large.

Les proprios, à la retraite, vivaient en bas, coté nord du couloir, nous avions une chambre, une cuisine, ainsi qu'une salle de bains et WC coté sud, de notre côté, se trouvait la descente de la cave, au premier étage, le fils de la maison et sa femme, qui apparemment était enceinte.

Pendant le séjour, je n'ai jamais osé demander, si c'était la grossesse ou du ventre, on était rarement là en journée, uniquement le soir et le matin, le deuxième soir, on entend du bruit à la cave, peut être un chat, ou alors horreur, un rat, on ne savait pas.

De le savoir, ça me dérangeait pour dormir, le matin, je dis à mon mari d'aller voir et de le virer, je déteste ces rongeurs, après le petit-déjeuner, il descend à la cave pendant que je vais à la salle de bains, qui avait le même mur mitoyen que la descente de cette cave.

En rentrant, avant d'allumer la lumière, je vois une lueur provenir d'un trou dans le mur, j'attends un peu, et quand mon mari revient et éteint la lumière de la cave, cette lueur disparaît, j'entends aussi un léger grincement quand il referme la porte.

Je lui dis de retourner dans la cave, de ne pas allumer la lumière et de regarder par un trou dans le mur séparant la cave et salle de bains, j'allume et fais ce que je fais habituellement quand je me douche et m'essuie, mon mari revient, j'entends la porte de cave qui se referme.

Il me dit, que du trou, il a vu sur tout, on se dit, un vicelard le fils, en plaisantant, il me dit, j'espère que c'est toi qu'il mate, car si c'est moi, je vais être obligé de le soigner.

Le soir, après dîner, je vais à la douche, j'ouvre l'eau de suite et la referme, je tends l'oreille et j'entends la porte de cave, je me dis, ça va, ce n'est pas un PD, je pense à la femme qui doit être enceinte et lui surement être en manque.

Je fais comme d'habitude, je ne fais rien de plus ni rien de moins, je m'en amuse un peu, je me dis même, qu'il doit être en train de se soulager, mon mari dit qu'un homme qui mate régulièrement en le recherchant, s'il peut, c'est pour se masturber.

Au lit, je raconte à mon mari, que c'est moi qui suis matée, il me dit tant mieux, le lendemain la même chose, j'entends la porte et je commence ma douche, étant contente de la situation, je contente mon fan, au lieu de m'essuyer en vitesse, je prends mon temps.

Je me regarde dans la glace, je regarde mes seins en les malaxant, m'arrange toujours pour offrir un bon angle de vue du trou,la semaine se passe ainsi, tous les soirs, je fais mon show, faisant même souvent tomber, sois un peigne, sois la serviette, je m'exhibe sans pudeur devant le trou, le voyeur ne le chantera pas sur les toits et la semaine prochaine, on ne se reverra plus.

Le vendredi après midi, comme on passait voir des amis le WE, on repart, on remercie les proprios qu'on n'a jamais vu ni entendu, la femme enceinte, vient nous saluer aussi et je dis, votre mari n'est pas là.

Elle dit, non, il ne sera pas la avant 22h, du lundi au vendredi, il est à Lyon, trop loin pour rentrer tous les soirs, ne pouvant pas poser de question directe, je lui dis, "il me semble que je l'ai vu ici avant-hier", tous les trois me disent que ce n'est pas possible en semaine, je leur dis que j'ai dû me tromper.

Une fois en voiture, on s'est dit que c'était le vieux qui venait mater.


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Dans la drome, aux 10 ans de mariage de cousins.

Dans la drome, un petit village typique sur les hauteurs, des cousins avaient loués une salle, ça faisait comme une cave, en pierre, joli décor, avec mon mari, nous ne connaissions presque personne, à part les cousins, ainsi que frère, sœur et enfants.

Je danse avec les invités, mais comme tous avaient leur femme, ils étaient sérieux, au bout d'un moment le bruit me fatigue et je sors faire un petit tour, et comme je suis aussi fatigué physiquement, je cherche un endroit pour m'asseoir.

Je vois un banc en pierre dans le peu de lumière, mais occupé, je m'approche et trois hommes discutaient, la soixantaine surement, je fais juste un bonsoir vite fait et je me repose sur les marches d'une espèce de fontaine à quelques mètres.

Après une bonne minute, un des types me demande si je suis fatiguée, je réponds, oui un peu, mais ça va, il me propose sa place, et me dit que le banc n'est pas propre, que je vais salir ma jolie robe, ils ont de l'humour les dromadaires, ils plaisantent, ils sortent des jeux de mots.

Un autre type dit, sinon, on peut vous proposer nos genoux, je dis non merci, c'est aussi dur que le banc, l'un dit, oui, c'est vrai, que si vous vous asseyez sur nous, on va être très dur, et ils rient,

Ils discutent entre eux et disent, elle a raison la demoiselle, on ne la voit pas bien, mais rien qu'avec ce qu'on devine, si elle venait sur nous, on casserait le banc.

Un autre dit, mais on est des gentlemen, ils sont sympa, drôle, ils ont beaucoup d'humour, il me plaît de discuter avec eux, je dis, c'est vrai, que vous êtes des gentlemen, ils répondent oui de concert.

Je m'approche et l'un dit, ho mademoiselle, ils vous ont mentis, ce ne sont pas des gentlemen, je réponds, eux non, mais vous si, il répond hélas, je suis encore pire, leur humour me les rend très sympathiques.

Je m'assois quand même sur ses genoux, la peur n'évite pas le danger, la position est inconfortable même pour le type, de plus, j'ai la fatigue du voyage plus celle de la soirée,

Je me dis, tiens, je vais vous soulager (de mon poids) et je m'allonge sur les trois.

Je sens une main sur mes jambes, mais sans tripoter, je dis, c'est normal la main-là sur ma jambe, il répond, c'est pour ne pas que vous glissiez, celui du milieu en profite pour mettre sa main aussi disant, tu as raison, il ne faut pas risquer l'accident.

Cela n'était pas la douceur d'un lit, mais avec la douceur de la nuit, j'étais bien, je me détendais, j'ai bien senti que la main sur mes jambes était de plus en plus, caressante, au bout d'un moment, je dis à celui du milieu, en parlant de mon tripoteur, que c'est vrai, qu'il n'est pas un gentleman.

Il dit à son copain, ça s'est vrai, tu n'es pas un gentleman comme nous, si je le suis dit-il, elle ne m'a pas dit d'arrêter, celui à ma tête, dit, mais c'est vrai, vous ne lui avez pas dit, je dis, dire quoi, et bien qu'il arrête dit-il.

Entrant dans leur plaisanterie, je dis, pourquoi, dois-je lui dire ça, et bien pour qu'il arrête répond-il, le caresseur dit, et si elle ne veut pas que j'arrête, l'autre dit, vous voulez qu'il arrête ou pas, je réponds en imitant leur accent, mais ça me fatigue de le dire.

Il répond aux autres, arrêtez de la fatiguer, elle est là pour se reposer, celui du milieu commence lui aussi à me tripoter légèrement, je dis, voyez ça ne sert à rien que je me fatigue, lui, il fait pareil, ça m'aurait fatigué doublement de lui dire.

Celui en tête, m'a timidement posé sa main sur les seins en disant, reposez-vous, on s'occupe de votre repos, après encore quelques plaisanteries, plus personne n'a parlé, les trois m'ont tripotée, quelques effleurements au début puis devant ma docilité, ils se sont enhardis.

J'ai dit, dés que je me lève, ça sera fini, je ne voulais pas qu'il s'imagine que ça finira chez eux, j'étais tripoté de tous les côtés, j'ai joui plusieurs fois, en silence, car la place était petite, ils m'ont tripotée les seins, doigté, agacé le clito, celui à ma tête m'a encouragé à me laisser aller.

Quand je me suis levée, ils m'ont remercié, j'allais partir, mais comme ils n'ont pas insisté, je me suis dévoué pour leur faire une branlette, pendant que soit il me suçait les seins, soit m'embrassait dans le cou.

Je leur ai fait chacun leur tour, et je suis partie, ils m'ont remercié encore tous les trois, me souhaitant une bonne fin de soirée et une bonne nuit.

Quand je suis revenu à la soirée, mon mari n'était pas là, quelqu'un m'a fait une commission, votre mari avait un coup de barre, c'est ce qu'il m'a dit de vous dire, j'ai dit à quelle heure son coup de barre, il m'a dit l'heure, j'ai attendu un peu et il est arrivé, un coup de barre, c'est un code, ça signifie qu'il a levé une salope comme il dit, compter entre 60 et 90 mn depuis qu'il a prévenu.

Le lendemain, j'ai vu la femme, une bourgeoise qui met le petit doigt en l'air pour boire son thé, le mari, plus à suivre les cours de la bourse qu'a vider les siennes, enfin, d'après les cousins, mon mari dit, plus elles ont l'air d'être des saintes et plus elle s'allonge facilement, (je ne critique pas, je fais la même chose) pour le petit doigt en l'air s'entend.

Je suis toujours bien tombé avec ceux qui sont joueurs, ceux qui ne pensent qu'a fourrer, je les sens avant même qu'ils le pensent, bien évidemment, ceux-là sur le banc, auraient bien voulu aussi, mais la différence avec les fourreurs, c'est qu'eux, dés le départ, ont cela comme but, alors que les joueurs, eux se contentent soit de mater, soit de toucher, le reste, c'est du bonus.

Les fourreurs, pensent qu'ils sont les sauveurs des pauvres femmes qui dans leur esprit sont en manque de sexe, et eux les preux chevaliers qui nous rendent cet immense service, quant aux termes sensualité, érotisme, envie, excitation, ils pensent que se sont les noms de nos copines.


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Le train couchette

Une année, aux vacances du jour de l’an, nous étions partis plus tôt pour éviter la foule, nous avions décidé de prendre un train couchette pour se rendre dans le midi dans la famille.

En entrant, à gauche, un jeune homme de la trentaine en bas, un sexagénaire à droite, en bas aussi, mon mari a pris au-dessus du jeune et moi l’autre au dessus.

Nous étions dans la pénombre, en revenant du wagon resto et, le plus vieux dormait, à ses ronflements qui sans être très bruyant, s'entendaient, le jeune dormait aussi, en silence, nous nous étions acheté des pyjamas pour l’occasion, comme tout le monde dormait, je me suis déshabillée sans gène.

Peu habitués à se coucher comme les poules, comme mon mari était déjà dans le lit, je lui parlais à voix très basse et on se câlinait, j'étais debout, au bout d’un moment, je sens le jeune qui bouge et sa main me frôle légèrement.

Je me pousse, un temps s’écoule, il bouge encore, j'en fais part à mon mari, lui faisant comprendre, que je ne sais pas si c’est fait exprès, joueur, il me dit, "ne bouge plus pour voir".

Je m’étais déjà repoussé un peu, j’attends encore quelques dizaines de secondes et sa main revient, me frôle sans bouger, en restant au même endroit, je ne bouge pas non plus.

Quelques secondes passent et la main dont je sentais le revers, se retourne, s’arrête, reprend, ceci en plusieurs fois, puis m’enserre le genou, j'attends encore, j’avais les bras en l’air sur le couchage, je mets mon mari au courant, en live de ce qui se passe dessous.

Amusé autant qu'excité, il me dit, "tu aimes", excitée par la situation, je réponds juste hum hum, il me dit par geste de laisser faire, la main remonte le long de ma cuisse et redescend, il me la caresse, je l’entends qui se déplace sur son lit, sans faire de bruit.

Il caresse ma cuisse à travers le pyjama et je commence à y prendre goût, mon mari m'encourage à le laisser faire, me faisant comprendre de l'aider en écartant un peu les jambes, comme avant cela, le jeune nous avait surement entendu chuchoter.

Le fait que nous continuons, il a dû penser que je ne disais rien, voyant que je le laissais faire, il s’est enhardi, et a mis sa main dans mon pyjama, je n’ai pas eu besoin de le dire à mon mari, à mon petit gémissement et sursaut, il l'a compris de suite.

Mon mari me fait comprendre d’aller plus vers le milieu du lit, plus pratique pour le jeune et aussi pour que je m'occupe de son engin, j’ai commencé à retirer deux boutons du haut de mon pyjama, mais il avait déjà l’idée de le faire, il m'a retiré les autres, j’avais mon ventre devant lui, dans la pénombre, il l’a embrassé pendant que ses doigts s’activaient sur mes seins.

J’étais branlé par le jeune et je suçais mon mari, il m’a fait jouir deux fois avec ses doigts, la discrétion était vraiment succincte, mon mari a éjaculé, j’ai rouspété en lui faisant comprendre, "et moi", par geste toujours, il m’a dit, je pense qu’en dessous, tu devrais trouver une âme charitable.

Je suis descendu et me suis mise dans son lit, il n’a pas été contre, mon mari surveillait le vieux, qui dormait, le jeune a remis deux fois le couvert, rapide, la première fois, mais la deuxième, ça allait, il avait compris que mon mari le savait et que ça ne le dérangeait pas.

Le matin, quand tous les quatre, nous étions prêts à partir, en se disant au revoir, le vieux a dit, voilà un voyage qui a été fort agréable pour tout le monde, une fois tous les deux, mon mari me dit qu’il ne l’a pas vu bouger, ni mater, mais peut être, n’a-t-il qu’entendu, ou a-t-il voulu dire que sa nuit a été bonne, nous ne le saurons jamais.

Nous avons refait plusieurs fois, ce même genre de voyage, mais rien n’a eu lieu, ni dans cette destination, ni dans d’autres.

Les situations demandent un hasard très strict, dans le cas présent, un vieux qui dort, un mari complaisant, un homme très entreprenant et bien sûr, une femme coquine, il faut ensuite une distribution des places, les ingrédients avec le dosage afin de réussir un bon gâteau.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : 3 petites anecdotes

Le 12/01/2022 - 17:54 par Exorium
Trois anecdotes savoureuses vécues avec la complicité du mari. J'ai, pour ma part, préféré la première. Question de goût sans doute.

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