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30 degré sous le soleil

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Lue : 19647 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 25/07/2010

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Je hais la ville en été… Tout devient collant, moite et oppressant, l’air, les rues, les regards…
Mon t-shirt moulant noir me donne l’impression d’étouffer, mon fute en cuir fait l’effet d’un sauna et je me maudis intérieurement pour ce choix vestimentaire plus que débile, étant donné les 32° qu’affiche le tableau de la pharmacie d’en face.

Le soir commence à tomber doucement mais l’air reste toujours aussi pesant. Il va y avoir un orage d’ici peu.
L’abri bus ressemble à une cage de plastique fondu, miroitant et liquide.
Je me laisse lourdement tomber sur le banc brûlant, vaincue par la chaleur et passablement cassée.
Encore trop fumé, jeunesse oisive et débauchée oblige.
Les gens marchent d’un pas vif autour de moi, les conversations semblent agitées, les visages tendus, rouges et suants.
Un couple s’embrasse au milieu de la place, un grand black et une petite rousse.
Je les trouve très sensuels.
Elle se tient sur la pointe des pieds, les bras passés autour du cou, tandis qu’il l’enlace, une main serrant sa taille tandis que l’autre caresse ses fesses.

Je ferme les yeux et le corps musclé et délié de l’homme qui partage ma vie se dessine, avec une précision telle que je me sens tout à coup mouillée et très excitée.
Mon regard reste fixe mais je suis ailleurs, je revois les images de notre réveil, son odeur chaude et si particulière, son souffle dans ma nuque et ses baisers piquants qui me tirent doucement du sommeil, sa main qui passe sur ma taille et vient frôler mon sein tandis que je sens sa grosse queue déjà bien gonflée presser doucement mes fesses…
Je suis déjà trempée avant même qu’il me glisse à l’oreille son délicieux et innocent
« bonjour mon amour, tu as bien dormi ? »

Alors je m’étire comme une chatte en venant me coller à son entrejambe, je grommelle un « laisse-moi, j’ai sommeil » faussement énervé et je feins de dormir encore pour voir à quel moment il va craquer,
ondulant mes fesses contre son sexe et incapable de retenir des soupirs
de délice lorsqu’il entreprend de me titiller les tétons et que sa respiration s’accentue contre ma nuque, quand il y pose ses lèvres brûlantes pour un baiser insistant.
Là je sais qu’il n’en peut plus, et à ce moment seulement je pose ma main sur sa queue et je le pousse entre mes fesses.

Il me pénètre une première fois doucement puis ressort et caresse l’entrée de mon vagin avec son gland jusqu’à ce que je tremble d’impatience et de désir.
Il glisse enfin sa grosse bite tout entière dans ma chatte brûlante, d’un long coup de rein, dans un souffle rauque.

Je gémis et me cambre à fond, alors il me retourne sur le ventre, m’attrape les hanches et commence un va et vient passionné à genoux derrière moi.
Chacun de ses coups de queue m’arrache un gémissement ou un soupir, il change la cadence, écarte mes fesses, pilonne violemment avant de s’immobiliser au plus profond de moi et de savourer les mouvements saccadés de mes hanches qui s’emballent et les palpitations affolées de ma petite chatte en fusion.

Ce matin, on était à la bourre tous les deux et il est venu après m’avoir fait jouir deux fois, pas assez de temps pour trop d’excitation…
Chaque nouvelle baise est plus intense et plus délicieuse, c’est la première fois que quelqu’un me met dans une telle transe, bien c'est loin d'être le premier mec que je connaisse, ni le mieux monté.
Mais waouh !!
Impression de crever et de renaître mille fois en une heure…
En totale symbiose, tendresse et violence à la fois…
Il me laisse vraiment sur le cul.
Enfin, à genoux… Et sur le ventre, le dos, debout, assis, partout, tout le temps…

… Soit.
C’est ça l’amour !

Je commence vraiment à avoir envie de vite retrouver mon amoureux, et ce bus de merde n’a pas l’air de vouloir arriver.

Sans même que je m’en rende compte, ma main a suivi mes pensées et je suis en train de me caresser doucement la chatte à travers le cuir, jambes légèrement écartées…
Bien entendu comme une conne j’ai pas décollé les yeux des deux autres et ils m’ont cramée depuis longtemps.
D’ici je peux même voir un rictus amusé sur le visage du mec…
La jeune femme ayant une énorme mèche de cheveux qui lui bouffe la moitié de la face et une paire de lunettes très "pétasse aviatrice", j’ai un peu plus de mal à imaginer ce qui se passe dans sa tête.
Mais elle se tient cambrée, poitrine en avant et visiblement hostile au cas où j’aurais eu envie de toucher à son homme.
Je me ressaisis, baisse les yeux, fouille dans mon sac et m’allume une clope pour me donner une contenance.
Commence à faire vraiment chaud.

Je bouge de mon solarium en plastique pour aller me poser sous un porche deux mètres plus loin.
Evidemment, le bus arrive pile à ce moment.
Une demi-heure debout au milieu de plein d’autres corps suants, sans clim…
Extatique, je suis.
Me frayant tant bien que mal un chemin parmi les automates transeux qui reviennent du travail, les joues encore échauffées, je m'adosse à la porte quand je sens une pression dans mon dos, et une odeur de vanille artificielle me monter aux narines.
La jolie rousse se glisse à côté de moi, suivie par son ami.

(à suivre...)
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Histoire de sickpussy

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