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Acteur de charme

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Lue : 11480 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 23/10/2009

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Gentiment elle installa un bon petit déjeuner et elle me regarda attentivement le dévorer. Elle était resplendissante, elle sentait bon et de nouveau je fus pris d’un ardent désir

« Que fais-tu dans la vie ? » me demanda t’elle

« Pour l’instant je suis au chômage, je suis ethnologue de formation, j’ai mon doctorat mais pas de place pour l’instant. J’écris un peu, je fais des traductions mais il me faudrait plus d’argent pour voyager ! »

En attendant parler de doctorat, le regard de Sonia s’alluma et j’observais un imperceptible serrement de ses cuisses. Les femmes fantasmeraient elles sur les docteurs comme nous, les hommes, sur les infirmières ?

« Et toi Sonia que fais tu ? »

« Oh moi tu sais Pierre, je travaille très peu et ce que je fais n’est guère avouable, mais je gagne pas mal d’argent ! »

Je pensais, serait-ce une pute ? Ne voyez rien de désobligeant avec ce mot, car j’ai la plus haute estime avec ces jeunes femmes d’utilité publique, qui souvent sont au minimum exploitées contre leur gré.

Elle se pencha vers moi et confidentiellement, à voix basse alors que nous étions seuls elle murmura
« Je fais du cinéma, un peu spécial, du cinéma de charme, du porno pour ne rien te cacher »

Elle m’expliqua qu’une ou deux fois par mois on lui demandait de participer à des séances filmées et que ces films étaient ensuite projetés dans des salles spécialisées très fréquentées par la gent masculine. Après un court instant de réflexion elle m’indiqua que si je voulais, inventif et bien monté comme j’étais je pourrais me faire pas mal de blé tout en m’amusant.

Elle me mit cependant en garde en m’affirmant que les places étaient très convoitées et que l’examen d’entrée était au moins aussi sélectif que le doctorat. Elle me tendit un petit Bristol, dont le nom n’indiquait en rien ce genre d’activité.
« Si tu te décides ! ne parle pas de moi, de Sonia, cela ne t’avancerait pas, au contraire je crois, le milieu est très cloisonné »

Comme elle était belle, qu’elle sentait bon, qu’elle me souriait gentiment, je l’enlaçait tendrement. Elle me laissa faire, elle semblait troublée, je l’allongeais à mes côtés et sans préparation lui retroussant sa jupe je m’installais entre ses cuisses écartées et relevées. Sans façon j’écartais sa petite culotte et je me guidais en elle, sa chatte était prête à m’accueillir, son miel permit à ma grosse queue du matin de coulisser sans mal à fond dans sa vulve.

Elle se mit à jouir immédiatement, que c’est beau une femme que l’on fait jouir ! son regard perdu dans un autre monde, elle me fit comprendre de rester bien au fond et d’onduler pour faire jouer mon membre en elle, ce que je fis en relevant ses fesses. Quand elle se mit à gémir, quand je la vis en plein orgasme je la rejoignis dans le plaisir et dans une grande houle, nos bouches s’étant rejointes dans un cri, je la remplis de ma semence.

Nous mirent un long moment avant de nous remettre de cet intense et bref moment de jouissance et quand nous nous séparèrent elle me dit en se réajustant
« J’espère que nous nous reverrons Pierre ? »

« Je le souhaite aussi, tu es vraiment canon Sonia ! »

L’idée de Sonia du faire un brin de chemin dans ma tête car je décidais de fréquenter les fameuses salles obscures où pour quelques petits billets on assiste à des films pornographiques. Le premier jour j’étais comme un collégien en faute mais impatient de voir ce dont il s’agissait. Je payais furtivement et m’installais dans un fauteuil non sans avoir remarqué l’assistance un peu ténue de ce début de programme.

Je reviendrais sur le pedigree de la clientèle. Le premier des deux grands films à l’affiche du jour commença sur l’écran panoramique de cette petite salle mais au bout de quelques séquences je me sentis frémir de tout mon corps aux scènes orgiaques présentées. L’intrigue était beaucoup plus complexe que je l’avais imaginée et les scènes de non baisage si j’ose dire pas moins excitantes que les scènes d’action car elles amenaient le spectateur à imaginer la suite du scénario et jamais je ne fus déçu. Ce que j’imaginais étais largement dépassé par ce qui suivait ; les personnages étaient nombreux et de ce fait les permutations infinies.

Ces films devaient contenter des spectateurs chevronnés déjà blasés et voulant toujours plus. L’imagination n’avait pas de bornes et me laissait tout pantois, incrédule même devant d’incroyables situations, évidemment je bandais comme un cerf et par la pensée c’est moi qui chevauchais en toutes positions les nombreuses beautés que l’on nous présentait.

Quand une nouvelle femme apparaissait sur l’écran, à peine avions nous le temps de l’imaginer que nous la retrouvions mise à poils par un groupe d’énergumènes mâles ou femelles d’ailleurs pour la baiser en toutes positions avec ou non son consentement et cela se terminait presque toujours par des jets de foutre sur son visage ou entre ses seins.
La donzelle semblait prendre un immense plaisir et ses gémissements quand elle jouissait n’étaient pas pour rien dans l’émoi qui nous saisissait. D’énormes membres infatigables fouraillaient dans les chattes, dans les culs dilatés pour agonir enfin dans les bouches voraces de leurs amantes.

Toutes ces scènes filmées en gros plan comme si nous étions entre les cuisses écartelées. Le plus étonnant c’est que tous ces personnages étaient d’une grande beauté, comme on en voit rarement dans la vie courante, les filles surtout, au corps parfait, de jolis minois, des fesses et des seins superbes des dessous affriolants, une envie de se faire baiser irrésistible.

Les mâles se distinguaient surtout par leur grosse queue et par leur habileté, leur souplesse à trouver des positions acrobatiques pour enfiler leur comparse par tous les trous qui s’offraient à eux. Pour ma part je leur trouvais une sale gueule, d’ailleurs ce n’est pas pour elle qu’ils étaient choisis, il faut dire aussi que je ne suis pas particulièrement attiré par la gent masculine et pourtant quand en gros plan on voyait leurs grosses verges aller et venir dans les vulves poilues de leur partenaire j’y trouvais un plaisir malsain.

Je dois dire aussi qu’à plusieurs reprises je manquais d’éjaculer dans mon slip aux moments où je voyais un gland décalotté se centrer sur un petit cul avant de s’y introduire précautionneusement. Les acteurs se défendaient assez bien malgré la rusticité des scénarios un peu simplistes, les râles, les plaintes, les cris de jouissance assez réalistes malgré leur outrance.

Ce qui intriguait c’est la facilité des choses, il suffisait à un homme d’arriver sur l’écran devant une ou plusieurs beautés, de sortir sa grosse queue pour qu’immédiatement il soit pris en main, caressé, sucé délicatement , léché par des langues indiscrètes, présenté aux parties les plus intimes des participantes, il pouvait alors se donner à cœur joie en s’empalant furieusement entre leurs fesses avant d’avoir grossi et durci dans des bouches voraces.

Les baisages les plus furieux duraient une éternité laissant le temps au spectateur le temps de s’assimiler, d’être ce phallus qui pistonnait ces puits dont on n’ignorait plus rien. Dans ces longues minutes on était fasciné par le sexe masculin qui entre et sort d’une chatte avant de s’offrir le petit cul voisin, on est envoûté par la jouissance du couple, par le spectacle des couilles qui s’agitent en cadence souvent prises par les mains crispées de la donzelle en plein orgasme.

Captivantes aussi les fellations, longs préludes avant des absorptions plus substantielles, quelle science du léchage, quel émoi quand la verge luisante du mâle est absorbé dans sa totalité par une bouche serré sur lui, quand une langue, parfois deux s’enroulent autour du gland violacé et s’attardant par dessous. Et puis le final où toute la production est présente et s’enfile et jouissant de concert.

La fin du premier film me laissa vidé avec un énorme mal aux couilles, mais déjà et pour le même prix un autre programme commençait. Autres personnages, autre style mais toujours des bites au cul, des glands en bouches. Je crus défaillir quand je vis ma Sonia, ma rousse incendiaire paraître sur l’écran, elle était encore habillée et je bandais déjà. Elle jouait le rôle d’une boniche, remarquons au passage que les bonnes, les voisines, les infirmières, les docteurs mâles ou femelles jouent toujours un rôle de premier plan dans ce genre de film.

Sonia amoureuse de son patron se desséchait d’amour car il avait le bougre d’autres partenaires. Sa première scène nous la présenta comme une nymphomane se livrant aux joies solitaire de la masturbation, elle se massait les seins et le minou allongée sur le lit elle s’était retroussée jusqu’à la taille, sa main active sous son slip, faible rempart à sa frénésie de jouir ; elle se caressa longuement sous nos yeux, serrant et écartant ses cuisses.

Son visage exprimait la déception de ne pouvoir se faire plaisir qu’avec la faible pénétration de ses doigts. Pourtant dans la séquence suivante elle avait trouvé solution à son problème, elle tenait dans sa main un énorme godemichet en plastique dont elle fit bon usage. En gros plan, sous nos yeux incrédules nous purent assister entre ses cuisses aux plongées profondes de l’engin avec insémination artificielle d’un liquide sirupeux qui lubrifiait sa cramouille en folie.

Elle s’emmanchait l’objet, couchée sur le dos cuisses ouvertes face à nous ou en position de levrette en se branlant d’une main passée par dessous entre ses fesses mises en valeur.

Je crus mourir de plaisir quand la cuisinière de la voisine vint lui rendre visite, une beauté elle aussi qui se fit sodomiser par une courgette d’assez bon calibre. Elles semblaient complices toutes les deux pour se donner du plaisir, je revois encore le visage bouleversé de l’amie de Sonia quand le légume enduit abondamment de salive lui ravageait l’anus.

Après avoir bien joui elle s’occupa de Sonia et la baisa avec la queue d’un poireau encore garni de ses racines. Nous étions comblés par ses insolites effractions végétales qui faisaient tant jouir la domesticité.

De nouveau seule, Sonia entra dans le cabinet de sa patronne, une doctoresse, en d’étranges consultations, deux patients, les héros du film, bites au vent violaient la doctoresse qui semblait se défendre. Sonia en pleine excitation s’empala la chatte sur le pieu dressé de l’homme couché sur le divan et s’activa sur lui. Le deuxième mâle voulant sa part la prit à parti par l’arrière et par le jeu savant des caméras nous assistèrent à la double pénétration, deux gros membres s’activant l’un dans la chatte l’autre dans le trou voisin. Sonia hurlait de plaisir jusqu’au moment où elle dut se taire quand sa patronne chevaucha son visage, cuisses écartées et l’obligea à lui faire sucer sa chatte pleine de foutre.

Ouf ! terminé, ras le bol du porno, du simple spectacle des phallus, des craquettes, des rectums, des seins écartelés. Je quittais la salle à la sauvette presque honteux. Il me semblait que les passants me regardaient d’un air réprobateur.

Durant plusieurs jours je repensais à chaque scène, à ces beautés sexy qui incroyablement se livraient à ces scènes orgiaques. Elles auraient, en tout bien tout honneur, fait le bonheur de Princes et elles s’acoquinaient avec des sortes de truands qui leur faisaient subir les pires outrages. Etaient ce pour leur plaisir ?, pour l’argent comme me le disait Sonia ?

Je retournais à plusieurs projections du même genre. J’essayais d’imaginer comment je me comporterais si j’étais à la place des mâles de ces films. J’observais également les spectateurs assez rares qui se dispersaient dans les fauteuils. Quelques jeunes venus là pour se marrer, pour parfaire leur technique de baisage ; mais surtout des hommes murs en mal de partenaire, j’en vis quelques uns qui la queue sortie de leur pantalon se branlaient éclaboussant le fauteuil face à eux de leur semence.

Très peu de femmes, j’observais que des hommes s’installaient à leurs côtés alors que le cinéma était quasi désert. Certains réussissaient à passer leur main sous les jupes et je les devinais passant sous le slip de la spectatrice consentante dans l’anonymat des ténèbres. Ces femmes devaient être là pour de l’argent elles aussi, à moins que se soit pour avoir du plaisir avec des inconnus sans avoir les inconvénients d’une liaison.

Certains attirés par les femmes présentes étaient repoussés avec vigueur et penauds émigraient plus loin ? L’une d’elle, excédée par l’insistance de son voisin qui voulait la peloter, se leva et dans la pénombre balayant la salle du regard s’assit à mes côtés.
« J’aime mieux votre voisinage que cet affreux, si vous aviez vu sa gueule et ses sales pattes, il m’a presque arraché le slip ce con. »

« Avec moi vous êtes rassurée ? » lui dis penché sur elle

« Avec vous oui ! »
Le films se poursuivait, une main se posa sur moi :
« Vous bandez ! » me dit ma voisine

« c’est normal, j’ai envie moi aussi ! »

Je sentis la caresse de sa main, experte elle sortit mon dard bandé, ma voisine soufflait, elle semblait en transe
« Quelle queue : » me dit elle dans un souffle « Je vous en prie permettez moi ! je n’en peux plus ! »

Elle se pencha et me prit dans sa bouche. Ceci et le spectacle c’était bon, elle tournait sa langue autour de mon gland avant de m’engloutir jusqu’à la racine
« C’est bon ! merci jeune homme, j’espère que vous êtes bien vous aussi ? »

Et elle replongea et me fit du bien avec ses mains et sa bouche
« Vous pouvez jouir dans ma bouche, j’aime çà ! ah oui j’aime beaucoup ! »

Elle s’y mit vraiment et je sentis monter le plaisir de mon ventre, je râlais sans faire trop de bruit mais pour signifier à ma voisine l’effet qu’elle me faisait, d’un coup comme elle le souhaitait je déchargeais entre ses lèvres en agitant mon membre dans ce cloaque si chaleureux
« Merci....si vous saviez comme j’aime les belles queues comme la vôtre, jeune et vigoureuse....je vous ai bien fait jouir ? »

« C’était bon, vous êtes une sacré suceuse ! »

« Merci du compliment...mais que faîtes vous....non je n’y crois pas....vous feriez ça.....sans me connaître.....attendez je me retrousse.....ahhhhh ......c’est la première fois qu’on me baise ainsi....par un inconnu ....ahhhhh ouiiiii ohhhhh
c’est bon....ahhhhh merci.....je jouis... Elle est grosse....ouiiii bien à fond...... je n’est jamais jouis si fort.....ahhhhh »

Vous l’avez compris pour ne pas être redevable du plaisir que j’avais eu, la relevant je l’avais assise sur moi, face à moi et écartant sa culotte je l’avais fourré d’un seul coup et lui avait donné le plaisir qu’elle vous a montré. De nouveau j’avais joui dans sa chatte cette fois.

Abasourdie du plaisir volé que nous avions eu, elle se désaccoupla, me fit un baiser gentil du bout des lèvres sur ma bouche et disparu. Je n’eus que le temps d’apercevoir son joli minois et son allure superbe.

Après une semaine de réflexion, je me décidais. Mon cœur battait la chamade quand j’appuyais sur le timbre de la porte. On ne m’ouvrit pas tout de suite, la porte s’entrebâillât retenue par une chaîne de sécurité.
« C’est pourquoi ? » Me dit une voix peu amène

« C’est pour faire un essai ! » dis-je peu rassuré

« Quel essai ? »

« Un essai de tournage ! »

« Vos papiers s’il vous plaît ! »

Je dus obtempérer, au bout d’un instant la porte s’ouvrit enfin, mais le cerbère garda ma carte d’identité, il me fit entrer dans une salle d’attente déjà pleine à craquer : des mâles et des femelles. Une odeur suffocante de sueur et de gomina me fit presque renoncer, mais la porte se referma sur moi.

Nous fument appelés individuellement, les hommes par une femme, les filles par un homme. Quand se fut mon tour on me fit entrer dans une petite pièce avec deux chaises pour tout mobilier.

Mon interlocutrice une femme entre deux âges qui avait du être pas trop mal par le passé, était grande et sèche mais ses yeux brillaient d’un étrange regard. Elle me fit subir un interrogatoire serré où je dus me présenter et indiquer mes motivations, mes aspirations au cas où. Quand elle apprit que j’étais ethnologue elle me dit en souriant que si ma candidature était reconnue j’en apprendrais beaucoup sur la race humaine. Elle me dit :

« Vous n’êtes pas mal mais vous n’ignorez pas que ce qui compte le plus c’est votre bite. Je vous dis tout de suite qu’il ne doit pas être énorme au point d’être monstrueux car cela indisposerait le spectateur moyen, une grosse bite est nécessaire malgré tout, ce qu’il faut c’est être raide, raide vous comprenez, toute la journée, vous jouirez ou pas on s’en fout mais à tout moment il faut être prêt à baiser, à sodomiser, à vous faire sucer.
Nos budgets ne nous permettent pas d’attendre votre bon vouloir. Vous devez être capable de baiser longuement, sans jouir, c’est plus sur pour rester en forme. Par contre vous devez savoir jouer la comédie et faire semblant de vous éclater sans paraître ridicule. Vous aurez un texte, le plus souvent des onomatopées, des plaintes mais vous aurez un degré de liberté que vous pourrez utiliser »

Depuis un moment, impassible elle me tâtait, doucement, diabolique expérience, avec précision elle déboutonna ma braguette et sortit ma verge et mes couilles, tout en continuant de me parler sa main nerveuse s’activait sur moi, me serrait la hampe, son visage n’exprimait aucun sentiment, elle me branla avec une délicatesse extrême. Je fis un effort immense pour rester impassible mais je dus rendre les armes et j’éjaculais puissamment dans un bol quelle tendit au moment crucial. Je fus surpris de l’entendre me dire :
« Bien, d’habitude on me résiste moins longtemps, voyons si vous restez raide » et elle continua de ma flatter la verge ;

« Maintenant vous allez faire semblant de jouir, voilà votre texte vous le placerez quand bon vous semblera »

Je regardais le papier qu’elle me tendait et je lus la simple phrase
« Ahhhh c’est bon, viens salope me brouter la queue ! »

Dans sa main je sentais à nouveau le plaisir monter de mon ventre mais au lieu de réciter ce texte ignoble j’improvisais
« Vous allez me faire encore jouir chère amie, si vous saviez comme votre charme m’émeut, j’aime votre visage je le trouve beau, votre regard surtout, votre bouche, vous avez déjà su me transporter de bonheur, j’aimerais vous le rendre, vous faire jouir à mon tour..... »

Mon examinatrice me laissait parler, elle me regardait intensément et sa main agitait nerveusement ma queue, elle semblait troublée.
« Je pourrais vous donner du bonheur avec mes lèvres ? avec ma bouche ? avec ma langue dans votre chatte , vous êtes belle, vous avez envie je le lis dans vos yeux, laissez moi faire....voulez vous ? »

Je l’enlaçais la serrant dans mes bras, je lui pris les fesses et la retroussais
« Oui c’est bon, viens chérie que je te suce, asseyez vous, oui, écartez vous....bien.... Je m’agenouille.... je m’avance....ahhh que c’est beau....relevez vous un peu que j’ôte votre adorable petite culotte, nous serons mieux.... voilà... je te tutoie si tu veux ? Oui , sens tu ma bouche sur ta chatte ? et ma langue ? tu mouilles.. tu es bien ? Je vois ton petit clifounet qui bande....ouvre toi bien que j’enfonce bien ma langue....ahhhh que j’aime ce plaisir que je sens monter en toi.....Ouiiii bouge bien ....veux tu que..... »

« Je n’en peux plus, baise moi, prends moi, Je veux ta grosse queue dans ma chatte, dans mon cul... »

« Merci ! pose un pied sur la chaise....oui je vois tes fesses, ah ! quelle croupe elle m’attire, je viens ; tu me sens ? ouiiii ahhhh que c’est bon, je suis en toi, je m’agite je me vois, je vois ma grosse queue dans ta chatte..... tu es bien ? Plus fort ?....plus vite ?.....Je te caresse les seins ! tu aimes....Que dis tu ?..... dans ton cul maintenant ? c’est ça, tu veux que je t’encule, attend je sors... je vois ton petit cratère, je vois mon gland, je te mouille bien pour que ça entre...doucement je me centre je pousse oufffff j’y suis ....je lime... tu me sens bien....tu aimes.... ça à l’air...Tu jouis, gueule si tu es bien....serre bien ton cul sur mon membre.....Ahhh tu es bonne, je vais jouir moi aussi ;je te rejoins Ahhhhhhhhh... »

Durant un long moment nous restèrent ainsi, agités tous deux de mouvements antagonistes et concertés pour mieux s’encastrer l’un dans l’autre, je la tenais par la taille et l’attirais vers moi, elle jouissait encore bien après moi et je la servais jusqu’à ce qu’elle retrouve son calme, elle se désaccoupla.

« Qu’avez vous fait ! Je devrais vous gifler jeune homme d’avoir osé me violer quasiment. Je devrais vous éliminer pour votre goujaterie,......

N’ayez pas l’air penaud, je plaisante, j’ai bien pris mon pied, voilà belle lurette que je n’avais autant joui, vous êtes doué, après le concours si vous voulez j’aimerais vous revoir, je pourrais moi aussi vous faire profiter de ma longue expérience... Mais ce n’est pas le tout, l’examen continue, A poils s’il te plait...garde les chaussettes...bigre tu bandes encore....tu vas entrer par cette porte vers la salle de concours...attends....j’aimerais avant prendre, ne serait ce qu’un instant, ta grosse bite dans ma bouche.....merci Hummmmm.....tu vois je la prends presque toute.....Ahhhh c’est bon.....c’est bon.....aller file ! »

Je me dégageais et la queue encore humide j’entrais dans une grande pièce obscure.
« Fermez la porte ! » me dit on

Je fus alors aveuglé par un puissant faisceau de projecteur. Ainsi j’étais nu... ah non j’oubliais mes chaussettes, devant un auditoire qui se cachait dans l’obscurité de la salle. Une voix d’homme m’interpella :
« Avancez vous, vous allez subir la première épreuve, vous allez d’abord marcher devant nous dans cette sorte de chambre de manière à ce que l’on juge votre anatomie, votre démarche, ayez l’air naturel, l’air d’un mec qui attend l’arrivée de celle qu’il va baiser. Dans quelques instants une jeune femme va entrer, c’est une candidate comme vous, vous vous enlacerez en vous caressant, elle vous fera une fellation où vous êtes sensé jouir avec éjaculation dans sa bouche ; vous devrez alors dans la position que vous jugerez bonne la baiser puis la sodomiser ; les paroles sont libres ; allez tout cela en dix minutes. »

Mes jambes flageolaient un peu en attendant la venue de ma partenaire, j’essayais de me présenter sous le meilleur jour, je bandais encore, ma queue était grosse sans être encore dure et dressée. Heureusement elle entra, nue, elle était un peu ridicule et se cachait les seins et le bas ventre ; à part cela c’était une belle fille ; en l’enlaçant elle se cabra en résistant, je sentais qu’elle avait envie de tout plaquer, mais comme moi elle devait avoir besoin d’argent et prisonnière de l’éclatante clarté qui nous enveloppait elle resta. Je pris alors une initiative hardie et jouais le réalisme de la situation
« Chérie tu sais ce que l’on nous demande pour continuer notre route, si on s’amusaient, viens ! Assois toi sur la lit, tu seras plus à l’aise pour me sucer, regarde ma queue, elle est belle ne trouves tu pas ? »

Elle me prit le pénis entre ses doigts, je m’étais arrangé pour que l’assistance ne perde rien de la scène ; Elle semblait se décontracter et avec une certaine habilité commença à me lécher, sa langue virevoltait autours de mon gland et sur ma hampe qui prit son allure de croisière, grosse, longue, raide, dressée.

Quand elle me prit entre ses lèvres, mes plaintes qui ne devaient rien à la comédie l’encouragèrent, elle semblait trouver un certain plaisir. Je mimais à merveille la montée puissante de mon foutre mais au lieu de décharger dans sa bouche je me dégageais, la bite énorme aux yeux de tous, je renversais mon amante sur le lit, cuisses écartées et je fourrais sa vulve.

Les spectateurs s’il y en avait pouvaient se rincer l’œil sur mes fesses et suivre l’agitation de mes couilles. Je limais un long moment et étrangement je sentis que ma partenaire commençait à jouir, ses plaintes, ses cris étaient ceux d’une femme en plein orgasme, elle m’attira vers elle et me tendit ses lèvres, entre deux baisers, entre deux cris, je la retournais à genoux sur le lit, les fesses en l’air, bien en évidence, et prenant ma verge en main je me représentais dans sa chatte ouverte et le temps de faire remonter son plaisir je me retirais pour me planter dans son petit cul.

J’eus un peu de mal tant ce petit orifice cerné de bistre était étroit, mais une fois le gland introduit, la suite fut sans histoire, facile même, car l’étroit conduit, habitué sans doute à ce genre de visite, s’arrondit autour de mon zob et facilita mes ébranlements.

Cette fois je la rejoignis et mon plaisir tint compagnie au sien. Elle poussa des cris en agitant convulsivement ses fesses écartelées, elle devait deviner mon émoi, entendre mon souffle rauque dans son dos, sentir mes mains se serrer sur ses hanches pour l’attirer plus profond sur ma queue.

Quand elle se contracta, serrant ma verge dans son fondement, j’éclatais en hurlant et remplit son cul de sperm qui gicla sous pression et inonda ses fesses et sa chatte. J’étais à l’aise maintenant dans son anus dilaté, son plaisir dura plus longtemps que le mien et je la servis jusqu’au moment où morte de fatigue, ivre de plaisir, elle s’écroula en pleurant sur la couche. Je me redressais alors et chacun pu voir ma queue luisante de foutre, mon braquemart de vainqueur pointé vers la salle obscure.
« Merci ! Veuillez sortir maintenant et attendre ! »

Ce fut long, très long ! trois heures assis à côté de ma partenaire ; nous étions toujours nus ainsi qu’une escouade de candidats qui comme nous patientaient attendant une suite hypothétique.
« Je suis heureuse d’être tombée sur vous ! me dit ma comparse sans vous je me serais enfuit, j’avais tellement honte, vous avez su me rassurer, heureusement car j’ai besoin de cette place, je suis dans le plus grand dénuement et je préférerais faire ce job que la pute, mais votre prénom ? moi c’est Brigitte ? »

«Moi c’est Pierre, j’étais très à l’aise avec vous et j’ai bien joui, vous êtes attirante j’ai bien aimé l’instant de votre orgasme »

« Ah oui ! c’était très fort, je sentais bien votre grosse queue dans mon cul, j’aime jouir par le cul et vous avez été très habile, très prévenant ! »

« Nous pourrons nous revoir peut être ? »

« Oui ! j’aimerais ! »

Nous en restèrent là car j’entendis mon nom ainsi que deux autres, c’est ainsi que j’appris que pour ce qui est des mâles nous étions encore trois en lice pour deux places. On nous fit entrer dans la salle du jury éclairée cette fois et on pu le voir : de nombreux petits vieux très représentatifs des spectateurs moyens, quelques femmes au milieu d’une assistance diverse et assez fournie.

« Messieurs ! dernière épreuve, vous allez maintenant être confrontés à des professionnelles du cinéma pornographique, elles sont chargés de vous dominer, vous devez leur obéir mais il vous est permis d’improviser, entrez mesdames et choisissez votre partenaire ! »

Trois beautés firent leur apparition, à moitié nues, avec cependant juste ce qu’il faut de dessous fantaisies pour parer leur anatomies généreuses. Le public applaudit leur entrée, manifestement il connaissait ces pros du spectacle et s’apprêtait à bien en profiter. Il y avait le choix, une brune longiligne, une blonde aux formes opulentes et une rousse que je vis de dos avant quelle se tourne vers moi en souriant, elle était sublime, elle étais parfaite, je croyais rêver, c’était Sonia, ma Sonia.

Elle fit l’impossible pour me choisir et non sans mal y parvint, je crus comprendre que les trois beautés au vu des phases éliminatoires m’avaient plus ou moins choisi pour se mettre en valeur, chez les pros la compétition semblait rude également et pour elles l’occasion était belle pour se rappeler aux bons souvenirs des producteurs. Je fus heureux d’être avec Sonia et passant en troisième position nous eurent droit aux ébats des deux couples concurrents.
Ce n’était pas trop mal à part le premier concurrent qui manifestement bandait mou, à tel point qu’il eu le plus grand mal à honorer la grande brune qui prit très mal la chose et se contenta de le sucer en lui serrant les couilles et c’est en grimaçant de douleur qu’enfin il l’aspergea de sa semence.

Le deuxième, un beau noir fit merveille, délicat, puissant, une queue splendide il enchanta l’assistance par les ondulations de sa croupe, comme ceux de sa race il avait des fesses magnifiques qui attiraient le regard plus que sa queue plantée très haut entre les deux rotondités de la blonde qui faisait mine de jouir.

Nous fîmes un triomphe avec Sonia qui avait amené de la poudre aphrodisiaque et le godemichet d’ivoire. C’est fou comme ce postiche plaît aux amateurs de sensations fortes, il est dommage qu’il soit si peu utilisé dans les productions.
Sonia me fit une fellation si parfaite que mon membre prit des dimensions flatteuses rarement atteintes, je sodomisais Sonia en levrette tout en lui branlant la chatte avec l’ivoire, j’accompagnais mon baisage d’encouragements et de flatteries pour ce corps docile qui s’offrait si généreusement.

Dans la salle j’en vis plusieurs qui la queue sortie se branlaient convulsivement, une femme que je reconnus être l’examinatrice initiale se pâmait sur son siège, deux doigts dans sa chatte, assistance muette, les regards fixes exorbités sur ma queue dans le beau cul au fond des fesses de Sonia qui d’un coup, contre toute déontologie se mit à jouir vraiment m’entraînant après elle vers le bonheur suprême, je sortis mon dard de son fourreau et j’éclaboussais ses fesses et son dos d’une incroyable moisson de ma semence. Sonia se releva, se pelotonna dans mes bras et me roula une pelle que seuls deux amants peuvent réussir à ce point.

Inutile de vous dire que je sortis premier de toutes ses épreuves si agréables et engagé sur les champs.

En sortant je fus abordé par mon examinatrice, son regard était fiévreux, son corps agité, je lui souris un peu inquiet malgré tout devant son désir qu’elle ne pouvait cacher, elle me prit la main et m’entraîna, Pierre moi c’est Gloria ! me dit-elle dans un souffle.

Je me laissais guider et la suivi sous un porche puis dans un escalier de bois craquant sous nos pas, derrière elle j’admirais son allure et ne pouvant réprimer mon envie je passais ma main sous sa jupe entre ses cuisses et je pris sa grosse chatte pour la pétrir au gré des croisements de ses jambes parfaites. Chaque marche était un moment de bonheur exacerbant notre désir inassouvi durant cet instant merveilleux de la montée d’escalier avant de s’accoupler, le meilleur moment soit disant ?

Avant d’arriver sur son palier ma main avait franchi le frêle rempart de son slip et mes doigts s’enlisaient au plus profond de sa chatte baveuse prête pour les assauts amoureux qui suivirent. Rapidement j’avais pu glisser mon petit doigt dans son anus, les deux doigts suivant dans sa chatte et je pinçais le clitoris entre le pouce et l’index.

A chaque degré ses cuisses se croisaient confortant ma position entre ses fesses. Gloria semblait troublée et elle devait faire une pose en serrant ses cuisses. Sur le palier de son appartement son émoi fut tel que je crus un instant qu’elle n’arriverait pas à ouvrir sa porte, je m’étais plaqué sur elle par derrière en continuant mes caresses et je lui pétrissais les seins, lui baisait le cou.

Elle entra en ouragan dans son entrée, m’attirât dans un couloir me poussa dans une pièce, une chambre apparemment et me renversa sur le lit. En moins de temps qu’il le faut pour l’écrire elle avait sorti ma verge et à califourchon sur moi elle s’empala dessus d’un coup et là elle tomba en pâmoison les yeux révulsés par la jouissance trop longtemps retenue.

Dans son hystérie elle variait son approche, soit par d’amples mouvements de son bassin elle allait et venait sur ma hampe pour s’écrouler ensuite sur moi, mon chibre planté jusqu’à la garde elle s’agitait alors en tout sens tordant ma queue dans sa vulve, mes couilles complétaient son bonheur en se vautrant entre ses grosses lèvres fracturées par ma pine.

Quand elle se calma c’est moi qui l’entreprit en la positionnant en position de levrette au bord du lit, je relevais sa jupe découvrant des fesses sublimes, des cuisses bien rondes gainées de bas noirs, je baissais sa culotte, crachais entre ses rotondités et après quelques va et viens de mon gland dans la vallée lubrifiée je la plantais dans sa chatte encore ouverte.

Elle se remit à jouir bruyamment cette fois et c’est dans un grand cri que je l’enculais. J’avais les yeux fixés sur cet orifice jouissif arrondi autour de mon énorme membre qui le défonçait et je me laissais aller, je sentis le plaisir monter de mon ventre aux couilles avant de monter comme les bulles d’un champagne dans mon pieu et d’éclater dans son derrière. Nous avions trouvé notre plaisir, fulgurant. Satisfaits de nous, dans les bras l’un de l’autre nous retrouvèrent notre calme en nous roulant une pelle.
« Je ne sais ce qui me prends dit Gloria jamais je ne me laisse aller avec un candidat, c’est incompréhensible ! Qu’as-tu donc de plus que les autres ? »

« J’aime baiser ! j’aime les femmes, elles le devinent et je ne les déçois pas, tu étais bien ? »

« Tu ne l’as pas vu ? »

« Si, tu baises bien toi aussi, j’avais du plaisir à te faire jouir avant de te rejoindre ! »

« Nous nous reverrons Pierre, je vais m’occuper de toi, de ta carrière, pas d’ethnologue mais celle de baiseur professionnel, tu veux »

« Je veux bien, merci ! »

« De temps à autre tu n’oublieras pas ta grande Gloria »

« Promis ! »

Elle s’occupa bien de moi, en quelques semaines je devins la vedette de la production, baisant en panavision les plus belles gonzesses de la profession qui se battaient pour m’avoir. A ce train, je fis rapidement fortune repoussant à plus tard ma conquête des civilisations.

Par reconnaissance et par plaisir je retrouvais de temps à autres Brigitte, Sonia et Gloria dont j’étais devenu le dieu. Malgré mon savoir faire j’appris avec mes trois amies des positions inédites que je reproduisais dans mes films.

Plusieurs fois je retournais dans la salle où j’avais découvert le Porno pour voir l’effet que je produisais sur les vieux vicieux de l’endroit et c’est ainsi, alors que je visionnais une scène où j’étais à mon avantage que j’entendis
« Vous ! Vous ici ! Je rêve ? »

Je me rappelais de celle avec qui j’avais fait l’amour dans cette salle après qu’elle m’eut sucé la queue, je regardais souvent la carte de visite qu’elle avait glissée dans ma poche. Colette ! elle était toujours aussi belle, aussi désirable, avec de la noblesse dans ses attitudes, dans sa voix. Elle me fixait hésitante dans la pénombre de l’allée. Je lui dit :
« Colette ! vous vous asseyez un instant je suis heureux de vous revoir ! »

« Moi aussi j’étais résignée à vous perdre, je me contentais de vous voir avec d’autres.... »

On nous intima le silence et Colette vint à mes côtés et sans se concerter nos bouches s’unirent, nos langues se mêlèrent pour un baiser mouillé. Cela présageait bien de notre avenir proche.
« J’aimerais que tu me baises comme dans tes films.....pas ici bien sur.... viendrais tu chez moi ?....oui.....allez on y va !.....merci Pierre ! »

Je la suivis, qu’elle était belle, je la voyais pour la première fois à la lumière du jour, il faisait beau, elle était resplendissante. C’était beau chez elle, Colette devait appartenir à la classe des bourgeois aisés, tout dénotait un goût extrême, la décoration raffinée, la chambre ? Une chambre de femme qui sentait bon. Elle m’installa près du lit devant une glace immense
« Tu permets qu’on se voit faire l’amour ? »

« oui c’est excitant ! j’aime moi aussi !»

« On pourrait se filmer, j’aurais ainsi un souvenir de toi, Tu veux ? »

« Si tu veux Colette, pour te faire plaisir ! »

Elle était aux anges et délicatement elle me baissa mon pantalon, une petite caresse pour vérifier si elle me faisait bander, le slip suivi le pantalon et sa bouche s’avança vers mon membre dressé.

Accroupie, une heure durant elle me suça de toutes les façons possibles, manifestement elle semblait heureuse de reproduire devant le miroir les images projetées sur les écrans des cinéma spécialisés ; elle avait une capacité d’absorption hors norme qui lui permis de me prendre presque entièrement dans sa bouche, lèvres serrées sur ma hampe, joues creusées pour m’aspirer.

Sa langue et ses doigts avaient une telle ingéniosité qu’à plusieurs reprises je dû me retirer pour ne pas éjaculer. Dans ces instants elle était fière du pouvoir qu’elle avait sur moi. Avec ses mains elle me palpait les bourses et un doigt mouillé lutin me perfora l’anus. Je la laissais faire, elle était ardente, c’était étrange de voir un si beau visage et cette grosse bite qui la défigurait en s’agitant entre de si belles lèvres.

En mon for intérieur je pensais que cette scène aurait beaucoup de succès dans les salles obscures. Pour ne pas être en reste j’avais glissé mon pied entre ses cuisses et je lui massais la chatte insidieusement. Au bout d’un instant cela lui fit de l’effet et elle commença à s’agiter sur lui, ses caresses devinrent plus nerveuses, les sourires devinrent rictus, ses soupirs plaintes, ses yeux plongèrent dans une sorte d’extase.

Je décidais d’intervenir, je la relevais la retournais, relevant sa robe dénudant sa croupe, je baissais son adorable petite culotte et sans préparation je glissais mon membre dans sa chatte et m’agitait en elle, ouverte, toute mouillée, elle était prête à me recevoir. Colette tournait la tête friande du spectacle que nous donnions, le miroir de qualité renvoyait notre image, c’était beau à voir, ce fut encore plus excitant quand mimant un viol je la mis nue, arrachant ses vêtements ne lui laissant que ses bas et un petit porte- jarretelles qui ornait par l’arrière ses fesses superbes dans une fenêtre de soie sombre.

Elle voulait du spectacle ! je lui en donnais, debout, penchée sur le lit, sa taille serrée entre mes mains on pouvait voir mon dard aller et venir entre une fourrure discrète, apparemment soignée et entretenue. Je la fis jouir maintes et maintes fois, de plus en plus fort, je la manipulais en toutes positions comme une poupée consentante. J’étais nu moi aussi, assis sur le lit, elle était assise sur moi, face au miroir et elle fixait cette grosse bite qui ravageait sa chatte, la fourrure écartelée, les grosses lèvres déformées pointées d’un clitoris bandé. Cuisses ouvertes, jambes repliées, les pieds en appui sur le lit de chaque côté de mes fesses, nous nous entendions à merveilles par des mouvements antagonistes pour faire coulisser ma verge dans sa vulve.

Elle semblait envoûtée par la vue de ce membre qui la défonçait et dont elle sentait tous les bienfaits, nous ponctuions chaque pénétration d’un petit cri ne sachant plus en fin de compte qui donnait le tempo. A un moment, lors d’une ondulation un peu ample, ma queue sortit de son écrin béant au milieu de sa toison écartelée et sans aucune intervention, idéalement pointé, après une petite glissade dans la raie des fesses il se recentra pour mieux recommencer sa danse.

Cet incident involontaire sembla nous plaire puisque d’une entente commune nous nous efforcèrent de le reproduire et la sensation devint encore plus enivrantes. L’instant le plus délicieux c’est lorsque mon gland se frayait un passage entre les lèvres charnues prêtes à l’accueillir.

Colette devint comme folle et à chaque pénétration elle poussait une sorte de feulement continu qui durait en s’infléchissant pour mieux reprendre de plus en plus fort quand elle voyait disparaître la tête de mon nœud dans son intimité. Elle se mit à jouir puissamment et nos effusions devinrent plus erratiques, plus saccadées, moins régulières, plus profondes aussi.

On pouvait voir mes couilles dodeliner avant de fouetter son cul. Quand l’orgasme de mon amante fut au zénith tout se dérégla, la volonté, l’application furent balayées par un tsunami de plaisir, noyées par cette vague qui d’un coup submerge tout. L’un dans l’autre, Colette se vautra sur moi et se fit jouir ainsi ma queue au plus profond de son vagin. Au bout d’un long moment elle s’apaisa avec de temps à autre un soubresaut une petite réminiscence de plaisir. Elle retrouva peu à peu, sa lucidité, son sourire et apparemment une nouvelle soif de plaisir.


Préférant le plaisir au spectacle elle se leva et se retourna vers moi, elle s’ouvrit en me chevauchant, je sentis qu’elle me prenait la verge, avec une main passée entre ses fesses et quand elle s’abaissa je compris que j’avais changé d’étui, j’étais dans son cul et j’y étais bien, bien a fond. Colette m’avait prit dans ses bras et c’est elle qui se branla sur moi.

Moi je voyais tout ; que c’était beau cette queue forçant un si mignon orifice. Je sentais sa jeune poitrine, ses seins durs me caresser la poitrine au rythme des montées et descentes vertigineuses de sa croupe sur mon dard, je lui pris la langue et l’enroulant profondément dans la mienne. Parfois comme dans l’autre position ma queue sortait de son fourreau et n’avait aucun mal à rejoindre son puits dilaté.

J’avoue que moi aussi j’appréciais l’instant où mon gland décalotté forçait le passage de ce cul toujours béant sur un monde de ténèbres. Soutenant Colette, mes mains sous ses fesses, je fis en sorte de diminuer l’amplitude verticale de ses reptations de manière à ce que mon gland seul aille et vienne en elle. Sensation nouvelle appréciée par ma complice qui me serra très fort contre elle en grognant de plaisir. La cadence s’accéléra, je voyais ma queue, mes couilles à l’air au milieu de deux fesses magnifiques écartelées.

De temps à autre interrompant un instant le titillement de mon gland à l’entrée de son cul, je laissais tomber brusquement cette croupe sur mes cuisses pour pénétrer cette fois mon membre au plus profond de son fondement, je la relevais pour reprendre le boutonnage jouissif en accélérant la cadence. Colette avait perdu conscience et jouissait en continu.

Un événement vint pimenter notre plaisir, à chaque fois qu’après avoir sorti ma queue de son fourreau je la laissais tomber sur moi, son cul se mettait à chanter, à siffler en un bruit d’air expulsé. Au bout d’un long moment je dus interrompre ce concert car Colette serait morte de plaisir dans mes bras et je n’aurai pu me retenir de jouir. Nous eurent un court répit mais je fus surpris d’entendre ma Colette me prier :
« Baise moi encore Pierre, baise ta petite Colette, je veux jouir encore avec ta grosse queue, soit inventif comme dans tes films, prends moi comme une pute, aller viens près de moi ! ouiiiii.... merci Pierre ! tu es beau ! je t’aime ! Ouiiiiii ! »

Allongés je la pris de toutes les façons, elle était comme un jouet obnubilée par son seul plaisir. Jamais je n’avais fait jouir une femme si souvent, si longtemps et si fort. Elle s’était mise à califourchon sur moi, cuisses écartées et se pistonnait allègrement la vulve, à fond elle s’agitait comme une folle, folle ! c’était cela, folle de moi et du plaisir qu’elle prenait. Je ne résistais plus et j’allais moi aussi plonger dans le bonheur mais pour lui faire profiter de cet instant magique je l’avertis
« Ahhh Colette tu me fais jouir, c’est bon, tu es bonne, jamais je n’ai été aussi bien, Ahhhhh ouiiii je sens mon sperm qui monte, je vais t’inonder.. te remplir la chatte de mon foutre......Ouiiiiiii.....branle moi bien... serre toi sur moi....ahhh c’est bon......je pars.... rejoins moi.... jouis avec moi.....Ouiiiiiii..... »

Mon discours déchaîna Colette et quand j’éjaculais en elle au plus profond de sa chatte, ses yeux se révulsèrent, sa bouche se tordit du plaisir qui explosa en elle. Ce fut fulgurant et ce moment d’extase commun nous laissa comme anéantis et nous nous écroulèrent sur la couche enlacés, nus et heureux. Le sommeil nous prit sans prévenir.

Elle voulait s’encanailler, elle fut servie ; dans les jours qui suivirent nous multiplièrent nos rencontres et je la fis jouir dans de nombreuses situations scabreuses. C’est ce qu’elle appréciait le plus. Je la baisais sous des portes cochères en plein jour ; nous choisissions des lignes de métro bondées aux heures de pointes et serrés l’un contre l’autre je la pris par devant ou par derrière.

Je l’incitais à agiter ses fesses sur des adolescents boutonneux, certains en profitèrent pour passer leur mains sous sa culotte, l’un d’entre eux eut le culot de mettre son membre dans sa main et d’éjaculer sur sa robe. Je revois encore leurs têtes quand ils cherchaient à la suivre aux correspondances comme des jeunes chiens. Je lui fit un anilingus dans un ascenseur, je la fis se promener sans culotte, pour mieux la baiser à la sauvette dans des jardins publics.

Nous entrions dans des cafés un peu louches et nous nous enfermions dans les toilettes où je la prenais jupe rabattue en levrette penchée sur les sanitaires les mains sur le tuyau de la chasse d’eau. Dans un bistro on frappa à la porte au moment où nous étions en pleine action et le quidam voulu s’inviter à la fête.

Je laissais le soin à Colette de décider si elle voulait profiter de l’occasion, l’individu avait sorti sa verge, Colette lui présenta ses fesses et avant que l’intrus ne la sodomise je n’eus que le temps de dérouler un préservatif sur son organe. En trois allers et retours il se mit à jouir en grognant tandis que Colette me suçait. Je dus dire au mec de continuer de la branler, ce qu’il fit dans sa chatte cette fois pour le plus grand plaisir de ma protégée. Le gars repartit comme il était venu, un sourire béat aux lèvres.

C’est Colette qui amena un jour la conversation sur les clubs échangistes, inquiète elle me demanda de quoi il en retournait. Je lui expliquais que ces lieux étaient de plus en plus fréquentés par des gens bien élevés qui venaient de leur plein gré pimenter leur libido. Ils venaient en couple ou seuls ou seules, chacun ne faisant que ce qui lui plaisait avec qui le voulait. On pouvait venir simplement pour voir les groupes s’accoupler dans toutes les positions, rien que cela valait le déplacement et pour une somme modique on passait des heures agréables. Elle me dit :
« Tu crois que je suis prête pour ça ? »

« C’est à toi de décider, mais si tu viens, curieuse comme tu es, et avec ton châssis tu aurais du succès et un plaisir nouveau, très spécial ! »

« tu ne serais pas jaloux ? »

« Jaloux ! moi.... non, au contraire, j’aimerais te voir baisée par un inconnu. D’ailleurs tu dois bien te douter que je suis vite remarqué dans ces assemblées et que je suis assailli par une meute de femmes qui veulent le même traitement que mes partenaires du porno »

« Si je peux me mêler à elles, je suis d’accord d’essayer, mais sous ta protection ! »

Ce fut dit et un après midi je l’emmenais dans un club que je savais bien fréquenté, c’est Gloria qui me l’avait particulièrement recommandé.
Dés notre entrée le lieu nous plut, c’était une sorte de salon, de bistro où des hommes et des femmes élégamment vêtus consommaient en bavardant, la lumière tamisée donnait une certaine intimité propice aux rencontres.

Chacun observait discrètement son voisinage. Mais le spectacle était ailleurs, aux étages que l’on gagnait par des escaliers discrets. De temps à autre une personne seule, homme, femme ou des groupes montaient. Après avoir bu quelques coupes de champagne avec Colette nous montèrent à notre tour, légèrement émoustillés par l’alcool et la curiosité.

Elle n’était pas très rassurée mais je connaissais son attirance pour des situations scabreuses. A l’étage l’ambiance était tout autre, seules des boules tournantes de verre à facettes pendues au plafond diffusaient une faible clarté colorée, des gémissements venaient des nombreuses alcôves que l’on devinait aménagées de manière anarchique. Des corps nus passaient de l’une à l’autre.

A chaque étage un vestiaire permettait de se mettre à l’aise en se mettant nu immédiatement ou par étapes au gré de la montée de son désir et des occasions. Certains circulaient habillés et s’arrêtaient pour regarder les corps qui forniquaient. C’est ce que nous firent avec Colette qui voulait connaître les usages avant de participer. C’était beau ces couples qui sans aucune gêne se donnaient du plaisir.

De nombreuses parties carrées où des couples dans la vie s’associaient à d’autres venus comme eux changer leurs habitudes. En général ils étaient enlacés à quatre dans un grand lit et s’en donnaient à cœur joie, le plus souvent dans une joyeuse ambiance. Il y avait des femmes névrosées qui se faisait fourrer à tour de rôles par des groupes d’hommes qui lorsqu’ils n’étaient pas en situation se faisaient branler ou sucer par la nymphomane.

Il y avait des hommes qui se promenaient nus cherchant fortune, s’ils étaient beaux, grands, bien membrés il ne restait pas longtemps disponibles agrippés, attirés vers les alcôves pour rejoindre des groupes ou par des femmes qui à plusieurs allaient le dessécher en s’offrant tour à tour.
« Vous me plaisez beaucoup savez vous ! »

C’est un homme qui nous abordait, nu, la verge dressée, dans la pénombre on devinait un corps parfait.
« Je suis Stéphane, vous permettez ! » dit il en s’adressant à nous. Et sans attendre il enlaça Colette en lui prenant la bouche, déjà ses mains lui malaxaient les fesses sur sa robe. Elle se laissa faire et je les suivi dans un angle de la pièce.

Dans le lit une femme était allongée, seule elle se masturbait, les yeux dans le vague. Le temps de l’observer je me retournais vers l’homme et Colette, il était déjà la tête entre ses cuisses en train de sucer sa chatte. Le savoir faire de sa langue devait être exceptionnel car ma Colette s’abandonnait déjà, allongée les fesses au bord de la couche sur le dos, les bras en croix, elle ondulait en gémissant cuisses ouvertes. Je me préparais en me mettant nu, je bandais ferme excité par la situation.

A côté cela avait rapidement évolué, Stéphane debout au bord du lit baisait frénétiquement ma Colette en pâmoison ; Il lui avait relevé les fesses, les cuisses relevées en appui sur ses épaules et il limait comme un fou avec sa queue dans sa chatte. Ma voisine sortant de sa torpeur, s’installa à califourchon, tournant le dos à Stéphane, son entre cuisses au dessus de la tête de Colette
« Faits moi jouir ma beauté.... lèche bien ma chatte.....ouiiii....tu comprends vite....c’est bon, une bonne langue.....Ouiiiii.... continue....enfonce toi bien.....agite la.....ahhhhhh je jouis.....ah petite salope tu en prends plein ton petit cul toi aussi, on a de la veine d’avoir sous la main deux garçons bien membrés...
En me reliquant elle me dit : Approches toi que je te suce.....bigre quel membre !....»

Nous commencions à nous entendre tous les quatre, chacun trouvant son plaisir, ma comparse me suçait bien tout en me palpant les parties. Le gars inventif tout en baisant durement Colette pelotait ses seins d’une main et avec l’autre, d’un doigt mouillé il sodomisait ma suceuse dont la bouche devint plus agressive pour mon plus grand plaisir.

A un moment je compris que Stéphane avait changé d’étui. Colette n’avait pas l’air de s’en plaindre, cela me donna l’idée de me retirer de la bouche vorace, d’enjamber le trio prenant ma suceuse par l’arrière je lui relevais un peu la croupe et d’un coup je l’enculais tout en lui palpant les seins qui dodelinaient au rythme de la sodomie. Nous avions trouvé notre rythme de croisière. Après un long moment de baisage Stéphane voulant changer se retira se dégagea de nous et s’allongea sur le dos, pieu dressé
« Viens sur moi chérie, viens t’empaler sur ma verge ! »

Colette complètement subjuguée se mit en position face à lui et comme il le demandait, guida son dard entre les lèvres de sa chatte et doucement dans un long gémissement s’assit sur son ventre sa queue bien à fond . C’est elle qui maintenant se faisait jouir en ondulant, la vulve centrée sur le membre.

Je décidais de pimenter la scène et abandonnant ma compagne j’enjambais le couple en rut et à genoux me plaquais sur la croupe de Colette ma queue entre ses fesses. Malgré l’ardeur qu’elle mettait à jouir je n’eus guère de mal en écartant les deux rotondités à me centrer sur son anus entre ouvert par les assauts précédents et à m’y enfoncer.

Dans un premier temps la surprise fut totale pour Colette ignorant sans doute la possibilité d’une double pénétration, elle se serait retirée sans l’immense curiosité que nous lui connaissons, puis peu à peu la plénitude de cette possession fit son œuvre et l’orgasme se déclencha, le plaisir devint jouissance, la jouissance orgasme, l’orgasme hystérie, folie, elle devint un jouet pour ses deux bites qui foyaient ses entrailles, sensations nouvelles et intenses.

Attaquée de toutes parts, caressée par quatre mains sur son corps, ses seins, ses fesses, sa taille elle offrit sa bouche à Stéphane qui lui prit sa langue. En m’agitant en elle je sentais l’autre membre qui œuvrait de concert dans son ventre et je dus me retenir pour ne pas éclater.

Notre complice délaissée manifesta sa présence avec ses mains dans les trois entrecuisses, elle palpait nos couilles, nos verges quand elles sortaient l’espace d’un instant, elle titillait le clitoris de Colette, ajoutant à notre plaisir. Elles sortaient tour à tour nos membres pour mieux les introduire dans les orifices dilatés et baveux. Elle osa prendre le membre de Stéphane et au lieu le remettre à sa place présenta le gland plus haut et quand Stéphane poussa nous étions deux à l’aise dans l’anus de Colette, sur ce elle s’assit sur le dos de Colette face à moi et m’intima l’ordre de la faire jouir avec ma langue.

Quelle réussite après cette scène orgiaque nous devisions tous les quatre installés sur le lit. Colette voulut nous voir faire avec l’autre femme ce que nous lui avions fait pour son plus grand plaisir dit- elle. Nous découvrirent l’autre femme qui entre parenthèses se présenta être Nadine, elle était d’une beauté extraordinaire avec un corps de rêve, malgré la limpidité de ses yeux son regard un peu fixe laissait à penser qu’elle devait se shooter de temps à autres ; elle fut d’accord pour se faire baiser comme Colette et cette fois c’est moi qui m’allongea, Nadine s’installa à califourchon sur ma queue et quand Stéphane s’installa c’est Colette elle même qui lui prit le pénis pour le centrer sur l’anus de Nadine. De nouveau la suite fut délicieuse pour nous quatre et c’est Stéphane qui suça la chatte de Colette.

Nous commencions à être saturés de plaisir quand cinq ou six participants demandèrent à nous rejoindre. Que pouvions nous dire sinon oui. Parmi eux il y avait Gloria qui me présenta moi Pierre le dieu du Porno. Ce fut alors un beau bordel chacun baisant ce qui passait à sa portée, des chattes, des culs, des bouches. Dans l’anonyme mêlée je ne suis pas sûr que des bouches masculines n’en profitèrent pour sucer des bites ou laisser des queues remplir leur cul.

Peu importait, les femmes entres elles aussi se caressaient, certaines avait des godes, des sextoy et savaient leur pouvoir, les faisant vibrer entre les lèvres des chattes sous les clitos avant de les enfoncer vibrations à fond dans des chattes ou des culs, des culs mâles ou femelle. Gloria fit en sorte de bien profiter au maximum de moi et Colette s’en apercevant devinant une rivale se joignit à elle pour me faire jouir.

Elles ne me lâchèrent qu’après m’avoir à tour de rôle fait éjaculer plusieurs fois. Tout cela finit par épuisement des participants et quand nous nous retrouvèrent tous dans la rue, nul passant ne pouvait se douter de ce que nous avions si bien fait. Nous nous découvrions à la lumière du jour, des beaux, des belles, des moins servis par la nature, mais tous des gens comme il faut, bien élevés avec une vie réglée......sauf.....l’instant d’avant où laissant à l’entrée notre habit de dignité nous nous étions comportés comme des bêtes en rut.

Je demandais à Colette son impression, elle était enchantée et ne demandait qu’une chose recommencer, avec moi, avec d’autres, dans d’autres boîtes. Elle m’avoua qu’elle avait pris un immense plaisir quand nos deux queues l’avaient perforée. Elle m’avoua aussi qu’une participante l’avait bien fait jouir aussi avec sa bouche et ses doigts. Elle me dit merci et m’embrassa chastement.


Un jour Colette me surprit en disant :
« Il va falloir être plus prudent, mon mari est de retour ! »

« Ton mari ?dis je interloqué »

« Oui, je suis mariée, avec l’ambassadeur français au Grattemoila, il est souvent parti ! »

« Il baise bien ? »

« Rien à voir avec toi, rassure toi, je m’arrangerais pour qu’on se voit ! »

« Je suis rassuré, tu sais que pour baiser je ne manque pas d’occasions, Je veux te faire plaisir ! »

« Tu ne m’aime pas ? »

« J’aime te baiser ! »

« Ah mon Pierre, je t’aime moi, si tu veux je t’aimerais pour deux ! »

C’est ce qu’elle fit et nous eurent toujours le même plaisir à nous rencontrer pour passer de bons moments ensemble, la plupart du temps dans les chambres luxueuses d’hôtels de grand standing. Je savais que de temps à autres, seules elle se rendait dans les boîtes où l’on peut jouir avec des inconnus. C’est Gloria qui me dit qu’elle se faisait une solide réputation de baiseuse et qu’il ne faudrait pas grand chose pour qu’elle participe à des films pornographiques. Seule la peur d’être reconnue par son mari ou des amis la retenait encore.
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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : Acteur de charme

Le 25/10/2009 - 12:12 par Pierre le Grand
Cette histoire fait suite à Babyboo chérie noire, infirmière. Si vous aimez mes histoires. Inscrivez-vous: Un pseudo, un mot de passe, cliquer, c'est fait. Connectez vous en rappelant vos coordonnées. Cliquez sur auteurs, puis sur P comme Pierre le Grand Là vous aurez mes douzes histoires très variées pour votre plaisir et votre excitation car j'aime être lu. Vous pourrez même écrire un commentaire Pierre le Grand.

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