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Admission à l'internat

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Lue : 21860 fois - Commentaire(s) : 8 - Histoire postée le 24/10/2014

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Je m’appelle Anne-Laure, j’ai 45 ans, ronde sans plus, avec de belles formes, mariée, 2 enfants (une fille de 20 ans, un garçon de 19 ans). Mon récit se situe en 2009, lorsque mon fils a intégré une école d’ingénieurs à Bordeaux. A l’époque, nous habitions Toulouse.

L’école dans laquelle il est admis étant sensée assurer le logement des élèves, nous avons été très étonnés de recevoir, fin juillet, un courrier nous avertissant qu’en raison de travaux, une partie des nouveaux élèves (dont notre fils) ne pourrait pas être logée par l’établissement et que nous devions rechercher par nous même un logement pour notre fils dans les environs du campus.

Je prends donc contact avec des agences immobilières et je trouve quelques studios qui pourraient faire l’affaire. Après rendez-vous, je les visite, ils sont chers, souvent sales, situés loin de l’école. Je ne peux pas accepter cette situation. Je décide de prendre rendez-vous pour rencontrer le directeur de l’école. Je me renseigne sur ce monsieur et j’apprends qu’il ne serait pas insensible au charme féminin. Il m’accorde un rendez-vous la semaine précédant la rentrée ! Je dois donc absolument obtenir satisfaction.

Le jour convenu, je me rends à l’école où après m’être présentée, la secrétaire me fait asseoir pour attendre le directeur. C’est encore l’été, je porte une petite robe noire, à laquelle j’ai ajouté une large ceinture rouge. Ma robe est entièrement boutonnée devant, enfin presque car j’ai volontairement omis d’attacher les quatre boutons les plus bas, pour simuler une robe fendue. Malgré la chaleur, j’ai enfilé des bas noirs à couture, maintenus par un porte-jarretelles en dentelle rouge, soutien-gorge "seins nus" et string assortis. Je suis comme dit mon mari "parfaitement bandante".

Après une bonne ½ heure d’attente, le directeur me reçoit, c’est un petit bonhomme d’une bonne cinquantaine d’années, en costume sombre, avec des lunettes, peu de cheveux, l’air sévère. Il vient me chercher et me tend la main, je me lève et la lui serre, il me propose de passer dans son bureau et m’invite à le précéder, ce qui lui permet, je suppose, d’admirer mon arrière-train. Il m’invite à m’asseoir, mais alors que je me dirige vers un petit fauteuil face à son bureau, il m’indique de prendre place autour d’une table basse, que je n’avais pas vue auparavant, dans un large fauteuil et il s’assoit face à moi. En m’asseyant, les deux pans de ma robe laissés libres par les boutons non fermés s’écartent et je les rassemble lentement, laissant à mon vis-à-vis le temps d’admirer mes cuisses et de constater que je porte des bas. Je vois qu’il m’évalue pendant qu’il me demande de lui préciser l’objet de ma visite. Je lui expose les problèmes que je rencontre, pendant qu’il me déshabille du regard, j’en profite pour croiser de temps en temps les jambes tout en ramenant négligemment ma robe dans une position correcte, ce qui amène quelques rougeurs sur les joues de mon interlocuteur qui n’en pouvant plus me dit :
- Madame, je comprends totalement les problèmes que vous rencontrez mais malheureusement je ne peux rien faire pour vous et pourtant, croyez que j’aimerais beaucoup vous être agréable ….

Je croise une nouvelle fois mes jambes mais cette fois-ci, je ne repositionne pas ma robe, je le laisse admirer mes cuisses et je pense qu’il voit jusqu’à mon string. Il devient tout rouge et reprend :
- A moins que ….

J’écarte un peu plus mes jambes, faisant apparaître mes jarretelles. Il rougit de plus en plus et me dit :
- Vous êtes prête à quoi pour obtenir satisfaction ?
- A être très très gentille avec vous.
- Quand ?
- Aujourd’hui même, vous pouvez me prendre sur votre bureau si vous le désirez ! Mais avant, je veux un papier certifiant que vous acceptez de loger mon fils.

En disant cela, j’ai ouvert les boutons du haut de ma robe dévoilant mon soutien-gorge et mes seins dans leur présentoir.
Il devient de plus en plus rouge et il me dit alors :
- Devant l’importance des arguments que vous me présentez, je ne peux que vous donner satisfaction. Ne bougez pas, je reviens. Il se rend au secrétariat et j’entends qu’il dit à la secrétaire :
- Cendrine, le fils de madame présente un cas tout à fait digne d’intérêt, préparez-moi une lettre d’admission à l’internat le concernant, je vais la signer immédiatement et la remettre à sa maman, ensuite cette dame a des questions importantes à me poser, soyez gentille de nous déranger sous aucun prétexte.

Quelques minutes après, il revient, lettre à la main, signée et enregistrée et me la remet.
Je le remercie. Il me dit :
- Durant notre conversation, j’ai eu le plaisir d’apercevoir furtivement vos dessous qui semblent pour le moins affriolants, auriez-vous l’amabilité de retrousser votre robe jusqu’à la taille afin que je puisse les découvrir plus sereinement ?
- Bien sûr et je relève ma robe lentement jusqu’à la ceinture. Il dit :
- Magnifique ! Vous portez un string, je suppose ?
- Oui, vous aimez ?
- J’adore. Et il s’approche, passe la main sur mes cuisses à la lisière des bas, puis remonte, écarte délicatement la dentelle du string et introduit deux ou trois doigts dans ma minette, puis il les retire et les porte à sa bouche pour les lécher. Je lui souris, me retourne et relève ma robe pour lui présenter mes fesses qu’il embrasse et caresse lentement puis il m’introduit un doigt dans l’anus et sans plus perdre de temps il ouvre sa braguette et sort son sexe. Je m’agenouille devant lui, attrape sa verge avec ma main gauche, recouvre son gland de mes lèvres en le titillant avec ma langue et lui caresse les boules avec ma main droite, je sens sa bite durcir et gonfler et je commence de lents va et vient sur sa hampe tout en le regardant dans les yeux, je l’engloutis jusqu’au fond de ma gorge, je serre mes lèvres et mes doigts autour de cette queue déjà bien dure, pour lui donner plus de plaisir et j’augmente la vitesse des aller-retour tout en lui enfonçant à mon tour un doigt dans le cul. Je vois son étonnement et constate au râle qu’il pousse que ça lui plait.

Il me regarde le sucer en pelotant mes seins et titillant mes aréoles, mon doigt toujours dans son cul. Il est maintenant bien bandé, il possède un engin de taille moyenne, 13 à 14 cm, mais assez épais.
Il me repousse doucement la tête et me dit :
- Vous sucez divinement bien mais j’ai très envie de vous posséder. Je me relève, il défait l’ensemble des boutons de ma robe qu’il retire, pose robe et ceinture sur le fauteuil, lèche mes mamelons en caressant mes seins d’une main et mes fesses de l’autre, puis il retire mon string, je me retrouve en porte-jarretelles, bas et talons hauts dans le bureau du directeur qui bande comme un âne !

Je ne pourrais pas raconter cette anecdote à mon fils !
Il m’emmène dans la pièce d’à côté (à cause du bruit possible) se met à genoux, me demande d’écarter les cuisses et commence à lécher mon minou, appuyant sa langue sur mes petites lèvres, s’introduisant dans mon vagin comme s’il m’embrassait, remontant sur mon clitoris qu’il suce avec sa langue de plus en plus rapidement, m’arrachant des râles de plaisir, il comprend que tout cela m’a bien excitée et que je ne vais pas tarder à jouir, il s’acharne sur mon clito et quelques minutes après il parvient à ses fins, j’ai un long orgasme, il a réussi à me faire mouiller, il peut goûter ma cyprine. Il se relève, me sourit et me retourne en me demandant de m’appuyer sur la photocopieuse, je comprends qu’il va me prendre en levrette, mais quel trou va-t-il choisir ?

Il se dirige vers ma chatte qu’il pénètre d’un seul coup de reins, enfonçant sa queue dans mon vagin bien humide jusqu’à la garde, ce qui m’arrache un cri de plaisir ! Il me prend les hanches et les seins et commence à me pilonner comme une machine, m’entraînant rapidement vers un second orgasme beaucoup plus intense que le premier. Lui n’a toujours pas jouis, il n’a l’air de rien ce petit bonhomme mais il est endurant, efficace et performant, il gagne à être connu ! Il me laisse reprendre mes esprits tout en restant bien au chaud au fond de mon vagin. Puis il commence à m’enfoncer ce que je pense être un doigt dans l’anus (il fallait bien que ça vienne, me dis-je). Mais ça ne peut pas être un doigt car c’est trop long, c’est certainement un gode de petit diamètre. Il me demande :
- Je ne vous fais pas trop souffrir ? Dites-moi si ça ne va pas.
- Non ça va, c’est quoi ?
- Un petit godemiché, qui est facilement entré, votre sphincter semble se dilater aisément, j’en déduis que vous avez l’habitude de vous faire sodomiser, vous aimez ça ?
- Oui, j’adore !
- Bien, alors je continue.

Et il retire le petit gode, me met un doigt, puis un autre gode qu’il enfonce lentement, ce gode semble de plus en plus gros, je comprends que ce n’est pas un gode mais un plug anal qui doit être de large diamètre car il me fait mal pour rentrer. Lorsqu’il arrive au diamètre le plus grand, il s’arrête et continu de le déplacer très faiblement d’avant en arrière, afin d’habituer mon sphincter à laisser pénétrer un gros diamètre. Puis, sa bite toujours au fond de mon ventre, il retire le plug qu’il remplace immédiatement par sa queue qui s’enfile lentement entre mes fesses. Lorsque je sens ses couilles sur mes fesses, il a tout rentré, je pousse un soupir, c’est bon, il me remplit bien le cul. Alors, il se met en action et ses coups de boutoirs m’arrachent rapidement des cris de plaisir, très vite j’atteins un nouvel orgasme, plus violent que les autres, en même temps, il décharge entre mes reins, m’inondant de sa sauce. Nos soupirs et râles de plaisir se rejoignent. Je me dis qu’il est impossible que la secrétaire n’ait rien entendu.

Nous nous calmons, il réajuste son pantalon, ferme sa braguette, remet sa cravate, je remets mon string, réajuste mes bas, enfile ma robe dont je ferme, cette fois-ci, tous les boutons et attache ma ceinture, un coup de peigne et rien n’y parait plus.
Je range ma précieuse lettre dans mon sac, remercie le directeur qui me raccompagne par le secrétariat en me disant :
- C’était avec plaisir chère Madame, j’espère avoir l’occasion de vous revoir bientôt, n’hésitez surtout pas à venir si vous avez besoin de quoi que ce soit, je serai enchanté de vous recevoir !
Je vois un petit sourire qui en dit long sur le visage de la secrétaire !

Rentrée sur Toulouse, nous fêtons le soir même la réussite de ma démarche. Toute la famille est contente du succès de la négociatrice.
Vous comprendrez aisément que je ne me sois pas attardée sur les moyens dont j’ai usés pour réussir !
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Histoire de Annelor

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Commentaires du récit : Admission à l'internat

Le 15/11/2023 - 19:22 par picaro
tres belle histoire j'ai eu la chance que mon epouse couche avec mon superieur
Le 15/11/2023 - 19:19 par picaro
tres belle histoire j'ai eu la chance que mon epouse couche avec mon superieur
Le 02/02/2023 - 18:43 par Balista
C'est quand même l'avantage de la gent féminine, dans beaucoup de cas, elle arrive à ses fins, moyennant un moment agréable. J'imagine mal le père avoir le même succès, à moins que le dirlo soit de la jaquette fendue. Mais c'est pas trop courant.
Le 12/12/2022 - 09:39 par lucrece
Voilà une aventure qui m'inspire, même si je n'ai pas encore d'enfant. Lucrèce
Le 07/08/2021 - 05:20 par Darkelvi
Très belle histoire
Le 13/11/2014 - 13:46 par olibid
Histoire intéressante, bien racontée !
Le 27/10/2014 - 10:44 par Pierre le Grand
J'ai aimé moi aussi, comme Julie
Le 25/10/2014 - 17:48 par Julie592
Intéressante j'ai aimé ton histoire.

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