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Anthologie de mes plaisirs (3/5)

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Lue : 1680 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 04/05/2017

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Chapitre 3 : l’âge adulte, étudiante. Il n’y a pas d’adultère hors mariage, mais, jeune, l’adulte erre…

L’année de mes dix-huit ans, c’était mon tour de rentrer à la fac, j’avais choisi la géographie (j’aime explorer les terres inconnues). Mon frère Romain, ayant réussi son DUT entamait une licence pro en alternance dans l’est de la France, nous ne le reverrions qu’à Noël et 3 semaines en été… Théo était en dernière année de licence et s’était trouvé un nouveau colocataire. Estelle, en seconde année de licence de droit, logeait en colocation avec deux autres filles plutôt canon mais très studieuses (Audrey et Manon) ; elle ne les avait pas perverties. Lors de l’inscription, début juillet, j’ai rencontré une autre fille, Coralie, s’inscrivant dans le même cursus que moi et cherchant elle aussi à se loger. Elle semblait très timide et était surveillée de près par ses parents ; les miens me laissaient plus libres d’assumer ma majorité même si je dépendais d’eux financièrement. J’ai fait le premier pas vers elle et le courant a semblé passer. Comme nous avions des rendez-vous pour visiter des logements, mes parents ont proposé d’associer Coralie aux visites de l’après-midi. Dès la deuxième visite, nous avons trouvé un 3 pièces de 42 m2 avec kitchenette équipée à neuf (et même un lave-linge !) dans un décor neutre mais sympa et pas trop loin de l’université : 4 stations de tram ; le tout pour un prix qui convenait à nos parents. L’affaire s’est aussitôt faite, la propriétaire appréciant de voir les deux familles simultanément. Nous nous sommes échangé nos adresses courriel pour pouvoir faire un peu plus connaissance à distance durant l’été. C’est cet été-là que j’ai passé mon permis et l’ai obtenu. C’est aussi cet été-là que j’ai décidé de ne plus être vierge et me suis donnée à Théo qui possédait des préservatifs achetés sur le campus ; il ne pouvait pas les acheter à l’unique pharmacie du village, par souci de discrétion ! Ce fut bon et j’ai aimé l’acte qui m’a permis de jouir très agréablement mais toujours moins fort que lors de ma mémorable fessée. Théo était doux et prévenant envers moi, toujours prêt pour le sexe mais sans aucune imagination… mais je l’aimais bien et je pensais arriver à me satisfaire de nos rapports que je pimentais avec sa sœur.
La rentrée fut un tourbillon tant le rythme était dense. Ma cohabitation avec Coralie s’annonçait plutôt bien tant elle était attentive à ne pas me déranger et me demandait tout le temps l’autorisation pour tout ce qui pouvait me concerner : sa musique, l’occupation du frigo etc. Côté cuisine, nos goûts étaient proches et nous faisions le plus de repas possibles avec les boites ramenées de chez nos parents, avec de nombreux échanges. Pour la salle de bain, je l’occupais en premier le matin n’ayant aucun mal pour me lever et je l’appelais lorsque je sortais ; le temps qu’elle arrive, j’étais dans ma chambre. J’avais pourtant remarqué que, la plupart du temps, la porte de sa chambre était entrouverte. Quant au soir, nous restions habillées tant que nous étions ensemble ; nous avons beaucoup travaillé ensemble et j’avais beaucoup d’amitié pour elle. Plus je la regardais, plus je la trouvais jolie : un peu plus grande que moi avec des cheveux auburn billant dans la lumière, une poitrine qui semblait un peu plus ronde que la mienne, des fesses prononcées mais pas proéminentes… Pour autant je n’avais pas de pensée perverse, pas encore.
Cela faisait deux mois que nous étions rentrées quand un matin, sortant de la salle de bain en petite tenue (culotte et soutien-gorge bien sages), je l’ai découverte dans la salle, en pyjama, qui attendait la place. J’ai eu l’impression qu’elle était gênée de me voir ainsi. Cependant, dès le lendemain, elle attendait à nouveau devant la salle d’eau… Je me suis alors dépêchée de m’habiller et suis allée préparer le petit déjeuner en guettant, discrètement, sa propre sortie. Elle est sortie toute habillée. Le lendemain, pressentant qu’il en serait de même, je n’ai pas pris de soutien-gorge et suis sortie de la salle de bain torse nu. Bien sûr, elle était là, et je l’ai vue bouche bée, comme tétanisée. Riant intérieurement, j’ai fait comme si je n’avais rien remarqué et ai simplement dit « j’ai oublié mon soutien-gorge ». Ce soir-là nous avons fini notre travail assez tôt (21 h 30) et elle est partie dans sa chambre. J’ai attendu quelques minutes et je suis entrée dans sa chambre, sans frapper. Elle était encore en pantalon et n’avait enlevé que son tee-shirt. En me voyant, elle est devenue cramoisie. J’ai été autoritaire et lui ai dit de s’asseoir sur son lit, à côté de moi, car je voulais lui parler sérieusement. Elle a obéi en attrapant son tee-shirt pour le remettre. Je l’ai arrêtée, en lui disant que c’était justement là le sujet. J’ai abordé les choses de front :
- Depuis un bon moment, tu me mates derrière ta porte quand je sors de la salle de bain et depuis deux jours tu vas jusqu’à m’attendre devant la porte. Ce matin, j’ai volontairement oublié mon soutif pour voir ta tête. Je n’ai pas été déçue. Alors soit tu es gênée de me voir ainsi et tu le dis, sois tu en as envie et, là aussi, tu le dis. En tout cas, je ne suis pas mécontente de te voir en soutif car t’es plutôt mignonne !
Après un temps de silence où elle gardait les yeux baissés, j’ai repris la parole :
- Alors, qu’est-ce que tu en dis ?
- Je suis désolée m’a-t-elle dit en pleurant. J’ai honte de me comporter ainsi mais c’est vrai que j’aime te voir. Je te promets d’arrêter si tu me pardonnes.
- Je ne sais pas si je vais te pardonner, car je n’aime pas quand c’est pas franc. En tout cas, nous ne sommes pas à égalité, car moi je n’ai rien vu et je n’ai pas espionné. Alors t’as intérêt à baisser ce pantalon et retirer ce soutien-gorge immédiatement, ai-je fini sur un ton autoritaire.
Comme une petite prise en faute, elle a obtempéré tout en gardant la tête baissée. Elle était debout devant moi, je lui ai dit de me regarder. Je me suis levée et déshabillée aussi ne gardant, comme elle, que ma culotte. Je me suis rassise sur son lit, devant elle et, alors qu’elle ne s’y attendait pas, je lui ai enlevé sa culotte ayant ma tête devant sa chatte. Son pubis était roux, flamboyant, sa vulve un peu épaisse avec des grandes lèvres s’écartant naturellement. Elle a docilement levé les pieds pour que je la lui retire totalement. J’ai passé le bout de mes doigts sur cette jolie chatte puis me suis levée, lui disant de s’agenouiller devant moi. Une fois qu’elle a eu obéi, je lui ai ordonné de me déculotter. J’ai, moi aussi, levé les pieds pour être libre de tout vêtement et me suis positionnée jambes écartées.
- Caresse-moi et fais-moi jouir. Ce sera ta punition pour m’avoir espionnée.
- Oui !
- Oui qui ?
- Oui Aude !
Je me suis allongée et l’ai laissé me caresser, sans rien faire. Lorsque mon plaisir a commencé à se faire sentir, je lui ai ordonné de finir avec sa bouche. Elle a semblé désappointée. J’ai attrapé sa tête et l’ai positionnée sur ma chate en lui disant « suce et tais-toi ! ». Comme elle n’approchait pas assez vite à mon goût, je lui ai claqué les fesses. J’ai adoré cette situation de domination et j’ai joui extrêmement fort. Elle a continué de me caresser doucement. J’ai alors tout arrêté, l’ai fait se mettre à genoux sur son lit et lui ai dit de poser sa tête sur ses bras et d’écarter les jambes. Je l’ai fessée. Plus ses fesses rougissaient, plus elle gémissait. Quand j’ai vu sa cyprine couler le long de ses cuisses, j’ai arrêté de taper, lui ai mis mon pouce dans l’anus et l’ai caressée avec les autres doigts, mon autre main s’occupant de ses seins. Moins d’une minute a suffi pour qu’elle jouisse en criant. Je l’ai alors retournée, allongée sur le dos. Elle me regardait, encore étonnée. Je me suis penchée sur elle et l’ai embrassée tendrement.
- Coralie, je te pardonne mais j’y mets des conditions. Dorénavant, tant que nous serons dans l’appartement, tu ne porteras qu’une petite culotte et tu m’obéiras en tout point au niveau sexuel. Maintenant, raconte-moi tout de ta vie sexuelle.
Elle m’a raconté qu’elle n’avait aucune expérience, même pas un baiser. Elle trouvait les garçons porcs et ses copines ou trop dévergondées ou nian nian… Elle était aussi assez prude et avait du mal à être nue mais mon corps l’avait attiré sans qu’elle sache pourquoi.
Je l’ai à nouveau embrassée et elle m’a rendu mon baiser puis nous sommes allées nous coucher dans nos lits respectifs. Le lendemain matin, je suis sortie nue de la salle de bain. Elle attendait la place, en pyjama ; je me suis approchée d’elle et l’ai giflée en lui rappelant qu’elle devait toujours être au moins torse nu en ma présence. Elle s’est empressée de défaire son haut en pleurant. Je lui ai alors dit que je lui interdisais de fermer la porte de la salle d’eau quand elle se lavait. Elle est entrée dans la salle d’eau, s’est déshabillée devant moi et s’est douchée sous mes yeux. Je suis partie m’habiller tandis qu’elle se rinçait. A mon retour, elle sortait de la salle d’eau en petite culotte. J’ai préparé le petit déjeuner et l’ai invitée à venir à table telle quelle. Elle n’arrêtait pas de gigoter sur sa chaise. J’ai fini par lui demander ce qu’elle avait ; elle m’a répondu qu’elle était gênée d’être ainsi nue devant moi. Je lui ai rétorqué qu’elle m’avait vu nue et que maintenant que je connaissais son corps, elle n’était plus autorisée à exprimer de la gêne. J’ai menacé, si elle continuait ainsi, de ne plus l’autoriser à fermer la porte des toilettes. Elle est devenue rouge et m’a promis de ne plus m’offenser en m’implorant de lui laisser cette liberté. J’ai accepté, trop heureuse de ne pas partager certaines odeurs.
Le soir, quand nous sommes rentrées des cours, j’ai repris mon rôle et lui ai demandé de se déshabiller dès notre retour. Elle a obtempéré sans même essayé de discuter. Nous nous sommes alors mises au travail, ne nous interrompant que le temps d’un rapide diner. Lorsque nous fûmes prêtes à aller nous coucher, je lui ai dit de venir dans ma chambre. Je lui ai fait retirer sa culotte et l’ai embrassée en caressant sa chate. A la fin de ce baiser, comme elle ne disait rien, j’ai exigé qu’elle me remercie pour chaque douceur que je lui prodiguerai. Son « merci Aude » a été immédiat. Je lui ai alors dit de me déshabiller puis me suis mise en levrette et lui ai dit qu’aujourd’hui je voulais qu’elle me lèche le fion tout en me caressant la chatte. Comme elle n’obéissait pas, je lui ai claqué la cuisse ; elle a sursauté et a commencé à s’exécuter. J’ai très vite senti que la corvée devenait un plaisir pour elle et son application m’a rapidement emmenée au septième ciel. Après ce doux moment, je l’ai faite s’agenouiller sur le lit, devant moi et, en me collant à son dos, je l’ai caressée et doigtée jusqu’à la faire jouir. Quand elle a eu joui j’ai continué à caresser ses seins et lui ai demandé si ça ne la gênait pas d’être encore pucelle. Elle m’a dit que non. Je lui ai alors dit que je ne pouvais pas me contenter de faire jouir une pucelle tous les jours en l’informant que j’étais aussi bien attirée par les garçons que par les filles. Elle a rougi jusqu’à la racine mais a fini par me dire « comme tu voudras Aude, c’est toi qui décides ». Je lui ai alors dit que j’allais m’en occuper.
Le week-end arrivant, nous nous sommes dit au-revoir à pleine bouche. Je lui ai demandé si elle était heureuse de rentrer et là, à mon grand étonnement, elle m’a déclaré qu’elle préférait être avec moi. J’ai brièvement revu Théo pendant le week-end et lui ai dit que j’aimerais l’inviter à manger un soir et prolonger la soirée de manière plus intime. Il m’a dit que son jour le plus cool était le mardi. Je lui ai dit d’accord pour mardi prochain. C’est alors qu’il m’a demandé si ça ne gênerait pas ma coloc. Je lui ai expliqué que non seulement ça ne la gênerait pas mais que, s’il acceptait, j’aimerais qu’elle se mêle à nos jeux et qu’il s’occupe de son corps. Il m’a regardée étonné mais, comme d’habitude, ne m’a pas contredite.
Le lundi, en rentrant des cours, quand Coralie a été déshabillée comme je le voulais, je l’ai prévenue que le lendemain soir nous serions trois à table car j’avais invité mon petit copain. Elle m’a aussitôt proposé de manger à l’extérieur. J’ai bien entendu refusé. Ce soir-là, nous étions fatiguées ayant terminé un devoir à rendre pour le lendemain mais j’ai quand même exigé qu’elle me déshabille (j’y prenais goût) et qu’elle s’allonge sur le lit. Je me suis positionnée au-dessus d’elle en 69 et lui ai indiqué mes attentes. Nous avons joui quasi simultanément et j’ai vu que Coralie était heureuse. C’est elle qui a pris l’initiative de m’embrasser avant d’aller se coucher.
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