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Belle maman et 2 beaux-fils

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Lue : 37895 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 21/12/2009

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Salut je me présente : Georges, 29 ans, et je vais vous raconter l'histoire qu’il m’est arrivé avec mon meilleur ami, et notre... belle mère!

Je dis notre belle mère car mon pote Francis et moi sommes en couple depuis environ 4 ans avec des soeurs charnelles. Toutes deux sont jeunes et ravissantes, mais ont néanmoins un petit défaut : elles ne sont pas fabuleuses au lit et nos deux couples sont depuis quelques temps tombés dans une vie sexuelle plutôt monotone et une lassitude à s'en tourner les pouces. Depuis que nous avions rencontrés la mère de nos épouses, Sylvianne, nous étions tombés d'un commun accord que cette femme d'âge mûr proche de la cinquantaine était en quelque sorte l'objet de nos fantasmes et de nos conversations la plupart du temps où Francis et moi étions ensemble.
Et il y a de quoi, Sylvianne et une femme charmante et sexy, blonde aux yeux marrons, environ 1m70 corporellement bien proportionnée, ayant des caractéristiques féminines qui ne laissent pas un jeune homme indifférent, en d'autres termes une assez belle poitrine et de belles fesses bien rondelettes qui donnent envie de les croquer à pleine dents. Outre ses qualités physiques Sylvianne est une femme assez conviviale, affichant un large sourire à chaque instant qu'il fasse beau ou mauvais.

Cela fait maintenant 7 ans quelle a divorcé de son mari, et qu'aucun homme n'était intervenu dans sa vie.
A chaque fois que nos épouses devaient rendre une petite visite à leur mère nous nous faisions un plaisir de les accompagner, ne serait ce que pour apercevoir la femme de nos convoitises, qui éveillait en nous des pulsions sexuelles, alimentant, je l'avoue, mon imagination les soirs durant lesquels je n'avais que ma main pour maîtresse. Que vous trouviez cela immoral ou pas, Francis et moi avions convenus que nous devrions tenter le coup car le désir devenait trop intense, nous étions décidés à passer à l'attaque, mais nous attendions le moment opportun.

Un jour la femme de Francis avait gagné un voyage à deux pour les Canaries grâce à un jeu radio, et au lieu d'y amener son homme elle décida de partir pendant une semaine entière en vacances accompagnée... de sa soeur, ce qui nous laissait l'occasion de mener à bien notre plan. Samedi soir alors que nos épouses étaient probablement en train de siroter un cocktail en bord de plage, Francis et moi étions en train de nous rendre en direction de la résidence de Sylvianne, accompagnés de 3 douzaines d’huîtres fraîches, de quelques plats préparés et d'une bouteille de Bordeaux et de Champagne, et bien sûr d'un superbe bouquet de roses. Nous ne l'avions pas du tout prévenue de notre passage. Lorsqu’elle vint ouvrir la porte elle fut toute étonnée de nous voir.

- Bonsoir Sylvianne ! On vient vous faire une petite surprise et vous tenir compagnie pour la soirée, histoire que vous vous sentiez moins seule, à moins que cela ne vous dérange.

Elle était visiblement ravie de nous voir et nous fit rentrer sans aucune hésitation, elle n'était vêtue que d'une nuisette blanche, laissant transparaître sa poitrine et plus particulièrement ses tétons brunâtres et dardés. Elle se rendit à son placard se recouvrir d'une robe de chambre ...pour notre plus grande déception.

Nous discutions de sujet d'usage pendant toute la durée du repas lui servant le plus souvent possible des verres de vins pour la rendre plus gaie, ce qui visiblement marchait, la chaleur de la pièce l'encouragea même à ouvrir sa robe de chambre, et dès que son regard allait en direction de son assiette nos yeux plongeaient profondément dans son large décolleté qui laissait entrevoir ses deux belle mamelles. A la fin du repas alors que nous avions bien bu et bien mangé, nous nous assîmes chacun dans un fauteuil et Sylvianne s'assit dans le canapé, nous abordions alors différents sujets, elle essayait de parler les relations que nous avions chacun avec ses filles, mais nous essayions de changer la conversation sur d'autres choses, jusqu'à ce nous abordions le sujet de son divorce. Nous lui demandions si depuis elle avaient eu d'autres hommes en vue, etc... elle nous répondit par la négative, nous prîmes alors un air désolé pour sa situation de femme seule et essayions d'aller un peu plus profondément dans le vif du sujet.

Je pris alors mon verre le posa sur la table basse, et vint m'asseoir d'une façon amicale dans le canapé sur la droite de ma belle-mère, enlaçant mon bras autour de ses épaules et lui affirma d'un ton admiratif :

- Vous êtes vraiment courageuse Sylvianne, j’ai énormément de respect pour vous, être une femme seule n'est pas aisé de nos jours.

J'étais vraiment honnête, car je le pense toujours.

Elle tourna timidement la tête dans ma direction et me répondit par un sourire. Puis Francis vint à son tour s'asseoir à sa gauche et mit sa main sur son autre épaule, puis lui demanda :

- Mais ça vous manque pas de ne pas avoir un homme .

Embarrassée elle répondit :

-Oui bien sur !!! Surtout que...

Elle n'osa pas continuer sa pensée, mais nous comprenions déjà où elle voulait en venir.

A peu prêt, à ce moment ma main droite alla se poser sur la cuisse dénudé de Sylvianne la parcourant d’une longue caresse sur sa peau satinée, tandis que Francis déposait de fins baisers sur le cou de la femme qui nous faisait tant d'effet.

D'une voix à moitié troublée, et à moitié ivre des sensations pourcourant son corps elle gémit :

-Arrêtez ! qu’est ce que vous faites !!!

-Nous ne vous voulons que du bien, c'est tout...

Ma main remonta sa cuisse poussant au passage le bas de sa nuisette et essayant de se faufiler un passage jusqu'à sa chatte, mais sa main bloqua mon poignet.

-Stop, je vous rappelle que vous vivez avec mes filles tout de même !!!

-Mais vos filles ont besoin de leur mère, et leur mère elle a certains besoins, et nous, nous sommes là pour les combler, laissez vous faire, il n’est pas bon de retenir ses pulsions charnelles, je vous assure... vous ne le regretterez pas!!!

Elle lâcha alors ma main qui vint frotter directement sa toison pubienne, tandis que mes doigts se promenaient sur les lèvres enflées de son vagin. Sa respiration devenait de plus en plus rapide, Francis continuait à lécher le cou de Sylvianne alors que ma langue elle glissait le long de son épaule droite, elle paraissait à la fois remplit d'extase et de remords

-"Oh mon Dieu, mais qu’est ce que je fais" s’écriait-elle.

-N'ayez aucune peur, vos filles ne sauront jamais rien de ce qui se passe, nous voulons juste prendre soin de vos besoins sexuels, et vous pourrez toujours compter sur vos beau-fils pour cela...

Francis prit alors délicatement des deux cotés la nuisette et la retira laissant à notre admiration ses deux gros seins devant nos yeux. Je caressais sa chatte et son sein droit en même temps d’une manière presque religieuse la complimentant de "Vous êtes si belle Sylvianne", de "je ne comprends pas comment une beauté comme vous peut elle se passer sept ans de sexe ?" je n’avais plus devant moi ma belle-mère, mais l’incarnation d’une déesse qui attisait ma passion.

Sylvianne était maintenant assise complètement nue entre ses deux beaux fils dont chacune des mains pétrissaient avec dextérité et avidité le corps chaud de la mère de nos femmes. Nos bouches tétaient frénétiquement sa grosse poitrine qui était petit à petit était empreinte de notre salive, tandis que nos mains pétrissaient, caressaient, et chatouillaient cette vulve qui commençait à reluire tant ses sécrétions étaient abondantes.

Elle s’abandonnait peu à peu dans une pose des plus obscènes, écartant pour faciliter notre masturbation ses cuisses, et poussant de doux râlements :

-"Oh, c’est vraiment mal ce que nous faisons, mais c’est si bon !!!

Au bout de quelques minutes nous la fîmes se lever debout et lui demandions de bien vouloir reposer sur un pied, tandis que l’autre reposerait sur le canapé... ce qu’elle fît sans se poser de questions.

Puis Francis et moi nous abaissâmes, moi devant et lui derrière afin de déguster son vagin reluisant de mouille à deux. Francis lui fourrait son visage dans son cul afin que sa langue puisse atteindre la fente que nous vénérions, tandis que j’avais le nez qui frottait dans ses poils, et que ma langue tétait le haut de ses lèvres vaginales et son clitoris, me délectant de la cyprine aromatisée qui coulait le long de mon menton. Je crois que c’était la première fois que Sylvianne se retrouvait dans une telle position entre deux hommes qui s’occupent aussi bien de son gros minou, elle semblait dans un état second, dans une condition de nirvana.
Chacune de ses mains étaient placées sur nos têtes, glissant ses doigts entre nos cheveux, d’un geste encourageant nos actions. -

-"Oh mon dieu !!! c’est divin disait elle en haletant.

Au bout de quelques instant cette situation tout à fait malsaine et immorale nous avait excité au plus haut point, nous nous relevâmes enlevant nos vêtements jusqu'à être complètement nus, nos deux verges gonflées au maximum en sa direction.

- Regardez ! Deux bonnes queues rien que pour vous lui dit Francis avec un regard pervers.

Face à nos deux membres en rut, Sylvianne commença à paniquer, et à devenir plus lucide qu’il y a deux minutes :

-Attendez, nous devrions réfléchir avant de faire une chose pareille

-Non ! répondis-je. Il est maintenant impossible de faire marche arrière, nous sommes désormais vos deux amants, et nous le resterons pour longtemps, à moins que vous ne vouliez que vos filles ne soupçonnent quoi que ce soit face à notre comportement toutes les fois où nous serons réunis.
Elle baissa la tête.
- Non surtout pas !!! Vous n’avez pas complètement tort.

-Alors laissez nous nous occuper de vous, vous verrez, tout va très bien se passer.

Elle releva son regard en direction de nos deux membres qui se présentaient à elle. Francis l’agrippa par les hanches.

-Cambrez vous sur le coin du fauteuil que je vous prenne en levrette, voilà comme ça, relevez bien le cul pour que je puisse avoir plus de facilité à la rentrer. Voilà, super !!!

Sylvianne reposait sur ses deux genoux sur l’assise du fauteuil, tandis que Francis pris sa verge dans sa mains la dirigeant à l’intérieur du con de sa belle mère.

-Oh! Nom de Dieu!!! Georges, si tu savais comme c’est bon à l’intérieur, c’est tout chaud et humide de sa mouille, ça rentre comme dans du petit beurre !!!

Visiblement mon pote était en train de prendre son pied total en limant par des va-et-vient la fente par laquelle était venu au monde sa propre femme, alors que Sylvianne recommençait à prendre goût à nos jeux peu catholiques. Placé en position latérale du couple je pris alors mon phallus et l’approchais du visage de ma belle-mère, mais elle n’ouvrait pas la bouche, j’entrepris donc de caresser sa face avec mon gland, le laissant glisser sur ses lèvres, sur son menton, sur ses joues, et même sur son nez, ses deux bras étant occupés à tenir lavant de son corps en équilibre elle n’avait pas la possibilité d’empoigner mon chibre, je lui demandais de bien vouloir déposer sur mon gland de sa salive, ce qu’elle fit. Je recommençais à caresser mon gland sur son visage, laissant une traînée de sa propre salive sur sa peau.

-"Vas y Francis, baise la comme une reine !!! j’encourageais mon ami.

Francis redoubla alors d’énergie et Sylvianne se mit alors à crier : OOOHHHhhh Je saisis alors l’opportunité que sa bouche soit grande ouverte pour y engouffrer mon bâton de chair à l’intérieur, tenant sa tête entre mes deux mains, puis je la fis coulisser par des aller-retour entre ses lèvres pulpeuses, j’étais au summum, la meilleure sensation que j’ai pu vivre de toute mon existence. Moi! Georges! J’étais en train de pénétrer de mon membre la bouche de ma belle mère qui était de vingt ans mon aînée, tandis que mon meilleur ami était en train de la culbuter par derrière, c’était la chose la plus malsaine, la plus immorale que je faisais de mon existence, mais aussi de loin la plus excitante et la plus exquise que mon corps et mon esprit ressentaient. Cette vision de ma belle mère dont le corps, les fesses, et les seins ondulaient par la force de nos coups de reins me donnaient bientôt l’envie de jouir, mais je désirais garder ce moment pour plus tard.

Je sortis donc mon membre enflé et raide de sa bouche, un fil de salive reliant le bout de mon gland de ses lèvres se fendit et vint se coller à son menton quelle essuya en passant la langue. J’attendais 2 min. pour que mon pieux perde de sa vigueur et observais pendant ce temps Francis s’efforçant d’activer de rapides va-et-vient dans la moule de Sylvianne, créant un bruit régulier de clapets comme deux mains qui applaudissent, alors que ma belle mère, elle, était à son comble et fermait les yeux pour se concentrer sur son plaisir charnel. Après un certain moment d’attente je décidais d’y retourner.
- Francis ! Laisses moi venir à ta place, Sylvianne s’il vous plaît, venez plutôt vous étendre sur la moquette!
En se retirant je vis du sperme il me semble recouvrant la queue de Francis, et quelques gouttelettes ruisselaient autour de la magnifique chatte de Sylvianne, mon pote avait apparemment éjaculé dans les entrailles de sa belle mère, mais son pénis était toujours en vigueur (mon pote est un dur à satisfaire). Sylvianne s’allongea donc sur le dos, les cuisses écartées comme pour me souhaiter la bienvenue dans son sanctuaire humidifié par de la sève blanche masculine mélangée à ses sécrétions féminines. Francis avait raison, cette chatte était d’une chaleur accueillante exceptionnelle.

- Oh Sylvianne, si vous saviez ! ça fait tellement longtemps que j’attends ce moment, vous êtes extrêmement bandante! Une vraie beauté!

Me regardant droit dans les yeux elle me répondit :

-"Promettez moi que jamais personne ne sera au courant de cela
continuant mes étreintes entre ses cuisses suaves je répondis :

-"Nous vous le jurons, nous ne voulons que votre bien, et bien évidemment celui de vos filles

- Mais vous devez nous promettre quelque chose en retour dit Francis.

- Quoi ?!? répondit elle.

- Eh bien que nous resterons vos fidèles amants jusqu’à ce que vous vous remettiez avec un autre homme.

- Dans ces conditions j’accepte! dit elle.

Je continuais à ramoner de ma pine sa pépette avec une régularité qui n’aurait rien eu à envier à un puits à pétrole, tandis que Francis siroter un verre de champagne nous matant la queue au garde-à-vous. Sylvianne était en sueur totale, déjà qu’il s’agissait d’une chaude nuit d’été, nos corps actifs créaient dans la pièce une chaleur supplémentaire. Je n’étais pas loin de l’explosion.

- Oh Sylvianne ! vous me procurez tant de plaisir je suis à deux doigts de jouir...

- Dans ce cas faites le à l’extérieur!!!

Je retirais d’un coup sec mon manche de ce trou que j’avais labouré durant une dizaine de minutes et branlais ma bite au dessus de sa chatte. Un cri de jouissance m’envahi et il sorti de mon urètre une grande quantité de sperme chaud et gluant qui vint se coller dans sa toison pubienne, c’était sans aucun doute la meilleure baise de ma vie. Je me re-saisis et alla vers la table me servir à mon tour une coupe de champagne, tandis que Sylvianne restait allongée, et étalait de sa main droite le foutre entremêlé dans ses poils pubiens.

- Ah ! c’était vraiment bon disait-elle.

- Parce que vous croyez que c’est déjà fini ?!? rétorqua Francis, vous n’avez pas encore joui à ce que je sache! Il alla s’asseoir sur le canapé. Allez venez me chevaucher belle-maman !.
- Encore ?!? elle rétorqua.

- Eh bien il faut bien rattraper ces sept ans d’abstinence!!!

Elle bue un verre de champagne et se positionna au dessus de la verge de Francis et s’empala d’un coup sec jusqu'à ses testicules, la machine sexuelle s’était remise en marche. Regardant le spectacle torride qui s’offrait à mes yeux une idée me vint. Je sortais du living room pour aller dans la salle de bain chercher un produit qui soit assez lubrifiant, j’avais d’abord trouvé de la crème, puis de l’huile d’amande douce. Bingo!!!. Je pris donc le flacon et retourna dans le salon où les deux amants continuaient à copuler d’une façon plutôt bestiale. J’enduit mon pieux du liquide trouvé et demandais à mon complice de bien vouloir positionner ses fesses sur l’accoudoir du canapé.
Il la souleva pour rester à l’intérieur de notre maîtresse, et fit comme je lui avais demandé. Je vint alors derrière cette chère Sylvianne et lui écarta les fesses qui me laissèrent apercevoir sa petite rondelle qui apparemment n’avait jamais été travaillée.

- Que faites vous Georges ?!? Non ! je n’aimes pas cela ! je persistais mais elle continuait. J’ai déjà essayé et ça ne m’a pas plus, arrêtez !!!

- Si vous n’avez pas aimé c’est que la personne avec qui vous lavez fait ne s’y connaissait pas assez, laissez moi faire, vous aurez d’autres sensations, et si vous sentez une gène ou une douleur dites le moi et j’arrêterais aussi sec. Elle acquiesça sans mot dire.

Au fur et à mesure que mon gland s’enfonçait dans son anus je l’entendais jurer. Oh mon dieu ! oh mon dieu ! oh mon dieu !!! d’un ton qui exprimait une sensation nouvelle et adrenalinesque.

J’observais mon engin raide disparaître doucement dans cette antre étroite bordée de quelques poils clairs, jusqu’à ce que mon bas ventre soit complètement collé contre son derrière, je ne pouvais aller plus profondément. Dun coté ma queue rentrait dans son trou de balle et de l’autre celle de Francis s’occupait de son vagin inondé. Elle était désormais prise en sandwich entre deux jeunes hommes.
Tandis que Francis, toujours assis sur l’accoudoir la soutenait par ses cuisses grandement écartées, je la maintenais moi aussi par ses deux globes dont la chair ondulait à chaque choc de mon bas ventre. La position afin de rester à l’intérieur n’était pas évidente, je devais fléchir mes jambes pour rester à la bonne hauteur, mais le plaisir l’emportait sur l’effort. Sylvianne, quand à elle semblait être au septième ciel, ses yeux se révulsait et elle s’abandonnait sans retenue au deux membres virils qui la transperçaient simultanément, marmonnant à quel point nous lui faisions du bien des paroles quasi-incompréhensibles.
Gardant une main appuyé sur l’une de ses fesses, je relevais l’autre et vint la faufiler dans le feu avant de l’action. Son minou était terriblement brûlant et mouillé à la fois. Je récupérais du bout de mes phalanges de son précieux nectar, puis me mis à glisser celles ci entre ses lèvres afin d’y branler son petit bourgeon. Et cela fît son effet.

-Oh oui Georges!!! J’attendais impatiemment que l’un de vous deux s’en occupe!!!

Tandis que je sodomisais tout en caressant ma belle doche, et que Francis travaillait cette fente juteuse, elle bougeait bestialement son bassin de sorte que nos queues puissent la baiser tout en souplesse, et en profondeur. A chaque aller profond de ma ... mes bourses rencontraient celles de mon acolyte, humides du jus de notre prisonnière.

- Oh! Oui Georges! Oui! oui! oui! ne vous arrêtez surtout pas mes garçons... je sent que ça vient!

A ce moment précis je sentais des spasmes envahir toute son enveloppe charnelle, j’accélérais donc les frictions de mes doigts contre la paroi de son clitoris.
Elle éclata alors violemment dans un délicieux sanglot de bonheur qui l’amena aux larmes, reposant sa tête sur l’épaule de Francis. Tandis que son orgasme se dissipait, nos deux queues vaillantes décéléraient petit à petit leur cadence éfreinée.

La nuit ne faisait que commencer.

A suivre...
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Histoire de loumossou

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Commentaires du récit : Belle maman et 2 beaux-fils

Le 06/05/2010 - 15:52 par chercheur49
Bonjour, Magnifique histoire de jouissance. Je pense qu'elle doit être réelle cette histoire car j'ai vécu une aventure semblable voilà bien longtemps et que je vous raconterais avec plaisir. Qu'est devenue Belle-Maman? Si elle a trouvé un homme, j'espère qu'il a eu l'intelligence de poursuivre l'expérience ... à trois? Philippe
Le 10/01/2010 - 13:26 par nun06
Belle histoire. Sympa et pas vulgaire. Realité ou imagination?

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