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Cambriolage chez ma belle-mère

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Lue : 40776 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 18/10/2010

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Lorsque j’ai rencontré celle qui est devenue ma femme par la suite, elle m’a présenté à sa mère comme le veut la tradition, et j’ai compris tout de suite que je plaisais aussi beaucoup à cette femme, divorcée depuis longtemps, et qui profitait de sa situation pour vivre de nombreuses aventures.

Une femme pas très belle, mais bien roulée, avec une paire de miches comme on en voit rarement et des rondeurs là où il faut, juste ce qu’il faut.

De plus elle n’avait que 15 ans de plus que moi, c'est-à-dire 39 ans quand je l’ai connue. Et quand on a 24 ans et qu’on se retrouve en présence d’une femme mature et assez libertine, les fantasmes ne sont jamais loin, même si celle-ci devient votre belle-mère.

En fait, pendant plus de 10 ans, nos relations sont restées normales, celles d’un gendre et d’une belle-mère. Il y avait bien quelques remarques, surtout de ma part, ou quelques slows où je la tenais serrée contre moi. Je pense qu’un autre personne aurait réagit, mais elle, certainement partagée par le désir et les bonnes mœurs, faisait celle qui ne comprenait pas.

Je m’étais retrouvé plusieurs fois seul avec elle, mais jamais je n’avais franchi le pas.
Mais après dix ans de mariage, notre couple n’allait pas au mieux et sur le plan sexuel, c’était un cauchemar. MMS peut vouloir dire matin, midi et soir mais aussi Mars, Mai et Septembre.
J’étais donc en manque mais n’avais pas envisagé de tromper ma femme, quand la coupe était pleine, je visionnais en cachette un bon porno et je me sentais détendu pour quelques jours.

Mais un soir, Michelle, ma belle-mère, m’appelle affolée. En rentrant chez elle, elle a trouvé la porte démolie, signe d’un cambriolage sauvage.
J’arrive donc très rapidement et la trouve effondrée, sanglotant sur le lit.
J’essaie de lui remonter un peu le moral, de lui dire que ce n’est pas grave et qu’il faut réagir et appeler la police.

J’appelle donc la police toute proche et quelques minutes après je me retrouve avec deux inspecteurs qui viennent effectuer les premières constatations…etc..etc. Voyant l’état d’effondrement de ma belle-mère ils me conseillent d’appeler le médecin de famille, qui lui aussi intervint rapidement et conseille à ma belle-mère de prendre un relaxant, médicament qu’elle avait d’ailleurs au fond d’un tiroir et qu’elle prit aussitôt.

Je me retrouve une heure plus tard de nouveau seul avec elle, encore prostrée sur le fauteuil. J’essaie d’entamer la conversation, et je sens que ma présence lui fait du bien, elle se sent en sécurité. Elle est inquiète de se retrouver seule dans son appartement ce soir. Je lui propose de rester aussi longtemps que nécessaire, en prévenant à la maison.

De suite je la sens plus détendue, elle se lève et se rend dans la salle de bains, je pense pour se refaire une beauté. Elle revient effectivement, précédée par un parfum sublime, que je ne lui connaissais pas.
Elle s’arrête devant la fenêtre, son regard s’attarde sur un groupe d’enfants qui jouent dans le square, la nuit commence à tomber

Le calmant commence à faire effet, je sens qu’elle est détendue. Et moi, ce cambriolage ne m’a pas fait oublier que je suis une nouvelle fois seul avec Michelle et que ça doit faire au moins 15 jours que je n’ai pas épanché mes besoins sexuels.

Cette sensation de frustration au niveau du bas ventre permet quelquefois de se surpasser.
J’ai toute la soirée devant moi, ma femme, Annie, est coincée à la maison avec les enfants et moi j’ai un alibi en béton.

Je me lève du fauteuil et m’approche sans bruit de Michèle et pose mes mains sur ses hanches.
Elle a un mouvement de surprise, tente de se déplacer mais je la suis sans lâcher ses voluptueuses hanches. « Pierre, non, cela ne se fait pas…je ne pourrais plus jamais regarder Annie dans les yeux » , mais après avoir prononcé ces paroles elle ne bougea plus, comme si elle avait voulu se donner bonne conscience avant de s’abandonner.

Je suis toujours derrière elle, face à la fenêtre, je m’approche et la serre contre moi. Je sens mon sexe contre ses fesses rondes… »hummm depuis le temps ».
Elle ne bouge plus, elle attend la suite, elle espère une suite mais reste passive, dans sa tête la situation doit être complexe.

Le principal est qu’elle accepte mes mains, et j’en profite pour remonter lentement et enfin sentir les deux galbes volumineux qui n’attendent que mes mains. Je les enveloppe délicatement puis commence à les masser.
Ils sont comme je l’espérais, lourds et fermes, toujours prisonniers des vêtements.
Toujours est il que la caresse lui plaît, j’entends un petit gémissement qui me rassure sur son état, elle est prête. Que ce soit à cause du choc émotionnel ou grâce aux tranquillisants, ce soir je vais certainement découvrir le sexe, le vrai avec une habituée.

Je continue à malaxer ses deux nichons, et commence à pincer les bouts qui apparaissent à travers les vêtements. Ses tétons doivent être énormes pour que je les sente comma ça.
Je porte un jean très moulant et suis très mal à l’aise car mon sexe est coincé et commence à être douloureux.
Mes mains ne peuvent quitter ses deux miches, je les masse, les soupèse, les fait rouler dans tous les sens, ce qui déclenche des petits soupirs de satisfaction.
Je descends jusqu’à sa taille pour insinuer mes mains sous son chemisier ;
Je remonte lentement et enveloppe à nouveau ses deux globes encore maintenus par le soutien-gorge.
Je recommence à les masser puis à pincer les tétons, ce qui ne manque pas de déclencher à nouveau des petits gémissements.

Déjà très excité par la massage que je prodigue à cette poitrine comme je n’en avais encore jamais palpé, je sens une main qui se pose en haut de ma cuisse et qui glisse immédiatement sur la bosse humide que ne peut dissimuler mon jean. Elle comprend de suite que ma situation est inconfortable. « Tu devrais retirer ton jean…. » Je ne me fais pas prier et retire immédiatement mon pantalon pour ne conserver que la caleçon.
Elle n’a pas bougé, toujours face à la fenêtre, je me replace donc derrière elle et lui déboutonne le chemisier.

Je repose mes mains sur sa taille et remonte lentement pour poursuivre cette caresse divine.
Une main se pose sur ma cuisse et saisit immédiatement mon sexe qui s’est déployé maintenant. « Hummm… » fit elle en connaisseuse. En effet j’ai été assez bien doté par la nature et je peux me vanter d’être équipé d’un pieu de 22cm, pas trop épais, ce qui est bien pratique !

Elle glisse sa main sous mon caleçon et commence à découvrir mon intimité.
Appréciant beaucoup son approche, mes caresses se sont arrêtées, elle en profite pour se tourner face à moi et pose ses lèvres sur le miennes, Nos bouches s’aspirent, nos langues se mélangent dans un long baiser érotique. Je profite de l’occasion pour lui dégrafer le soutien gorge et libérer enfin ses deux pamplemousses qui s’affaissent un peu.

Elle ne me laisse pas le temps de reprendre mes caresses et glisse ses deux mains sous mon caleçon pour le retirer. Elle déboutonne ma chemise et me dépose des baisers furtifs sur le torse, me titille les tétons, puis des petits coups de langue sur mon ventre ; je prends sa tête entre mes mains et la pousse vers l’objet de son désir, mais coquine, elle résiste quelques secondes puis dépose encore quelques baisers sur mon bas ventre, puis du bout de sa langue ; elle effectue une descente de mon pénis jusqu’aux testicules. Elle gobe mes bourses l’une après l’autre en les faisant rouler dans sa bouche comme des bonbons au miel. Que cela est excitant.
Puis elle remonte doucement vers le dard qu’elle commence à lécher en tournant tout autour lentement. Elle boit tous les sucs que j’ai pu lâcher depuis mon arrivée. Je mouille comme jamais. Cela à l’air d’être à son goût car après quelques coups de langue elle enfourne mon gland entre ses lèvres puis descend doucement en essayant d’avaler toute ma bite, peine perdue, aux deux tiers, elle manque de s’étouffer et renonce dans sa tentative mais entreprends aussitôt une série de va et vient voluptueux. Je ressens immédiatement une sensation violente, inconnue, un frottement génial sur mon gland. Je baise les yeux et regarde ma belle-mère en train de ma tailler une pipe inoubliable. Malgré la taille de mon membre dans sa bouche, elle a les joues creuses. Tout à mon plaisir, je comprends qu’en me suçant, elle maintient une aspiration qui a pour effet de plaquer l’intérieur de ses joues contre mon gland, ce qui augmente l’effet de la fellation. Une vrai professionnelle. « Vos caresses sont exquises » lui dis-je très prude.

Cela ne lui fait aucun effet, elle continue sa divine entreprise jusqu’à ce que je retienne sa tête. » Arrêtez, vous allez me faire jouir »… « Tu veux..comme ça ? » N’y tenant plus je lui réponds… » je peux ? »
Aussitôt elle se remet à m’astiquer le poireau, toujours aussi voluptueusement mais en augmentant le rythme. « Je vais jouir.. » lui dis-je tout en essayant de me retirer, mais avec ses deux mains sur mon bassin, elle me fit comprendre qu’elle ne voulait pas gâcher mon plaisir ni le sien et que je devais éjaculer là, dans sa bouche, qu’elle boirait ma semence jusqu’à la lie. Deux trois va et vient supplémentaires suffirent à me faire exploser en plusieurs jets que Michelle avala au fur et à mesure. Elle semblait même y prendre un goût certain.
Pendant que je me vidais par spasme, elle me caressait les testicules tendrement.
Après avoir lâché ma dernière goutte, elle ne lâcha pas mon sexe et continua ses aller et venue.
Je n’ai plus la même érection mais cette fellation qui se prolonge entretien le désir. Elle veut aller plus loin, et ce sera beaucoup plus facile, la pression maintenant retombée.
Elle me suce lentement, savamment, elle sait y faire avec les hommes, je m’en doutais.
« Ne restons pas là, lui dis-je… » elle était toujours à genoux devant moi. Je la prends par la main et l’entraîne sur son lit.

Je m’allonge sur le dos et Michelle s’allonge au pied du lit, sa bouche prête à m’avaler à nouveau. Elle reprend une couille dans sa bouche et la malaxe entre ses lèvres puis du bout de la langue me lèche les bourses et descend tout doucement . Cette caresse est divine et j’en écarte les cuisses de désir. Elle continue sa prospection et d’un coup de langue furtif, elle effleure ma rosace, une fois puis deux puis elle s’attarde sur mon anus. Je ne savais pas être si sensible par là. Encore quelques coups de langue coquins puis elle remonte vers ma verge qui s’est considérablement développée pendant ses caresses anales. Je bande à nouveau comme un taureau, ce qui à l’air de lui plaire car elle enfourne à nouveau mon pieu et entreprends de nouveau une turlutte de reine. J’ai envie de changer de position pour découvrir moi aussi son corps, mais ce qu’elle me fait me tétanise, j’ai encore envie de jouir, d’éjaculer, de cracher tout mon foutre au fond de sa gorge. Finalement je lui retiens la tête : « Arrêtez, sinon je vais encore exploser…encore trois secondes et je ne pourrai plus tenir. Cette fois elle s’arrête, rampe sur le lit et se love contre moi. A moi d’être à la hauteur maintenant.
Ses seins lourds sont écrasés contre moi. Je m’écarte un peu pour les contempler. Légèrement tombants, mais extrêmement excitants.

Ma main gauche part à la découverte du droit. Je le caresse, le masse, prend le téton, le pince, le fait rouler entre mes doigts. Michelle gémit, et pour mieux s’offrir à moi, se met sur le dos. Tout en continuant d’exciter son sein droit, je lui prodigue quelques coups de langue sur le gauche avant de lui avaler le téton, durcit par l’excitation. Je me mets à la téter comme un affamé ce qui ne manque pas de déclencher chez Michèle des râles de plaisir. Je lui mordille tout doucement puis un peu plus fort, elle se cambre et écarte les cuisses.

Ma main descend sur son ventre et glisse immédiatement entre ses cuisses. La zone est humide, trempée. Son pubis est dodu , mais ce qui me surprend le plus ce sont ses lèvres gonflées par l’excitation qui protègent l’entrée de la boîte à bonheur. Des lèvres pulpeuses que j’écarte avec délicatesse pour présenter mon majeur à l’entée de son vagin. De nouveau elle se cambre mais je retire légèrement mon doigt et le fais glisser jusqu’à son clitoris. De partout où je passe je déclenche des gémissements. Ma belle mère est une vraie chaudasse, une experte, j’espère qu’elle ne me jugera pas comme incapable. Elle est si gourmande que je me demande comment je vais pouvoir la rassasier. Je commence à titiller son clito, puis redescend vers l’entrée des artistes et cette fois je lui présente un doigt que j’enfonce profondément. Sa réaction est violente : « Viens…je t’en prie, viens ». Je suis assez fier de moi, elle n’y tient plus, je vais continuer mes caresses. Tout en la masturbant d’un doigt puis de deux et enfin de trois, ma bouche se rapproche tout doucement de sa chatte trempée. Je glisse ma langue depuis le pubis par la commissure de ses lèvres, et je commence à déguster sa mouille, son liquide précoïtal, ce lubrifiant délicieux que j’adore quand il est abondant.

Quelques coups de langue pour mon plaisir personnel, puis je m‘attaque au clitoris. Je commence à le titiller du bout de la langue, tourne autour. Je retire ma main de son antre et à l’aide de mes deux index, je fais pression à la base du clitoris pour le décalotter. C’est pour une clitoridienne, une caresse qui est très forte et peut même être douloureuse. J’y vais donc doucement, elle à l’air d’apprécier, j’exerce une pression encore plus forte, je pose mes lèvres sur le clito incandescent et l’aspire tout doucement. Le clito entre mes lèvres déclenche une réaction violente, je la sens proche du plaisir. A cette douce aspiration de l’ensemble j’ajoute un léger titillement du bout de ma langue. Mon objectif est atteint, Michelle qui respirait fortement depuis quelques secondes se cambre, se met à crier. J’en profite pour retirer ma main gauche et lui enfiler trois doigts pour quelques va et vient complémentaires. Je sens sa chatte qui se vide, en jouissant elle a craché un volume de mouille considérable. Hummmm… je lâche le clitoris et précipite ma bouche pour boire son jus, lécher sa chatte. Tout en nettoyant toute la zone ma langue s’égare sur son périnée, vous savez la petite zone située entre le vagin et l’anus. Immédiatement elle écarte les cuisses afin de permettre à ma langue de progresser vers sa rosette. Je lui lèche tout autour, cela lui plaît mais elle est en train de récupérer, donc je n’insiste pas trop bien décidé à y revenir à un autre moment.

Je m’allonge contre elle. « un à un » me dit-elle ; « Cela fait longtemps que je n’avais pas joui ainsi ». J’aurais aimé qu’elle me dise jamais mais cela est un peu prétentieux.
J’ai soif, je lui demande si elle veut quelque chose mais finalement elle se lève pour aller au frigo. Je la suis et pendant qu’elle nous sert une menthe, j’en profite pour reprendre mes caresses. J’ai maintenant très envie de tout reprendre à zéro. Je lui malaxe les seins, je suis derrière elle, je la pousse vers la table et glisse une main entre ses fesses . Ma main glisse jusqu’à son anus puis à sa vulve. Immédiatement elle réagit, se penche en avant et prend appui sur la table.

Je saisis mon sexe en rut et m’introduit dans sa chatte. Je pourrai dire que je disparais dans sa chatte. « Hummm… » fit-elle. Et je commence à la pilonner, à la défoncer de toute la longueur de ma bite, à la ramoner comme une bête. Son plaisir de tarde pas à revenir, elle râle, elle halète, elle pousse de petits cris qui m’invitent à continuer. Je ne sais plus quoi faire, j’ai envie de la faire jouir, j’ai envie de lui faire la rosace, j’ai envie de jouir, de me faire sucer…Elle est au bord de l’orgasme et c’est elle qui dénoue la situation : « Prends moi par derrière… » Je ne me fais pas prier, me retire de son vagin, d’une main j’étale du lubrifiant de ma queue sur son anus, mais également à l’entrée de son rectum car je suis bien monté. Je présente mon gland violacé au centre de la rosette et j’effectue une légère pression, bien aidé en cela par ma belle-mère qui résiste à ma poussée. Je m’immobilise et la laisse faire le travail de mise en place. C’est la meilleure façon pour ne pas la blesser. Elle pousse et je sens que ma queue disparaît tout doucement dans son rectum. Elle n’a pas l’air de souffrir et continue sa pression, tout doucement je m’enfonce, je sens mon gland libéré de toute pression, l’étranglement de ses sphincters remontant le long de ma bite. Une sensation nouvelle, je n’avais jamais sodomisé une femme, la mienne ne voulant même pas essayer.

Je suis au fond, je me retire doucement et commence des aller retour de plus en plus rapide. Elle aime…elle aime tout… Je me retire complètement puis me présente à l’entrée et lui enfile la totalité d’un coup.. Elle crie.. » Je vous ai fait mal « « Non pas du tout mais tu peux me tutoyer maintenant » Je recommence à la pilonner car je me suis mis à mouiller et les mouvements dans le rectum sont extrêmement excitants….De nouveau je perds pied, j’ai envie de jouir, mais j’ai aussi envie de continuer. Michelle commence elle aussi à décoller et se met à me parler » Vas y mon chéri…lâche toi…rempli moi….joui au fond de moi… » Ces paroles me font un effet immédiat, dans un long râle, je sens les giclées de sperme expulsées dans son cul. L’étranglement par le sphincter décuple le plaisir de l’éjaculation. A plusieurs reprises je crache des spasmes de foutre.. Michelle… » tu as le sperme brulant » me dit-elle.

Je suis trempé de sueur, épuisé, je me retire des entrailles de mon hôte et lui murmure : « tu m’as fait jouir comme jamais auparavant, j’espère que nous serons encore seuls des fois »… »non il ne faut pas que cela se reproduise » me dit-elle

L’avenir dira qui de nous deux a raison.
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Commentaires du récit : Cambriolage chez ma belle-mère

Le 29/08/2022 - 09:44 par Rackham
Une bien belle sodomie qui me rappelle une relation, je vais probablement l'écrire prochainement. Merci.

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