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Caméras invisibles

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Lue : 22332 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/04/2011

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Caméras invisibles : sur une idée érotique, un fantasme sans doute, de notre Elie si inventive, si appréciée sur le site.
Je me prénomme Alexane, Elvira pour mes amants, Elie par vous, mes amis. Si vous voulez mieux me connaître vous trouverez mon portrait dans ‘ Boules de Geisha’ sur le site car sans fausse modestie je vaux le détour.


Je vous entraîne aujourd’hui dans ma dernière histoire, ma dernière aventure. Mon métier est particulier et passionnant, je vends des villas de grand luxe dans le monde entier, mais je ne me contente pas de les vendre, il faut d’abord les dénicher, puis chercher le client, ou l’inverse ; enfin je les rénove, je les adapte aux envies et désirs des nouveaux propriétaires et pour cela je m’investis énormément.


Ma dernière affaire en date est située en Toscane : Une villa avec tout le luxe : piscine intérieur- extérieur à bulles, dix chambres avec salles de bain particulières, des salons nombreux, terrasses, jardin exotique bien entretenu ; le nouveau propriétaire désire moderniser au maximum, tout informatiser et sécuriser ; je me suis donc déplacée et je suis restée le temps des travaux dans la villa.


Je travaille toujours avec la même entreprise française, question de confiance et de tranquillité ; elle est chère mais avec elle pas de problèmes de qualité, elle me fournit d’excellents ouvriers tous qualifiés jeunes et souvent très beaux ce qui ne gâche rien.


Je suis donc sur le quai de la gare de Sienne à attendre mes employés et le matériel ; il fait très chaud, je suis donc habillée de façon estivale, petite robe courte , légère, cheveux attachés et sandalettes à talons, rien de trop provocant mais mignon quand même. Le train arrive, il est à l’heure, une foule de passagers descend et un groupe de quatre hommes arrive, ce sont mes ouvriers sans aucun doute car leur t-shirt porte le logo de leur société. Ils sont tout sourire, un déplacement en Italie ne semble pas leur déplaire.


Présentation faite je les conduisis à la propriété leur expliquant plus clairement plan en main ce que j’attendais d’eux. Il fallait : Un, que la villa soit plus sure que la maison blanche des Etats Unis et, deux, changer la déco, la moderniser comme dans un musée d’art contemporain. Chacun dans sa spécialité était très attentif à mes instructions d’autant que je sentais leurs regards glisser sur mes courbes, s’attarder sur mes seins ou sur mes fesses. Je me sens donc épiée matée et désirée mais pas en danger, il faut dire que j’aime çà et que le regard des hommes me flatte et m’excite.


Deux d’entre eux étaient mariés et le plus jeune Phil était engagé dans une relation particulièrement étroite qui avait poussé sa petite amie à me téléphoner pour vérifier si le chantier était bien réel. Le quatrième Paul, chargé des travaux de sécurité était le seul célibataire de l’équipe, discret de nature, voire timide il ne décrochait pas un mot mais il ne décrochait pas non plus ses yeux de ma chute de reins.


Le premier soir le repas fut bref, il était convenu que pour ne pas perdre de temps tout mon petit monde mangerait et dormirait sur place, à charge pour eux de faire leur bouffe, je n’étais pas leur boniche mais leur patronne. Le lendemain je pris avec moi dans ma voiture deux d’entre eux Paul et Phil pour aller récupérer le matériel manquant. Phil était le beau garçon séducteur mais avec le fil à la patte de son amie jalouse et belle sans doute il ne faisait guère attention à moi. Paul par contre observait chacun de mes gestes, son regard m’enveloppait, il était grand, bronzé, les cheveux blonds et courts, son silence provoquait en moi une curiosité presque malsaine, une envie d’en savoir plus sur lui.


La semaine passa sans faits notables, chacun dans sa spécialité s’occupant de son travail. Le samedi matin à l’heure de les ramener au train Paul manquait a l’appel, Phil m’expliqua qu’il ne rentrait pas en France puisque célibataire ; il faisait ainsi des économies, la direction lui avait donné son accord puisque je serais là, elle lui verserait une petite compensation financière.


En rentrant de la gare à la villa, mille scénarios trottaient dans ma tête ; je devais me rendre à la réalité ce Paul si mystérieux me plaisait beaucoup. J’avais laissé Pierre à Paris, chaque nuit seule dans mon lit j’imaginais ses gestes en me caressant. Mais il était loin et ses étreintes me manquaient terriblement et je n’étais pas une femme à manquer une occasion aussi tentante.


Je suis déçue en entrant, je suis seule, la villa est déserte, je refoule les fantasmes que j’ai échafaudés et comme il fait au dehors une chaleur torride je vais vers la piscine intérieure, je me déshabille lentement, une fois nue je plonge dans l’eau tiède du bassin, je fais quelques longueurs, comme c’est excitant de sentir l’eau sur tous son corps, la sentir se faufiler dans les coins les plus intimes.


Une fois rafraîchie je sors de l’eau et je m’allonge, toujours nue, sur un bain de soleil, je ferme les yeux, je suis bien et je m’assoupis quelques instants. J’ouvre les yeux et j’ai la surprise de trouver posée à côté de moi une rose rouge dont quelques pétales avait été arrachées et posées sur mon ventre nu. Surprise je cherche autour de moi personne !!! Peut être Paul !!!!! Je l’espère. Si c’est lui il a du me voir offerte, mon corps sans fards dans toute sa nudité et cela me plaît de penser qu’il ai pu m’observer, m’envisager.


Cela ne peut être que Paul, lui seul avec moi, a les clefs de la villa. Nous avons commencé par la sécurité et elle est fonctionnelle. Je suis toute excitée par ce mystère, celui qui m’a vu nue et a orné mon ventre de pétales pourpres a voulu m’intriguer et il a réussi. Fébrile j’attends la suite, J’enfile mon paréo et file sous la douche, je traverse ma chambre direction la salle de bain attenante une douche chaude, un vrai bonheur !!! Je m’occupe de moi, tout y passe crème pour les cheveux, parfum sur le corps, entre mes cuisses et mes fesses, épilation, je m’applique comme pour un premier rendez vous, au cas où ! et même si je m’illusionne prendre soin de soi çà fait du bien quand même!!


En sortant de la salle de bain nouvelle surprise, une robe superbe rouge et très sexy, une boite contenant des sous vêtements rouges étaient disposées sur mon lit ainsi qu’un soutien gorge, un string, des jarretelles et des bas noirs.
Cette fois c’était sûr c’était bien Paul !!! Qui d’autre ? Il ne parle peut être pas mais il sait très bien communiquer ses envies ce beau garçon.


Par réflexe je regarde le plafond de la chambre à l’endroit où est cachée dans l’éclairage une des cameras que le propriétaire excentrique et vicelard nous a fait placer dans chaque chambre afin d’observer en toute indiscrétion ces invités ; mais je sais aussi pertinemment qu’elle n’est pas encore en fonction. Un doute cependant puisque c’est Paul justement qui gère ce travail. Alors je fais comme s’il me voyait et le m’habille lentement. Petit à petit mon corps se pare devant l’objectif du string que j’enfile les fesses face à la caméra, les bas en ouvrant bien mes cuisses, le sous tif et la combinaison enfin pour masquer le tout par cette robe splendide avec son décolleté plongeant. Tout ces vêtements me vont parfaitement, comme un gant, un très bon observateur ce Paul !! Si c’est lui ?


Très excitée je me glisse dans le salon principal, je n’en crois pas mes yeux, sur la grande table un dîner est servi tous les mets sont disposés avec goût autour d’un seul couvert ! Je reste stupéfaite bouche bée face à la table.

Soudain, par derrière, une main se glisse sur mes yeux, je sursaute et une voix chaude me dit : « Taisez vous, faites moi confiance, fermez les yeux et laissez vous guider !!! »


La chaleur de ces mains, cette voix qui se veut rassurante me fit céder, j’étais réceptive, mon fantasme prenait corps et je fermais les yeux. L’homme me plaça un bandeau et me guida jusqu'à la place où le couvert était servi, hésitante je me laissais faire. Il me prit les mains et les posa sur mes genoux sur le tissus de ma robe de soie, sous mes doigt mes jarretelles tendues sur mes cuisses ouvertes. Je sentis mon cœur battre fort, aveuglée j’étais comme étourdie, troublée au plus haut point, attendant la suite.


C’est lui qui me fit manger, sans dire un mot, dans un silence absolu, sans me toucher, je ne sentais que son souffle dans mon cou. Tout était merveilleusement bon et si parfois un met échappait je sentais ses doigts sur mes lèvres pour remettre la nourriture dans ma bouche et il me faisait sucer ses doigts. Le repas terminé je porte mes mains à mes yeux pour quitter mon bandeau, je voulais le voir aussi j’avais joué le jeu après tout. Une voix douce me dit :
« Non, princesse, pas encore »


A ma plus grande surprise, moi qui ai un fort caractère, j’obéis, j’étais comme envoûtée. Privée de ma vue j’étais encore plus attentive à tout mes autres sens tous en éveil, la douceur de ses mains sur mes épaules nues quand il me fit lever, son odeur virile envoûtante, le changement de température en sortant du salon. Tout était important, disproportionné.


Je compris qu’il me faisait avancer lentement vers l’un des balcons donnant sur le parc privatif, là où personne ne nous verrait . Il mit une musique douce et me prit dans ses bras pour m’inviter à danser, il était plus grand que moi ma tête contre son épaule, ses bras étaient forts et tendres ; je me laissais porter en glissant mes doigts un peu partout sur son torse je devinais qu’il était en costume. Il me dit :


« Je vous veux, princesse, faites moi confiance vous ne serez pas déçue, je vous enlèverai votre bandeau mais quand je le déciderais, je veux faire de vous une reine, vous donner tout ce que j’ai, tout ce que je sais faire, si vous avez envie de moi vous le déciderez à la fin de cette danse dans mes bras, sinon je m’en irais »


Le temps d’une danse pour prendre une décision, c’est court je ne suis même pas sure que ce soit Paul, qui d’autre se pourrait être d’ailleurs? Cet homme a l’air d’avoir le même physique autant qu’aveuglée je puisse en juger. Depuis ce matin je ne l’avais pas vu !!! En même temps tout était tellement excitant et plus la musique avance plus je sentais contre mon ventre son désir grossir, ce membre a l’air énorme et à la pensée de le sentir en moi finit par me faire perdre pied.

Mille choses m’ont traversé l’esprit durant cette danse lascive, nos ventres soudés ; je suis joueuse et j’aime toutes les formes de plaisir physique mais là j’avoue ne rien maîtriser et cela c’est une première, jamais je n’avais connu cette situation, autoriser, m’offrir à un homme dont j’ignorais tout à part son raffinement, ses attentions et maintenant l’énormité de son sexe qui se vautrait entre mes cuisses. J’étais loin de tout, de mon cher Pierre, j’avais envie de jouir autrement qu’en me caressant, où était le mal ? J’allais céder et je le fis savoir sans dire un mot, par d’imperceptibles avancées de mon ventre.


La chanson était finie et j’étais toujours dans mes pensées en ondulant des hanches sur lui.
« Très bien princesse, j’étais sur que vous le vouliez autant que moi, la nuit nous appartient et nous en ferons une leçon de jouissance »
Ces quelques mots me firent quitter la réalité. lui avait deviné mon envie de lui ? Il m’embrassa tendrement fit glisser ses mains sur mes fesses, il les caressa les cajola, puis commença à les pétrir il était délicat mais ferme, la soie de la robe glissant sur ma peau, c’était divin il me serra plus fort contre lui, je sentais au travers des vêtements cette virilité douce et dure dont je raffole tant.


Il finit par glisser ses doigt entre mes cuisses en empaumant ma chatte en feu, puis il me souleva de terre, mes cuisses se calèrent aussitôt de part et d’autre de ces hanches retroussant ma robe et je sentis ma vulve s’ouvrir comme un fruit bien mur. Un gémissement m’échappa, j’étais offerte, j’attendais la suite avec impatience.


Il me déposa sur le dessus lisse de la balustrade en marbre sculpté qui servait de garde fou au balcon et me caressa les cheveux, les épaules, le cou, enfin ces mains descendirent sur ma poitrine qui était dure et gonflée par cette envie qu’il m’inspirait, il ouvrit ma robe par devant et démoula mes seins lourds et il prit soins d’eux, il les câlina avec d’infinies précautions son visage enfoui entres eux, c’était si bon pour moi qui adore ces caresses en cet endroit si sensible. Sa bouche se joignit à ses mains qui virevoltaient de mes mamelons érectés à mes fesses.


J’aurais pu basculer dans le jardin, je sentais une certaine sauvagerie qui dénotait avec sa délicatesse ; lui aussi, comme moi devait commencer à perdre son self contrôle pourtant il ne voyait que mes seins dressés dans sa bouche et je n’osais imaginer son état quand il verrait mes longues jambes, mes cuisses si douces, mes fesses bien rondes et fermes et ma chatte épilée. Il maîtrisait encore la situation et me maintenait fermement assise jambes pendantes au bord de la balustrade.

Je réalisais le surréalisme de la situation, j’étais assise les fesses nues sur un mur de marbre, ma robe retroussée sur mes hanches volant dans la brise du soir, j’avais les yeux bandés, n’ ayant qu’une vague idée de l’homme qui s’excitait sur moi et qui savait faire monter mon désir, mon irrépressible envie d’être caressée, sucée, baisée, pénétrée par son énorme sexe que je devinais arqué dans son pantalon et qu’il me tardait de voir, de toucher pour m’occuper de lui à mon tour.


Les mains toujours sur ma poitrine, Il descendit doucement son visage jusqu'à mon entre jambes car je sentis son souffle tiède sur le tissus de mon string épousant ma vulve ; je sentis sa langue me lécher sur l’étoffe, j’aurai pu jouir tellement mon désir était fort et quand avec une délicatesse infinie, un savoir faire hors norme il me déculotta et que je sentis sur mon ventre la fraîcheur du soir et la douceur humide de sa langue entre mes grosses lèvres je compris que j’avais là le meilleur des amants qui allait me faire jouir à en crier.


Il pouvait faire de moi ce qu’il voulait, j’étais possédée par son envie, conquise par le désir, incapable de réfléchir, ce que je ne souhaitais aucunement d’ailleurs je me remettais entièrement à cet homme.


Depuis un long moment je sentais sa langue aller et venir entre les grosses lèvres de ma vulve. Assise comme j’étais j’avais les cuisses grandes ouvertes et ce fut une caresse subtile, délicate, du moins au début car ce qui semblait être insignifiant au départ pris de l’importance. Depuis un bon quart d’heure que sa douce muqueuse se faufilait en moi, elle avait fait sa place dans mon pli lubrifié. Ma chatte s’était ouverte comme une mangue bien mure, je sentais mon clitoris se bander en sortant de son antre quémandant les caresses enveloppantes du pointu de sa langue, la succion de ses lèvres.


Alors ce qui au début n’était qu’une caresse sans plus devint comment dirais je presque insupportable, tant le désir d’être pénétrée devint irrépressible. Sa bouche grande ouverte c’est sa langue durcie que je sentis en moi bien enfoncée en s’agitant comme une folle. Jamais pénétration ne m’avait fait cet effet, elle me faisait jouir tout en m’irritant car ma chatte d’un coup avait besoin d’être remplie profondément par un membre vigoureux. Et pourtant d’un coup je sentis le plaisir naître dans mon ventre centré sur mon clitoris, un plaisir superficiel mais un plaisir immense qui me fit hurler.


Pour mieux sentir sa bouche, pour qu’il enfonce sa langue plus profondément dans ma vulve j’attirais sa tête vers mon ventre. Quand elle sortait de mon antre c’était pour me lécher, toutes papilles dehors, la raie de mes fesses et l’intérieur de mes cuisses qu’il mordillait ; mon anus était visité lui aussi et ses frôlements m’affolaient en me laissant désespérément vide.


Alors comme s’il devinait mon désarroi la pointe de sa langue, ses lèvres se centrèrent entre mes petites lèvres si sensibles tandis qu’avec une main il massait la bosse du mont de vénus. Avec deux doigts il frôlait le capuchon de mon clitoris avant de le titiller au dessus de sa langue tout en massant mes grosses lèvres les faisant glisser onctueusement l’une contre l’autre en les resserrant sur mon clito érecté. Par-dessous, je sentis que l’on me pénétrait enfin, l’autre main sans doute entre mes fesses ouverte, un doigt d’abord puis deux dans ma chatte allaient et venaient délicatement et quand il mit le troisième je compris qu’en même temps son petit doigt s’enlisait dans mon petit trou voisin.

Mon plaisir devint complet, trois doigts valaient bien une bonne queue mais la longueur manquait. Par contre c’était comme une hydre à trois têtes qui s’agitaient dans mon vagin et je les sentais vivre en moi en m’écartelant. La jouissance trop longtemps attendue monta d’un coup et malgré ma position inconfortable je me tortillais en tous sens quand l’orgasme éclata comme un ouragan.


Pour encourager mon amant à continuer ainsi j’hurlais mon plaisir :
« Baise moi maintenant…..J’ai besoin de ta queue dans ma chatte….je la veux….elle est grosse et longue comme j’aime….fais moi jouir…… »
« Tu veux voir mon sexe ?.....sors le….. » dit mon anonyme amant en se relevant « oui ouvre ma braguette …..non ne touche pas à ma ceinture …….écarte mon slip…..oui……sort la bête….les couilles aussi……qu’en penses tu ? »
« C’est d’elle dont j’ai besoin…..laisse moi la caresser… »
« Descends……. A genoux……….oui…….caresse là…….doucement…..frôle là du bout de tes doigts……avec l’autre main palpe aussi mes parties…..par dessous…..oui… continue……branle moi bien…..tu vois l’effet que tu me fais….tu vois ton pouvoir……. »
« Elle est belle…..elle est bien raide……elle de dresse….elle est douce….elle me fait envie….. »
« Et bien suce là…..lèche là…..laisse ta main…..branle moi en même temps…..joue avec sa peau….décalotte mon gland….. oui…comme çà….c’est bon ….continue…. »
« Avant que tu me baises je veux te faire jouir dans ma bouche….surtout ne te retire pas….j’avalerais tout…… »
« Rien ne presse….mets ma verge entre tes gros seins ma belle……oui….serre bien tes miches sur moi……tu sens comme elle glisse ? »
« Oui…. elle grossit encore…..je me penche pour lécher ton gland au passage…..tu aimes mieux jouir comme çà……attends je salive entre mes seins, çà glisse mieux…..allez viens……jouis……non !.....tu veux jouir dans ma chatte ? tu as raison….on va se régaler……attends je me positionne…. En levrette……tu vois je tends mes fesses vers toi……sabre moi…..enfonce ton pieu dans ma chatte….. non !……mais que veux tu à la fin ? ….mon cul ?......pourquoi pas….. »
« Non chérie, pas maintenant…..plus tard……je voulais te montrer mon dard…..pour que tu en rêves……pour que tu me désires au point d’en souffrir…..alors quand je l’aurais décidé ……je te ferais découvrir le plaisir extrême……pour l’instant je te laisse….à bientôt. »


Je me relevais, j’enlevais mon bandeau, la nuit était noire, une nuit sans lune, je frissonnais, Il était parti, J’étais effondrée, vexée, mon corps insatisfait me faisait mal, comment avait t’il pu m’abandonner ainsi alors que j’étais offerte ? lui qui jusque là avait été si attentionné avec moi, lui qui avait su m’intriguer, me séduire, me faire jouir, me faire espérer sa queue énorme dans mon ventre. Je dis lui mais lui qui ? C’est cette énigme qui m’avait excitée, au point moi et mon soit disant fort caractère de me laisser dominer comme une gamine.


J’étais désemparée partagée entre un sentiment de haine envers ce mufle et le désir de le revoir pour qu’il éteigne l’incendie qu’il avait allumé dans mon corps. Je ramassais ma culotte et mon sous tif et c’est dépoitraillée, les fesses nues sous ma robe légère que je regagnais ma chambre et que je m’affalais ainsi sur mon lit.


Je ne pouvais dormir, j’essayais en vain de me calmer en me caressant les seins et en me doigtant la chatte et c’est ainsi en me tournant et me retournant sur ma couche que je plongeais dans un sommeil agité rempli de rêves érotiques. J’étais caressée, traitée rudement mais j’aimais, on m’arrachait ma robe, j’étais nue, Je me sentais pénétrée et miracle du rêve je jouissais un sexe énorme dans ma vulve, que c’était bon ; je criais mon plaisir en serrant mon amant dans mes bras ; il était nu lui aussi, installé entre mes cuisses il me pistonnait de sa queue énorme en me soulevant les fesses.


La jouissance était si forte que je me réveillais, j’étais nue comme dans mon rêve, ma robe arrachée ouverte sous moi, ma chatte était pleine, une verge énorme pulsait dans ma vulve, des bras puissants s’agrippaient sous mes fesses, une bouche m’embrassait dans le cou et mordillait la chair mole de mon épaule. Je ne rêvais plus et avant de replonger dans le plaisir je criais :
« C’est toi ? »
« Oui c’est moi chérie ! »
Alors sans chercher à me désaccoupler, je cédais, j’en avais trop envie
« Pardon pour tout à l’heure, j’ai voulu en refusant de jouir de te donner encore plus envie de moi…..mais maintenant tu vas devenir ma reine….je vais te donner tout ce que tu désires…..je vais……. »
« Qui es tu ? »
« Tu le seras tout à l’heure, laissons le mystère pimenter notre plaisir…… »


Alors rassurée un orgasme me submergea, cette verge énorme que j’avais sucée dans le jardin, c’est bien elle que je sentais en moi ; finies les caresses avec la langue, avec les doigts, bonjour les pénétrations profondes, les vas et viens onctueux, le pétrissage de mes seins, les baisers fougueux ; je me vautrais sur cet amant mystérieux, j’avançais mon ventre vers le sien, mes bras passés en arrière lui pétrissaient ses fesses dures et serrées …..
« Viens…….remplis moi……jouis……inonde ma chatte ….. oui……ouiiiiii…..c’est bon…..c’est boooonnnnn……tu gicles…..je le sens……continue…..baise moi encore……reste en moi…..oui….plus vite…..ahhhhh…….tu me vais rejouir…… »


J’avais des étoiles plein les yeux tellement était intense le plaisir qu’il me donnait. Il ne m’avait pas menti, j’étais sa reine, malgré sa jouissance il était toujours bien raide ; de plus en plus gros semble t’il et sans se désengager il me fit jouir plusieurs fois de plus en plus fort.

« Si on allumait mon chéri ? » susurrais je entre deux bouffées de plaisir
« Après, ma reine »
« Après quoi ? »
« Avant je veux prendre tes fesses »
« Tu veux dire ma rondelle ? »
« Oui…..relève toi…..tourne toi…..en levrette…..attend je me place à genoux derrière toi…..j’écarte tes fesses…..elles sont belles……çà va ? oui !.....je m’avance……tu sens ma queue dans ta raie……un petit coup dans ta chatte pour bien la mouiller……tu sens mon gland……ouvre toi……ouiiii……je m’enfonce doucement…..ahhhh c’est bon…..j’avais rêvé de ce moment quand j’admirais ton cul…… »
« Ah bon tu me connais ? »
«Oui ma chérie…….je m’enfonce ……c’est facile …….oufffffff…..je suis en toi…..tu sens mon ventre sur tes fesses ? »
« Oui je te sens bien…… va y …….ne me ménage pas j’aime être prise par là….tu sais avec mes plugs j’ai l’habitude… »


Alors il me prit par les fesses et durant plus d’une demie heure il ahana en moi en sortant sa verge pour mieux me forcer l’œillet, j’aime cet instant où le gland force l’anneau musculeux et sensible de mon cul. Pour lui donner du plaisir s’il en avait besoin j’avais passé une main entre mes cuisses et paume en l’air, avec mes doigts je soupesais ses couilles qui battaient la chamade en fouettant mes cuisses, lui aussi les mains passées devant moi, l’une avait prit mes seins qui dodelinaient par la position et l’autre me malaxait la chatte et mon clitoris.


J’aime les amants puissants et endurants comme cet inconnu qui savait me faire jouir, nous étions dans le noir complet et le plaisir n’était que tactile mais une bonne verge courageuse, des mains douces et indiscrètes peuvent nous faire se passer de la vue d’un beau minois, d’une queue bien dressée. A un moment en écartant mes fesses son gland alla plus loin en moi, dans le monde des ténèbres en forçant un dernier barrage au fond de moi et toutes ces savantes pénétrations me firent hurler ma jouissance. Tout mon corps tétanisé se tendit et je me resserrais sur sa verge. Alors lui aussi perdit pied et dans un long cri de fauve en rut il éclata en moi souillant mes fesses et la raie de mon cul.


C’est à cet instant qu’une douce lumière tamisée éclaira la chambre. Nous nous désaccouplèrent se tournant l’un vers l’autre
« Paul…..Paul c’est donc toi…..je m’en doutais……..je l’espérais….tu cachais bien ton jeu…… »
« Oui ma chérie…j ’étais comme fou …..tes seins, tes fesses m’attiraient «
« Mes fesses, mes seins, c’est tout ? »
« Ton visage aussi, je devinais ton tempérament de feu, ta compétence aussi m’impressionnait, mille fois j’ai rêvé de te caresser de te palper les fesses et tes seins, de te prendre comme nous venons de le faire. C’est pour cela que j’ai inventé ce scénario où tu devenais ma Princesse….. »
« Bien joué ; tu as réussis à m’intriguer, mais même sans cet artifice romantique je t’aurais cédé car dés le début tu me plaisais et comme je suis en manque loin de mon Pierre j’avais envie de baiser alors autant que se soit avec toi qui me plaît et que j’ai sous la main. »


Nous laissèrent alors la lumière rasante sur nos corps nus et avant de nous endormir Paul très inventif et moi très réactive nous nous donnèrent du plaisir de toutes les façons possibles et les douces caresses yeux dans les yeux ne furent pas les moins jouissives.


Le lendemain matin, dimanche je me retrouvais seule dans mon lit, Paul était parti. Je me levais, j’étais bien, mon corps satisfait. Je me préparais après une bonne douche bien chaude et je sortis prendre l’air quand une jaguar franchit la grille en fer forgé du jardin. Un homme en descendit, ce devait être Ramirez le propriétaire car il avait le type d’un sud américain, brun, la peau cuivré, assez grand, la cinquantaine bien conservée ; il devait dépenser des fortunes en soins corporels. Il portait un fin pantalon blanc et une toison abondante sortait du col grand ouvert de sa chemisette bariolée. D’autres voitures se garèrent à côté de la sienne.


Il resta un moment dans le jardin regardant l’extérieur de la villa, j’allais au devant de lui pour lui faire les présentations et lui montrer l’avancement des travaux. Il me regardait venir vers lui et son regard enveloppant me mit mal à l’aise. En homme richissime, propriétaire des lieux, sur du pouvoir que donne la fortune il ne se gênait pas pour mater mes seins et mes fesses ; il me regardait d’un air ironique qui me déplut.
« Vous êtes l’architecte d’intérieur ? …..oui…..j’aimerais tout voir….je vous suis…. »
Et comme je montais devant lui les quelques marches qui nous séparaient de la terrasse, ce fut presque physique je sentais son regard sur mes cuisses.


Une fois à l’intérieur son seul souci fut de voir le fonctionnement des caméras de surveillance, il jubilait et je ne sais pourquoi, j’en fus inquiète, il me regardait, son regard de vicieux me déshabillait mais impossible de le remettre en place car dans notre métier le client est roi.
D’un coup je fus pris de panique quand il introduisit une disquette dans le moniteur de contrôle,
« Restez » me dit- il « nous allons nous amuser ! »


Pétrifiée je vis d’abord défiler les images de la maison, pièce par pièce et soudain ma silhouette apparue, j’étais nue et j’enfilais mon string en remuant des fesses, vous vous souvenez de la scène quand ostensiblement dos à la caméra j’imaginais l’amant si attentionné en train de s’exciter sur moi.
« Vous avez un cul somptueux ma belle »


Je n’étais pas au bout de mon angoisse, j’imaginais le pire, la honte suprême….et cela arriva, les caméras m’avaient suivie et je me vis avec Paul sur la balustrade, les yeux bandés en train de me faire peloter les seins, bouffer la chatte et je ne pus retenir un cri de rage quand à genoux je suçais la verge de mon amant. Pour mon malheur on voyait bien que la caméra était indiscrète commandée à distance pour balayer, la scène, zoomer au gré du vicelard qui nous matait… »
« Félicitation pour l’installation…. je me suis régalé…..vous avez l’air d’aimer çà ma belle… »


Je ne pus répondre tant mon émotion était grande, anéantie je me vis dans la chambre quand Paul m’eut rejointe, au début la scène prise en infra rouge donnait une image fantasmagorique mais quand la lumière se fit dans la chambre et que Paul me prenait dans toutes les positions je ne pus supporter et je m’apprêtais à fuir la scène.
« Je vous demande de rester….c’est votre intérêt »

C’était une menace non déguisée et je tremblais des conséquences pour moi. Lui se régalait il me tenait, il le savait et quand il mit sa main entre mes cuisses et qu’horrifiée je me reculais, il devint menaçant, sarcastique
« Je vous conseille d’être docile….pensez à ce qu’il adviendrait de vous si cette cassette était dans les mains de votre patron….. »
« Que comptez vous faire ? »
« Cela dépends de vous … je vous désire…..moi aussi je veux profiter de vous…vous baiser….vous verrez j’ai une queue énorme….je sais que vous aimez çà….. »


Mon esprit fonctionnait à cent à l’heure, comment sortir de cette situation….je n’étais pas à un baisage près……c’est plutôt de le faire forcée et humiliée qui me coûtait…..Il avait une grosse queue disait il……il se vantait certainement……je suis incorrigible, dans cette situation je m’imaginais prise par sa queue hors norme...... Je laissais sa main remonter entre mes cuisses…..il triomphait je le voyais à son regard ….il devait sentir confusément le cheminement de ma pensée…..l’acceptation de son projet…..il eut l’air furieux quand je lui retirais sa main


« D’abord arrêter le fonctionnement des caméras……c’est fait ?.......Comment puis je être sur que vous n’avez pas fait un double pour être à votre merci plus tard ? »
« Vous devez savoir que le système ne le permet pas ma belle….. »
Il était redevenu hilare, il comprenait que mes conditions étaient un début d’acceptation et sa main repris sa place sur ma culotte cette fois
« Tu mouilles…..salope me dit il…..tu aimes çà….tu vas voir je vais te faire jouir comme jamais….. »


C’était vrai, je suis une salope et c’est vrai , ma chatte ruisselait
« Comment être sure que je vais récupérer la disquette ? »
« Parole d’homme ! »
« Non je n’ai pas confiance »
Alors il sorti une liasse de dollars de sa poche et me dit vous me les rendrez en échange de la disquette. C’étaient des grosses coupures et cela me rassura.


Ne restont pas ici me dit il et il m’entraîna par delà les couloirs serrée contre lui sa main palpant mes fesses. La pièce était plongée dans un noir absolu et il devait avoir donné ses ordres car quand il appuya sur l’interrupteur seul le centre de la pièce fut éclairé par des spots puissants laissant le reste de la pièce dans le noir. Eblouie je vis une banquette assez haute bien capitonnée et Ramitez m’y entraîna en essayant de m’embrasser sur la bouche
« Non pas cela….vous me prenez pour une pute les putes n’embrassent pas »
« Ce n’est pas grave, c’est ta chatte et ton cul que je veux…. Je vais te montrer mon engin….. »


Alors doucement il baissa son pantalon et quand il fut en slip je ne pus ignorer l’énormité de son sexe sous la soie translucide de son string. Il prit ma main dans la sienne et il me guida sur le tissu déformé par sa verge. Alors sous mon regard exorbité il mit à l’air j’allais dire son cierge. Jamais je n’avais vu une telle bite. Je n’ai pas l’habitude de prendre les mensurations de mes amants mais la sienne devait mesurer plus de vingt cinq centimètres de long quant à sa grosseur elle rivalisait avec mes plugs en plus gros.


« Comment tu la trouves me dit il en la prenant à pleine main et en l’agitant en tous sens. Avec sa main il se branlait doucement et mon regard ne pouvait quitter son gland violacé qu’il dépucelait et recouvrait de la peau épaisse de son zob.


Je ne sus que répondre mais quand il arracha ma robe, quand il mit mes seins à l’air et qu’il fit glisser ma culotte je ne pus esquisser le moindre geste tant son sexe me fascinait. Un sexe dont on rêve au moins une fois dans sa vie de le sentir dans son ventre…..dans son derrière s’il sait l’amadouer.


Il était nu lui aussi et assez bien conservé pour son âge mais si sa toison sur sa poitrine était épaisse, son sexe , ses génitoires étaient glabres sans le moindre poils ce qui la rendait encore plus monstrueuse.
« Suce-la » me dit-il d’une voix rauque, visiblement il était troublé et quand à genoux devant lui je pris son gland dans ma bouche il poussa une sorte de feulement de satisfaction. Pourquoi je me suis appliquée à le satisfaire ? pourquoi ai-je léché sa hampe ? pourquoi la bouche déformée par la grosseur de son membre j’en ai engamé le plus possible à la limite de l’étouffement ? pourquoi se faisant je lui ai caressé ses parties de vieux mâle ? Maintenant que j’y repense c’est l’envie d’avoir en moi une queue digne de moi, de mes fantasmes.


Alors il s’aspergea d’un lubrifiant translucide, sa queue devenant luisante, il m’ordonna de m’allonger sur le dos sur la banquette et avant de se pencher sur moi avec ses doigts oints de son lubrifiant il me graissa mon antre. Le moment de la possession arrivait, tout mon corps tremblait et quand prise sous les fesses il me souleva les cuisses en appui sur sa poitrine et que je sentis son gland au bord de mes grosses lèvres écartelées j’eus comme un moment de panique.


Alors en scrutant mon visage il s’enfonça doucement ; je me sentais comme éventrée mais je dois avouer qu’il s’y prit avec une grande délicatesse et l’idée m’effleura qu’il en avait l’habitude avec une telle verge. Il entrait et sortait de moi en s’enfonçant petit à petit. Je suis profonde mais avec une telle longueur il fut au fond de mon ventre avant que son ventre touche le mien. Il resta en place en me barattant la vulve et petit à petit je m’ajustais sur la grosseur de son membre.


Alors les vas et viens commencèrent de plus en plus amples, de plus en plus rapides, jamais je n’avais eu ce sentiment de plénitude et quand il me prit les seins dans ses mains avant d’y poser sa bouche d’un coup sans avertir l’orgasme surgit de mes entrailles, des étoiles plein les yeux, au bord de l’évanouissement, des décharges électriques tétanisant mon corps, des éclairs de plaisir me traversant de ma tête à mon sexe en dressant mes seins en érectant leurs pointes.


Il scrutait mon visage qui le guidait dans sa manière de me prendre. Il me fit jouir de plusieurs façons, au bord de mes lèvres ou bien à fond, en tordant son membre dans mon ventre, ou même en restant sans bouger me laissant le soins de me faire jouir moi-même en m’empalant sur lui ; mais le meilleur ce fut quand je lus dans ses yeux l’abandon et qu’en gueulant, le mot n’est pas trop fort, je sentis sa jouissance, sa semence gicler en jets nombreux en inondant tout, en souillant ma raie, mon cul, mes fesses.


Alors il se retira flamberge au vent dressée énorme, en rien calmée « Tourne toi, je veux ton cul »

Je ne me fis pas prier car c’est de loin mon orifice le plus large, le plus accueillant, le plus profond, sans fond même. Celui qui me fait jouir le plus intensément et quand il ressortit son flacon d’huile je l’arrêtais en lui disant que c’était inutile que mes sensations étaient plus intenses à sec. Surprit et satisfait il me regarda me mettre en position de levrette, fesses relevées au bord de la couche, les jambes bien écartées.


Alors l’extase commença, d’un coup, sans préparation aucune il me sabra l’anus et dés la première pénétration c’est son sexe en entier qui m’encula, son ventre sur mes fesses, ses couilles sur ma chatte, d’une de ses larges mains il prit mes deux seins et de l’autre il me malaxa mon sexe en privilégiant mon clitoris. Je sentais comme un sabre de feu aller et venir dans ma grotte et je me mis à jouir sous ses assauts ?


C’est dans un autre monde que cela se produisit. Clouée sur place, la lumière se fit et sans pouvoir réagir tant mon trouble était grand je me retrouvais dans un baisodrome. Tout autour de nous, des hommes, autant de femmes, tous nus ou peu s’en faut se masturbaient, se baisaient se suçaient dans toutes les positions une seule invariance tous prenaient ou avaient prit leur plaisir en nous matant en nous regardant jouir Ramirez et moi.


Je serais morte de honte si mon plaisir, la jouissance infinie qui irradiait tout mon corps n’avaient été aussi forte. Hallucinée je vis Paul abandonner une blonde plantureuse et s’avancer vers nous, Paul, ce traître, complice donc de ce traquenard si jouissif . Il était nu lui aussi, il se mit à genoux derrière nous et sa bouche s’occupa de ma chatte laissée libre Mais après sa bouche et je ne sais pas trop comment c’est sa verge qui me pénétra et de concert avec celle plantée plus haut ils me firent plonger dans le néant, engloutie dans un océan de plaisir.


Quand je refis surface, nous étions de nouveau seuls avec Ramirez
« Vous regrettez ?» me dit-il. Je n’avouais pas qu’il m’avait fait jouir comme jamais auparavant et que s’il voulait on pourrait recommencer, le lui dit simplement
« Rendez-moi la disquette »
Alors comme promis il me la tendit de mon côté je lui tendis sa liasse de dollars
« Gardez tout ma belle, ce que vous m’avez donné vaut bien plus que ces quelques billets vous pourrez acheter dix robes comme celle que j’ai arrachée de votre si joli corps »


Alors une rage noire me prit
« Vous me prenez pour une pute, non merci, votre argent gardez le, n’oubliez pas que vous m’avez forcée en me menaçant de chantage»
Alors je lui envoyais le paquet de pognon à travers son visage et digne malgré ma nudité je sortis regagner ma chambre. Si j’avais eu des yeux placés derrière moi j’aurais vu son sourire amoureux à mon endroit si j’ose dire ; il devait penser qu’il me reverrait bientôt. Il ne se trompait pas !

Fin psychologue ce richissime Ramirez.
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Histoire de Pierre le Grand

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