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Camping Paradis

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Lue : 12840 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 27/01/2012

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- Oui, là c'est parfait, dis-je à la réceptionniste.
En effet, l'emplacement est idéal pour le mois de camping que je prévois pour me reposer. Grand, un peu d'ombre grâce à un arbre astucieusement placé tout en pouvant profiter du chaud soleil méditerranéen. Ici, me dis-je, je vais pouvoir oublier tous les tracas de l'année écoulée. Un mois de sieste, de bronzage et, je l'espère, de drague !
- Il fallait autre chose ?
- Non, non merci c'est gentil m'dame, lui réponds-je.
Elle éclate de rire :
- Madame ? Tu ne veux pas me vouvoyer pendant que tu y es ? Je m'appelle Gwen, souviens-toi si jamais on se revoit sur la plage. Et puis, ajoute-t-elle avec un drôle de sourire, ça aurait été "mademoiselle", de toute façon.

Sur ce, elle part en éclatant encore d'un rire frais que j'adore déjà.

Les vacances s'annoncent sous les meilleurs auspices, me dis-je en regardant pensivement le derrière de Gwen, aussi galbé que ses jambes et aussi avenant que sa poitrine. Je me rends vite compte que j'ai autant de mal à détacher mon regard de son joli petit cul que je n'en avais eu pour m'arracher à la contemplation de ses lèvres engageantes.

Me détournant, par un grand effort de volonté, de la fine silhouette de Gwen, je me décide à installer ma tente. N'étant pas très bricoleur, j'ai bien évidemment quelques difficultés, surtout lorsque je me rends compte que j'ai oublié mes sardines. Je vais donc chez le voisin lui en demander quelques unes en attendant d'aller faire des courses. Ce grand gaillard d'une quarantaine d'années, jovial et sympathique, semble incarner le "gars du Sud" typique. Il m'accueille comme son fils, m'invite à l'apéro en plus de me fournir une boite pleine de sardines et je me promets de lui rendre la pareille. C'est vrai, un peu plus et j'avais l'impression qu'il m'aurait arrangé un coup avec sa fille. Remarque, je n'aurais pas dis non !

Marie, sa fille unique est en effet grande, aussi rousse que Gwen est blonde, avec les cheveux très longs qui lui arrivent presque à la taille. Si on veut continuer la comparaison avec la réceptionniste, je dirais qu'elles étaient toutes deux très différentes tout en étant tout aussi désirables : Gwen, petite blonde aux yeux bleus et au déhanché ravageur avec deux petits seins, mais deux petits seins fermes et bien mis en valeur ; et Marie, dont les yeux verts pétillants de malice, la voluptueuse lascivité et la poitrine opulente ont dus faire chavirer bien des coeurs avant le mien.

Bon, je devrais arrêter de penser aux filles deux minutes et me concentrer sur le montage de ma tente. C'est finalement chose faite au bout de 2 heures exténuantes. Il faut croire que mes mains ne sont pas habiles dans tous les domaines. Je décide donc de prendre une pause pipi que j'estime amplement méritée. J'ai déjà repéré les sanitaires en arrivant et je n'ai donc pas à mettre aussi à l'épreuve mon sens de l'orientation. A mon grand malheur, les blocs regroupant les toilettes, les éviers et les douches ne sont pas mixtes. Ça aurait pourtant pu être sympa de mater les filles sous la douche ;). Mais j'espère me rattraper avec les éviers pour la vaisselle et le linge, qui sont juste devant les sanitaires, à côté de trois douches pour (je suppose) se laver les pieds.

Après m'être soulagé la vessie, fini de m'installer et mangé mon déjeuner, je décide de profiter du soleil et me rends à la plage pour une séance bronzage. Arrivé, j'installe ma serviette et me "mets à l'aise", ce qui veut dire que je m'allonge sur le ventre, laissant le soleil faire son office, tout en profitant de mes lunettes de soleil pour repérer de jolies filles.

C'est ainsi que j'aperçois la charmante Marie, dans un non moins charmant maillot une-pièce qui met en valeur ses beaux seins bombés. Je m'apprête à me lever pour aller la draguer, quand je me souviens de son père, qui est surement avec elle à la plage. La serviette bleue à côté d'elle ne peut être que celle de son "papa".
Déçu, je me retourne et scrute la mer, lorsque je vois en émerger, telle une sirène, l'autre fille qui hante mes pensées depuis mon arrivée ici, Gwen. Elle, a opté pour un superbe bikini qui fait ressortir ses formes sensuelles. Je la suis du regard tandis qu'elle se dandine sur la plage pour rejoindre... la serviette bleue à côté de Marie ! Heureusement que j'ai mes lunettes de soleil, sinon je crois que mes yeux sortiraient de leurs orbites assez peu discrètement quand je les vois alors s'embrasser langoureusement.

En tendant l'oreille, j'arrive à percevoir ce qu'elles se disent entre deux baisers :
- Je devrais faire une pipe à ton père pour le remercier de ne pas t'avoir accompagné à la plage, dit Gwen.
- S'il savait, répond Marie, mais dans ce cas ça virerait à la partouze parce que je dois le même service à ton patron pour la demi-journée de RTT qu'il t'a gracieusement offerte. A moins que tu ne t'en sois déjà occupée, petite coquine.
- Une partouze ? Mmmmm... ça parait une bonne idée.
- Une partouze, c'est TOUJOURS une bonne idée, ma chérie.

Sur ce, Marie avale littéralement la langue de Gwen, ainsi que la bouche qui l'entoure. Je laisse échapper un soupir de soulagement : J'ai cru un instant que mes deux déesses n'étaient pas intéressées par les hommes. J'aurais pourtant du me douter que non, vu les regards qu'elles m'ont lancés toutes les deux lorsque je les ai rencontrées. Moi qui avais espéré en attirer une dans mon lit, je me mets à rêver de les y amener toutes deux.

Toujours protégé par mes lunettes de soleil, je ne me prive pas de mater le superbe massage que Gwen prodigue ensuite à sa compagne, qui lui rend compte de son appréciation à grands renforts de soupirs et de gémissements lorsque les mains de Gwen parcourent son corps, en particulier sa poitrine que l'huile solaire dévoile grandement à travers son maillot bleu azur.
Ayant regardé tout mon saoul, je me lève et part avant de me faire repérer. Je pense en fait que mon érection est à ce moment encore moins discrète que mes coups d'oeil sur le corps des deux donzelles que, encore une fois, je trouve sublimes.

Je suis resté trois heures à la plage, et quand j'arrive à la tente, il est l'heure du dîner. Après avoir mangé, je vais faire ma vaisselle et je profite d'être aux sanitaires pour voir le programme de la soirée organisée par le camping. Il s'agit d'une soirée "hypnose". N'y ayant jamais cru, je pense y faire un saut pour regarder distraitement, n'ayant rien de mieux à faire pour ce soir.
Cette soirée se passe au bar du camping, sur la terrasse, assez petite et intime, à l'image du camping lui-même. L'hypnotiseur est intéressant, connait bien son métier et endort sous mes yeux quinze personnes choisies au hasard dans le public, l'une après l'autre. Je me surprends à bien m'amuser à regarder ce vieux monsieur endormir des gens à la chaîne. Il est très doué (ou a de très bons complices, mais je ne devrais pas penser à ça, cela gâche le plaisir du spectacle).

Après la démonstration, comme tous les spectateurs, je rentre à ma tente. 23h30, je pense qu'il est temps d'aller dormir : j'ai eu une longue journée et ai roulé une partie de la nuit. J'espère donc (sans trop d'espoir) ne pas me réveiller au milieu de la nuit comme chaque fois que je dors sur un matelas pneumatique. C'est sur ces pensées que je m'endors.


Je me réveille soudain avec une grosse envie d'uriner. 2h du matin. J'en étais sûr. Je me lève donc avec un grognement et marche d'un pas fatigué vers les sanitaires, bâillant à m'en décrocher la mâchoire. Ce bâillement s'éteint brusquement dans ma gorge.

Elle est devant moi, à quelques mètres, et elle pourrait me voir si ses yeux n'étaient actuellement fermés. Je me cache derrière un buisson et me frotte les yeux, doutant de la réalité de ce que je vois. Une superbe femme noire, complètement nue, utilise les douches pour les pieds, celles à l'extérieur, pour se laver. Ou plutôt devait-elle se laver avant que le calme des lieux et la volupté de son propre corps n'aient définitivement raison de sa pudeur.

Elle est en train de faire couler langoureusement de la mousse sur son corps, admirant de ses yeux marron ces bulles de savon qui descendent doucement le long de son cou, atteignent sa poitrine, dont elle caresse les tétons durcis par le plaisir.
Mais cette mousse ne s'arrête pas là. Elle glisse encore le long du corps, épouse les formes exquises, coule au niveau du nombril sur les mains qui passaient par là pour apprécier la douceur de la peau mate.

La belle inconnue caresse avec volupté les melons qui ornent sa poitrine, en agace les extrémités du bout de ses doigts, avec une infinie douceur ; ce qui pourrait faire penser à un observateur extérieur tel que moi, qu'elle n'a cédé à ses envies que depuis peu de temps, et qu'elle fait lentement monter son désir avant de s'occuper de son con rosé.
Mais ces conclusions un peu hâtives sont réfutées par la vue d'un rond vert émergeant des lèvres humides de son vagin, preuve qu'un godemiché est profondément enfoncé dans son ventre, et qu'il lui apporte le plaisir dont elle fait étalage par ses gémissements saccadés.
Arrivé au niveau du gode, le savon, après avoir fait briller le clitoris bandé à l'extrême, dégouline sur l'engin et poursuit sa route sur la jambe droite. Beaucoup de mousse s'est attardée en chemin, sur les tétons, le nombril, la chatte, et il n'en reste plus autant qu'au début pour faire honneur à cette jambe si désirable.

La vue de cette sublime créature m'enflamme comme jamais. Caché derrière un buisson, j'ai l'impression que le moindre geste pourrait inquiéter ma belle et la couper dans son élan. C'est pour cette raison que je n'ose me masturber moi aussi. Ma verge est pourtant dure comme un morceau de bambou. Et si j'allais la rejoindre ? Dans l'état de manque où elle semble être, elle s'abandonnerait surement à moi. A moins qu'elle ne prenne peur et s'enfuie. Je ne peux pas prendre ce risque. Ahhh, qu'est ce que je fais ? Et voilà la divine apparition qui se penche, me montre ses fesses si bandantes, les écarte, ce qui rend visible le cercle vert dans sa chatte, touche finale de luxure dans ce tableau qui respire déjà le vice.

Elle se relève onctueusement, tenant dans sa main un autre objet à plaisir, noir cette fois. Elle contemple cet outil de jouissance, puis, écartant ses lèvres pulpeuses, en embrasse le gland. Elle le lèche ensuite passionnément, le tenant de la main gauche tandis que la droite poursuit ses attouchements sur son ventre. Elle frôle ses mamelons, pince ses tétons, enduit l'objet de la mousse dont son corps est encore enduit, pour finir sa course sur le rond vert, but ultime de l'exploration dont elle savoure la découverte.
Longtemps elle reste ainsi, léchant puis suçant avec sensualité un gode noir tandis qu'elle en câline un autre, vert, encastré au fond d'elle, détournant par moment sa main pour faire profiter son clitoris de ses caresses expertes.
Longtemps je reste ainsi, caché derrière un buisson, en position de voyeur, craignant de me faire remarquer bien que, les rares fois où la belle ouvre les yeux, je me rends compte que ceux-ci ne voient plus ce monde. Elle est dans une autre dimension, celle du vice, et elle n'est pas prête de s'en détourner. Parfois je me demande si je devrais la rejoindre, mais elle me semble si épanouie, si heureuse dans sa masturbation que je m'en voudrais de l'arrêter.
Pourtant, à un moment, elle semble basculer encore : son univers n'est plus celui du vice, mais de la perversité. Quelle différence me direz-vous ? Le nombre de trou remplis. En effet, las de lécher son phallus artificiel, elle décide de le goûter par une autre bouche, dépourvue de langue.

Le sexe étant déjà occupé par un congénère vert, le gode est alors dirigé vers le trou du cul de la belle, rendu brillant par toute la cyprine qui a coulé dessus.
Cet instant marque un changement radical dans la masturbation de ma perverse des sanitaires. Ses attouchements, jusque là d'une suave douceur, deviennent d'une perverse sauvagerie. Ses gémissements et autres soupirs se changent, eux, en cris, témoins d'une jouissance difficilement contrôlable.
Son plaisir est si fort que rester debout lui est insupportable. Elle s'allonge donc, la tête dans les étoiles, les jambes écartées, l'entrecuisse inondée. Elle se défonce violemment les trous, coordonnant ses mouvements pour que les deux imitations de bite la pénètrent en même temps. Mais cela, c'est bien sûr avant que la jouissance ne lui retire le peu de raison qui lui restait, laissant en lieu et place de la fille sexy en quête de volupté qui se tenait là, une bête en chaleur dont les pensées et le corps sont tendues dans un seul but : jouir.

D'un coup, je prends peur. La perverse ayant perdu le contrôle de son plaisir et de ses actes, le spectacle est bien meilleur, mais j'ai peur qu'elle n'attire les voisins. Je regarde donc autour de moi, au cas où. J'aperçois ainsi un vague éclair rouge à ma gauche.

Vous l'aurez deviné, cet éclair rouge, il s'agit de la chevelure de feu de la délicieuse Marie, qui lui cachait la vue et qu'elle s'est donc empressée de ramener hors de son champ de vision. Elle la mate elle aussi, mais depuis moins longtemps que moi, parce que je suis sûr qu'elle n'était pas là tout à l'heure.

A la voir, j'ai l'impression que ce n'est pas la première fois que la nymphomane du camping s'exhibe la nuit, pas plus que ce n'est la première fois que Marie ne la surprend. En effet, elle est en tenue d'Êve (drôle d'habit pour aller aux toilettes), a ramené un coussin pour pouvoir s'allonger sans se salir, ainsi qu'un gode rose qu'elle plante sans hésitation dans son cul.
Elle contracte alors sa vulve, au rythme des cris de notre ravissante salope préférée. Je la voie ainsi en extraire progressivement une boule de geisha. Elle la prend ensuite dans ses mains et la lèche pour en enlever toute trace du jus d'amour qui s'écoule de son minou, et qui souille son coussin. Pendant que l'exhibitionniste change de position, considérant surement que la levrette offre des perspectives plus intéressantes, ma voyeuse chérie introduit sa boule de geisha dans son fondement, échangeant de place avec le gode qui, lui, s'insinue dans son vagin accueillant.

Les cris de la noire, qui étaient jusque là inintelligibles, se précisent soudain :
" Oui, c'est ça prends moi ! Prends-moi par tous les trous, comme une salope ! Parce que Oui : je suis une salope !
Et Marie de répondre dans un murmure :
" Oh ça oui, tu es une salope, et une belle en plus. Si tu savais comme j'aime les salopes.
Ne l'ayant bien sur pas entendu, l'autre poursuit :
" Viens, je t'offre mon corps, et tout ce que je te demande en échange c'est de me faire jouir ! Oui, je veux jouir ! Jouir ! JOUIR ! JOUIIIIIIIIIIIIIIIIIIR !

La libération de son orgasme est apocalyptique : dans un hurlement, elle se contracte, tandis qu'un flot de cyprine jaillit d'entre ses cuisses et se répand sur le sol. Marie, qui n'a pas raté une miette du spectacle, accentue le mouvement de va-et-vient à l'intérieur de son sexe. Pour ma part, je n'avais jamais vu un orgasme aussi total, aussi dévastateur : elle est étendue, comme évanouie, mais évanouie de bonheur et de plaisir. La jouissance a eu raison d'elle et lui rappelle parfois sa victoire en faisant parcourir quelques spasmes le long de son corps. Les yeux fermés, elle savoure l'instant.

Son corps, que je trouvais beau avant, me parait à cet instant plus désirable que jamais.
Elle est allongée sur le ventre, les yeux fermés, savourant chaque instant du bonheur que lui procure son orgasme. Elle remue un peu, et, lascive, agite son magnifique cul pour tremper son minou poisseux dans le plaisir qui s'en est écoulé tout à l'heure. Ah, elle se retourne, cueille un peu de son précieux nectar avec un doigt, puis le porte à sa bouche, langoureusement. Marie, qui, comme moi, n'a pas perdu une miette du spectacle, fais de même, mais en profite, elle, pour faire profiter du mélange entre sa cyprine et sa salive, à ses tétons tendus. Ceux-ci, rendus brillant par cette huile de massage improvisée, sont ensuite malaxés, triturés et cajolés.

Pendant ce temps, la vague de jouissance ayant peu à peu reflué, ma coquine à la peau mate chérie a réussi à se remettre debout et à enlever ses phallus en plastique de son intimité. Ce qui ne veut pas dire que son désir s'est estompé, comme je peux vite m'en rendre compte.
En effet, non contente de s'être donnée en spectacle au niveau du sol, elle décide alors de prendre de la hauteur, et monte sur un lavabo. Un geste que je juge totalement absurde, jusqu'à ce que je comprenne enfin ce que la belle a derrière la tête.
Arrivée sur son lavabo, elle se penche en avant, de façon à coller son entre-jambe au niveau du robinet. Toute chasteté ayant définitivement quitté son être, elle se frotte alors le sexe sur ce gode improvisé. Je n'en crois pas mes yeux en voyant là cette femme, incarnation parfaite de la luxure, en train de répandre le fluide résultant de son orgasme, sur un simple robinet. Pourtant elle est là, juste sous mes yeux, inconsciente de ma présence et de celle d'une autre voyeuse, à quelques mètres d'elle.

Un doute me traverse l'esprit : est-elle vraiment ignorante de ma présence, et surtout de celle de Marie ? Ses yeux, jusqu'alors absents, comme envoûtés, sont maintenant acérés et tournés dans la direction de la cachette de Marie.
Celle-ci s'en est aperçue, et, craignant d'être découverte, stoppe net sa masturbation, alors qu'elle s'apprêtait à réinsérer sa boule de geisha dans son cul, elle qui l'en avait extirpé si sensuellement il ya quelques minutes.

J'en suis sûr maintenant, la cachette de la jolie rousse a été percée à jour. A travers les buissons, les deux beautés s'observent. Marie, rendue folle de désir, cède aux appels de son corps et réinsère lentement mais profondément la bite en plastique en elle. L'autre est toujours en train de faire glisser l'intérieur de ses cuisses sur le robinet. Ses yeux se plantent dans ceux de Marie, qui soutient son regard. Elles se regardent tandis qu'elles se branlent, chacune matant l'autre, chacune, par son regard, accentuant le plaisir de l'autre.
La délicieuse inconnue humecte alors son doigt, le lèche et s'en sert pour inviter sa compagne de masturbation à la rejoindre au 7e ciel.
"-Viens. " lui susurre-t-elle.
Comme hypnotisée, Marie se lève alors, quitte sa cachette et tente un pas pour rejoindre celle dont le corps la fascine. Mais dans son désir, elle a oublié l' objet qui est en train d'explorer l'intérieur de son corps. Son premier pas aboutit donc à une terrible onde de plaisir qui manque de la jeter à terre.
Elle se rattrape et, considérant cela comme d'excitantes préliminaires, parcoure les dix mètres qui la séparent de celle qui la fera jouir avec ce gode planté en elle. Le visage ravagé par la jouissance, elle manque de perdre l'équilibre à chaque pas, gémissant en continu, mais savourant chaque seconde de ce formidable moment de plaisir.
Enfin arrivée à destination, comprenant qu'elle a réussi le défi qu'elle s'était lancé, un sourire enfantin traverse son visage. La lascivité avec laquelle sa future amante descend de son lavabo et se glisse jusqu'à elle lui rappelle que les plaisirs qui vont être les leurs, eux, n'auront rien d'enfantin.

Apparemment, le message est bien passé, puisque la suave sauvagerie avec laquelle Marie se plaque contre elle et l'embrasse à pleine bouche me parait tout sauf infantile. Elle insère sa langue entre ses lèvres tout en effleurant le dos de la belle. Celle-ci répond en dégageant sa bouche et en suçant la langue de cette rousse décidément si sexy.
Les mouvements de leurs bouches sont en harmonie avec les ondulations de leurs corps. Leurs tétons se frôlent en même temps que leurs cuisses se câlinent. Leurs salives se mêlent tandis que leurs nectars, coulant de leurs sexes trempés de bonheur, se mélangent. Lorsque la noire rompt le baiser, leurs corps restent liés par un mince filet de bave suintant de leurs bouches.

Leurs regards brûlants se croisent, s'accrochent et se connectent.
Leurs regards enflammés restent connectés lorsque la noire, constatant l'état d'excitation de Marie, décide de prendre l'initiative et, après un autre baiser, descend lentement sa bouche sur le corps de sa partenaire.
Le brasier de leurs regards est toujours soudé lorsque, après sa bouche, c'est la gorge de Marie qui subit les assauts d'une langue inquisitrice. L'appendice gluant passe et repasse sur la peau sucrée, provoquant des soupirs d'extase à sa partenaire de jeu.
La belle lesbienne à la peau mate continue son inspection du corps qui s'offre à elle. Tandis que son appendice visqueux découvre une, puis deux collines dont elle inspecte minutieusement les formes, un de ses doigts remonte pour tenir compagnie à la bouche, qui se sentait sûrement seule depuis l'arrêt de leurs baisers. Ce doigt caresse d'abord le contour des lèvres pulpeuses, avant de se faire avaler à l'intérieur de la grotte dégoulinante de salive.

Une rousse ferme alors les yeux pour ressentir encore plus profondément le vice s'immiscer entre ses cuisses, tout en faisant un simulacre de fellation à un doigt couleur chocolat. Et que dire du corps rattaché à ce doigt ? Si ce n'est que, aussi sexy que son amante, elle rend hommage à une paire de seins aussi gros, bombés et fermes que les siens, en les embrassant, les suçant, les titillant. Les tétons, dressés fièrement, tels des monuments érigés à la gloire du plaisir, ne sont pas lésés pour autant : la langue s'arrête régulièrement sur eux, des dents viennent les mordiller, et une main, sûrement experte du plaisir féminin, donné et reçu, les torture délicieusement.

Une chevelure de nuit se mêle à une chevelure de feu lorsque les deux corps se retrouvent brusquement à la même hauteur pour que les lèvres, qui se languissaient l'une de l'autre, puissent s'unir à nouveau. Ce ne sont d'ailleurs pas les seules lèvres à s'unir à cet instant : dans une voluptueuse harmonie, leurs antres d'amour se plaquent l'un contre l'autre et leurs corps entament une danse lascive qui fait se frotter leurs chatons.

Dépassée par la jouissance qu'elle est en train de vivre, la rousse tombe sans force dans les bras de celle qui est responsable de son état. Elle trouve quand même l'énergie de chuchoter dans l'oreille de sa partenaire ces quelques mots, d'une voix transcendée par le désir : " Fais-moi jouir, ma chérie". Elle agrémente cette supplique d'une léchouille sur l'oreille, avant de tomber à la renverse.
Sa compagne la rattrape, la dépose délicatement sur le sol et contemple pour la première fois les résultats de ses préliminaires. Ce travail, soit dit en passant, a été fabuleux : la chatte est du même rouge feu que les cheveux rattachés à ce corps. Les lèvres sont tellement écartées que la belle pourrait héberger en elle n'importe quel objet ou organe qui en ressentirait l'envie. Cet accueil serait d'autant plus facilité par la quantité de liquide qui lubrifie sa chatte et qui dégouline délicieusement sur ses cuisses.
Bientôt, une salive étrangère et pourtant désirée vient participer à ce travail de lubrification, apportée par une langue qui se fait chaleureusement accueillir par des râles de jouissance.
Ce magnifique cunnilingus est extrêmement excitant, mais ce n'est rien comparé à ce que se disent les deux beautés entre deux gémissements :

"- Mmmmh, ta chatte a si bon goût. Et le plaisir qui en coule est encore meilleur. Je ne peux plus me retenir, il faut que je me branle moi aussi, sinon je vais devenir folle.
- Attends un peu. Fais-moi jouir et je t'offrirais un orgasme comme tu n'en as jamais connu.
- Petite présomptueuse. Je serais curieuse de savoir ce que tu pourrais me faire auquel je n'ai pas encore pensé.

Sur ce, une langue se retire pour s'occuper du clitoris, tandis que deux doigts pénètrent violemment la vulve brûlante.

- Ahhhhhhhh. Oh que c'est bon. J'aurais préféré garder le suspense, mais puisque tu insistes et vu le talent que tu as dans les plaisirs saphiques, je vais te dire ce que je compte te faire. Ouvre bien tes oreilles, parce que ça pourrait bien ouvrir une autre partie de ton corps.

Elle s'arrête pour libérer le gémissement qu'elle tentait de contenir.

- Je t'écoute, ma chère petite salope. Mais d'abord, JOUIS !

Joignant le geste à la parole, elle mord le clitoris qu'elle tient en sa possession, enfonce son poing dans sa chatte et deux doigts dans son trou du cul. Marie, qui maîtrisait jusque là sa jouissance, s'abandonne d'un coup à un orgasme aussi puissant que fulgurant. A l'inverse de son amante, qui avait crié son plaisir de toutes ses forces, elle s'arrête de respirer et déverse le produit de son bonheur sur des doigts mats, qui s'empressent de le faire partager à une bouche avide.

- Alors, comment j'étais ? demande une voix innocente.

Encore sous le choc, Marie ne répond pas tout de suite, mais se reprend très vite :
- Pas... Pas trop mal. C'est maintenant à mon tour de te faire jouir, et crois moi espèce de salope, tu ne vas pas être déçue du voyage.
- Tu m'insultes ? Ca commence bien.
- Pas seulement. Je vais d'abord te rendre folle de désir, lécher chaque partie de ton corps.

Considérant que ses paroles ont besoin d'être étayées par des actes, Marie se coule le long du corps tant désiré, et, après lui avoir volé un baiser et sucé ses tétons, elle embrasse le nombril, puis le pubis vierge de tout poil de sa partenaire. Etape suivante logique du voyage, la langue se retrouve confrontée à un clitoris bandé à l'extrême.
La femme à qui il est rattaché n'est pourtant pas au bout de ses peines, comme elle le constate rapidement lorsque Marie, après une rapide léchouille sur le minou trempé, descend lentement les jambes. Tandis que d'une main elle tâte un globe durci par le plaisir, et que de l'autre elle caresse le galbe de lèvres d'où suinte de la salive à cause du même plaisir ; la jeune lesbienne, voyeuriste puis exhibitionniste, amène lentement sa langue jusqu'à un pied, suce langoureusement un orteil, puis repart délicatement en direction de l'épicentre de la jouissance de sa compagne.
Elle porte son attention sur une cuisse, la couvre de baisers, puis passe à sa jumelle, à qui elle fait subir le même traitement jusqu'à ce qu'elle brille de sa salive.

- D'accord, tu as gagné. J'ai désespérément envie de toi. Maintenant je t'en prie, fais-moi jouir !
- Pas tout de suite. Je veux d'abord être sûre que tu sois... mûre.

Alors elle cueille dans la paume de sa main l'amour liquide qu'elle a fait couler de ses entrailles, la mêle à sa propre salive, puis l'étale sur le corps tant désiré. Elle se réapprovisionne à la source, n'hésitant pas à la mélanger à ses propres fluides quand elle en a besoin. Elle en enduit le corps entier de sa partenaire, insistant sur le galbe de ses pastèques, après que de petits gémissements lorsqu'elle passait par là lui prouvèrent la sensibilité de ceux-ci.

Elle aperçoit quelque chose derrière sa partenaire de jeu, et, soudainement très intéressée, le prend. Il s'agit d'un sac à main, dans lequel se trouve probablement les accessoires sexuels qui ont été utilisés avant, ainsi que d'autres, qui n'attendent que de participer à leurs ébats.
Elle fouille dedans et en ressort, ravie, ce qu'elle cherchait : une bouteille d'huile de massage. A sa vue, sa compagne à la chevelure de jais se fige, puis se lèche les babines, les yeux brillant à l'idée de ce qui l'attend.
Son corps se retrouve en effet très vite badigeonné d'huile brillante. Sa peau semble flamboyer des flammes du désir qui brûle en elle.

- Retourne-toi, maintenant, je n'en ai pas fini avec toi.

Ne voulant pas retarder plus que nécessaire l'instant de sa jouissance, son amante s'exécute docilement.
Alors la belle rousse, las d'utiliser ses mains, se couvre la poitrine d'huile et l'applique sur le dos de son amante en se coulant le long de son corps. La sensation de seins huileux frottés contre sa peau n'a pas pour effet de calmer l'autre participante de cette partie de jambe en l'air, bien au contraire. Les yeux révulsés, la bouche ouverte en un gémissement, elle suit le mouvement du corps de Marie avec son propre corps.

Son gémissement s'accentue lorsque celle-ci, son travail de lubrification terminé, abandonne son poste de masseuse pour reprendre celui de salope, encore plus jouissif.
Ainsi, elle plante d'un coup un gode qui traînait à côté dans son cul, puis, comme si de rien n'était, suce son clito avec une infinie douceur. La langue est vite aidée par la main droite, dont un doigt, puis deux s'insèrent délicatement dans la chatte. Quelques centimètres plus haut, le gode, manié par la main gauche, pénètre violemment un trou du cul qui transmet de cette manière des ondes de plaisir brut à travers le corps de la belle. Ce plaisir anal brutal est sublimé par la douceur de celui qui découle du traitement qu'inflige Marie à la chatte rosée.

L'effet de ce double traitement est radical : la sublime créature à la peau mate ne bouge plus, ne parle plus et semblerait totalement inanimée si sa respiration saccadée ne trahissait la puissance de sa jouissance. Elle est vautrée sur le sol, la tête baissée soutenue par ses bras, et les fesses en l'air. Son corps est complètement immobile et subit cette intrusion à la fois douce et violente sans aucun mouvement. Puis soudain son orgasme explose. Contrairement à son premier, elle ne crie pas, mais gémit profondément alors qu'un spasme agite tout son corps.
Forte de don succès, Marie rit de bon coeur tandis que sa camarade de jeu tente de reprendre le contrôle d'elle même. Lorsque c'est chose faite, elle l'invite à se relever et elles se dirigent toutes deux vers la douche pour laver leurs corps sensuels de l'huile et de la cyprine dont ils sont couverts, symboles de la luxure qui s'est emparé de leur être.
Qui s'est emparé de leur être ? Qui s'en empare devrais-je dire puisque cette douche est pour elles une nouvelle occasion de caresser les zones sensibles de leurs corps pour faire repartir leur désir de sexe. Ondulant l'une contre l'autre, Marie se faisant lécher le cou par derrière, elles profitent de cet instant magique. Marie, la sublime Marie, se penche alors en avant en une courbe harmonieuse et se tend pour attraper le sac à main dont elle avait retiré le flacon d'huile plus tôt.

Elle en ressort, ravie, un gode à deux extrémités mesurant une bonne trentaine de centimètres. Les deux compagnes l'admirent, émerveillées, avant de le gratifier de coups de langue impressionnants de sensualité. Dans un même ensemble harmonieux, elles insèrent ensuite chacune une extrémité dans leur intimité. Cette intrusion se fait lentement, centimètre par centimètre, sans doute pour faire durer le plus longtemps possible cet instant. Elles se retrouvent finalement encore une fois l'une contre l'autre, s'embrassant et se caressant. Alors qu'elles s'arrachent à ce baiser pour mieux se dévorer du regard, leurs corps restent liés, comme si les deux centimètres qui les séparent étaient en fait deux longs kilomètres. En effet, leurs mains se tiennent, leurs langues sorties sont connectées par un mince filet de liquide et leurs entrailles, remplies par le même objet, sont par conséquent soudées entre elles. Lorsqu'elles s'écartent, le gode se découvre, avant d'être à nouveau avalé par deux chattes en fusion désireuses de s'embrasser en le faisant entrer en elles.
Les deux donzelles reprennent leur danse lascive, s'empalent sur le même pieu non de chair, mais de plastique. Elles ondulent, chacune abandonnant son corps aux caresses de l'autre afin de profiter au mieux de ce moment de bonheur. La jouissance s'intensifiant, les mouvements se font plus saccadés, plus amples. Les épicentres de leur plaisir se séparent plus loin, mais se réunissent plus vite et plus fort. Les mains des deux nymphes, qui empoignaient les cheveux, frôlaient un nombril, se posaient délicatement sur une hanche, se font maintenant plus enveloppantes et se concentrent sur la poitrine grosse et ferme de leur voisine. Les gémissements se font aussi plus rauques.

Je suis émerveillé par les deux corps intimement liés de ces femmes. Leurs corps se frôlent, se pressent, se séparent comme à regret pour mieux se retrouver quelques secondes plus tard. Je peux presque sentir leur formidable orgasme approcher, s'éloigner lui aussi à regret pour être sûr de les dominer totalement par la suite.

Je sens de même leur raison faiblir, être sur le point de s'évanouir. Ce n'est plus qu'une question de secondes avant que la jouissance ne consume leur être.
Effectivement, en me faisant cette réflexion, je les vois basculer : elles se retrouvent allongées, ce qui ne les empêche pas de continuer leurs ébats. Cependant, leurs caresses cessent : leurs collines de volupté sont pressées l'une contre l'autre, elles occupent leurs bras dans une étreinte et leurs bouches sont soudées l'une à l'autre, comme si elles ne pouvaient plus supporter la séparation. En fait, la seule partie encore active de leur corps est leur sexe, et son activité est plus que soutenue. Elles s'y livrent à une pénétration intense, sauvage, frénétique, mais hautement jouissive si l'on considère les sons gutturaux qui sortent simultanément de leurs lèvres emmêlées. En effet, leur baiser passionné ne représente plus une barrière assez puissante pour empêcher leur jouissance de s'exprimer oralement. Elles gémissent donc en tandem de toute la puissance de leurs poumons, sans toutefois interrompre leurs échanges de salive, ce qui résulte en un chœur de sonorités couvrant toute la gamme de la luxure.

Néanmoins, garder ce contact buccal tout en jouissant représente un effort monumental pour deux femmes ayant consumé toute leur énergie dans la luxure et la passion. Après un pic de jouissance sûrement plus puissant que les autres, ce lien se rompt donc. Leurs bouches avides se retrouvent soudain à l'air libre, et tentent d'oublier leur déception en établissant un contact avec la peau satinée de l'être désiré.
Leurs visages sont recouverts de baisers, leurs mains se joignent, leurs seins se compriment, leurs bas-ventres s'éloignent et se rapprochent à une vitesse telle que le mouvement me paraît flou, tandis que leurs voix harmonieuses s'élèvent pour célébrer le plaisir qu'elles sentent approcher, toujours plus près. Dans quelques secondes il sera accessible, dans quelques instants il les submergera.
Pour l'instant la seule chose qui ait du sens pour elles est la sensation de ce corps qui leur est offert et à qui elles s'offrent allègrement. La seule chose qu'elles ressentent est ce phallus en plastique qui les pénètre toutes deux, dans un même mouvement bestial. Tout leur être est tendu vers un unique objectif : celui d'atteindre cet orgasme qu'elles sentent croître en elles. Cet orgasme, depuis le sexe, a envahi leur corps : leurs membres paralysés, leur cerveau engourdi, tout leur être ne vit plus que pour cet orgasme qu'elles attendent, qu'elles espèrent, qu'elles désirent.

Leurs mouvements se font furieux. Habitées par le même désir sauvage de jouissance, elles s'affairent à s'empaler de leur mieux sur le réceptacle de leur plaisir. Je peux pratiquement en apercevoir l'extrémité à chaque coup tellement les mouvements se font amples.
Les deux déesses se répandent dans le péché charnel : elles se branlent indécemment l'une sur l'autre, en quête de la jouissance merveilleuse qu'elles aperçoivent pour conclure cette soirée magique.
L'orgasme les entoure, il se rapproche à mesure que leurs cris l'appellent. Elles le sentent être prêt à fondre sur elles, à les recouvrir de ses sensations si délicieuses.
Proche, tout proche, si proche.
Il les atteint, les touche de son doigt de rose, prélude d'un bonheur fantastique.
Il les encercle, s'immisce dans leurs corps, se tend.
Puis explose.

L'orgasme les frappe toutes deux en même temps, leurs gémissements dénués de raison se fondent en une ode à la jouissance, pendant que leurs corps se figent dans un dernier rapprochement. Leurs chattes sont donc encore une fois en train de se caresser lorsqu'elles mélangent leurs jus d'amour.
Elles savourent le bonheur brut qui a déferlé sur elles, qui les a poussé dans les bras l'une de l'autre et qui les plaque maintenant au sol, incapables qu'elles sont de s'arracher à la présence qu'elles ont accueilli au plus profond de leur être. Pourtant, ce moment de béatitude reflue au bout d'un moment.

Revenant douloureusement sur terre, les deux nymphes se résignent à extraire l'étranger en plastique de leur grotte profonde. Celui-ci est maculé d'un liquide symbole de l'intensité des actes qu'il a permis d'effectuer. Il retrouve sa place dans le sac de sa propriétaire, accompagné de ses congénères, dont les bons et loyaux services sont remerciés par un nettoyage buccal complet et des regards caressants au souvenir de la jouissance qui leur est associée.
Finalement apparemment repusses, elles profitent une dernière fois de la douceur du corps de leur partenaire en s'enlaçant.
Ensuite, elles reprennent une douche, chaste cette fois et qui ne provoque aucun autre incident sexuel, si ce n'est le plaisir évident que chacune prend à laver le corps qu'elle a souillé auparavant. Les regards de braise ont cédé la place à des oeillades complices et si la jouissance était auparavant une terre d'avenir, pleine de promesses, elle appartient désormais à un doux passé, proche et pourtant irréel, et dont les corps portent encore les traces. Même les bulles de savon qui roulent sur leurs corps semblent davantage souligner la beauté que l'impudeur.

Et puis, après une dernière étreinte, un dernier baiser, les corps se séparent. Sans un mot, la plus bronzée des deux quitte sa compagne.
Elle attend d'être à la lisière de mon champ de vision pour daigner se retourner en faisant virevolter ses cheveux d'ébène. Elle envoie un tendre baiser à celle qui a su combler ses sens, puis se détourne et se fond dans la nuit.

FIN
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Histoire de Louxi

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