Club échangisme

Club échangisme……au féminin…pluriel.
Je vais pouvoir réaliser mon fantasme suprême, me trouver nue dans une grande salle sombre entourée d’hommes et de femmes nus comme moi et pouvoir sans retenue, sans obstacles caresser des verges, les prendre dans ma bouche ; ma chatte et mon cul remplis de queues bien raides ; mes tétons, mes grosses lèvres, mes fesses léchés par des bouches avides, des langues agiles, curieuses, indiscrètes ; sentir au fond de ma vulve, sur mon visage, entre mes seins, entre mes fesses, des jets puissants de foutre ; choisir les plus gros sexes pour bien me faire défoncer, l’anus surtout, jouir jusqu’à l’épuisement entourée de complices ayant les mêmes pulsions que moi.

Cela n’a pas été aussi simple de se faire admettre. Quand vainquant mes appréhensions je m’étais avancée, préparée avec soins à la porte de ce club renommé de la ville voisine, prête à tous les outrages. Je me suis retrouvée sur le pavé très déçue de n’avoir même pas pu entrer.

Un homme et une femme m’ont reçue pour me faire subir un interrogatoire serré : Mon âge, mes motivations, mes tabous furent passés en revue, j’ai mis tout mon talent avec force détails à montrer que j’étais prête à tout. Je me demandais quand j’allais pouvoir participer, suivre tous ceux qui entraient par une porte discrète dans une sorte de bar rempli de consommateurs de tout sexe.

On me demanda alors mon certificat ! Quel certificat ? Je compris qu’il s’agissait de démontrer une séropositivité négative ! On m’indiqua que c’était absolument obligatoire pour baiser en toute liberté et sécurité. Catastrophe je devais fournir un premier résultat puis un deuxième trois mois plus tard. Ce n’était donc pas pour demain que j’allais m’envoyer en l’air.

Dernière démarche un peu moins rébarbative quand l’homme passant une main sous ma jupe caressa tendrement l’intérieur de mes cuisses avant de me doigter ma chatte en feu ; la femme me prit dans ses bras et tout en me caressant les seins elle m’offrit ses lèvres me plantant sa langue dans ma bouche.

Comme j’essayais d’ouvrir son pantalon on m’indiqua que ce n’était pas nécessaire, que j’avais assez prouvé mon envie d’être membre du Club et que dans trois mois je pourrais bénéficier de ces prestations. On m’indiqua aussi le tarif, ce n’était pas donné et que pour ma première expérience j’aurai intérêt de choisir un soir de pleine lune, c’était d’après eux beaucoup mieux ?
……….
Aujourd’hui c’est le grand soir, la lune est pleine, la mienne est prête aussi. Je suis tremblante d’émotion en empruntant la rue discrète du Club. Je me suis arrangée très sexy, je suis parfumée. Je frappe au marteau de la lourde porte en bois….on m’observe par le judas ….je montre ma carte du Club…..la porte s’ouvre en grinçant….j’entre…. un couple entre à ma suite….des habitués sans doute car ils se caressent déjà.

Je suis dans le bar, il est presque désert, on m’invite à prendre un verre, je décline l’offre je ne suis pas venue pour boire mais pour baiser, pour en prendre plein mes fesses. Je crains d’un coup d’être déçue. J’observe la maigre assemblée, des poivrots pour la plupart, les barmans eux me lorgnent, je sens qu’ils m’envisagent et ce n’est pas désagréable. L’un deux me fait des signes de la tête…je comprends qu’il me montre la porte au fond du bar. Je me dirige vers elle et avant de refermer la porte sur moi je lui fais un petit salut de remerciement, il m’envoie un baiser.

Enfin du monde ! Les hommes et les femmes sont en petites tenues. La pièce assez grande me semble être un sas où l’on commence à s’effeuiller et où l’on reste un moment pour s’émoustiller. Apparemment on ne reste pas nus dans cette pièce car le dernier string enlevé, les membres quittent la pièce par une porte capitonnée et disparaissent dans ce qui doit être la salle de baise.
Mais déjà on m’entoure :
« Venez les amis une nouvelle ! »
Trois hommes et une femme m’approchent, les hommes bien foutus sont en string, la femme en guêpière, la poitrine généreuse avec de beaux tétons bien formés.
« Alors beauté on vient baiser ? »
Il est grand, il est beau, je lorgne son entrejambes, on distingue nettement son membre dressé, énorme, décalotté sous la fine étoffe et sa paire de couilles. Il me serre de près et sa main s’égare sous ma jupette par derrière et me palpe les fesses.

Je suis attaqué à l’avant aussi, une main furète entre mes cuisses et triture ma chatte, cela commence à me plaire. La jeune femme elle me déshabille avec dextérité et délicatesse sans gêner les hommes qui me caressent. Elle ne me laisse que ma petite culotte. J’ai les seins à l’air les pointes tendues par l’émotion qui s’installe, des doigts mouillés titillent mes tétons.
Les mains sont passées maintenant sous le faible rempart de mon slip et je sens des doigts qui s’enlisent dans ma chatte et dans mon cul…..que c’est bon !
« Nous on aime mieux rester ici, nous guettons les nouvelles, pour vous initiez aux règles de la maison… »
C’est à peine si j’entends tant mon émotion est forte, les mains fourragent mes deux puits et mes seins sont pris en bouche par la femme.
« On ne peut baiser dans cette salle, une fois nu on doit aller à côté, mais ici on peut déjà se faire plaisir »

Du plaisir je leur en donne aussi, je suis entourée, j’ai sorti les sexes de leur écrin en écartant le triangle de soie qui masquait leur virilité, les couilles ont suivi, cela semble permis. Avec un sexe dans chaque main je fais jouer la peau de leurs zobs en décalottant leur gland avant de les encapuchonner à nouveau, je sens leurs palpitations. Leurs hampes pulsent entre mes doigts.

C’est jouissif d’autant qu’ils me trouent le cul et la chatte avec ardeur. Le troisième s’avance devant moi, me repousse et me force à m’asseoir sur une sorte de banquette, mes jambes écartées entre ses cuisses ouvertes, il veut sa part, je comprends ce qu’il veut et j’ouvre ma bouche, je sens son gland tout chaud entre mes lèvres qui se serrent sur sa hampe et je le laisse se branler à la limite de l’étouffement, mais il est raisonnable et sait limiter son ardeur ses mains dans mes cheveux m’attire et me repousse vers sa verge. Moi je joue avec ma langue quand il sort son gland décalotté, cela à l’air de lui plaire et il s’attarde à l’entrée de ma bouche avant de replonger entre mes lèvres. Quand il est à fond, j’aspire en creusant les joues, je fais le vide, sa bitte, son gland gorgé de sang deviennent énorme déformant ma bouche à la limite du supportable ; il a l’air d’aimer, les yeux dans le vague en gémissant, moi aussi j’aime, je suis venue pour ça.

Les sexes sont énormes et durs entre mes mains attentionnées, je varie en soupesant leurs couilles avant de reprendre ma masturbation en vrillant leur queue, faisant jouer la peau sur leur hampe. Je les sens perdre pieds, au bord de l’éjaculation, visages ravagés ils n’ont plus la concentration ni la force de branler mes puits mais la femme accroupie devant moi entre les jambes de celui que je suce et les miennes, a écarté ma culotte et elle lèche ma chatte tandis qu’un doigt en vrille perfore délicatement mon petit cul.

Un quatrième arrivant attiré par le tableau que nous donnons se place derrière moi pour me prendre les seins. Il sait y faire car il les pelote durement comme j’aime en les prenant par-dessous ; il mouille ses doigts abondamment et pince mes pointes durcies, il les triture, tire dessus. Le plaisir me submerge moi aussi d’autant qu’une de ces mains abandonnant mes seins descend sur mon ventre et doigts en avant fouille entre mes cuisses au ras de la langue qui s’agite en moi et se referme sur mon clito sensible à l’extrême, je le sens bandé sorti de son antre tel un petit sexe sanguinolent.

J’ôte une de mes chaussures et pour remercier ma suceuse je glisse mon gros orteils dans sa fente il entre en entier dans sa vulve toute mouillée, sa langue se déchaîne en moi et elle a une attention pour celui qui se vautre onctueusement dans ma bouche en lui captant ses couilles dans la paume de sa main. C’est à ce moment que je m’abandonne, le plaisir devient orgasme, je ne contrôle plus rien, cette langue, ces mains sur moi, en moi font monter ma jouissance.

Mais d’un coup je me sens soulevée de la banquette où je suis assise, mise debout avec mon voisin en arrière collé sur moi, son sexe à l’air entre mes fesses sur ma ficelle, il me prend par la taille pour s’asseoir à ma place me forçant à m’installer sur lui. Il prend son temps car je sens son gland se centrer sur ma rondelle. Ce n’est pas possible ? Est-ce permis ?…oui sans doute puisque nous avons toujours notre string. C’est délicieux en tout cas….mon cul déjà préparé…sa verge lubrifiée, je la sens…..Je suis soutenue tout le temps de la descente…..le gland de velours d’abord qui fait le passage…puis la hampe, énorme, dure, longue….obstinée à s’engamer dans mon cul…la fin est délicatement délicieuse, je suis soulevée légèrement puis relâchée avant de m’empaler un peu plus sur l’énorme pieu. Je me sens écartelée, la verge serrée dans mon fourreau musculeux et d’un coup je me sens complètement ouverte assise sur ses cuisses, son dard palpite entièrement en moi.

Alors tout chavire dans ma tête et dans mon corps, n’ayant la force que de rendre une partie de l’immense plaisir qui irradie tout mon être. Chacune de mes mains, ma bouche, serrées sur des queues gonflées, dures prêtes à exploser, mes seins manipulés sans douceur, leurs pointes triturées, mes cuisses ouvertes sur cette bouche qui mange ma chatte, et cette langue qui lape mon clitoris, mon pouce de pied entre les petites lèvres de ma belle suceuse. Et surtout cette énorme queue qui me défonce mon anus arrondi sur lui. On me fait tressauter sur les genoux pour faire aller et venir ce membre entre mes fesses et quand je retombe sur lui, complètement écartelée, c’est l’extase me tirant des cris syncopés qui excitent mes complices.

Je suis le centre d’une communauté désireuse de jouir, de me faire jouir, ils se sont tous rapprochés de moi, tournés vers moi, tous les cinq, leurs mains, leurs queues, leurs bouches centrées sur moi et quand d’un coup mon orgasme se déclenche puissant dévastateur ; quand je me mets à hurler en me tordant de plaisir, de jouissance, tous me rejoignent dans le stupre, je sens des jets de foutre m’inonder la bouche, le visage, les seins, l’anus. Je me prête à leurs caresses en les délivrant jusqu’à la dernière goutte de leur semence, comme moi ils râlent de contentement et toujours en contre-chant, entre mes fesses, le cierge qui me pistonne onctueusement le derrière.

Nous sommes complices et nous faisons durer notre bonheur, je garde le sexe dans ma bouche en avalant son nectar, je branlotte les queues toujours dures dans mes mains, je fais aller et venir mon orteil dans la vulve de ma compagne qui me lèche le clito tout en me branlant la chatte avec deux ou trois doigts je ne sais plus. Mais c’est la grosse verge qui va et vient dans mon cul qui maintient ma jouissance.

Comme j’ai bien fait de me décider de venir à ce Club, pour un début c’est parfait, mais il me faut plus, la salle de baise m’attire irrésistiblement et quand après avoir bien joui je me lève et que devant tous je quitte mon string, chacun comprend que je vais aller rejoindre la dernière salle. Tremblante je m’avance vers le fond de la salle, j’ouvre la porte insonorisée et j’entre….

Une bouffée odorante, épaisse, d’air tiède m’accueille, cela sent le parfum, la laque, mais aussi et surtout la sueur, l’odeur de sexes reconnaissable entre toutes. La salle est de forme ovale, de taille moyenne, avec des alcôves tout autour. L’assistance est nombreuse, hommes, femmes serrés, debout les uns proches des autres. Tout ce petit monde s’enlace, se caresse, s’embrasse dans un bruit de fond rempli de gémissements, de rires, avec de temps à autre des cris hystériques de jouissance.

D’un coup je sens que je suis chez moi en ce lieu, c’est celui dont j’avais rêvé et très émue je m’avance fendant l’assemblée, frôlant les corps nus qui au passage s’accrochent à moi pour me retenir. On me caresse les fesses, on pince ma taille, on empaume mes seins, on fouille entre mes cuisses, je me laisse faire ravie en avançant. Pour aller où ? Je ne sais ? Je sens des verges bandées se vautrer sur ma nudité, entre mes fesses, entre mes cuisses. Je me dégage en rendant les caresses, je palpe des sexes d’hommes, soupèse leurs couilles, triture des seins avant de les abandonner, insatisfaits, pour d’autres.

A un moment au milieu d’un cercle de voyeurs un couple allongé sur le sol baise dans la position du missionnaire, la femme un coussin sous ses fesses, cuisses écartées se fait fourrer la chatte, cela doit durer depuis un moment car les deux partenaires jouissent en gueulant. On peut voir les fesses de l’homme s’agiter frénétiquement, le dos ravagé par les ongles de la belle en plein orgasme.

Le temps de regarder la scène qu’on s’occupe de moi plus sérieusement, je sens une verge s’enliser entre mes fesses tandis que des doigts dans ma chatte cherchent mon clitoris. J’ai du mal à me dépêtrer de ce mâle qui déjà cherche à me baiser.
Mes pérégrinations m’amènent à proximité des alcôves et là je vois des situations plus complexes, plus conformes à ce que je cherche. Il y a un mobilier sommaire, des tables capitonnées, des banquettes, des chaises, des sofas et surtout des groupes, des grappes de participants, des hommes surtout qui gravitent autours de femmes qui se régalent, elles se font caresser, sucer, pénétrer par tous leurs orifices. Elles sucent aussi, branlent ce qui passe à leur portée. Je reconnais le couple qui était entré en même temps que moi et le mari offrant sa femme tandis qu’il en baise une autre en levrette.

Mais d’un coup un homme m’entraîne, je ne peux résister à sa force, j’essaye de me dégager sans y parvenir, en me débattant ma main touche sa verge et d’un coup je comprends que je vais le laisser me baiser. Jamais avant cela je n’avais vu ou touché un sexe si gros, si long, si dur, il se dresse arrogant, collé sur son ventre, le gland énorme, décalotté….je m’agrippe sur cette tige et d’un coup je me sens inondée entre mes cuisses, ma chatte est toute trempée, je mouille ! c’est bon !

Je me sens soulevée, emportée comme une bête dans son antre, écartelée, allongée, le dos sur une sorte de table étroite, je sens une présence entre mes cuisses, sur mes lèvres intimes, lubrifiées, ouvertes. Sa queue en main l’homme cherche ma vulve, mes grosses lèvres s’écartent, il remonte, je pousse un petit cri quand son gland caresse mon clito, que c’est bon ! je gémis pour l’encourager à rester sur mon petit sexe bandé, avec sa main il agite sa verge pour me triturer le bourgeon et je ne peux résister je m’inonde et arrose le bout de sa queue qui glisse onctueusement dans mon entrecuisses.

Je vois le regard de l’homme, il semble fasciné par ce qu’il voit, son sexe qui peu à peu s’enlise en moi, juste le gland qu’il entre et ressort et qui se vautre en écrasant mon clitoris avant de replonger délicatement entre mes petites lèvres. L’homme commence à trouver son plaisir car il grimace, son souffle devient plus court, il commence à gémir il reste en moi bien centré sur ma chatte et sa main est devenue inutile. Il commence à bouger son bassin, imperceptiblement d’abord, il baise bien, il sait contrôler son émotion. Je sens entrer en moi sa grosse queue, il se penche sur moi et me prends les seins à pleines paumes, il est moins délicat avec eux mais c’est ce que j’aime.

J’aime qu’on maltraite ma poitrine, elle est dure, les pointes dressées me font mal. Je pousse un grand cri quand je sens sa bouche sur elles, sa langue… Et puis sa verge qui s’agite en moi de plus en plus profond, de plus en plus vite, de plus en plus grosse et dure. Je lui sais gré de ne pas jouir de suite, il semble bien se contrôler. Il m’a pris sous les fesses et m’emmanche maintenant avec violence, il est au bord de la rupture, ses cris ponctuent le claquement de son ventre sur ma croupe, il hurle
« Jouis salope ! » Nos regards se croisent, il lit mon plaisir dans mes yeux égal au sien, alors il se laisse aller
« Ahhhhhh c’est bon….salope…..prends en plein ton cul…Ahhhhh….Ouiiii ..»
Je jouis moi aussi, à chaque avancée de son ventre un jet puissant m’inonde au plus profond de ma chatte, je sens son foutre qui remonte en pression entre nos deux sexes et qui nous éclabousse le ventre, les fesses. Cela ne semble plus finir pour mon plaisir car ce que j’aime par-dessus tout c’est justement cette pression au fond de mon être quand le gland m’asperge en ouvrant la porte de mon utérus.

Depuis longtemps j’ai perdu le sens de la réalité, j’ai du jouir plusieurs fois de plus en plus intensément, je commence malgré tout à revenir sur terre, je me sens entourée, je sens toujours dans ma chatte les va et viens de cette verge qui m’a fait tant jouir, l’homme semble calmé mais son pieu est toujours aussi raide en moi, il me sourit et tout en me baisant il glisse sa main entre mes cuisses et avec son pouce il maltraite mon clito, mon point faible quand je jouis. Dans un moment de lucidité je reconnais parmi ceux qui s’agitent autour de moi le barman qui m’avait envoyé un baiser. Il est nu lui aussi, beau mâle, il me sourit,
« N’aie pas peur » me dit il « on est tous là pour jouir »
Je n’ai pas peur, j’espère seulement qu’on va bien s’occuper de moi comme je l’espérais. Je suis entourée, des hommes, quelques femmes, ils me caressent. Moi je tends mes mains et j’ai tôt fait de capter deux beaux sexes, bien durs déjà ; des doigts, des lèvres me pincent les tétons, les lèchent, des mains frôlent tout mon corps, mon visage. En fait de mains sur mon visage c’est un sexe qu’on promène sur ma bouche en forçant mes lèvres. Je m’ouvre sur lui comme ma chatte sur la bite qui me pistonne.

Une femme à genoux derrière mon baiseur a pris ses couilles dans sa bouche et avec ses mains elle s’occupe de nous, je sens ses doigts sur la hampe qui me fourre, sur mon clito et sur mon petit cul amadoué encore ouvert. Ses doigts nous frôlent délicatement. Je suis bien, dans un autre monde, tout mon corps sollicité, caressé, pétri, léché, mordillé. Je rends ce que je peux en suçant de mon mieux en aspirant la verge dans ma bouche, en branlant vigoureusement des sexes. Il doit y avoir des permutations chacun à tour de rôle cherchant à bénéficier des avantages de la situation, on s’occupe de moi, ils s’occupent entre eux, un échange général de caresses, de pénétrations de toutes sortes.

Entre mes cuisses, un changement, la petite main extirpant la verge de ma chatte la présente en dessous sur mon anus. La pénétration est plus délicate vu les dimensions du membre, petit à petit je le sens s’enliser en moi, centimètre par centimètre laissant à mon cul le temps de s’adapter de s’ouvrir hors de toutes normes, la hampe est de plus en plus grosse en approchant du ventre et à la fin c’est presque pénible, heureusement pour moi je sens ses couilles entre mes fesses, il est à fond et moi je suis pleine. Petit à petit mon cul s’ajuste sur l’énorme queue enfoncée à fond en moi et le plaisir revient. J’ondule de la croupe pour sentir vivre cette verge dans mon fondement comme j’adore.
Ce qui suit restera inoubliable pour moi, car l’homme des cavernes qui m’avait entraînée dans sa grotte entreprit de s’allonger sous moi, vous imaginez la cascade, il me prend dans ses bras, relève mon buste, mes seins sur sa poitrine, nos visage proches , il se retourne m’entraînant avec lui, sa queue toujours en moi à fond dans mon cul et se reculant il s’assoit à son tour sur la banquette étroite et recule pour s’allonger cuisses écartée, sa verge tordue enfoncée en moi, et moi couchée sur lui, face à lui, dans ses bras, ses mains caressent mes seins et mes fesses. J’ai le buste relevé, en appui sur mes bras la bouche libre pour donner du plaisir à des queues qui à tour de rôle se glissent entre mes lèvres.

Autour de moi c’est l’hallali, la curée, chacun prend son plaisir sur moi, avec moi. On éjacule dans ma bouche, sur mon corps, entre mes seins, chacun de mes tétons a une bouche pour le lécher, le téter, le triturer. Je me rends compte qu’on se bouscule pour jouir dans ma bouche, chaque sexe différent, plus ou moins gros, plus ou moins délicat, ils y vont franchement au risque de m’étouffer de me noyer sous des masses de sperme qui dégouline entre mes seins. Les plus timides se contentant de me caresser et de jouir dans ma main, leur semence giclant en jets puissants.

Et puis dans mon cul la verge s’ébranle, doucement d’abord puis de plus en plus fort de plus en plus vite. Mon cul s’est adapté, ajusté sur sa monstruosité et c’est du plaisir maintenant. L’homme va en moi de toute la longueur de sa verge et je vais à sa rencontre pour que ses couilles fouettent mes fesses. Je jouis comme une salope par le cul….c’est bon !

Et puis dans une demie inconscience, je le vois s’approcher devant moi il est beau, il sourit, il est nu, son jeune corps musclé bien lisse. Il tient son sexe à la main dressé, énorme, noueux, décalotté et il l’agite sous mes yeux. Vous avez reconnu mon barman. Je m’entendis lui crier :
« Viens…..ouiiiiiii…..viennnnnns »

La femme complice depuis le début se dévoue à nouveau et pour dégager la raie de mes fesses de la présence du pieu qui m’encule elle le prend en main, le sort de mon fondement et le ployant le remet à nouveau dans ma chatte où elle n’a aucun mal à s’introduire et continuer d’aller et venir.
C’est de la folie, mieux que tout ce que j’espérais….était ce possible ? …Ce le fut. Mon ange nous enjambe en ployant ses cuisses et l’incroyable se produisit, je sens son gland dans la grotte grande ouverte de mon anus et d’une poussée sa queue s’enlise dans mon cul en compagnie de celle qui s’agite maintenant dans ma chatte. Je les sens toutes les deux qui s’agitent dans mon ventre.

Jamais je n’avais eu cette sensation même quand seule je faisais la même chose en pistonnant mes deux trous voisins avec des godes ou des légumes. J’ai dans le ventre deux bittes vivantes, bien chaudes, attentionnées qui s’entendent à merveille. Elles me fourrent à tour de rôle ou mieux simultanément. Jamais ma jouissance ne fut si complète, on me pétrit les seins on m’embrasse dans le cou…..C’est trop…..c’est trop bon….je ne peux que jouir….Mon cri d’un coup résonne dans toute la salle de baise…je sens qu’on vient voir celles et ceux qui jouissent tant… ; on nous encourage, on se branle en nous regardant , on se joint à nous, des hommes des femmes se baisent autour de nous, debout, excités par le spectacle que nous donnons, par nos cris…

Mon seul regret c’est de tourner le dos au jeune barman qui me pistonne l’anus et qui ne peut lire l’effet qu’il me fait, il est tellement beau, si gentil, je tourne la tête, il me regarde en souriant
« Baise- moi….. à ton tour » lui dis je dans un souffle
Il semble le maître ici, on l’aide, on m’aide, on me soulève, on me retourne sur l’homme en dessous qui rouspète le sexe à l’air, mais on le calme deux donzelles s’affairent sur nous, on m’écarte les cuisses, on prend sa verge, on la relève entre mes fesses et de nouveau je me sens le cul rempli….que c’est génial, cette connivence de tous pour le plaisir. Je suis légèrement penchée en arrière mais redressée, ouverte. Avec ses mains, l’homme par dessous maintient mes cuisses repliées, relevées et écartées cela l’aide à me pénétrer à fond. Dans cette position ma chatte est offerte, prête à tous les assauts.

Nous sommes au bord de la table, mon chouchou est devant moi, Il me redresse et me serre dans ses bras, il est debout son sexe à bonne hauteur, il m’avance bien au bord et tandis qu’il m’enlace je sens sa verge qui entre dans ma chatte, qu’elle est grosse, qu’elle est lisse, qu’elle est bonne, la position empêche une possession complète mais il prend mes cuisses et les relève en appui sur ses épaules et c’est l’enchantement car il me baise à fond, son regard me transperce, il doit lire mon plaisir dans mes yeux chavirés, je sens son souffle court, je l’encourage simplement d’un :
« Ouiiiii… ; c’est bon…baise moi bien….baise moi longtemps… »

Qu’il est beau, je veux qu’il jouisse, je me tortille prisonnière de cette queue rivée dans mon cul, je me serre sur lui, j’ondule du bassin, pour tordre sa verge en moi, il apprécie je sens monter son plaisir et quand il explose en moi je l’accompagne dans la jouissance, il inonde ma vulve en jets puissant qui me fouettent bien au fond de moi. Il est penché sur moi et me caresse la pointes de mes seins, il se penche plus encore et nos bouches se joignent et s’ouvrent, je sens sa langue qui s’enroule sur la mienne et l’aspire.

Combien de fois m’ont-ils fait jouir, combien de temps ont-ils maintenu mon orgasme, je ne sais plus ! J’ai du en faire jouir plus d’un moi aussi, tous ceux et celles qui s’agglutinaient autour de nous trois donnant et recevant du plaisir en toute liberté. Je leur serais éternellement reconnaissant pour avoir su me donner ce que j’étais venue chercher.

D’un coup un autre cri à l’autre bout de la pièce attire l’assistance jouisseuse, curieuse, versatile et seuls, si l’on peut dire, la quinzaine de participants de notre groupe nous pûmes jouir en toute tranquillité……

Heureuse, repue, je récupère mes vêtements, mais avant de sortir dans la rue je dois m’asseoir pour retrouver des forces…j’entends des..merci…des…à bientôt…le barman rhabillé vient même m’embrasser chastement …..Je sors dans la rue, le vent frais me réconforte….je suis heureuse, j’ai un peu mal au cul…je me promets de revenir.