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Courrier pas si anonyme 1

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Lue : 6068 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 12/10/2015

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Voici une histoire érotique qui m'est arrivée, pour ceux qui ne recherchent que du porno, inutile de me lire, ça ne vous intéressera pas, c'est une histoire où je me suis prise au jeu avec un très jeune homme, pas mal de paramètres ont été changé par discrétion, j'ai juste voulu raconter la montée crescendo des événements, si au départ, je fixais une limite très raisonnable, très joueuse, l'engrenage m'a grignotée petit à petit.

Pour ma description, je rapporte ici ce que j'ai entendu de moi, je dirais juste que je ne suis pas bien grande, 1.6 m pour 53 kg, mais que je plais aussi bien aux jeunes qu'aux moins jeunes, on dit que j'ai de très belles jambes et une belle poitrine qui se tient bien, ainsi qu'un beau fessier, j'ai (toujours aux dires) un joli visage et une voix sensuelle, que mon mari a bien de la chance. Les moins galants, en douce disent entre eux, que je suis BCBG, très sexy, élégante, bandante et que j'ai de la classe, que ma tête est aussi bien remplit que mon soutif.
Les personnages principaux sont en plus de moi bien sur, le fils (que j'appelle le neveu), son père, sa mère, et un camarade de classe, l'histoire est l'époque ou j'en parle dans un le récit N°14 de (vengeance heureuse d'un cocu)

Tout a commencé quand j'ai dû quitter la province, ou je venais juste de m'installer et ou on m'a demandé (ma boite), de revenir pour deux ans, me réinstaller sur paris, deux années auparavant, j'avais demandé à des connaissances, des amis de vacances qu'on voyait deux fois l'an, s'ils ne pouvaient pas héberger ma fille (majeure), qui faisait ses études prés de chez eux, à une demi-heure de transport en commun, non pas pour le coût d'un studio, mais plutôt pour être rassuré de la savoir chez quelqu'un qu'on connaît.

Ces gens simples et sérieux n'étaient pas fortunés et nous leur payions une pension assez substantielle qu'ils refusèrent au départ, mais acceptèrent à nos arguments, elle était là-bas, traitée royalement, d'une nature timide, elle n'avait pas vraiment accroché avec leur fils, juste des bonjours, bonsoirs, lui, il était plus avec ses copains, et elle avec ses copines.

C'est de façon très timide, qu'ils nous ont demandé la même chose pour leur fils, quand ils apprirent que nous déménagions à nouveau sur Paris, nous étions contents de pouvoir leur rendre la pareille, pour la pension, ils ne pouvaient pas donner moins, que ce que nous avons donné pour notre fille, mais en argumentant qu'on ne payait, ni loyer, ni charges, nous avons réussi à ne pas les "saigner", nous le faisions passer pour notre neveu auprès du nouveau voisinage.

Il faut dire que leur fils, que nous connaissions depuis plus de cinq ans, à cette époque déjà, n'arrêtait pas de me reluquer en douce, ma fille ne nous a jamais rien dit la dessus, alors est-ce moi spécialement, je ne sais pas, par contre, il restait très discret et était très polie et serviable, son père me reluquait aussi, un petit peu moins discret et avait les mains baladeuses .

Plusieurs fois, j'ai senti ses mains sur moi dans l'eau quand nous chahutions, ou que j'étais dans le passage, mais comme cela restait discret avec une possibilité de faire croire que c'était involontaire, je faisais comme si je ne me doutais de rien, entre nous, avec elle, nous en avions parlés en plaisantant, elle n'était pas jalouse, elle disait, "ha, celui-là alors".

Nos conditions n'étaient pas les mêmes, mais j'avais bien accroché avec elle et mon mari avec lui aussi, nous ne mesurons pas la qualité des individus en fonction de leur compte bancaire et eux ne nous prenaient pas pour des doryphores bourgeois, nous nous somme connus à la plage, il n'y avait pas la barrière de la condition sociale, nous étions tous en maillot de bain.

Pour mon mari, qui avait dit qu'il voulait se faire un maximum d'argent pour nos travaux, il avait pris un emploi sur des chantiers partout en France, toujours en déplacement à ce moment-là, cela ne changeait rien pour lui, partir d'un endroit ou d'un autre, ça revenait au même.

On m'avait trouvé un logement de fonction dans une petite résidence toutes charges payées au deuxième étage d'un immeuble de trois niveaux, on avait tout fait pour que je ne puisse pas refuser, salaire doublé et échelon maxi dans mon nouveau grade, trois places de parking fermés au sous-sol, quatre chambres, une grande salle/salon, un grand bureau, une grande cuisine, le tout sur plus de cent soixante-dix mètres carré, sans être grandiose, même si je n'aime pas habiter en logement, cela était raisonnable pour le coin et ce n'était que pour deux ans.

Le déménagement a été payé ainsi que la mise en place des meubles et le ménage, je n'étais là que pour dire ou tout se rangeait, nous n'avons pas apporté tout nos meubles, car c'était provisoire, et tout ne serait pas rentré dans ce petit appartement, petit pour la campagne et grand pour là où il était situé.

Le "neveu" est venu nous voir le surlendemain de notre installation, il est resté trois jours pour ses démarches, puis est retourné chez lui jusqu'en septembre, nous avons pris nos vacances et une semaine après avoir repris le travail, nous avons pris place dans cet appartement.

Le "neveu" était arrivé la semaine d'avant, le mois se passe bien sans soucis, il rentre à l'heure, il travaille, on lui avait installé une autre table dans notre bureau, tous les soirs, j'étais seule avec lui, et comme toutes les fois, j'avais remarqué qu'il me matait en douce, mais très discrètement, cela ne me dérangeait pas et comme je dis, si on aime être sexy, c'est bien pour plaire aux autres, à tous les autres, à tous ceux qui regardent.

C'est même très flatteur bien souvent, surtout quand celui-ci est un jeune homme d'à peine la vingtaine, je ne faisais donc rien pour le décourager, ni même pour l'encourager, j'agissais comme d'habitude, même si le soir devant la télé, j'étais un peu plus dénudée qu'il n'aurait fallu, cela restait raisonnable et j'étais bien plus couverte qu'à la plage.

Je voyais bien que quand mon mari était absent, il regardait plus la télé avec moi et qu'il me matait en douce, cela ne me dérangeait pas et c'était de son âge, et jusque là, ça n'allait pas plus loin, je ne suis pas spécialement une "couguar", mais si cela avait été le cas, ce "neveu" n'avait rien de déplaisant, bien au contraire.

Le mois passait et puis en octobre, comme tous les matins, machinalement, je regarde dans la boite aux lettres, qui se trouve avant la porte à code et ou n'importe qui à l'extérieur peut déposer dans cette boite, et j'y découvre une enveloppe avec Madame, et mon prénom.

J'ouvre l'enveloppe, à l'intérieur une feuille avec une écriture d'imprimante qui me flatte en me disant que je suis belle dans ma jupe, ceci et cela, mon sourire ceci cela aussi, signé un admirateur, le papier va directement à la poubelle et le lendemain, c'est la même chose, non pas un copié-collé mais le style reste le même, je la mets directe poubelle aussi, le lendemain encore, même chose et poubelle aussi.

Quatre ans auparavant, au boulot cette fois, j'avais eu ce genre de courrier le matin, mais cela n'a duré que cinq lettres, je me rappelle qu'à l'époque, plusieurs jours après, je regrettais que le type n'insiste pas, par curiosité peut-être, il ne cherchait pas à nuire puisqu'il n'a pas insisté devant mon comportement, mais il est vrai que cela, je ne l'ai su que par la suite.

Je n'avais pas envie que le neveu tombe dessus, je jetais ces lettres dans une poubelle commune après les avoir déchirées, parfois le neveu partait avant moi, d'autres fois, il partait après, ce qui me fit penser à un résident ou voisin de rue ou même un copain, quand mon mari était là, il n'y avait plus de lettre, je me dis que oui, c'est forcement un voisin ou résident, mon mari repartait et le courrier reprenait.

Une fois, j'ai voulu directement la mettre dans la poubelle sans l'ouvrir, mais je me suis dite que sur celle-ci, il y aurait un indice peut être, alors je les ouvrais et lisais avant de les jeter, les mots employés étaient plus que corrects et flatteurs, sans aucune vulgarité, même si cela parlait de mes bas, mes jambes, ma silhouette, mon allure, les mots étaient plaisants, amusant.

Après plusieurs courriers, toujours avec les mêmes flatteries, un jour, il me demandant de mettre une certaine jupe avec une certaine veste, je me dis, ca y est nous y voilà, il croit quoi ce type, et bien évidement, je fais le contraire, ce jeu dure encore une bonne semaine, couper par le retour de mon mari, et puis un matin, ou en principe le courrier devait être là, plus rien, pas d'enveloppe, le lendemain, c'est la même chose, pas d'enveloppe.

Je me dis qu'il est parti en vacances ou qu'il n'a pas vu mon mari partir, deux semaines passent où je regarde bien si la lettre n'a pas été mise à coté, je me dis, il s'est lassé enfin, ou plutôt çà, c'est ce que je veux me faire croire, car en fait, les lettres me manquaient presque, j'en suis à me dire, que j'ai été conne de ne pas le contenter, mais comme je n'ai aucun moyen pour que ça continue, je me fais une raison.

Quelques jours plus tard, après être passé au médecin, je demande au neveu, comme il ressort, s'il peut passer à la pharmacie, il dit oui bien sûr, je lui donne ma carte vital, de l'argent et au retour, il me donne le sac avec les médicaments, la soirée se passe comme d'habitude, il me mate toujours aussi discrètement, comme je devais faire une prise de sang, avant de partir le matin, je regarde si j'ai bien pris l'ordonnance, et m'aperçois que je n'ai pas ma carte vital.

Comme je sais qu'il part sans son portefeuille, afin de ne pas le perdre ou se le faire voler, je rentre dans sa chambre, je fouille superficiellement, mais aussitôt, je me souviens que c'est dans le bureau qu'il met ses affaires, je m'y rends et bingo, dans le tiroir, son portefeuille s'y trouve, je vois ma carte avec la sienne, je la prends, ressort, je vais à la prise de sang puis au boulot ensuite, j'envoie mon secrétaire à la photocopie où il me dit qu'il n'y a plus de papier, cela n'a aucune incidence sur le moment, mais ce détail m'est revenu à un moment important.

Le midi en payant le resto, je regarde ma carte vital et aussitôt, je me revois la prendre dans son portefeuille dans le tiroir, et détail qui sur le coup ne m'a pas tilter, il y avait des enveloppes longues comme celle des courriers du matin, pourquoi avoir des enveloppes dans son tiroir, alors que dans le meuble où on a l'imprimante à la maison, il y a tout ce qu'il faut, et ou il sait que s'il a du courrier à envoyer, il me le met sur un petit meuble et je le composte au boulot.

Cela me turlupine toute la journée, je quitte une heure plus tôt le soir et je vais revérifier cela en étant certaine qu'il ne sera pas là, et en effet, je vois ces enveloppes, et un doute me vient, je peste d'avoir jeté tous ces petits mots, sinon avec l'imprimante, j'aurais pu voir les défauts et le style d'écriture, et le détail que j'avais dit plus haut me revient.

Le papier ici, est celui de la société, il n'y a pas d'en-tête, mais un pictogramme bien spécifique, que l'on ne trouve pas dans le commerce, je n'ai rien pour contrôler du fait que je n'ai rien gardé, je fouille plus minutieusement, non sans honte de ce que je fais, rien dans le bureau, je décide d'aller dans sa chambre.

Je fouille sa chambre en faisant très attention, car quelle honte, s'il le découvre, afin de ne pas être surprise, je mets le loqueteau, ce qui empêche d'entrer de l'extérieur, je fouille et quand j'allais abandonner, je monte sur une chaise et regarde au-dessus et derrière la pile de ses tricots de corps, et j'y découvre des revues cochonnes, cela ne me choque pas du tout, c'est de son âge et je le comprends tout à fait.

Curiosité féminine, je feuillette ces revues et je découvre qu'elles sont composées de femmes matures principalement pour la plupart, il y a même deux revues de bandage, je repense aux discussions que l'on avait eu tous les quatre avec ses parents ou son père en plaisantant parlait d'attacher, de fouetter, elle m'avait même dit en douce, qu'il avait aussi des revues et qu'elle avait peur que son fils tombe dessus.

Je prends soin de les remettre en place et je quitte sa chambre, je retire le loquet qui empêchaient d'ouvrir et je fais comme tous les jours, je travaille sur mon ordi, m'avançant pour le lendemain sans être dérangée, peu de temps après, il rentre et va dans sa chambre après m'avoir salué.

Le soir, à table et à la télé, je le regarde différemment, je me pose des questions, est-ce lui ou non, ses regards discrets qui sont les mêmes que d'habitude au lieu de m'amuser, commence un peu à m'exciter, non pas pour ses lettres, mais pour ses revues et ses préférences, manifestement, je suis dans ses goûts et ce neveu est un vrai vicelard.

Mon mari me manque à partir du mardi soir, même si j'ai des compensations externes avec un copain, avant j'étais réservée sur mes positions devant la télé, jambes droites, décolleté fermé et serré, je le laissais mater, mais en restant très strict sur ma tenue, en moi-même je me dis que demain, je me lâcherais un tout petit peu plus, savoir comment il était, avait changé ma façon de le voir, ce n'est plus l'ado des premiers jours que j'ai connu, mais un homme maintenant.

La nuit portant conseil, je trouve un moyen pour savoir s'il est l'auteur des lettres, je me lève avant lui et au moment où il part, je lui demande, " au fait, à tout hasard, tu n'as jamais aperçu quelqu'un fouiller dans les boites aux lettres en bas", il dit "non pourquoi", je dis "non comme ça, j'ai des courriers que je ne reçois plus, mais bon, ce n'est pas grave, tant pis, passe une bonne journée", j'avais dit cela de façon ennuyée de ne plus les avoir.

Les matins suivants, rien, pas plus de courrier, mon mari arrive et je n'en ai pas non plus, mais quand il est parti, le matin alors que mon neveu était déjà parti lui aussi, une lettre m'attendait, je remonte et l'ouvre, je regarde le pictogramme, zut, presque déçue, ce n'est pas celui de mon papier, je lis le courrier où il est mentionné qu'il a dû s'absenter et s'excuse de son silence, que je lui ai manqué, etc. etc.

En lisant cela, je me dis, minute, et fouille dans ses tiroirs en dessous de celui où j'avais trouvé son portefeuille et dans tout le bas, une rame de papier entamé, dont le pictogramme inexistant ressemble à la lettre, je retape sur mon ordi une de ses phrases que j'imprime, mais je ne vois rien d'éloquent qui pourrait le confondre, une idée me vient, je prends un crayon papier et dans les cinq premières enveloppes, a l'intérieur, je fais une marque minuscule mais visible, et je pars ensuite travailler.

Le lendemain matin, je fais tout pour qu'il parte avant, impatiente, j'attends le moment où je serais certaine de son innocence ou culpabilité, une lettre m'attend, et cette fois-ci, sans aucun doute, la marque s'y trouve, je vais même jusqu'à contrôler qu'il ne reste que quatre enveloppes marquées au crayon, cette fois-ci, plus aucun doute, j'ai découvert mon admirateur.

Il y avait en moi une voix qui me disait de mettre fin à ce manège en rouspétant, en menaçant, mais il y avait aussi celle qui me disait de ne rien dire et de continuer et aussi que j'en avais plus qu'envie, on peut mentir à tout le monde, mais pas à soi-même, la lettre était toujours aussi galante et ne demandait rien.

J'en étais presque déçue, en fait, je n'attendais qu'une chose, c'est qu'il me redemande de m'habiller comme il le voulait, après une bonne semaine de lettre galante, au retour de mon mari, plus de courrier, mais quand il repart, le matin même, une lettre qui me demande pour le lendemain de mettre ma jupe en cuir et le reste à ma convenance.

Le lendemain, je me lève bien avant lui et mets ma jupe en cuir avec des bas couleur chair, j'en mets très rarement, je trouve le noir plus sexy, le neveu me voit habillée ainsi avant de partir, et le soir aussi, en y repensant, je m'explique les agissements de mon "admirateur", un autre m'aurait demandé mon portable, mais lui, il sait que je n'en ai pas.

Avec mon mari, on en a un pour deux et comme il n'y a que lui qui se déplace, c'est lui qui l'a, ayant le téléphone à la maison et au bureau, un portable n'a aucune utilité pour moi, surtout que chez nous, ça ne capte pas, ici, je suis à trois stations de bus, et bien souvent, je rentre à pied, alors si le bus est en panne, je n'ai pas à appeler une dépanneuse.

Le matin suivant, il y a les compliments, avec en plus, un conseil disant, que j'aurais dû mettre des bas noir avec ma jupe cuir, je m'y attendais un peu, la lettre poursuit en me disant cette fois-ci de mettre mon tailleur fuchsia, chemisier blanc, bas noir, le matin, je m'habille ainsi, il ne m'a pas vue entièrement, car il partait, mais le soir en rentrant, il a vu que j'avais obéi à sa demande, cela m'émoustillait qu'il se dise qu'avec ses vingt ans, il était obéi d'une femme du double de son âge.

À partir de là, en dehors des jours ou mon mari était présent, chaque lettre avait sa consigne pour mes tenues à mettre le lendemain, ainsi que les compliments sur celles de la veille, ou il me disait que j'étais sexy et désirable, que j'étais une femme admirable, etc.

Depuis que je sais que c'est lui l'écrivain, le soir à la télé, petit à petit, je me suis un petit peu lâché, mon peignoir est moins serré, mes jambes sont des fois croisées ou un peu écartées, lui de son côté, cherche à mieux se placer pour mater, je surveille des fois voir s'il cherche à me mater dans la salle de bains ou chambre, mais je n'entendais rien qui allait dans ce sens à ce moment.

Certains récits de ses revues me donnent des infos, comme par exemple les masturbations dans les strings, je surveillais cela tous les jours en rusant sur des couleurs similaires, en positionnant mes strings, jamais je n'avais rien remarqué jusqu'au jour ou ne trouvant plus un string blanc à me mettre, je décide d'en laver un, comme cela sèche vite et que je ne lave mes dessous qu'à la main

En fouillant plus au fond de la panière a linge, je tombe sur quelque chose de visqueux, un string blanc justement, je venais de comprendre, car même si les couleurs se ressemblent, le dessin de la dentelle est différent, chose qu'un homme ne remarque jamais, il prenait donc mon dernier string pour se masturber, et à la place, il remettait la même couleur prise au fond.


Au début de cette histoire, je n'ai pas tout dit, avec mon mari, nous sommes libertins, les échanges et surtout les trios avec d'autres hommes et quelque fois femmes, c'était plus que régulier, il y avait des moments sans, et des moments où c'était le vendredi, samedi et dimanche et d'autres où je restais un, deux ou trois mois sans extra, ces deux années étaient celles ou on a eu un très grands ralentissement.

Cela me plaisait de moins en moins, car j'avais l'impression d'être une vache que l'on emmène au taureau se faire saillir, ce qui fait qu'au début de notre libertinage, tout nouveau, tout beau, mais petit à petit, quand j'étais avec un autre, je n'attendais qu'une chose, c'est que mon partenaire termine pour me retrouver seule avec mon mari à faire l'amour.

J'étais devenue une championne du mime, ce qui fait qu'avec mon manque de motivation, j'arrêtais pendant plusieurs mois, il faut dire que trouver un homme pour ça, était aussi facile que d'attraper un PV pour excès de vitesse, par contre, pour mon mari, trouver une femme, c'était autre chose, il est extrêmement difficile, il lui faut jeune, sans aucun tatouage ni piercing et belle en plus avec une tête un petit peu remplie, pour dire que lui, il n'en était pas encore à la routine.

Toute cette histoire, je la lui racontais, pas toujours dans les détails, mais rien ne lui était caché, comme il ne veut pas que je cherche d'hommes par moi-même, de peur que je tombe sur un malade, il était plus que content, que j'ai de quoi jouer à la maison avec quelqu'un qu'il connaît, me disant juste de faire attention vis a vis du voisinage.

Concernant ce "neveu", je connaissais tout de lui maintenant, sauf le moment où il me piquait mon string ou ma culotte, je m'en suis vite rendu compte, il prenait mon string et remettait un vieux à la place, sauf le samedi, car je lave mes sous-vêtements le dimanche matin ou soir, à minuit, je vais me coucher, lui aussi, je vais à la salle de bains pour me déshabiller, retirer mon peignoir, string et me mettre nue sous ma robe de chambre, lui, il va au WC et à la salle de bains se rincer les mains, c'est à ce moment qu'il se sert.

Car cinq minutes après, je retourne dans la salle de bains, je fais couler de l'eau et regarde vite fait dans la panière et en effet, ce n'est pas celui que je venais de retirer.

Le lendemain, je m'arrange pour me vêtir avant qu'il ne parte, mais je le laisse partir avant moi, quand je le vois suffisamment loin dans la rue, je vais voir dans la panière et je fouille au fond, je ne trouve rien de suspect au toucher, alors je vide tout, et vois bien mon string de la veille, mais le sperme dedans est sec, il s'était soulagé le soir.

Je pars au boulot après avoir tout remis en place, et le soir tout se passe comme d'habitude, après souper, je vais à la douche, excitée par ce que je sais, je me masturbe sur mon string, sachant a ce dont il va servir ensuite, je n'ai aucun mal à jouir et l'inonder, je reviens en tenue tout aussi sage mais plus lâche, il va à la douche à son tour, et quand il revient, je suis assise sur le canapé, mais mes jambes pliées, mes pieds sous mes fesses, ce qui découvre mes cuisses, je n'ai rien fait pour y remédier, sans l'avoir vu, je sais qu'il a été plus à me mater qu'au film.

Le soir après la télé, je fais comme d'habitude, je bouquine, avec une lampe sur le front, ce qui ne donne pas de lumière sous la porte de ma chambre, j'essaie d'écouter les bruits de la maison, mais rien, jusqu'au moment ou cinq pages après m'être couchée, j'entends imperceptiblement un bruit dans le couloir, tendant l'oreille au maximum.

J'imagine aisément le moment où il ouvre la salle de bains, et qu'il la referme ainsi que sa porte de chambre qui fait un appel d'air, je profite alors de ce moment pour aller dans la salle de bains, prendre le string souillé que je trouve facilement au fond et je retourne dans mon lit aussi silencieusement.

Je me dis que si je l'ai entendu, c'est parce que j'attendais qu'il bouge, lui se couchait et était moins attentionné au bruit, de plus j'ouvrais lentement la porte pour ne pas faire une dépression, j'avais gardé ma robe de chambre pour lire et être prête, mais pour me coucher, je me mets nue, excitée, je me suis masturbée avec mon string souillé, m'étalant son sperme tout frais.

Au fil des jours, j'étais devenue accro à ce petit jeu, mon mari ne chômait pas le WE, j'avais une petite compensation certains midi ou je voyais un copain de jeu, mais c'est à la maison qu'était mon centre d'excitation, je n'attendais que son courrier, pour ce qu'il allait me demander, j'y pensais même au boulot.

Un lundi ou mon mari repartait, la lettre me demande de mettre un string de telle couleur, ce qui me fait aussitôt frémir, comme personne ne pouvait le voir, et que j'avais mis une autre couleur, le soir en prenant ma douche, je me masturbe sur la couleur demandée, le lendemain, j'ai son remerciement, j'avais cherché à savoir comment il faisait pour être aussi rapide dans ses écrits, en fait, je me suis aperçu qu'il avait des lettres toutes prêtes qu'il mettait suivant ce que je faisais, ou des fois, il se levait en douce avant l'heure et allait la mettre dans la boite à lettres.

Un soir, il me demande en disant, "à votre fenêtre, j'ai vu un jeune homme, trop jeune pour être votre mari, surement votre fils, seriez-vous d'accord pour sortir un mercredi ou jeudi soir avec lui pour vous accompagner, afin que je puisse profiter plus longuement de votre silhouette lors d'un croisement dans la rue ou de loin", mon mari revenant le vendredi, il me demande pour un soir où je n'ai que lui, prétextant qu'il ne pourra pas les jours suivant.

Il me demande de mettre des bas couleur chair si c'est oui, (jusqu'alors, il demandait toujours des noirs), le lendemain matin, je m'arrange pour qu'il voie mes bas couleur chair, et je pars après lui, il n'a pas réfléchi, car dans la boite, il avait décrit la tenue que je devais mettre pour sortir, alors que celui censé m'écrire ne le savait pas encore, je ne fais rien pour le démasquer, le jeu, me plaisait, m'amusait et m'excitait surtout, il avait dû retirer son premier courrier et mettre celui-ci.

Les soirs, j'étais de moins en moins strict sur mes positions et sur la fermeture de mon peignoir ou robe de chambre, il était à ma gauche sur le canapé et mon peignoir fermait le coté gauche recouvrant le cote droit, jusqu'au moment où j'ai inversé cela, ce qui fait que quand il s'ouvrait un peu, il était bien placé, je ne faisais rien pour aider, mais ne faisait rien non plus pour empêcher mon peignoir de s'ouvrir naturellement au fil des heures.

Un jeudi soir, je lui demande s'il était intéressé pour manger au resto, car je n'ai pas envie de faire à manger et que j'ai envie de sortir un peu, il me dit "oui si vous voulez", je dis si cela ne te gêne pas de sortir avec une vielle, il répond que je ne suis pas vieille, j'avais été au coiffeur dans l'après-midi, je vais à la douche pour me préparer.

À la tenue que je devais mettre, je me doutais qu'il avait été dans ma chambre fouillé dans l'armoire et commode, j'avais exactement ce qu'il demandait, quand j'ai du monde à la maison, je cache toujours mes "jouets", je mets la robe demandée, celle fendue sur le côté et décolleté avec trois boutons dégrafés, un soutif rouge et string de même couleur, des bas noirs avec porte jarretelle, je devais également faire ce qu'il fallait pour être visible, de montrer mes cuisses, mais bien sûr en restant discrète selon ses mots.

En revenant dans la salle, il me dit, waouh, vous faites tout sauf vieille, je répond, ça ne te fait pas trop honte, c'est tout ce que j'ai de présentable à me mettre, il me dit non, qu'il va faire des envieux, il va à la douche se préparer et quand il revient, je lui dis qu'on va partir maintenant, car pour se garer, nous ne sommes pas chez nous ici, c'est la galère de rouler et la galère de stationner.

Je lui demande de prendre sa voiture et de conduire, avec mes talons, cela est peu pratique, pour aller au travail, je change de chaussures pour marcher, pour aller au parking, j'enfile un manteau, car il ne fait pas bien chaud, je le retire pour monter coté passager, il m'ouvre la porte où je lui dis qu'il est galant en plus, malgré que se soit surtout pour voir ma robe dévoiler ma cuisse quand je suis assise, je laisse comme elle est quand même, nous roulons 45 minutes pour faire peut-être 2 ou 3 km, par chance, nous trouvons une place qui vient juste de se libérer devant nous, évitant d'aller chercher un parking on ne sait où.

Le resto n'est pas étoilé, mais la cuisine est très bonne, le cadre pas mal, ce qui justifie surement leur tarif, au moment de l'addition, il l'a attrapé avant moi et à sa tète, j'ai vu qu'il a failli s'étouffer, je lui ai dit que je le laissais payer pour la forme, mais que je le remboursais à la maison, il a voulu faire le fier, mais j'ai été intraitable, le menaçant de ne plus sortir avec lui sinon, la menace ainsi que son compte a eu raison de sa fierté.

Pendant le repas, afin de lui donner le change dans le sens où je lui laisse croire que je ne sais pas qu'il est l'auteur des courriers, je regarde dans la salle à plusieurs reprises, faisant celle qui cherche quelqu'un, il en profite pour mater dans mon décolleté, à un moment quand il se lève, j'avais remonte ma robe jusqu'au porte jarretelle, il l'a vu une fraction de seconde, car j'ai aussitôt caché ma cuisse, se disant, que je faisais comme il demandait dans sa lettre, la soirée se passe normalement.

Nous sommes sortis et avons été marché sur les quais, mais passant sous les ponts, ça empestait l'urine à vomir, j'ai dit que cette ville était vraiment crasseuse et nous sommes rentré à la maison, on avait une heure d'avance par rapport à d'habitude, alors je suis reste en robe et nous avons discuté en buvant un Gini, j'étais assise sur le fauteuil, les pieds sur la table basse, la tête en arrière et lui en face sur le canapé.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Courrier pas si anonyme 1

Le 28/07/2022 - 14:47 par albatros
Très beau récit érotique, très bien raconté et très excitant. J'adore !
Le 02/12/2021 - 15:24 par annizette
que nenni fleuron25, mon string, je l'ai mouillée a l'époque c'est vrai, mais lorsque j'ai écris ces histoires, j'avais une charge de travail presque inexistante, alors je me suis lancée dans les souvenirs, on va dire qu'en écrivant, cela fait remonter d'autres moments oubliés qu'on se remémore, c'était presque une belle époque comparé a aujourd'hui, j'ai vécu de très bonnes années professionnelles, familiales et sexuelles surtout, cela fait du bien de les revivre en racontant, ou plutôt en les transcrivant sur l'ordi.
Le 29/10/2021 - 12:40 par Fleuron25
En écrivant ces histoires votre slip doit se mouiller tout comme la mienne. Mmmm mmmm ça doit sentir bon le sperme.

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