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Courrier pas si anonyme 5

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Lue : 4348 fois - Commentaire(s) : 7 - Histoire postée le 05/12/2015

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Le soir, le message me dit qu'il était sûr que j'aimerais, et me demande comment je pourrais faire, pour qu'il me mate le soir, il me dit qu'il part en déplacement et que je n'écrive plus tant qu'il n'a pas signalé son retour, que je continue à le satisfaire, je pense qu'il n'a plus trop d'idée ou qu'il se passe tout doucement la main à lui-même.

La soirée se passe pareillement, sans me le demander, il me prépare ma tenue du soir, il me force un peu, (d'ailleurs dans le film porno, le neveu dit à sa tante, "tu aimes ça, que je t'oblige à me faire tout ça, il sait très bien que mon correspondant ne m'a pas dit quoi mettre, il ne prend presque plus de précautions, je ne pense pas qu'il sache que je sais, mais du fait que je ne rechigne jamais, il en profite, il m'a donc préparé sans que je le lui demande, la tenue moulante, sans string et sans soutif, mais avec des bas auto-fixant, pas les neufs achetés, mais ceux déjà servis.

Je mets donc sans rien dire, ce qui est prêt, le fait qu'il a pris de l'assurance m'excite et à la télé, il me mate ouvertement, depuis quelque temps déjà, il commençait à mater franchement, faisant presque comme si je ne le voyais pas, le soir après le coucher, masturbation habituelle.

Le WE, il rentre chez lui, mon mari est à la maison, je lui raconte tout, je lui demande pour un trou de serrure, mais il répond que de changer tout, ce n'est pas pratique et on est en location, de plus comment justifier qu'on a remplacé les serrures, mon mari est aussi excité que moi de cette histoire.

Les semaines suivantes se passent sans message, ce n'est plus moi qui propose de sortir le mardi, mais lui qui me demande si on sort ce soir, je ne lui dis pourquoi pas, à table, il me dit que c'est lui qui paie, car c'est lui qui a demandé, je réponds que non, lui rappelant ce qui a été convenu la dernière fois.

Il choisit mes tenues pour travailler, celles pour sortir le soir, le soir à la maison par contre, maintenant, c'est sans soutif, ni string d'office, soit c'est très moulant, soit c'est très transparent, Jamais je ne discute ce qu'il me prépare, plus s'est osé et plus ça m'excite, pendant ces semaines, je n'ai pas de message et je me rends compte qu'il travaille plus.

Ses soit disant déplacement, en fait, c'est de la révision avec un copain et peut être aussi un manque d'idée, ou aussi la peur que d'un coup, lassé, je me reprenne et arrête tout, il ne peut pas savoir que je n'en ai pas du tout envie que cela s'arrête.

Un mardi, j'ai un message où il m'indique être les trois jours, mais devoir repartir pour quelque temps encore et de ne pas laisser de mot, il me demande les nouveautés et après mes réponses, il me dit juste de continuer à le laisser préparer mes affaires et qu'il me recontacte dés son retour.

Avec lui, la vie continue, quand il regarde mon décolleté ou mes cuisses, il ne se gène plus, le mardi, j'ai mes vêtements de sortie et on a trouve un restau moyen, mais avec des petites tables rondes, entre nos assiettes, un seul verre passait, on s'est fait de la cuisse tout le long du repas, il s'est excusé au premier frôlement, mais je lui ai dit, que ce n'était pas grave et qu'il était difficile de faire autrement vu le peu de place, j'ai bien senti que ça ne le dérangeait pas, moi non plus d'ailleurs.

Le vendredi, mon mari me dit qu'il ne va pas rentrer, car il travaille le samedi, il me demande de le rejoindre en alsace, avec le neveu s'il ne rentre pas et le veut, sachant très bien que je ne suis pas contre, quand je demande ça à mon jeune homme, il ne se fait pas prier, sachant que le soir, pas de tenue coquine, mais qu'on sera la journée ensemble, bien évidemment, on prend deux chambres, mon mari me demande de venir surtout pour la gaudriole puisque entre son boulot et dormir, il ne reste plus de place pour la promenade.

La journée finie, en rentrant, je lui indique qu'il a trois 3 tenues à me préparer, une pour le trajet, une pour se promener samedi et une autre pour si le soir, on sort, je me prends un pantalon pour le cas ou le temps serait trop froid, je vais pour passer à la douche et il me demande s'il peut prendre une quatrième tenue pour le trajet seulement, je réponds pourquoi quatre et il dit, une pour de la voiture a l'hôtel, je comprends qu'elle n'est pas sage celle là lui dis-je, disant que je mettrais un imper pour "cacher", souriant, il part dans ma chambre pendant que je prends ma douche.

Je sors de la douche, mes vêtements pour plus tard sont ensemble et ceux pour la route à part, je retire mon peignoir, sans rien lui dire, il sait que dés que je vais pour l'enlever, de lui-même, il se tourne un peu, il doit voir du coin de l'œil, car sans rien dire, dés que mon string et mis et que je suis en train d'agrafer dans le dos mon soutif, il se retourne, je vais pour attraper les bas, mais il me dit, en m'en tendant d'autre pris au fond de la commode, des bas couture, essayez ceux-là pour que je me rende compte.

Je souffle pour lui faire savoir que je trouve qu'il exagère, j'enfile les bas-couture avec le porte jarretelle qu'il m'avait préparé, une fois mis sous son regard, il me dit, marchez pour voir, je marche, mais en chausson, il me dit d'attendre et prend les chaussures qu'il a déjà préparé et sans mot dire, il se met à genou au sol attendant que je m'assois et lui tend mon pied, il m'attrape le pied, ou plutôt le haut de la cheville et me chausse, je me laisse faire avec une folle envie d'écarter plus mes cuisses.

Il va à son tour à la douche, je mets dans une valise ce qui y rentre et garde sur cintre ce qui ne doit pas être froissé, il ressort ensuite et je reprend la place pour me coiffer et maquiller un peu, j'en profite pour regarder dans la panière et comme prévu, il a joui dans mon string, sans prendre la peine comme au début de le mettre dessous, je pense qu'il se dit en lui-même que là ou on en est rendu, je ne peux plus lui rouspéter dessus, juste dire qu'on n'arrête mais pas de risque d'engueulade, car je ne suis pas sans reproche non plus, mais il ne m'a jamais rien fait sentir en ce sens.

On prend la route, et bien sûr, la sortie de paris un vendredi soir à cette heure, c'est l'enfer, heureusement que ce n'est pas un pont, et heureusement que c'est lui qui conduit, on a pris ma voiture, plus confortable et une automatique, pour les bouchons, il apprécie, un peu mal a l'aise au début, mais il la prend vite en main, un œil sur la route et un autre sur mes cuisses, à un moment donné, il a roulé à la même allure qu'un camion, juste à côté de lui, j'ai pensé qu'il voulait qu'il me mate, mais il aurait pu le faire encore avec d'autres, et il n'a rien fait.

On s'est arrêté pour manger en sortant de l'autoroute, j'ai mis mon imper, mais je l'ai retiré, car il faisait chaud, un type m'a maté très discrètement, mais lui ne l'a pas vu du fait qu'il était de dos, je n'arrive pas à cerner ce que pensent les gens autour quand ils nous voient moi et mon "neveu", j'ai des jupes ou robes assez courte, des tenues très sexy sans être vulgaire.

J'avais profité au restau d'aller au petit coin et dans la voiture, il me dit, "je vous regardais quand vous êtes partie aux toilettes, vous êtes vraiment........ bien dans vos vêtements, ils vous vont bien", en se rattrapant, je pense qu'il a voulu dire bandante et ne trouvait pas de mot pour remplacer.

Je lui ai dit tant mieux si ça te plaît, il a répondu, dommage que je n'en profite pas avec l'obscurité, je n'ai pas répondu, on est ensuite reparti et sommes arrivé vers minuit, nous sommes allé nous coucher aussitôt, mon mari dormait, je l'ai réveillé rien qu'en entrant, quand j'ai retiré l'imper, ça lui a donne de l'idée, j'ai tout juste eu le temps de me déshabiller.

Le lendemain, peu après le départ de mon mari qui a dû partir vers les 6h30, on frappe très légèrement à la porte, j'enfile ma robe de chambre et j'ouvre, c'était mon "neveu" qui venait me demander ce qu'on faisait aujourd'hui, sachant que je me réveille très tôt, il savait qu'il ne me réveillerait pas, je le fais rentrer en vitesse, je n'ai pas envie qu'on le voie à ma porte, et je lui dis, on farniente un peu et je me recouche en robe de chambre.

Ne sachant pas s'il doit repartir, je lui dis, ne reste pas debout, vient t'asseoir à côté de moi, la pièce n'est pas très chaude, mon mari a toujours chaud et partout ou il va, d'emblée, il coupe le chauffage et ouvre la fenêtre, je l'avais fermé en arrivant, mais sans chauffage en alsace, c'est un peu frais en dehors des draps quand on est habillée légèrement, il se mettait sur le dessus du lit, mais je lui dis, mets-toi dedans, tu risques d'attraper du mal sinon, (il est en pyjama).

Nous nous retrouvons tous les deux dans le lit, nos genoux se frôlant, à un moment, il tente de me faire parler en me disant si ça s'est arrangé avec mon collègue, en sachant très bien que c'était de mon correspondant qu'il parlait, je lui réponds qu'en ce moment, je ne le vois plus beaucoup, il fait des déplacements, mais que bon, lui s'est au boulot et on n'a pas trop le temps de parler, mais l'important, c'est qu'à la maison, je t'ai, comme cela, je ne suis pas seule, il me dit, "c'est vrai, je ne vous dérange pas trop de ma présence", je dis au contraire, c'est une aubaine de t'avoir.

Il me demande le programme d' aujourd'hui, je lui réponds, c'est toi qui décides, je sais que ce soir, on va au restaurant avec mon mari, tous les trois, mais jusqu'à là, on fait comme tu as envie, tout en parlant, nos genoux ne se frôlent plus, mais se touchent carrément, à force de papoter, l'heure tourne et il est déjà neuf heures passées, je lui dis de retourner dans sa chambre et de se retrouver au petit-déjeuner en bas dans dix minutes.

Il sait que j'essaie de rester discrète dans les endroits où on sait que je suis mariée, il ne fait donc rien de déplacer, je suis descendu en pantalon et pull, comme on est seuls et qu'il n'y a personne autour qui peut entendre ce qu'on dit, il me dit, même en pantalon, vous êtes bien ...... féminine, je pense qu'il a voulu dire bien rouler, je me demande même si cette façon de se rattraper n'est pas voulue, mais je fais celle qui ne s'en rend pas compte, il continue sa phrase en disant, mais je vous préfère en robe ou jupe.

En déjeunant, on discute ce qu'on va faire et comme je lui ai dit ce qu'il voulait, il me demande ce que j'aurais fait si j'étais seule, je lui indique, que j'aurais probablement fait du shopping, il me dit, du shopping de vêtement, je dis oui entre autres, il répond qu'il aimerait bien m'accompagner un jour, devinant pourquoi, je dis, hé bien d'accord, allons-y, on mangera sur place.

On a fait plusieurs boutiques, j'essaie des tailleurs, des robes, il me donne son avis, je suis étonnée de la façon qu'il conseille, à un moment donné, il échangeait des commentaires avec une vendeuse qui devait être la patronne, il n'y était pas question de la longueur de jupe ou robe, ni de la profondeur du décolleté, mais de la coupe, si au début sa présence les étonnait, bien souvent, elles ont été surprises de sa pluralité vestimentaire, disant à l'une d'elles, non, la jupe doit la mettre en valeur, donner de la classe et de l'élégance, être sexy, mais pas faire hum hum, voyez là, c'est trop court, mais avant, c'était trop long, moi, je rallongerais de deux centimètres.

Moi, je le laissais faire, la vendeuse l'écoute, à la limite, je ne suis plus la cliente, mais le mannequin, on a passé la journée en shopping, il était content, ça lui plaisait, à aucun moment, il n'a essayé de me mater dans la cabine d'essayage du fait de la présence des vendeuses.

Comme souvent, j'ai joué l'emmerdeuse dans les boutiques, on a dû en faire une quinzaine de boutiques en tout, je n'ai acheté que chez trois d'entre elles, le matin, en retournant dans le centre, on passe devant une boutique de lingerie à la vitrine triste, en fait, c'est un sex-shop, le neveu me dit que c'est fermé et que ça n'ouvre qu'a 15 heures, ça voulait tout dire, on n'a pas insisté et on a continué le shopping.

Nous avons déjeuné à treize heures, lorsque l'on est passé devant un resto sympa, il me dit, vous ne voulez pas aller au mac do, je vous invite pour une fois, je le regarde en faisant la grimace et lui dis, tient, plutôt que de m'inviter au mac do, on mange à ce resto et cet après-midi, tu me paies une tenue télé à la boutique que l'on a vue tout à l'heure, il répond qu'il aimerait bien, mais j'ai compris que ses moyens ne lui permettaient pas, je lui réponds que je lui donne une somme et qu'il en paie de sa poche 10 %, qu'il achète ce qui lui plaît, tu connais ma taille, me disant, oui, mais si a vous, ça ne vous plaît pas, je réponds que je le mettrais quand même, il me fait répéter que quoi qu'il prenne, que je le mettrais quand même.

On a poursuivi notre shopping et comme mon mari arrivait après 17h, on l'a attendu à l'hôtel, on s'est promené tous les trois ensuite avant d'aller au resto, on a marché en sortant ou je donnais le bras à mon mari et à mon neveu qui visiblement appréciait, car au bout d'un quart d'heure, j'avais froid aux mains et je les ai mises dans leurs poches de manteau, tous les deux m'on mise leurs mains sur les miennes pour me les réchauffer.

Je n'avais pas pu voir la tenue qu'il m'avait prise au sex-shop, c'est une surprise a-t-il dit, j'ai montré mes achats à mon mari, mais lui et les chiffons, ça n'a jamais été son truc, il les a regardés comme moi, je regarderais un piston de moteur de voiture, quand en sortant du premier magasin où j'ai acheté un tailleur, je lui ai demandé, alors, ce modèle te plaît, il a répondu, c'est ce qu'on mettra dedans qui le valorisera, je lui ai souri.

Bien sûr, le soir, pas de masturbation réciproque, lui peut être, mais moi, j'avais mon mari, il avait prévenu le neveu que le dimanche matin, on farniente un peu, en clair, on baise du fait qu'on est cinq jours sans, il lui a donne un billet pour aller faire un flipper (terme pour dire d'aller s'amuser en attendant).

Nous ne sommes pas des dormeurs, à 9 heures, nous étions au petit-déjeuner et le neveu dormait encore, c'est presque nous qui aurions pu aller au flipper, après ce petit-déjeuner, on a été frappé dans sa chambre et il se réveillait tout juste, on lui a demandé s'il voulait venir visiter un coin que mon mari connaissait, regardant mon mari et moi ensuite, car il ne voulait pas s'imposer, je lui ai dit, aller vient.

Après cela, nous avons été manger dans un restaurant, puis nous sommes reparties avant quinze heures, juste après des galipettes, afin de ne pas rentrer trop tard, je me suis habillée comme à l'aller en mettant mon imper pour ne pas qu'on voit ma tenue courte, mon mari m'a dit, fais gaffe qu'il regarde la route tout de même.

Pendant le trajet, il s'est excusé, car il a compris que s'il n'avait pas été là, je ne serais rentrée que le lendemain matin, j'ai répondu que non, que je n'aime pas rouler et encore moins la nuit, mais je ne l'ai pas convaincu, j'ai détourné la conversation sur le fait que j'ai apprécié sa correction lors des essayages de samedi, disant que c'était normal qu'il ne me mette pas mal à l'aise, lui redisant que j'ai beaucoup apprécié, il dit en plaisantant, je pourrais revenir la prochaine fois alors, je réponds, j'espère bien.

Je lui demande comment ça se fait qu'il a ce goût pour les tenues féminines, il dit, je ne sais pas, j'aime bien les femmes élégantes, il dit aussi que sa mère ne l'étant pas, c'est peut-être pour ça, en effet sa mère n'a rien de sexy malgré qu'elle ne soit pas laide non plus, elle ne sait pas se mettre en valeur, j'ai préféré ne pas poursuivre sur le sujet, nous nous arrêtons pour dîner vite fait, car on a bien mangé le midi, on a essayé un routier, mais de la bouffe de cantine, il a fini son assiette, mais moi, je n'ai rien mangé, on a pris ni fromage, ni dessert, ni thé, on a comme ça, pas trop perdu de temps, bien avant minuit, nous étions rentré.

Je ne lui ai pas demandé ce qu'il m'a acheté et il ne me l'a pas montré non plus, on a machinalement allumé la télé sans la regarder, il a maté tranquillement mes cuisses dans ma jupe courte, il regarde sans gène en continuant à me parler, moi pareillement, je ne me cache pas, par contre, il ne regarde que ma plastique, rien de sexuel ouvertement, quand il regarde entre mes cuisses, il le fait discrètement, discrétion relative certes, mais avec un semblant de "je ne regarde pas", il regarde l'ensemble ouvertement, mais pas le détail.

Il me demande si je vais mettre ce que j'ai acheté pour demain, je réponds que non, qu'il faut que je les fasse reprendre, c'est l'inconvénient quand on achète au loin, sinon ils ont un service retouche, j'ai vu un magasin qui fait de la couture, j'irai mardi voir comment ils travaillent les ourlets, on va se coucher ensuite, je lui dis, fini le WE, on reprend notre routine, je vais à la douche, laisse mon string dans la panière et je vais au lit, il passe à la douche, et vient à ma porte de chambre me dire bonsoir, il fait celui qui va à la sienne, il fait celui qui la ferme, mais je l'entends revenir, et nous nous masturbons chacun de notre côté.

Le matin, je l'entends dans le bureau, il essaie de ne pas faire de bruit, mais ça s'entend quand même, après déjeuner, je passe à la douche, j'ai mes affaires de prêtes, machinalement en partant, je regarde dans la boite et je découvre un mot alors qu'il était en soit disant déplacement, ce mot disait, j'ai pu revenir ces deux jours, j'aimerais que vous me disiez ce qui s'est passé pendant mon absence.

Je lui raconte les bas-coutures, et aussi le resto ou nous nous sommes touchés les genoux, je raconte le WE où il a tout choisi mes vêtements, la fois où on a discuté dans le même lit, le shopping où j'ai apprécié sa discrétion, j'indique aussi qu'il m'a acheté une tenue pour regarder la télé, que je pense que je l'aurais à mettre ce soir.

Quand je remonte pour écrire une réponse, il ne me pose pas de question, je laisse le message à l'endroit convenu et pars au boulot, en rentrant le soir, je passe à la boutique de retouche, je me renseigne de leur façon de faire, cela me convient et leur demande pour quand j'aurais cela si je dépose demain matin, à la maison, j'ai un message qui me dit de raconter pour le lendemain ce que j'ai eu comme lingerie, si j'ai aimé, comment lui a réagit, et je l'attendais, il me demande ce que je ressentais quand on se frôlait, disant, je suis sûr que vous aimiez, que ça vous excitait, n'aimeriez-vous pas qu'il vous tripote et plus, racontez-moi cela demain.

Je rentre à la maison avec le message, il est au bureau, je prépare un repas et pendant que ça cuit, je tape la réponse sur ce que je peux, afin d'en avoir moins à écrire le lendemain, disant que oui, c'était excitant les frôlements, tout comme savoir qu'il me mate et m'écoute pendant que je me fais plaisir, j'aime qu'il choisisse mes tenues, même celles du soir, j'aime qu'il me dise ce que je dois faire.

D'ailleurs, quand il me demande de faire quelque chose, j'obéis sans discuter, j'aime aussi lorsqu'il ouvre mon tiroir où je mets ma lingerie et qu'il me la choisisse, être frôlée, oui ça ne me dérange pas, ça m'excite même, mais faire plus avec, je ne pourrais pas, je suis comme sa mère, je me sentirais mal, (qu'est-ce que je suis menteuse).

Une fois le repas prêt, on mange en discutant de chose et d'autre, je lui dis que demain matin, j'emmène mes habits en couture, tu vas m'aider à les piquer à la longueur, cela dure une bonne heure, je note les mesures pour la retouche, il me passe les vêtements, je me mets en sous-vêtements devant lui, culotte et soutif non-transparent, je lui dis que j'abuse de lui, de lui imposer cela, il me dit que non, qu'il aime faire ça, que c'est mieux que la télé.

Je file à la douche et il me dit, vous mettrez juste que ce que je prépare sur votre lit, je dis bien sur comme d'habitude, en sortant de la douche, il prend son tour, sur le lit, je découvre juste un déshabillée voile noir, très transparent, le décolleté presque normal et arrivant à mi-cuisse, je le mets et me regarde devant la glace, en fait, je suis nue, je suis super excitée à l'idée que je vais être vue comme ça par lui, je suis sur le canapé et il arrive, je me lève, me tourne pour montrer devant et derrière et demande si ça lui plaît, il me dit oui beaucoup, mais est-ce que ça vous plaît, je réponds, que si ça te plaît, ça me plaît également.

Il me mate sans gène toujours, je souris e, ça l'encourage, le soir, masturbation habituelle où j'indique comme à chaque fois la montée de mon plaisir, le matin, je déjeune, m'habille avec ce qu'il a préparé, j'écris le courrier en rajoutant sur ce que j'ai déjà écrit, que j'avais eu un déshabillée ultra transparent qui lui a bien dévoilé mon corps et excitée, je pars au boulot avec mes affaires à retoucher, je leur donne mon numéro de téléphone du bureau et de la maison pour me prévenir quand c'est prêt et qu'il me donne un ticket pour le faire enlever par quelqu'un d'autre, ainsi que le prix.

Le soir, son message dit, le veinard, il a bien dû se rincer l'œil, continuez à le laisser bien mater, pour son plaisir et aussi le vôtre et arrangez-vous pour le frôler, si vous faites le premier pas, ça l'encouragera, renouvelez aussi les discussions au lit, ça doit vous exciter, dites que vous avez peur, un cauchemar, de l'orage, des voleurs, ce qui passera le mieux.

Quand je rentre à la maison, j'ai lu son message, il le sait, il attend que le repas soit en route, quand c'est fait, sa voix tremble un peu, mais il réussit à me dire, allez prendre votre douche maintenant, je prépare votre tenue pour ce soir, rien que cela me fait mouiller, je lui dis oui et y vais aussitôt, il va dans ma chambre, après ma douche, la tenue de la veille se trouve sur le lit avec un porte jarretelle et des bas, mettez ça qu'il me dit.

Il avait ouvert mon tiroir ou se trouve la lingerie de corps et contemple mes dessous, il fouille mon intimité devant moi, comme j'ai dit adorer cela dans mes messages, je m'habille pendant qu'il touche et sent mes strings et soutifs, je ressens une décharge électrique, il agit comme j'aime, il tient compte de ce que j'ai écrit à mon correspondant, une fois habillée du déshabillé, je lui fais face, disant, tu es satisfait de ton achat, il dit plus que satisfait, en me prenant la main et la levant, ça remonte un peu le tissu, il s'assoit sur le lit et il me fait tourner sur moi-même, je lui tourne le dos et reste à attendre qu'il me fasse mettre de face, je n'ai pas compté le temps, mais il m'a contemplé assez longtemps.

À table, je sers et on mange, lui, il regarde sans se gêner, après le repas, je débarrasse et mets au lave-vaisselle, lui se rince encore l'œil, à la télé, on s'installe, au fil des soirs, il se tournait un peu vers moi, la jambe gauche a terre et l'autre plié sous lui sur le canapé, il savait ce que je ressentais puisque je l'indiquais dans mes messages et il en jouait, il se savait le maître du jeu, tant qu'il ne passait pas a l'acte.

Le soir se passe comme d'habitude, le matin, pareillement, je n'ai pas de message, le soir mes affaires sont prêtes en couture et je passe les prendre, je voulais l'envoyer, mais j'ai préfère contrôler le travail, c'est correct et fait comme j'ai demandé, j'ai même contrôlé les mesures sur le comptoir, j'ai dit que je préfère me rendre compte maintenant, que réclamer ensuite.

Je rentre à la maison, il m'attendait et me dit, restez comme vous êtes, il me donne des chaussures a talon propre pour rester à la maison, disant que les chaussons, ce n'est pas sexy, je ne l'ai jamais fait savoir sur les messages, mais j'aime être soumise, j'obéis à sa demande sans rechigner, à ces instants, il ne le savait pas encore, mais il s'en doutait surement, jamais je ne refusais, il me demandait de défaire deux boutons à mon chemisier, j'obéit aussitôt, j'étais complètement sous son emprise, et j'adorais cela.

La soirée se déroule normalement encore, je reste habillée, il prend mes affaires et va les ranger sur les cintres, même s'il me commande, on reste à discuter normalement comme une tante avec un neveu, il peut dire, "a l'école, j'ai fait ceci, et cela, laissez votre jupe remonter", je prépare le repas, on mange, je lui dis que je vais à la douche, mais il dit, non après le film, je veux profiter d'une femme élégante et sexy aussi, ce n'est pas normal qu'il n'y a que vos collègues qui y ont droit.

Je lui dis, mais dit donc, c'est quoi ses manières, tu n'es pas mon mari pour me commander ainsi, je n'ai pas à être sexy, il devient tout pale, se disant qu'il a trop exagéré, il s'excuse en disant qu'il ne voulait pas dire ça, qu'il a mal formulé.

Mon attitude avait pour but de voir si je maîtrisais la situation, j'ai eu peur qu'il se vexe et qu'on se fâche, je lui dis en souriant, je plaisante, merci pour élégante et sexy, je ne m'y attendais pas, je reste comme je suis devant la télé, son sourire est revenu, il a compris que j'aimais qu'il me commande.


Rien ne se passe pendant le film, le soir, c'est habituel, le matin aussi, il ne me prépare pas mes affaires dans mes nouvelles tenues, je n'ai pas de messages, le soir non plus, en rentrant, on est à l'ordi, moi sur mes dossiers et lui, il révise, quand par habitude, il sait que je vais descendre pour préparer le repas, il me dit, on sort ce soir, sortir signifie qu'on mange à l'extérieur

Sachant que je gagne bien ma vie, il a moins de scrupule à ce que je paie, ce soir-là, il me demande s'il peut payer avec mon argent, juste vis-à-vis du serveur, autant, il a un petit air autoritaire concernant notre jeu hypocrite, autant, il est humble et timide en dehors de cela.

Comme on va au restaurant au moins une fois la semaine, je décide de lui faire un chèque globale pour le mois en prenant une moyenne sur ce que j'ai payé jusqu'alors, il refuse, mais j'insiste en disant que de faire des chèques à chaque fois, c'est pénible, il finit par accepter en étant mal à l'aise, je le rassure encore, je lui dis que je paierais quand même ce soir, le temps que le chèque soit encaissé, il me dit ok.

Depuis qu'on a ce procédé, il tient un livre de comptes au centime prêt, je lui ai dit que je lui faisais confiance, mais il a insisté en disant que s'il arrivait qu'involontairement, il se trompe, que je ne pense pas que c'est intentionnel, il garde toutes les fiches, les notes, la date est écrite ainsi que le restaurant, j'ai voulu lui laisser choisir les restaurants, mais il regardait les tarifs et choisissait presque les routiers, je lui ai dit, que je reprenais les choix des restaurants.

Ce soir la donc, j'étais resté sur l'ordi du fait qu'on sortait, j'attendais l'heure habituelle où je me préparais, quand ce fut le moment, j'éteins mon ordi, il devine à mon comportement quand je vais quitter, à ce moment-là, il me dit, allez prendre votre douche, il m'a testée, il décide déjà pour mes vêtements, la veille, il a voulu savoir s'il pouvait décider que je les garde et là, il voulait se rendre compte s'il pouvait décider aussi de ce que je dois faire, je vais à la douche et mes affaires sont prêtes quand je sors.

J'aime ces instants ou nous nous mesurons cérébralement sans concertation, mes affaires prêtes sont, c'est une robe du soir, plus longue derrière et fendue sur le coté droit, porte jarretelle et bas, mais je m'aperçois que malgré que j'en jette beaucoup de ces bas, j'en ai encore, il m'en achète sans rien dire, j'en suis gêné du fait qu'il dépense son argent, quand il sort de la salle de bains, je le lui fait remarquer et il me dit, oui.

Je lui dis que je le rembourse, il me répond, alors si vous voulez payer, c'est moi qui choisirais, vos vêtements comme vos sous-vêtements, je vous laisse juste le choix des chaussures, manteaux ou imper, d'accord, je réponds ça marche, il me demande s'il prend cela sur le compte resto, je dis oui, il me demande le budget mensuel, je lui dis à sa convenance, mais sans non plus abuser, qu'il a bien vu ma fréquence de remplacement, d'accord dit il.

Je suis gênée non pas par le fait qu'il choisisse mes affaires, mais par la dépense que je fais en vêtements lingeries et restos, mon mari me disait, ce qui est honteux, ce n'est pas ce que l'on gagne nous, mais la misère qu'eux ils gagnent, dans la semaine qui suit, j'avais dit à ses parents, de mettre l'argent sur son compte à lui, expliquant que quand on sort, je n'ai pas d'argent et que c'est lui qui paie, que j'aurais moins à lui donner de cette façon.

Il avait dit à ses parents que le soir, à neuf heures trente, ont étaient rentrés en semaine, afin de dire que les sorties ne se font pas tard, il leur avait dit qu'il était très content d'être chez nous, bien traité et ne manquait de rien, ça, je m'en doutais un peu, nous étions complices, nous mentions de concert à ses parents.

On sort et contrairement à d'habitude, il me dit de conduire, j'obéis encore sans discuter, dans la voiture, j'ai la cuisse droite découverte du fait de la fente à ma robe, il regarde en disant, elle vous va très bien cette robe, je lui souris en disant tant mieux et que c'est normal, elle nous a plu à tous les deux.

On arrive au resto, sans grande idée ou aller, je suis retourné chez l'un où on avait déjà été, en arrivant, je lui laisse la voiture à garer puis nous allons dîner, je me rappelle la première fois où nous sommes rentrés ici, il me suivait timidement, là, il me laisse passer la première et c'est lui qui demande une table.

Si un jour, je suis obligée d' aller à une réception un peu huppée, je n'aurais aucune crainte à l'emmener pour m'accompagner, il sait se tenir à table et sait se conduire en gentleman en société, ce qu'il aime en privé, c'est autre chose, d'ailleurs, c'est privé et je ne m'en prive pas.

Après le dîner, on ne s'est pas promené, il faisait un temps trop froid et humide, de plus, je n'étais pas équipé pour, ce genre de sortie ne lui donne pas d'avantage pour mater plus, je pense que c'est ma compagnie qui l'intéresse, c'est lui qui prend la voiture au retour.

Au parking, il mate, mais sans plus, au cas où quelqu'un nous verrait, mais à la maison, il ne s'en prive pas, il sait qu'il a le droit à volonté et surtout que j'aime cela, ses phrases en public, et celles quand nous ne sommes que tous les deux sont différentes, il me vouvoie, mais pas de la même façon, en gros, en public, c'est, pouvez-vous me passer le sel, et en privé, c'est passez moi le sel, mais avec le merci quand je lui passe, enfin cela était un exemple, car en dehors des moments coquin, il est aussi correct qu'en public, c'est ce que j'apprécie, il y a le moment jeu et le moment sérieux, il ne mélange pas les deux, c'est d'ailleurs la raison pour laquelle nous en sommes arrivé a ce point.

À la maison, je reste en robe et il me dit, on va faire de la couture, il monte chercher mes aiguilles pour tenir le tissu, il ne me demande pas, il fait, il pique la robe de façon qu'elle soit beaucoup plus courte, il retire 2 boutons au décolleté, il me fait tourner, il teste ma docilité, car à chaque piqué ou en déboutonnant, il effleure bien plus que la fois où on a pris les mesures pour la première retouche, cela reste très léger quand même.


Une fois qu'il m'a bien vu avec la robe retouchée par ses soins, il me dit que pour nous ça va, mais pas pour sortir, je lui dis que c'est également mon avis, sur ce, il défait les aiguilles et me dit, pour ici, c'est mieux sans, et me la défait, je me retrouve en petite tenue devant lui, il me dit que je suis un régal pour les yeux, je lui dis qu'il est gentil en mettant un teeshirt.

La semaine suivante, il a apparemment eu beaucoup de travail, il était souvent à son ordi avec des bouquins jusqu'au dîner, je me suis presque sentie délaissée, mais comme après avoir mangé, tout redevenait habituel, je me suis fait une raison qu'il était surtout là pour étudier.

J'ai pensé à tort que du fait que je n'avais pas fait tout ce qu'il demandait par courrier, à savoir, les frôlements et l'excuse pour être dans le même lit, par contre, il choisit mes vêtements pour la journée, celles du soir aussi, il mate pareillement, le courrier reprend, je m'aperçois aussi qu'il est moins à l'ordi, le soir, son message me demande mon rapport sur ce qu'il y a eu pendant son absence, j'ai compris qu'il a besoin de savoir ce que je pense de ce qui s'est passé.

Je lui parle du resto, et que maintenant, il m'achète lui-même mes affaires, lingerie comprise, que des fois, il me frôle en soit déboutonnant une jupe ou défroissant un faux pli, la soirée se passe comme tous les soirs, le lendemain matin, je dépose ma réponse et le soir, son message me dit, bravo, c'est parfait, mais aimez-vous qu'il gère vos affaires et lingerie, n'avez-vous pas peur qu'il vous prenne quelque chose de très dénudée et si c'était le cas, que ferez-vous, vous le remettrez à sa place en rouspétant et que ressentez-vous quand il vous frôle.

Je réponds comme il aime, en rentrant, c'est comme d'habitude, il me dit quand je dois prendre ma douche et mes tenues sont prêtes, des fois celles qu'il m'avait choisies, des fois en string et soutif, avec bas et des fois sans.

Quand il m'écrit, il me laisse pour que je réponde, à la question s'il prenait quelque chose de très dénudée, je dis que je ne sais pas, quant à rouspéter contre lui, je dis que non, je n'ai pas envie qu'on se fâche, j'aime trop notre complicité, ni lui ni moi n'avions envie d'arrêter, je crois, nous nous excitons mutuellement, quant à ses frôlements, c'est comme quand il me mate, je frissonne, je n'ai pas envie de perdre cela.

A suivre.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Courrier pas si anonyme 5

Le 22/01/2023 - 19:58 par gilbert
Mais peut-être aussi à t il peur, en allant trop loin,de briser ce rêve qu'Annie lui fait vivre..
Le 22/01/2023 - 19:09 par gilbert
Pour moi ce jeune homme est brillant et a su faire monter le plaisir de chacun...cette histoire est absolument chaude et attirante,passionnante. La durée fait partie intégrale du jeu et décuple le désir..
Le 08/12/2015 - 06:36 par Candauliste
Alors, je suis votre obligé Anisette et j'attends impatiemment le dénouement de cette tranche de vie.
Le 07/12/2015 - 17:16 par annizette
je comprend bien vos attentes candauliste, mais cela n'est pas un conte, mais une histoire réelle, il ne m'est pas facile d'expliquer que ce qui est arrivé, je ne le voulais pas, j'ai acceptée de jouer au compte goutte, tiraillée entre la peur que cela se sache et l'envie. toutes ces longueurs, ne m'ont servies qu'à juger sa mentalité, je suis très joueuse, mais j'ai eu souvent des mauvaises surprises ou fort heureusement, je n'ai pas été loin, des pauvres imbéciles qui au lieu de garder pour eux ce qu'ils voyaient, le criaient sur les toits. soyez donc indulgent pour la pauvre auteur que je suis, la suite vous intéressera, ce jh est vicieux comme j'aime et sait gardé pour lui seul sa vie privé
Le 07/12/2015 - 06:10 par Candauliste
Histoire très excitante au début, mais maintenant ça traine en longueur, ça s'éternise. Les moments de l'histoire, à quelques détails prêts sont identiques. Ne pourraient-ils pas passer à un stade supérieur de leurs relations. J'adorerais qu'il décide d'exhiber sa tante à d'autres personnes.
Le 06/12/2015 - 00:29 par annizette
je passe pourtant tout au correcteur Word et ensuite au correcteur scribens
Le 05/12/2015 - 23:42 par Veilleur
Vous devriez soigner la ponctuation

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