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Cours très particuliers 1

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Lue : 83507 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 21/05/2012

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1. Préliminaires.

En septembre, Bac en poche, j’intègre un BTS d’assistante de direction. Je me rends compte rapidement que je ne comprends pas grand-chose en économie. Début octobre, vu mes notes, mes parents me proposent de prendre des cours particuliers. Je demande à mon prof d’éco qui accepte de me recevoir à son domicile le mercredi après-midi de 14 à 16 heures.

Le mercredi, je me rends chez lui, il m’invite à m’installer dans la cuisine.
Il me demande pourquoi je veux prendre des cours particuliers, je lui explique que les 2 premières notes que j’ai eues sont lamentables et que je ne comprends rien à cette matière.
Il me dit que j’ai bien fait de ne pas attendre la fin de l’année scolaire pour tenter de remédier à mes lacunes.

Il s’assoit à mes côtés et reprend les cours qu’il a déjà faits en les commentant et en me posant des questions destinées à vérifier que j’ai bien compris. Pendant les 2 heures de cours, il est très proche de moi et je sens à plusieurs reprises ses doigts frôler mes cuisses et ma poitrine et sa cuisse se coller à la mienne, mais je pense que c’est involontaire. Et pourtant, en le quittant, je remarque une bosse au niveau de sa braguette.

Le mercredi suivant, après m’être installée, il me propose quelques petits exercices, pour vérifier mon niveau. Puis il se lève et me dit :
- Résolvez ces petits exo, je reviens dans quelques minutes. En effet, une vingtaine de minutes plus tard, il revient, s’assoit près de moi et me dit :
- Alors, qu’avez-vous pensé de ces exo ?
- Les 2 premiers, je crois que j’ai compris et aussi le 4ème, mais les autres …. Il se rapproche de moi, regarde ce que j’ai fait et me dit :
- Le 1er, c’est bon, le 2ème il faudrait terminer, quant aux autres …. Vous semblez avoir de grosses lacunes !

En même temps, je sens sa main se promener sur ma cuisse et remonter du genou vers mon ventre. Je retire immédiatement ma jambe, il me dit :
- Vous savez, vu votre niveau, vous n’êtes pas prête d’obtenir de bonnes notes, je pourrais bien sûr vous aider, si …..
- Si quoi ?
- Si vous le vouliez vraiment et si vous y mettiez du vôtre ….
- Comment ça, si j’y mettais du mien ?
- Eh bien, je pourrais vous noter très positivement si vous étiez gentille avec moi, donnant, donnant, vous comprenez ?

J’ai très bien compris, le vieux cochon propose de me caresser, voire plus, en échange de quelques bonnes notes. Sa main s’est posée à nouveau sur ma cuisse, heureusement que j’ai mis un jean ! La main est remontée m’emprisonner et me pétrir un sein. Que faire ? Prendre une décision sans attendre !

C’est pas le problème qu’il me saute, quoique que ça serait la 1ère fois pour moi avec un vieux (il a au moins cinquante ans) et je suis pas sûre d’aimer ça et puis est-ce que ça en vaut la peine ? Oui, mais que dire à mes parents ? Il a compris que ça me pose un problème, il ajoute :
- Tu sais, je serai très gentil avec toi, je t’expliquerai tout ce que tu ne comprends pas, tu auras de bonnes notes, et tu garderas l’argent que te donnent tes parents pour payer les cours, en échange il te suffit simplement d’être câline avec moi.

En même temps sa main est passée sous mon tee-shirt, il caresse mes seins à travers mon sous-tif et je dois bien avouer que ses caresses commencent à m’exciter, il ajoute :
- Tu es très mignonne, tu me plais beaucoup, on pourrait passer de bons moments ensembles !

Il est de taille moyenne, légèrement enveloppé, cheveux poivre et sel, avec des lunettes, l’air sévère, en résumé : c’est pas un don juan, et quitte à faire ça avec un prof, j’aurais préféré le prof de sport ! Enfin, c’est pas non plus pour sortir avec lui !
Tant pis ! Je lui dis que j’accepte sa proposition, mais que je veux de très bonnes notes. Il me dit :
- Caresses-moi, j’ai tellement envie de toi ! Sa braguette est déjà ouverte, je passe la main et découvre un sexe gros et dur ! Effectivement, je lui fais un effet certain ! Je sors l’engin, gros engin, gros et long, une belle bite, bien bandée ! Je ne m’attendais pas à ça et comme je suis un peu coquine, le cours commence à m’intéresser !

J’entreprends de le masturber lentement. Il défait les attaches de mon jean et sa main atteint mon entrecuisse, j’écarte les cuisses, il écarte mon slip et atteint mon minou qu’il pénètre de ses doigts sans plus attendre tout en chatouillant mon clito. Je commence à mouiller. Sa bite a encore augmentée de volume et de longueur, n’ayant pas une grande expérience des grosses queues, je la trouve impressionnante ! Il lèche ses doigts mouillés de ma cyprine et me dit :
- Oui comme ça, caresses-moi doucement, serres bien ma verge avec ta main, fais la coulisser de haut en bas, humm, c’est bon, j’ai de plus en plus envie de toi, tu vas voir quand je vais te la mettre dans ta petite chatte, je vais te remplir.

Tout en le caressant, je me surprends à penser que j’aimerais bien qu’il me remplisse la chatte, ça doit être bon d’être fouillée par un pareil engin ! Par contre je ne voudrais pas essayer dans mon petit trou, il me déchirerait ! Je continue mes aller-retour en serrant le plus fort possible, il gémit, il a retiré mon sous-tif et me malaxe les seins à pleines mains, puis il se lève et me dit :
- J’aime beaucoup les seins lourds et fermes comme tu as, allez viens ! (Il m’emmène dans une chambre),
- Mets-toi à poil, j’ai trop envie de te prendre !

J’ai un peu la trouille, je comprends que je vais y passer et maintenant cette grosse queue me fait peur, va t’elle pouvoir s’insérer dans ma petite chatte ? En même temps, je suis très excitée à l’idée d’être empalée par ce gros chibre ! Nous sommes nus, il me demande de m’allonger sur le lit, se couche sur moi en écartant bien mes cuisses, je lui dis :
- Mais vous n’avez pas mis de préservatif ?
- Pas besoin, je ne suis pas malade, t’es malade toi ?
- Non bien sûr, mais ça serait mieux.
- Non je n’aime pas ça, tu prends la pilule j’espère !
- Oui.
- Alors pas de problème, tu vas me sentir gicler dans ton ventre !

Je replis mes jambes, genoux vers ma tête, il est toujours aussi raide et gros, il cherche l’entrée, j’attrape son membre et le guide sur ma vulve en lui demandant de me pénétrer lentement, je sens son gland forcer ma vulve puis avancer doucement dans mon vagin, j’ai l’impression qu’il va me déchirer mais c’est très bon, il me fait mal, mais les douleurs font vite place au plaisir et mes gémissements lui font comprendre que j’apprécie énormément cette pénétration, quelques minutes après il est tout au fond, je gémis de plus en plus fort, j’ai jamais eu un truc aussi gros dans le ventre et en même temps je sens que je ne vais pas tarder à venir. En effet il commence à me pilonner lentement et quelques secondes suffisent pour que j’atteigne l’orgasme, je devrais dire les orgasmes, car ça ne s’arrête plus, il accélère le rythme et je crie de plaisir tellement c’est bon. Enfin, je le sens se raidir, sa bite me semble avoir encore grossie et il se vide à grosses giclées tout au fond de mon ventre en continuant à me limer, son sperme ressort de mon vagin et j’ai un dernier orgasme juste avant qu’il ne se retire.

Nous reprenons nos esprits, il me dit :
- Ca a été ? Je ne t’ai pas fait mal ?
- Non au contraire, c’était merveilleux !
- Il t’a bien baisée le vieux, hein ? Prête à remettre ça ?
- Quand vous voulez Monsieur, c’était tellement bon, j’ai encore des spasmes ! Il pose la main sur mon ventre et m’embrasse sur le front.
- T’es une bonne petite, tu m’a bien fait jouir, la semaine prochaine, tu mets une jupe, pas de sous-tif, t’en as pas besoin, tu me suceras en arrivant pour me calmer, je te ferai l’amour après t’avoir donné ton cours, viens vers 13h30 que j’ai le temps de profiter de ton corps.
- Le problème, c’est que je ne sais même pas si les jupes que j’ai me vont encore, je ne porte que des pantalons.
- Bien, je vais prendre tes mesures, et je commanderai ce que j’ai envie que tu portes, tu te changeras en arrivant, et il n’y aura pas de problème. Tu es d’accord ?
- Oui bien sûr, mais ça va vous revenir cher tout cela !
- C’est pas grave, j’ai les moyens, et puis ça me fait plaisir, c’est pas tous les jours qu’on baise une petite poupée de 18 ans, avec un corps comme le tien, surtout quand on en a 53.
- Je comprends.
- Au fait, tu peux m’appeler par mon prénom, c’est Roger.

Le vendredi, TP d’éco, le lundi le prof rend les copies, avec un 17 pour moi, j’en conclue que les cours particuliers sont bénéfiques !

Le mercredi suivant, j’arrive chez mon prof qui m’invite aussitôt à me changer dans la chambre. Les vêtements qu’il a achetés sont posés sur le lit : une jupe courte plissée rouge, un petit haut blanc, très moulant, des bas dim-up noir (qui tiennent tout seuls) et une paire de chaussures noire à talons. Pas de sous-vêtements. C’est la première fois que je mets des bas et des talons, ça fait drôle, j’ai l’impression que je vais me casser la figure, pourtant quand j’étais petite je m’amusais à mettre les talons hauts de ma mère !
Une fois changée, je le rejoins dans la cuisine, il me regarde, me toise, sourit et me dit :
- Tu sais que t’es particulièrement bandante en jupette, t’as de belles jambes, approche. Je vais vers lui, il passe sa main entre mes cuisses, remonte lentement, atteint mon sexe et pénètre mon intimité de ses doigts, il dit :
- Rien pour gêner la progression, pas de petite culotte et pas d’horrible collant, voilà qui est agréable !

Puis à travers le tissu du petit haut qui ne cache rien, il mordille mes tétons qui entrent en érection et se mettent à durcir, il s’aperçoit que je commence à mouiller, il me dit :
- Petite cochonne, ça te plait de te faire triturer, tu l’attends cette grosse bite, elle t’a manquée pendant la semaine, avoue que tu y as rêvée !
- Oui j’ai rêvé que vous me preniez dans la classe, j’écartais bien les cuisses pour vous recevoir, j’étais toute mouillée, je me suis masturbée pour me calmer. Mais c’est surtout quand je vous ai vu en cours que j’ai pensé à votre grosse queue !
- Et t’aurais aimé que je t’enfile devant tes camarades hein ? Bien petite cochonne, des pensés lubriques pendant les cours, ça mérite une fessée ça ! Couches-toi sur mes genoux !
J’avoue que je ne suis pas très fière, j’ai un peu peur, je me couche néanmoins sur ses genoux, il me caresse les fesses et me dit :
- Tu as un superbe cul, de belles fesses rebondies, douces et fermes, certainement très agréables à faire rougir un peu.

En disant cela, ses doigts se promènent dans ma raie entre mes fesses et il trouve mon anus qu’il pénètre d’un doigt. Ne trouvant pas de résistance, il m’en met un second, il fouille un peu et m’en met un troisième. Il dit :
- Ton sphincter semble se dilater bien facilement, tu as l’habitude de te faire sodomiser ?
- Oui, dis-je dans un râle, un peu honteuse d’avouer ces choses personnelles.
- Tu aimes ça alors !
- Ben, oui !
- Tu jouis quand on t’encule ?
- Oh oui ! Enfin pas toujours, mais si c’est bien fait, oui !
- Et moi qui te prenais pour une petite fille sage, j’avais presque honte du marché que je t’ai proposé, en fait tu n’es pas une petite cochonne, tu es une vraie petite salope, tu aimes le cul ! Soit dit, heureusement qu’il y a des femmes comme toi !
Je vais donc envisager de te mettre ma grosse verge dans ton petit cul, mais il faut prévoir des étapes de dilatation. Tu vas aimer, tu verras.
Je me dis "merde, il va m’enculer le salaud, pourvu qu’il me déchire pas !"

Puis il retrousse ma jupette et me claque les fesses une bonne dizaine de fois en me traitant de petite putain, salope, chienne, etc. Je crie, il continue, il me fait mal, je lui dit que c’est trop douloureux, il arrête et me dit, en me montrant qu’il bande comme un taureau :
- Désolé, je me suis laissé emporter, ça m’a tellement excité de penser que j’allais prendre ton cul, mais ne t’inquiètes pas je te préparerai avant pour qu’il n’y ait aucun danger.
Puis il m’emmène dans une autre chambre (la chambre conjugale dit-il) qui comporte une armoire dont les portes sont des miroirs, il me dit :
- Retrousse ta jupe et regarde la couleur de tes adorables petites fesses. Il a vraiment frappé fort, j’ai les fesses toutes rouges avec la marque de ses mains. Il ajoute :
- Tu vois, c’est comme ça qu’on punit les vilaines petites filles qui ne sont pas sages ! Une bonne fessée ! Bon, maintenant tu vas me sucer ! Il baisse son pantalon et son slip et s’allonge sur le lit conjugal. Il me dit :
- Mets-toi à genoux, perpendiculaire à moi, de façon à ce que je puisse te regarder me sucer et retrousse ta jupe sur ton dos afin que je puisse voir ton cul dans le miroir, tu écarteras un peu les cuisses pour que je vois aussi ta fente.

Je me mets comme il dit et je prends son dard dans la main, entre temps il a débandé, sa bite est plus courte mais pratiquement aussi grosse que bandée, je pose mes lèvres sur son gland que je titille avec ma langue passant et repassant sur le méat, je le masturbe légèrement avec une main et caresse ses boules avec l’autre, il m’a mis une main au cul et m’enfonce un doigt dans l’anus pendant que son autre main vient se poser sur mes cheveux, sa bite commence à reprendre vigueur, elle a maintenant une belle taille et la consistance du béton, j’ai du mal à l’enfourner tellement elle est épaisse, j’y parviens tout de même en pensant que je fais le plus facile, j’aurais certainement plus de mal pour recevoir sa visite dans mon petit trou ! Je commence mes aller-retour sur cette énorme hampe de chaire, d’abord lents, puis plus rapides, essayant de l’introduire le plus loin possible au fond de ma gorge, il ne bouge pas, il me laisse la maîtrise de la fellation, mais il m’encourage par des "suces salope, lèche moi la bite" ou "allez, p’tite pute, pompes mon jus de couilles".

Je m’aide beaucoup de ma langue sur son gland, je sens plusieurs fois ses muscles se crisper, mais il parvient à se retenir, je décide d’accélérer le rythme de mes va-et-vient en lui malaxant toujours les boules, quelques minutes après je sens ses muscles se crisper, sa main appuyer sur ma tête, sa bite trembler et il explose dans ma bouche en râlant de plaisir, il m’en met au moins une dizaine de giclées, un sperme bien épais, un sperme de jeune homme, étonnant, j’en ai plein la bouche, et ça dégouline, je le regarde, je ne peux pas parler, il maintient sa bite au fond de ma bouche, il récupère et quelques instants après approche sa bouche de la mienne et m’embrasse en récupérant une partie de son sperme avec sa langue. Nos langues s’entremêlent, j’avale ce qu’il me reste de sa semence, il me dit :
- Tu es une championne de la pipe, tu aimes ça, je pense qu’on ne m’a jamais sucé comme ça ! Tu ne peux pas imaginer comme je suis heureux que tu ais des lacunes en éco !
- Merci ! Mais sans vouloir gâcher ce moment merveilleux, j’ai peur que nos ébats laissent des traces sur le lit conjugal !
- Le dessus de lit devait justement être porté au pressing !

C’est la première fois qu’il m’embrasse avec la langue !
Il se rhabille, je rajuste ma jupe et mon petit haut et nous allons dans la cuisine pour le cours. Il s’assoit près de moi et me délivre son savoir sans arrêter de caresser mes seins, mes cuisses et ma foufoune. Le cours terminé, il me prend la main et la pose sur sa braguette pour me montrer combien il a envie de moi ! Puis il m’emmène dans la chambre et se déshabille, je veux retirer ma jupe quand il me dit :
- Reste habillée, c’est un de mes fantasmes de prendre une fille en jupe plissée rouge.
- Vos désirs sont des ordres Monsieur.
- Oui, tout ce que tu veux, c’est t’empaler sur ma bite !
- C’est aussi un de mes fantasmes de m’empaler sur votre bite !

Il me pousse sur le lit, relève ma jupe pour dégager mon ventre, se couche sur moi, j’écarte les cuisses, il positionne son gland sur ma vulve et d’un coup de reins me pénètre de plusieurs centimètres. Surprise, je pousse un cri de douleur qu’il prend pour du plaisir. Il me dit :
- T’aimes ça p’tite pute, tu te sens bien avec ma queue dans la chatte, tu te sentiras encore mieux quand tu l’auras dans le cul !

Un autre coup de reins et il est tout au fond de moi, je gémis de douleur et de plaisir, je croise mes jambes sur son dos, je suis totalement offerte, j’attends ses assauts, je lui dis :
- Je te sens bien là, tu m’as bien prise, baises-moi, fais-moi jouir, je suis une salope, j’aime ta queue, vas-y défonce-moi ! Défonce ta p’tite pute !

Il grogne et entame une série d’aller-retour, allant tout au fond de mon vagin, qui m’arrache des gémissements et des cris de plaisir. Pendant qu’il me pilonne, j’attrape ses couilles pour les malaxer. Je sens les contractions dans mon ventre et lui dis :
- Je viens, tu me sens ? Je vais jouir, ah, c’est bon ahhhhhhaa !
Il arrête de me fourrer, m’embrasse dans le cou et me dit :
- Oui je t’ai senti, t’as bien aimé, tu ne regrettes pas de te faire sauter par un vieux !
- Au contraire, j’adore, tu me baises bien, ce sera bon de t’avoir dans mon cul !

Il s’allonge sur le lit et me demande de venir sur lui.
Je m’agenouille au-dessus de son pieu, je place ma vulve juste sur son gland et je descends sur sa hampe, mon vagin engloutissant sa bite lentement, il a mis ses mains sur me hanches et me regarde m’empaler sur son énorme dard. Le fait de sentir cette verge me pénétrer me fait aussitôt mouiller, mes soupirs et gémissements s’enchaînent et s’enflamment, lorsque je l’ai entièrement engloutie, impossible de retenir le violent orgasme qui me monte dans le ventre et les cris de jouissance qui l’accompagnent, que c’est bon l’amour ! Il entame alors une série de coups de reins, son gland cogne contre mon utérus et je jouis à nouveau à plusieurs reprises.
Il s’arrête me dit :
- J’aime bien comme ça, toi aussi apparemment !
- Oui c’est bon, tu me fais bien jouir !

Je vais te prendre en levrette, tu vas te mettre devant ce fauteuil, tu poses tes mains sur le coussin, tu écartes tes jambes et tu cambres bien ton cul, voilà comme ça, très bien. Il retrousse ma jupette et me pénètre aussitôt, sans forcer, je suis toute mouillée et toute ouverte. Il pose ses mains sur mes hanches et entame une série de va-et-vient puissants, immédiatement je reprends mes gémissements, mes soupirs et mes cris, impossible de m’en empêcher ! Il arrête de me limer, se penche un peu et attrape mes seins qu’il palpe avec insistance, en me pinçant les tétons, puis en gardant ses mains sur mes seins, il reprend ses aller-retour, quelques minutes après il décharge dans ma petite chatte en râlant comme un lion, me déclenchant un nouvel orgasme, pendant que ses mains se crispent sur mes seins, il attend plusieurs minutes avant de ressortir de ma grotte et me dit :
- Je suis tellement bien dans toi que j’aimerais y rester toute une nuit. Ce à quoi je réponds :
- Toute une nuit avec toi, j’adorerais, tu me prendrais toute la nuit, ça serait bon, hummm !
Il ajoute :
- Il est presque 17h, le cours a duré longtemps aujourd’hui ! La semaine prochaine on dilate ton sphincter, OK ?
- D’accord.
- Je m’occupe de tout.
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Histoire de Anne

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Commentaires du récit : Cours très particuliers 1

Le 22/05/2012 - 11:44 par Seeley68
Très belle histoire, et surtout très bien écrite. Ca donne envie de devenir prof avec toi. Bisous et continu à nous faire profiter de toutes tes histoires.

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