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Déconvenue 8

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Lue : 1278 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/12/2014

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La vérité crue.

Journal de Cécile. 8 octobre.

Ce matin je suis seule. Léo est occupé, Jean travaille. Je peux me raconter ma fête du sexe d'hier avec le phénoménal Léo. Dans la mesure où sa carte de séjour expirera le 31 décembre s'il ne trouve pas une française désireuse de l'épouser avant la date fatidique, après son départ je relirai avec nostalgie le récit de l'immense plaisir qu'il m'a donné. Je nuance, avant la jouissance j'ai connu la souffrance.

Nus, pressés maintenant de nous aimer, nous ouvrons le lit et nous nous allongeons côte à côte comme un couple légitime. Je vis une minute de flottement. Il n'est plus question de patienter, je masturbe, Léo titille. Je l'appelle, il se jette sur moi, me colle au drap et pousse son glaive en bas, entre mes cuisses, mes jambes sont rabattues sur mon torse, à côté de mes seins. Sa hâte n'a d'égale que la mienne. Je sens contre mon sexe les mouvements du sien à la recherche de mon orifice. Il monte, descend, travaille l'espace entre mes lèvres, pousse sa colonne au bon endroit. Je veux le guider:

-Oui, Léo, c'est là. Tu peux, force un peu, ne t'inquiète pas si je me plains. En principe Jean a rodé le passage. Qu'elle est belle ta queue, mon chéri. Plante la.

Dans un poing, Léo encadre sa verge, contrôle sa rigidité et pousse, écrase mes chairs. Ça fait mal, je serre les dents. Mes mains tirent sur mes grandes lèvres pour faciliter l'introduction. Le bélier est solide, l'homme est costaud, il force mais la porte est trop étroite pour lui. Malgré les préliminaires dans la salle de bain et ma mouille, malgré la vigueur de l'élu, le pieu reste à l'extérieur et nous ne pouvons nous unir. Ma figue souffre, sa queue se cabre, s'arrondit, n'avance pas mais ressemble à un instrument de torture.

- Excuse-moi. Tu vas me déchirer. Que faire ?
- Essayons les produits que je transporte dans mon sac.

Léo sort deux petits paquets. Il me montre un préservatif dans son enveloppe transparente. Que peut-il en attendre? Il ne diminuera pas le diamètre impressionnant du chibre. Docile, à sa demande, je prends entre les dents la petite poche de l'avant et à quatre mains nous déroulons le latex. A mon plus grand étonnement la verge entre dans cette enveloppe. Je n'en finis pas de mener la longue capote vers la base. Jean et moi en avons utilisé, des normales. A bite exceptionnelle, taille de préservatif exceptionnelle. Le diamètre de l'outil n'a pas diminué sous la caresse de mes mains, au contraire J'interroge Léo du regard. Il rit, de toutes ses dents, déballe le deuxième coffret en tire un tube :

-Ma chère, grâce à ce gel lubrifiant et moyennant quelques efforts nous serons bientôt imbriqués l'un dans l'autre, ma cheville va boucher ton troutrou. Hi, hi, hi. Généreusement il étale sur le latex une couche de gel et s'excite au cours de la manoeuvre. Enfin il commande :

-Relève bien tes jambes, montre ta figue et ouvre-la avec tes doigts, bien grande, encore. Que ton con est beau !

Il cueille sur ses doigts une belle noisette de gel et la tartine sur mes lèvres grandes et petites, une nouvelle noisette est déposée directement à l'entrée de mon vagin. Le premier contact est glacial puis aussitôt mon berlingot s'enflamme. Le gland vient se frotter à mon sexe, cherche, pousse. Je tire mes abords vers l'extérieur, Léo pousse comme un forcené.

- Aïe, hou ou. Que j'ai mal. Aïe !

- J'arrête ? Lève les pieds bien hauts, pousse ton ventre vers le haut. Cale-toi sur les épaules.

- Pousse encore, tu as gagné du chemin. Vas-y, force, je te sens entrer. C 'est un écartèlement, mais tant pis si tu me déchires, il est trop tard pour faire marche arrière. Viens, enfonce-toi. La douleur passera. OOOOOOOOOOh

D'autres femmes avalent des queues plus grosses, je veux passer ce cap moi aussi. Je pousse mon bassin, Léo pèse. Mes parois se dilatent dans la douleur. Oui, il gagne des centimètres, s'arrête, prend du recul, revient, repart et par petites étapes, malgré mes plaintes, la tête de la verge vient cogner au fond de moi. il a beau vouloir aller plus loin, l'espace est limité. Ma main mesure la part restée à l'extérieur de mon sexe : il y a de quoi remplir un second vagin. Je suis épuisée, je réclame un répit

- S'il te plaît, ne bouge plus. Ouf ! Embrasse-moi. C'est bon, tu es bien installé ?

Léo transpire à grosses gouttes, explose de son rire habituel et s'excuse :

-Je n'aurais pas pensé que tu étais aussi étroite.
- Le pire c'est cette impression de prendre feu. Restons immobiles, je sens les pulsations de ton sang dans ta queue. Que cela a été dur.

JEAN Commentaire
Ainsi, depuis cette date, le sept ou huit octobre, cela fait presque un mois, Cécile a consommé l'adultère. La séance s'est terminée par une charge brutale, elle raconte avoir hurlé surtout à cause d'un incompréhensible échauffement de son sexe accompagné d'une pénible impression de rabotage de ses parois; Ce soir-là, à l'heure du coucher, elle a opposé à mon désir de lui faire l'amour, l'arrivée prématurée de ses règles avec pour preuve irréfutable des traces de sang dans une culotte du jour. Curieusement, de mémoire, ces règles ont duré une dizaine de jours : l'addition de la simulation en raison d'une réelle déchirure et de règles normales. La rusée note ce détail dans son journal et se réjouit de la réussite du stratagème. En épluchant son récit, je constate le privilège par ailleurs accordé à Léo dès le troisième jour suivant la première pénétration. Chaque matin de semaine, Léo est venu prendre son bain avant de contribuer à la transformation du vagin dans les positions les plus diverses et parfois encore pénibles, dont Léo et Cécile relevaient les particularités sur des sites d'internet consacrés au kamasutra.

J'abandonne la relation de toutes ces pratiques. Cécile en raffole, l'expérience qui devait être unique, se répète quotidiennement. Depuis le vingt j'ai, moi le titulaire de la place, eu droit à trois ou quatre câlins avec ma femme, le week-end. Une cystite inventée pour l'occasion, je le lis avec stupeur, réclame des précautions. Elle me prend soudain pour un polichinelle ou un idiot, quel manque de respect, quelle ingratitude ! De plus, presque chaque soir, Léo raccompagne Cécile à la maison, ainsi craint-elle moins d'être attaquée en chemin. Cécile se croit obligée de le remercier en l'invitant devant la télé. Lorsqu'à mon heure je me couche, les deux complices ont toujours une émission à découvrir. Je m'endors, Cécile se glisse furtivement beaucoup plus tard entre les draps et je ne peux donc pas l'importuner avec mes caresses et envies Elle relève le bon tour deux fois dans son journal Ceci obéit à l'incitation de son amant qui en fait des gorges chaudes et se livre à des privautés dans mon salon, l'audace est un piment suprême selon le séducteur.

Je passe sur les effets bénéfiques du gel qui brûle les muqueuses et décuple le plaisir, sur l'admiration indéfectible de Cécile pour l'art et la manière d'utiliser un sexe monstrueux pour connaître des orgasmes enfin à la hauteur de ses attentes et des promesses du camerounais. D'autres parties de son journal me donnent des soucis plus graves. Léo avance ses pions en stratège. Je risque de me retrouver à la rue à cause de sa volonté de dominer Cécile. Nous ne luttons pas à verges égales.

Après la fatigue de la première fois, Cécile a réclamé une trêve. Les amants ont passé le temps en caresses et discussions. Léo aimerait louer notre deuxième chambre. Il y serait tellement mieux qu'à l'hôtel. Marie s'est engagée à m'en parler. Elle admet l'argument d'un meilleur confort auquel elle joint in petto l'avantage de la plus grande facilité pour eux de faire l'amour à domicile ( c'est en toutes lettres dans son journal, mais elle ne l'a pas précisé à Léo). A moi, elle fera valoir la proposition de Léo de prendre en charge un tiers de tous les frais, taxes, loyer, nourriture, gaz, eau, chauffage, électricité : ce qui réduirait sa part et la mienne d'autant. Bizarrement elle n'a pas encore osé aborder le sujet avec moi

Au cours d'une sauterie suivante, particulièrement chaude et accablante pour les reins et le sexe de Cécile, Léo a exposé sa crainte de devoir quitter le pays après le 31 décembre. C'était un chantage déguisé signifiant : après mon départ il en sera fini de nos amours fantastiques. Cécile ayant pris goût aux exploits sexuels enchanteurs a considéré cette déclaration comme une promesse d'être servie à perpétuité au niveau devenu régulier d'orages ou de tempêtes orgasmiques. Elle a à peine tiqué quand Léo lui a fait remarquer qu'à l'état civil elle était célibataire en raison de nos accords lointains. Le lendemain il en a tiré une conclusion simple et évidente:
-Tu es célibataire. Nous pourrions nous épouser discrètement à la mairie et ensuite je ferais ma demande de naturalisation. Celle-ci obtenue nous pourrions divorcer, à moins que tu ne veuilles rester ma femme.

Il abandonne le choix du divorce à Cécile. Léo semble s'attacher et je peux m'inquiéter: il ne divorcera pas et prendra ma place. Il ne l'a pas explicitement déclaré, cela ne saurait tarder Quoique ma place de cocu ne me paraisse plus une place enviable et à défendre. Qu'ils n'espèrent pas s'en tirer à bon compte.

- Mais que fais-tu de Jean ? Non je ne marche pas dans la combine. En ce moment je profite de ta présence, mais je ne veux pas perdre Jean. Il a été le premier, il sera le dernier amour de ma vie.

Cécile envoûée est touchante de naïveté ou d'inconscience. L'autre reste prudent, ne la brusque pas :

- D'accord. Nous nous marierons en douce. Si possible Jean pourrait être notre témoin à condition que tu lui expliques bien qu'il s'agit d'un mariage blanc.
- Tu rêves ! Admettons que nous soyons mari et femme, avec qui dormirai-je la nuit ? Avec toi ou avec Jean ? Réfléchis, tu restes devant la télé les soirs, tu l'as avoué, pour imposer des restrictions à Jean parce que tu admets difficilement qu'il me fasse l'amour. M'interdiras-tu son lit la nuit ? Ferons-nous lit commun ?
- Mais non ! Nous continuerons comme à présent. Nous avons l'habitude de nous aimer le matin, cela ne le dérange pas car il n'en sait rien. Pourquoi changer ce qui fonctionne bien. Tâte le terrain. Ah ! lui as-tu parlé de ma proposition de sous-louer ? Non ? Qu'est-ce qui te gêne ?
- Tu en as de bonnes. Cela risque de lui mettre la puce à l'oreille avant l'heure. Il pourrait troubler nos superbes rencontres. .Avec toi je prends du bon temps, tu es fabuleux. Mais j'aime mon premier homme Je veux l'amour, pas la guerre.
- A toi de savoir ce qui est le plus important dans la vie, un plaisir étourdissant ou un train-train ennuyeux avec une queue moyenne. Réfléchis, et vite, pour moi le temps presse. Il y a un délai obligatoire pour la publication des bans.

L'amour rend fou. Comment Cécile réussit-elle à croire à la possibilité de vivre longuement une sorte de ménage à trois dans lequel, moi, cocu aveugle, je m'épanouirais en contemplant leurs galipettes, en l'entendant hurler de plaisir ? Et j'irais tenir la chandelle à la mairie. Sonnez trompettes, voici le COCU ! Riez bonnes gens. Les coups de bite magiques de Léo ont chamboulé ses capacités de réflexion. Chaque gémissement sous les assauts du gourdin camerounais lui arrache un peu de bon sens. Elle me désole

Dernière folie imposée par Léo, hier 2 novembre, au cours d'ébats somptueux paraît-il : le cinq, il passera la soirée avec nous, s'incrustera devant le téléviseur et dès que je serai couché, ils feront l'amour sur notre canapé. Il veut démontrer à Cécile que ceux qui osent gagnent tous leurs défis. Elle ne crie plus aussi fort lorsqu'il la bourre, le coup est à tenter. Elle voudrait faire une objection, Léo la balaie en quelques mots :

-Jean ne se réveillera pas. Mais, admettons qu'il nous surprenne, ou il se fâche et fuit, ou il reste, s'incline et accepte l'état de fait. A la limite nous pourrions lui offrir de participer. N'as-tu jamais rêvé de faire l'amour avec deux hommes à la fois. Ce doit être sensationnel, non ? Imagine: je suis sur le dos, tu t'assieds sur mon pieu, tu exécutes ta danse du ventre sur ma queue enfoncée dans ton vagin, tu te penches sur moi, tu me caresses avec tes deux seins mignons. Jean se plante dans ton cul : et vogue la galère. Hi, hi, hi!
Le rire de Léo est communicatif, Cécile note que le tableau évoqué l'a amusée et fait rire.

Il est dix-sept heures trente ce 3 novembre. J'ai failli surprendre les amants dans mon lit.. J'ai lu tout le journal intime . Demain midi je lirai l'éventuel compte rendu de Cécile sur ce matin. Avec mon imprimante je fais des copies des passages essentiels du journal. Je replace le précieux journal à sa place. Tout est en ordre. J'arrive au travail très en retard. J'étonne mon patron en lui confiant que j'ai des déboires familiaux. Il veut en savoir plus. Je résume la situation : Cécile me trompe, je dois me trouver un logement pour quitter l'appartement loué à son nom. Selon Henri tout n'est pas perdu, Léo pourrait disparaître, qui sait. C'est un coucou, il pond dans un nid puis en cherche un nouveau. Cécile après une expérience s'assagira....

-Mais s'il le faut, je peux user de mes relations pour te dénicher une location à proximité. Tu peux compter sur nous. Rentre chez toi, réfléchis avant d'agir. Fais comme si tu ne savais rien, laisse venir et ouvre l'œil.
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Histoire de Veilleur

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