Drôles de vacances

Je m'appelle Jessica, j'ai 22 ans et je suis une jolie petite rouquine aux yeux clairs avec un physique attrayant qui plait à tous les hommes, jeunes ou vieux.

Il y a quelques temps, à l'âge de 18 ans, après avoir obtenue mon bac littéraire avec mention, je suis partie en vacances avec ma mère au bord de la mer, en Normandie, mon père qui est médecin devait nous rejoindre dans quelques jours.

En arrivant, ma mère et moi avons été accueillis par Ian, un ami de mon père, il m'avait vu naître et grandir, c'était aussi un intime de ma mère, Ian était un expatrié anglais installé depuis des années en France, il est écrivain.
- Jessica, Marie, enfin vous voilà !!!, s'écria-t-il à notre arrivée.
- Et oui, nous voilà, dit ma mère d'un ton joyeux et en le serrant dans ses bras.

Ian me regarde d'un drôle d'air mais son visage s'est éclairé dès que son regard ait croisé le mien.
- Mon dieu Jessica, mais tu es une vraie femme, une vraie lady, me murmura t'il en me faisant tournoyer.
- Oui, c'est une vraie lady, ma Jessica vient d'obtenir son bac et avec mention, s'il te plait.
- Maman, arrête, murmurais je en rougissant.

Ian nous a aidés à monter nos bagages et à nous installer, pendant toute la durée des vacances, il nous loge chez lui, je retrouve ma chambre qui est situé à côté de la chambre de Ian, ma chambre est rose et blanche, avec un grand lit à baldaquin à rideaux blancs et aux draps blancs.

Après avoir rangé mes affaires dans la penderie, je me suis changée, la porte de la chambre était entrouverte, je me suis déshabillée entièrement, me suis exhibée sans complexe devant le miroir mais quelque part, derrière la porte, je devinais une présence, une présence masculine, la présence de Ian.

Après m'être vêtue de mon bikini noir, d'une jupe noire et d'un débardeur blanc transparent, j'ai retrouvée Ian et ma mère sur la terrasse, en pleine conversation, le regard de Ian s'est perdu sur mon débardeur blanc qui dévoilait délicatement ma poitrine généreuse qui était enfermé par le haut de mon bikini.

La vie a repris de plus belle, il m'a demandé ce que je comptais faire à la rentrée scolaire, je lui ai dit qu'en janvier dernier, j'ai été acceptée à la Sorbonne, ma mère m'a assurée que c'est la meilleure école pour une future éditrice comme moi.

Pendant mon séjour, je suis devenue très complice avec Ian, il ne me regardait plus comme la petite fille que j'étais autrefois mais comme une femme mais tout a changé, tout a changé depuis que mon père nous a rejoints.

Un soir, mes parents sont sortis, j'ai passé ma soirée devant la télé mais au bout d'un moment, je me suis endormie mais j'ai senti une paire de mains qui touchent mon corps en toute impunité, je me suis réveillée et découvrit Ian qui entreprit de me déshabiller
- Mais mais, que fais-tu ? lui demandais je, affolée
- Ta gueule Jess, tu me fais envie, depuis le 1er jour, tu m'excites, petite garce !!!!

Je dois avouer qu'il m'excite aussi, je me suis levée, déshabillée entièrement, j'ai pris mes affaires et je suis allée le rejoindre dans sa chambre, je me suis installée sur son lit, il était simplement vêtu d'un jean et il m'a vêtu d'un collier en cuir avec un anneau, il s'est approché de moi, il a écarté mes cuisses et m'a pénétré d'un seule coup.
- Ian, fais gaffe, je suis encore vierge !!!!!, hurlais je.
- Aie confiance en moi Jessica, tu es belle comme ça, tu mouilles comme une folle ma chérie, dit-il en chatouillant mon clitoris
- Embrasse-moi.

Nous avons passés une bonne partie de la nuit dans son lit, il m'a attachée à des menottes et il m'a possédé de toutes les façons et dans n'importe quel position.

Le lendemain matin, notre complicité a repris de plus belle mais à un moment, pendant quand mon père et ma mère étaient partis à la plage, Ian me prit à part, il exigea vite que je ne porte plus de sous vêtement sous mes jupes, ça sera plus facile pour me peloter selon lui.

Je me suis vite pliée à mon exigence, dès que nous fûmes seuls, il me faisait l'amour avec sensualité et sauvagerie, c'était parfait mais tellement désespéré, je suis devenue son amante, son jouet et son esclave sexuel.

Un soir, c'était le soir du 14 juillet, un bal populaire à été organisé en ville, Ian a accepté de m'accompagner pendant que mes parents se faisaient une soirée en tête à tête, j'étais vêtue ce soir là d'une robe noire dos nu très moulante, tous les hommes présents me couvaient d'un oeil envieux mais Ian leur a fait passer le message suivant : Elle est à moi.

Nous avons passés à la soirée à danser, à rire et à boire et à notre retour à la maison, je squattais son lit, comme chaque nuit, en plus de faire l'amour, nous avons parlés, parlés de nos fantasmes, je lui ai avoué qu'un plan à trois me plairait, il m'a souri et m'a promis une surprise le lendemain avant de me faire l'amour, encore une fois.

Le lendemain soir, mes parents se sont absentés, ils ne reviendront qu'une semaine plus tard, Ian avait invité un autre ami pour la soirée, il s'appelle Jack, un beau brun aux yeux foncés et au physique plus qu'agréable.

Il m'avait bien sur achetée une tenue sexy : collier en cuir, jupe en cuir et sandales à talons de 15 centimètres, je me trouvais pas si mal dedans et quand je fis mon entrée au salon, Jack en fut estomaqué.
- Mon dieu, quelle ravissante poupée, tu t'ennuies pas mon salaud, s'esclaffa t'il
- Je sais Jack, c'est l'occasion pour elle de réaliser son fantasme, sourit Ian.

Ils m'ont fait boire du champagne, m'ont couvert les yeux avec un bandeau, j'ai passé ma nuit à les satisfaire comme je le pouvais, j'ai senti leurs mains, leurs bouches et leurs corps parcourir le mien, j'ai joui à maintes reprises cette nuit-là.

A la mi-août, je suis rentrée à Paris avec mes parents, je suis toujours en contact avec Ian qui a mis par écrit notre aventure, je le revois de temps à autre quand il est chez mes parents et depuis quelques temps, je fréquente un autre universitaire, un universitaire étranger, il s'appelle James, il est irlandais et il est aussi étudiant à la Sorbonne.

Il est devenu mon amant il est aussi dominant que Ian, qui m'a aidé à m'affirmer sexuellement.