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Elles et moi

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Lue : 4827 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 11/04/2017

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C’est la fin du cinq-à-sept avec Rita, la mère de Flora, (voir Initiation 1et 2 et un cinq à sept torride) ; elle, dans une position acrobatique, mon sexe au-dessus de ses fesses divines, offertes, je la sodomise. Elle voulait depuis des lustres que je lui fasse l’amour rappelez-vous !
…………..
Jamais je n’avais tant joui, tant fait jouir, ma verge glissait à l’aise dans son anus lubrifié par l’abondance de mon foutre qui giclait, fusait sous pression, inondant la raie de ses fesses et mon ventre.

Son plaisir dura bien après le mien, je m’efforçais de le faire durer. Dans cette position, sorte de levrette inversée, je ne voyais plus le visage de Rita, seuls ses gémissements étaient le signe de son plaisir ; j’imaginais son regard, ce qu’elle devait voir de nous, mes couilles s’agiter vues d’en dessous, mon sexe en elle, ; vous voyez ? J’aurai bien voulu être à sa place, voyeur que je suis, mais ses cris, les ondulations anarchiques, incontrôlées de son bassin, de ses fesses m’encourageaient à continuer de la servir pour la faire jouir sans fin. Pourtant comme finit un orage le calme revint peu à peu ; toujours debout, en la chevauchant à l’envers, la regardant de nouveau au travers de la fenêtre de nos cuisses entre croisées je revis son visage ; Rita apaisée, allongée le dos sur la moquette, le tronc, les cuisses et les fesses en l’air adossés au divan, les jambes rabattues vers moi, les chevauchant, me souriait, heureuse, satisfaite.

Nous étions dans cette position quand je remarquais qu’une femme aussi blonde que Rita était brune nous regardait, debout, médusée à la porte du salon. Depuis combien de temps était-elle là ? Qu’avait-elle vu de nos ébats ? Je ne savais que faire, pas gêné pourtant de cette situation cocasse, qui promettait je le pressentais quand Rita me parla
« Edouard, c’est Dolorès……une de mes amies…. je lui avais demandé de passer……elle a envie de toi, de nous elle aussi ……j’aimerais qu’elle reste….. tu-veux ?

Ce délicieux traquenard n’était pas pour me déplaire. J’observais Dolorès elle était magnifique elle aussi, inquiète de ma réponse elle attendait sur le pas de la porte, la main sur la poignée, prête à partir, à s’enfuir.
Comme éberlué je ne disais mot, presque heureux de lui montrer ma nudité, mes fesses, mon sexe ; elle prit mon silence pour acceptation, elle avait raison d’ailleurs car j’étais tout émoustillé, baiser avec deux femmes, mon fantasme ! Alors elle ouvrit son manteau et d’un coup je me demandais si je ne rêvais pas en voyant son corps splendide moulé dans des sous-vêtements coquins, son string et ses bas sombres sustentés par des jarretelles de dentelles qui zébraient ses cuisses et ses fesses, ses seins nus fermes et ronds, pointés de rose, deux merveilles !

Elle s’approcha de nous toute fébrile, sûre de son charme en ondulant, sourire carnassier aux lèvres et plus que tout, plus que ce que je viens de dire d’elle, c’est son regard qui me stupéfia, celui d’une amante chevronnée en plein manque, le regard d’une belle garce comme on dit ; un regard plein de promesses, le regard concupiscent d’une belle salope, comme je les aime, comme j’aime en croiser sur mon chemin ……..

Nous étions debout tous les trois éberlués de la situation, de cette occasion incroyable de faire l’amour ensemble. C’est Rita qui rompit le silence
« Edouard fais la jouir, tu veux ? elle te désire elle aussi, depuis des années,
Ces derniers mots me bouleversèrent ; ainsi un de mes fantasmes se réalisait, faire l’amour à trois, moi avec ces deux belles femmes ardentes, matures !
Dolorès manifestement troublée avait une voix un peu rauque,
« Merci à vous deux, merci Rita de tenir ta promesse……
Etait- ce l’émotion, l’excitation ou sa tessiture presque masculine ? Enfin, son corps n’avait pourtant rien de masculin, lui, et je pus le détailler quand les deux femmes s’enlacèrent amoureusement et que leurs bouches s’unirent pour un baiser passionné qui n’avait rien de conventionnel et qui me laissa à penser qu’elles étaient comme moi, bisexuelles !

Je les laissais faire, je regardais leurs langues qui se baisaient, leurs ventres qui se pressaient en ondulant, leurs mains qui caressaient. Contrairement à Dolorès Rita était nue. Je les vis s’approcher d’une sorte de lit dans un coin de la pièce.
« Edouard ….tu viens…..
Je m’approchais, Dolorès adossée à la couche, Rita la ployait en arrière en une sorte de debout-assis, les fesses calées sur le dessus de lit en satin, ses bras en arrière en appui sur le lit
« Edouard je t’en prie ….fait la jouir, maintenant !

En disant cela Rita agenouillée devant son amie lui quitta délicatement sa culotte. Et quand le frêle rempart tomba à ses pieds elle me laissa la place. Jamais je crois je n’avais été aussi excité, devant moi cette blonde magnifique, offerte, arquée en arrière, seins dressés, agressifs, les cuisses légèrement ouvertes, les fesses en appui sur le lit, le ventre nu dégagé au milieu des fanfreluches de sa tenue, un petit ventre parfait, légèrement bombé, tout lisse, orné d’un joli ombilic discret, encadré joliment dans l’échancrure du porte jarretelles et des deux rubans sombres sustentant ses bas montant haut sur ses cuisses.

Quand je vis sa chatte, bien en évidence dans ce cadre enchanteur je me retins de pousser un gémissement d’aise, une chatte cela ? non ! une merveille, comme j’ai peu eu l’occasion d’en voir et pourtant j’en ai vues, vous le savez ; mais la chatte de Dolorès était comment dire…prometteuse, pas de ces petites chattes, bonnes pourtant, qui se cachent, insignifiantes, enfouies au fond des cuisses , non celle de Dolorès s’offrait à moi, une chatte fruit comme je les aime, le genre de chatte qui me donne mille et une idées pour être à son service, pour l’émoustiller avant de la réveiller, de la posséder, la faire s’ouvrir, s’éclater comme une mangue trop mure, la faire jouir, pour que le plaisir irradie de cette belle chatte de Dolorès à tout son corps, ses seins, sa tête, à la rendre dingue Oui j’allais savoir-faire tout cela, j’en avais une envie folle …..
« Edouard …. .baise moi

A non ! je n’allais pas gâcher ce moment, céder à la facilité, me vautrer en elle pour un orgasme violent mais fugace, obéir à mon sexe dressé qui ne demandait d’instinct qu’à forcer cet antre, cette porte du plaisir, cette merveilleuse chatte joufflue. J’allais dire improprement lippues tant ses grandes lèvres très charnues s’offraient, émergeaient bien en évidence de son entre cuisses entre les deux plis, profonds, secrets de l’aine. Non il fallait que je respecte cette belle femme qui fantasmait sur moi depuis des années, la faire jouir de toutes les façons possibles, lui donner tout ce qu’elle espérait, plus peut être ! Avec Rita elles avaient dû parler de moi, de ma réputation, m’imaginer avec elles leur donnant du plaisir, plaisir qu’en mon absence elles devaient se donner entre elles, deux, femmes jouisseuses et imaginatives, plaisirs lesbiens avec ou sans artifices, je ne sais ? Je le réalisais maintenant en voyant Rita allongée nue derrière Dolorès et qui lui caressait les seins en l’embrassant à pleine bouche. Oui je me sentais de taille à les satisfaire toutes les deux ; j’en avais trop envie, une première pour moi !

Je m’agenouillais et je glissais mon visage entre les cuisses de Dolorès, j’étais tout chaviré devant tant de beauté, de symétrie, tant d’érotisme, ce sexe entre ouvert avec déjà un peu de rosée dans la commissure de sa vulve. Je m’avançais et de la pointe de ma langue je fis une première et délicate ascension, de son périnée à l’orée de son ventre, en m’insérant légèrement entre ses grandes lèvres. Pourtant furtive cette caresse du surprendre Dolorès au point de lui faire pousser un petit cri et quand ma langue commença ses va-et-vient sur sa chatte elle s’offrit davantage en ouvrant ses cuisses.

C’est maintenant ma langue largement déployée que je fis aller et venir entre ses grandes lèvres, dans chacun des deux sillons soyeux, roses, qui les séparent des petites lèvres de sa vulve, passant de l’un à l’autre avec le dessus de ma langue en montant jusqu’au ventre, juste un frôlement, et d’une lippée, langue retroussée en descendant mais en m’insérant davantage dans la boursouflure de sa chatte. Je besognais ainsi longuement sûr des effets que ma langue allait produire. Cela vint insensiblement au fil des caresses, des effractions de ma muqueuse, son ventre se mit en mouvement, à onduler, à s’offrir, sa chatte qui se mit à bander, à sortir, à s’ouvrir, ses petites lèvres se mirent à fleurir en rougissant en sortant de leur antre, un mucus qui vint se mêler à ma salive.

J’activais la cadence, augmentais l’amplitude de mes caresses, leur profondeur. Encouragé par ses plaintes, je devenais plus intrusif, ma langue plongeant plus profond en elle, entre les petites lèvres de sa vulve. Je sentis l’entrée du vagin s’ouvrir et petit à petit, à chaque descente de mon visage, je me mis à le baiser, du bout de ma langue d’abord, puis de plus en plus complètement, de plus en plus profond, pour qu’enfin, ma langue sortie complètement de ma bouche grande ouverte, agitée comme une folle soit complètement enracinée dans son vagin, mes lèvres baisant le long capuchon de son clitoris.

Dolorès se mit à jouir, ses plaintes devinrent des cris, son ventre en furie s’anima d’une houle d’abord lente puis en circonvolutions erratiques manifestement hors de son contrôle, elle se cambrait, montait ses fesses pour venir au-devant de moi, pour mieux me sentir et garder ma langue enfoncée en elle ; les grandes lèvres de sa chatte s’ouvrirent dévoilant sa vulve gorgée de sang, toute congestionnée et d’un coup je fus pour mon plus grand plaisir inondé de sa mouille, une mouille abondante, filante, transparente, bulleuse, la mouille de l’orgasme dont j’aime le goût!

Pour la garder dans ce plaisir que j’avais su faire monter avec ma langue, et en m’écartant pour jouir, extasié, de ce merveilleux tableau, des spasmes de sa chatte, je continuais de la caresser mais avec un seul doigt, avec la pulpe de mon index que je fis coulisser entre ses grandes lèvres lubrifiées, complètement enlisé, vertical, caresses subtiles allant de son périnée au vagin jusqu’à son clitoris gaillard qui pointait bandé, sorti de sa cachette. C’était doux comme de la soie et le ventre de Dolorès s’anima de plus belle.

Un doigt dans la commissure de sa chatte, je vous l’ai dit, puis deux autres de l’autre main pour pincer ses grandes lèvres en les malaxant ; en les remontant bien serrées sur son petit sexe épanoui, en les faisant glisser onctueusement l’une contre l’autre sur lui. La caresse était plus rude et pourtant son plaisir monta d’un cran pour atteindre son paroxysme quand je la pénétrais en faisant coulisser mon doigt de toute sa longueur dans son vagin. Je la branlais ainsi longuement en ne faisant varier que l’amplitude et les angles de pénétration de mon doigt en elle, la cadence aussi et quand je la fourrais lentement le plaisir, vu ses gémissements, n’en était pas, semble-t-il, moins grand. Je ne pus m’empêcher alors de replonger mon visage pour recommencer bouche grande ouverte au- dessus de mon doigt à la sucer, à mâchonner sa chatte avec mes lèvres, ma langue de nouveau furtive, curieuse !

Rita, je m’en aperçu n’était pas resté inactive et cela avait dû jouer, son rôle, s’ajouter au mien ; après avoir renversé et allongé Dolorès sur le dos, cambrée, ses jambes toujours pendantes, ouvertes dans la travée du lit ; en s’avançant vers moi, à genoux sur le lit, elle avait enfourché avec ses cuisses le visage de Dolorès pour se faire sucer la chatte elle aussi. Tournée vers moi, son corps, ses seins sur le ventre de son amie, son visage près du mien elle pouvait voir mes doigts, ma bouche à l’ouvrage dans l’entre cuisses de son amie et elle aurait pu joindre sa langue à la mienne. Elle était toute excitée, elle arrivait à ses fins, une situation proche de leur fantasme, situation des plus jouissive, sucée par son amante, son visage à portée de sa chatte et de moi, leur amant d’un soir.

« Edouard relève toi maintenant…tu veux ?
Si je voulais ! bien sûr, et quand je me mis debout mon sexe en érection émergea tendu, dressé en bonne place, ma verge, mon gland décalotté posé sur le ventre de Dolorès, mes couilles entre ses cuisses. Je laissais l’initiative à mes deux poupées, j’étais à leur service, j’étais leur fantasme, jusqu’où allait-il nous mener ?

C’est Rita qui me prit le sexe et de sa menotte, le relevant, le guida vers sa bouche. Ce fus à mon tour de geindre, ma bandaison au maximum, dans cette bouche accueillante, experte aussi pour ce genre d’exercice. Je pensais à Dolorès un moment délaissée et pour la contenter je continuais de la caresser mais avec mes testicules en bonne place dans cette position, sur sa chatte. En ondulant des hanches, en avançant mon ventre je faisais rouler mes deux roubignoles bien dures dans le marais lubrifié de son sexe et j’avoue que cette sensation nouvelle renforça le plaisir que j’avais et le sien à n’en pas douter, vu les soubresauts de son bas ventre.

D’autant que Rita, elle aussi soucieuse du plaisir de Dolorès déglutit mon sexe et s’en servant comme d’un pinceau le fit aller et venir, mon gland dans l’entrecuisses de Dolorès. L’entrecuisses, mais aussi la vulve, le vagin quand mon sexe passait devant lui. C’est Rita qui le centra en lui, c’est elle, à la manœuvre qui l’enlisa peu à peu, le guida avec sa main, ses doigts, puis enfin l’enfila complètement en me prenant les fesses et en m’attirant vers elle. Elle laissa une de ses mains en place pour, prenant mes génitoires par-dessous, leurs faire valser une sorte de sarabande. Je baisais, nous baisions tous les trois, mon sexe qui pistonnait la chatte de Dolorès qui suçait Rita le visage entre ses cuisses, dans la raie de ses fesses. Tout était en place pour jouir, mais nous avions le temps et nos caresses n’en finirent plus ….. Mes deux amantes jouissaient et moi j’étais bien, j’essayais de résister à l’éjaculation car j’avais d’autres idées pour contenter mes partenaires.

L’ardeur de Dolorès d’un coup se révéla, d’objet sexuel qu’elle était jusqu’alors elle devint active à son tour et montra sa vraie nature, jouisseuse et dominante ; je m’en rendis compte tout en la baisant, je vis une de ses mains, ses doigts caresser vigoureusement son clitoris tandis qu’avec l’autre elle me prit la verge quand elle sortait, mon sexe, puis mes parties par-dessous paume en l’air pour me les pétrir. A cet instant j’ai cru que je n’allais pas pouvoir résister et que j’allais éjaculer entre ses doigts, mais la situation changea pour ne pas devenir moins excitante quand Dolorès sortant mon sexe de sa chatte le représenta devant la bouche de Rita qui ne se fit pas prier de l’absorber de nouveau en le pompant. C’est moi alors qui devint leur objet, me faisant jouer le rôle qu’elles me réservaient, mon sexe allant de l’une à l’autre, de bouche en chatte , de chatte en bouche, moi ne sachant où j’étais le mieux.

Elles s’étaient allongées côte à côte sur le lit à plat ventre; leurs deux visages voisins au bord de la couche face à moi debout devant elles, ma verge bandée à l’horizontale sous leurs nez et elles commencèrent à me saisir, me caresser chacune s’efforçant de renforcer ma bandaison. De concert elles me branlèrent la verge, me palpèrent les roustons, elles essayèrent de les prendre dans leur bouche, ce n’était pas facile, alors je les aidais en m’allongeant sur le lit entre-elles deux.

Chers lecteurs, belles lectrices, avez-vous déjà été sucé, caressé, doigté ? Oui sans doute, ! mais par deux femmes complices, par leurs mains baladeuses, des doigts curieux, par deux bouches expertes, moi jamais avant cet instant qui restera gravé dans ma mémoire. A genoux sur le lit, penchées sur moi, excitées au possible, ces deux pulpeuses femelles en rut, fesses en l’air, leurs visages, leurs mains, leurs bouches, leurs langues profitant de moi, de mon corps tendu par l’émotion, de mon ventre, mes seins, mon sexe, mes fesses, mon cul ; ardentes, imaginatives, à tour de rôle elles gobèrent une de mes couilles en l’aspirant en la déglutissant avant de la reprendre maintes fois en la faisant glisser entre leurs lèvres ; je me retins de crier quand se serrant tout contre moi chacune pris la sienne, en la tétant, en les écartelant, tout en me branlant mon sexe. Ainsi je fus l’objet de leur attention, de leur fantaisie, de leur convoitise, de leur faim de sexe, de leur rivalité, à qui serait la plus jouissive. Elles s’en donnèrent à cœur joie les bougresses, pour mon plus grand plaisir et le leur aussi sans doute, Chacune à tour de rôle prenait le temps de m’embrasser fougueusement à bouche que veux-tu. Enroulant leur langue avec la mienne en l’aspirant, c’était presque douloureux tant elles-y mettaient du cœur.

Je les laissais à leur plaisir, assouvir leurs fantasmes rentrés depuis si longtemps ; ma verge, mes testicules caressées, sucées, par leurs deux bouches, en même temps ou à tour de rôle, aspirées pompées, cajolées. Par moment elles embrassaient mon sexe en l’insérant, vertical, entre leurs bouches jointes, leurs quatre lèvres entre ouvertes épousant ma hampe et en la branlant ainsi, langues actives, le doux collier leurs lèvres de haut en bas, allant de la base de mon sexe à mon gland. Souvent dans leurs va-et-vient infernaux, une bouche montait sur mon gland, l’engamait l’espace d’une succion avant de rejoindre sa sœur pour continuer la sarabande. Jamais mon sexe lubrifié entre leurs bouches n’avait été aussi gros, aussi raide, aussi bien que lors de cette fellation hors normes et je n’étais pas le seul à me régaler. Dolorès et Rita …….…j’étais leur chose, celle, dont elles avaient rêvées, fantasmées.

Elles voulurent profiter de moi au maximum, Rita s’installa à genoux, cuisses ouvertes, ses fesses au- dessus de mon visage face à Dolorès qui, elle, s’installa accroupie au-dessus de mon sexe dressé. Ce fut alors pour elles la bisexualité assumée, elles jouissaient formidablement sans que je sache vraiment ce qui les transportait le plus, ma bouche, mon nez, ma langue, dans la chatte de Rita, mon sexe dans celui de Dolorès, ou leurs caresses, leurs baisers lesbiens, chacune tripotant des doigts les seins, le clitoris de l’autre avec frénésie. A un moment j’étouffais un gémissement d’aise quand Dolorès en dandinant des fesses m’échappa avant, sans perdre un instant, de se rassoir sur moi mais au lieu d’être dans sa chatte j’étais dans son anus et de baiseur je devins sodomite et là une fois encore, dans ce conduit serré, lubrifié de sa mouille, je crus défaillir !

Enfin, peu importe tous les trois nous étions bien et nous nous efforcions par des mouvements coordonnés ou antagonistes de nos bassins, de nos reins, de nos fesses à profiter au maximum de cet instant rare.

Quand mes deux beautés se désaccouplèrent en se congratulant elles se parlèrent dans le cou. Parle lui dans le cou…elle comprend tout, chantait Bécaud ! Elles devaient manigancer quelque chose car elles se mirent à rire aux éclats.
« Merci Rita j’ai bien joui, Edouard a été formidable
« Dolorès tu jouirais encore si nous faisions comme d’habitude
« Devant Edouard ?
« Pourquoi pas, je sais qu’il aimerait si tu voulais
« Je veux bien, tu m’excites, j’espère qu’Edouard participera
« Le connaissant je n’en doute pas……..Edouard veux- tu regarder dans ce tiroir
Je le voulais ….. pressentant une suite qui allait me ravir
« Oui
« Prends l’objet et viens vers nous
L’objet faillit me glisser des doigts tant mon émotion, d’un coup, fut grande ; comment vous dire, un objet noir, courbé, en plastique souple, deux bites de bonnes dimensions, très longues, arquées, reliées par une grosse paire de testicules. Les deux sexes de formes torturées, de grosses veines apparentes avec deux glands décalottés ….. Dolorès me dit
« Reviens vers nous…….tu veux sucer un bout…..Regarde Rita comme il s’y prend bien……mouille le bien……oui…donne-le moi maintenant

Je comprenais, c’est ainsi que ces deux belles femmes devaient se donner du plaisir quand elles étaient esseulées ; au début elles avaient dû se faire des confidences, se parler de ce manque d’amour, de sexe, fantasmer sur un homme qui les comprendrait, les enchanterait …. Elles avaient dû, par ennui d’abord, commencer à s’embrasser, à se caresser, puis en y prenant goût à se faire jouir, de plus en plus complices, amoureuses, jouisseuses, à franchir d’autres étapes érotiques avant de s’équiper d’artifices dont ce gode double, sans doute, était le fleuron et là, alors que moi, leur fantasme, j’étais là, elles voulaient m’inviter à leur quotidien lesbien.

Elles étaient nues toute les deux ; allongées, Rita sur le dos, Dolorès à ses côtés dans ses bras tournée vers elle, à sa droite, elle la caressait, lui embrassait les seins, le ventre, les lèvres ; elle lui fit voir le gode double avant de l’animer, de lui faire faire un tour, doucement, en prenant son temps, un des glands sur son visage avant de le présenter à sa bouche pour qu’elle le suce, l’absorbe entre ses lèvres arrondies sur lui, avant de le sortir luisant de salive et le faire glisser, descendre en passant entre ses seins, le ventre, passer sur sa hanche droite, la contourner pour l’insérer entre ses fesses par dessous et là remonter le sexe sombre entre ses cuisses ouvertes. Je vis le gland s’attarder sur l’anus, le titiller avant de se présenter sur la chatte de Rita qui sursauta en ricanant nerveusement en se tendant. Guidé par la main de Dolorès je le vis s’enliser peu à peu, faire son chemin. A genoux face à elles j’étais envoûté par ce que je voyais, ce sexe factice, le gland qui disparaissait, énorme, écartelant en tournant les lèvres, la vulve, enfonçant le vagin de Rita.

Dolorès chevaucha Rita et toutes deux y mettant du leur, les deux glands furent en bonne place chacun dans chacune, vous comprenez ? Je vis mes deux beautés onduler des fesses en se rapprochant l’une de l’autre et je compris bien des choses en voyant les deux sexes s’enfoncer peu à peu dans leurs vagins. Chez elles, je le comprenais, il n’y avait pas de dominante, ni de dominée, ni mâle ni femelle si j’ose dire, non ce sexe double leur permettait de s’étreindre, de jouir et de faire jouir comme les deux bisexuelles qu’elles étaient.

Je fus presque effrayé quand les deux longues verges furent en elles complètement et que proches, imbriquées l’une dans l’autre, cuisses mêlées, ventre contre ventre leurs chattes se pressèrent en se vautrant sur les testicules du gode. Alors j’eus sous les yeux un spectacle ahurissant, un déchainement de mes deux poupées se faisant jouir mutuellement avec ce sexe double, ces deux verges qui allaient et venaient, en écartelant, en enfonçant leurs grandes lèvres pleines de leur mouille. Je vis leurs visages ravagés , leurs yeux dans le vague, leurs corps crispés par le plaisir qu’elles se donnaient, je vis leurs reptations, leurs rotations, leurs cuisses enchevêtrés ; elles me montraient leurs fesses, leurs chattes pleines avec ces sexes qui les baisaient au gré des serrements de chatte de l’une ou l’autre sur l’objet de leur plaisir; je vis le déchainement de leurs ventres, leurs baisers fous…et moi à genoux près d’elles, de leur visage, presque sans le vouloir, excité au possible je me mis à me masturber longuement devant elles tant ma tension, mon désir était grand, et elles me regardaient, sérieuses d’un coup, les yeux perdus en jouissant.

Elles guettaient ma réaction sur mon visage, cherchant mon émotion, mon assentiment à leurs pratiques, elles virent mon trouble dans mon regard qui les enveloppait ; elles virent mon sexe agité frénétiquement entre mes doigts, mon gland à leur portée ; alors à l’unisson elles me dirent de venir, de m’approcher plus encore, je n’en pouvais plus, je n’en pouvais plus de retenir mon éjaculation et quand je me mis à penser que c’était là une manière de ne privilégier ni l’une ni l’autre, alors oui je me laissais enfin aller. Elles m’attendaient toutes les deux me tendant leurs bouches grandes ouvertes, langues en attente, comme le font deux oisillons, gorges déployées, attendant la becquée et quand dans un long hurlement mon sperme gicla en jets puissants trop longtemps retenus j’arrosais leurs langues et leurs seins, les nappant de ma liqueur nacrée, abondante, alors se tournant l’une vers l’autre, complices, comblées, elles se sourirent et s’embrassèrent à pleine bouche radieuses en avalant mon plaisir. Leur fantasme enfin assouvi ……. Grâce à moi … grâce à elles Rita et Dolorès mes belles, mon meilleur souvenir de baise…….

Debout de nouveau tous les trois, elles débarrassées de leur gode double, nous nous congratulions, libérés. L’atmosphère avait changé, le sérieux, la tension avaient fait place aux éclats de rires ; nous n’étions plus dans l’urgence des premiers instants, nus, serrés amoureusement les uns contre les autres elles se collaient contre moi à tour de rôle en calant leurs fesses sur mon ventre emprisonnant ainsi mon sexe entre leurs miches. Elles me branlèrent ainsi avec leurs fesses, entre leurs seins aussi en essayant de sucer mon gland , avec leurs quatre mains voletant sur moi sur mon sexe, sur mes couilles.. Par leurs caresses elles me firent comprendre en me faisant rebander qu’elles ne seraient pas contre ce qui dans un autre domaine, en fin de repas, se dit le coup de l’étrier, en l’occurrence ici un dernier petit plaisir hétéro cette fois avant de se séparer. Satisfaites, cela se voyait, elles voulaient profiter encore de moi et me le firent savoir ……


Je les vis remonter sur le lit, à genoux, côte à côte, penchées en avant en appui sur les coudes, les genoux au bord du lit les jambes écartées en dehors, en position de levrette donc, pour me présenter, je dirais, m’offrir leurs deux paires de fesses. On ne pouvait être plus clair. Je vous ai parlé des chattes de mes deux complices et là j’avais sous les yeux ce que j’aime le plus chez les femmes, ce que je regarde en premier, leurs séants, leurs fesses et là ces popotins avaient tout ce que j’aime en eux. Des formes opulentes, rondes, jumelles, ouvertes, profondes, des plis affolants, leur peau lisse, sans peau d’orange, dénuée de cellulite, laiteuse pour Rita, bronzée uniformément pour Dolorès sans les traces blanchâtres, disgracieuses de maillot. Je pouvais voir nettement leurs raies des fesses, leurs chattes sous leur petits anus sombres, plissés, attirants. J’allais devoir les contenter, j’en avais la force, le désir, ma verge me faisait mal tant elle était tendue, raidie ; mais où aller ? qu’attendaient-elles de moi ? où voulaient elles me sentir ?

Avant de m’approcher je pris dans le tiroir ce qui, il y a un instant, m’avait semblé utile pour faire ce dont nous avions envie tous les trois, un flacon de lubrifiant fluide siliconé et un tube de gel épais que je reconnus, un spécial pour l’anus, il était entamé et cela me conforta sur leurs intentions. Derrière elles debout dans la travée du lit je versais du lubrifiant en bas du dos de mes amantes, je regardais le petit ru translucide, couler doucement au fond de la raie des fesses avant d’inonder leur petite rosette et la contournant poursuivre son chemin en descendant pour se perdre dans les plis de leurs chattes. Déjà la caresse de ce petit ruissellement semblait donner du plaisir, de l’envie à mes deux délicieuses gourgandines, pardon de les nommer ainsi car oui en cet instant elles étaient en attente de sexe,

Il ne fallait pas les décevoir, ne pas privilégier l’une ou l’autre, je commençais à les caresser, un doigt de chacune de mes mains dans la raie de leurs fesses en m’attardant sur leurs anus lubrifiés, je pressais dessus, avec la pulpe de mes index, j’en faisais le tour ; je prenais mon temps encouragé par la houle qui commença à animer ces deux charmants popotins. Avant de pousser plus avant ces délicieuses effractions, le mis l’équivalent d’une noisette de gel sur leurs rosettes et je les enfournais dans leurs fondements…..c’était bien là qu’elles me voulaient et ce fut leurs gémissements, leurs cris , les mouvements furieux de leurs croupes qui me guidèrent pour ces petites sodomies, apéritives …..disons.

Elles attendaient plus, elles me le criaient, m’intimaient l’ordre de venir avec quelque chose de plus substantiel
« Encule nous Edouard…maintenant
J’étais prêt, on l’aurait été à moins, j’avais une érection phénoménale, chauffé à blanc que j’étais par mes deux poupées, par ces deux beaux culs qui m’appelaient, me fascinaient ; Je commençais et cela me sembla juste, équitable par celui de celle qui criait le plus, l’anus de Dolorès qui contrairement à Rita n’avait eu qu’un petit acompte de ce côté-là. Je la pris par les hanches et m’approchant sur la pointe des pieds je la pris sans coup férir d’un seul coup, mon sexe bien à fond de son cul et là comme un malade, que je suis, je lui fis subir les mille outrages au rythme endiablé de mon ventre claquant ses fesses. Tout en la sodomisant j’avais pris ses seins par-dessous, en me rendant compte que Rita complice et nullement jalouse lui caressait sa chatte en titillant son clitoris. Ce fut un véritable cataclysme.

Je devais donner à Dolorès ce qu’elle attendait car d’un coup elle se déchaîna devenant ce que j’avais pressenti, ce que j’avais lu dans son regard, rappelez-vous, le regard d’une femme en manque, j’avais dit une belle salope, avec un besoin impérieux de sexe. Son corps se tétanisa devint tout dur, sa croupe d’un coup s’anima de mouvements erratiques, tordant, broyant ma verge dans l’anneau musculeux de son anus. Passant une main entre ses cuisses elle me saisit les testicules et les accompagna en les pétrissant dans leur mouvement pendulaire de la sodomie. Dans son hystérie elle pensa à son amie Rita qui attendait son tour à ses côtés, à genoux, fesses en l’air. Elle voulait sans doute que la fête soit complète, elles avaient dû en parler avant.

Alors se fut un vrai chamboulement, je me retrouvais debout sur le lit en continuant de sodomiser Dolorès penchée vers Rita à genoux face à nous, penchée vers nous les mains sur les fesses de son amie avec une vue plongeante sur mes cuisses ouvertes et sur mon sexe en train de forniquer son anus. Je crus hurler à mon tour quand elle me caressa le sexe et mes parties en passant sa main sous moi entre mes cuisses ; elle avait l’air de se régaler de me donner un plaisir nouveau. Il lui fut facile de me saisir la verge et de la prendre dans sa bouche en en prenant le plus possible avant de la refourrer dans l’anus béant de Dolorès. Alors les caresses redoublèrent plus précises, plus intimes je sentis même un doigt remonter vers mon anus et s’enfoncer en moi, la totale quoi !

Pas tout à fait, car Dolorès s’arrangea pour satisfaire Rita, nos corps en vrac, entre mêlés, c’est elle maintenant qui guida mon sexe dans l’anus de son amante et tandis que je recommençais m’agiter dans ce nouvel écrin je sentis que l’on me gobait les couilles …… ne me demandez pas comment nous étions disposés, imaginez ; moi je ne sais plus.

J’étais devenu leur objet et cela d’un coup, malgré le plaisir qu’elles me donnaient me chagrina, il fallait que je redevienne l’étalon, l’homme puissant, inventif qu’elles avaient désiré depuis des lustres. Alors je pris l’initiative, en quelques gestes précis je les mis toutes les deux à genoux sur le lit, fesses en l’air et là debout derrière ces deux magnifiques paire de fesses en les chevauchant, passant d’un anus à l’autre, d’une chatte à l’autre, mon sexe planté en haut ou en bas de chacune d’elles je crois que je leur donnais ce qu’elles attendaient, Je pouvais à chaque effraction voir leur anus, leurs chattes dilatés, malgré les ondulations de leurs croupes en furie il m’était facile de trouver mon chemin. Quand elles ne s’embrassaient pas à pleine bouche j’entendais leurs gémissements, leurs cris, je voyais leurs mains entre leurs fesses se titiller le clitoris. Elles jouissaient pleinement. Je ne sais où j’étais quand je sentis monter ma jouissance, monter mon sperme dans ma verge ; ne voulant privilégier une fois encore l’une ou l’autre et malgré l’envie que j’avais de jouir dans un cul, un vagin je me retirais brusquement et j’éjaculais en jets puissants arrosant les deux dos, les deux paires de fesses de mes amantes. De retour au calme avec mes mains j’étalais mon plaisir en caressant ces deux splendeurs qui s’écroulèrent, ivres comme moi de fatigue, la bonne fatigue d’amants repus.
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Histoire de Pierre le Grand

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