Encore une envie de partouze

La dernière fois que j'ai participé à une « soirée spéciale » c'était il y a deux semaines. C'était ma première soirée. J'étais entraîné par un copain, mon meilleur ami. Il avait l'habitude de se faire inviter facilement, parce qu'il avait eu une amante qui aimait beaucoup de genre de distraction.
Dans notre adolescence nous avions eu ensemble des rapports presque homo. Nous aimions nous branler ensemble, nous nous faisions régulièrement jouir. Cela jusqu'au jour où j'ai connu une fille, une fille disons peu sage. Je la revois des fois, dans ses soirées justement, régulièrement. Je l'ai baisé deux ou trois fois : elle se débrouille bien, sans plus.

La nuit dernière a eu lieu ma partouze. Nous étions dans un grand jardin derrière une grande maison.
Nous devions être une trentaine de personnes, surtout, curieusement des filles. La piscine servait de prétexte aux nudités. Moi, je ne connais pas du tout la pudeur, je suis plutôt à l'inverse.
Je voyais pour la première fois une nommée Sandra. Belle créature, beaux seins, belle hanches un peu développées, pubis intact avec sa fourrure, pile comme j'aime.
Je la dévorais des yeux, elle aussi. Nous nous sommes vite rapprochés. Je prenais ses mains qui me semblaient douces et câlines. Elle faisait jeune, trop jeune pour être au milieu de ses fêtards attardés.
Je crois bien que dès le départ elle me voulait. Comme je la désirais, les avances devenaient très faciles.

Je gardais une main dans la mienne, je m’approchais directement pour l'embrasser. Elle me tendait ses lèvres, ouvrait sa bouche, me donnait sa langue. Je prévoyais déjà un long sexe buccal.
D'elle-même elle venait contre moi. Évidement je bandais. Elle le voyait et le sentait contre elle : mais elle ne me touchait pas la queue.
Elle attendait que je commence à la caresser, les seins avant le reste, puis attiré par ses fesses, j'allais chercher sa raie qu'elle abandonnait. J'y passais deux doigts. Sandra me laissait aller lui masser l'anus. Il était doux, il me donnait envie totalement d'elle.
Excuses moi, dit-elle, il faut que je fasse une bise à une copine qui arrive.
Fais, reviens surtout.

Elle s’approche d'une autre beauté, elles s'embrassent sur le bouche, comme des amantes. Sandra se laisse caresser la chatte par sa copine, rend la privauté. Je vois quelle se connaissent fort bien. Si je gêne, je peux trouver une autre nana.
Sandra revient vers moi en léchant sa main pleine de cyprine.
Notre baiser reprend, ma bite contre son ventre. Je reviens sur son cul. Cette fois elle me fait comprendre qu'elle voudrait que je rentre le doigt.
Mon index entre en elle, il lui branle le cul : elle aime. Je fais aller et venir le doigt : elle me laisse faire, elle en redemande.
Je ne connaissais pas Sandra, je la garderais dans mes souvenirs.
Elle se garde bien de me toucher la queue qui, pourtant attend et instant.
Je ne te masturbe pas encore, je veux te garder en érection, c'est flatteur.
Ha ! Bon, je ne savais pas que ma bite serait l'objet d'une fierté.
Tu ne sais pas encore ce que je veux te faire, attend un peu.

Elle passe ses mains partout sur mon corps : c'est je crois la meilleur que j'ai eu en préliminaires masculins. Je ne suis pas en reste, je caresse tout son corps, surtout ses seins au début. Je suis venu sur ses fesses et son cul. Elle aime, je vais lui en donner.

Je pose un seul doigt sur son entrée secrète. Il faut que j'entre vite quand je la sens s'ouvrir. Sandra aime les caresses anales. Placé comme je suis je peux lui en donner plus. Je passe mon pouce dans sa fente, je cherche à peine son clitoris. Avec ma même main je lui masturbe les deux cotés à la fois. Elle gémit presque trop fort puisque les voisins qui baisent couchés nous regardent. Sa jouissance est visible à son visage décomposé.
Encore, recommence comme tu fais.
Tu ne veux pas ma pine ?
Tout à l'heure, j'ai le temps de la prendre dans le cul.
Et si je veux te baiser.

Commence comme tu veux, finis moi dans l'anus, s'il te plaît, je jouis d'avantage.
Je lui fit plaisir même si la bite me fait mal d'être tendue, je remets un doigt dans son cul et l'autre sur son rocher.
Je vais la baiser après qu’elle ait joui encore une fois.
S'il te plais mets moi sur toi, qu'un autre ait la bonne idée de me la mettre dans le cul.
Tu aimes les double ?
J'adore et même si une troisième passe je la prends dans la bouche pour boire son jus.

Je suis tombé sur une rareté. Qu'une femme aime baiser, c'est normal, qu'elle aime se faire prendre en double, plus rare mais normal, mais alors Sandra qui veut trois mâles rien que pour elle.

Passe devant nous un gars plus que bien monté. Je pleins d'avance le sexe qui le prendra.
Sandra est désespérée. Elle le hèle :
Vient ici toi le bien monté, mets moi la au cul.
Tu es sûre, normalement je me fais branler.
Je te veux dans le cul, je veux essayer ta grosse bite.
Il nous regarde pendant que je la baise. Je ne dis rien alors il vient. Je le laisse passer entre mes jambes ; Je vois sa queue énorme qui doucement se dirige vers la proie comme un aigle. Elle me lâche pour ouvrir ses fesses à deux mains. Je sens la nouvelle bite contre la mienne, sur mes couilles.

Elle serre les dents sans se plaindre un seul instant.
Je suppose que son anus doit s'ouvrir largement, qu'elle doit avoir mal. Je sens cette queue contre la mienne, pour dire. Pour moi c'est agréable. Pour elle : de longs gémissements, et un long orgasme. Elle en veut encore. Nous n'avons pas jouit, heureusement pour elle. Sandra se délecte comme une salope avec nos pines dans son corps. Je sens l'autre queue jouir. Je fais comme l'autre. Je me vide dans son con, lui dans son cul.
Sandra est rayonnante de plaisir.
Elle cherche deux autres amants et si possible un troisième pour sa gorge.