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Express

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Lue : 2130 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/11/2016

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Quand je l’ai vu, c’est devenu instantanément une urgence. C’était viscéral. C’était animal. Je me suis retrouvée face à lui, présentée par une connaissance. Il était grand, plutôt athlétique et dégageait un magnétisme hallucinant, qui m’a mise immédiatement en transe.

J’ai commencé à avoir chaud. Je ne tenais plus en place. Je le dévorais du regard et mon corps tout entier le désirait. Les conversations ne me concernaient plus. Mon esprit battait la campagne. Je ne tendais plus que vers une et une seule chose : il fallait que je fasse l’amour avec lui. Et vite. Je transpirais et cette moiteur, je la ressentais jusque dans ma culotte. Il est des indices qui ne trompent pas.

J’ai donc rivé mon regard dans le sien. J’y voyais du feu et cela ne me calmait pas. Je me savais jolie, mais sans fioriture. J’essayais donc de le capter. Un frôlement, un bouton en plus ouvert sur mon décolleté. Il faisait étouffant. Je le désirais comme une folle.

A un moment, je suis sortie. Sans décrocher son regard, j’ai pris la direction de la porte de la salle. Je suis arrivée sur le parking, rempli de voitures garées en rangées rectilignes. L’air de cette soirée d’été était encore chaud mais à comparer à celui de la salle, il m’a apporté un vague bien-être. Je me suis dirigée vers ma voiture. Je voulais me rafraichir un peu. J’ai toujours dans le coffre un petit nécessaire : lingettes, déodorant, eau de toilette. Je voulais reprendre un peu mes esprits.
J’ai fermé le coffre et il était là. Devant moi. Souriant. Immense. Nous sommes restés quelques secondes l’un face à l’autre. Je savais déjà qu’il était trop tard et qu’il était impossible de faire marche arrière. Mon esprit me disait de partir. Mon corps n’en avait aucune envie. La température s’est à nouveau mise à monter. Je mouillais ma culotte comme une collégienne. Il a fait un pas vers moi. Il me dominait nettement. Son visage était à contrejour, à quelques centimètres du mien. Nous ne disions rien. Je brûlais. J’ai donc ouvert les hostilités.

Sans lui demander son avis, j’ai commencé fébrilement à décrocher la ceinture qui lui serrait la taille. Une fois ce premier obstacle levé, j’ai déboutonné son pantalon, mon regard toujours fiché dans le sien. Ma main s’est glissée dans le vêtement, se refermant avec envie sur le service trois pièce qui avait déjà pris un volume conséquent. Après quelques caresses empressées, j’ai fait descendre le boxer sur ses cuisses musclées, libérant son sexe de toute contrainte vestimentaire. J’ai l’ai pris dans ma main. Il était magnifiquement bien tendu. Je l’ai branlé avec assurance. Sa bouche a rejoint la mienne et nos langues se sont mélangées violemment. A ce moment, il a contrattaqué.
Ses mains se sont refermées sur mes hanches. D’un geste qui ne souffrait aucune contestation, il m’a faite pivoter et je me suis retrouvée face au capot de la voiture garée derrière la mienne. J’ai senti son sexe raidi contre mes fesses. D’une main autoritaire, il m’a plaquée contre le métal froid, pendant que l’autre relevait ma jupe sur le bas de mon dos. La joue sur le métal, j’attendais la suite avec impatience maintenant. Il a glissé un doigt sur ma culotte et a parcouru tout mon entrejambe. J’étais trempée et cela ne pouvait lui avoir échappé. Il a fait descendre ma culotte d’un geste franc et j’ai écarté les jambes, bénissant au passage les qualités élastiques de ce sous-vêtement. J’ai fermé les yeux, je voulais juste qu’il me prenne tout-de suite.

Son gland est venu se promener le long de mon sillon fessier. Sans forcer, il s’est positionné et il m’a pénétrée lentement. J’ai senti mes chairs s’ouvrir comme une fleur et j’ai laissé échapper un cri de contentement. Il était là où je le voulais.
Il s’est mis à me pistonner énergiquement. Il venait claquer contre mes fesses à chaque fois que sa verge s’enfonçait en moi. J’ai rapidement su que j’allais jouir. J’ai senti la vague naitre, grandir et déferler. Au fur et à mesure que celle-ci montait en puissance, mes cris et mes soupirs de plaisir en faisaient de même. Il râlait de plus en plus fort et ses assauts allaient crescendo, un peu brusques parfois. Je m’approchais rapidement de l’extase. Lui aussi.

Dans un ultime grognement, ses doigts se sont enfoncés dans mes hanches et il a déchargé. Il s’est enfoncé en moi, restant plongé le plus loin possible. J’ai senti des cascades de sperme se déverser et venir frapper mes parois vaginales. A ce moment j’ai atteint l’orgasme et j’ai du mordre dans mon bras pour ne pas hurler. Ma chatte s’est refermée sur son sexe en pulsant et je tremblais de tous mes membres pendant qu’il se vidait en moi.

Je suis restée couchée sur le capot encore quelques minutes. Soulagé et apaisé, il s’est retiré. Il a frotté son sexe sur mes fesses, y étalant les dernières gouttes de son forfait. Je tentais de reprendre ma respiration. Des grosses gouttes de spermes s’écoulaient maintenant de mon vagin pour aller s’écraser sur ma culotte toujours tendue entre mes jambes. Je me suis redressée encore essoufflée et je lui ai fait face. Du bout d’un doigt, j’ai été cueillir un peu de ce liquide dont il m’avait rempli et je l’ai porté à la bouche. Il me regardait en souriant.
J’ai du revenir un peu sur terre et parer à des problèmes techniques. Ma culotte n’était plus mettable et je l’ai enlevée. Je me suis essuyé l’entrejambe avec elle avant de la jeter dans le coffre de la voiture. Je n’avais pas de quoi la remplacer. J’ai réajusté ma robe, sentant l’air frais de la soirée souffler entre mes cuisses. Cette sensation était grisante. Il s’est approché à nouveau et m’a embrassé plus doucement. Ses mains sont passées sous ma robe et se sont refermée sur mes fesses nues . Notre baiser s’est fait plus passionné.

Il m’a pris la main et nous sommes rentrés dans la salle. J’ai passé la nuit avec lui. Dans sa voiture, j’étais déjà nue. Il me l’avait demandé et je n’avais pas envie de lui refuser. Pendant tout le trajet jusque chez lui, j’avais son sexe dans la main. Devant chez lui, il a joui dans ma bouche. Les 24 heures qui ont suivi, nous sommes restés nus, dans son appartement. C’était l’été. Il faisait chaud.
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