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Face à Face

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Lue : 3585 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 21/09/2016

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J’étais assis sur une chaise assez basse, en toile, plutôt confortable, quand elle est venue face à moi. Les températures estivales invitaient à porter des vêtements légers et elle était habillée d’une jupe vaporeuse à la teinte éclatante qui tombait jusqu’à mi-cuisse, le tout accompagné d’un t-shirt sans manches assez court qui mettait à merveille en relief sa poitrine divine tout en libérant son nombril de toute barrière vestimentaire. Mon regard embrassait cette partie de son corps et c’était beau.

Je suis resté tout d’abord un peu interdit, à l’écoute du combat que se livraient ma conscience et mon corps. J’avais bien quelques espoirs, voire des désirs divers sur la suite à donner aux événements mais je me méfiais d’une initiative malheureuse qui ruinerait le côté intensément érotique qui commençait à émaner de la situation. J’ai donc soigneusement évité donc de lever la tête, me contentant d’observer avec attention les courbes gracieuses de ses hanches. Mais il me fallait agir. En matière d’amour, une occasion perdue est une occasion qui ne se représente jamais plus.


Un peu fébriles, mes mains ont quitté les accoudoirs pendant que d’un coup de reins, je me suis installé sur le rebord de l’assise de la chaise. J’avais la bouche qui effleurait presque la peau de son ventre et je respirais le parfum discret qu’elle dégageait. Elle a alors fait un tout petit pas en arrière, m’arrachant à ce contact soyeux. Intrépide, j’ai posé mes mains sur ses hanches avant de les faire glisser précautionneusement sur l’arrière de ses cuisses.

Sa peau y était fraîche, tendue et absolument lisse. Mes mains flottaient dessus tandis que je tentais de maîtriser les battements de mon cœur dont le bruit me paraissait emplir toute la pièce. L’ourlet de la jupe chatouillait mes poignets. J’avais la bouche un peu sèche et je m’humectais les lèvres pendant que, doucement, j’entamais la danse que je préméditais depuis quelques temps avec grande impatience. Le long de ses cuisses, en alternant les mouvements vers le haut et vers le bas, j’ébauchai mon ascension, lente, lascive, faite de frôlements et d’esquives. J’essayais de ne pas montrer trop d’empressement, laissant à mes doigts le bonheur de sentir l’infinie douceur de la surface qu’ils caressaient.

Plus je m’élevais et plus la jupe se repliait sur mes avant-bras, tissu cruel qui m’empêchait de voir le terrain que j’explorais. Je n’ai pourtant pas bougé, le tête légèrement baissée, mes yeux rivés sur ses jambes. J’étais concentré, pesant chaque mouvement, chaque tracé. Je tremblais un peu et mon cœur s’emballait encore.
Puis je l’ai senti. J’ai senti ce changement de cambrure. Là où jambes et hanches se rejoignent dans un festival de courbes qui à elles seules ont enflammé l’imagination et les désirs des hommes depuis la nuit des temps. Mes doigts se sont glissés sur les arabesques divines avant que mes paumes ne les rejoignent. Mes mains dessinaient des arcs de cercle prudents, patients, explorant avec tendresse et retenue ce lemniscate replié avec tant de grâce et de sensualité.

Sans le remarquer, mes lèvres s’étaient entr’ouvertes. Mon excitation ne faisait que monter. Mes efforts pour maîtriser ma respiration me semblaient violents et inutiles. Je me forçais à ralentir mes mouvements et mes mains s’enroulaient autour de ces galbes précieux, sans me poser la moindre question sur la raison de l’absence de tout sous-vêtement.

A cet instant, pour la première fois, elle a bougé, presque imperceptiblement. Elle a déposé une main sur ma tête et ses doigts ont commencé à jouer dans mes cheveux. La magie du moment s’en est trouvée dopée et j’ai pris grand soin à ne pas de lever le regard , de peur de briser le lien magnétique qui nous unissait.

Un de mes doigts, un peu plus ambitieux, s’est calé sur le bas de son dos, à l’endroit où celui-ci, se séparant en deux, commence à tracer une vallée profonde et mystérieuse. Très lentement, il s’est mis à descendre, suivant le sillon si élégamment amorcé, s’enfonçant de plus en plus entre les flancs qui se refermaient derrière son passage. La main de la belle s’est crispée subrepticement, avant de reprendre son jeu lancinant dans mes cheveux. Je n’ai pas arrêté ma progression. Toujours avec une espérée délicatesse, en évitant tout geste brusque qui pourrait nuire aux promesses qui semblaient poindre, mon doigt s’avançait pour atteindre le lieu de bascule entre les territoires de derrière et ceux du devant. Quittant une vallée pour une autre, il effleurait les gorges déjà gonflées, renonçant, pour le moment, à s’aventurer plus en profondeur. Mes caresses se faisaient plus précises, plus insistantes aussi et j’ai perçu les premiers roulements du bassin qui annonçaient, j’ai eu la faiblesse de le croire, les premiers effets d’un plaisir naissant.

J’avais malgré tout atteint une position qui commençait à être inconfortable. Je voulais éviter les contorsions qui seraient, à coup sûr, néfastes aux desseins qui m’animaient. J’ai donc progressivement ramené mes mains derrière les cuisses, abandonnant ces contrées fascinantes avec frustration, redescendant étape par étape, jusqu’aux creux poplités, derrière les genoux. Les caressant d’une manière que je voulais sensuelle, j’ai opéré une subtile rotation, amenant mes mains sur le devant des genoux avant de les glisser à l’intérieur des cuisses et d’entamer doucement une remontée fantastique. Ses doigts faisaient des nœuds dans mes cheveux et je l’entendais respirer calmement. Depuis le début de mes initiatives, elle n’avait pas dit le moindre mot et n’avait pratiquement pas bougé non plus. Elle a choisi ce moment pour me lancer un message avec un langage corporel qui eut l’heureux bénéfice de balayer mes dernières craintes quant à l’opportunité de mes explorations. Elle a écarté les jambes de quelques centimètres, pas beaucoup. Elle conservait une posture élégante, un peu nonchalante, mais elle augmentait aussi de manière considérable mon confort et l’aisance nécessaire à la découverte de mon terrain de manœuvre.

J’ai ranimé mes velléités d’ascension et remonté, patiemment, sa jupe m’accompagnant dans ce mouvement lent. Elle se plissait dans un beau désordre. La peau à l’intérieur de ses cuisses me semblait encore plus fine et plus soyeuse et après ce qui me parut une éternité, mes auriculaires se sont enfoncés dans le pli de la cuisse, marquant ainsi le début d’entreprises encore plus frivoles. J’ai pris le temps de délinéamenter l’endroit. Avec le bout des doigts, j’ai suivi les chemins et les plis qui menaient de la cuisse à l’aine Je ne voulais pas montrer de signe d’impatience mais cela allait à l’encontre de mon bon vouloir. Je commençais à avoir chaud, ma respiration se raccourcissait en même temps que mon cerveau s’incendiait. Je voulais aller plus loin, mais le vêtement commençait à me gêner. Avant que je n’entame le moindre mouvement, elle l’avait pressenti. Ses mains ont quitté mes cheveux. Elle fit habilement glisser la fermeture éclair latérale de la jupe qui s’ouvrit dans un bruit caractéristique. Le tissu s’est libéré, se laissant aller sur mes bras. Je les ai retirés brièvement, pour laisser le vêtement planer vers le sol, ce qu’il a fait dans un frou-frou léger. D’un geste du pied, elle l’a envoyé un mètre ou deux plus loin avant de reprendre, stoïque, la position qu’elle avait délaissée le temps d’un instant. Depuis la taille jusqu’au pied, plus aucun vêtement ne venait maintenant entraver ma progression.

C’est admiratif, subjugué et envoûté que j’ai découvert un paysage si excitant que j’ai dû fermer les yeux quelques secondes, le temps de retrouver un calme au moins apparent. Sa peau était claire, lumineuse, vierge de tout duvet et soigneusement entretenue. . Je brûlais de la toucher, de l’embrasser, de l’entreprendre mais je me suis fait violence, tandis qu’elle caressait doucement mon cuir chevelu. J’ai pris une longue inspiration, que j’ai voulue discrète mais qui, à coup sûr, ne le fut pas.

Du bout des doigts, j’ai repris mon périple, m’adonnant à une promenade digitale suave. J’ai tracé des longs zigzags, descendant méthodiquement de son ventre vers la fosse qui marquait l’entame de la vallée des plaisirs. N’y tenant plus, j’ai passé une main entre ses jambes, la faisant remonter aussi loin que possible vers son dos. Je l’ai ouverte en étoile, étalant au maximum mon empreinte palmaire. Puis je l’ai laissée descendre, pianissimo... Mon majeur s’est inscrit dans le sillon, ré-ouvrant un chemin déjà exploré. Coincés par les lignes de son corps, mes autres doigts se sont refermés progressivement comme une fleur à la rosée vespérale, pendant que le doigt explorateur passait successivement sur les reliefs intimes, des plissures de son étoile jusqu’à la petite plaine marquant la séparation avec l’embouchure. Poursuivant mon investigation, avec la pulpe du doigt, j’ai écarté les premières défenses qui livrèrent passage, mais je ne me suis pas plus enfoncé. Je suis revenu aux premières loges, terminant ma trajectoire en calquant un cercle coquin autour du mont en érection de la belle. Elle a alors laissé échapper un soupir qui me parut toucher au summum de l’érotisme.

Ma main gauche, en pisteur fidèle, a retrouvé le chemin des parties plus charnues de son arrière, tandis que la droite, très affranchie, s’est immiscée à nouveau dans l’espace entre ses jambes. Sans attendre, elle s’est engagée plus en avant envoyant les doigts à l’offensive. Les grandes lignes, gonflées et impatientes, s’ouvrirent sans résistance. Et je me suis englouti en elle. Elle s’est cabrée un peu pendant que ses mains se refermaient sur mes cheveux. Elle a émis un petit cri qui m’a donné des ailes. Patiemment et régulièrement, dans cette prison humide, j’ai fait tourner mon doigt, caressant les parois inondées, pressant les tissus engorgés, fouillant les recoins avec conviction et application. Ses hanches ondulaient de plaisir et enfin, sa respiration accélérait et se faisait audible, habillant la pièce dans laquelle nous nous trouvions d’une ambiance torride. Elle avait ouvert la bouche et d’elle émanaient les expressions de plus en plus puissantes de son plaisir, ce qui avait un effet exponentiel sur ma propre excitation. Consciencieusement, entièrement concentré sur ce qui était devenu une bataille dont la seule issue acceptable devait être la jouissance totale, j’ai alterné les manœuvres de surface avec les découvertes en profondeur. Mon doigt trempé lançait les attaques autour de son Mont Olympe de la félicité, avec force de petites pressions, de petits pincements et de caresses empressées, convaincu que la variété ne pouvait qu’apporter de l’ampleur au plaisir. Cela fonctionnait. Le plaisir, elle le prenait et le faisait entendre. Les mouvement de son bassin se sont faits de plus ne plus insistants, un peu plus violents et moins contrôlés aussi. Ses mains enserraient mon crâne et le plaquaient contre son ventre. L’odeur de son excitation remontait jusqu’à mes narines, aidée en cela par mes doigts qui étalaient les trophées liquides sur sa peau attisée. Elle a commencé à râler bruyamment et la température de la pièce est encore montée d’un cran. Lassés des combats de plaine, mon index et mon majeur revisitèrent la fournaise et s’enfuirent profondément avant de se recroqueviller contre la paroi intérieure, suivants fidèlement les reliefs vallonés .

Puis, elle a jouit.

Ce fut un long crescendo. La belle, debout face à moi, la tête jetée en arrière, se libéra et explosa dans un orgasme intense. Je l’ai senti venir. J’ai senti son intérieur convulser, se contracter et se refermer en vagues autour de mes doigts. J’ai senti la tension, la vibration et la projection de son corps. J’ai tout autant senti l’abandon qu’une telle jouissance réclamait. Ce furent des secondes qui valaient des heures entières.

Essoufflée, apaisée, elle s’est quelque peu redressée. Elle a libéré ma tête et j’ai pu enfin me décoller de la surface de son ventre, y laissant quelques gouttes de transpiration comme preuves de mon engagement. Elle a recommencé alors à jouer avec mes cheveux. J’ai fait glisser mes doigts hors de l’antre. Ils dégageaient une odeur forte, puissante, voluptueuse. C’était bon.
Elle a saisi ma main gauche qui s’agrippaient toujours à elle. Elle a fait un pas en arrière, m’invitant à me lever. Elle m’a souri et m’a traîné ainsi jusqu’à sa chambre où trônait un immense lit.
Elle s’est jetée sur lui en me regardant.
- Viens ! me dit-elle.
Les portes du paradis se sont ouvertes.
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Histoire de Keskidi

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