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Infidèle, salope, allumeuse

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Lue : 28059 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 27/03/2013

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J’ai passé le week-end en famille et surtout avec ma petite amie Léa. Elle s’est montrée chatte, joueuse, curieusement pressée d’obtenir une réponse à ses questions :
- Dis, m’aimes-tu ? Es-tu sérieux ? M’épouserais-tu vraiment ? Quand ?

J’ai eu l’impression étrange qu’elle avait à trancher, à décider si elle devait attendre ma demande ou accepter celle d’un prétendant plus rapide. Que lui arrivait-il soudain, pourquoi était-elle si pressante ? Jusque-là notre relation progressait paisiblement, sa fréquentation ensoleillait mon week-end, l’avenir s’annonçait serein. Et tout à coup elle s’emballait. Huit jours plus tôt elle m’accordait timidement quelques baisers rapides, s’effrayait de mes caresses, rougissait si je détaillais attentivement sa gracieuse silhouette et me rabrouait lorsque ma main effleurait sa poitrine. Aujourd’hui, de façon impromptue elle parlait mariage. J’avais un projet certes, j’étais épris d’elle, je l’épouserais un jour. De là à fixer une date : je demandai un temps de réflexion. Elle sembla déçue.

Il est près de dix-sept heures, je vais rejoindre à une vingtaine de kilomètres la chambre que j’occupe chez un couple pour un loyer plus que raisonnable à proximité de mon lieu de travail. Ce dimanche soir j’ai le cafard, comme tous les dimanches soirs quand je quitte Léa. Demain : boulot. Et pendant toute la semaine, je ne verrai ni mes parents ni Léa. Mais mon cafard est encore plus fort cette semaine, parce que Léa s’est montrée pressée de me quitter pour rejoindre des copines avec lesquelles elle a planifié une séance de cinéma à dix-sept heures. Nous aurions pu rester ensemble encore une ou deux heures, mais son portable a sonné. Josiane lui rappelait le rendez-vous devant la salle de cinéma.
-Excuse-moi, il faut que j’y aille, mes copines Josiane et Mado m’attendent.

J’ai eu droit à un baiser, le baiser d’une jeune fille qui avait déjà la tête ailleurs, différent de ceux d’hier ou de cet après-midi, moins chaud, moins long, moins amoureux, presque un baiser distrait accompagné d’un vague: -« A samedi prochain »
Tout aussi distrait, sans heure ni lieu de rendez-vous et donc si différent de la salutation habituelle des autres dimanches. Cet « au revoir » ajoute de la peine au chagrin de devoir la quitter. Je ressens un indéfinissable malaise, une difficulté à avaler ma salive, un fourmillement désagréable dans la poitrine. J’enfourche ma mobylette et je m’éloigné. Presque aussitôt je me retourne pour un dernier signe de la main : Léa a disparu, sans attendre comme les autres fois.

Je rebrousse chemin. A proximité du cinéma, mobylette enchainée, j’observe les spectateurs qui attendent devant l’entrée. Je repère le groupe connu : Mado et Robert, Josiane et Guy, et ma Léa en train de saluer copains et copines en faisant la bise, pour terminer par un inconnu ! Quoi ? Trois couples en somme. Le nouveau est-il mon remplaçant ? Il reste à côté de Léa, l’entretient, fait rire l’équipe, se tient de plus en plus près de celle que j‘aime. Il pose familièrement sa main sur son avant-bras, lui chuchote à l’oreille comme pour lui réserver des confidences. Il se réjouit des éclats de rire de Léa; la pousse d’une bourrade amicale à plusieurs reprises, reste tourné vers elle, n’a d’yeux que pour elle. Le groupe entre dans le hall du cinéma. Les deux couples avancent en premier. Léa et l’inconnu ferment la marche, un bras entoure la taille de ma chérie.

Sa hâte au moment de me quitter a donc une explication : elle rejoignait un autre garçon qui l’attendait ! A la caisse il passe en tête, se retourne et tend un ticket à Léa. Le type se montre généreux, paie l’entrée et quoi d’autre ? En récompense il a droit immédiatement à un bisou sur chaque joue. J’en ai reçu à peine autant un peu plus tôt. Je m’approche et vois la petite troupe prendre l’escalier du balcon.

Discrètement je les suis, demeure dans la porte de la salle le temps de les voir s’installer au premier rang, tout au fond contre le mur. Debout ils se penchent et s’appuient sur la barre de sécurité du muret pour observer le parterre et ses occupants. Ils sont seuls au balcon. Quand la lumière s’éteint, je me glisse sans bruit, au troisième rang. Devant moi, du mur vers l’allée sont assis le nouveau, Léa, Mado, Robert, Josiane et Guy.

Aussitôt par couple les têtes se rapprochent, Guy et Josiane s’embrassent, Mado se porte sur les genoux de Robert pour un baiser de face. Léa regarde droit devant elle, comme si elle ne remarquait pas son voisin tourné vers elle. Il attend un geste d’encouragement, la récompense de sa générosité. Je me tasse dans mon fauteuil pour ne pas être vu de Mado. En réalité elle est trop occupée à envahir de sa langue la bouche de Robert pour prêter attention à son environnement. Ils ont choisi de s’isoler dans un coin et n’ont pas relevé ma présence. Josiane tournée vers l’écran, pousse des soupirs ou glapit d’une voix étouffée; Guy est penché vers elle, le bras gauche tendu vers ses genoux. Mado toujours assise sur les genoux de Robert, tête jetée en arrière, se laisse peloter les seins à travers sa blouse blanche. Le troisième fixe désespérément une Léa captivée par le film.
- Alors Marc, ça va? Tu es timide, chuchote Mado, ou Léa te fait-elle peur? Léa sois gentille.

Léa fait semblant de ne pas entendre. Marc se croit obligé d’agir, il passe son bras gauche par-dessus les épaules d’une Léa toujours imperturbable. Cette prise de possession la laisse de marbre, elle ne cherche pas le confort, mais elle ne tente pas de se soustraire à l’emprise de ce bras. Qui ne dit mot consent. Je comprends mieux maintenant sa hâte à obtenir de moi des assurances pour son avenir. La concurrence est en train de marquer des points, sous mon nez.

Où est passée Josiane ? Guy se redresse dans son fauteuil. Mado regarde vers lui. La tête de Josiane réapparait, elle passe le revers de sa main sur sa bouche et se remet à embrasser son amoureux, penchée vers lui, dos tourné à l’écran. Mado à son tour se lève et déboutonne sa blouse puis se rassoit sur les genoux de Robert et relève le bas de sa jupe. Elle se met immédiatement à glousser. Le garçon vient de plaquer ses deux mains sur la poitrine dénudée. Tout a été prévu, la demoiselle ne porte pas de soutien-gorge. Mais pourquoi bouge-t-elle de droite à gauche sur les cuisses de son coquin ? A-t-elle aussi oublié sa culotte ?

A l’autre extrémité le dénommé Marc rapproche sa tête jusqu’à la chevelure de Léa, mais celle-ci ne semble pas se rendre compte du mouvement. Elle ne le repousse pas, tolère cette proximité. Marc juge donc qu’il est temps d’envoyer une main vers la jupe de sa voisine. Sa gauche enveloppe les épaules, par une torsion du tronc il expédie la droite vers un genou. Léa étonnée se tourne vers lui et trouve en face de sa bouche les lèvres du garçon.
- Mais non, retire ta main, souffle-t-elle.

Les quatre autres, en chœur, protestent à voix basse
- Léa…gentille.

La main quitte le genou et vient se poser sur sa poitrine tandis que la bouche de Marc lui vole un baiser.
-Bravo, Marc, enfin tu te décides, souffle Mado d’une voix hachée par les tremblements de sa chair tourmentée. Josiane se penche en avant pour voir les progrès du nouveau. Guy a disparu devant elle et doit en ce moment lui lécher la vulve. Je ne m’attarde pas à surveiller ses soubresauts, car Léa réagit enfin, repousse la tête de Marc, puis se dégage de ses bras et le renvoie au spectacle :
-Laisse-moi regarder le film, s’il te plaît.

Réaction vertueuse ou report à plus tard ? Ce garçon a payé le ticket de cinéma, n’a-t-il pas acquis un droit sur Léa ? Il se renfonce dans son siège. Léa fixe de nouveau l’écran. Guy de nouveau assis pose une main dans la chevelure de Josiane courbée sur sa braguette et dont la tête décrit un mouvement alternatif de haut en bas accompagné d’un bruissement humide. Mado me fait peur. Elle vient de se tourner dans ma direction, écarte les cuisses et avance au-dessus des jambes de Robert toujours assis. Elle descend lentement en se tortillant, remonte, redescend, fait« aïe» et se pose en grondant pour embrasser son gars. Heureusement elle cherche sous elle, se demande pourquoi elle ne réussit pas à engloutir la queue de Robert et ne lève pas la tête vers moi.

Marc a repris confiance, son bras gauche remue imperceptiblement en direction des jambes de Léa absorbée dans son film. Il repart à la conquête. Léa proteste à voix basse, la salle ne se prête pas à des éclats de voix. Il persévère avec l’espoir que la nécessité de rester discrète empêchera sa voisine de le rabrouer trop bruyamment. Si elle persiste à regarder l‘écran et à refuser les attouchements, il sera plus patient. Sa main atteint un genou. Immobile au contact de la chair, elle prend possession de ce bout de corps et Marc se félicite certainement de ne pas être refoulé. Il la chauffera progressivement, troublera ses sens et l’amènera à vouloir imiter ses deux amies plus délurées. Qui sait, elle finira par accepter plus. Ses copains lui donnent l’exemple après avoir favorisé la rencontre. Il lui touchera le frifri à travers la culotte, aura peut-être la chance de toucher l’abricot à vif et là le bonheur d’introduire un doigt, puis deux, puis …son manche dans le manchon… Il espère. Le manque de réaction de Léa me désespère…

Mado se relève, constate que le camarade progresse, lève les deux mains et fait en l’air un signe d’applaudissement. Josiane suce toujours, je ne vois que l’arrondi de sa croupe et le court mouvement de sa tête. Les deux mains en appui sur la barre du balcon, Mado regarde l’écran mais pousse son postérieur dénudé en direction de Robert. Le garçon tend la main, la passe sous la croupe et son bras décrit un mouvement d’aller-retour. Sous ses yeux le bas du dos tourne autour de ses doigts. Il frotte tranquillement son gland entre les grandes lèvres trempées de désir, chaudes, brûlantes et prêtes à s‘ouvrir pour le recevoir. Mado plus impatiente se redresse, soulève davantage sa jupe, baisse sa culotte blanche sous ses genoux. Robert termine le déshabillage en tirant le tissu vers le sol. Mado lève un pied, puis l’autre et reprend position, fesses tendues. Robert porte à son nez la boule de tissu odorante et soupire d‘aise. Mado rit de contentement. Lui se redresse, remonte la jupe qui avait glissé sur les reins de la fille. Il a sous les yeux deux fesses blanches et grasses et dans la pénombre je distingue les deux jambes qui s’ouvrent pour faciliter l’approche du mâle dont une main repose sur le dos courbé. De l’autre il masturbe une verge raide et la présente contre le sexe suintant de Mado. Robert s’amuse à frotter son gland en allers retours dans le long sillon qui court de l’anus au sommet de la vulve. Mado piaffe d’impatience. La musique du film couvre la plainte de la fille au moment où le pieu s’enfonce dans son vagin et l’accouplement continue en un lent travail de pénétrations et de retraits inlassablement répétés. L’homme prend une vitesse de croisière, soucieux de faire durer, d’aller calmement et d’éviter les cris de jouissance qu’une charge trop brutale pourrait arracher à l’endiablée complice. Il rame, rame, elle s’offre et souffle, envahie, satisfaite.

Cette fois Léa tourne la tête vers ses deux voisins en train de copuler, oublie l’écran et porte une main à sa bouche. L’ambiance est torride. Le spectacle la fascine. Marc désireux de voir, se penche au-dessus de Léa et en profite pour laisser errer ses mains des épaules aux seins où elles s’immobilisent. A-t-il l’imprudence de les pincer trop brutalement au lieu de les presser avec délicatesse? La réaction vive de Léa le renvoie sur les fesses dans son fauteuil.

Pour ne pas être en reste Josiane imite Mado, se penche à son tour pour retirer sa culotte. La mode est au blanc. Elle se fait aider par Guy, avance face à lui et s’installe à cheval sur les cuisses du garçon allongé dans son fauteuil. Elle se place elle vise, tête baissée vers le pantalon débraillé et progresse vers la bite où elle compte s’amarrer. Dos arrondi elle s’empale sur le pénis de son compagnon avec plus de succès que Mado précédemment sur Robert. Pour achever l’union elle joint ses lèvres à celles de sa monture. Enfin elle se met en mouvements ascendants et descendants, mains accrochées aux épaules et tête renversée, bouche ouverte. Sa blouse est ouverte sur ses seins laiteux. Guy en profite pour agacer les tétons et les embrasser. Ce doit être une habitude bien rodée, un pas lent pour rester discret dans la salle obscure. Le plaisir de braver les règles habituelles de décence et les interdits décuple leurs sensations, bien qu’ils se croient seuls au balcon, sans témoin direct.
- J’en ai marre râle tout bas le malheureux Marc. Regarde les autres…. Détends-toi et embrasse-moi. Ne fais pas la bêcheuse. …Ne me dis pas que tu n’en as pas envie, Léa….

Enervée, Léa se lève, se tourne vers le fond de la salle et lâche toujours à voix étouffée :
- Non, mais qu’est-ce que tu crois ? Tu m’as payé l’entrée, c’est gentil, mais je suis fiancée. Alors fiche-moi la paix. Je te rembourserai à la sortie. Non, touche pas !

Les accouplés bouchent le passage. Pour sortir Léa grimpe sur son siège, enjambe le dossier, se retrouve dans le rang suivant, juste en face de moi. Il fait sombre, mais le film a une éclaircie. Léa me voit, me reconnait, ouvre de grands yeux
- Louis ? Que fais-tu là ?

Elle court dans son rang, revient dans le mien, se jette sur moi et peu soucieuse de ce que penseront les cinq autres, m’embrasse. Cette fois c’est un baiser d’anthologie. Marc avait raison, les galipettes des deux autres couples ont excité ses sens et elle me montre sans retenue à quel point. Marc stupéfait la voit baisser culotte, se mettre à genoux entre mes jambes, prendre en bouche mon sceptre déniché pour la première fois par des doigts agiles et me sucer comme la plus expérimentée mère de famille. Mine de rien, elle a vu ses copines à l’œuvre, la leçon a été reçue cinq sur cinq ! Jamais encore nous n’avons pratiqué, mais je me laisse faire. Quand Léa vient s’asseoir sur ma bite gonflée, pose ses fesses sur mes cuisses, j’entends le mot de Cambronne, des pas précipités sur la moquette; Marc furieux s’en va en criant
-Salope, allumeuse !
- Vas-y, Léa, disent les quatre autres soudain tournés vers nous.

Leur complot a échoué, ils tentent de se faire pardonner et espèrent assister malgré le départ de Marc à un dépucelage. Le spectacle accroitra leurs pulsions.
Leurs encouragements ramènent Léa à la réalité. Elle cesse de frotter son sexe sur le mien, elle se détache de moi.
- Viens, nous serons mieux dans une chambre. Je t’aime, je veux t’appartenir. Déclare Léa.

Sa résolution est prise. Je paie l’hôtel. Nous prenons notre temps. Léa est vierge. Sans précipitation nous nous dénudons. J’admire le jeune corps, les seins mignons, leur réaction aux caresses. Amoureusement nous échangeons des baisers passionnés, nos yeux découvrent nos parties habituellement cachées, nos mains répandent des frissons délicieux dans notre intimité, nos lèvres se happent, nos dents s’entrechoquent. Léa est femme, fière de la virginité et elle me l’expose pour me l’offrir. Elle est femme curieuse de découvrir ma différence. Elle regarde ma verge, elle ose y porter la main, caresser ce membre, elle s’étonne de le voir s’allonger et s’épaissir entre ses doigts, ouvre de grands yeux :
- Tu crois que ça entrera en moi ?
- Ça fonctionne comme ça depuis la création du monde. Tu as vu tes copines pénétrées par leurs petits amis.
- Oui, mais la première fois c’est très douloureux, parait-il.
-Il n’y a qu’un moyen de le vérifier si tu le souhaites.
- On est mieux ici. Dans la salle je ne voyais pas vraiment. Ton engin est amusant à toucher. Je peux encore l’embrasser comme au ciné ? Je peux le sucer aussi ?
- Il est à toi.

Oui, c’est mieux ici, au calme. Dans le noir elle s’était précipitée sur ma queue, pour imiter les autres, pour montrer à Marc ses préférences, pour le bluffer en dépassant les limites de son audace. Elle n’a plus rien à prouver ou à démontrer, elle laisse parler son cœur et ses gestes sont empreints d’amour et de respect. Je veux me montrer à sa hauteur et je suis patient. Sur ce lit d’hôtel nous faisons connaissance, émus par la solennité de l’instant et heureux de découvrir l’alliance du sexe et de l’amour avec simplicité. Elle câline mon sexe, je lui rends la politesse, je sépare les lèvres, je me remplis les narines de l’odeur spécifique de ses chairs intimes, je cherche l’emplacement de l’entrée. Il me faut séparer les nymphes. On est loin de la froideur d’une planche d’anatomie. Mon pouls bat la chamade.

C’est merveilleux. Nous tremblons de bonheur, nos caressent nous mènent à l’union. Le plus prosaïquement du monde Léa se couche sur le dos, reçoit sur sa vulve mon premier baiser, soupire quand ma caresse se précise, se cambre quand ma langue débusque son clitoris, m’appelle. A force de chercher, de tâtonner à l’entrée du vagin, de pousser et de me retenir quand elle dit « Ça fait mal », à force de passion partagée et d’appels renouvelés, à force d’efforts complices, l’hymen se déchire, je pénètre la fille de mon cœur. Elle m’enveloppe dans ses bras, me serre sur elle et pleure et murmure « Je t’aime »

Ce soir après l’anxiété, après la peur de la perdre, je possède Léa pour la première fois. Nos corps en mouvement partent à l’assaut de l’orgasme. Ce n’est pas gagné, ça viendra.
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Histoire de Veilleur

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