Je suis devenu passif 2

Après mes premières expériences homosexuelles en tant que passif, j’ai eu une copine. J’ai retrouvé avec elle un rôle d’hétéro actif. J’appréciai de disposer de son corps de lui faire tout ce que j’avais apprécié en tant que passif.

Quelques mois plus tard, de nouveau célibataire, j’ai ressenti le besoin d’assouvir à nouveau des fantasmes avec des mecs. J’ai publié à nouveau une annonce :

Passif à prendre :
Parisien 30 ans, brun, 75kg, 1,87m, passif (très). Je cherche des rencontres chaudes avec mecs 18/50 ans actifs, cleans, expérimentés. J’aime la bite, j'ai une bouche gourmande. Je roucoule lorsqu'on me lèche l'anus... La séance peut se poursuivre par une bonne sodo avec Kpot, et là je peux devenir très femelle… J’aime les mots crus. Merci d’envoyer une description similaire.

La présentation était on ne peut plus explicite. J’ai eu quelques réponses très excitantes. J’ai rencontré plusieurs gars : quelques beaux parleurs mais aussi quelques « bons coups ». Et puis j’ai voulu apporté quelque chose en plus …

En me souvenant des paroles de la hardeuse française Lisa Crawford qui dévoilait un de ses fantasmes torrides à un magazine, j’ai eu envie de le réaliser avec un mec. Elle rêvait d’être nue, offerte, les yeux bandés, qu’un mec arrive et la baise dans tous les sens puis qu’il s’en aille sans un mot, sans un regard.

J’ai fait une sélection parmi les réponses que j’avais reçu … J’ai proposé mon plan à un jeune black de 26 ans qui semblait avoir de l’expérience sans s’en vanter. Sa couleur de peau n’avait pas d’importance ici puisque je n’allais pas le voir. Mais c’était un fait que je ne pouvais ignorer. Et connaissant la réputation des blacks, je ne pouvais pas m’empêcher de laisser courir mon imagination avant, pendant et même après cette aventure…

Le moment venu, j’étais nu, les yeux bandés sur un lit d’une personne au beau milieu de la pièce quasi vide. Il y avait un miroir au mur derrière ma tête et un autre sur le mur, à ma gauche. J’étais sur le dos, mains derrière la tête et les jambes pliées et écartées.

Je lui ai donné des indications précises, pour trouver l’appartement. La porte était entrouverte.
J’ai entendu des pas dans l’escalier, un arrêt. Il a poussé la porte, s’est mis à l’aise semble t’il puis je l’ai entendu s’approcher.
Après quelques secondes de désir intense, en attente d’un contact, j’ai sentis une main me caresser le torse lentement. Mon souffle était court. Ma bouche était entrouverte afin de laisser entrer un sexe au cas ou … et c’est une langue chaude qui est venue m’envahir.

Sa main me parcourait lentement le torse, le ventre puis remontait à l’aisselle, au cou.
Son autre main s’est posée sous mes mains derrière ma tête pour mieux m’embrasser. Il faisait ça très bien. Jouait avec ma langue, happait ma lèvre inférieure, par petits coups puis m’envahissait à nouveau pour me rouler une grosse pelle… Parfois il s’arrêtait, peut être pour m’observer. Je restais la bouche ouverte de manière presque indécente pour l’inviter à continuer. Je devinais mon reflet dans les miroirs. Et il revenait provoquant chez moi un soupir d’excitation alors que je cambrais mon corps.
Il s’est arrêté à nouveau, j’ai entendu une boucle de ceinture et le bruit d’un pantalon tombant lourdement sur la moquette. Je l’imaginais nu, en érection à mes côtés…
J’étais impatient … Qu’allait il me faire ?

J’ai senti ses mains revenir en place, et sa bouche gourmande à nouveau contre la mienne.
Sa main sur mon torse s’est faite plus voyageuse. Elle est descendue vers le bas de mon ventre. Il a saisi mon sexe et mes testicules d’une main et les pétrit lentement. Il m’a ensuite caressé l’intérieur des jambes. Il a posé le bout des doigts à la base de mes testicules pour descendre encore vers mon anus. Son index s’y est très vite enfoncé.
Mes préparations solitaires, sous la douche avant qu’il arrive lui a facilité l’accès. Ma rondelle était souple, tendre, chaude et luisante de crème grasse et parfumée. Il a mis très vite un deuxième doigt pour mon plus grand plaisir. Il s’est mis à me fouiller. Ses doigts glissaient lentement en moi, en se vrillant au même rythme que sa langue fouineuse dans ma bouche.

Il s’est mis à m’embrasser le ventre s’attardant autour de mon nombril. Ses doigts indiscrets continuaient d’explorer mon intimité me procurant la sensation géniale de tout donner à cet inconnu.
Il est venu se mettre entre mes jambes. Mon anus s’ouvrait et se refermait comme pour implorer une pénétration. Et c’est sa langue brûlante qui s’est posé sur mon trou m’arrachant un gémissement de bête. Il a léché quelques instants cette raie écartelée puis il a ouvert sa bouche comme s’il voulait me croquer, me gober… je sentais son nez et son souffle chaud sur mes couilles.
Et sa langue a percé mon œillet. Il était assez direct, sûre de lui. Le moins qu’on puisse dire c’est qu’il n’a pas tourné autour du pot ! Il s’est enfonçait en moi avec la même gourmandise que dans ma bouche quelques instants plus tôt. Il m’a dégusté le fion. Je poussais des petits gémissements.

Puis il m’a mis la tête dans le vide au bout du lit, s’est mis à genoux et a avancé son sexe vers ma bouche ouverte. Le dessus de son gland est venu au contact de ma langue tendue. J’ai senti très vite qu’il s’agissait d’une belle queue circoncise assez longue, d’une largeur normale. Ma position n’était pas confortable mais la sensation buccale était exquise, sans aucun effort. Il m’a repoussé bientôt sur le lit s’est mis à quatre pattes au dessus de moi et à continué de se faire du bien dans ma bouche en retournant lécher mon entrejambe.

Passif ne voulant pas dire inerte, j’ai saisi ses fesses à pleines mains, je caressais son dos assez musclé … Quel plaisir de découvrir un corps inconnu du bout des doigts, les yeux bandés. Je le sentais gémir en me donnant de grands coups de langue dans ma raie alors que sa verge raide descendait jusque dans ma bouche accueillante. Un grand bonheur.

Assez vite, j’ai entendu qu’il cherchait quelques choses à côté du lit. J’ai entendu le son classique de l’emballage d’un préservatif. Il s’est levé. Je reprenais mon souffle. J’étais toujours sur le dos. Il s’est mis à genoux entre mes jambes, les a remontés au maximum. Je devais alors lui présenter une cible qu’il ne pouvait pas rater. J’ai senti son sexe se présenter puis me pénétrer doucement. Son gland à peine entré, il s’est reculé. Puis il est revenu à nouveau répétant son manège plusieurs fois. C’était très bon.

Puis son sexe s’est enfoncé plus profondément. J’ai mis mes mains derrière la tête à nouveau, cambrant le buste. J’imaginai son regard dans le miroir pour s’admirer en train de baiser un corps offert. J’imaginai son dos et ses fesses onduler pour me pénétrer ainsi … Il s’est penché sur moi en accélérant son rythme. Il m’embrassait les aisselles, le cou… Mon sexe et mes testicules étaient écrasés sous son ventre. Je le sentais tout au fond de moi. Tout son corps se démenait sur moi, il me pilonnait littéralement. D’un coup, il a gémi, s’est enfoncé au plus profond de moi, le corps tendu paralysé par l’orgasme. Il s’est écroulé. Son cœur battait à cent à l’heure contre mon torse.

A peine avait-il reprit son souffle, je lui ai retiré son préservatif et j’ai pris en bouche sa verge ramollie, enduite de sperme. N’ayant pas envie que ça s’arrête là, voulant profiter de cette queue en érection, j’ai continué de le sucer avec plaisir. Elle n’a pas tardé à reprendre une belle forme. Il a attrapé un nouveau préservatif. Il m’a mis sur le ventre et s’est allongé sur moi. Sa pénétration a été rapide. Il semblait reprendre mon cul comme il l‘avait laissé il y a quinze minutes. Sentant sa respiration à mon oreille, il a commencé à aller et venir énergiquement. Son corps en sueur, très sportif, glissait sur le mien. Il changeait de position très régulièrement me tenant toujours très fermement par les hanches ou les épaules. Sa chevauchée a été longue, très virile et bestiale.

Il s’est retiré et venu se masturber près de mon visage. Je lui tenais les couilles fermement en ouvrant la bouche de manière indécente (j’adore ça). J’espère qu’il me matait dans les miroirs à ce moment. J’ai senti un jet sur mon visage et il m’a immédiatement attrapé la tête à deux mains pour jouir au fond de ma bouche en faisant quelques va et vient violents.

Il est allé se doucher, puis il est parti en silence. Je suis resté une dizaine de minute sur le lit à reprendre mes esprits, appréciant le goût de son sperme dans ma bouche en me caressant l’anus endolori et entrouvert. J’étais content, il m’avait bien baisé.