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Katia

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Lue : 2846 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 08/12/2013

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Elle a gagné, nous partons faire un pique-nique en forêt. Quand Katia a une idée en tête… Je prépare mes sandwichs, Katia n’en est pas capable son âge. A 22 ans, elle devrait savoir débrouiller. Nous voilà parties en vélos : 15 kilomètres, ce n’est pas un monde.
- Et si nous allions un peu plus loin, demande Katia.
- C’est où plus loin ?
- Là où il y a le lac.

C’est à l’opposé de là où nous allions. Ce n’est pas grave, un peu de liberté. Presque 2 heures plus tard, nous voilà au bord de l’eau. Katia veut la première savoir comment est l’eau : une main dedans : elle est bonne.
- Aller, nous allons dans l’eau, elle est parfaite.
- Nous n’avons pas de maillot.
- Tu as honte de te montrer nue ? Dégonflée.
- Ce n’est pas ça, si on nous voyait ?
- Et alors, on ne nous mangera pas.

Elle a l’art de tout simplifier. Elle pose le sac à dos : en moins de trente secondes elle est nue, les bras en l’air, les pieds dans l’eau. Je regarde son postérieur, ses fesses, ses hanches. C’est vrai qu’elle est bien faite. Je me demande pourquoi elle n’a pas de copain, comme moi d’ailleurs.

Katia me donne envie, je suis vite nue moi aussi, je me mets vite l’eau. Elle est un peu froide, mes seins se redressent. Si Katia part faire un peu de nage, je remonte sur la berge : je trouve en endroit en plein soleil. Je me couche dans l’herbe. Ouf, ça va mieux. Je la regarde revenir, sa peau couverte de gouttelettes, particulièrement sur sa fourrure. Je regarde la mienne : je suis presque sèche.

Bien sûr elle trouve le moyen de se mettre les jambes écartées presque sur moi. Je reçois trois gouttes, je râle comme d’habitude. Je regarde sa chatte, troublée par cette vue inhabituelle. J’allais lui demander d’être plus pudique.
- - Je vois ta chatte, tu n’es pas très poilue.
- -Pas plus que toi.
- C’est drôle tes seins pointent.
- Comme les tiens.
- Si tu voulais je pourrais te faire plein de chose, comme nous avons fait avec ma cousine.
- Qu’est que vous avez fait ?
- Trois fois rien nous avons remplacé les garçons absents.
- Tu ne veux pas dire que …………
- Si.
- Vous vous êtes caressées ?
- C’est bon tu sais, je te montre si tu veux. i

Ainsi, elles se sont amusées en mon absence. J’en suis presque jalouse. Je réfléchis pour savoir si je vais accepter ou non. Mon ventre me dit d’accepter, ma raison de refuser. Au diable la raison. J’accepte. Et puis avec une copine ce n’est pas méchant.
- Oui, montres moi.

Elle ne dit plus rien, elle est tout près de moi. Je ne vois que sa silhouette se détacher sur le ciel bleu. Elle se penche à peine, une main est sur mon sein gauche. Elle le caresse lentement. Elle se baisse, sa bouche est sur la mienne. Je sors ma langue par reflexe. Notre baiser dure, dure. Je ne m’en lasse pas.

Katia allonge son corps de blonde près de moi, contre moi. Je sens la chaleur de son corps. J’ai envie, non besoin, qu’elle continue. Elle est appuyé sur son coude, me sourit, passe sa main sur mes épaules, les caresse, passe sur le torse, sans épargner mes seins. Elle me caresse fort bien, c’est plus agréable que quand je me le fais, juste avant de bichonner ma chatte. Sa main passe sur le nombril : elle me fait des chatouilles. Elle descend encore sur le pubis, me peigne les poils. Elle arrive à l’endroit des plus sensibles.
- Tu veux réellement que je continue ?
- Oui, caresses moi.

Katia m’embrasse sans changer sa main de place, elle poursuit son travail de sape. Oui, elle va me caresser, elle va me faire jouir.

Elle écarte les lèvres après les avoir un peu survolées. La voilà sur le clitoris, directement. Elle passe un doigt, un seul en ovale. Elle en rajoute un autre pour bien le tenir. Mon amie me masturbe et j’aime. J’écarte les jambes plus que nécessaire.

Elle change de place, elle est à genoux à la hauteur de mon sexe, elle continue à me branler. Je ferme les yeux éblouie et par le soleil et par ce qu’elle me fait. Brusquement elle arrête : je baisse la tête pour voir : elle pose sa bouche sur ma chatte. Je sens ses lèvres sur les miennes, celles d’en bas. Sa langue passe entre les deux. Je sens sa langue lécher le clitoris, c’est meilleur qu’avec sa main. Sa main passe entre mes cuisses, elle cherche à faire autre chose. Elle caresse sur la raie des fesses. Elle est sur le périnée. C’est agréable encore plus. Elle pose un doigt sur le petit trou. Elle me caresse à cet endroit privé. Et je me laisse faire au lieu de refuser. Je sens la pulpe du doigt se poser juste à l’entrée du petit trou. Je pars dans un orgasme extraordinaire. Elle attend juste que j’ai fini mes spasmes pour enter le doigt dans le cul. Mon Dieu, dans le cul. Elle fait aller et venir son doigt : je jouis comme une folle.

Katia reste avec le doigt dans mon ventre. Je la sens bouger. Elle se tourne, vient sur moi. Je sens son corps sur le mien à l’envers. Ses seins contre mon ventre. Elle garde sa bouche sur ma chatte, son doigt dans mon cul, elle pose sa chatte sur ma bouche. Sans réfléchir ma langue aussi participe à cette fête des sens. Je la lèche, disons que je lèche ce que je trouve, son bouton surtout. Je pousse même la familiarité à l’aspirer un peu dans mes lèvres. Si j’ai jouis à l’instant, j’arrive moi, la prude, le novice à lui donner du plaisir, le même qu’elle m’a donné.

Nous sommes amantes au moins pour l’après-midi. Nous sommes côte à côte, disant des mots quelconques qui prennent une importance qu’ils n’ont pas ? Je crois même lui avoir dit que je l’aimais. Moi dire ça à une fille ?

Nous avons recommencé plusieurs fois, lentement, doucement sans nous presser. C’était bon au début, c’est meilleur à la fin. Sa cousine est oubliée. Les garçons ne comptent plus. Au moins pour aujourd’hui.

Le temps des vacances ne dure pas longtemps. Il nous faut rentrer. Nous n’habitons pas loin l’une de l’autre, nous pouvons nous voir presque tous les jours, chez elle ou chez moi. Chaque fois ou presque nous finissons dans un lit.

Un soir, nous étions chez des amis, elle me demande si je ne veux pas être dépucelée : ça lui ferait plaisir. Elle n’est pas vierge je le sais pour y avoir touché plusieurs fois.

Nous cherchons ensemble mon initiateur. Un homme marié à une belle femme. Je m’offre à lui : comme tout homme il est tenté. Nous prenons rendez-vous, il est exact. J’avais volontairement omis de lui dire que Katia serait avec moi. Il en a pris son parti. Dans une chambre d’hôtel nous étions à trois. Nous l’avons mis tout nu ensemble : il bandait comme un âne, il avait envie de nous deux. D’accord, mais moi la première. Il était doux au possible. Il est venu sur moi, m’embrassant sans arrêt. J’étais écartelée à son service. Il m’a décuvelé à sa manière : doux, lent, il me semblait infini quand il m’a rendu femme. Je n’ai au aucune douleur. Il me faisait même un peu de bien.

Katia a voulu qu’il la baise aussi. J’ai assisté à sa partie. Elle a pris son pied, je le connais pour savoir quand elle jouit. J’aimais ses fesses quand elle se faisait mettre.

Depuis, nous avons une bonne situation dans la même boite où personne ne soupçonne nos relations particulières. Seules nos baises sont un peu plus évoluées, nous nous servons de jouets érotiques.

Quand nous nous faisons l’amour, ce n’est pas tous les jours, nous aimons nous lécher l’anus en 69, et poser nos sexes l’un contre l’autre pour en jouir.
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Histoire de fabrissa

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