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L'ami de mon fils

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Lue : 34696 fois - Commentaire(s) : 6 - Histoire postée le 28/03/2016

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Bonjour, je me présente : Je m'appelle Nathalie, j'ai quarante-trois ans. Je suis mère de famille, d'un fils unique, Daniel, âgé de dix-neuf ans.
Mon fils Daniel avait pour meilleur ami un garçon de son âge appelé Thomas. Tous deux étaient inséparables, de vrais larrons en foire. Je connaissais Thomas depuis qu'il avait dix ou onze ans. Toujours ensembles, Thomas et Dan partageaient leurs week-ends ensembles. Dormant alternativement chez les parents de l'un et chez les parents de l'autre, Thomas finit par devenir au fil des ans comme le second enfant de la famille.
Second enfant ? Difficile à dire face à ce "post-ado" ou ce jeune homme d'un mètre quatre-vingt-cinq de muscles. Et oui, c'était le principe de la vie : nos chérubins finissaient par grandir et devenir des hommes. Des hommes... De ce côté là, Thomas avait aussi évolué. A plusieurs reprises je crus me tromper, mais ce jeune idiot semblait poser un drôle de regard sur moi. J'en eu un jour la confirmation quand je le vis reluquer mes fesses sans aucune gêne alors que je m'étais penchée en avant pour vérifier la cuisson d'un plat situé dans le four. Bref, il y avait cela, rien de bien méchant, jusqu'à ces dernières semaines. Je crus devenir folle dans un premier temps, mais je constatai sans trop de difficulté que mes petites culottes disparaissaient du bac à linge sale les week-ends où Thomas était à la maison. Je crus tout d'abord à une coïncidence. Mais le doute avait finit par s'installer. Cela me faisait tout drôle de penser que le meilleur ami de mon fils fantasmait sur moi, voire s'adonnait à des pratiques sexuelles avec mes sous-vêtements. Je n'eus plus aucun doute quand un beau jour, je retrouvai l'un de mes strings souillé au fond du bac à linge sale. Il n'y avait aucun doute, il s'agissait bien de sperme. Thomas s'était masturbé dessus à s'en faire jouir. L'odeur de sa semence ne faisait aucun doute. Et l'ironie dans cette histoire fut que je le portai à mon nez pour m'en assurer. Je me rappelle encore combien à ce moment là la chaleur de la honte me monta au nez. Et pour tout avouer, passée les premiers temps de la colère vis-à-vis du second "fils" de la famille, j'éprouvai une certaine forme d'excitation.
Les choses n'en restèrent pas là dans ma tête. Il me fallait tirer cette histoire au clair, mais je ne savais pas trop comment. L'occasion se présenta alors un samedi matin alors que Dan et son père étaient partis faire une sortie vtt. Thomas y allait avec eux encore quelques semaines auparavant, mais ce jeune homme aux airs empotés prétextait une douleur à son mollet. Je n'y prêtais pas plus attention que cela jusqu'à ce fameux jour où je le vis sortir de la salle de bain déjà habillé et s'en éloignant sur ses gardes. Cela sentait la bêtise à plein nez ! Je le laissai alors monter dans la chambre d'ami et passer une bonne dizaine de minutes avant de monter à mon tour. LE bruit de mes talons-aiguilles résonnant sur l'escalier en bois, le bougre aurait tout juste le temps de se rhabiller s'il s'adonnait à ce que je croyais. Juste assez de temps pour remballer son matériel, mais certainement pas assez pour que je ne devine ses agissements à son mal aise.
Ce fut donc d'une main ferme er décidée que j'ouvris la porte de la chambre d'ami. Si fermement que Thomas la prit derrière dans la figure.

- Oh ! Thomas, mais qu'est-ce que tu fichais derrière la porte ? lui demandai-je.

J'y étais allé un peu fort. Il l'avait vraiment prise dans la figure. Se frottant le front, grimaçant, le bougre me prêtait à peine attention. Baissant les yeux sur son entrejambes, presque par réflexe malsain, j'eus un début de confirmation à ce que je pensais : Thomas avec le sexe en érection, cela ne faisait aucun doute.

- Désolée Thomas, je ne savais pas que tu étais derrière la porte finis-je par m'excuser. Tu faisais quoi du coup ?

Thomas avait le visage légèrement luisant et se sentait pour sûr très mal à l'aise. Il peina à trouver ses mots alors que ses yeux se portaient sur mes cuisses.

Quelle idée j'avais eue de me mettre en mini-jupe moulante aussi ?! Pour la première fois de ma vie, me retrouver seule à seul avec l'ami de mon fils me fit une drôle de sensation. Thomas me répondit qu'il finissait de s'habiller, ce qui était totalement faux, vu que je l'avais vu juste avant. Il n'osait me regarder en face et détourna le regard. Me tenant en retrait par rapport à lui, je repérai la preuve irréfutable de son délit. Celui que je présumais depuis e début : une partie de string dépassait de sa poche gauche. Je recherchai mentalement si ce morceau d'indice pouvait correspondre à l'un de mes sous-vêtements. Pas facile à dire. Or, je ne pouvais l'accuser à tort. Une partie inconscience de moi me fit reluquer juste ensuite sur son entrejambes. Sur la bosse énorme que dessinait son sexe de jeune homme vigoureux. Une bosse qui ne semblait pas dégonfler, bien au contraire. Ma présence n'aurait-elle pas due le calmer ? Comment faire pour lui faire avouer son crime ? Ce fut moi qui me sentis subitement très mal à l'aise quand, sortant de mes interrogations, je vis que Thomas me regardait. Il venait de me prendre en flagrant-délit de matage de queue. Je sentis le feu de la honte mon monter aux joues. Mon coeur se mettre à accélérer. Le jeune homme en fut lui-même si gêné qu'il s'empressa de s'assoir dans le petit canapé en mettant ses deux mains jointes devant. Mon enquête prenait une mauvaise tournure. Il me fallait trouver une solution pour avoir réponse à ma question. Je me mis dès lors à parler des vacances à venir et de ses projets. L'an passé, Thomas était venu avec nous dans le sud. Je m'approchai de lui et cherchant à voir si mon string dépassait toujours de sa poche, je fus contrainte de m'assoir sur le bord du canapé. Oui, il était bien là, juste sus son coude. Nous nous mîmes donc à échanger. Thomas se détendit enfin. Déjoignit les mains. Et pour le coup, par "détendu", tout était bien relatif. Le beau jeune homme n'avait pas débandé d'un centimètre. Je ne pouvais m'empêcher de reluquer son entrejambes si éveillé. Sans m'en rendre compte, j'en calai ma main entre les cuisses de nervosité. Philippe, mon mari, ne m'avait pas fait l'amour depuis si longtemps... Je me demandais même si je lui faisais encore envie. Avoir ce bel étalon en rut juste à côté de moi me donnait soudainement des chaleurs. Je me sentais toute drôle. Alors qu'il me parlait, mes yeux finissaient toujours par décrocher pour s'abaisser sur cette belle queue visiblement gonflée d'excitation. Thomas l'avait en travers, par-dessus sa cuisse gauche. Je me sentais de plus en plus mal à l'aise par son état d'excitation auquel, d'une certaine façon il n'y pouvait rien. Je reluquais aussi son chibre car je n'arrivais pas à croire qu'un garçon de son âge, aussi bien bâti était-il, pouvait cacher une queue aussi énorme sous son pantalon. Que diable m'arrivait-il de penser ces choses ? Sans faire attention, je finis par croiser les cuisses. Je sentis à quel point ma petite chatte mouillait déjà. Ma jupette moulante se retroussa et laissa apparaître la lisière auto-fixante de mes bas couleur chair. Grave erreur en présence d'un jeune homme sexuellement si éveillé ! Ce dut à son tour de me reluquer. Le coquin semblait excité et paniqué tout à la fois, ainsi en présence d'une femme mûre en tenue sexy. Le bougre se rapprocha de moi, se retrouvant au milieu du petit canapé. Les choses risquaient-elles de déraper ? Il me fallait reprendre le contrôle.

Ce fut à ce moment là que j'attrapai le string dépassant de sa poche et tiai dessus.

- Dis donc Thomas, c'est à qui ça ?

Le jeune homme resta bouche bée.

Il s'agissait bien de l'un de mes strings.

- Nathalie, je...

Les mots ne sortaient plus de sa bouche.

Le bougre mit du temps à organiser ses pensées. Son semblant d'argumentaire. Etait-il encore puceau pour agir de la sorte ?

Au même moment, je sentis ma chatte couler de mouille. Valais-je mieux que lui à fixer son gros gland moulé, pris au piège par son pantalon trop serré ?

- Tu sais que j'ai retrouvé l'un de mes strings couvert de ton... Je ne te fais pas un dessin.

- Oui, désolé, je sais, je...

- Tu te masturbes en jouant avec mes petites culottes, c'est bien ça ?

Le pauvre me faisait presque peine à voir. Il gardait les yeux baissés.

- C'est bien ça ?

- Oui… finit-il par avouer.


Satisfaite de ma réponse, je finis par décroiser lentement les cuisses et me tourner vers lui. Mon genou toucha celui de Thomas.

- Explique-moi pourquoi ? Tu n'as pas de petite amie ? Qu'est-ce qui te pousse à jouer avec mes petites culottes, dis-moi ?

Ce fut à ce moment là seulement que je réalisai que ma jupe était très remontée... et que ce petit coquin reluquait ma petite culotte depuis le début. Sa fausse gêne, sa pudeur... en fait, il reluquait mon entrejambes. Heureusement encore que j'avais les cuisses serrées.

Thomas détourna la tête continuant de parler quand il vit que je venais de m'en rendre compte. Quel vilain petit obsédé !

J'écoutais ses bla-bla sur le manque d'intérêt que lu portait les filles qui le trouvaient "bêbête". Il fallait avouer que Thomas n'était pas un génie. Mais il avait l'air en revanche sacrément bien monté.

J'avais désormais mes deux mains entre les cuisses. Par pudeur ? Non, en réalité. Je sentais que je ruisselais de mouille et que mon string me rentrait dans la chatte et m'excitait le petit trou. Mon coeur battait à tout rompre dans ma poitrine. Pliant discrètement le poignet gauche, je tendis mon majeur entre mes cuisses. Je sentis le bout de mon doigt toucher la naissance de ma chatte. Moite, éveillée... Prise dans ma folie, dans mon désir inavouable, j'osai me lancer. Parler de sexe avec Thomas, ce beau jeune homme qui me désirait en cachette :

- Tu sais, ça me flatte beaucoup de savoir que tu te masturbes en pensant à moi. Je suppose que cela n'est pas un mal. Mais tu aurais dû m'en parler, tu ne crois pas ?

Je vis le jeune homme déglutir sa salive en ouvrant grands ses yeux.

Je vis semblant de me relaxer en passant mes mains dans les cheveux, souriante, histoire de détendre l'atmosphère. Le premier réflexe qu'eut Thomas fut de reluquer ma petite culotte. J'en fis de même aussitôt après en reluquant son dard long et épais. Une goutte de mouille s'était formée au bout de son sexe d'homme et maculait son pantalon clair.

- Et cela fait longtemps que tu te masturbes dans mes petites culottes ?

- Je ne sais pas...

- Et pourquoi mes petites culottes dis moi ? lui demandai-je soudain en relevant un genou et tirant sur ma jupe pour faire semblant de la réajuster.

La vue de mon string rose excita le bougre de plus belle.

Evidemment, ma jupe resta retroussée en l'état. Je savais que Thomas pouvait voir mon string et aussi fou que cela eusse pu paraître, cela ne me dérangeait pas, bien au contraire.

- Et bien... commença-t-il en fixant mon entrejambes, j'aime bien l'odeur de ta chatte ! poursuit-il du tac-o-tac.

Des mots directs et crus qui firent monter une vague brulante tout en moi. Je dus en devenir toute rouge de honte.

Fut-elle la raison de ce qui allait suivre ?

- Et tu as déjà vu la chatte d'une femme ?

J'étais folle...

- Non Nathalie. Pas en vrai. Jamais...

Je me contentai de sourire.

- Vas fermer cette porte à clé, j'ai peut-être quelquechose à te montrer.

Le visage du bougre puceau d'illumina. Il s'exécuta à la vitesse de la lumière et revint jusqu'à moi, se mettant à genoux devant moi, tel un prince charmant. Sa main droite était posée sur ma cuisse. J'avais le coeur qui battait à cent à l'heure à l'idée de ce qui allait suivre. Des petites idées coquines qui se bousculaient dans ma tête.

- Pas un mot à personne sur ce qui va suivre, promis ?

- Promis !

Et sur ces mots, n'attendant pas la suite, le meilleur ami de mon fils m'embrassa. Toute langue dehors. Cela m'électrisa. J'en fis de même. Passant sa main derrière ma tête, Thomas m'embrassa tendrement. Je me sentis fondre sur place. Sa main glissa ensuite sur mon sein. Ses mains descendirent à nouveau sur mes cuisses. Le jeune étalon semblait pressé de découvrir mes trésors de femme. Je levai les fesses du canapé afin qu'il puisse retrousser ma jupe, ce qu'il fit maladroitement. Le beau jeune homme attrapa alors mon string rose. Et pou l'aider, je me levai. Je me retrouvai debout. Thomas baissai mon string et découvrit ma toison. Je pivotai d'un quart à droite pour qu'il découvre mon cul. Thomas fit glisser mon string humide en son centre jusqu'à mes pieds. Je m'en séparai. Et lascivement, je m'agenouillai sur le canapé, les fesses bien cambrées, bien offertes. Thomas avait les yeux grands ouverts, comme un enfant devant son cadeau de noël. Je sentis ses mains chaudes et délicates se poser sur mes fesses. En appui sur l'accoudoir, je lui offrais ma chatte, mon cul. J'en avais le feu à la tête, mon coeur battant dans mes tempes. Cela faisait si longtemps que je n'avais osé m'offrir de la sorte.
Etait-ce un fait du hasard ? Je m'étais bien épilée l'entrejambes la veille au soir. Avec une jolie chatte et une belle rondelle, toutes deux bien lisses, ce jeune bougre en avait plein la vue sur les secrets et trésors d'une femme dans la fleur de l'âge. J'osais à peine me l'avouer, mais je n'attendais plus qu'une seule chose : qu'il me dévore l'entrejambes.
Je sentis soudain les doigts coquins de Thomas passer sur ma chatte et sa bouche embrasser directement mon petit trou. Ce jeune puceau m'écarta les fesses pour découvrir la nudité parfaite. "Fais-toi plaisir mon beau !" me dis-je intérieurement, me délectant à l'avance du pied que j'allais prendre. Thomas sortit alors sa langue fougueuse de sa bouche. J'en sentis le bout me titiller la rondelle, chose que même mo mari ne m'avait jamais fait. J'en hoquetai tant de surprise que de plaisir et ne pus m'empêcher de me caresser la chatte en même temps. Excitée comme une pucelle, j'en posai mon genou sur l'épais accoudoir en cuir, m'offrant à ce jeune étalon comme une chienne en chaleur. J'arrivais à peine à me l'avouer, mais je n'aurais pas osé m'offrir de la sorte à mon propre mari. Ces préliminaires avec ce jeune homme me donnaient la fougue d'une fille de son âge. J'en mouillais comme une vraie jeune pucelle.

- Assis-toi sur le canapé Nathalie, j'ai tellement envie de te lécher la minette... m'ordonna-t-il fébrilement.

Bien que je me serais bien faite lécher les deux trous en même temps, j'obtempérai à ses désirs. Mon mari de délaissant de plus en plus, un bon coup de langue sur le clito en fallait plus que rien du tout. Je m'assis donc sur le canapé, cuisses écartées. J'en fus toute excitée rien qu'à voir à quel point mon clito était gonflé d'excitation et mes petites lèvres luisantes de mouille. Pour ce qui était de Thomas, son chibre semblait avoir doublé de volume sous son pantalon. Quelquechose me disait que le petit coquin était monté comme un buffle. J'en mouillais à l'avance.

Thomas m'attrapa par les cuisses et me ramena les fesses jusqu'au bord du canapé. Excitée comme une chienne en chaleur, j'en avait le pied gauche tout juste posé sur le sol et le pied droit levé vers le ciel, cuisses bien ouvertes. Je me retrouvai toute chatte dehors, mes petites lèvres toutes luisantes de mouille et dépassant généreusement des grandes, prêtes à se faire lécher et embrasser. Mon dieu, dans quel état ce bel idiot me mettait ?! J'imaginais aisément à quel point il devait être excité d'avoir devant lui une "vraie" femme - et non une midinette de son âge - ainsi offerte, la chatte bien offerte. Ses yeux ne quittaient pas ma chatte une seule seconde. Thomas semblait littéralement captivé par elle.

- Alors mon beau, elle te plait ma minette ?

- Oh oui Nathalie ! se contenta-t-il de dire.

Je n'eus pas à en rajouter pour exiger la suite.

Ma respiration s'arrêta l'espace d'une seconde quand je vis le bel étalon se pencher en avant, toute langue dehors, et que je sentis celle-ci glisser sur ma vulve humide. Le coquin se mit à me lécher et m'aspirer la chatte délicatement, à m'en faire fondre. Me retrouver avec la tête de ce beau jeune homme entre les cuisses provoqua en moi une drôle de sensation, faite d'excitation et d'interdit. Je ne sais pas où Thomas avait pris l'idée, mais le coquin aspira mes petites lèvres entre ses les siennes et se mit à me les aspirer, clito compris. Le bougre empoté cachait drôlement bien son jeu ! J'agrippai ses cheveux d'une main pour le forcer à me lécher là où ça fait un bien fou. J'avais les yeux rivés sur sa bouche embrassant mon fruit si humide et si sensible. Je n'en revenais pas de ce qui était en train de se produire. Sa langue coquine me lapait désormais la chatte, Thomas veillant tantôt à l'appliquer de tout son large sur ma vulve, tantôt à m'en titiller le clito de sa pointe. Il ne pouvait y avoir que des films pour adulte où ce jeune puceau avait pu apprendre à faire des choses pareilles.
Thomas finit par se redresser un instant pour m'embrasser à pleine langue, avant de m'inviter à bien m'allonger sur le canapé pour me laisser me faire lécher. Toute excitée, j'abdiquai. Cuisses grandes ouvertes, je me laissai parcourir la minette de part en part par la bouche gourmande du meilleur ami de mon fils. Ce petit salopard savait drôlement y faire. Je sentais l'électricité de l'orgasme commencer à monter en moi, tant ma chatte devenait de plus en plus sensible. Je passai du chaud au froid, parcourue de divins frissons. Et là, me sentant surement hyper excitée, Thomas choisit ce moment précis pour se redresser et se lever. Je vis ses mains se porter à la boutonnière de son pantalon. Mon coeur s'accéléra à tout rompre à l'idée de ce qui allait suivre. Très étrangement, je trouvais plus facile de lui offrir ma chatte que de voir sa queue être mise à ma disposition. Sentiment supplémentaire de culpabilité dans ce pur moment de vice et d'interdit. Pour autant, je n'y manquai pas. Thomas baissa lentement son pantalon et son caleçon, tout en même temps. Son sexe déjà bien raid jaillit de ses vêtements. Je ne sus commencer masquer mes émotions. Je dus très certainement afficher un sourire quasi hystérique. Thomas avança en effet vers moi avec sa magnifique queue dressée droit devant moi. Déjà décaloté, son beau gland rose pale luisant de mouille. Je n'hésitai pas une seule seconde à prendre ce beau chibre en main alors que Thomas se défaisait de ses effets du bas. Je savais ce qui me restait à faire. Ce que ce pauvre bougre en rut attendait de moi.

- Hmmm... Quelle belle queue tu as là ! Je vais devoir m'en occuper ! lançait-je en m'agenouillant devant lui.

Thomas était chaud bouillant. Impatient de se sentir soulagé. Il avança d'un pas pour que je me retrouve avec sa belle queue en bouche. Minute jeune homme ! SA belle queue en main, j'ouvrir la bouche en grand pour avaler son gland. Son "joli bonbon". Levant les yeux vers Thomas, je vis aussitôt les stigmates de la délivrance se dessiner sur son visage. Ce salopard avait une bite énorme. Mes deux mains agrippant son chibre n'auraient pas suffit à le contenir. Mettant de la salive dans le creux de ma main, j'appliquai celle-ci sur ce qui allait être l'objet de mes plaisirs. Je me mis à pétrir le sexe de Thomas jusqu'à l'en faire gémir, avant de lui lécher les boules. Là aussi, ce petit coquin avait dû s'inspirer des films pornos que je l'imaginais visionner à la chaîne en se masturbant. Sa belle queue et ses bourses étaient parfaitement lisses et rasées. Un plaisir à lécher ! Je me mis à lui sucer la queue en faisant glisser son joli bonbon entre mes lèvres, lui pétrissant le chibre d'ne main, lui caressant les bourses de l'autre. Thomas avait fini de se déshabiller. Le beau jeune homme était nu dans mon salon. Et moi, à genou sa queue en bouche, ses fesses cambrées et écartées de désir. Ma chatte, mon cul... JE sentais mon intimité toute entière réclamer à l'avance cette belle grosse bite. Décidemment, j'avais tiré le gros lot. Charge à moi de ménager ce jeune étalon.
Je me mis à le masturber doucement tout en lui léchant les boules toute langue dehors, histoire de le calmer un peu. Sensation nouvelle pour ce jeune homme qui ne s'était jamais fait lécher les bourses jusqu'alors. Je me mis ensuite à enfourner son dard long et épais le plus loin possible dans ma bouche. Thomas se mit à gémir de plaisir. Molo Nat', molo ! Le sucer, c'est bien, mais l'avoir dans ta chatte, c'est mieux !

Le sentant donc fin prêt pour la suite, et décidée à braver tous les interdits, je pris le temps de retirer mon top et mon soutif, ne gardant que ma minijupe moulante, retroussée sur mon ventre. Sa belle grosse queue luisait de salive. Je l'imaginais luire de mouille. De MA mouille.

- Aller Thomas, allonge toi sur le canapé, je vais m'occuper de ta virginité.

Le meilleur ami de mon fils s'exécuta. Et au moment où je m'apprêtai à l'enjamber pour chevaucher sa belle queue, le bougre me fit monter sur le canapé et me fit pivoter. Je me retrouvai à genoux sur le canapé, sa tête entre les cuisses.

- Je veux encore te lécher la chatte ! lançat-il tout de go, agrippant mon bassin pour me contrainte à descendre.


Je sentis sa bouche gourmande me lécher la minette. Sa langue coquine glisser à l'intérieur. Le bougre me fit gémir. Un frisson de plaisir m'électrisa le corps au point où mes tétons se mirent à pointer avec force. Nous voici partis pour un soixante-neuf du tonnerre. J'avais la belle grosse bite de Thomas juste en face. Me penchant en avant, je ne tardai pas à la reprendre en bouche. Ce petit coquin avait quant à lui une main sur chacune de mes fesses qu'il écartait sans ménagement. Sa langue me farfouillait la minette de part en part. Le bout de ses doigts chauds s'approchaient dangereusement de ma petite rondelle. Cela faisait des lustres que je ne m'étais pas offerte de la sorte. Je devais en avoir les joues rouges tant de honte que d'excitation. Ce jeune salopard me faisait fondre la chatte comme jamais. Je dévorais son sexe et ses belles boules des yeux, avant de le dévorer tout court.

Thomas était mignon de se régaler de ma fente, mais celle-ci réclamait décidemment plus. Alors je me levai et pivotant sur moi-même, j'enjambai le bel étalon. Nous y étions donc. Enfin. Au sommet de l'interdit, sa belle queue juste là, dardant à la verticale entre mes cuisses. Me laissant descendre lentement en écartant et cambrant les fesses, je me saisissais de son dard tout en même temps, jusqu’à ce que son gland heurte ma chatte. Thomas et moi échangeâmes alors un regard complice dans cet interdit qui nous faisait brûler le corps et l'âme. Je sentis le bout de son membre dur et épais glisser en moi. Ecarteler mes chairs. Je n'en revenais pas.

- Oh Thomas, punaise ta queue est énorme !

J'avais la moitié de celle-ci en moi et j'avais déjà la sensation d'être comblée, remplie. Je commençai alors à monter et descendre tout doucement sur ce membre de bête. J'en avais la rondelle toute dilatée. Ma salive et ma mouille se faisant, je finis par me laisser glisser et pénétrer de plus en plus loin. Le pauvre bougre qui bandait comme un âne empressé se mit à bouger ses reins. Je décidai de rester en suspension afin que Thomas contrôle la situation. Le bougre se mit à me pilonner la chatte, de plus en plus loin, de plus en plus fort. Ses mains m'écartaient les fesses. LE bout de son index vint se poser sur ma rondelle. J'avais l'impression de me faire défoncer la chatte et le cul tout en même temps. Tout d'abord gémissante, le salon se mit à résonner de mes râles de plaisir. J'en avais les tétons longs et durs, tant mon corps était parcouru de frisson de jouissance. A chaque seconde qui passait, je repoussais les frontières de l'excitation. Ce fut à mon tour d'immobiliser le jeune étalon et de m'empaler sur sa grosse queue. Je m'enfonçais son chibre tout entier dans la chatte, jusqu'à des profondeurs où aucun membre d'homme n'était encore allé. Thomas devina mon désir d'être remplie, comblée par sa queue, et me saisissant par la taille, il appuya fort dessus pour me contrainte à m'empaler sur son chibre qui tendit vers le ciel tout en même temps. Thomas m'amena à lui et m'embrassa fougueusement, avant de me prodiguer de nouveaux coups de queue. Bordel, je ne savais plus où j'étais. Dans les cimes du paradis ou dans la chaleur de l'enfer. Sans doute un peu des deux. Le soi-disant jeune puceau me pilonnait la chatte à un rythme régulier et soutenu, tel un vrai apollon. Je mouillais comme pas permis. Thomas me bloqua les bras le long du corps et me culbuta la chatte à grands coups de queue tout en me léchant les seins. Etre prise au piège par cet étalon me mettait dans un drôle d'état.

- Oh oui mon beau, baise-moi ! Oui, baise-moi fort ! me surpris-je à m'écrier.

Thomas me libéra de son étreinte et je pris le relais sur sa grosse bite, le dos bien droit et les fesses bien cambrées. J'avais l'impression de faire du "huh-dada !" sur une bite de poney. La possibilité de m'exploser la chatte dessus totalement à ma guise. Enfin remplie, enfin femme. Quelle sensation exquise. Divine ! C'était comme si sa grosse queue correspondait parfaitement aux besoins de ma chatte en chaleur. Elle la remplissait parfaitement. Lorsque je me levai pour me retirer, je fus surprise de sentir à quel point ma chatte resta dilatée. Je manquai d'éclater d'un rire nerveux quand je vis que la queue et les bourses de Thomas étaient trempées de ma mouille. Une mouille que j'eus plaisir à goûter en reprenant en bouche le chibre bien dilaté de mon bel étalon. Je le suçais, son chibre bien au fond de ma bouche, ma main pétrissant ses belles grosses boules bien lisses et lourdes de sperme. Sa queue me donnait envie de tout ressentir et partager avec lui. Elle me redonnait vie. Alors, je me s’empalait à nouveau dessus, en faisant dos à Thomas cette fois-ci. Histoire de n'avoir que le plaisir de sa queue en moi, sans la culpabilité de le voir devant moi. Quel égoïsme ! Il ne me fallut pas longtemps de ses coups de queue et de mes mouvements de bassin pour finir par me faire exploser de jouissance. Me caressant le clito tout en même temps, je me mis à jouir, à exploser. Mon corps luisait de sueur. J'avais chaud, froid, je frissonnais de plaisir. Je restai un moment immobile, la queue de Thomas au fond de moi. Le bougre n'avait toujours pas joui. Un bonheur d'étalon ! Je me retirai et me mis à quatre patte pour le sucer. Thomas aussi transpirait. Nous étions deux bêtes en chaleur, assoiffés par une envie de baiser trop longtemps inassouvie. Je n'éprouvais plus aucune honte à saisir et enfourner son énorme queue dans ma bouche. Mes tétons bandaient aussi fort que sa queue tant j'étais excitée. Je suçai Thomas en lui pétrissant le manche d'une main tout en le regardant et en soutenant son regard marqué par le plaisir. Nous étions complices.

- Hmmm... Ta belle grosse queue me fait tellement mouiller mon beau ! le complimentai-je sans mentir.

Thomas resta dans sa timidité et ne répondit pas, mais se contenta d'agir.

Avec douceur, il m'invita à m'allonger sur le canapé. Je me retrouvai sur le flanc droit, cuisses serrées, les fesses dans le vide. Thomas, agenouillé à-même le sol, approcha sa belle queue de ma chatte et l'y glissa. Quel pied de sentir à chaque fois son chibre épais investir mon antre. Le bougre commença dès lors à me pilonner à grands coups de queue. Histoire qu'il me pénètre à fond, j'écartai les cuisses et les fesses à l'aide de ma main gauche. Bien offerte à lui, rien qu'à lui.

- Oh oui mon beau, défonce-moi la chatte ! Oui ! m'encourageai-je alors que je ne cessais de mouiller toujours plus.

A chaque pénétration, je sentais sa queue longue et épaisse me remplir la chatte et ses boules frotter contre ma petite rondelle. Thomas me baisait en me regardant droit dans les yeux. Je transpirais, je devais être tout rouge. Malgré notre différence d'âge, j'avais cette drôle d'impression d'être revenue à l'adolescence. La bite épaisse du jeune homme de défonçait la chatte. J'en avais les cuisses grandes ouvertes, prise à la missionnaire. Ses coups de rein étaient si longs, si intenses, et faisaient exploser ma féminité. Je sentais à nouveau les frissons d'un orgasme imminent électriser ma chatte. Oui, plus que tout, je voulais jouir, encore et encore. Cela faisait si longtemps que ça ne m'était pas arrivé. Je portai le bout de mes doigts à mon clito, gonflé d'excitation, de désir pour ce jeune homme que je n'aurais jamais soupçonné d'être un si bon amant. J'étais toute chatte dehors, offerte comme jamais à mon bel étalon. Un jeune homme qui parvint à me faire exploser une seconde fois. Je me mis à jouir, à crier mon plaisir à tue-tête, libérée. Peu m'importait à cet instant précis d'être entendue ou surprise, y compris par mon mari. Un plaisir si intense ne pouvait se refuser ou n'être vécu qu'à moitié. Au diable mon cas de conscience, celui de coucher avec un adolescent en âge d’être mon fils… Mais une queue était une queue et je voulais jouir. Etre femme, cette belle queue de jeune homme en moi. Lui offrir mon orgasme aussi, d'une certaine manière, comme pour le remercier de tout ce qui me donnait. Me voyant jouir, me sentant aux cimes du plaisir, Thomas ralentit ses coups de queue, restant en moi, au plus profond. Nos corps n'étaient que sueur fraîche et frissons de bien-être. Thomas m'enfonça sa queue loin en moi, à presque m'en faire mal. Je le repoussai d'une main. Sa fougue me rendait folle, me lançait un délicieux défi. Thomas se retira instantanément et plongea sa tête entre mes cuisses pour me lécher la minette. S'abreuver de toute cette mouille lui la faisait luire, sa belle queue y compris. Les pattes en l'air, je peinai à relever la tête pour voir mon bel étalon me laper la chatte, tant en surface qu'en profondeur. Son appétit pour mon fruit d'amour semblait intarissable.

Une furie s'était libérée en moi. Je voulais qu'il me baise, dans tous les sens, par tous les trous s'il le voulait. Me redressant dans un sursaut d'énergie, je me présentai à lui à quatre pattes sur le canapéet lui présentai ma chatte et mon cul. Je voulais, je mourrais d'envie qu'il me baise en levrette.

- Viens me baiser mon beau ! Je veux sentir ta belle queue en moi.

Tout aussi excité que moi, Thomas se mit à genoux à-même le sol et m'écartant les fesses en grand, l'étalon en rut s'enfonça sa langue dans le cul. J'en lâchai un cri de surprise, puis un long gémissement, de plaisir. Thomas devenait de plus en plus entreprenant. De plus en plus coquin, pervers. Je ne m'étais jamais faite bouffer le cul de la sorte et une part de moi craignait que sa fougue ne l'amène à fantasmer ce que je n'osais imaginer. L'idée de recevoir son énorme queue dans mon oeillet me faisait peur et m'excitait à la fois. Je n'avais jamais pratiqué la sodomie avec mon mari, ni avec qui que ce fut. Partager cette expérience avec ce jeune homme tout excité m'amenait à reconsidérer la chose malgré moi. Thomas me dévora l'entrejambes tout entier et me colla même deux ou trois fessées, histoire de m'exciter un peu plus si cela était encore possible. J'étais offerte comme rarement j'avais osé l'être. Peur de décevoir ou envie d'impressionner, allez savoir. Tournant la tête comme je le pouvais vers Thomas, je n'avais qu'une envie : me saisir de sa queue pour me la foutre dans la chatte. Une queue qui me rendait folle de désir. Thomas finit heureusement par monter sur le canapé et me fourrer sa bite dure et épaisse dans la minette. Le même frisson parcourut mon corps quand je sentis son dard me transpercer, me remplir.

- Oh bordel c'est trop bon ! Oui, baise-moi bien !

Les longs coups de rein de mon jeune étalon m'envoyaient au paradis. Il enfonçait sa queue loin en moi, jusqu'au fond. Thomas se pencha alors sur moi tout en me culbutant. Je tournai la tête comme je pus. Il m'embrassa, toute langue dehors. Je sentis soudain son pouce enduit de salive glisser dans mon cul. Je me mis à gémir. L'instant d'après, Thomas retira son membre de ma chatte. Je devinai la suite. Mon dieu. Ma première fois... JE sentis son gland toucher ma rondelle, puis la forcer. Mais j'étais si offerte, si excitée, que sa queue glissa en moi toute seule. A bout de force, je posai ma tête de côté sur l'accoudoir. Je n'en revenais pas. Thomas, l'ami de mon fils, était en train de me défoncer le cul. Il fallait dire que je l'avais bien cherché. LE feu de la honte me brûla les joues. Seul son gland allait et venait dans ma rondelle. J'étais excitée par cette folie. J'allais à la rencontre de ses coups de queue, autant que je le pouvais. Thomas gémissait, râlait, grimaçait. Mon petit trou serré allait finir par avoir raison de sa queue d'une seconde à l'autre. J'aurais dû mourir de honte à m'offrir de la sorte au meilleur ami de mon fils. Mais ma fougue, mon désir de sexe évinçaient un à un tous mes principes. Me faire pilonner le cul m'excitait comme pas permis. J'avais déjà osé, dans mes moments d'intimité me glisser mon godemichet dans la rondelle. Un plaisir aussi subtile qu'intense qu'il fallait savoir apprivoiser et découvrir. Je n'avais jamais reçu le membre d'un homme dans mon petit trou, et recevoir la queue de Thomas en moi m'excita à m'en faire gonfler le clito à nouveau. Malheureusement, mon bel étalon ne parvint pas à tenir la distance trop longtemps par cet orifice bien trop serré pour sa belle queue. L'entendant râler profondément, je tournai la tête sur le côté pour tenter de voir ce qu'il en était. Mais le bougre venait tout juste de se retirer et pétrissait sa queue. Mon bel étalon allait jouir. Hmmm. Un sourire marqua mon visage. Je cambrai le bassin de façon à offrir ma chatte et mon cul à sa queue. Je sentis son sperme chaud gicler sur ma rondelle encore dilatée. Une sensation électrisante qui me fit gémir. Les râles de jouissance de Thomas qui se faisait éjaculer sur ma chatte et ma rondelle, toutes deux défoncées, me transportaient. Là encore, j'aurais dû mille fois mourir de honte à finir baisée et arrosée de la sorte par le meilleur ami de mon fils. Mais le pied était trop grand. Je sentais sa semence chaude et onctueuse gicler tout près de mon oeillet pour finir par couler à l'intérieur. Le reste finissait de couler sur ma minette.

- Hmmm... oui ! donne-moi ton sperme : Hmmm... gémis-je pour inviter le beau Thomas à se déverser sur moi jusqu'à la dernière goutte.

Une fois son orgasme terminé, je portai le bout de mes doigts à mon cul, à ma chatte, et recueillant un peu de son foutre encore chaud, je les portai à ma bouche en gémissant.

- C'était vraiment ta première fois, mon beau cochon ? lui demandai-je, les yeux lourds de plaisir et de désir.

- Oui, enfin... non.

Sa réponse me surprit. Je m'en doutais. Ce petit salopard m'avait baisée dans tous les sens du terme.

- Oui.. non... Explique-toi !

- J'ai déjà été voir des prostituées m'avoua-t-il, honteux.

- Aah... ce sont elles qui t'ont appris à faire tout ça ? Tu te débrouilles sacrément bien pour quelqu'un qui n'avait jamais couché auparavant le taquinai-je pour détendre l'atmosphère.

- Merci Nath'...

Thomas avait toujours ses mains posées sur mes fesses qui semblaient le captiver. Je sentais encore son gland frotter contre ma cuisse. Bien que je me sentais totalement éreintée, il me donnait envie de baiser, encore et encore.

- Bon aller, tu files prendre ta douche ?

- Ok, répondit-il d'un air tout triste en ne lâchant par mes fesses et ma chatte des yeux, visiblement inquiet que cette formidable partie de baise soit la première et la dernière.

Il ne pouvait en être autrement tentai-je de me convaincre. Il s'agissait du meilleur ami de mon fils, je ne pouvais me permettre une telle folie. Mais en étais-je réellement si persuadée... ?
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Histoire de Aasmoth

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Commentaires du récit : L'ami de mon fils

Le 14/10/2023 - 17:37 par Le malheureux
Belle histoire,tu as bien réagit envers le jeune qui t'as fais plaisir
Le 09/09/2023 - 17:42 par valeriane
Que du regal hum, j'ai mouillé à sa lecture
Le 16/04/2023 - 12:12 par Songo
Belle histoire...sympa qu'une femme expérimenté donne une chance à un jeune
Le 25/06/2022 - 22:15 par Long4308
Très beau récit. Mêle d'érotisme et de sadisme tout cela est très excitant.
Le 15/03/2021 - 18:20 par Berjean53
Très belle histoire. On se régale à vous lire. A votre place, je ne me priverais pas d'une telle relation. C'est magnifique ce qui vous est arrivé ! B53
Le 11/12/2020 - 14:03 par Pierre le Grand
quel beau récit,excitant au possible, bravo, à bientôt pour d'autres lectures,merci pour ce bon moment passé à te lire. Lis tu de mes histoires? Pierre

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