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L'apprentissage de Séverine

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Lue : 12091 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 30/06/2012

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Nous étions là, dans le bar de l’hôtel où avait lieu ce colloque, nous retrouvant après toutes ses années…

Dire qu’au lycée je l’avais un peu dragué, j’avais vraiment flashé sur cette nouvelle !! Une petite brune discrète, un corps mince et longiligne, des seins discret car toujours cachés sous des pulls ou de large T-shirt, mais en observant bien on distinguait des formes généreuses… elle n’aimait pas se mettre trop en avant, une sorte de manque de confiance sûrement dû à son éducation, mais surtout un visage angélique, des yeux en amande dans les tons gris clair qui m’avait fais fondre dès le premier regard. Mais elle ne pouvait me côtoyer, j’étais le « caïd » de la classe, celui que tout le monde connaissait, pas son genre de garçon pour elle petite sainte nitouche, délégué de classe, nous n’avions pas « les mêmes valeurs »….

À peine je l’avais vu ce matin que je l’avais reconnu, une fille comme ça, on ne l’oublie pas. Elle était toujours aussi superbe, son visage était resté celui d’une ado, et sous son tailleur, on devinait ses formes toujours aussi parfaites là où il fallait. Durant son discours, elle capta l’intérêt de tout l’auditoire masculin, tu m’étonnes ! Mais je reconnaissais bien ma petite Séverine, d’une aisance apparente, on la sentait au fond d’elle-même un peu gêné d’être au centre de l’attention mais en même temps heureuse, c’était bizarre. À la fin de son allocution, je parti à sa rencontre.
« - Bonjour Séverine ! »

Elle me dévisageât, son sourire, poli au début se fit plus franc rapidement.
« -bonjour Chris. »

Ainsi elle m’avait pas oublié…. son expression passait de la joie, à une sorte de gêne, de l’un à l’autre, on devinait l’envie d’en dire plus mais une retenu à peine feinte. Je remarquait son alliance mais l’invita à boire un verre.

La soirée était maintenant bien avancée, la boissons aidant, elle se laissa aller à quelques confidence sur sa vie actuelle : mariée jeune après le bac car déjà enceinte par « accident », elle vivait maintenant un mariage avec peu d’amour, son mari la touchait peu et ils avait toujours fait l’amour dans le noir, je n’osait lui parler de mes différentes « conquêtes » , de peur de la choquer, mais elle semblait curieuse ..

Après un dernier verre, nous nous sommes dirigés vers l’ascenseur pour retourner dans nos chambres respectives. Dans ce dernier, il se trouvait déjà un couple dont les baisers langoureux et les caresses ne laissaient aucun doute sur la suite de leur soirée…. Séverine les regardait avec toute la pudeur que je lui connaissais, mais je voyais dans son regard une espèce d’envi. Ils sortirent de l’ascenseur quelques étages avant nous, et lorsque les portes se refermèrent, l’alcool aidant, je pris une profonde inspiration et passa mon bras autour de la taille de ma compagne puis l’embrassa à pleine bouche. J’attendais un recul de sa part, mais il n’y eu aucune résistance, elle se laissa faire, attendant je pense ce moment dans le plus profond de son être…

Ma langue trouva la sienne, un baisé fougueux auquel je mis fin pour la regarder dans les yeux. Elle paraissait à la foi gênée et excitée, elle semblait tiraillée entre 2 possibilités : me gifler ou me laisser faire ?
Tout en la regardant fixement, ma main gauche chercher le bouton « stop » de l’ascenseur qui était presque à notre étage, tandis que la droite, toujours autour de sa taille remonta vers sa poitrine.

Lorsque l’élévateur s’arrêta, un air de surprise traversa son regard, puis je commençais à défaire le haut de son chemisier, elle soupira, ma bouche retrouva la sienne, j’avais déjà défait le 1er bouton, doucement, je vins lui embrasser le cou et alors que je déboutonnai le reste du corsage je la senti s’abandonner complètement.
J’ouvris alors en grand les pants de la blouse, découvrant ainsi une poitrine que je savais généreuse encore prisonnière d’un discret soutien gorge, alors que je déposais un baiser entre ses seins, ma main gauche fis rapidement sauter l’agrafe de celui-ci, permettant à la droite de se glisser sur le globe si doux et accueillant, mon pouce ne tardant pas à venir caresser le téton déjà dressé par le plaisir. Ma bouche ne tarda pas à remplacer ce doigt alors que ma main droite descendait lentement le long de son dos, elle vint doucement palper les hanches, puis les fesses de la demoiselle avant d’agripper l’étoffe de la jupe afin de la remonter.

Je sentait son corps se contracter, à la fois par le désir mais aussi je pense par la culpabilité de faire quelque chose que son éducation réprouvait, mais le plaisir était plus fort, elle bascula sa tête en arrière et s’abandonna entièrement.
Sa jupe était alors remontée jusque mi-cuisse, ma main gauche descendit alors directement vers son entrejambe et mon majeur vint caresser le sillon de son sexe à travers sa culotte. Ma bouche quitta le téton que je n’avait cessé de sucer jusque là et je regardait son visage submergé par le plaisir charnel, ma main se glissa alors sous l’étoffe et se posa sur sa toison apparemment fourni, mon doigt se glissa entre ses lèvres intimes qui commençaient à s’humidifier.

Alors que je m’agenouillais devant elle tout en la caressant, je ressorti de son intimité et mes mains la prirent par la taille, sous sa jupe, afin d’agripper sa culotte que je fis lentement redescendre le long de ses longues jambes, une fois le délicat bout de tissus au bas de ses chevilles, je remontai caressant l’intérieur de ses jambes, avant de finir de remonter sa jupe jusqu’en haut, découvrant ainsi une touffe laissée au naturel ! Apparemment, elle n’avait dû négliger cette partie de son anatomie !

Ma main lissa alors les poils afin de dégager les lèvres au dessus desquelles j’aperçu son clitoris, discret, ma bouche s’approcha du petit bouton rose et j’y déposai un doux baisé. Lorsque ma langue entra au contact de son berlingot, son corps fut transpercé par un spasme, ma langue descendit et vint se glisser dans sa vulves, goûtant au délicieux jus qui commençait à en couler.

Je l’entendais gémir de plaisir, son dos s’appuya sur le mur, ses jambes n’arrivant plus à la soutenir complètement, tandis que ma langue continuai à aller et venir dans son sexe, je la redirigeai alors vers son clitoris, la remplaçant par mes doigt.

Le bas de son corps était tendu par le plaisir, je levai les yeux vers elle et mon regard croisa le sien alors que mon majeur trouvait cette zone légèrement rugueuse situé derrière le clitoris et que ma langue tournait autour de celui-ci, elle ne pût retenir un cris et suivi de spasme, son sexe coula alors je me régalai de sa jouissance. Elle ne cessa de jouir, un orgasme comme je n’en avais jamais vu. Je décidais de remettre l’ascenseur en route. Avant de me relever, j’aperçu sa culotte abandonnée à ses pieds. J’attrapai le délicat objet et le glissa dans ma poche.
La porte s’ouvrit rapidement, elle était encore abasourdi de se qui venait de lui arriver, je redescendit sa jupe alors qu’elle essayait de réajuster son chemisier en lui glissant à l‘oreille : »bonne nuit, à demain« . Je sortis tout de suite et la laissa ainsi seule, encore décontenancée de se qu’il venait de se produire

Je savais que je la reverrais.

À suivre
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Histoire de jeanmimel

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