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L'apprentissage de Séverine 2

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Lue : 10319 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 30/06/2012

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Le lendemain je descendis de ma chambre pour assister au brunch organisé pour le colloque, je cherchais bien sûr Séverine et l’aperçu au milieu d’un groupe de personne, dont certain de mes collègues. Elle était rayonnante, elle portait un pantalon et un pull léger. Je l’observait un moment, elle m’avait remarqué mais semblait m’ignorer. Je décidais donc de m’approcher vers mes acolytes.
« -tiens, salut Christian, alors tes impressions sur cette 1ere journée ?
- Sympa, on fait des rencontres qui j’espère seront productive.
-Permets-moi de te présenter Séverine X de chez….
-oui, bonjour, mais nous nous sommes déjà croisé »

À ses mots, je la senti pâlir, encore sûrement gênée de ce qui s’était passé la veille au soir, mais ce que j’avais pris pour de la gêne était en fait, je le compris plus tard, de l’excitation. Je m’adressais alors directement à elle :
« -j’ai d’ailleurs encore en ma possession quelque chose qui doit vous appartenir, il faudrait que vous passiez le récupérer.
Elle rougit.
-heu…. Oui volontiers ! Mais pour le moment, je vais me chercher quelque chose au buffet.
-bonne idée, laissez moi vous accompagner. »

Nous avons donc laissé nos compagnons et je pouvais profiter de notre tête à tête pour lui parler de choses qui m’intéressait plus…
« -alors aujourd’hui c’est pantalon ? On aime plus les tailleurs ?
- ben.. Oui
-je n’aime pas trop mais bon, ta petite culotte est dans ma chambre, si tu veux la récupérer, il faudra la mériter !
-C’est-à-dire ?
-je crois l’avoir eu contre un baiser, elle te sera rendue de la même façon ! »

Tranquillement, je l’emmenais vers les toilettes, le seul endroit où nous pourrions ne pas être dérangés. Devant la porte, elle eu un bref recul.
« -honnêtement dis moi, tu as eu un orgasme hier soir ?

Elle restait sans voix
-n’est pas honte, pas de pudeur avec moi, tu as jouis !

Elle baissa la tête.
-oui »

Elle poussa la porte des W-C des femmes et s’engouffra dans la 1ere cabine, je la suivi de près. À peine la porte refermé derrière moi, elle m’embrassa à pleine bouche, m’offrant sa langue. Je savourais ce doux baisé en la prenant dans mes bras, je lui laissais y mettre un terme, elle me regarda alors droit dans les yeux et me dit timidement : « voilà ! »
Je continuais de la fixer :
»- qu’est-ce qui t’as vraiment fait jouir hier dans l’ascenseur ?
- et bien, heu…
-ce genre de baisé ?
-oui…
-ne me mens pas ! Qu’est-ce qui t’as le plus fais jouir ?
-….
-que je t’embrasse la chatte ?
-…
-dis-le
-oui ..
-Dis que tu as aimé que je te lèche la chatte !
-j’ai aimé que tu …
-vas-y
-me lèche la chatte !! ».

Elle en était rouge de honte, mais je ne m’arrêtai pas là. J'attrapais sa main droite et la mit sur la bosse que formait mon pantalon.
« -c’est là que sont les plus bons des baisés… »

Elle baissa les yeux, évitant ainsi mon regard, elle fixait un point sur le sol
« - tu ne l’a jamais fais c’est ça ? »

Je me souvenais de notre discussion de la veille, elle n’avait jamais vu son mari entièrement nu car il faisait toujours l’amour dans le noir
« - non« , balbutia-t-elle en caressant mon entrejambe

Je pris ses mains dans les miennes et la guida vers ma ceinture, elle entreprit de défaire la boucle de mon ceinturon, puis défis le bouton du pantalon. Mes mains passaient de son visage à ses cheveux., je lui relevait la tête alors qu’elle se saisie de la fermeture éclair qu’elle fit coulisser lentement. Je l’embrassait tendrement tandis que ses mains commençaient à faire descendre mon pantalon.

Je me retrouvais en caleçon, le pantalon au niveau des genoux, elle se stoppa. Ma bouche quitta la sienne et timidement, sa main droite se reposa sur mon sexe qui ne demandait qu’à sortir de sa prison de coton.
« -vas-y, aide le, prends le dans ta main »

Elle glissa ses doigts dans mon sous-vêtement et saisi le manche qui se présentai, tirant ainsi sur l’élastique.
Je la pris par les épaules et appuya lentement dessus, la forçant à s’agenouiller devant moi, une fois son visage à hauteur de ma queue, elle la regarda avec curiosité.
« -maintenant, descend mon calbute pour la libérer entièrement. »

Elle ne se fit pas prier, sa main commençait à vouloir faire un mouvement de va et viens mais j’arrêta son mouvement trop brusque pour la guider.
« -tu veux y aller trop fort, doucement, voilà comme ça »

Je la regardait du dessus, elle était subjugué par le spectacle de sa main branlant ma bite, voir le gland tantôt recouvert par le prépuce tantôt à l’air libre….
‘- bien, approche tes lèvres maintenant, n’oublie pas le baiser ! »

Lentement sa bouche s’approcha de ma verge et elle y déposa un long baisé.
« -comme ça ? Demanda-t-elle
-ouvre un peu les lèvres et mets-le dans ta bouche maintenant, voilà, et ensuite lèches-le comme si tu mangeais une glace. »

Doucement, je vis ma queue disparaître dans sa bouche, elle me suçait lentement le gland, aspirant de temps en temps comme pour un esquimaux glacé.
« -oui, tu peux te servir de ta langue aussi, et continu de me branler avec la main ! »

Sa langue se promena d’abord malhabilement le long de ma hampe, puis elle me lécha le gland avant de l’aspirer une nouvelle fois, sa bouche était chaude, elle sentait le plaisir monter en moi, elle comprenait les mouvements les plus agréables pour moi et pris de l‘assurance. Sa main quitta ma verge et elle la pris entièrement en bouche, je dû me contrôler pour ne pas tout lâcher à ce moment là .. C’était trop bon ! Sa tête recula puis elle remit sa langue autour de mon prépuce en levant les yeux vers moi, cette complexée commençait elle à se dévergonder ? Elle replongea ma bite au fond de sa gorge sans baisser les yeux !
« -vas-y ma belle, suce moi la queue, fait moi jouir comme je t’ai fais jouir hier, mais attention si tu continus, tu sais ce qui va se passé ? Il ne faudrait pas salir ton pull ! »

Elle eu un léger recul, redoutant sans doute ce qui pouvait se passer, elle n’avait pas dû y songer avant et se retrouver devant cet état de fait la dégoûta au premier abord.
- »souviens toi d’hier, je me suis régaler de ta mouille » lui lançais-je.

À ce moment là, toujours en me regardant droit dans les yeux, elle releva le défi et me branla de plus en plus avec sa bouche, je déchargea au fond de sa gorge et, pendant que mon foutre giclait dans sa bouche, elle dégluti en me toisant toujours du regard.
« -ben ma salope, et tu dis que tu n’as jamais sucé une bite !
- non, dit-elle en baissant les yeux, pour de vrai.
-tu es une sacrée cochonne en tout cas« , elle rougi à ses mots, je décidait d’aller plus loin « si tu veux récupérer ta culotte, rejoins moi ce soir dans ma chambre, mais si tu viens, attends toi à tout, ou ne viens pas ! »

À suivre
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