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L'apprentissage de Séverine 4

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Lue : 9049 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/07/2012

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Je l’aidai à se redresser, en prenant soin de garder ma queue profondément en elle, ses bras agrippèrent mes épaules et elle m’encercla de ses longues jambes. Ainsi, je pu me relever, elle tortillait du ventre pour continuer à glisser le long de mon sexe, les parois de sa chatte étaient si douces et humides elle contractait les muscles de son vagin autour de mon vit. Je me rallongeai alors sur le lit, et une fois au-dessus, elle eut le champ libre pour pouvoir voir mon chibre plonger dans son pubis rasé. C’est elle qui menait la cadence, allant et venant avec des mouvement de plus en plus saccadés, ne ratant rien du spectacle.

Pour ma part, je me délectais de la vue de ses nibards tressautant au rythme de ses coups de boutoir. Cette femme découvrait les plaisirs du sexe !

Alors qu’elle se trouvait à l’apogée de son mouvement, je resserrais vivement les cuisses, l’empêchant de redescendre, ses yeux me regardaient, interrogatifs. Sans dire un mot, je la fis basculer sur le flanc, m’allongea derrière elle et lui écarta les cuisses. Je guidais rapidement mon sexe turgescent vers son con trempé et l’enfonça de nouveau, elle gémit de plaisir par cette nouvelle position de la cuillère. Alors que dans son dos j’imprimait mon balancement, ma main vint sur son bas ventre et je lui caressait le clitoris tandis que mon gland butai contre la paroi intérieure de son abdomen, elle geignait de plus en plus, on sentait chez elle l’envie de crier de plaisir et toute la réserve due à son éducation.

De ma main libre, je lui caressa les seins, ses mamelons étaient dure comme de la pierre, je continuai à la bourrer ainsi jusqu’à ce que son corps se tendit, un miaulement sorti de sa bouche, je pu alors exploser en elle.

Nous sommes restés quelques instants dans cette position, inertes. Ma queue se dégonflait petit à petit à l’intérieur de son vagin dégoulinant de sa mouille et de mon jus. Je le laissai ressortir et mon foutre coula le long de sa cuisse. Je la laissai se remettre sur le dos et la regardait dans le fond des yeux. On y trouvait de la satisfaction et de la curiosité, elle était encore plus belle après l’orgasme. Son regard descendit vers mon bas ventre, elle regardait cette queue qui venait de lui procurer tant de plaisir en train de désenfler, sa main descendit alors vers son mont de venus lisse, elle le caressa doucement, appréciant le contact doux de sa peau, puis elle la glissa entre ses cuisses, y recueilli le liquide blanchâtre et visqueux qui y coulait et, tout en me regardant à nouveau droit dans les yeux, l’apporta à sa bouche et se lécha goulûment les doigts. Cette gourmande avait goûté le sperme le matin même et avait apparemment appréciée., elle n’en perdait aucune goutte, je me relevais alors pour apprécier le spectacle dans son ensemble, elle se mit quatre pattes sur le lit et commença à me licher le zob pendouillant, doucement sa langue se glissa sur ma bitte encore maculée de sa cyprine et de mon foutre, elle s’en délectait puis l’aspira alors qu’il était encore flasque, elle le pris en bouche, glissa le long de la hampe, moi je surplombait la scène, mes main se placèrent sur sa poitrine et je soupesait ses lolos qui pendaient fièrement, faisant rouler se tétons entre mes doigts et admirant la courbe de ses reins jusque la naissance de ses fesses.

À ce spectacle, ma tige repris un peu de vigueur, elle la suça avec plus de fougue, jouant avec sa langue et une fois bien raide, je me retirais de la douceur de sa bouche et vint m’agenouiller derrière elle.

Elle resta immobile, m’offrant une vue superbe sur son magnifique cul et sa vulve encore ouverte, j’y glissa rapidement ma queue jusqu’au plus profond, lui arrachant un spasme de plaisir, sa première levrette.

Tandis que je commençais à aller et venir, mon regard ne quittai pas sa pastille brune qui me faisait de l’œil, bien nichée au fond de ses fesses, elle semblait animée par mon mouvement perpétuel, ondulant au rythme de mes affaires.

J’attrapai le tube de lubrifiant et en fit couler dessus, lentement mon majeur vint caresser la paroi délicate et commença à s’enfoncer, d’abord la première phalange, puis de plus en plus profond. Je le remplaçait par mon pouce, petit à petit, l’orifice s’ouvrait et je pus y glisser deux doigts, puis trois.

Elle se délectait de la volupté de cette verge dans son vagin et que je m’occupe ainsi de son petit trou.
Sans scrupule, je ressortais de ses grottes et la retournait sur le dos, elle me regarda, interdite. Je lui relevai brusquement les jambes et les écarta sans ménagement. Elle resta dans cette position alors que je glissais l’oreiller sous ses fesses avant de remettre ma queue au fond de son con pour la lubrifier une nouvelle fois, et, lorsque je la ressorti, je la présentai à la sortie de ses intestins appuyant mon gland sur sa rondelle en la regardant dans les yeux. Son visage exprimait à la fois le plaisir et la honte ajouté à une pointe d’interrogation.
« -prête à tout ?
- heu oui
-tu sais ce qui va t’arriver ?
- pas vraiment »

Cette pauvre femme s’était toujours faite tringler en missionnaire dans le noir, hop hop en 5 mn. J’augmentai la pression et le conduit commença à s’ouvrir. Un léger rictus de douleur apparu sur ses lèvres.
« -pousses, comme si tu allais chier !»

Je senti ses abdos se contracter et mon gland entra lentement dans ce couloir inexploré. Je pouvais voir ma tige s’enfoncer doucement dans son fion, son bas ventre glabre et sa vulve largement ouverte. Lentement j’insérai ma colonne charnue dans ses boyaux, son visage se contractai sous l’effet de la douleur, je me stoppai à mi-parcours et laissa le temps au chair de se dilater, puis repris ma progression dans la partie la plus intime de son anatomie. Une fois complètement entré, je restais immobile, guettant les mimiques de son visage. Ses yeux était grand ouvert, accusateur « comment peut-il passer par là ? » semblaient-ils dire, elle serrait les lèvres entre ses dents pour supporter la douleur puis ses traits se détendirent, son corps entier se relâcha, elle s’abandonnait à ses nouvelles sensations.
« -alors ? Qu’est-ce qui t’arrives ?
-tu es entré dans….
-dans quoi ?
-….mes fesses
-non, ton cul, je t’encule ma belle ! »

Doucement je commençais à coulisser le long de sa rondelle, imprimant un mouvement de plus en plus ferme au fur et à mesure qu’elle se décontractait. Elle ne tarda pas à venir se caresser le berlingot, laissant couler de plus en plus de sa mouille et me laissant profiter d’un spectacle superbe : ma queue lui bourrant le trou de balle, ses nibards rebondissant a la mesure de mes aller-retour et ses doigt dans sa chatte, je ne tarda pas à décharger une nouvelle fois emplissant ses intestins de ma semence alors qu’elle ne put retenir un cri de plaisir.
« ha mon dieu, comment …
- tu aimes te faire bourrer le cul hein ?
-ho oui c’est si étrange !

Après tant d’action je m’allongea à ses côtés et malgré l’envie de continuer, la fatigue eu raison de moi, je m’écroula de sommeil jusqu’au petit matin.

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