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L'apprentissage de Séverine 6

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Lue : 7227 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 22/07/2012

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Samedi, fin d’après midi. Assis à la terrasse du café où nous avons rendez-vous, j’attends Séverine non sans impatience profitant de la douceur de cet été indien.

Pile à l’heure, la voilà qui apparait. Simplement vêtue d’une robe classique. Ses doux cheveux d’ébènes ont des reflets roux au soleil. Ses seins ballotent gentiment libre de tout sous-vêtement en deçà du frêle tissus que les tétons ont envi de transpercer. L’habit n’est que très légèrement boutonné sur le devant et ont voit bien la naissance de sa belle poitrine. Elle sourit en me voyant et vint vers moi, crânement je répondis à son salut et la pris par la taille avant de l’embrasser langoureusement, provoquant sans nul doute la jalousie de beaucoup de male ici présent…

Je l’accompagnais alors à ma voiture, la soirée va être chargée et nous ne devions pas perdre de temps. Je lui ouvris galamment la porte et la laissa monter à bord. Elle voulu monter de façon classique, je la repris.
« -d’abord, tu poses tes fesses sur le siège, les jambes encore à l’extérieur, ensuite tu les rentres, l’une après l’autre. »

Elle fit ce que je lui recommandait, sa robe assez légère ne manqua pas de remonter légèrement révélant ainsi aux badaud son sexe.

Une fois dans mon cabriolet, je profitais de la clémence des températures pour ôter la capote. Tout en conduisant, ma main vint se poser sur ses genoux. Je remonta le long de ses cuisses et posa mes doigts sur sa toison naissante.
« -donc c’est décidé, tu ne portes plus de culotte ?
-disons qu’une fois sorti de chez moi, je n’en ai plus besoin. Aie ! »

Je passais un peu vite sur un ralentisseur.
« - qu’Est-ce que tu as ? Demandais-je
-j’ai toujours un peu mal au cul. »

Elle ne s’était pas encore remise de son enculage à sec de la veille, je tirais un peu sur ses poils disgracieux.
«- tu as décidé de me faire mal aujourd’hui ? Tu as dis que tu voulais les raser !
-j’ai dis que je m’en occuperais, tu verras, j’ai quelques agréables surprises pour toi afin de te soulager de ces douleurs ! Nous voici arrivé à la première. »

Je garai la voiture et l’aida à en descendre puis je l’accompagnai dans un institut de beauté au bout de la rue, la laissant avec Vanessa, une ex avec qui j’avais partagé énormément de choses, on ne se fréquentait plus vraiment mais on savait se rendre certains services. Comme prévu, elle me laissa échanger les affaires de sa « cliente ». J’avais une heure trente de libre car je lui avais réservé un soin complet.

Pas loin de deux heure plus tard, j’étais dans la voiture à attendre Séverine, elle était sortie de la boutique habillée avec ce que je lui avais laissée et ordre de venir me rejoindre. Elle portait un simple trench clair, la plupart des boutons étaient absent et la ceinture jouait un rôle prépondérant. Le bas de l’imperméable arrivait juste à cacher le haut des bas coutures, seul autre vêtement porté : elle était nue en dessous.

Elle déambulait, fièrement, tenant la sangle pour l’empêcher de glisser. à chaque enjambés, les pans de la pèlerine s’ouvrait, laissant entrevoir ses cuisses à demi-nue. Je lui ouvrit la porte afin qu’elle puisse monter, elle le fit suivant mes recommandations et démarra aussitôt.
« -ahh merci, dit elle, cela m’a fait vraiment du bien ! Tous ces massages, ces crèmes et soins du corps !
-j’espères que cela t’as soulagé. »

J’avais entièrement reculé l’assise du fauteuil et bien incliné le dossier, ce qui fait qu’elle se tenait dans une position quasi allongé, ses longue jambes légèrement pliées restèrent écartées.

Ma main gagna son entrejambe, elle gardait les cuisses ouvertes et je pus aisément accéder à son pubis. L’épilation l’avait rendue bien plus soyeux et tout en conduisant dans la circulation parisienne, mes doigts jouait sur son bas ventre avant de quitter cette tendre région pour aller défaire la boucle du ceinturon
« - as-tu déjà touché ? Lui demandais-je
- pas encore, mais ce n’est pas l’envie qui m’en manque !
- alors qu’attends-tu ? »

Sa main se posa immédiatement à l’endroit laissé libre par la mienne, elle commença à se caresser alors que j‘ouvrait tendrement le trench, laissant apparaitre son abdomen et le creux entre ses seins.

Elle se masturba avec plus de vigueur, je pris alors dans le vide poche le ma portière un vibromasseur et lui tendis.
- »tiens, cela peut-être utile ! »

Elle s’en saisie et l’introduit immédiatement dans sa chatte trempée, le faisant coulisser vigoureusement, elle émettait des succession de feulement démontrant son plaisir.

Pour ma part, je prenais garde de longer les bus, offrant un bien joli spectacle à leurs passagers : le cabriolet ouvert avec installé à son bord une charmante passagère à moitié allongée et dont le trench en parti ouvert laissait voir sa peau délicate de son corps et en haut de ses cuisses gainées dans de bas, ouvertes, on pouvait voir un petit gode aller et venir. Un touriste put même prendre quelques clichés, durant un arrêt de la circulation, j‘essayais d‘inscrire mon E-mail sur un carton afin qu‘il le photographie également, on ne sait jamais !

Alors qu’elle atteint un orgasme, je me garais devant la boutique de vêtements.
-« j’ai prévu un resto ce soir, je t’ai choisis différentes tenues, on va voir celle que tu préfères! ».

Elle ressortit au bout de quelques minutes, son trench sur les épaules cachait sa tenue, j’en aurais la surprise plus tard. Elle se dirigea vers moi et je lui tendis un petit paquet qu’elle ouvrit.
« - une petite culotte ? Pour quoi faire ?
- j’ai pensé que cela pourra être amusant, enfiles la ! »

Elle glissa ses jambes dans le dessous de satin, le contact de cette matière sur son sexe si glabre lui procura un frisson.

Le restaurant étant proche, nous nous y sommes rendus à pied. À chacun de ses pas, la soie venait lui caresser les lèvres, faisant monter progressivement son excitation.
« -voilà, nous sommes arrivés !
-heureusement, je n’en pouvais plus, mes jambes auraient eues du mal à me porter plus ! ».

Au vestiaire, ils lui prirent son manteau, laissant apparaitre une jolie robe noir dos nu, un décolleté large et profond. Il cachait à peine l’arrondit de ses seins et descendait jusqu’au nombril. Un peu ample, on avait l’impression que les tétons pouvaient jaillir à n’importe quel instant.

La jupe arrivait à peine à couvrir le haut de ses cuisses, laissant apparaitre les jarretières au moindre mouvement. Elle capta l’attention de tous les occupants de la salle presque comble. Le maitre d’hôtel nous guida jusqu’à notre table, elle se trouvait au fond de la pièce, près d’un mur comme je l’avais précisé durant la réservation. Je laissai Séverine s’asseoir dos à la salle je m’installa contre le mur.

De cette place, je pouvait voir tous les hôtes, et quelques un retinrent mon attention.
À commencer par ce couple âgé, d’après les bribes de la conversation qu’ils avaient, ils fêtaient leurs anniversaire de mariage. C’était un petit couple bourgeois, de toute évidence outré de la tenue de ma compagne.

Ensuite, il y avait ce jeune couple d’adolescent qui me faisait face, un couple plus âgé en vis-à-vis les accompagnait. C’était de jeunes tourtereaux chaperonnés par les parents de la demoiselle.

Il y avait enfin cette petite rouquine, la trentaine à peine, qui venait avec ses parents fêter la fin d’un long cycle d’étude. Sa peau de rousse était parsemée de petites tâches de rousseur qui lui donnait un petit air coquin et juvénile. Et ses grands yeux verts ne me quittaient pas, ils semblait me dire « ben mon salaud, t’as l’air d’être un sacré profiteur ! » et on pouvait y voir somme toute un peu de jalousie vis-à-vis de ma partenaire au fond.

Notre serveur nous apporta les menus, son regard se posa sur le dos nu de Séverine et lorsqu’il lui tendit la carte, il ne put s’empêcher de plonger dans son décolleté. Elle lui sourit, d’abord poliment, puis d’un air plus polisson ensuite.

Une fois la commande passée, je pris mon Smartphone et consulta mes mails. C’était quelque chose de très impoli de laisser ainsi une si belle dame, mais j’avais bien reçu celui que j’attendais, j’ouvrais les pièces-jointes et les montraient à ma compagne alors que les cocktails nous étaient amenés. Il s’agissait des photos du touriste du car. On y voyait clairement cette femme superbe confortablement installé dans un cabriolet, la vue en contreplongée donnait un effet agrandissant son corps allongé et ne permettait pas de voir son visage, un trench-coat cachant à peine ses seins, elle tenait dans ses mains à hauteur de ses cuisses un gode en parti enfoncé dans un pubis lisse. Alors qu’elle découvrait l’image, le serviteur put la voir par-dessus son épaule, il semblait apprécier mais détourna rapidement les yeux lorsqu’il s’aperçu que je le regardait.

Elle rougit à la vue des clichés, on lui avait volé une part de son intimité !
« -imagines-toi, commençais-je à dire, ce petit pervers en train de se branler ce soir devant ces photos! ».

Le scénario parut d’abord la choquer, puis ensuite lui plaire, elle me répondit
« -gardes bien son adresse, il faudra lui en renvoyer d’autres ! »

Le repas se déroula gentiment, nous parlions de beaucoup de choses, mais nos esprits étaient souvent ailleurs ! Pour ma part, je continuais de scruter nos voisins, surtout la rouquine qui commençait à me faire de l’œil.

À chaque plat, Séverine s’amusait de plus en plus avec notre serveur, elle l’allumait grave, et lorsqu’il vint avec la carte des dessert, elle demanda :
« -2 boules chantilly, c’est possible ? »

Je pouffais, l’allégorie était osée ! Il ne se démonta pas.
« -bien sur, quel parfum ? »

Avait-il réellement compris le sens de la question, elle passa commande mais fut déçu à la vu de la coupe.
« -zut, moi qui adore la chantilly, il ne m’ont pas gâté » ,

Elle avala sa coupe et alors qu’elle raclait le fond de crème, je lui proposais :
« -si tu veux un supplément, j’en ai ! » en regardant vers le sol,

Elle compris l’allusion et doucement se laissa glisser et disparu sous la grande nappe.

Mon regard embrassa la pièce, les petit vieux étaient choqué, mais je voyais de la sympathie dans le regard de monsieur, les ados riaient en silence, la main de la jeune fille disparue sous la table et le visage du garçon se referma, il devait se passer bien des choses aussi la dessous !! Quand à la rouquine, son visage fauve respirait le bonheur d’assister à cela, elle semblait me dire « profites mon salaud » je pense qu’elle aura voulu changer de place avec ma douce qui commençait à sortir ma queue encore mi-molle, lorsqu’elle la glissa dans sa bouche encore froide de la crème glacée j’eu un frisson. Elle me lécha entièrement la verge pour la durcir, le contact froid de sa langue décuplait le plaisir et une fois bien dure elle l’enfonça dans sa bouche gelé.

A ce moment, notre garçon revint avec l’addition.
« -tout c’est bien passé ?
-parfait oui, merci »

Elle avait dû entendre car son geste se fit plus ardent et je ne tardait pas à lâcher ma jute.

Après l’avoir bien nettoyé, elle remit mon sexe en place et sorti de sa cachette, un léger filet de sperme coulait de la commissure de ses lèvres et tomba entre ses seins. Elle passa nonchalamment sa serviette à sa bouche, oubliant la goutte qui s’était posé sur sa poitrine.
« - il est charmant ce serveur, on devrait lui laisser un joli pourboire, proposa-t-elle
-pas de problème, pourquoi pas ta petite culotte ?
-bonne idée ça ! »

Sans se faire attendre, elle se tortilla sur sa chaise faisant glisser le cache-sexe le long de ses cuisses et le ramassa discrètement.

Lorsqu’il revint avec ma carte de crédit et le ticket de débit, elle lui tendit l’étoffe qu’il mit dans sa poche en ajoutant poliment :
« -je vois que madame a eu un supplément de crème, mais il en reste un peu, en montrant la petite goutte coquine.
-merci bien jeune homme, vous êtes bien aimable. elle l’essuya d’un geste naturel.
-de rien madame, bonne fin de soirée !
-merci, m’empressais-je d’ajouter en lui glissant discrètement un petit paquet dans la main, vous aussi »

En récupérant nos affaires au vestiaires, je réussi à glisser ma carte de visite à la petite rouquine.

À suivre
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