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L'apprentissage de Séverine 7

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Lue : 5383 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 22/07/2012

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Nous nous sommes alors rendu directement à mon appartement très proche, à peine rentré, nous étions déjà à poil, trop excité par cette fin de soirée au restaurant. Je l’embrassais à pleine bouche tout en passant mes mains sur tout son corps. Ses seins étaient lourds et fermes au touché, sa peau si douce et son entrecuisse si soyeux ! Je l’entrainais vers la chambre que j’avais réaménagée dans la matinée : en face de mon armoire aux portes miroirs, j’avais installé un large pouf carré entouré d’autres glaces si bien que partout où l’on regardait, on se voyait sous tout les angles. La partie supérieure d’un fauteuil aurait créée des angles mort dans les vitres et un lit aurait été trop grand.

D’abord choquée par l’agencement, la curiosité pris place, suivi par l’excitation de voir des partie de son corps qu’elle ne voyait jamais.

Je l’accompagna sur le tabouret et la fit s’assoir, elle écarta les cuisses et, accroupi devant elle, je commençait à lui lécher le berlingot, j’en avait eu envie toute la soirée de gouter à ces lèvres si douces et si sucrées, ma langue ne cessait d’aller et venir dans sa chatte trempée, passant tour à tour du clitoris aux labres.

Je sentais son regard se déplacer tantôt en face d’elle, tantôt au plafond où un énième panneau réflecteur lui permettait une vue plongeante sur la scène. Je me relevai, présentant ma tige à sa bouche, elle l’avala goulument. Nos regards se croisèrent sur le coté, on admirait le tableau tel 2 spectateurs, elle mettait sa tête sur le coté, enlevait ses cheveux pour mieux observer la pipe puis elle me laissa sa place.

Une fois assis, j’admirais tout les cotés de son corps, elle se mit à quatre pattes face à moi, reprenant la fellation avec encore plus de d’application. Je pouvais apprécier dans le miroir face à moi son superbe cul, sa rondelle auparavant si serré avait maintenant un petit vide en son centre, et je pouvais la voir s’astiquer le con entre ses cuisses ouvertes pendant que sa bouche s’occupait activement de mon membre Son majeur coulissait énergiquement entre ses lèvres ouvertes, bientôt accompagné de l’index.

Tournant à nouveau ma tête, je recroisait ses yeux. Elle matait lubriquement ma queue aller et venir dans sa bouche. Son bras opposé à la glace lui servant d’appui. J’admirai les courbes de ses seins tendus vers le sol qui balançaient au rythme des bouchées. Lentement, sa langue tourna autour de mon gland, puis descendit le long de la hampe, elle lécha mes couilles avant d’en gober une, elle la recracha et repris le manche en bouche, entièrement, une vrai gorge profonde. Tout en continuant à se mater, elle recommença.

J’humectais mon majeur et le dirigea en bas de son dos, elle se cabra légèrement afin de me laisser accéder à son petit trou. Tout en me gobant l’autre testicule, sa main quitta sa cramouille et son doigt se posa sur mon anus. Lorsque je commençait à m’introduire dans le sien, elle en fit de même.

Nous sommes rester quelques temps comme ça, à se doigter mutuellement le fion puis elle se releva et vint s’assoir à califourchon sur mon phallus dressé.

Dans cette position, je pouvais la pénétrer profondément et elle appréciait cela, mais notre champs de vision était très restreint, je la fis donc se relever et la retourna. Face au miroir, elle pouvait voir cette queue s’enfoncer en elle, elle n’en perdait pas une miette.

Elle la ressortit puis elle se bascula légèrement afin d’apposer le gland bien lubrifié par sa mouille sur sa rondelle et s’empala sur le reste de la verge. Mes mains se posèrent sur son pubis, cherchant à la fois à lui titiller l’abricot et à la doigter furieusement. Ses bras appuyer sur mes cuisses lui servait de piston et elle était hypnotisée par le spectacle qu’on voyait face à nous : un couple en train de baiser follement, elle en train de se faire ramoner le cul et lui en train de lui fouiller la chatte.

C’est à ce moment que le serveur du restaurant ouvrit la porte.

Je lui avais laissé dans l’enveloppe la clé d’un des verrous de ma porte et mon adresse, il avait compris qu’il pouvait nous rejoindre !

Surprise par cette intrusion, le premier reflexe pudibond de ma partenaire fut de se couvrir la poitrine. Tu parles, l’inconnu avait devant lui une sacrée salope avec une bite dans le fondement et les cuisses largement ouvertes laissaient voir un sexe de petite fille totalement offert alors que je tirais sur les lèvres afin d’ouvrir en grand son sexe accueillant. Il s’approcha sans rien dire, et commença à ouvrir son pantalon. Une fois au niveau du visage de mon amante, il le descendit à ses genoux et lui pris les mains.

Timidement, elle se laissa guider sur le caleçon de l’étranger et elle le descendit délicatement, laissant jaillir une bête monstrueuse.

Je savais être bien monté sans me vanter mais là, son sexe était encore au repos et il tombait jusqu’à mi cuisse ! D’une épaisseur toute aussi impressionnante, Sandrine le saisi délicatement avant de l’embrasser tendrement. D’un geste sec, l’homme lui agrippa fermement les cheveux pour la forcer jusqu’à la gorge, il balançait ses hanches sans ménagement, Séverine en avait du mal à respirer mais ne bronchait pas.

Puis il se retira, pris un préservatif dans la poche de sa chemise et l’enfila sur son membre violacé. Il n’avait heureusement pas pris celui que je lui avais préparé, il l’aurait déchiqueté ! Aprement, il présenta son chibre et le poussa au fond du vagin ouvert de la dame.

Durant ce temps, j’étais toujours confortablement enfoncé dans ses boyaux et l’arrivée soudaine de ce corps étranger dans le frêle ventre ne me laissa guère de place.

Il attrapa alors les fesses de notre amante et les souleva légèrement, me permettant ainsi de pouvoir bouger. Ce salaud avait une force incroyable ! Ensemble, nous avons alors imprimé un mouvement de va et vient, lui dans son con, moi dans son cul encore plus serré qu‘a l‘accoutumé, une grande place étant occupée par mon compère.

Nos queues butaient l’une contre l’autre au plus profond d’elle-même, je sentais les violents coups de mon acolyte butant sans vergogne le fond de son utérus.

Ses feulements faisaient places à de longs cris, son corps se tendait sous l’effet de ces deux bites enfouies en elle. Je ne tardai pas à jouir et me sentant en train de débander, mon compagnon souleva carrément ma maîtresse pour me faire décupler, il la reposa sans ménagement à la place que je venais de libérer toujours en la bourrant sauvagement. Puis il sorti de son vagin ravagé, la retourna farouchement et appuya sur le petit orifice que je venait de quitter.

Face à moi, je voyais le visage défait de ma belle, ses yeux étaient remplie d’euphorie et aussi de peur sachant ce qu’elle allait se prendre dans le cul, elle émit un petit cri de désapprobation.

Immédiatement, la main de son bourreau se leva et tapa violement sa fesse qui rougit instantanément, elle hurla de douleur, gémissement qui fut aussitôt puni de la même façon. Ses yeux se fermèrent lorsque l’énorme bitte lui détruit la rondelle. Il se mit à la labourer vigoureusement, et à chaque cri elle avait le droit à sa fessé. Afin de pouvoir occuper sa bouche pour ne plus crier, elle s’occupa de mon sexe encore flasque. Prise d’un coté, elle s’occupait de l’autre, passant sa langue sur mon chibre qui sortait de son trou à merde et l’avalât fougueusement, contrôlant sa mâchoire pour ne pas me mordre.

Voyant que je revenais aux affaires, il passa soudainement ses avant bras sous ses épaules et la souleva, m’invitant à me glisser sous elle.
Ainsi portée, Séverine eu un rictus de douleur, mais elle se mordait les lèvres pour ne pas hurler. Il s’était carrément jeté en arrière l’entrainant avec elle si bien qu’elle ne touchait plus le sol, elle était complètement accrochée à lui et dans cette position sa bite disparut complètement dans les intestins de son esclave. Je m’étais à peine mis en place, qu’il la reposa sans vergogne sur ma queue en érection, me replaçant dans la partie. Il continuait de la porter tout en la fourrant. Il était tellement ample dans ses mouvements que je n’avais pas besoin de bouger, le corps de Séverine se déplaçait sur ma hampe, sa chatte était encore trempée et ma queue sentait celle l’autre juste séparée par un étroite cloison.

Soudain, il se retira, la retourna en arrachant sa capote et des éclairs de foutre giclèrent à travers la pièce. Il se déchargea sur son visage, ses seins. Une fois son forfait accompli, il remonta son pantalon toujours à ses cheville et sorti, sans même avoir prononcé un mot, laissant tomber le corps anéanti de la douce.

Elle restait là, à genou sur le sol, inerte après tant de violence. Toujours assis derrière elle, je guettais les expressions de son visage maculé de foutre dans un des miroirs. Cela passait de la douleur à la plénitude. Elle se retourna vers moi.
« -ho mon dieu, vous sentir tous les deux en moi ! »

Elle semblait épanouie de se qui venait de se produire malgré la sauvagerie déployée lors de l’acte.

Ses cheveux noirs étaient zébrés de coulés de semence, et de grosses gouttes glissaient sur ses joues. D’un mouvement du doigt, elle les entraina à sa bouche et en délecta.
« -je crois que tu en a eu le droit aussi ! »

Quelques éjaculations avaient atterries sur mon visage, elle me nettoya délicatement avec sa langue. Je continuais à la mater dans les glaces environnante. Son trou de balle et sa chatte étaient béants. Ses fesses étaient écarlates. Malgré cela, cette petite dévergondée avait pris un pied énorme ! Je le sentais dans ses yeux.

Une fois son « nettoyage » terminé, elle vint m’embrasser tendrement, sa langue a un gout âcre, celui du foutre de notre assaillant.

Je la laissa alors aller se doucher, je ne devais pas tarder à la raccompagner au quartier où elle avait laissé sa voiture.

Je la regardais utiliser ma salle de bain, elle se délassait sous le jet d’eau chaude, laissant couler le liquide sur tout son corps. Elle tourna le robinet et se savonna. Elle passa le savon d’abord sur sa poitrine, se caressant gentiment les seins, puis elle redescendit vers son bas ventre, là, elle s’attarda sur son pelvis, appréciant le contact soyeux avec sa peau glabre. Doucement, elle effleura son clitoris puis glissa un doigt entre ses lèvres encore douloureuses des assauts qu’elles venaient de subir. Elle le ressorti et le dirigea entre ses fesses.

Son anus était encore dilaté, si bien que son majeur pouvait encore entrer sans difficulté, elle le fit tourner autour du large trou avant de le faire coulisser. Mais l’endroit semblait encore sensible, alors elle reprit ses ablutions.

Je profitai tranquillement du spectacle, elle me vit :
« -alors petit voyeur, tu veux me rejoindre ? Mais attends, je crois que nous avons des photos à faire !
-effectivement, j’ai une petite idée, sèches-toi et rejoins moi, je prépare mon appareil ! »….

À suivre
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Histoire de jeanmimel

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