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L'entraînement à la gym

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Lue : 30016 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 27/07/2011

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Il vient un temps où on se dit qu’on devrait prendre soin de soi, de son corps et de se remettre en forme. Lundi dernier, je suis allé m’inscrire à la gym afin de réaliser cet objectif. À 23 ans et aux études, on n’a pas beaucoup de temps à consacrer à l’activité physique, mais si on veut vieillir en santé, on doit faire des sacrifices. Mon entraîneur se nomme Bob. Il fait la fin trentaine, il est plutôt charmant avec ses yeux foncés et ses cheveux châtains. Et puisqu’il est entraîneur, inutile de préciser qu’il est plutôt bien en forme. Enfin, il est gentil et toujours souriant.

Lors de notre première séance, il m’a expliqué que plusieurs personnes qui débutent un entraînement abandonnent rapidement après quelques jours. Personnellement, je doutais que j’allais abandonner de sitôt. Avec un entraîneur comme lui, faire de l’activité physique devenait plus qu’agréable. J’aimais particulièrement les moments où il venait me montrer de nouveaux exercices de musculation. Mon préféré était celui où j’étais allongé sur le dos sur un banc et que je soulevais une barre fixée à des poids, bref une altère. Debout au-dessus de moi, il m’aidait à soulever la barre. J’adorais ce moment, car mon visage était à quelques centimètres de son entrejambes et vu d’en dessous, il prenait une dimension considérable. Chaque fois, j’avais envie de lâcher la barre pour lui arracher ses shorts.

Le vendredi après-midi, après une semaine d’entraînement, il m’appela à son bureau pour discuter de mon progrès au gym. C’était la deuxième fois que j’entrais dans son bureau. Je pus donc regarder plus attentivement la pièce. Sur son bureau, il y avait un cadre qui exposait une photo de famille.
- Tu as des enfants? lui demandais-je en contemplant le portrait.
- Oui! me répondit-il sans lever les yeux de son cartable. Un garçon de 6 ans et une fille de 2 ans et demi.
- Prévoyiez-vous en avoir d’autres?
- Non, ma femme n’en veut plus. dit-il en secouant la tête. Deux enfants, ça occupe beaucoup! J’aime bien mes enfants, mais je suis heureux d’avoir ce boulot. Il me permet de respirer un peu!
- Je comprends! Ça ne doit pas être facile! fis-je en hochant la tête. Depuis combien de temps êtes-vous mariés?
- Depuis 8 ans, répondit-il en continuant de griffonner sur ma feuille d’entraînement.
- Vous avez l’air très heureux, assurai-je en regardant à nouveau la photo.
- Oui, on peut dire ça, répondit-il sans grande conviction. Disons qu’après 8 ans de mariage et deux enfants, la vie de couple est largement différente.
- Que veux-tu dire, demandai-je, curieux.
- On ne sort plus souvent, on a moins de temps pour nous deux et, on ne va pas s’en cacher, la vie sexuelle n’est plus la même. expliqua-t-il en soupirant. Depuis la naissance de notre fille, ma femme et moi faisons rarement l’amour. Tu sais, un homme n’est pas fait en bois. Un moment donné, on a des besoins à combler!
- Je suis bien d’accord, c’est dommage pour vous. Lui confiai-je, sincèrement désolé. Comment combles-tu ce que ta femme ne te donne plus?
- Ah! C’est facile! dit-il en relevant enfin ses yeux de son cartable. Je m’entraîne les poignets!

Nous partîmes tous les deux à rire. Lorsqu’il eut terminé de prendre ses notes, il déposa son cartable et vint s’asseoir devant moi, accoté sur son bureau. Ainsi positionné, je n’avais qu’une seule envie : qu’il se taise et que je lui retire ses shorts. J’avais très envie de lui, mais je n’osais rien faire. Après tout, il était aux femmes et il serait sans doute si offusqué qu’il allait à l’avenir demander que je m’entraîne avec quelqu’un d’autre. Néanmoins, j’avais tellement envie de lui.

Sans trop comprendre ce qui m’a pris, je lui coupai la parole.
- Ça fait combien de temps que tu ne t’es pas entraîné les poignets?

Estomaqué, il fronça légèrement les sourcils, se demandant s’il avait bien compris. Terriblement honteux, je m’excusai.
- Je te demande pardon, je ne sais pas ce qui m’a pris …
- Non, ça va! me répondit-il en souriant. Je ne suis juste pas habitué de discuter masturbation avec mes clients!
- Ça doit! Excuse-moi, ça ne me regarde pas!
- Pour répondre à ta question, la dernière fois était hier soir dans ma douche! me dit-il.
- Trop de détails! lui dis-je en m’esclaffant de rire.
- C’est toi qui voulais savoir! répliqua-t-il en riant à son tour.
- Tu te masturbes souvent? lui demandai-je, tant qu’à discuter de ça.
- Au moins une fois par jour, dit-il en hochant la tête, mais ça peut aller jusqu’à trois fois. Ça dépend.
- Ça dépend de quoi?
- Bien je ne sais pas, il y a des jours où je suis plus excité que d’autres. expliqua-t-il en haussant les épaules.
- Et aujourd’hui, comment te sens-tu? Lui demandai-je, le cœur battant à tout rompre.
- Excité, normal. confia-t-il. En fait, aussitôt que j’aurai terminé ma journée, je vais me masturber un peu ici avant de retourner chez moi!

À ces mots, je le remerciai pour la semaine et retournai faire un peu de tapis roulant. Vers 16h, soit la fin de la journée, il me salua et retourna à son bureau. Là, je le vis fermer le store de la pièce et je devinai ce qu’il allait bientôt entreprendre de faire. Prenant mon temps, je me rendis tranquillement à son bureau et cognai. Un long instant plus tard, il vint m’ouvrir.
- Est-ce que je te dérange? Lui demandai-je.
- Non, non pas du tout! répondit-il avec une légère grimace. Qu’est-ce que je peux faire pour toi?

Subtilement, je regardai son entrejambes. La bosse était plus grosse qu’à la normale.
- Oh! Excuse-moi! Lui dis-je faussement désolé. Je vois que je te dérange …

Il regarda à son tour son entrejambes et sourit jaune, un peu embarrassé.
- Tu me prends la main dans le sac! Blagua-t-il en levant les yeux au ciel.
- Ou devrais-tu dire la main dans le paquet! Corrigeai-je.
- C’est le cas de le dire!
- N’as-tu pas envie d’autre chose que ta main sur ton paquet? lui demandai-je en souriant.
- Tu n’as même pas idée de tout ce que j’ai envie en ce moment, mais je dois me contenter de ma main! Soupira-t-il en retournant s’asseoir derrière son bureau.
- C’est dommage! Une bouche, c’est tellement plus agréable qu’une main! lui lançai-je en lui piquant un clin d’œil.
- Arrête ça, sinon je vais être obligé de me masturber direct là!
- Ça ne me gênerait pas le moins du monde!
- Moi, ça me gênerait! dit-il.

Il déposa ses coudes sur son bureau et se prit la tête entre ses mains, complètement exaspéré. Il avait l’air plutôt triste. Je refermai la porte derrière moi et me rendit auprès de lui. Je m’assis à demi sur le bureau et, le regardant d’un air navré, je déposai ma main sur son avant-bras pour tenter de le consoler. Surpris, il leva la tête quelque peu désarçonné puis il se leva de chaise en s’éloignant. Je le suivis. Sincèrement désolé, j’allai vers lui et le pris dans mes bras. À mon grand étonnement, il répondit à mon câlin. Il m’entourant lui aussi de ses bras et il me serra fort.
- Je ne sais pas ce qui me prend, me dit-il tout bas. Je ne te connais presque pas et me voilà qui te serre dans mes bras. Je n’ai pratiquement jamais pris un homme dans mes bras.
- Ça ne fait rien! Lui assurai-je en contenant mon étreinte. Tu te sens seul, c’est normal de réagir de cette façon. J’aimerais tant faire quelque chose pour toi, te venir en aide …
- À moins que tu ne sois gay, je ne vois pas ce que tu pourrais faire! dit-il en soupirant à nouveau.

Je ne sut pas s’il s’agissait là d’une blague. Alors je tentai d’obtenir une réponse. Je descendis lentement mes mains dans son dos pour ensuite les laisser glisser sur ses fesses. Il sursauta. Prenant mes mains et s’éloignant, il me dévisagea.
- Tu es gay?
- Oui, je suis gay.

Lâchant mes mains, il semblait ahuri. Il marcha dans la pièce en silence comme s’il ne savait pas quoi dire.
- Je ne prétends pas pouvoir régler tes problèmes, Bob, et je ne pense pas qu’avoir une relation sexuelle avec toi puisse régler la situation avec ta femme. Lui dis-je.
- Écoute, je n’ai absolument rien contre les gays, mais c’est hors de question que je couche avec toi, même si ma femme …
- Dans ce cas tu vas passer le reste de ta vie à te masturber derrière ton bureau? À te branler trois fois par jour? À te vider les couilles dans des papiers mouchoirs?
- Parce que tu crois que je vais te laisser me les vider? s’écria-t-il en brandissant la main dans les airs.

Ne voulant pas gaspiller mon énergie avec lui, je décidai qu’il valait mieux que je quitte son bureau et que je le laisse se débrouiller tout seul. Le lundi suivant, je retournai m’entraînai et Bob ne vint pas me voir de l’après-midi. Avant que je ne parte sur l’heure du souper, il vint cependant me voir. Il était froid et distant, j’avais l’impression qu’il était furieux. Il me fit travailler aux altères. Placé devant moi alors que j’étais couché sur le dos pour soulever le poids de la barre, je vis qu’il ne portait pas de sous-vêtements sous ses shorts. Ça me rendit mal à l’aise. Après la scène qu’il m’avait faite la semaine dernière, je trouvais que c’était déplacé de sa part d’agir maintenant ainsi avec moi. Après la barre, il me fit faire du vélo stationnaire pendant 10 minutes intenses. Il trouvait que je n’allais pas assez vite alors il me cria après.
- Pédale plus vite! Tu sais ce que ça veut dire « pédale »?

Son commentaire m’avait profondément blessé. Descendu du vélo, il me fit faire des pompes au sol.
- Fais-moi 25 pompes! m’ordonna-t-il. Je n’ai pas dit de me pomper 25 fois, j’ai dit fais 25 pompes immédiatement.

Je n’en revenais pas. Il était maintenant si méchant avec moi. Il trouvait que je n’étais pas efficace, alors il me sermonna à nouveau.
- Je vais te montrer comment faire des pompes, moi.

Il s’étendit de tout son long contre mon dos et m’ordonna de continuer.
- La prochaine fois, tu sauras quoi faire pour ne pas m’avoir dans ton dos. À moins que tu y prennes plaisir, hein? Ça t’excite que je sois couché sur toi? Imagine que je suis tout nu et que je te fourre!

En prononçant ces paroles, il donna deux coups de bassin contre le bas de mon dos et ça me dit perdre l’équilibre. Étendu sur le dos au sol, j’avais de la difficulté à respirer. Bon vint se placer à genoux au-dessus de ma tête de façon à ce que je vois son entrejambes.
- Si tu aimes trop les pénis pour t’entraîner comme un homme, tu sais où est la porte?

Puis il partit. Il avait l’air très en colère. Mais il ne pouvait pas l’être autant que moi. Je ressentais autant de colère que de déception. Il m’avait blessé à un point inimaginable. Avant de quitter le gym, j’étais résolu à lui faire entendre ma façon de penser. J’allai à son bureau sans cogner et refermai la porte avec grand fracas. Je n’eus pas le temps d’ouvrir la bouche que je le vis au centre de la pièce en train de se masturber. Ne désirant pas assister à cela, je vis volte-face et attrapai la poignée de la porte. Je ne pus l’ouvrir. Il avait bondit et appuyé la porte à l’aide de sa main. Tout le reste se passa très vite. Il me plaqua contre la porte en se servant de tout son corps. Il baissa maladroitement mes pantalons et mes boxers et m’écarta les cuisses de ses doigts. Malgré mes efforts pour me libérer de son étreinte, je n’y parvins pas. Plus j’essayais de lui échapper, plus il redoublait d’effort pour me pénétrer. Bientôt, il me prenait par derrière en m’arrachant des cris étouffés chaque fois qu’il s’enfonçait en moi.
- Tu voulais que je te baise? Tu aimes ça? Hein? Tu aimes que je t’encule? Je vais te venir dans le cul! Tu es mieux crier de plaisir, parce que je te fourrerai pas deux moi! Je vais te défoncer, tu vas voir. Je te jure qu’après ça tu ne voudras plus jamais te faire mettre!

Il me parla ainsi pendant tout le temps qu’il me violait. Pour un gars qui était strictement hétéro, il devait être franchement en manque pour violer un autre gars, mais je ne m’en plaignais pas. C’était ma faute. J’avais voulu qu’il me baise. Peut-être pas de cette façon, certes, mais j’avais voulu qu’il me prenne et vienne en moi. En quittant la gym ce soir-là, à moitié blessé et à moitié satisfait, je me promis une chose : permettre à Bob de me violer autant de fois qu’il en aurait besoin. Le temps que dura mon abonnement à la gym, Bob n’eut pas besoin de se masturber trois fois par jour. Il m’avait moi, plaqué contre la porte, couché sur son bureau de travail, agenouillé devant sa chaise et à quatre pattes sur le tapis de la pièce. Quant à mon entraînement, Bob m’assura que mes pompes étaient parfaites!
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