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L'initiation

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Lue : 63084 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 26/06/2013

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L’initiation. Quel ne fut pas mon étonnement lorsque Flora une vague petite cousine par alliance me prit à part lors d’un dîner de famille, elle m’entraîna dans le jardin boisé loin de la fête, elle semblait vouloir me dire quelque chose

« Monsieur Michel, j’ai un grand service à vous demander ! »
« Mais oui ma grande si cela est possible ! »
« C’est que c’est difficile à demander.....voilà plusieurs mois que j’hésite ! »
« Plusieurs mois ! Diable ! Ce n’est pas le Pérou par exemple ! »

Elle était là devant moi, hésitante, qu’elle était belle, qu’elle était grande, avec sa jeunesse, son corps parfait, son petit ventre plat, bien lisse que les vêtements ne cachent plus chez les jeunes de maintenant. Son regard, ses yeux clairs semblaient m’implorer. Je me mis à penser qu’elle avait fait une bêtise et qu’elle avait besoin de mon aide, de mon argent peut être !. Elle me faisait envie, que c’est dommage de devenir vieux ! Je ne l’avais pas revue depuis que ses parents l’avaient mise en pension d’où elle venait de sortir le bac en poche.
« Non c’est mieux que cela...c’est..... »
« Parle ! n’es pas peur ! »
« Allez, je me jette à l’eau ! »
« Non, ne fait pas de bêtise, te jeter à l’eau... non ne fait pas cela ! »
« Vous êtes gentil, non c’est une manière de parler.....j’aimerai....j’aimerai faire l’amour avec vous....j’en rêve...depuis un an au moins quand j’étais cloitrée en pension et plus encore depuis ma sortie. Je suis enfin libre, vous comprenez çà ?»

En disant cela elle me regardait d’un air pathétique le plus sérieusement du monde. Sans ce regard je me serais demandé si elle ne se moquait pas de moi ou si c’était un gage qu’on lui avait infligé.

« Mais tu n’y penses pas Flora, je suis une vieille baderne pour toi et il y a tant de jeunes gens qui ne demanderont pas mieux que de te satisfaire. Fait seulement attention de bien te protéger et de choisir un brave garçon ! »

« Je reconnais bien là votre gentillesse, c’est pour cela que j’ai pensé à vous, avec des copains je n’ose pas, j’ai peur, j’aurais honte de leur demander, avec vous j’aimerais, oh oui j’aimerais ! si vous vouliez »

En disant cela elle m’avait pris la main dans la sienne et elle me serrait. Interdit, troublé je ne disais mot :
« Vous m’apprendriez, vous me guideriez.. vous.... »
« Je t’apprendrais, je t’apprendrais....tu veux dire que.. »
« Que je suis vierge ? oui je le suis et alors, cela vous gêne ! »

Elle avait un air sauvage brusquement

« C’est pour cela, vous avez l’air doux et gentil vous m’initieriez, vous m’apprendriez tout, je vous serais éternellement reconnaissante.....et puis je vous trouve bien, beau, solide, je vous ai observé, écouté, une fois même je me suis plaquée sur vous »

« Je m’en souviens, il y avait beaucoup de monde ce jour-là et je n’ai pas deviné votre intention, mais je m’en souviens en effet, je ne suis pas de bois »

« Et puis il me semble que vous n’êtes pas insensible aux femmes, surtout si elles sont belles »

« Bien observé mais tu n’es qu’une très jeune fille, jolie mais jeune, trop jeune pour moi »

« Les femmes vous aiment, vous désirent, pourquoi pas moi, j’ai entendu une conversation entre ma mère et des amies, elles disaient en parlant de vous : s’il voulait je me le farcirais bien »

« Est-ce possible ? …..tu m’ouvres des perspectives !»

« C’est pourtant vrai, moi par la pensée j’ai déjà couché avec vous et... »

« Ah non....non.... »

« Si ! Par la pensée seulement et malheureusement quand je fantasme dans mon lit »

Au cours de cette troublante conversation dans le jardin où les parents de Flora avaient organisé cette réunion entre amis et famille, nous nous étions un peu éloignés dans les bosquets et la musique du bal organisé à cette occasion nous parvenait en sourdine.

« Asseyons-nous sur ce banc et essayons de mettre un peu d’ordre dans nos idées, veux tu ? »

« Oui, de l’ordre et du désordre »

« Vous êtes donc vierge ? »

« Oui ! »

« Mais tu fantasmes seule »

« Oui ! surtout depuis que j’ai pris la décision de te parler »

« On se tutoie donc, c’est mieux, bon, tu nous imagines comment ? »

« Tu me serres fort contre toi et tout chavire autour de moi ! »

« As-tu déjà atteint l’orgasme ? »

« L’orgasme ? »

« Oui, jouir, jouir si tu veux, c’est être envahie d’un plaisir intense dans tout le corps, le corps et la tête, cela part du ventre, durcit les seins et on perd tout contrôle. On peut dans ses moments-là, gémir, crier son bonheur, se tordre en tous sens. As-tu ressenti cela ? »

« Non, on m’a dit de me caresser la vulve, je le fais, je suis bien, mais pas comme tu me l’indiques »

« Tu ne t’es jamais masturbée ? »

« ........ ? »

« Avec un ou plusieurs doigts ...ou avec autre chose ? »

« Autre chose, non, avec les doigts oui »

« Bon n’en parlons plus, d’ailleurs je n’ai pas l’intention de te dévergonder, de.. »

« Si....si parlons-en au contraire, je découvre déjà des choses, je comprends maintenant ce que disait Christine à Nadine, elles parlaient de bougies et Nadine disait que cela ne valait pas un gole ou un gode j’ai pas bien compris »

« On dit un gode, en réalité un godemichet ou un sex-toy qui est une reproduction d’un sexe masculin en caoutchouc ou en plastique.. Cela sert au femmes pour des plaisirs solitaires, elle peuvent le sucer, le caresser et ta Nadine doit se l’introduire dans sa chatte et se branler avec...on peut jouir si on fantasme, si en fermant les yeux on pense que c’est le sexe d’un homme qui s’agite entre vos cuisses »

« Apprends-moi encore, je veux jouir avec toi, tu connais tout, tu as l’expérience, la gentillesse ! »

« Il n’en est pas question, d’ailleurs quel âge as-tu ? »

« Je suis majeure depuis sept jours, Si c’est cela qui t’empêchait de dire oui regarder ma carte d’identité, si, si regarde je ne mens pas., s’il le faut je prendrais la pilule, j’imagine que tu n’as pas le sida ; tu vois rien ne nous empêche de faire l’amour »

« Mais pourquoi ne vas-tu pas avec tes copains, ce serait plus normal »

« La plupart de mes copines qui en parlent dise que pour l’amour rien ne vaut un.. »

« Un vieux ! dit le, un vieux con ! Et tu m’as choisi...merci »

« Pardon, non nous pensons à une personne expérimentée, nos copains sont comme de jeunes chiens paraît-t-il d’après Nadine qui n’est plus vierge, elle »

« Mais avec un homme d’âge mûr n’as-tu pas peur d’être pervertie, faire l’amour est une expression trop simpliste qui recouvre une infinité de possibilités dont certaines peuvent être considérées comme honteuses par de jeunes filles fraîches et pures comme toi... »

« Je ne veux plus être pure, j’ai trop attendu Michel; maintenant je suis majeure, libre, fais-moi tout connaître, apprends-moi tout, j’ai hâte »

« Tu dis cela mais tu seras sans doute effrayée par la grosseur et l’aspect de mon sexe... »

« Non ! J’en ai vu des énormes à la télé, en douce quand mon père regarde un porno »

« Sais-tu qu’avec l’âge il se développe et n’a rien de comparable au sexe des jeunes chiens comme tu dis »

« Dans mes fantasmes je rêve d’un gros sexe écartelant ma chatte, comme dans les films porno que je regarde en douce…..tu me dis non mais je sens que tu en as envie, je sens faiblir ta volonté de me respecter, avoue que pour toi aussi ce serait un bon moment, je suis belle, bien foutue, ardente je ferais tout selon tes volonté, tu me ferais connaître tout.... »

« Arrête Flora, tout ce que tu dis est vrai, tu es désirable....tu as un beau petit cul...si..si j’ai remarqué tes jeunes seins, ils sont fermes et dressés, je saurais te caresser, Je... »

« Tu saurais. ?..tu sauras....tu craques Michel...c’est donc oui....Youpi....alors où ? quand ? vite.. j’en ai mal d’attendre »

« Doucement, doucement, pas si vite, du calme, il te faut me connaître avant »

« Mais je te connais, nous sommes voisins depuis plus de quinze ans.... »

« Il faut que tu connaisses mon sexe, ma verge, mes couilles, je ne veux pas te faire hurler de stupeur ou d’horreur par la suite. Là on est tranquille, personne peut nous voir, tu veux voir mon sexe ? »

« Oui Michel je suis curieuse de le voir, de le toucher….oui »

« Bonn d’accord…..j’ouvre mon pantalon…..donne-moi ta menotte…oui…., glisse tes doigts dans l’ouverture….tu la sens. ?....caresse la....comment la trouves tu ? »

« Grosse et chaude.....mais elle gonfle sous mes doigts....elle durcit »

« Attends je rabats mon boxer, je la sors……tu la vois ? »

« Oui je la vois, elle est grosse ! Elle est belle…bien lisse »

« Elle se décalotte aussi, prends la dans ta main….oui….branle moi....oui....doucement....tu t’y prends bien tu sais ? «

« J’en ai tellement envie Michel, elle est chaude…elle rougit… »

« C’est normal elle se gorge de mon désir, de mon sang….. »

« Ah merci , si tu savais comme j’ai envie….. »

« Je vais voir si tu as vraiment envie de moi….prouve le moi….. »

« Comment Michel ? »

« Penche toi sur moi et embrasse mon gland »

« Tu veux que je le prenne dans ma bouche ? «

« Oui juste pour me faire voir que cela ne te dégoûte pas. »

« Mais non elle ne me dégoûte pas, ne m’effraie pas malgré sa grosseur….tiens regarde…. »

« Oui c’est çà…..tu as compris……aller prends en un peu plus……agite ta langue….oui tu comprends vite….

« mmmme ! »

« Fais la bien glisser entre tes lèvres…..mets ta salive……caresse moi les parties …..oui….ouiiiiii…..tu es douée…..attends…..non…nonnnn….lâche moi ! »

« Pourquoi, je t’ai fait du mal ? »

« Non, au contraire, mais je ne veux pas jouir dans ta bouche…..enfin pas aujourd’hui… »

« Oh si…… jouis je le veux bien….. ah nonnnn….. Tu te rajustes, j’aime bien ton sexe, il est gros et dur, mais il est bien lisse, bien doux, je l’imagine bien dans ma chatte ! C’est la première fois que je suce ….merci »

« Et dans ton petit cul ? Tu l’imagines aussi ? »

«Dans mon cul, cela se fait aussi ? »

«Oui quand on s’entend bien !, mais je te sens décidée Flora

« Tu n’en doute plus ?

« Non….tu sais, j’irai doucement pour te dépuceler et j’espère que cette première expérience restera un bon souvenir pour toi, mais si comme je le pense tu es une jouisseuse cela devrait aller. Après la première fois le plaisir est de plus en plus intense, mais j’y pense, je pense à toi, à ta chatte, as-tu un sexe fleur ou un sexe fruit ? »

« ??? Que te dire ? »

« Tu permets, tu veux que je regarde ? oui…. avance toi un peu....écarte tes cuisses....j’écarte ton petit slip.... ouiiii…..tu as un petit duvet de jeune fille, c’est normal à ton âge....tu as de grosses lèvres.....je remonte un peu.....je sens ton clitoris ... il est bien formé...avec lui tu devrais bien jouir quand je le caresserais avec ma langue....veux-tu que je prépare un peu le terrain ?..... »

« Aie ! ! ! ! »

« Voilà c’est fait, tu n’auras désormais que du plaisir, mon majeur t’as dépucelé, regarde il y a une goutte de sang »

« Tu veux dire que je suis dépucelée ?

« Oui…tu sais …c’était déjà un peu ouvert…..tu as du te masturber…. ! »

« Oui en pension, je le faisais…..merci Michel…on se voit quand ? «

« Il faut que nous soyons tranquilles, je propose que tu viennes chez moi dans ma chambre, un bon lit douillet pour la première fois c’est bien….quand peux-tu venir ? »

« Au plus tôt, tes caresses m’ont excitée je n’ai plus de patience....demain si tu veux vers dix heures »

« D’accord la porte sera ouverte »

« A demain on se quitte, laisse-moi t’embrasser ! »

« .......Championne du patin, demain je te ferais championne de l’amour »

« Vivement demain, la nuit va être longue »

« Pense à mon gros sexe, il est prêt pour toi, pour ta chatte fruit, celle des grandes amoureuses »

« A demain Michel ! »

« A demain Flora ! »



Je la vis rejoindre sa maison et des yeux je suivis le balancement de ses fesses, et avant qu’elle ne disparaisse au détour de l’allée elle se retourna et je lus un baiser sur ses lèvres. Je devais rêver ! Que cette jeune beauté me demande comme un service de lui faire l’amour. J’avais résisté malgré l’effet qu’elle me faisait ; mais elle avait l’air d’y tant tenir que j’aurai été le pire des idiots de ne pas la contenter. Demain serait un grand jour pour elle et pour moi.

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La nuit avait été longue, je m’étais levé tôt pour me préparer, rasé, douché je sentais bon. Nu, j’avais revêtu ma robe de chambre japonaise en soie. J’étais un peu fébrile quand elle fit son apparition, elle entra, repoussa la porte d’entrée et ostensiblement poussa le verrou


« Je suis libre jusqu’à demain, si tu veux ? »

« Tu es toujours décidée....oui... alors viens près de moi »




Elle se blottit contre moi et je la serrais dans mes bras, elle était grande, nos visages étaient proches, nos bouches se joignirent, ouvertes et je pris délicatement sa langue dans la mienne. Elle était douée et sa langue agile, je commençais à lui caresser le dos, je la sentis frémir quand je lui pinçais la taille.




Elle avait une jupe en tissu léger et soyeux et quand je lui pris les fesses j’eus l’impression qu’elle était nue en dessous. Jamais je crois n’avoir eu de si belles rotondités à pétrir, les doigts perdus entre les deux volumes bien ronds, ouverts sur une raie du cul bien dégagée. Quand je mis une main dans son corsage je fus surpris par le volume et la fermeté de ses seins, ils étaient nus eux aussi, sans soutien dont ils n’avaient nul besoin. Je les pris un par un, délicatement, mes doigts tournant autour des mamelons, rapides, aériens, mon visage dans son cou.




Cela sembla lui plaire et j’alternais la caresse avec les doigts et avec ma langue. J’avais ouvert son corsage sur sa jeune poitrine, je m’aperçus qu’elle appréciait quand je les pressais fort dans mes mains car elle commença à se plaquer sur moi et à onduler son ventre sur le mien. J’ai toujours aimé les femmes qui jouissaient par les seins elles s’avérèrent toutes au fil des caresses des amantes passionnées.




J’insistais donc tout en l’embrassant dans le cou, en mordillant ses épaules. Elle s’agitait de plus en plus en gémissant et quand tout en continuant à embrasser ses seins une de mes mains remonta entre ses cuisses et doigts en avant empaumèrent sa chatte sur sa jupe elle poussa un petit cri. Je sentais bien sous le fin rempart sa grosse mangue que j’avais découverte la veille, je sentais ses grosses lèvres charnues glisser l’une contre l’autre.




Sans abandonner ce fruit, petit à petit je fis remonter sa jupe, si bien qu’à un moment passant par dessous ma main fut directement sur sa vulve. Je ne m’étais pas trompé elle n’avait pas de culotte et sa chatte était toute trempée. Je commençais alors une caresse que je sais jouissive, caresse enveloppante de tout l’entrecuisses, le ventre, les cuisses, la chatte, la raie des fesses, l’anus un peu après l’avoir oint de son miel , en m’enfonçant j’écartais les fesses pour mieux revenir me vautrer à l’avant et quand je la sentis bien prête sur le point de jouir je la pénétrais d’un doigt et lui fit une petite branlette.




Flora était bien, je le sentais, je le voyais, je le savais, elle se prêtait à mes caresses, discrète elle devait être à l’affût des sensations nouvelles qui envahissaient son corps pour la première fois. Au fil des caresses elle m’avait aidé à quitter ses vêtements qui se limitaient à sa jupe et son corsage, elle était nue dans mes bras, caressée de partout elle prit cependant l’initiative de me saisir la verge sous mon peignoir la main agrippé sur ma hampe, elle vit ainsi l’effet qu’elle me faisait.




Je me débarrassais de cet encombrant rempart et nous étions nus tous les deux, mais maintenant elle me caressait elle aussi. Nus, enlacés je l’entraînais dans la chambre et je la ployais en travers du lit et l’allongeais, j’étais sur elle et elle devait sentir ma queue entre ses cuisses. J’entrepris une ultime préparation, préambule qui amène mes amantes à la limite de l’acceptable pour celles qui veulent enfin se faire baiser.




Je me décalais progressivement vers l’arrière, mes mains, ma bouche émigrant de sa bouche vers ses seins, contournant la taille mordillée pour le ventre, les hanches et les fesses pour enfin bouche ouverte dans l’entre cuisses introduire ma langue dans le vagin. Alors là, en relevant les jambes en appui sur la couche, mes deux mains malaxant les seins je fus tout à mon aise pour lutiner sa chatte, son clitoris, l’intérieur de ses cuisses, et en la relevant un peu plus je pus lécher son petit cul bien serré.




J’aspirais ses petites lèvres en les faisant rouler dans ma bouche. C’était le moment, elle était prête, Je l’allongeais comme il faut et m’installais entre ses jambes, je la pris sous les fesses pour la soulever un peu. Flora me dévorait des yeux, elle avait compris que c’était l’instant, le moment de sa vie qui resterait gravé dans sa mémoire.




Je lui souris en m’approchant, elle du sentir mon gland coulisser facilement entre ses lèvres lubrifiées, je le faisais aller et venir sans m’arrêter dans la faille de son sexe. Quoi de plus doux qu’un gland pour caresser cet endroit si sensible, décalotté, gonflé de mon désir il se frayait un passage entre l’anus et le clitoris. Flora était attentive, elle avançait son ventre pour mieux se prêter à cette caresse intime.




A plusieurs reprises elle devait sentir ce corps chaud se centrer sur sa vulve et ne faisait rien pour se retirer et quand il resta en place elle s’ouvrit en gémissant. Alors insensiblement la queue bien centrée je m’avançais les mains agrippées sous ses fesses, je l’attirais vers moi je rentrais mon gland, je le ressortais pour mieux revenir, de plus en plus pressant de plus en plus profond, mon gland avait maintenant disparu entre ses lèvres, je guettais le visage de Flora, son regard me brûlait, la moitié de mon sexe était en elle, le plus délicat était fait je le savais et restant en place je la laissais faire à son gré.




Son souffle devint court, elle se mit à gémir et commença à onduler en avançant son ventre vers moi, elle s’empalait de plus en plus sur mon pieu, je sentais sa craquette s’ouvrir et se resserrer sur mon membre. Dans un grand cri elle s’enfonça, nos deux ventres soudés et à ma grande satisfaction son orgasme éclata violent je participais alors en me branlant laissant mon sexe aller et venir de toute sa longueur dans sa chatte.




Elle était comme folle , je lui pris les seins ,je malaxais ses fesses, d’un doigt je titillais son anus et quand je le pris en enfonçant le petit doigt cela la transcenda et les yeux dans le vague elle fut saisie de soubresauts incontrôlés.


« Flora je vais jouir moi aussi, tu es bien ? »



Elle n’eut que la force de me dire


«Viens chéri, viens ! »


Alors j’eus ma récompense et je me laissais aller et au fond de son vagin elle du sentir le jet puissant de mon sperme tiède. Elle chavira et ma queue lubrifiée accéléra la cadence en la pistonnant très fort très vite et très profond, elle devait sentir mes couilles battre son cul, ses seins étaient durs comme de la pierre. Je m’activais pour la servir en prenant mon temps et quand je la sentis revenir à la réalité je restais en-elle simplement allant et venant doucement pour qu’elle retrouve son calme et son sourire. Alors seulement je me retirais. Elle se pelotonnât contre moi son visage au creux de ma poitrine


« Merci, merci, merci, chéri, je sais maintenant ce que c’est de jouir. Comme j’ai bien fait d’oser te demander de me faire l’amour. Tu as fait de moi une femme. J’ai aimé tes caresses, ta délicatesse, mais aussi ta grosse queue bien douce, je n’ai eu que du plaisir, même ton petit doigt dans mon cul m’a fait du bien, je ne savais que serrer de lui ou de ton sexe. Mais étais tu bien toi aussi ? »

« Merveilleusement bien, quel beau cadeau tu m’as fait, j’ai résisté quand tu m’as fait cette incroyable demande mais si tu savais comme la belle jeune fille que tu es m’excitait, tu as tout pour toi, grande, belle, un cul et des seins de reine et puis surtout tu es une amoureuse, tu vas être heureuse maintenant que tu es débarrassée de ta virginité, tu vas en faire jouir plus d’un sais-tu ? »

« Merci encore, mais je veux profiter de la chance d’être à toi, je veux jouir encore, fais-moi tout connaître, toutes les sensations, tu sais j’ai jusqu’à demain ! tu es heureux toi aussi ? »

« Tu es belle Flora viens dans mes bras »




Nus tous les deux, sans pudeur nous conversions joyeusement en prenant une coupe de bon champagne, elle me confia :


« Dès le premier instant j’étais bien dans tes bras, tes caresses dans mon cou, sur mes seins, tes mains sur ma chatte....J’avais du plaisir et j’ai senti que je me mouillais, encore lucide je me félicitais de t’avoir choisi. Quand tu m’as allongée sur le lit et que ton visage a disparu entre mes cuisses j’ignorais le bien que ta bouche pouvait me procurer, je trouvais même bizarre cette façon de faire, mais ta langue m’a tout dévoilé, sa caresse subtile entre mes lèvres, son insistance à forcer ma vulve et cette pointe qui frôlait mon anus,



j’ai commencé à jouir surtout quand tout en me suçant tu as pris mes seins dans tes mains. Je me suis dit que c’était bon de jouir ainsi d’un plaisir jusqu’alors ignoré. Quand tu t’es mis à genoux entre mes cuisses je me suis demandé si me prendre ainsi allais m’apporter plus de plaisir ou au contraire me faire du mal inutilement, j’étais inquiète, mais quand j’ai ressenti la douceur de ton gland sur moi, cela m’a rassuré, ta manière délicate de me prendre sous les fesses pour m’ouvrir un peu m’a bien préparée, petit à petit j’ai senti que tu entrais en moi, tu as pris ton temps, j’étais bien, serré sur ton membre que tu faisais aller et venir doucement alors l’incroyable s’est produit, insignifiants les petits plaisirs des caresses, d’un coup je fus envahi d’un plaisir fulgurant, c’est tout juste si je voyais ton visage, ton regard, le plaisir était si fort que j’ai cru m’évanouir, des étoiles plein les yeux.


Je me suis sentie alors pistonnée jusqu’au plus profond de mon être, les grands coups de boutoir de ton sexe bien à fond, tes couilles qui battaient mon cul, mes seins pétris vigoureusement, tes mains sur mes fesses qui m’attiraient en toi, j’ai perdu alors conscience et je me suis abandonnée à l’orgasme, je comprends ce mot maintenant, c’est le summum du plaisir.


Et puis il y a eu le moment où tu m’as rejointe dans l’ivresse du plaisir j’ai senti au plus profond de mon ventre la puissance de ton jet, sa tiédeur, ton miel qui rendait encore plus délicate la sensation de nos deux sexes accouplés. Cette inondation inattendue et aussi la joie de te faire jouir moi aussi a décuplé si c’est possible mon intense plaisir.


Mon Michel tu as bien su faire, tu m’as bien baisée, tu m’as bien fait jouir, je ne te dirais jamais assez ma reconnaissance et tu vois j’ai encore envie de connaître ces instants merveilleux.


« Je suis content de voir que tu as aimé ce moment, mais le bonheur a été partagé si tu savais comme c’est bon d’avoir dans ses bras une belle jeune fille comme toi, d’être l’artisan de l’éveil de ton beau corps de caresser ta chair ferme et douce, d’embrasser partout ta peau parfumée, ton ventre, tes fesses magnifiques, mais ne me remercie pas top, le plus heureux c’est moi ! »

« J’aimerai te donner du plaisir moi aussi, mais je ne sais ? »

« Plus tard quand tu aimeras un garçon et que tu voudras lui prouver que tu tiens à lui, avant qu’il ne te baise faits lui une bonne fellation ! »

« Une fellation ? »

« Une pipe comme on dit vulgairement ! »

« Explique moi, je t’en prie, je suis venue pour apprendre »

« Et bien une fellation, on dit aussi une gâterie et le mot n’est pas trop fort c’est s’occuper du sexe de son amant, de le caresser avec les doigts avant de le prendre dans sa bouche, le lécher, et le branler en en prenant le plus possible les hommes adorent cette preuve d’amour, la femme ne trouvant que le plaisir de satisfaire leur homme ! »

« Mais non Michel, tu te trompes, si tu savais que pour moi te caresser, te sucer la verge c’est un cadeau que tu me fais, je vais adorer si tu me laisses lui faire ce dont j’ai envie. Je l’aime , je la trouve belle….promets-moi de ne rien m’expliquer de ce que tu aimes…laisse-moi faire…..tu veux ? »

« Oui…. »

« Maintenant ? »

« Alors revenons dans la chambre Michel, j’ai vu un miroir »

« Oui et alors ? »

« Je veux nous voir, je suis excitée rien qu’à l’idée de nous voir nus tous les deux




Je ne laissais pas paraître mon émoi et la satisfaction, c’est la première fois qu’une amante semblait heureuse de réaliser mon fantasme. Debout face à la grande glace je lui dis de se mettre à genoux sur le tapis face à moi. L’émotion faisait que ma verge s’était raidie et décalottée se dressait fièrement, je la guidais et en bonne maîtresse elle fit tout ce dont je rêvai.


« Caresse moi d’abord, frôle là simplement, ouiiii.... caresse mes couilles aussi par dessous »

« Elle est rudement grosse, laisse-moi la regarder....ainsi c’est le bout de ta queue qui tout à l’heure a forcé le passage.... Dire que j’ai absorbé toute cette verge dans ma chatte et que je n’ai ressenti que du plaisir »

« Commence à sortir ta langue...oui..... Lèche mon gland, enduit ma verge de ta salive....oui....bien par dessous »

« Elle grossit encore en se redressant ! »

« C’est qu’elle aime ça, elle aime ton beau minois, ta bouche…. ta bouche qu’elle aimerait gourmande, ouvre tes lèvres prends là et branle bien ma queue en même temps »

« C’est marrant ta peau elle bouge sur ta verge, j’arrive à recouvrir ton gland, tu la sens qui joue à cache-cache avec le bout de ta queue »

« Oui je le sens et j’aime ce que tu fais, aller prends la bien dans ta bouche, arrondi bien tes lèvres autour de moi, laisse-moi aller et venir Ahhhhh c’est bon...tu suces bien....prends en le plus possible....ouiiiii c’est bien....mouille un de tes doigts ....passe ta main dans la raie de mon cul.....fais-moi une petite enculette....oufffff ouiii .....ralenti sinon je vais jouir dans ta bouche »

« Ne te gêne pas jouis, jouis je le veux ! »

« Noooooon ! viens ! »




Sur le point de jouir je l’entraînais sur le lit, l’allongeais à mes côtés mais en sens inverse et là elle comprit tout, elle me reprit goulûment dans sa bouche mais la grosse différence c’est qu’écartant ses cuisses j’avais plongé bouche ouverte sur sa cramouille. J’avais rabattu ces cuisses sous mes bras, j’appréciais sa souplesse et dans cette position écartant ses fesses admirables je pus honorer de ma langue, de mes lèvres sa chatte son cul et son clitoris qui s’éveilla lui aussi au plaisir.



Elle aussi s’en donnait à cœur joie et je crus à un moment qu’elle prenait entièrement ma verge dans sa bouche, je sentais sa langue s’enrouler autour d’elle et cela empira quand je compris qu’elle recommençait à jouir ; son ventre, ses fesses s’animèrent de contorsions grotesques pour qui, comme moi, n’était pas en situation .




J’allais jouir moi aussi je sentais qu’elle m’aspirait ;il fallait qu’en amant imaginatif je l’initie à d’autres jeux ; après le soixante-neuf que nous pratiquions avec maestria, sans lui laisser le temps de comprendre je m’écartais, l’entraînait au bord du lit, à genoux, le buste en appui sur le lit face au miroir et sans un mot lui écartant les fesses je glissais mon sexe dans sa chatte humide et la baisais en levrette, les mains sur ses hanches je l’attirais et la repoussais en de gigantesques branlées à la longueur de ma queue, je sortais pour mieux la reprendre et bientôt nos ébats furent rythmés par le claquement de mon ventre sur ses fesses et par ses cris de plaisir à chaque fois que je la pénétrais, je me penchais sur elle et à deux mains je lui pris les seins qui dodelinaient en cadence comme deux fous.




Tout en la baisant au milieu de ses fesses je fixais son petit trou cerné de bistre, il participait à la fête en se contractant et en s’entrouvrant un peu. Flora était en pleine orgasme et je le fis durer en variant l’angle de mes pénétrations, elle n’était qu’une plainte et au bout d’un long moment n’eut plus la force de rester dans cette position . Elle s’écroula doucement sur le côté et je la suivis derrière elle mon sexe toujours en place.




La position était plus reposante elle avait croisé ses cuisses comme si elle marchait à grande enjambées et je pouvais toujours la forcer bien à fond, une main passée sous elle lui triturait les seins tandis qu’avec l’autre passée par devant avec mes doigts j’excitais ses petites lèvres, le nid de son clito, elle se mit à jouir si fort, à s’agiter si violemment que je ne put me retenir de jouir et j’éclatais en elle puissamment. Ma verge ainsi lubrifiée par sa semence devint plus douce dans son étui et le sperme refoulé inondait sa raie des fesses. Ses cris s’adoucirent et je sentis qu’elle reprenait pied mais épuisée elle devint flasque avant de s’endormir. La queue toujours en place je me plaquais sur elle, sur ses fesses et à mon tour je plongeais dans le néant ma main entre ses seins.





Est-ce la lumière du matin qui filtrait au travers des persiennes ou la présence de Flora lovée à mes côtés qui m’éveilla ? Peu importe, j’étais bien dans la tiédeur des draps. Je sentais les caresses de ses mains sur moi, la douceur de son corps derrière moi qui épousait le mien, cela devait durer depuis un moment et sans réagir je fis semblant de dormir pour l’encourager à poursuivre.




De sa main libre elle palpait ma poitrine, ma taille, mon ventre, mes fesses où elle s’attarda ses doigts entre les deux lobes. Je sentis qu’elle s’enfonçait entre mes cuisses légèrement ouvertes et quand elle empauma mes couilles j’eus un mal fou à rester immobile. Encouragée, curieuse sa main pris ma verge et l’agita doucement, je me sentis bien et insensiblement entre ses doigts je me sentis grossir. Elle me reprit par devant et fut plus à l’aise pour branler doucement ma queue raidie. Je l’aidais en me mettant sur le dos en grognant comme on le fait quand on dort vraiment.




A mes côtés Flora me délaissa quelques instants pour s’assurer sans doute que je dormais toujours. Avais-je bien fais de bouger ? Allais-je être privé de ses caresses ? Je souris intérieurement quand je sentis sa main sur mon ventre avant de reprendre mon sexe dressé maintenant, sa main agrippée sur ma hampe elle me branlait doucement faisant jouer sa peau sur mon gland. Les yeux fermés je sentis un peu de fraîcheur et compris qu’elle avait relevé les draps. Dans la pénombre elle pouvait me voir, voir ma queue raide et gonflée dressé à la verticale sur mon ventre.




Je devinais qu’elle s’activait et compris sa posture quand je sentis ses cuisses de chaque côté de mes hanches. Mon sexe fut repris en main je sentis une pression sur mon gland avant de sentir une douce tiédeur autour de ma queue. C’est Flora qui seule cherchait son plaisir à califourchon sur moi. Je restais toujours de marbre malgré le bien être qui envahissait mon ventre. Je sentais les lentes montées et descentes de sa chatte sur mon pieu, elle ne put rester longtemps si délicates, je sentis son souffle s’amplifier, sorte de sifflement, des plaintes naquirent de ses lèvres, le rythme augmenta, elle semblait ne plus se soucier de trouver son plaisir à mon insu ; au travers de mes paupières closes je voyais son visage tourmenté par la jouissance, le buste dressé elle s’empalait sur moi à grands coups de boutoirs ; à fond elle se vautrait sur mon ventre tordant ma queue dans sa chatte en furie, ses fesses écrasées sur mes cuisses.




Je fis mine de me réveiller et mon ventre alla à la rencontre du sien je lui pris les seins, je la fis danser sur moi, la faisant retomber brutalement ma queue bien à fond de sa vulve, comme folle elle s’écroulât en avant sur moi et me laissa le soin de maintenir son bonheur par d’énormes avancées de ma verge. Insensiblement elle s’apaisa et se dégageant roula à mon côté. Je la laissais retrouver son calme. C’est elle qui parla en premier


« Est-ce possible de jouir autant ? Pardonne moi, tu dormais et j’ai eu envie de toi, je t’ai caressé et quand j’ai vu l’effet que je te produisais je t’ai enfourché et c’est moi qui t’ai guidé dans ma chatte, si tu savais comme j’étais bien avant que tu te réveilles ? »

« Tu as bien fait, la femme ne doit pas être qu’un jouet dont on profite, il faut qu’elle s’affirme sans honte dans le jeu sexuel et se laisser aller à ses fantasmes, pour le bien du couple d’ailleurs, c’est comme cela que tu retiendras un homme »

« Qui te dis que c’est mon souhait ? Tu m’as initiée au plaisir et je me sens un appétit féroce, un besoin de découvrir, de changement, tu n’es pas jaloux de mes projets, de mes envie de baisers avec.... »

« Jaloux ! Non, je suis heureux au contraire d’avoir su répondre à ton attente, mais je comprends maintenant que tu as un peu d’expérience ton désir de faire l’amour avec des jeunes de ton âge. Pour en revenir à ce matin quand j’ai ouvert les yeux tu jouissais sur moi, sans moi.. »

« C’était bon et toi tu étais bien ? »

« je suis heureux de te baiser chère enfant, tu es belle, ardente, inventive, voilà longtemps que je n’avais joui aussi intensément... merci.. Mais si avant de nous séparer nous prenions une bonne douche ? »

« Bonne idée allons ! »





Je la guidais vers la salle d’eau, vaste pièce tapissée de glaces qui renvoient notre image tout azimut. Nus tous les deux, enduits de mousse, pressés l’un contre l’autre nos corps glissaient, chacun soucieux de faire du bien à l’autre, nous avions l’occasion de nous voir enlacés et nous formions le couple un peu bizarre d’une jeune beauté avec un homme d’âge disons mûr


« Tu n’es pas mal foutu ! » me dit-elle comme pour répondre à ma réflexion sur l’étrangeté de notre image

« En plus tu es doué pour donner du plaisir, regarde ton infatigable sexe comme il a l’air en forme ! »




Joignant le geste à la parole elle l’avait prise dans sa main et le savon aidant l’astiquait vigoureusement. Nous nous livrèrent alors à un balai érotique en se caressant de partout, ses seins glissaient dans mes mains, mon sexe raidi plaqué sur mon ventre allait et venait entre ses fesses. C’est Flora qui le rabattant l’introduit entre ses cuisses laissant mon gland aller et venir entre les grosses lèvres de sa chatte. Une de ses mains passée en arrière me flattait les couilles. Elle se baissa et me prit dans sa bouche et me laissa m’enfoncer à mon gré entre ses lèvres


« Relève toi, écarte tes cuisses je vais te baiser debout »




Elle chercha une position confortable et je fus surpris de sa souplesse, danseuse classique, elle s’ouvrit largement en posant un pied sur le porte savon. Dans cette posture nous pûmes voir toute la scène, ses cuisses ouvertes découvrant sa chatte et moi m’avançant pour me centrer sur sa vulve ?


Flora poussa un cri quand me relevant je la fourrais à fond et me branlais par de petites mais rapides reptations de mon ventre. Nous fatiguions et je la repris debout face à moi, les mains sous ses fesses je la soulevais écartelée et n’eut aucun mal à me centrer dans sa vulve ouverte, je la laissais alors retomber lourdement sur moi la pénétrant jusqu’à la garde, elle recommença à jouir, me serrant dans ses bras les cuisses agrippées autour de ma taille.




Elle participait pour mieux s’enfoncer sur moi et quand d’un doigt je perforais son petit anus ce fut comme un cataclysme tant son orgasme était puissant, je ne pus résister moi aussi et j’allais éjaculer quand mon amante se désunit de moi, se mit à genoux et me branla énergiquement, elle regardait intensément ma verge, les yeux fous, bouche ouverte face à mon gland et quand mes jets de sperme fusèrent puissants, nombreux en éclaboussant son beau visage et ses seins elle eut un sourire triomphant, heureuse de me voir jouir grâce à elle.




Calmés par tant de plaisirs, rincés, séchés, habillés nous nous apprêtions à nous séparer quand Flora me demanda


« Et si avant de partir tu m’apprenais la sodomie ! les copines en parlent entres elles et se taise quand j’écoute, cela à l’air bien, tu peux m’expliquer ou mieux me le faire....aller soit gentil ! »

« Ecoute petite, j’ai accepté de t’apprendre l’amour mais je refuse de te sodomiser, crois moi c’est mieux ! »

« Mais qu’est-ce que c’est donc de si terrible, dis le moi, si , soit gentil ! »

« Tu te rappelles, à l’instant quand je t’ai mis un doigt dans l’anus ? »

« Oui ! alors ? »

« Ce doigt te sodomisait »

« Ah c’est cela, c’était très agréable ! »

« Oui mais on n’emploie cette expression que lorsque c’est le sexe qui force cet orifice »

« Pourquoi ne veux-tu pas me faire connaître cette sensation ? »

« Je t’explique, regarde-moi, regarde ma verge, que vois-tu ? »

« Je vois qu’elle est toujours grosse mais molle, elle pend maintenant »

« C’est normal après tout ce que nous avons fait. Mais prends la dans ta main, tiens si tu veux prends ce mouchoir de soie sur le radiateur, il est chaud, caresse moi avec, oui, doucement, les couilles aussi, frôle moi, oui tu t’y prends bien, tu remarques quoi ? »

« Elle gonfle, elle durcit, elle se redresse »

« Continue, c’est bon, Ahhhh, arrête maintenant, tu vois l’engin, sa grosseur, sa longueur, tu la vois ? »

« Elle est énorme et pourtant elle ne m’a fait que du bien »

« Dans ta chatte oui, mais regarde, tourne toi, j’écarte tes fesses, que vois-tu....., ? tu vois ton mignon petit cul ? tu imagines mon pieu forçant ce petit passage ? Je n’ai pas envie de te défoncer, de te faire mal, de te laisser un mauvais souvenir après les plaisirs que nous avons eus »

« Pourtant d’autres le font, pourquoi ? si c’est si douloureux ? »

« c’est surtout un fantasme d’homme, jouir dans le cul étroit de leur compagne, les couples un peu blasés de la routine pratiquent ce genre »

« Tu l’a déjà fait ? »

« Oui souvent, j’aime beaucoup ça »

« Et celles avec qui tu l’as pratiqué ?

« Aussi, il faut le faire avec précautions, dans des culs déjà bien rodés ce qui n’est pas ton cas »

« J’aimerai pourtant ! »

« Ecoute, tu as appris beaucoup de choses, quand tu auras roulé ta bosse, si tu as toujours ce désir reviens me le demander, nous verrons alors, mais pour l’instant restons sur nos bons souvenirs »

« Tu as aimé toi aussi ? »

« Tu es mignonne, c’est toi qui m’a fait un beau cadeau, nous allons nous séparer, nous reverrons nous ? c’est peu probable. J’ai un conseil à te donner, choisit bien tes partenaires, qu’ils soient gentils, exiges d’eux qu’ils se protègent, tu verras un préservatif n’a jamais empêché de jouir »

« Merci pour tout Michel, je me sauve, quand nous nous reverrons ce sera en famille et nous seuls seront ce qui nous a unit l’espace d’un jour »




Je la vis sortir en ondulant de la croupe, quelle merveille, je les imaginais nues sous sa jupe, ses fesses si rondes qui m’avaient si bien accueillis. Je ne la revis plus, au fond c’était mieux ainsi et je me consacrais à mes nombreuses maîtresses, des veuves surtout à qui il ne fallait pas en promettre et qui voulaient enfin jouir par devant et aussi par derrière pour mon plus grand plaisir. Connaissant ses pensées par ce que m’avait dit sa fille j’ai même fait l’amour avec la mère de Flora, une quinzaine de jours durant un déplacement de son mari, mais avec elle je n’ai pas délaissé son anus et je ne devais pas être le premier à rendre visite en ce lieu.

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Il y eut des retombées à la suite de cette initiation, car je reçus ensuite plusieurs visites de vierges éplorées. Elles venaient manifestement en connaissance de cause averties par le bouche à oreilles. Flora avait dû faire de moi un portrait flatteur, et je les sentais toutes impatientes de prendre en main, en bouche, entre leurs cuisses, dans leur cul même pour certaines, mon super organe.




Je me rendis compte que la plupart n’étaient pas aussi innocentes qu’elles le prétendaient et que leur virginité était perdue depuis longtemps. Une fois la main mise dans l’engrenage avec la première prétendante je fis plaisir à toutes, n’exigeant que la preuve de leur majorité et pour moi le port d’une capote.


Paradoxalement chacune avait ses manies, ses exigences, quel contraste avec ma docile petite Flora, j’en vis même de toutes les couleurs.




Il y eu Solange qui après m’avoir mis à poils refusa de se dévêtir et qui accepta jupe relevée d’en prendre plein sa chatte et son cul, l’entrejambe de son slip simplement écarté. Rita qui me suça une nuit entière sans que je puisse la toucher. Renée qui se gardait pour son mari disait t’elle mais qui se fit sodomiser dans toutes les positions. Jeanine une mélomane qui s’assit sur mon nœud durant la durée d’un 33 tours de la Traviata durant lequel elle me fit jouir trois ou quatre fois en s’agitant au rythme endiablé de la musique sans se désengager ; il y en des crescendo pathétiques, des trémolos langoureux, je ne parle pas des fortissimos qui me laissèrent pantelant après éjaculation. Il y eu Sapho avec sa belle peau noire sans défauts, c’est la première fois que cela m’arrivait et elle eu droit à toute mon attention, elle du avoir mal au cul plusieurs jours après sa visite. Il y eu des exhibitionnistes, des discrètes, des silencieuses, des roucouleuses, des petits seins sensibles, des gros seins entre lesquels je pus me branler tout en me faisant sucer le gland. Un jour je n’eus pas le courage de refuser une grosse fille graisseuse qui finalement s’avéra une des plus joyeuses, des plus aimantes, des plus profondes aussi au point d’absorber mon sexe en entier dans sa bouche et qui repartit débarrassée de son complexe après en avoir pris plein son cul. J’en passe et des meilleures .....




Un soir sur le point de me coucher, on sonna à la porte, je sortais de la douche, en hâte j’enfilais ma robe de chambre japonaise. J’ouvris sur une femme d’une quarantaine d’années, grande, bien proportionnée, elle avait l’air en colère ou dans un état d’excitation extrême, elle força quasiment la porte et entra sans que je l’y invite. Je refermais la porte sur elle quand elle m’agressa verbalement.


« Monsieur, je suis Myriam White prof de philo à la faculté de Vincennes ! »

« Enchanté ! » dis-je d’un air inquiet en la scrutant intensément

« Ne soyez pas enchanté monsieur, j’ai dans mon cours une armée de donzelles qui m’en racontent de drôles à votre endroit »




Irrité par cette agression je lui répondis qu’en effet mon endroit était mieux que mon envers.

« Pas d’humour monsieur, quand on a l’impudence de suborner des jeunes filles....à votre âge on fait moins le fier....Ah il s’en raconte de belles choses dans les réunions libres que j’organise, vous n’avez pas honte ? »

« Honte de quoi, chère amie, ce n’est pas moi qui vais les chercher, de plus je vérifie scrupuleusement qu’elles sont majeures, je leur donne ce qu’elles demandent, le plus gentiment possible, elles ont l’air satisfaites, la preuve, je ne les revoie plus mais elles m’envoient des copines »

« Vous ne les revoyez plus, mais maintenant à la FAC c’est le bordel, cela baise à tout va, les résultats des cours s’en ressentent ; vous ne pourriez pas laisser tomber et voir des femmes de votre âge ? Ce serait plus correct ! »

« Mais savez-vous que ce n’est pas aussi facile que vous le pensez de séduire des femmes d’expérience et ces derniers temps avec toutes ces jeunettes je n’en ai plus vraiment le goût, j’ai rajeuni de dix ans ! »

« Vous n’êtes qu’un prétentieux, un vieux satyre »




En disant cela elle s’était avancée vers moi, menaçante

« Calmez-vous, reculez-vous, ne me touchez pas ! »

« J’ai envie de vous gifler pour votre attitude, j’ai envie de vous battre, vous m’énervez, me poussez à bout..... »





Elle s’était précipitée sur moi, ivre de colère, je dus la ceinturer car elle m’aurait griffé, réduit en charpie

« Salaud, satyre, couilles molles ! hurla t’elle comme une furie, s’en était trop, s’était trop, je le sentais maintenant, je changeais donc de registre

« Couilles molles ? c’est à voir, je crois que tu es jalouse »




Pour l’empêcher de me nuire je l’avais ceinturée, je la serrais en l’immobilisant contre moi, ma bouche dans son cou, elle gesticulait en vain, j’étais plaqué sur elle

« Tu la sens ma grosse bite ! hein ! c’est elle qui te rend folle ? tu as un beau cul bien rond ! je le sens sous ta jupe, je vais le servir ! Attends un peu ! »





En disant cela je la tripotais, lui caressais les fesses, lui pelotais les seins, je fis éclater son corsage faisant surgir deux seins magnifiques oblongs et fermes, je lui suçais les tétins quand ma furie me laissait le temps. Je lui emprisonnais les bras car elle m’aurait défiguré du moins si j’en croyais son état de surexcitation, je réussis néanmoins à retrousser sa jupe juste le temps de me replacer sur son ventre, je fis une découverte et lui en fit part


« Mais chérie tu n’as pas de collants ! des bas d’avant-guerre, un porte jarretelles Ahhhh ! tu me rajeunis de trente ans ! »




Je profitais de son désarroi pour m’insérer entre ses cuisses, mon peignoir ouvert, nos deux sexes séparés que par le tissu arachnéen de son slip noir. Toujours prisonnière dans mes bras, mes mains sur sa croupe je la plaquais sur moi en ondulant, elle devait sentir ma verge rouler entre ses lèvres, je relevais sa jupe par derrière et je passais les mains sous son slip


« Salaud pour salaud je vais te baiser à la hussarde sans quitter ta culotte ! »





Par derrière je tirais pour baisser le fin rempart à mi cuisses découvrant sa chatte, je la coinçais contre une table ; après quelques contorsions en me baisant un peu je réussis à me centrer et en me relevant brusquement je l’enfilais à fond. En place je fus plus à l’aise pour lui branler la vulve d’autant que Myriam me facilitait la chose, mon pressentiment était bon elle était venue pour se faire baiser elle aussi.




Cela devint facile, très facile même, je me rendis compte qu’elle avait une grotte énorme et que malgré la grosseur de mon sexe j’étais au large et les sensations inexistantes si ce n’est le frottement de ma hampe sur son slip écarté. Malgré la volonté évidente de Myriam qui ne cachait plus son jeu. Devant mon air dépité elle me confia


« On m’avait tellement parlé de la vigueur de ton sexe que j’ai cru que tu pourrais me remplir ! »

« Ainsi tu étais venue comme tes élèves pour te faire sauter, tu n’avais pas besoin de jouer la comédie du prof en colère, je t’aurais bien accueillie comme je fais avec elles, d’autant que tu es une belle femme... »

« Je le sais et pourtant je suis seule, abandonnée, le bouche à oreilles a du fonctionner et mes premiers amants ont dû dévoiler mon infirmité. J’étais désespérée quand j’ai pensé à vous ! »




Elle était devenue douce après le cinéma provocateur qu’elle m’avait fait, je fus pris de compassion pour cette belle femme et de son infirmité.


« Nous allons trouver une solution, je n’ai pas l’habitude de laisser tomber une femme dans la peine, on a du te dire que j’étais gentil, en plus tu es belle comme le jour ! »




Je sentis une larme couler de ses beaux yeux, elle se serra sur moi et je lui pris la bouche. Alors là je me rendis compte de sa motivation car de toute ma carrière de baiseur on ne m’avait embrassé de la sorte, avec tant de fougue avec des lèvres si charnues, une langue si souple, si agile que je pensais au plaisir que j’aurais à me faire sucer la bite par une bouche si parfaite. Quand nous nous désunirent le souffle coupé je lui parlais


« Alors comment fais-tu pour libérer cette passion que je sens refoulée au fond de ton corps ? »

« Je me débrouille seule, c’est mieux que rien......avec mes doigts...avec ce que je trouve... »

« Ce que tu trouves ? quoi ? Des godes ? Des sex-toy ? »

« Oui ! Des fruits aussi, des légumes, quand je suis en manque je suis prête à tout »

« Veux-tu que je t’aide aujourd’hui ? Jouir avec un autre c’est mieux que de se faire plaisir soi-même, je le sais par expérience »

« Oh oui, j’aimerai que pour une fois on s’occupe de moi » dit-t’elle tendrement.





Elle s’était serrée contre moi en me redonnant ses lèvres. Décidément cette femme magnifique méritait qu’on lui fasse du bien et cela commençait à me plaire, à m’exciter.

« Suis-moi ! »





Je l’entraînais à la cave et nous examinèrent la clayette où je conservais les légumes de mon jardin.


« Choisis à ton goût, toi seule peut le dire »

« Les carottes sont un peu petites ! »




Pourtant elles étaient belles, assez grosses et longues

« Il y à des poireaux avec leur touffes de racines... »

« ...... »

« Des concombres..... »

« Où ? »

« Ils sont là »

« Les concombres ce serait bien ! »

« Choisis ! »




Myriam les examina et sans hésitation prit le plus beau, il était gros et noueux. Du côté de la queue il grossissait en deux temps, l’extrémité de la grosseur de ma queue, ensuite il devenait considérable, une vraie bite d’âne ; à l’autre extrémité sa grosseur était maximum, d’un diamètre irrégulier, râpeux, avec de grosses veines variqueuses.


« Ahhh chéri c’est ce qu’il me faut pour remplir ma chatte.... »

« Tu n’as pas peur d’être irritée, c’est un peu acide ces légumes »

« Non si on le coiffe d’un préservatif, tu en as ? »

« Evidemment.... »

« Tant mieux ! Montons »




Je cherchais une vieille boîte et j’entrepris de dérouler le fin anneau de latex sur l’énorme sexe verdâtre du côté de la queue.

« Non chéri, pardon Michel, de l’autre côté ! »




Je frémis car elle me désignait le gros bout du cucurbitacée. J’étais en sueur et m’énervais en vain à chapeauter le légume avec mon préservatif grand modèle pourtant, j’allais abandonner quand Myriam fouilla dans son sac et prenant le concombre le gaina sans efforts d’un préservatif spécial, très grand modèle, lubrifié à souhait. Avec un grand sourire elle me présenta l’engin

« Ne l’enfonce pas plus loin que le préservatif....c’est ma dimension ! »




Ceci étant dit, elle se retroussa, quitta sa culotte et s’allongea sur le lit en écartant ses jambes et me tendit les bras. Interdit je m’allongeais à ces côtés, l’objet à la main. Gentiment elle enleva mon peignoir et me branlât la verge en gémissant. Elle ouvrait convulsivement ses cuisses et offrait sa chatte. Je m’aperçut qu’elle était imberbe et je présentais l’organe vert au milieu des lèvres de son sexe.




J’étais ému au plus haut point et je tremblais en lui massant la chatte avec l’extrémité arrondie du légume. Je crus défaillir quand je commençais à l’enfoncer lentement dans sa grotte qui s’ouvrit sans avoir à dire : Sésame ouvre toi. Pour bien faire le passage je sortais le membre lubrifié avant de le replonger en elle de plus en plus profondément.




Dès les premiers instants elle se mit à jouir formidablement, d’une jouissance à la mesure de l’énorme sexe qui baisait son sexe grand ouvert et profond, spectacle infernal que cette queue verte qui la fourrait jusqu’à la limite du préservatif et que je faisais aller et venir doucement dans son vagin. Jamais je crois je ne vis jouissance plus intense, Myriam dans un autre monde sa main agrippée sur ma queue se tordait en tous sens en ondulant des hanches, en ouvrant et fermant convulsivement ses cuisses sur ce qui la faisait tant jouir, elle tordait sa bouche déformée par le plaisir.




Cela me donna l’idée de m’approcher à genou de son visage et tout en continuant de la fourrer avec le légume, lui relevant la tête je présentais mon sexe entre ses lèvres et je commençais à l’agiter dans sa bouche superbe. Consciente de cette nouvelle position elle n’en jouit pas moins, au contraire, ses plaintes étouffées par ma grosse queue. Quand elle me chatouilla les parties par dessous avec sa main je crus moi aussi que j’allais exploser mais je sus me garder, jamais ma hampe n’avait été si bien traitée ; Myriam suçait à merveille et j’avais un énorme plaisir à voir ma verge aller et venir entre ses lèvres pulpeuses serrées sur elle.




Pour changer, je la mis en position de levrette tout en continuant de l’astiquer, les fesses dressées bien écartées et sans vergogne pointant mon sexe vers son anus je l’enculais d’un coup, bien à fond et je m’agitais à une cadence différente des pénétrations du légume que ma queue rejoignait dans son ventre. Comme sa chatte son cul était dilaté et j’étais à l’aise. Malgré cette sorte d’infirmité je sentais mon amante d’un jour heureuse et je m’évertuais à la faire jouir longuement, intensément, de nombreuses fois, un orgasme poussant l’autre.




Cela pris fin malgré tout et je la sentis mollir avant qu’elle ne s’écroule à plat ventre sur le lit la chatte pleine. Quand elle se redressa, je vis son visage ravagé par tant de plaisir, mon regard fut attiré par son sexe, un énorme sexe vert de la grosseur de ma verge, l’autre moitié du cucurbitacée toujours dans ses entrailles, un vrai sexe d’homme pensais je, je ne croyais pas si bien dire quand je la vis le regard fixe dérouler sur lui un anneau de latex luisant et odorant.


« Laisse-moi faire Michel, j’en ai trop envie ! »




La suite fut comme un rêve, j’étais à genoux sur le lit en position de levrette, je la sentis derrière moi me prenant par les hanches, je sentis que l’on m’ouvrait les fesses, je sentis d’abord son visage, puis le pointu de sa langue sur mon œillet, elle me lécha l’anus longuement et j’étais comme fou tellement c’était subtil comme caresse. Sa langue partait de mes couilles et remontait dans ma raie des fesses, passait sur mon anus luisant de sa salive en s’y attardant et en redescendant c’est le dessous de sa langue qui me caressait, doucement d’abord puis de plus en plus vite, vous l’imaginez cette langue en train de me laper l’anus ?




Puis je sentis son doigt mouillé qui entrait en moi de toute sa longueur je le sentais s’agiter chercher je ne sais quoi ? Je le sus quand brusquement je me mis à jouir et avoir une éjaculation hors norme, vidant ma prostate de tout mon sperme et m’offrant un plaisir inconnu. Le temps de sentir une pression sur mon cul, l’instant d’après je sentis son ventre marteler mes fesses. Ce fut d’abord comme une traînée de feu dans mon ventre, j’aurais voulu m’échapper, sortir cet engin d’entre mes fesses, de mon cul, mais Myriam me tenais contre elle m’interdisant tout recul. Elle m’enculait avec son sexe vert.




Elle eut raison de s’obstiner car la première douleur passée, mon cul amadoué , rempli, pistonné, enculé, j’éprouvais un sentiment étrange de plénitude, de plaisir même et devant l’étrangeté de la situation je me laissai aller. Je connus l’intense sensation quand le bout du légume sorti s’emmanche à nouveau en se frayant un passage dans le méat refermé, j’appréciais quand au fond de moi Myriam l’agitait comme un plantoir dans la terre meuble.




Je me surpris à participer en pimentant notre échange. Je serrais l’objet dans ma tripe l’immobilisant, c’est alors ma partenaire qui pouvait se branler sur lui à l’inverse c’est moi qui subissait alors les coups de boutoir de l’énorme verge. Tout en continuant notre jeu je sentis une main passée par devant me prendre la queue et la branler vigoureusement tout en agitant mes couilles. Je sentis le plaisir monter inexorablement, Myriam déchaînée sur moi


« Michel, tu la sens ma grosse queue dans ton cul, elle va te faire jouir la Myriam, attends que je te branle bien ta grosse queue, en cadence. Serre bien ton cul que je me branle moi aussi....ahhh c’est bon....je suis pleine enfin....j’ai bien joui.....je jouis encore....ahhh que c’est bon.....rejoins moi.....viens....vite... je jouiiiiis....»

« Je me laisse aller, branle moi plus fort....encule moi à fond....roule bien des fesses .... Ahhhhhh....ouiiiiiiii....j’éclate entre tes doigts....C’est bon, c’est fort.....ahhhhhh.... »




Nous jouîmes tous les deux à l’unisson jusqu’à l’épuisement complet, elle ne me lâcha qu’après m’avoir fait éjaculer plusieurs fois entre ses doigts, inconscient je me retrouvais l’anus libre et quand j’ouvris les yeux je la vis à genoux face à moi, ma queue dans sa bouche qui me pompait les joues creusées. D’un coup des étoiles naquirent dans mes yeux et dans un plaisir immense je remplis sa bouche de ma semence . Je plongeais alors dans le néant.




Quand je refis surface elle était prête à partir semble t’il, habillée, à nouveau digne. Nu je me relevais pour la prendre dans mes bras, elle me tint à distance

« Assez Michel ce serait trop maintenant, je te remercie, j’ai des souvenirs pour le restant de mon existence, je dois partir, j’ai été heureuse d’oser te défier, tu as su comprendre ce que je n’osais pas te demander, les filles ont raison, tu es gentil, adieu ! »

« Reste ! » dis-je d’un air implorant




La porte claqua, elle était partie et je ne la revis jamais plus.



Celle que je revis, un soir c’est Flora, les yeux brûlants implorants elle me demanda : Michel apprends-moi la sodomie


Je résistais un moment pour la forme, mais elle était si belle si désirable que je la fis d’entrer chez moi.



Si vous le voulez je vous raconterais……J’ai conscience d’avoir été un peu long mais peut-on résumer de telles sensations ? Un épisode si important de ma vie de baiseur avec vous les femmes qui comme moi aimez faire l’amour.
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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : L'initiation

Le 08/11/2013 - 13:08 par interne
merci pour ton commentaire, ça m'a fait énormément plaisir de lire un si gentil compliment surtout venant de LA référence de HI ! Je n'avais pas écrit depuis un moment mais je pense que je vais m'y remettre du coup ! merci :)
Le 11/07/2013 - 09:37 par angelique
un apprentissage des plaisirs intenses des plus excitants... Un récit très jouissif, hyper affolant... J'ai adorée...

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