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L'initiation 2

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Lue : 8037 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 05/07/2015

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Quelle ne fut pas mon émotion quand je revis Flora cinq ans après l’avoir rencontrée dans les mêmes circonstances au milieu de cette lointaine parenté qui m’honorait chaque année en m’invitant à ce joindre à leur réunion de famille.

Flora avait changé ce n’était plus la tendre jeune fille qui éplorée m’avait demandé, rappelez vous, de l’initier à l’amour. Elle m’avait choisi, allez savoir pourquoi, pour la dépuceler le jour de ses dix huit ans. Voir Initiation au top dix

Ardente, impatiente, vous souvenez vous ? Elle avait pensé à moi qu’elle savait expérimenté pour que ce passage à sa vie de femme soit doux, fort, réussi et qu’il reste gravé à jamais dans sa mémoire. Elle voulait tout connaître et elle fut satisfaite au delà de ses espérances et des miennes aussi d’ailleurs. A mon grand regret je ne l’avais plus revue depuis cette nuit où elle me quitta enchantée, prête désormais pour une vie sexuelle sans tabous.

Oui, elle avait changé et cela lui allait bien, c’était une femme maintenant. Avec ses talons mi hauts elle paraissait plus grande et cela affinait sa silhouette, mettait ses jambes en valeur ; la jupe courte de son tailleur laissait voir ce qu’il faut de ses cuisses rondes gainées de soie et ses seins gonflaient son chemisier très décolleté ; il me sembla qu’ils avaient pris du volume et cela lui donnait un sex-appeal fou.

Le plan de table pour le repas était établi et j’eus la satisfaction je ne sais par quel hasard de voir Flora s’assoir à côté de moi, à ma droite. En conversant elle m’apprit sa réussite dans la maison de mode qu’elle avait créée à Paris, boulevard Saint Honoré ; elle n’était pas en couple mais elle me fit deviner qu’elle avait des aventures.
« Sexuelles, uniquement, très riches, grâce à toi me dit elle en me prenant la main d’un coup sous la table.
« Je te dois tout Edouard
Et comme modeste je semblais en douter je sentis sa cuisse se presser sur la mienne
« Ne proteste pas, rappelle toi, te souviens tu de tout ?
« Oui Flora, de tout et c’était merveilleux….nous deux

En face de nous la maîtresse de maison, la mère de Flora, nous regardait d’un air sévère, elle cherchait à lire notre conversation sur nos lèvres, je savais qu’elle avait des vues sur moi, Flora me l’avait dit, elle l’avait entendu dire
« Je me le farcirai bien…… avait t’elle dit au milieu d’un groupe d’amies qui toutes surenchérissaient, prêtes à se sacrifier elles aussi aux joies du sexe malgré leur quarantaine bien sonnée.

Je vis son regard furibond quand après le pousse café Flora m’entraina dans le jardin arboré de la propriété. En la suivant dans les bosquets à l’abri des regards ; curieux de ce que Flora attendait de moi, je me disais qu’il faudrait bien que je me décide un jour à satisfaire les envies de sa mère, cela devait valoir le coup car elle était magnifique, pulpeuse, épanouie, elle devait être ardente en amour ce sont des choses qui se devinent ! Enfin, moi je les devine, et son mari est si souvent absent !

Nous étions assis sur le même banc où Flora, farouche, m’avait demandé à l’époque de la dépuceler et où elle m’avait convaincu de le faire
« Edouard j’ai encore besoin de toi !
Flora me regardait avec la même intensité, la même détermination que cinq ans plus tôt
« Ce que tu m’as refusé ce jour là, je le veux maintenant
« Refusé quoi, nous avons fait l’amour une journée et une nuit entière, nous avons tout fait rappelle toi
« Non pas tout et tant mieux finalement pour moi, pour toi, pour pouvoir le découvrir aujourd’hui, ce soir, cette nuit
« Que veux-tu ? Parle
« Pardon d’être aussi crue Edouard je veux que tu me prennes les fesses, mon anus…mon cul quoi !….tu veux…. ?.....dis moi
« Tu veux dire qu’en cinq ans d’aventures amoureuses, tu es vierge de ce côté-là
« Ne te moque pas de moi, oui mon anus est vierge, cela me hante, j’ai une envie folle d’être sodomisée comme j’avais envie il y a cinq ans d’être baisée, plus encore, je n’en peux plus d’attendre.
« Et alors …. .dis je commençant à comprendre
« Je veux que tu m’inities une fois encore, avec toi je n’aurais pas peur, je te connais tu feras çà bien
« Et après m’avoir enflammé tu me laisseras sans un mot, sans un geste, comme il y a cinq ans !
« Tu n’es pas jaloux de ma vie de femme Edouard ? C’est toi qui l’a rendue épanouie, jouissive
« Tu m’as manquée je l’avoue
« Si j’avais su, je ne pensais pas, je serais venue de temps en temps
« Tu as dit ce soir, cette nuit ?
« Oui demain soir je pars pour Rome
« Tu sais la sodomie c’est un peu comme la clé de voute d’un édifice, le point d’orgue qui vient sublimer une nuit d’amour ; je me vois mal le faire comme çà, à la va vite
« Mais qui te le demande, pas moi Edouard je te l’ai dit, si tu veux nous avons toute la nuit
« Je pourrais te caresser, t’embrasser, te cajoler, de baiser comme j’en ai envie
« oui, oui, ouiiiiii arrête Edouard, tu m’excites déjà, oui tu pourras, je n’osais pas te le demander…….. aller, caresse moi…là…oui…j’en ai envie…..oui…....

Moi aussi elle me faisait de l’effet et j’étais tout chose, tout raide quand je glissais ma main, sous sa jupe, entre ses cuisses. Rapidement je trouvais la chair nue entre ses bas et sa culotte. Oui Flora avait envie et quand paume en l’air ma main épousa sa chatte sur son string, elle poussa un petit cri en s’ouvrant pour que je prenne son sexe à pleine main et elle commença à haleter, les yeux perdus.

Sa culotte était inondée et quand ma main passa sous le frêle rempart de son cache sexe mes doigts s’enduisirent de son plaisir naissant, de sa liqueur, épaisse, tenace, filante et je leurs fit faire d’onctueux allers et retours entre les lèvres de sa vulve, de l’entrée de son vagin à son clitoris. Sa chatte était toujours aussi douce, aussi charnue, sans la moindre pilosité, comme je les aime.

C’est Flora qui me sortit le sexe, elle voulait le voir, enfin le revoir, se rappeler de lui et pendant un long moment, nous nous caressâmes jusqu’aux limites de la jouissance, elle en faisant glisser mon prépuce sur mon gland et en me palpant mes testicules par-dessous et moi en branlant son vagin inondé avec mon index.
« Elle est toujours aussi douce, elle n’a pas perdu de sa vigueur la bougresse ……minauda t’elle avec un rire nerveux
Dans un effort suprême tant j’étais bien je dis
« Flora on pourrait nous voir, j’ai vu que ta mère nous observait, je ne serais pas étonné de la voir rappliquer
« Tu crois ? …….Tu ne l’as pas encore baisée ? …..non !......mais qu’attends tu ? Elle ne cesse de parler de toi, elle ne demande que çà !

Nous nous étions réajustés, elle me dit
« Alors c’est convenu pour ce soir, cette nuit ? …oui…tu es d’accord..je vais me changer avant et à la tombée de la nuit je te rejoins chez toi…. d’accord…. Oui ?…….chic si tu savais comme j’ai envie de toi….embrasse moi…….oui….ouiiiii…….ooouuuiiiii

Doucement, sur ces promesses jouissives, nous avons regagné la maison. Rita la mère de Flora nous fusilla du regard et je ne baissais pas mes yeux, je ne voulais pas compromettre son attirance sexuelle pour moi ; inconscient je lui adressais même une petite moue avec mes lèvres, comme une sorte de discret lancer de baiser au travers de l’espace.

Flora montait l’escalier qui va à l’étage et je ne pus détacher mon regard de ses fesses qui ondulaient à chaque marche. Deux rondeurs jumelles, libres, indépendantes, mouvantes sous le voile léger de sa jupe qui les mettait en valeur
J’eus du mal à retenir un râle que j’aurai poussé si j’avais été seul
« Quel cul !!!!! Pensais-je à cet instant
J’imaginais ce cadeau qu’elle allait me faire, m’offrir son joli corps, ses fesses épanouies ; son petit cul serré….. la nuit entière.

Quand elle disparut au détour de l’escalier et que je sortis de mon rêve, je vis que Rita n’avait rien perdu du cheminement de mon regard, elle baissa les yeux et quand je lui fis face, elle s’avança vers moi
« Cher Edouard……me dit elle…..j’espère que nous nous reverrons avant l’an prochain ?
« C’est promis Rita
« Le plus tôt serait le mieux alors
C’était on ne peut plus clair, j’allais devoir la baiser…et vite !
« Là je dois partir, mais passez chez moi quand vous voudrez, j’ai un thé formidable en ce moment
« Oui chez vous ou chez moi, je vous ferai signe

Pour la saluer avant de partir je l’embrassais en la prenant chastement dans mes bras, elle se serra sur moi plus que de raison ; ce fut bref mais sans équivoque, je sentis le parfum capiteux émaner de ses seins, le frémissement de son corps plaqué sur le mien et sans plus attendre elle me tourna le dos comme pour s’enfuir sans me regarder.
« Quel beau cul…quelle croupe pensais je…….encore plus affolant que celui de sa fille…et je me remis à bander.

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Flora arriva comme convenu à la tombée de la nuit, maquillée, coiffée avec soin elle était sublime. Il devait pleuvoir car elle avait passé un trench-coat rouge, mi long serré à la taille par une large ceinture. Je la vis sourire quand elle remarqua que j’avais enfilé mon peignoir de soie japonais, le même que lors de cette fameuse première et dernière nuit passée ensemble où je l’avais déflorée, jeune fille, à sa demande expresse.
« Mets toi à l’aise……lui dis je, fébrile, en avançant vers elle pour l’aider à enlever son vêtement de pluie, mais elle me devança et d’un geste elle ouvrit son imperméable, le quitta en le laissant tomber à ses pieds et ce fut comme un éclatement qui me laissa pantois, je crus tomber à la renverse……….

Flora me regardait, sure d’elle, farouche, décidée, elle était en sous vêtements roses avec des motifs brodés du plus bel effet. Ce caraco qui masquait son buste en moulant ses seins mettait son corps en valeur plus qu’il ne le cachait, très décolleté tout en voile, dentelle fragile et rubans avec un nœud en satin entre ses seins, il s’ouvrait sous la poitrine en deux arrondis gracieux pour dégager le ventre et les hanches graciles.

J’étais fasciné par ce joli ventre lisse, légèrement bombé, ponctué d’un ombilic secret et quand mon regard s’abaissait vers les cuisses c’était pour voir deux cordelettes suspendues aux hanches disposées en vé de la taille dans les plis de l’aine ; ils se rejoignaient dans l’entre cuisses de Flora pour maintenir en place le minuscule triangle soyeux de son string rouge, lui; une espèce de petit ruban de couleur , mince et plissé, horizontal ne cachait presque rien du renflement affolant de sa chatte moulée sous la soie.de son cache sexe, quelques poils follets débordaient de l’étoffe comme une provocation, une invite à la découverte.

Je n’en croyais pas mes yeux ; de la jeune fille nature venue ardente mais nue sous sa robe il y a cinq ans c’était maintenant une femme excitante, épanouie, apprêtée, corsetée de transparence et ce n’était pas moins troublant. Je vis ses seins dressés sous la dentelle, la chair nue du haut de ses cuisses rondes gainées, hautes, de soie. Un court instant elle resta en suspend devant moi pour se faire admirer, pour guetter dans mes yeux ma surprise et mon émotion ; puis elle s’anima lentement, comme en transe en une sorte de danse lascive à l’orientale de son ventre, de ses hanches, de ses bras nus levés ondulant gracieusement au dessus de sa tête , figure de style qui relevaient ses seins; je vis les arabesques gracieuses de ses mains telles, celles d’une danseuse de flamenco, ses jolies mains délicates gantées de mitaines noires en résille laissant libres le bout de ses doigts.

En tournant lentement devant moi en ondulant elle exhiba ses fesses nues, et je crus devenir fou devant ces deux merveilles lisses, sans défauts, très rondes comme je les aime, élastiques, épanouies, mouvantes de part et d’autre d’une vallée profonde ; deux plis discrets, symétriques, en haut, derrière ses cuisses marquaient la naissance abrupte des fesses, leurs galbes incendiaires parfaitement raccordés avec les rondeurs de la taille et des hanches ; seul un mince ruban masquait ce qu’elle était venue m’offrir, son anus, caché au plus profond de ses fesses ; je sentis ma verge se tendre et sans le vouloir j’avançais mon ventre comme pour une possession imaginaire, Flora voyant mon émoi eut un sourire indicible plein de promesses.

Elle s’approchait de moi, son regard au fond du mien, toujours souriante quand elle s’avança plus près encore comme pour me défier, contre moi et que sa main droite passant entre les deux pans de ma robe de chambre saisit mon sexe et mes testicules ; la caresse de la pulpe de ses doigts nus enveloppant ma verge, celle plus rêche de la paume de sa main gantée de Tulle en soie grenadine sous mes génitoires étaient surréalistes et incroyablement jouissives.

J’allais d’étonnement en étonnement, avec l’habileté diabolique d’une amante chevronnée sa main enveloppait mon sexe bandé, jouaient avec lui, faisant aller et venir la peau de mon prépuce sur ma hampe pour décalotter mon gland avant de le recouvrir tandis que d’autres doigts par-dessous palpaient mes testicules en prenant mes deux œufs congestionnés l’un après l’autre en les soupesant en les faisant rouler dans leur paume.

C’est elle qui menait la danse et je la laissais faire en la regardant, j’étais extasié, ma bandaison au zénith. Tout en continuant délicatement de me masturber sa main gauche s’insinua elle aussi sous ma robe de chambre, elle l’ouvrit et Flora se colla contre moi, sur mon corps nu. Je sentis son buste sur ma poitrine, son ventre sur le mien ; sa cuisse droite insérée entre les miennes ; ses mains voletaient, dans mon dos, sur mes fesses, sur mon sexe. L’une d’elle remonta sur ma nuque, les doigts perdus dans les boucles de mes cheveux pour attirer mon visage vers le sien, pour présenter ses lèvres sur les miennes, pour planter sa langue dans ma bouche ; jamais baiser ne fut plus ardent. Quand Flora délaissait ma langue l’espace d’un instant c’était pour, en se penchant légèrement, me bécoter le bout de mes seins de ses lèvres humides, passant d’une pointe à l’autre pour les sucer, pour les aspirer, les électriser, j’étais tout chose !

En cinq ans, je m’en rendais compte, elle avait acquis une sacrée expérience et manifestement elle voulait me le montrer en excitant de concert avec ses mains et sa bouche mon sexe, mon cul et mes seins. Il fallait que je réagisse, que je joue le rôle qu’elle était venue chercher, qu’elle attendait de moi et je la pris moi aussi dans mes bras, j’ouvris son caraco en tirant sur le ruban qui le fermait et je découvris ses seins que je pris à pleines mains. Eux aussi avaient changés, ils avaient grossis, de pointus ils s’étaient arrondis, affermis et dés le début de mes caresses je me rendis compte qu’ils étaient devenus sensibles à l’extrême.

Pour être mieux pour la caresser, je me suis placé derrière elle, mon ventre plaqué sur ses fesses, j’enserrais son torse de mes bras, mes mains sur sa poitrine. Ma robe de chambre tombée à terre ne me couvrait plus, j’étais complètement nu et quand pour être plus proche de Flora je glissais mon sexe entre ses cuisses, sous ses fesses je ne pus retenir une sorte de rugissement de plaisir tant j’étais bien ainsi mon visage au creux de son cou, ma bouche proche de son oreille.

J’adore, vous le savez, les femmes qui peuvent jouir par des caresses sur leurs seins, Flora étaient de celles là, bien plus que cinq ans auparavant car d’un coup je sentis que tout son corps s’enflammait sous mes doigts, sous mes mains. J’avais commencé par soupeser ses seins, lentement mais fermement, l’un après l’autre, puis ensemble en les faisant tourner sur eux même avec mes mains que je faisais douces, je les ai sentis se tendre, devenir plus durs, plus gros, plus lourds, le sang devait affluer car ses seins se mirent à rosir sous la caresse en se dressant.

Je ne suis pas de ceux qui se polarise uniquement sur la pointe des seins, mais sans les oublier toutefois, j’ai beaucoup appris de mes expériences passées avec celles qui m’ont montré ce qu’elles aimaient, mes mains sont restées, mouvantes, enveloppantes sur ces deux merveilles, j’ai continué de caresser, tout en lui parlant à l’oreille, de l’émotion que j’avais, du désir qu’elle provoquait en moi quand par des petits gémissements elle montrait le plaisir que je lui procurais. Par moment j’emprisonnais ses seins dans la soie de son caraco pour des caresses indirectes faisant glisser l’étoffe sur sa peau sensible.

Son buste était nu maintenant, ses seins dressés, mes mains perdues, égarées sur toute leur surface, explorant leurs rondeurs, se perdant dans des abîmes odorants, des abysses en feu, effleurant les tétons au passage avec mes paumes larges qui agrippent qui compriment de plus en plus, qui tournent sans cesse, qui échauffent, qui frottent toutes entières les pointes turgescentes gorgées de sang sans jamais que mes mains n’abandonnent, ne se détachent des seins de Flora.

Je me sentais moi aussi gagné par le plaisir communicatif de Flora et tout en lui caressant les seins, en lui parlant à l’oreille j’ondulais derrière elle, mon ventre sur ses fesses, mon sexe dur comme du bois entre ses cuisses sur la ficelle de son string totalement insérée dans la raie de son cul , entre les petites lèvres de sa vulve écartelée, inondée, déjà ! Mon gland glissant au fur et à mesure du pistonnage de ma verge dans l’étroite lucarne du haut de ses cuisses en forme de fer de lance, affolante, faite pour cela semble t’il.

D’un coup je sentis qu’elle perdait pied, qu’elle s’abandonnait au plaisir, j’ai senti ses muscles se tétaniser, sa bouche se tordre en un rictus incontrôlé, son corps se tendre, son ventre, sa chatte, saisies de spasmes violents et quand je les épousais d’une main passée entre ses cuisses sur son string tout en continuant de lui palper vigoureusement ses seins je me rendis compte qu’elle jouissait, qu’elle avait déjà quitté le monde.

« Baise moi Edouard, je n’en peux plus…oui guide moi…emmène moi…oui sur le lit……à genoux…ah ouiiii…….je me penche…tu vois mes fesses…….viens chéri ……oui possède moi…..tes mains sur mes hanches…….non laisse mon string…….vite….écarte le…c’est ton gland que je sens…..tu ne m’encules pas ?… tu veux ma chatte….. Oui… ouiiii…..ouiiiii…je te sens bien…baise moi…oiiuuiii plus fort …ahhh que c’est bon

Il y avait belle lurette que je n’avais pas eu ce plaisir en baisant ; mon sexe qui s’agitait, glissant au plus profond de son vagin inondé, ruisselant. De ses fesses, de ses hanches épanouies par la position de levrette mes mains avaient émigrées par devant sous ses seins , ils étaient devenus lourds et malgré leur fermeté ils dodelinaient allongés par la pesanteur devenant presque pointus comme des ogives d’obus ; mais ils avaient gardé leur sensibilité, ils étaient comme les portes d’entrée de son plaisir extrême.

J’ai ce savoir faire, fruit de mon expérience et je sais ce qui fait monter au ciel. Tout en continuant de la baiser je pris soin de ses tétons cette fois, ils étaient fermes et bien formés, les prenant chacun entre pouces et index, en les pressant doucement avec la pulpe de mes doigts, en maintenant la pression et comme cela avait l’air de plaire à Flora si j’en croyais l’ondulation effrénée de son bassin, tordant ma queue dans sa chatte, je les serrais un peu plus en les titillant en les tiraillant tout en les faisant rouler, j’alternais en relâchant la pression de mes doigts avant de les reprendre, les serrer à nouveau pour faire fluer le sang hors des mamelons, puis le faire revenir sur les pointes en les libérant. Je sais le plaisir extrême, intense que ce flux et ce reflux procurent aux femmes les plus sensibles de leurs seins mais il faut savoir trouver la bonne cadence des pincements et relâchements, cela je sais le faire et Flora se montra la plus réceptive à cette sorte de caresse.

Sa jouissance était bruyante, sans retenue, tout son corps irradié par le plaisir. Penché sur elle mon visage au creux de ses épaules je l’excitais par de douces paroles ponctuées de rauques grognements incontrôlés quand j’étais sur le point de jouir, je mordillais ses oreilles, y glissais la pointe de ma langue ce qui la faisait hurler en se cabrant ce qui ajoutait à notre plaisir ; je lui disais qu’elle était belle, que j’étais bien moi aussi.

En relevant mon buste, mais toujours en elle, je voyais son dos, sa taille fine creusée par la position, le galbe fabuleux de ses hanches, ses fesses épanouies que j’agrippais à deux mains pour les amener vers moi, vers mon ventre, vers mon sexe dressé, je voyais mon gland entre les grandes lèvres de sa chatte , il s’enlisait dans sa vulve, à l’entrée du vagin entre la dentelle de ses petites lèvres gonflées, rougies, gorgées de sang ; d’une lente avancée j’étais en elle jusqu’à sentir ses fesses sur mon ventre, sentir mon gland bien à fond pressant son utérus entre ouvert ; je restais ainsi un moment avant que la danse satanique ne recommence, la danse de ses fesses en circonvolutions incontrôlées, du meilleur effet sur ma verge qui s’ébranlait en de longs et onctueux va-et-vient dans sa chatte.

On ne dira jamais assez le rôle érogène du prépuce lors des rapports, de sa peau épaisse, qui se retrousse sur la verge lors de la pénétration dans le vagin avant de revenir pour recouvrir le gland lorsqu’elle ressort ; de cette façon le prépuce stimule, caresse à la fois l’homme et la femme, leurs offre sa caresse différenciée des plus délicates qui s’ajoute à celle de l’intrusion, aux va et vient du gland. Je sais jouer de cette particularité et je m’efforce de bien sortir mon sexe en entier à chaque retour de ma verge, je peux voir alors mon gland recouvert de cette peau si innervée, si érogène et au plaisir de chaque avancée, de chaque boutonnage de la chatte s’ajoute celui de son doux glissement à la fois dans le vagin et sur le pénis…une merveille de la nature

Flora appréciait, elle hurlait son plaisir me demandait de venir, de la rejoindre, de la baiser plus vite, plus fort, d’aller au plus profond de son ventre, de sortir d’elle pour mieux la reprendre. Quand j’étais à fond, elle me serrait pour me retenir en elle, agitait son bassin, sa croupe tordant mon sexe en tous sens pour me vaincre.

Je n’allais pas pouvoir résister longtemps devant tant de fougue, tant de cris, tant d’agitations anarchiques de ses fesses qui me broyaient. Je n’en pouvais plus moi aussi et je reconnus au fond de mes entrailles les prémices de la jouissance, ce moment où tout devient irréversible, où mon sperme bouillonne en s’échappant de mes couilles et que tel la lave d’un volcan il remonte impétueux et jouissif dans la longue et étroite cheminée de ma verge pour éclater de l’œil borgne de mon gland en longues rafales, à chaque branlée, à chaque avancée de mon ventre, pour gicler au plus profond de son vagin, inondant son utérus entre ouvert.

Son plaisir dura plus longtemps que le mien et je continuais mes pénétrations jusqu’à ce que morte de fatigue elle s’écroule sur le lit. Je m’allongeais à ces côtés à sa droite, lui faisant face, nous nous regardions ravis du plaisir que nous avions su nous donner. C’est Flora qui la première avança sa main sur moi, sur mon corps nu, je la sentis descendre en s’attardant sur mon ventre avant que ses doigts ne s’agrippent sur mon sexe, il avait perdu de sa vigueur et mises à part mes testicules congestionnées il était à l’état de flaccidité, réfractaire pour le moment à toute excitation. Je la laissais faire car ce n’était pas désagréable et cela avait l’air de lui plaire ; son regard plongeait dans le mien guettant ma réaction. J’écartais légèrement mes cuisses pour lui donner un franc accès à ma virilité défaillante et elle lut mon assentiment.

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Ainsi Edouard me faisait ce cadeau, il m’autorisait à me confier son sexe, le voir, le toucher…… c’était fait !...... A le lécher, à le prendre dans ma bouche……. j’allais pouvoir car c’est un de mes fantasmes ; les hommes aiment nous caresser, faire monter notre plaisir, nous faire jouir ; peu nombreux sont ceux qui comprennent ce désir rentré que nous avons nous aussi, les femmes sensuelles, de les caresser longuement ; rares sont ceux qui acceptent de nous faire ce cadeau, de nous permettre de faire naître leur plaisir, de faire s’éveiller leur sexe, de participer, de nous faire assister sous nos doigts, entre nos lèvres à cette sorte de miracle de l’érection comme un lever de soleil plein de promesses.

Il fallait que je touche encore, il fallait que je caresse, il fallait que je vois de près et pour cela je décalais, mon corps du sien, mon visage, ma bouche quittant la sienne pour petit à petit descendre en mille détours, en mille baisers sur son torse, sur ses seins, sur son ventre, pour arriver sur son sexe que j’avais épuisé.

J’étais éblouie par sa beauté sereine, il était inerte, sans vie pour le moment, assez long encore, souple, lisse, en appui sur ses testicules gonflées, incliné sur le côté dans le pli de l’aine, le gland recouvert de son prépuce. Aucun poils si ce n’était une petite touffe sur son bas ventre. J’abaissais mon visage, ma bouche, mon nez pour le humer. J’aime cette odeur forte, celle du mélange de nos foutres et de sa sueur, cela m’excite au possible. Ce que je désirais par-dessus tout c’est de le faire renaitre, quoi de plus jouissif pour moi et pour cela j’utilisais ma langue, la pointe d’abord en partant du ventre pour arriver sur le gland. Après l’odeur je bénéficiais de son goût, un léger goût de marée qui n’était pas pour me déplaire.

J’avais tout mon temps semble t’il, Edouard ne disait mot, il me regardait intensément, me laissait libre, il comprenait, s’offrait en écartant ses cuisses, soulevant son bassin pour faciliter mes caresses, pour me faire accéder à tous ses trésors, à la raie de ses fesses où pendaient ses testicules masquant son anus, elles étaient libres, indépendantes dans leur scrotum bien lisse lui aussi. Apparemment mes léchouilles avaient peu d’effets si ce n’est une légère dilatation de son sexe tant en grosseur qu’en longueur. Forte de mon pouvoir, je n’étais pas pressée moi non plus, sûre d’arriver à mes fins, heureuse de l’offrande qu’il me faisait en se laissant faire ainsi, seuls ses petits gémissements me faisaient patienter, espérer son éveil.

Tout en léchant son sexe j’avais pris ses testicules par-dessous dans ma menotte pour les remonter d’entre ses fesses, les cajoler, les faire rouler entre mes doigts, une après l’autre, simples caresses mais caresses efficaces car au bout d’un long moment je vis que son gland voulait se montrer, sortir de sa gangue de peau qui se retroussait. Edouard commençait à bander et j’étais émue au possible, au bord des larmes de voir ce savoir faire que j’avais, inné, de faire renaître son excitation, de voir son membre durci se dresser à nouveau en se décollant de son ventre, de me permettre de le prendre à pleine main et d’un geste de décalotter son gland gorgé de sang. Je restais là en expectative devant tant de beauté, tant d’excitation à venir.

Je pris son sexe dans ma bouche, j’ai un plaisir infini à faire ce geste, si on m’y autorise ; je peux m’occuper ainsi très longuement d’un sexe d’homme, le mener à des degrés inouïs de bandaison, en le suçant, tout en le branlant à la main. J’observais le visage d’Edouard pendant que je le suçais pour lire dans ses yeux son plaisir, le voir se tendre lors d’une caresse plus subtile, plus intrusive, le voir résister avant de s’abandonner, quoi de plus jouissif pour moi !

J’étais à genoux entre ses cuisses ouvertes, mon buste penché sur son ventre, ma main droite serrée à la base de son pénis laissant le haut de sa hampe et son gland décalotté à la merci de ma bouche. Edouard semblait fasciné par la vue mes lèvres gourmandes, carminées, arrondies autour de sa verge, de son gland, par ma bouche entre ouverte, par ma langue rose, agile, par mes joues creusées par mes succions, par mon corps, mes seins nus qu’il voyait par delà l’arc de mes bras, par mon regard quand je le suçais, que j’affolais son gland avec mes lèvres, avec ma langue, mes quenottes……et oui ! mes inoffensives quenottes qui le griffaient.

Edouard était au bord de la rupture, une branlée un peu plus vive de ma main, une succion plus complète, plus prolongée de son sexe et j’aurais eu le plaisir de le voir jouir à nouveau, de voir son éjaculation fuser sous mes yeux, jaillir, de sentir son plaisir éclater dans ma bouche, inonder ma langue de son sperme épais, de le goûter avant que brûlant il coule entre mes lèvres et baigne mon visage ; et moi, de l’étaler sur mes seins avant de lécher mes doigts, de les présenter à sa bouche en regardant son visage ravagé par le plaisir qui s’estomperait alors si…… si j’avais voulu Lanturlu !!!!!

Mais j’avais d’autres vues. D’autres envies me tenaillaient et je me contentais pour le moment de la perle translucide de son sperme qui sourdait au bout de son gland. Il fallait que je le maintienne dans cet état de bandaison extrême, d’excitation qui nourrissait la mienne sans le faire basculer dans l’orgasme pour une jouissance masculine si éphémère, si destructrice de rigidité ; je voulais profiter longuement de la belle queue dressée d’Edouard, elle était magnifique, j’en avais une envie folle..

Placée comme j’étais ; mon visage penché entre ses cuisses la main serrée sur sa hampe je voyais le gland décalotté à portée de ma bouche, sa corole luisante, le sillon profond qui l’encercle, le met en évidence, l’endroit si jouissif du frein où s’accroche la fine attache sensible liant le gland à l’épaisse peau retroussée, la grosse veine bleue si sensible, gorgée du sang qui inonde le sexe, le met sous tension. Exercice périlleux, sur le fil du rasoir entre son plaisir, le mien et l’éjaculation.

Edouard me permit, des heures durant, de jouer avec le bout de ma langue, de l’avaler de remplir ma bouche, d’aspirer, téter très fort, tout prendre, jusqu'à ses couilles magnifiques, gonflées, pressées, malaxées fermement, alterner succions joues creusées et branlages vigoureux ou les deux à la fois jusqu’à ne plus pouvoir respirer, mais surtout l’épier, être attentive, lire sur le visage d’Edouard inondé de plaisir, sentir son sexe palpiter à la limite de la jouissance, voir les avancées de son ventre irradié, entendre ses gémissements, admirer ce sexe dressé, le laisser mollir sciemment, plusieurs fois, en le délaissant pour mieux le reprendre, aller de victoire en victoire pour le faire se tendre à nouveau de plus en plus fort dans ma bouche tout en le gardant au bord de la jouissance.

Ses testicules m’attiraient, elles s’offraient entre ses fesses sous son sexe dressé mais pour réussir à les saisir avec ma bouche je relevais ses cuisses en les calant écartelées sur mes épaules. Edouard attentionné relevait son bassin pour ne pas trop peser sur moi, pour m’offrir ses deux merveilleuses roubignoles, les rendre accessibles. J’étais fascinée, en expectative devant elles, ovoïdes, comme deux beaux œufs, bien séparées dans leur sac de peau. Je devenais comme folle, et sans prendre le temps de les lécher, bouche grande ouverte j’engamais la première, celle qui pendait le plus, en l’aspirant. J’avais la bouche pleine et pourtant je réussissais à y faire virevolter ma langue.

Combien de temps suis-je restée ainsi, à les prendre l’une après l’autre à les aspirer, à les faire jouer dans ma bouche en les déglutissant glissantes comme des truites entre mes lèvres, avant de les reprendre en aspirant, les sentir dans ma bouche, gobées entre mes lèvres, à les relever avec mon nez pour dégager la raie de son cul, pour lécher son anus, apprécier son gout âcre et poivré, des senteurs de sous bois…..des heures je crois, je ne sais, le temps s’était arrêté pour moi, pour lui ; je l’avais amené par mes envies dans un état second dans une bandaison hors normes, formidable, pérenne.

Je voyais son sexe bandé, décalotté, gorgé de sang, arqué par sa tension extrême et d’un coup je l’imaginais remplissant mon anus, je l’avais préservé pour çà , j’étais venue pour çà, pour ce moment, pour faire ce dont je rêvais depuis des mois , il était temps , nous serions toujours à même , après, de réaliser d’autres fantasmes.
« Maintenant Edouard, ce serait bien
« Oui Flora ce serait bien

Manifestement il comprenait, attendait ce moment lui aussi, je le vis à son visage, à son regard troublé, au léger chevrotement de sa voix, à son souffle court, il se releva pour m’étreindre, me caresser ; m’embrasser tendrement et à partir de cet instant je le laissais faire, je savais qu’avec lui je n’aurais que du plaisir, qu’il saurait me faire franchir ce pas, réaliser ce fantasme qui me hantait depuis si longtemps.

Il m’allongea sur le ventre et il s’installa sur moi ; assis à califourchon sur mes cuisses, sa bandaison était toujours là car je sentais sa verge dure entre mes fesses. Pour mieux le sentir j’eus vite fait de faire glisser mon string sur mes cuisses et Edouard m’aida à m’en débarrasser. Plus rien ne nous gênait et je sentis sa queue calée entre mes fesses de tout son long, bien au fond, dans ma raie, je m’écartais autour d’elle, pour bien lui faire sa place, son gland émergeant au bas de mon dos, dans la commissure de mes fesses, et ses testicules bien calées par dessous

Je sentais ses mains douces me caresser, me masser doucement, longuement, aller et venir, passer de mes épaules à ma taille avant de descendre et de s’attarder sur mes fesses, leurs larges paumes sur mes rondeurs et les deux pouces par-dessous se rejoignant dans la raie de mon cul, sur les grandes lèvres de ma chatte. Je sentais mes fesses animées d’ondes rapides, synchrones, symétriques ou alternées qui remontaient de mes cuisses jusqu’au bas de mon dos ; les deux lobes charnus s’ouvraient, se resserraient, glissaient l’un contre l’autre, c’était comme des vibrations, comme des ondes, qui se transmettaient en moi, en profondeur, comme celles d’un séisme, vers mon fondement, mon périnée, jusqu’aux lèvres de ma vulve qui se décalaient en glissant l’une contre l’autre, je sentis que j’étais inondée. A d’autres moments c’étaient comme de petits écartèlements qui se répercutaient plus encore sur mon anus et sur mon sexe, la pulpe des deux pouces à l’entrée de mon vagin le faisait s’entrouvrir, c’était agréable, une bonne préparation sans doute à ce qui allait suivre.

Le lit se mettait en résonnance et allongée comme j’étais, sur le ventre, mes seins, ma chatte, plaqués sur le satin du dessus de lit, vibraient eux aussi au rythme endiablé de mes fesses triturées, malaxées durement, nerveusement par moment. Le plaisir naissait dans tout mon corps, dans ma poitrine, dans ma tête, dans mes entrailles.

Edouard m’abandonna un instant en se relevant et en se mettant à genoux sur le lit, à mes côtés en sens inverse, sur ma gauche. Penché sur moi, je sentis une de ses mains passer sous mon ventre comme pour me soulever ; docile, complice, je me relevais et je me retrouvais en position de levrette, taille creusée, fesses écartelées. Sa main gauche perdue sous moi, dans mes seins qu’elle soupesait, les doigts de sa main droite entre mes fesses ouvertes, au fond de ma raie, là où ils trouvèrent ma chatte en fusion et mon anus amadoué.

Je sentais ses doigts aller et venir de ma vulve vers mon petit trou, tournant autour de lui en l’enduisant de ma mouille, en le pressant ; je me prêtais au jeu en relevant mes fesses pour bien me cambrer, pour mieux offrir mon petit cul, Edouard mouillait ses doigts dans mon vagin entr’ouvert, inondé d’une mousse épaisse, filante, les faisait remonter, glisser entre mes fesses, je sentais mon anus s’offrir à eux, éclore comme une fleur,
Je me souviens de tout………je vous l’écris comme j’ai vécu ces instants de rêve, comme si c’était maintenant, saurais je le faire ?

« ….Je sens un doigt tourner, glisser, faire le tour de ma rosette, entrer en moi, douce pression, lente, déterminée, que c’est bon…. Un bout de doigt tout rond, tout lisse. Je gémis doucement….Je suis attentive, figée, il avance, s’immobilise, avance imperceptiblement…. Je tourne mon bassin, à peine, je sens son doigt serré en moi, je me contracte autour de lui ; la pulpe du doigt ressort, comme éjectée de mon sphincter, que c’est bon ; têtu il revient, entre, ressort, plusieurs fois, je l’expulse et c’est bon cette sorte de petite branlette à l’entrée de mon cul ! il descend souvent, lentement vers ma vulve s’enduire de mon plaisir, remonte, entre, tout entier maintenant, glisse lentement en moi, c’est tellement doux…..je le garde en moi.

Je sens qu’il appuie, sur les côtés, qu’il tourne en moi, comme pour m’élargir, préparer le passage ; je sens des frissons légers courir sur ma peau, sous ma peau, je n’ai jamais ressenti une sensation aussi douce….. Je sens ses deux mains s’insinuer entre mes fesses pour m’écarteler, j’halète, mon souffle est court comme jamais….mon anus s’est ouvert; des doigts, les deux pouces sans doute caressent par en dessous ma chatte, les grandes lèvres, ma vulve, l’un d’eux titille mon clito érecté tandis que l’autre entre en moi, dans mon vagin inondé, c’est sublime, tout commence si bien…….

Edouard est derrière moi maintenant, descendu en dehors du lit, à genoux sur la moquette, son torse entre mes jambes, son visage à hauteur de mes fesses ; ses mains m’écartèlent, je sens son souffle, sa bouche, sa langue qui se vautrent, vont et viennent dans ma vulve avant de remonter chargées de mes sucs pour venir tourner autour de mon anus. Jamais je n’avais eu cette sensation, c’est tellement doux, cette pointe de langue qui cherche à entrer, je voudrais qu’elle y arrive, tant d’un coup, j’ai besoin de cette intrusion. Edouard m’a complètement ouverte, je sens son visage, ses joues, son nez glisser entre mes fesses , mon anus s’ouvre, il palpite, je sens le bout de sa langue qui se fait pointue, dure, elle entre, s’enfonce en moi, je la sens, je m’ouvre le plus possible, je pousse et je crie ; comment est ce possible ! toute sa langue est en moi, elle s’agite comme une folle ; jamais je n’ai eu cette sensation. C’est presque insoutenable quand cette muqueuse ressort, glisse, caresse les bords plissés de mon anus qui amadoué reste ouvert, avant de replonger en moi, sans fin ; quand elle me délaisse l’espace d’un instant pour lécher ma vulve, mon clito, qu’elle se recharge de ma mouille pour mieux replonger de plus en plus profondément, de plus en plus vite pour baiser mon cul.

Edouard se relève, je suis libre l’espace d’un instant, je le sens fourgonner derrière moi avec un tube, c’est un tube de lubrifiant, il me le montre, c’est de l’épais, spécial pour l’anus…. une caresse, un doigt qui entre, apporte avec lui une noisette de crème qu’il enfourne en moi, profond, puis une autre plus grosse étalée sur mon anus, quelques aller et retour de son doigt, de deux peut être que je sens à peine tellement c’est doux. Je n’en peux plus, je suis prête, j’ai besoin de plus, j’ai besoin de son sexe maintenant je le dis à Edouard.

Il est debout sur la moquette, je sens ses mains sur mes hanches, elles me tournent, me positionnent mes genoux au bord du lit, il s’avance son ventre entre mes jambes, son sexe entre mes fesses, il le guide, je le sens se coller contre mon petit trou, j’ondule, j’appuie pour sentir son gland, c’est doux , la sensation est d’une violence inouïe, tout mon corps tremble d’émoi, le moment est arrivé, cette envie rentrée que j’ai depuis cinq ans c’est maintenant, avec celui que j’ai attendu, Edouard ! Je suis inondée, ma chatte ruisselle, complètement ouverte telle qu’elle est son sexe entrerait en moi sans coup férir …..mais c’est dans mon cul que je la veux
« C’est le moment, Flora, n’est pas de crainte, tu es prête……

C’est à peine si je reconnais la voix d’Edouard tant elle est déformée par l’émotion et cela ajoute à mon désir
« Aide-moi………

Je le fais avec ma main passée entre mes cuisses, je sens d’abord ses couilles , puis je saisis sa verge que je fais glisser entre les lèvres brûlantes, trempées de ma chatte, j’approche son gland de mon anus, une petite crainte me saisit, la peur d’avoir mal, ce sexe est si gros, si dur

Edouard m’attire, ses mains sur mes hanches, mais c’est lui qui s’avance, s’enfonce, s’empale sur son anus, il prend son temps, me laisse l’avaler, le sentir, je suis émerveillée, incrédule de n’avoir que du plaisir, c’est tellement bon, je ne sais pas où j’en suis, où il en est. Après la douceur du gland, je sens le début de sa hampe plus grosse plus dure qui glisse en moi, qui m’ouvre, me force et c’est bon, je tremble, je pleure de bonheur, d’émotion, j’ai une envie folle de le sentir en moi entièrement.

Nous restons ainsi un moment pour bien nous ajuster l’un dans l’autre, je bouge doucement mon bassin pour bien le sentir en moi ; Edouard sort lentement et je le laisse faire, je suis sa chose entre ses mains agrippées à mes hanches, à genoux, bien cambrée, ma tête dans les oreillers appuyée sur mes coudes ; il est revenu en moi d’un coup, lentement mais entièrement, sensation fulgurante faite que de plaisir, de soulagement, de félicité, je suis pleine de lui, enfin ! de sa verge qui m’a tant fait fantasmer.

Elle coulisse lentement et c’est comme une caresse, le va-et- vient s’accélère fait naître en moi, au fond de moi des plaisirs inconnus, je gémis, souffle au rythme des pénétrations ; Edouard aussi est dans le rouge, son ventre martèle mes fesses, ses testicules pendulent, pressent, fouettent mon clitoris, ma vulve ; je suis au Nirvana, il existe ! je le sais à cet instant. Il vient de plus en plus vite, il respire fort, ses cris se joignent aux miens
« Caresses toi la chatte hurle t’il comme fou

Je le fais, une main passée sous moi, entre mes cuisses, tout en lui caressant les bourses mes doigts me pénètrent, mon corps jouit de mille endroits à la fois ; jamais je n’ai eu un orgasme aussi puissant, aussi complet, un orgasme qui dure sans jamais faiblir, sans m’abandonner, et pourtant quand dans un cri de mon amant je sens les spasmes de son sexe exulter et me remplir de son foutre je sais que plus rien ne me rendra aussi bien. Son sexe coulisse, glisse librement dans mon anus, des giclées de sperme fusent entre mes fesses et inondent ma chatte, ses couilles, mes cuisses ; je me sens pénétrée de plus en plus profondément, son gland semble avoir franchi, forcé un seuil au plus profond de moi, une sorte de porte à l’entrée du monde des ténèbres .

Je crois m’évanouir, submergée par l’intensité du plaisir ; je tombe comme morte, ivre, des étoiles plein les yeux, je m’écroule. Je fais surface, j’émerge, je me retrouve à plat ventre sur le lit, les cuisses, les fesses écartées, le sexe d’Edouard à demi enfoncé dans mon cul grand ouvert, jamais je n’ai eu sensation plus douce, je me félicite d’avoir attendu si longtemps, d’avoir choisi celui qui m’avait dépucelé, mon plaisir est à la hauteur de mon fantasme, je viens de me faire enculer, ce mot ne m’effraie plus, il m’enchante. Je me tortille un peu, je sens en moi cette queue si dure et je veux la sentir encore, jamais je n’aurais occasion si favorable, amant si attentionné.
« Edouard prends moi encore, je t’en prie

Je lève mon bassin pour bien l’enfoncer en moi, j’y arrive et je me branle ainsi sur lui qui reste immobile penché sur moi ; je jouis à plat ventre sur le lit, position idéale, je voudrais que cela ne s’arrête pas, mais au bout d’un instant Edouard se recule et se lève, je suis désappointée, j’ai encore tellement envie de lui.
« Viens ! me dit il ; viens sur moi, tu vas voir comme c’est bon, domine moi, prends les commandes, fais de moi ta chose, j’en ai envie.

Edouard s’est allongé sur le dos, de tout son long sur le lit, jambes ouvertes et il m’invite à m’avancer à genoux, face à lui. Il m’arrête quand mes jambes repliées sont de part et d’autre de sa taille, je suis dressée face à lui, les genoux avancés à la hauteur de son torse Il me maintient, ses deux mains passées sous mes cuisses. Nous nous regardons, moi je suis offerte, mon ventre, mes seins à portée de ses mains, je vois sa poitrine, son torse, son visage, son regard fiévreux qui me scrute
« Assis toi sur moi Flora

M’assoir, je comprends, quand je plie les cuisses pour descendre je sens son sexe dressé entre mes fesses grandes ouvertes, ma chatte, mon cul ne se sont pas refermés, je suis comme écartelée par la position qui donne à mon anus la place privilégiée. Privilégiée car en descendant doucement en pliant mes cuisses c’est sur mon anus que se présente naturellement le gland d’Edouard. Dans cette position tout est bon, facile, excitant, reposant presque ! Le plaisir de la pénétration que je contrôle est intense, ce sexe qui entre et que je peux faire jouer en moi par de lents va-et-vient ou des plongées fulgurantes, cela peut être doux ou fort, profond ou plus retenu ; la position des cuisses, l’écartement des fesses, mon anus grand ouvert , inondé de ma mouille, tout concourt au plaisir extrême que j’ai et que je provoque chez Edouard ; il avait raison cette position dite d’Andromaque si je ne me trompe est encore plus jouissive que la sodomie en levrette en ce sens que je suis maîtresse de mon plaisir et du sien et que je ne perds rien du spectacle, du visage d’Edouard que je scrute.

Je m’offre à son regard, mes seins, mon ventre, mon plaisir qu’il doit lire sur mon visage ; moi je vois le sien, il semble faire un effort surhumain pour ne pas jouir ; il relève son buste tends ses bras vers moi comme un appel, une main sur les seins et l’autre entre mes cuisses, paume en l’air, je me relève un peu pour faire place à cette main sous moi, je sens plusieurs doigts s’agiter dans mon vagin qui ruisselle et la pulpe de son pouce qui titille mon clito, pour moi c’est trop et je ne résiste plus, la jouissance me submerge comme jamais avant, complète, je ne sais plus d’où elle vient….. si de partout dans mon corps, ma chatte, mon cul mon clito, mes seins, je m’agite en tous sens, en me penchant en avant, je rampe, je me branle la chatte sur cette main que j’écrase entre mes cuisses sur mon ventre, sur ses doigts et en ondulant de ma croupe, excusez cette expression animale mais c’est ce que je suis en se moment, une femelle en rut, en m’ouvrant et en me resserrant sur cette verge qui perfore mon cul, je la maltraite, la tords en tous sens. Edouard a l’air d’aimer, il se pâme d’aise je visage transfiguré, qu’il est beau à cet instant si proche de la jouissance.

Au plus fort de mon plaisir et presque sans que je m’en sois rendue compte je suis toujours à genoux sur lui mais dans l’autre sens, les fesses écrasées sur ses cuisses, offertes à sa vue, penchée en avant en appui sur mes mains …en levrette en quelque sorte sauf qu’Edouard est sous moi le buste relevé, ses mains me caressent la taille et ce n’est pas moins jouissif, elles m’abandonnent un instant, elles m’aident à relever mon bassin et je sens qu’il redresse son sexe qu’il le guide en moi dans mon entre cuisses mais cette fois dans ma chatte il me fourre à fond en me laissant retomber sur lui et en relevant son ventre ; je m’attends à ses pénétrations mais encore une fois il me laisse faire en restant en moi planté profondément…..

Que j’aime cette position qui me laisse toute ma liberté de mouvement en avançant et en reculant mon bassin pour mieux sentir son sexe serré, tordu d’avant en arrière dans l’ étui de ma chatte en pamoison ; me redresser d’un coup, toujours en lui et retomber, me laisser choir en une pénétration incroyablement profonde, me basculer en arrière mes mains en appui sur son torse et là aidée par les mains de l’homme sur mes hanches me dandiner sur lui dans tous les sens, un vrai feu d’artifice de jouissance .

Et puis d’un coup à partir de cette position je sens Edouard se redresser, relever mon buste, se plaquer derrière moi, son torse dans mon dos , son visage dans mon cou, et murmurer
« Flora, je veux jouir entre tes fesses, dans ton anus, tu veux encore ? tu vas voir comme c’est bon positionnés ainsi.

Incapable de répondre tant mon plaisir est grand à cet instant mais sans résister pour lui faire connaître mon assentiment je l’aide à me soulever pour sortir de lui pour dégager son sexe de ma chatte et quand il me fait redescendre je me sens empalée sur son pieu au plus profond de moi et à partir de ce moment ce fut indescriptible, j’essaie pourtant de vous dire ma jouissance ; je comprends alors pourquoi je l’ai choisi lui pour déflorer mon cul ? Lui assis, jambes écartées ; moi blottie contre lui, écartelée, à genoux, assise sur lui, son sexe en moi, dans mon derrière, son buste sur mon dos, une de ses mains sur mes seins et l’autre passée devant moi en contournant ma taille passée entre les cuisses pour me caresser ma chatte, ses doigts perdus pour masser ma vulve, mon clitoris, pénétrer mon vagin, avant de me les présenter pour que je les suce . Moi, un bras sur sa cuisse, l’autre levé, mon visage tourné vers le sien pour lui donner ma bouche.

C’est à cet instant qu’Edouard me rejoint, il n’en peut plus et de son plaisir il bascule dans l’orgasme, orgasme puissant, orgasme bruyant en quelques cris et plusieurs soubresauts je sens son plaisir gicler en moi, inondant mon anus, ma raie des fesses , ses cuisses et ses couilles.

De connivence, toujours lovés nous basculons sur le côté sans nous désengager et nous laissons revenir le calme , de petits mouvements prolongent, notre bien être ; je suis toujours pleine de lui ses deux mains passées devant sur mes seins et sur mon ventre me serrent simplement, me caressent tendrement.

Edouard s’est éteint doucement, mon anus devient libre, je me retourne contre lui, je l’embrasse tendrement, il me sourit, il sait le plaisir qu’il m’a donné
« Merci Edouard, je n’oublierais jamais ce cadeau que tu viens de me faire
« Nous allons nous revoir alors
« Promis……… Mais je t’en prie, pense à ma mère, elle aussi a besoin de toi.
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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : L'initiation 2

Le 18/07/2015 - 22:12 par Bugs
Ça beau être une histoire mais, passer de l'anale à la vaginale... Mycoses, inflammations du col de l'utérus, cystites, etc etc... Pour le reste bien... Bravo!

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