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La belle plombière

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Lue : 8287 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 24/10/2013

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Je l’ai entrevue un jour et cela a été un éblouissement, il fallait que je la revoie et c’est le nom que j’ai inventé pour lui écrire puisque j’ignorais le sien. Je vous fais lire cette lettre.



Belle Plombière Paris le .. / .. /…

Vous allez sans doute être intriguée par cette lettre, furieuse peut être, amusée je l’espère, curieuse pour le moins mais je tenais à vous dire que je ne suis pas sorti indemne lors de notre première rencontre. Inconscient je venais dans vos ateliers pour différents travaux de tuyauteries à faire chez moi dans ma résidence secondaire des bords du Loir.



Savez-vous dans quel état vous nous laissez quand nous venons vous voir? On ne s’attend pas à voir surgir de votre antre une telle beauté, la grande femme que vous êtes avec un si charmant minois. La première stupéfaction passée quand l’attention que vous nous portez nous rassure, nous ne serions pas des hommes si nous ne remarquions pas le reste : le reste, c’est ce qui est dessous votre visage si agréable, votre corps si parfait qu’on ne s’attend pas à l’imaginer en ces lieux : vos petits seins assortis à votre longiligne silhouette, vos jambes qui n’en finissent plus tellement elles sont longues et pardon de vous le dire, des fesses admirables comme on n’en voit qu’au cinéma, rondes et fermes.


Nous les hommes, et moi en particulier ce sont ces raccordements de courbes gracieuses qui m’affolent le plus. Quel spectacle vous devez donner quand sortant de l’ombre de votre bureau, on peut vous admirer à la lumière du jour ! Heureux homme que votre époux ! S’il n’est pas jaloux connaît il sa chance ? Car si comme je le crois votre tempérament et votre physique vont de pair il doit se féliciter chaque jour de vous avoir choisie. Qu’il se rassure je ne suis pas là pour vous séduire mais pour rendre hommage à votre beauté rare.


Je vous imagine cependant un peu coquine quand le matin devant votre miroir vous choisissez votre parure, vous avez bon goût, cherchant à vous plaire, à plaire à votre chanceux de mari, mais aussi à nous les hommes qui allons vous côtoyer et que vous aller liquéfier par votre charme. Vous devez sourire en pensant à l’effet que vous allez nous faire et qu’à la dérobée vous allez lire dans nos yeux.


Je vous soupçonne d’en ajouter un peu pour nous anéantir en vous présentant ainsi .Vous avez ce que l’on nomme du sexe appel. N’est égal à votre beauté que votre manière de la mettre en valeur. J’ai en mémoire votre première apparition, vous aviez ce jour-là une sorte de petit short accroché à vos hanches sur un collant noir qui moulait au plus près vos formes généreuses, j’ai eu je l’avoue beaucoup de mal à me concentrer sur l’objet de ma visite. Cette petite culotte n’ayant de ridicule que sa petitesse au service de la mise en valeur de vos cuisses et de vos fesses.


Je ne suis pas Tartufe qui s’offusquait faussement de voir les seins de la femme qu’il convoitait, au contraire j’aime ce qui est beau et l’érotisme de bon goût qui se dégage de votre personne et je ne m’en cache pas. Mon regard a dû ce jour-là être un peu trop appuyé mais il se régalait de voir la presque totalité de vos cuisses rondes, le petit short ne masquant vers le haut, dans l’arc parfait de vos jambes, que le strict minimum mais laissant cependant filtrer un rai de lumière dans la petite lucarne affolante et attirante de l’entre cuisses.


Je ne parlerais pas des moments trop courts où vous me tourniez le dos, comme l’on dit l’envers valait l’endroit. Ce jour-là j’ai accumulé en quelques instants les images pour fantasmer en pensant à vous. Cela vous rassurera peut être de savoir que le fantasme c’est malheureusement le plaisir de vivre par la pensée ce qui est impossible de réaliser ; merci d’avoir enflammé mon imagination.


L’imagination c’est mon point fort, elle me sert à écrire des romans assez appréciés où je mêle l’aventure à mes fantasmes, j’ai une envie folle de faire de vous l’héroïne d’un prochain ouvrage : La belle Plombière vous savez comme ce succulent dessert glacé aux fruits confits ; vous y sortiriez de l’ombre pour vous révéler dans la pleine lumière du monde.


J’espère que vous ne m’en voudrez pas pour ces confidences un peu osées, j’espère au moins qu’elles vous ont fait sourire, n’y voyez aucun manque de respect ni d’intrusion dans le calme de votre vie mais j’ai été si impressionné en vous voyant que je n’ai pu m’empêcher de vous crier mon admiration. J’aimerai être votre confident pour vous mieux connaître, en tout bien tout honneur.


Si vous êtes la première à lire cette lettre peut être aimerez-vous la garder en secret et commencer comme moi à fantasmer, je ne suis pas trop mal moi aussi et comme vous je mérite le détour. Un jour si j’ose je vous appellerais en disant simplement Bonjour, je suis Pierre j’espère qu’alors nous pourrons parler et nous connaître ? Quel prénom attacher à votre image ? En attendant gardez cette bonne habitude d’être aussi sexy, c’est bon pour vous, pour votre époux, pour le moral de vos clients qui vont de plus en plus nombreux accourir sous prétexte de travaux, le chiffre d’affaire devrait monter.


Sachez que l’on vous admire, vous êtes très belle
Pierre de la Garde

……………………

Voilà ! La lettre est partie à l’adresse de l’entreprise, dans quelles mains allait-elle tomber ? Comment serait-elle reçue ? Mon espoir c’était que ce soit elle, cette belle inconnue qui ouvre le courrier et qu’elle le garde à l’insu de son mari, ce serait un signe encourageant pour moi ; le début de quelque chose…..car contrairement à ce que j’écris dans cette lettre où je lui dis ma simple admiration, mon fantasme depuis que je l’ai vue, c’est de lui parler, de lui écrire, de la voir, de la caresser, de la faire jouir…..un fantasme quoi ! avec tout ce qu’il implique d’exaltation et de souffrance.


J’ai laissé passer un peu de temps avant d’appeler. Mon cœur battait la chamade quand à l’autre bout du fil on décrocha et qu’une voix féminine se fit entendre.je me présentais. : Bonjour je suis Pierre ! . Un silence… un rire cristallin ….. puis des mots comment dire… bienveillants…encourageants montrant que mon courrier était bien arrivé et lu.


« Ahh Pierre ! C’est vous ?
« Oui comme je vous l’avais promis. Vous n’êtes pas fâchée ?

Nouveaux rires

« Fâchée non, au contraire, amusée, curieuse, çà oui. Merci d’abord pour la description flatteuse de ma personne, cela nous a fait rire mon mari et moi, il est près de moi

Son mari près d’elle ! Mince, dommage….était-ce un signe ? Que penser ? Fine mouche, me prévenait- elle de ne pas aller trop loin? Avait-elle deviné au-delà de mes mots le désir qu’elle m’inspire.


« Je voulais vous dire mon admiration en tout bien tout honneur, cela a été plus fort que moi, me pardonnerez-vous ?

« Il n’y a rien à pardonner, j’étais flattée et mon mari est plus attentionné avec moi depuis, merci…rire. Vous écrivez bien……J’aimerais lire vos romans Pierre !

« c’est possible..oui….mais comment faire ?

J’avançais sur des œufs, j’imaginais son mari derrière elle

« Mais Pierre comme vous voulez, par téléphone, par courrier, par internet

« Vous savez, certains de mes romans sont un peu coquins

Je prenais des risques

« C’est la mode en ce moment, l’érotisme, je ne déteste pas Pierre, faites ce qui vous semble bon…..mais je dois vous laisser…à bientôt peut être ?

« Oui à bientôt……..

Ce silence dans ma voix en suspension, j’attendais qu’elle me dise son prénom,

« Pierre moi c’est Tina
Puis plus rien…que le bruit de la tonalité

Je tremblais comme une feuille, elle m’avait encouragé par ses mots, l’expression de sa voix, j’en étais sûr, je le sentais, mine de rien, elle m’avait mis en garde de ne pas m’enflammer comme j’en avais envie. Mais j’étais seul maintenant avec des problèmes d’approche à résoudre


Au fil des jours je dus abandonner les appels téléphoniques car je tombais toujours sur une voix masculine et j’étais à court pour inventer de fausses raisons que j’évoquais pour mon appel. J’avais l’impression que son mari, car ce devait être lui, montait la garde et même au bout de quelques jours qu’il n’était pas dupe de ces demandes plus ou moins farfelues que j’évoquais.


Les jours passaient inutilement et mon désespoir devenait souffrance…..presque physique……tout ceux qui cherche ainsi, en vain, le savent. Elle m’avait parlé d’internet, un domaine inconnu pour moi à l’époque et je m’équipais d’un ordinateur portable. Mais là encore impossible de communiquer sans l’adresse email de l’entreprise introuvable et quand bien même l’aurais-je comment être sûr de tomber sur mon fantasme, ma beauté ?


C’est alors que j’eus une l’idée qui changea tout ; idée que seuls peuvent avoir ceux qui comme moi et d’autres déterminés à retrouver ce qu’ils cherchent, pour moi ma belle plombière, ma Tina, sans bien même savoir si elle partagerait mon attrait pour elle. J’interrogeais le site copains d’avant, je connaissais la région, le nom de famille et un nom de femme, son prénom apparut, un seul. Je rédigeais un message


Une bouteille à la mer
Seriez-vous la jeune et jolie femme qui m'a pétrifié lors de votre première apparition dans ma vie. Cette jeune beauté portait le même nom que vous. Troublé je n'ai pu m'empêcher de lui écrire mon admiration. Quand j'ai pu la joindre j'ai senti au son cristallin de son rire que je ne l’avais pas importunée, au contraire elle me disait pouvoir lire les romans que j'écris. Elle me disait pouvoir être jointe par internet. Si vous êtes cette jeune femme là j'aimerai en tout bien tout honneur devenir votre correspondant sur le Web. J'ai menti évidemment en disant que j’ai fréquenté votre Lycée. En regardant votre photo je retrouve l’image de celle que je n'ai vu qu'une fois et qui m'a tant impressionné.
Si vous n'êtes pas celle que je crois dites le moi, je poursuivrais ma quête. Peut-être alors souhaiterez-vous pigmenter votre quotidien en devisant par les ondes avec moi. Pierre de la Garde

Aucune réponse ne me parvint, mais quinze jours après je recevais cet email dont je vous livre la teneur mot pour mot.

cher pierre,
je vous ai adressé deux messages hier et ils n'apparaissent malheureusement pas dans ma liste de messages envoyés ce qui m'inquiète un peu. Il se pourrait que vous ne les ayez pas reçus. Je regarderai à partir d'aujourd'hui le plus souvent possible mes messages afin de vous répondre plus rapidement.
A BIENTÖT PIERRE
PS : c bien moi, celle que vous avez appelé " la belle plombière"

Mon cœur, mon corps parurent exploser j’étais terrassé par l’émotion, j’avais un lien direct avec ma beauté et le ton qu’elle employait ne me trompait pas, elle aussi était désireuse de communiquer avec moi. Tous ceux qui ont vu leur fantasme se concrétiser me comprendront. J’étais heureux, euphorique, excité, ému vous comprenez ce que je veux dire ! Plein d’espoir et de fantasmes.

A partir de cet instant nos mails s’échangèrent à grande cadence en dehors du site qui m’avait fait la trouver, plusieurs par jour, elle était mariée avec deux enfants, elle se sentait cloitrée dans l’entreprise familiale, avec son mari sans cesse derrière son dos ; elle suivait des cours d’esthéticienne pour s’en éloigner le plus possible, elle avait un amant car elle ne trouvait pas son compte de caresses chez elle, elle avait besoin de sexe et elle insista pour que l’histoire que je lui avais promise soit coquine, très coquine même. Je ne lui cachais pas mon âge ce qui ne la dérangea pas au vu des photos que nous échangions. Je lui indiquais le site où elle pourrait, comme vous le faites, lire mes nombreuses histoires

Je lui ai envoyé une histoire dont elle était l’héroïne : Sous un faux prétexte elle avait pu s’échapper plusieurs jours et je la sortais de sa Province, lui faisais connaître Paris, Je la promenais au grand jour, nous allions dans des grands restaurants, au théâtre, je la faisais admirer de partout ; elle préférait les boîtes de nuit aux musées, nous dansions jusqu’aux petits matins, je l’emmenais chez moi et je décrivais tout ce que je lui faisais pour la faire jouir. Je ne négligeais aucun détails et comme je l’alimentais épisode par épisode, elle me répondait par des lettres enfiévrées me racontant comment mes mots la faisaient jouir. Cependant, au premier épisode de mon histoire alors que je restais encore prudent et réservé elle me dit entre autres nouvelles

« Cher pierre,
……… De ce qui est votre livre, j'ai hâte de pouvoir le lire calmement et seule mais je n'arrive pas à trouver de moments intimes ces derniers temps. Je l'ai malgré tout survolé mais je ne me reconnais pas et cela me chagrine.
Vous aviez fait une telle description de moi dans votre première lettre que j'aurai aimé qu'il en soit autant dans votre livre.
Je ne vous en veux pas car vous me connaissez si peu.
Vous souhaitez que je vous parle de moi pour pouvoir avancer mais est-ce que la femme qui va se dévoiler arrivera à la hauteur du mythe que vous en avez fait?! J'ai envie de faire avancer ce livre avec vous mais dites j'aimerai que vous me fassiez part de vos sentiments si vous pensez que nous ne sommes plus sur la même voie.

J’ai trouvé dans ce début de récit que vous étiez trop gentil, trop au petit soin pour moi, j’aimerais dans la suite que vous me brusquiez un peu, à me mettre nue…oui osez baisez moi plus fort, faites-moi jouir en me couvrant de caresses, de baisers, sur mon corps, mes seins, mon sexe…..complimentez moi…dites-moi que je suis belle désirable, vous seul avait su le voir et me le dire. Vous voyez je vous mets à l’aise, déchainez-vous comme dans vos histoires que j’ai dévorées. Pour ne rien te cacher je mouille en ce moment je me caresse, ma main c’est la tienne , mes doigts c’est ton sexe, tu as compris qui je suis , ce que je veux Pierre, tu as mis le feu en moi, fais-moi jouir par tes mots, parle-moi quand tu me baiseras, devine mes fantasmes égaux aux tiens…. ;tu comprends ce que je dis, ce que je voudrais être pour toi…j’ai osé te le dire, aller viens enrichir ma vie si terne…viens, viens vite…vite je n’en peux plus…je jouis…c’est bon…. Caresses…… Je vous laisse Pierre je ne suis plus seule désormais

J’attends de vous lire. Tina



J’étais renversé, je n’arrivais pas à le croire, seule la bandaison qui m’avait saisi quand elle s’était dévoilée en me tutoyant d’un coup, en mouillant, en se faisant jouir me montrait que je ne rêvais pas, j’allais pouvoir donner libre cours à toutes mes envies, mes fantasmes, avec mes mots sur l’écran et son corps dans ma tête. Sur le champ je lui répondis en m’enflammant moi aussi, en lui disant l’effet qu’elle me faisait en la couvrant de compliments sur son corps dénudé, sur ses seins, son ventre, ses fesses, je lui parlais de mon sexe palpitant et entamant le début du deuxième épisode je la baisais comme dans mes fantasmes les plus fous et je lui envoyais tout..

Elle me répondit quelques heures après, elle avait pu s’isoler en s’allongeant dans sa chambre et rien qu’en lisant nos étreintes, nos caresses sur son portable elle s’était mise à jouir sans même se caresser ; elle m’avoua que la raie de ses fesses s’était inondée souillant ses draps dont elle n’avait cure, elle avait senti s’ouvrir sa chatte qui ruisselait. Elle me disait que c’était seulement après avoir fini sa lecture quelle s’était isolée de tout en fermant les yeux, allongée sur le dos, cuisses ouvertes, avec mon image, mon corps, mon sexe entre ses cuisses qu’elle s’était caressée sa vulve gonflée, elle s’était masturbée en glissant ses doigts dans son vagin et même dans le petit trou voisin et que là elle avait été saisie d’un orgasme si fort qu’elle s’était mise à crier et à se tordre sur son lit comme si c’est moi qui la baisait………

Durant les jours suivants je l’abreuvais dans mes messages d’étreintes folles, de pénétrations profondes, de compliments sincères sur sa beauté, son ardeur. Elle me disait sa jouissance et la complexité des caresses qu’elle imaginait me faire elle aussi avec ses doigts, sa bouche, sa langue, ses seins. Elle me disait ce qu’elle aimerait que je lui fasse et je le faisais en prenant mon plaisir moi aussi. Je lui disais à l’envi comme elle était belle, excitante, bref nous baisions dans toutes les positions …par la pensée.. et c’était bon. Il nous ait même arrivé de jouir ensemble en nous parlant au téléphone.


Qui de nous deux parla le premier de se rencontrer, je crois que c’est elle. Mais elle ne voulait pas vivre avec moi, non elle voulait me voir, parler et faire l’amour, elle en avait tellement envie, quelques heures lui suffiraient pour l’instant, une nuit peut être après, nous verrions…. J’étais d’accord pour ce rendez-vous qu’elle proposait…..pour voir, semble t’il.

Ce jour-là, il faisait beau, je l’attendais dans ma maison au bord du Loir j’avais ouvert mon portail pour qu’elle puisse se garer discrètement et quand j’entendis le crissement des graviers sous les pneus de sa voiture je m’avançais au-devant d’elle. J’ouvris sa portière et je l’aidai à s’extirper de sa voiture et elle sortit en un écartèlement de ses cuisses, subliminal, jupe fendue, retroussée jusqu’à sa culotte noire qui mettait en valeur ses cuisses pleines et la blancheur de sa peau.

Le moment était crucial. Debout devant moi elle me regardait de haut en bas, mon visage, ma stature, la manière dont j’étais vêtu. Elle me connaissait par les photos que je lui avais envoyées, trompeuses parfois …mais là non, elle me souriait et s’avançant vers moi elle me fit un tendre baiser sur la joue, discret.

J’étais comme fou moi aussi, elle était aussi belle que lors de son apparition dans ma vie, tout dans sa démarche me plaisait. Je lui pris la main pour monter les quelques marches du perron et à chacune d’elle sa jupe s’ouvrait sur ses jambes sans fin, jusqu’à sa cuisse droite complètement nue qui apparaissait à chacun de ses pas, le genou se découvrait d’abord puis sa cuisse jusqu’aux limites de sa culotte sombre.

Il en fut autrement une fois entrée devant moi dans le vestibule, elle se précipita dans mes bras en m’offrant sa bouche. Elle m’avoua plus tard qu’à cet instant qu’elle attendait intensément, elle ne se contrôlait plus et qu’elle avait inondé sa culotte, ses cuisses et la raie de ses fesses.

Je la serrai contre moi, nos ventres soudés, une de mes mains déjà sur son corsage entre les pans de sa veste ouverte, l’autre à l’arrière perdue sous sa jupe retroussée. Elle voulait savoir elle aussi , pressée de me découvrir, elle déboucla mon ceinturon et glissa une main par devant , la paume sur mon ventre nu qu’elle glissa dans mon pantalon directement sous mon boxer ; je sentis ses doigts s’agripper sur mon membre érecté ; cela sembla lui plaire si j’en crois le frissonnement nerveux de son visage qui suivi la découverte de ma virilité, pleine de promesse.

Nous étions excités tous les deux et nos caresses étaient ponctuées de mots sans suite où les ; tu es belle se conjuguaient avec les prends moi, les fais-moi tous les j’aime tes fesses, les tu bandes

Ma main en arrière était passée sous sa culotte, elle s’enlisa en s’enfonçant entre ses cuisses, sous les lobes de ses fesses, sur sa chatte, dans sa mouille qui inondait ses petites lèvres sorties et ouvertes ; avec le bout de mes doigts je serrais toute sa vulve et il me fut facile de faire glisser ses grosses lèvres lubrifiées l’une sur l’autre en d’onctueux et lents vas et viens. Cette première caresse intime sembla plaire à Tina car elle se mit à gémir en écartant ses cuisses pour que je puisse prendre sa chatte à pleine main par dessous

Sa main s’agitait dans ma culotte directement sur mon sexe plaqué sur mon ventre et tout ce remue-ménage fit glisser la fermeture éclair et je sentis une fraicheur sur mes fesses quand mon pantalon glissa sur mes pieds. J’avais ouvert son corsage et je pris le bout de ses seins dans ma bouche et ce fut un beau chahut, sa poitrine sensible mise à l’air me sembla plus généreuse qu’il m’avait semblé, Tina rabattit nerveusement mon boxer sous mes parties libérant mon sexe bandé, décalotté à l’horizontale et elle le prit, simplement serré entre ses cuisses.

« Baise moi criait elle, maintenant…comme ça…je n’en peux plus

Alors je me mis derrière elle, je lui retroussais sa jupe et la coinçais à sa taille, je la poussais vers les premières marches de l’escalier qui montait au premier étage et elle s’ouvrit, son pied droit sur la deuxième marche. Je voyais le compas de ses cuisses ouvertes, je vis sa culotte que j’écartais d’un doigt de ma main gauche, je crus jouir en voyant sa vulve gonflée, ouverte, offerte, inondée et avec l’autre main serrée sur mon sexe je m’avançais pour le présenter, me centrais entre ses lèvres et d’un coup je m’enfonçais dans son vagin.

Elle hurlait sa jouissance en cris syncopés au rythme de mes pénétrations et du claquement de mon ventre sur ses fesses, le l’avais prise par les hanches pour mieux entrer en elle, et l’attirer vers moi , bien au fond de son sexe comme elle le réclamait en hurlant

« Plus vite, plus fort oui ouiiiii ouiiiiiiii ahhhoouiiicébon

Elle avait joui tout de suite, elle était prête, chauffée à blanc. Abandonnant ses hanches j’avais pris ses seins à pleines paumes en les agitant en tous sens, ils avaient grossi, c’était comme du marbre chaud que je sentais vibrer dans chacune de mes mains et quand tout en continuant de les agiter en pinçant leurs bouts entre mes pouces et index ce fut un cataclysme et je n’eus pas besoin de besogner sa chatte, car c’est elle qui en ondulant du bassin à sa guise, à son rythme, venait s’empaler sur mon sexe

Pour mieux épouser ses formes j’avais moi aussi mis mon pied droit sur la deuxième marche, ma cuisse collée derrière la sienne et je pus m’enfoncer plus profond en elle et limer sa chatte comme un mort de faim, encouragé par les cris de Tina en plein orgasme.

Depuis le début elle jouissait sans interruption, mon sexe était tordu en tous sens par les circonvolutions de sa croupe en furie et quand le plaisir monta en moi comme une trainée de feu, dans un cri je me retirais et je n’eus que le temps d’écarter sa culotte sur le côté dévoilant complètement ses rondeurs jumelles et dans un grand cri, comme le brame d’un cervidé en chaleur j’inondais ses fesses magnifiquement ouvertes de mon plaisir, de ma mouille en longues et puissantes giclées nacrées dont chacune me tirait un cri……. Elle hurla

« nonn nonnn nooonnn…. Que fais-tu…..pourquoi es-tu sorti ….refourre moi, vite viiitte….baise moi…encore

Elle voulait jouir encore, elle s’était agenouillée sur la deuxième marche, le buste penché en avant, les bras en appui sur la troisième marche, sa jupe relevée, elle était dans une position idéale, les fesses offertes, bien en évidence, pour que le la prenne, moi tout à mon aise, debout derrière elle, en levrette. Je regardais mon sexe dressé en appui sur ses fesses ; moi aussi j’avais envie de la douce chaleur de sa chatte, je me reculais en pliant un peu mes jambes et mon sexe s’abaissa, légèrement arqué vers le haut, dans la petite lucarne de son entre cuisses.

Alors je n’eus pas grand-chose à faire pour la pénétrer à nouveau, je glissais mon gland sous la rondeur de ses fesses que j’écartais avec mes deux mains , je m’avançais en plaquant mon ventre sur elle , je sentis mon sexe glisser au fond de sa raie , mon ogive décalottée reconnaitre son anus au passage avant de s’engager entre ses grosses lèvres, je n’eus qu’à me redresser pour me centrer et entrer doucement .

J’étais en elle de nouveau, naturellement, dans son vagin ouvert et inondé et la danse reprit ponctuée de nouveau de ses cris de plaisir. Comme elle était je voyais ses fesses magnifiques ouvertes masquées en partie par sa culotte, sa jambière avec ses fanfreluches en dentelles qui frôlaient ma verge à chaque pénétration, participait à mon plaisir par ses caresses soyeuses sur ma hampe.

En écartant sa culotte je voyais son petit trou au fond d’une petite dépression, avec son auréole plissée de couleur bistre, je pouvais le voir vivre lui aussi, il pulsait imperceptiblement en s’ouvrant et se refermant légèrement quand mon sexe entrait et sortait de sa minette. J’étais fasciné de voir cette sorte d’œil de cyclope qui semblait me regarder et m’appeler.

J’approchais ma main droite de ses fesses, paume en avant et tout en continuant de la prendre je présentais mon petit doigt à l’entrée de ce petit gouffre si sensible si innervé et je le pressais, le caressais en tournant autour. Tina surprise poussa une sorte de feulement que je pris pour un encouragement, alors j’entrais le bout de mon auriculaire, juste le bout, presque rien, juste la pulpe, tout au bord, à l’entrée de ce muscle annulaire puissant.

Ce petit sexe entra tout seul tant l’anus avait bénéficié de la mouille de sa vulve. Il vivait, mon doigt était expulsé de son petit trou par des petites contractions volontaires de Tina et je pouvais à nouveau lui faire reprendre sa place en entrant de nouveau en elle. Je sais le plaisir que donnent ces petites effractions légères, au début, les retraits de ce petit membre de l’anus qui se referme sur lui en un délicieux glissement, en se préparant à d’autres assauts et je comprenais le plaisir qu’elle avait de l’expulser de son cul pour mieux le retrouver l’instant d’après la forçant inlassablement.

Par ce jeu, cette connivence muette, avec la première phalange de mon petit doigt qui entrait maintenant en elle je pouvais conjuguer ces petites enculettes avec les pénétrations de ma verge dans son vagin ? Cela semblait plaire à Tina qui geignait. Je savais ce qu’elle ressentait car j’aime ce genre de plaisir pour le faire, moi aussi, sur mon anus savonné quand je suis nu dans ma salle d’eau assis sur le bidet et que je fais jouer mes doigts en me caressant avant de les faire entrer subrepticement en moi.

Je sais ce qu’elle ressentira quand mon petit doigt entrera enfin en elle complètement et glissera, s’agitera, libre dans son rectum après le passage étroit de son anus, quand il ressortira éjecté comme à regret de son cul resserré sur lui, comme pour le garder, mais restant entre ouvert en attendant son retour, impatient .

Je connais ce plaisir qui montera quand je ferais jouer ce jeu, à tour de rôle, à chacun de mes doigts du plus petit au plus long, au plus gros, sans laisser le temps à son petit trou de se refermer. Tina compris mon manège et le plaisir nouveau, complémentaire que donne ces deux pénétrations synchrones ou antagonistes de mes doigts dans son anus et de ma verge dans son vagin.

Elle était attentive, ne disait mot, attendant la suite, ces sensations de plus en plus fortes ; seul son bassin ondulait à nouveau, basculait d’avant en arrière pour régler elle-même à son gré cette danse jouissive mais quand ce fut la pulpe de mon pouce qui la pénétra mes quatre autres doigts en l’air épousant ses fesses elle ne put se contenir et son orgasme éclata sans retenue, elle hurlait sa jouissance en des mots inarticulés, vides de sens, mais ô combien significatifs du plaisir sans bornes qu’elle éprouvait.

Troublé moi aussi l’envie de jouir montait de mes entrailles quand dans un cri Tina me dit de la prendre avec mon sexe.

Je n’osais comprendre, son anus restait grand ouvert mais il y a une marge entre mon pouce et mon sexe ; doucement je le sortis de sa chatte il était énorme presque effrayant pour ce joli petit cul entre ouvert, je mis mon gland décalotté bien en face et en m’aidant avec ma main en tournant mon gland je le fis entrer doucement ; sa tendresse, sa plasticité facilita l’intrusion ; restait le plus difficile, faire entrer ma hampe dure et tendue. Je le fis en parlant à Tina

« Tu vas bien Tina ?
« Oui Pierre, elle est grosse, va doucement ; j’ai tant rêvé de cet instant ! si tu savais !

Avec ma main j’aidais le bout de mon sexe à entrer et sortir en m’enfonçant chaque fois un peu plus, la mouille facilitait la chose ; je lui faisant décrire des petits cercles comme on ferait d’un plantoir dans la terre meuble et peu à peu à chaque sortie je voyais ce cratère s’ouvrir davantage, s’arrondir à la dimension de ma hampe ; je voyais l’entrée rose de ce puits sans fond ; je voyais ma verge luisante , mon gland à demi caché dans cette sorte de bouche en feu, alors là, doucement, mais sans m’arrêter, je m’enfonçais à fond, mes parties en butée sur ces fesses

« Je te sens bien Pierre c’est bon, sodomise moi bien et surtout ne sort pas pour jouir…d’accord

Ce fut la seule phrase audible car après ce ne fut que des cris, des onomatopées animales parfois les : ouiiiiii, des : c’est bon étaient perceptibles mais le reste ce fut de la furie verbale comme les soubresauts de son corps tétanisé par le plaisir.

Mes mains étaient libres, je passais ma main droite en arrière, entre mes fesses sous mes parties pour l’avancer entre ses cuisses et empaumer sa chatte et plonger deux de mes doigts dans son vagin ruisselant, avec ma main gauche je lui pétrissais ses seins qui dodelinaient allongés par la pesanteur.

C’était trop, pour elle et pour moi, j’étais au bout de mon émotion, elle de sa jouissance nous avions du mal à garder la position tant nous étions agités

« Je vais jouir Tina, éclater dans ton cul…tu veux
« Je veux te voir jouir Pierre je veux voir ton regard, je veux que tu me voies jouir toi aussi

Alors sans vraiment réfléchir mais comme si nous nous étions concernés, guidés par le même but je la soulevais dans la position intime où nous étions et je reculais pour m’agenouiller sur la moquette de vestibule. Tina se désengagea de moi et s’allongea sur le dos, son bassin entre mes cuisses, je pris ses jambes en les relevant pour les caler sur mes épaules, elle avait les cuisses, les fesses écartelées, son anus grand ouvert, offert ? Alors presque naturellement mon sexe trouva son chemin pour entrer bien à fond.

J’étais penché sur elle ma poitrine sur ces seins nous nous regardions intensément, qu’elle était belle dans le plaisir qui ne l’avait pas quitté, le mien devait se voir aussi ; alors dans un grand spasme nous nous abandonnèrent au plaisir, je résistais pour ne pas jouir trop vite pour lui laisser le temps de profiter de moi, de ma verge, de mes mains qui la caressaient de partout mais quand son regard se troubla , qu’elle se mit à haleter, que son nez se pinça, quand dans un grand cri sa bouche se tordit, je me laissais emporter par la lame de fond de ma jouissance et j’éclatais en elle dans un cri de fauve.

Qu’il est merveilleusement fugace cet instant où l’on jouit ; de ce plaisir qui nous inonde d’un coup, notre corps irradié par le désir ; fugace mais suprême quand notre jouissance se conjugue avec celle de notre partenaire en plein orgasme elle aussi ; notre sperme qui ravage notre sexe comme une trainée de feu et ces jets qui fusent dans le corps offert de notre amante et qui la révulse de plaisir.

Qu’il est bon aussi le moment où l’on voit sa partenaire jouir encore longtemps après nous et se tordre, s’ouvrir, se serrer sur notre sexe agonisant. Qu’il est émouvant aussi l’instant ou comme à la fin d’un orage le plaisir de notre complice s’éloigne par vagues, les derniers gémissements, les dernières tensions de son corps qui s’amolli peu à peu. Qu’il est bon ce regard qui retrouve toute sa lucidité et qui plonge dans le nôtre, ce sourire qui remplace les rictus de la jouissance et enfin qu’il est merveilleux le relâchement qui suit ce moment de plaisir total quand nous sommes serrés l’un contre l’autre, seins écrasés, cuisses mêlées, les corps enlacés par nos bras et les baisers de nos bouches dans le cou, nos mains caressant les cheveux…….

Nous étions dans cette dernière phase Tina et moi serrés l’un contre l’autre à nous câliner et nous n’étions que dans le vestibule, éberlués tous les deux de ce que nous venions de vivre

« Pierre !
« Oui Tina !
« Je veux bien rester cette nuit

Nous étions les plus heureux de la terre quand je l’entrainais dans ma chambre et là devant le grand miroir de l’armoire qui se trouve face à mon grand lit je la pris dans mes bras où elle s’abandonna collée à moi. C’est troublant de voir notre image, ainsi enlacés, presque nus. C’est Tina qui me dévêtit complètement et je fis de même. Nous étions beaux tous les deux et nous nous regardions, attendris, excités, Tina regardait mon sexe dressé et manifestement je devinais son désir, elle était venue pour ça, pour jouir comme jamais elle était en attente d’étreintes savantes qu’elle voulait découvrir, enfin.

« Tina ?
« Oui Pierre
« Allonge toi…en travers du lit….je voudrais te faire jouir avec ma bouche…tu veux ?
« Tu le ferais Pierre…ouiiiii j’attends ce geste, ce plaisir depuis si longtemps
« Mets bien tes fesses au bord du lit….oui..c’est bien…..écarte un peu tes cuisses…détends toi bien….je m’agenouille…tu sens mon visage
« Oui je le sens, c’est doux, c’est chaud

Moi je découvrais la chatte de mon amante, une belle et grosse chatte épilée complètement, juste une petite touffe de poils sur son ventre plat. J’avançais mon visage vers ce trésor, vers ces grosses lèvres entre ouvertes et bouche fermée j’embrassais sa vulve comme on embrasse une bouche, longuement en mordillant ses lèvres perpendiculaire aux miennes, en mâchonnant la chair tendre, en la léchant comme le ferait la langue râpeuse d’un petit chat.

Tina ne bougeait pas, elle écartait un peu plus ses cuisses pour s’offrir davantage, mais elle poussa un petit cri quand la pointe de ma langue s’inséra entre ses lèvres et en parcouru le cours de l’anus jusqu’à son ventre, elle devait la sentir aller et venir, légère, curieuse, obstinée ; son plaisir était déjà là et je poursuivis ce frôlement, cette douce caresse jusqu’à l’entendre geindre et se tordre sous moi.

Avec les doigts de ma main droite j’avais ouvert ses grosses lèvres, mettant au jour les petites. Elles étaient toutes gonflées, gorgées de sang bien raccordées au capuchon de son clitoris. Je faisais redresser ce petit sexe en remontant son pubis avec les doigts de ma main gauche posée sur son ventre ; j’avançais mon visage et c’est bouche grande ouverte que je la possédais.

Je plongeais sur son vagin enfonçant ma langue et je remontais jusqu’à prendre dans ma bouche le clito dressé que j’avais relevé. Je le suçais en aspirant le gardant quelques secondes dans ma bouche fermée sur lui. Puis je dégageais mon visage, retirais mes mains pour mieux revenir à nouveau penché sur elle, écartelant sa chatte, relevant le clito pour le saisir, l’aspirer le mâchonner avec ma bouche à chaque passage.

Il fallut quelques aller et retour de mon visage pour que Tina en ressente tous les effets, ces gémissements étaient des petits cris poussés quand mes lèvres possédais son petit sexe, il était devenu gros et dur et à l’entrée de son antre son petit gland venait quémander sa caresse.

Moi j’aime donner ce plaisir, faire cette caresse et je n’ai de cesse de faire hurler mes amantes les voir s’ouvrir sur ma bouche, voir leur corps, leurs seins se durcir, s’agiter en tous sens. Tina étaient de celles qui jouissent intensément en le montrant, pour elle j’étais prêt à toutes les fantaisies. J’alternais les caresses de ma bouche avec celles de la pointe de ma langue que je faisais passer dans les sillons si lisses si jouissifs qui se creusent entre les petites et les grosses lèvres, je passais de l’un à l’autre, de gauche à droite en passant sur l’entrée du vagin en bas et par le haut ma langue s’agitait comme une folle sur le clito avant de replonger.

Tina était réceptive elle jouissait en continu et cela me transcendait m’encourageait à poursuivre, à inventer d’autre caresses. Son vagin était complètement ouvert et ma langue durcie la baisait en entrant complètement en elle et en s’agitant, j’aspirais ces petites lèvres, je titillais son clito comme un fou, ma langue s’insérait aussi entre ses cuisses et ses grosses lèvres, j’étais alors proche de son anus que le léchais aussi. Tina mêlait ses rires à ses cris de plaisir, je devais la maintenir pour continuer de la faire jouir et quand tout en la suçant je mis un de mes doigt dans son petit trou ce fut de la folie, les soubresauts de son corps étaient tels que je devais la laisser libre, libre de se vautrer sur moi, de se caresser avec mon visage en étalant toute sa mouille.
En un moment elle me cria

« Baise moi…baise moi….Piiiieerrre…..ooouuiiii

Elle avait relevé son bassin, agitait ses fesses comme une folle et elle poussa un grand cri quand en me relevant légèrement, en lui relevant les jambes sur mes épaules mon sexe entra dans sa chatte en feu et ses cris se calèrent sur le claquement de mon ventre et de mes testicules sur ses fesses.

Je la baisais ainsi une heure durant enfin je crois, nous étions couverts de sueur, j’observais son visage marqué par l’orgasme qui ne la quittait plus, je m’étais penché sur elle pour caresser ses seins pour les maltraiter comme elle semblait aimer, pour les embrasser, et mon visage dans son cou je l’embrassais tendrement à l’opposé des pénétrations brutales de mon sexe.

C’est dans cette tendre attitude que je sentis monter mon plaisir et je lui dit
« Je vais jouir Tina

Elle eut la force de me répondre, de me dire de venir, mais de rester en elle surtout. Alors moi aussi les étoiles pleins les yeux j’éclatais et me répandis au plus profond de son intimité. A mon plaisir fulgurant s’ajoutait celui de voir le sien, aussi fort, plus peut être, entendre ses cris, subir les soubresauts de son corps de son ventre à chaque giclée de mon plaisir en elle.

Quand un peu calmés nous nous retrouvèrent assis côte à côte assis sur le lit, on s’embrassa tendrement. Tina me remerciait de l’instant présent et je lui dis que moi aussi j’avais aimé. Alors sans que je ne dise rien c’est elle qui se mit à genoux devant moi et je compris qu’elle désirait elle aussi me donner du plaisir de la même façon.

« Pierre, j’aimerais te caresser moi aussi
« Tu l’as déjà fait ?
« Non mais c’est un fantasme que j’aimerais assouvir avec toi, tu veux ?
« Bien sûr Tina, tu veux que je te guide ?
« Oui Pierre, dis-moi ce que tu aimes, je le ferais

Alors sans rien lui dire, je m’allongeais le dos sur le lit, les jambes pendantes, ouvertes devant elle, dans la travée du lit, face à l’armoire à glace. Je lui pris sa main droite et délicatement je l’avançais au-dessus de moi. Je lui appris à me caresser, mon ventre, mes cuisses, à la remonter vers mon torse, vers mes seins. Je maintenais sa main en suspend sur moi, la guidais pour que seuls le bout de ses doigts frôlent ma peau, je les fis s’attarder sur ma poitrine pour faire durcir leurs pointes, je la fis tourner à l’intérieur de mes cuisses autour de mon sexe, s’enfoncer entre mes fesses.

Puis je la laissais faire à son gré, ses deux mains caressaient mon corps qui se tendait vers elles, je l’encourageais, je sentais la griffure légère de ses ongles sur ma peau. Elle devina mon émoi, le plaisir qu’elle me donnait. je vis son étonnement de voir se dresser mon sexe sans même me l’avoir touché. Elle prenait conscience de son pouvoir. Elle connaissait les gestes à faire, tout le monde les a vus sur les écrans de toutes tailles et elle hésitait à essayer de les reproduire. Je l’encourageais, je devinais qu’elle était venue pour ça, pour jouir enfin pleinement sans retenue, sans interdits. Avait-elle discerné en moi celui avec qui elle oserait tout faire, faire ce qui la rongeait depuis son adolescence.

« Libère toi Tina, fais-moi tout ce dont tu as envie, fais-moi jouir, fais-moi ce cadeau….allez….viens…approche toi…caresse moi …avec tes mains…avec ta bouche…laisse toi aller….oui……ouiiiii…ouiiiiiiicomça.....c’est bon

Je l’encourageais en montrant le plaisir qu’elle me donnait, je voyais son trouble, son envie dans son regard rivé entre mes cuisses.

Elle avait dû tant fantasmer sur cet instant qu’elle se libéra d’un coup et elle joignit sa bouche à ses mains. Tout en me malaxant les bourses et en continuant de me masturber je sentis sur mon gland le pointu de sa langue, elle en reconnu tout le relief en insistant sur le frein avant de se déployer sur l’arrière de ma verge. C’est bouche grande ouverte qu’elle me caressa avec ses lèvres et avec sa langue étalée, centrée sur ma grosse veine bleue du dessous de mon sexe. Sa langue partait de mes testicules et remontait jusqu’au gland et quand sa bouche arrivait au fait de mon membre son visage basculait et sa bouche absorbait une bonne partie de mon sexe, mais sans s’attarder avant que sa bouche sa langue redescendent vers mes parties.

Moi aussi il me fallut un moment avant que sa bouche me donne du plaisir, j’attendais sans impatience le moment où sa bouche m’absorbait car sa langue avait une adresse diabolique sur ma verge. Les vas et viens devenaient plus compulsifs, l’amplitude plus grande, sa langue me léchait l’anus , bouche grande ouverte elle prenait mes bourses en les aspirant une après l’autre avant de remonter en enduisant mon sexe de sa salive nacrée et arrivée au sommet de m’absorber de plus en plus loin en elle.

Tina je le voyais était dans un autre monde maintenant, elle se lâchait, osait tout, je sentis des doigts entre mes fesses et l’un d’eux n’eut aucun mal a s’enfoncer bien à fond dans mon anus ; les vas et viens laissèrent place à une fellation pure ; et pour bien lui faire comprendre mon désir j’accompagnais sa bouche pour l’enfoncer davantage en attirant sa tête vers moi avec mes mains.

Puis je la laissais faire, elle me prenait presque entièrement dans sa bouche arrondie sur ma hampe, elle allait à la limite de l’asphyxie dans un bruit de borborygme, cela semblait comme un défi pour elle qui devait m’abandonner d’urgence pour respirer, l’air s’engouffrant dans un bruit de soufflerie.

Elle voyait, entendait mon excitation mes cris rauques à chacune de ses pénétrations, son regard fixait le mien, elle voulait voir le moment où j’allais jouir, c’était son but ; elle se dégagea et elle se mit à me branler avec sa main en positionnant mon gland devant sa bouche, ses yeux, ses lèvres grands ouverts sa langue sortie, réceptive, palpitante, prête à accueillir mon bonheur. C’était trop et en faisant attention d’éviter son visage, ses yeux j’éclatais dans sa bouche, sur sa langue en longs jets nacrés.

Tina rayonnait, heureuse, elle me montra ma liqueur étalée sur sa langue avant de me reprendre le sexe et le garder, je sentais sa langue s’agiter sur moi autour de mon sexe mourant en elle, dans sa bouche dégoulinante de mon sperme, un sperme épais de fin de fête sexuelle

En voyant mon sexe redevenu normal je sentis sa joie, son triomphe de m’avoir fait jouir au maximum et de lui avoir tout donné ; elle se blottit dans mes bras, heureuse semble-t-il.

Tina devint ma maîtresse, je la laissais libre et quand elle le voulait nous savions où nous retrouver pour des caresses de plus en plus jouissives de plus en plus sophistiquées qui nous laissaient épanouis et heureux au petit matin.. épuisés aussi.
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Histoire de Pierre le Grand

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