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La belle soeur

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Lue : 11943 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 25/05/2016

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Je me prénomme Stéphane, j'ai 38 ans et suis marié depuis 10 ans avec Estelle. Nous avons deux enfants et vivons une vie tranquille sans anicroches. Enfin quand je dis sans anicroches, ce n'est pas tout à fait juste. Depuis la naissance de notre deuxième enfant il y a 4 ans,nos rapports sexuels sont devenus épisodiques. Nous avons parlé mais son désir s'est estompé. De mon côté, c'est tout l'inverse. J'ai toujours aimé le sexe mais ces dernières années, c'est devenu rapidement un obsession et je me surprends parfois à rêver de ma femme dans des positions scabreuses.
J'ai bien sûr tenter de lui en parler mais à part me faire traiter d'obsédé, je n'ai pas réussi à décanter la situation.

Les choses ont pris une nouvelle tournure pour moi il y a quelques semaines. Nous recevions à la maison ma belle soeur, son mari et leurs enfants. Mon beau-frère est médecin et j'avoue que j'ai un peu de mal à le supporter. Il est toujours entrain de se vanter de leurs dernières acquisitions, de leurs vacances vers des destinations hors du commun. Bref, il n'hésite pas à nous en mettre plein les yeux. Du coup, systématiquement ma femme me fait remarquer après leur départ, que si ma boîte tournait mieux et si j'étais un peu moins généreux avec mes employés (je dirige une entreprise de plomberie) nous pourrions nous aussi avoir la belle vie. J'estime que nous ne sommes pas à plaindre et que l'argent ne fait pas toujours le bonheur. D'ailleurs il suffit de voir Hélène la soeur d'Estelle pour s'en rendre compte. Depuis que je la connais, je la trouve triste et sans vraiment de personnalité, éclipsée constamment par la présence de son mari. Elle, mère au foyer, attend chaque jour le retour de son médecin de mari qui glisse les pieds sous la table en lisant son journal. Pathétique !!

Ce jour là donc, ils étaient venus déjeuner à la maison. C'était une belle journée d'été, j'avais préparé le barbecue et nous avions mis le couvert dehors. Nous les avions invité pour fêter notre nouvelle piscine. Nous l'avions mise en eau la semaine précédente et j'étais bien décidé à en mettre plein la vue à mon beauf. Ce dernier comme à son habitude, passa plus de temps à dénigrer et critiquer les piscines qu'à nous féliciter pour cet investissement. Je m'en foutais, les enfants n'avaient eu qu'une envie, celle d'y plonger et c'était pour moi le principal.

Estelle avait demandé à sa soeur d'emmener un maillot de bain mais celle-ci avait oublié. Je pense plutôt que son mari lui avait dit que ce n'était pas la peine, lui même n'en ayant pas pris. Après le déjeuner, tandis que nous prenions un petit digestif dans les transats et que les enfants s'éclaboussaient dans la piscine, Estelle revint en maillot de bain, bien décidée à tester enfin son rêve. Elle rejoignit les enfants sous le regard envieux de sa soeur. Il faut dire qu'il faisait chaud et qu'un petit plongeon me tentait aussi.
Je demandais à Hélène si elle voulait aller piquer une tête. L'air un peu embêtée, elle me dit qu'elle n'avait pas de maillot. Qu'a cela ne tienne, Estelle pouvait lui en prêter un. Je fis signe à ma femme qui entraîna sa soeur vers notre chambre. Quelques instants plus tard, je crus défaillir en voyant arriver les deux soeurs. Je me rendis soudain compte que bien que faisant sensiblement la même taille, les deux femmes n'avaient pas du tout les mêmes mensurations. Il faut dire qu'Hélène portait toujours des vêtements amples et que je n'avais jamais vraiment prêté attention à ses formes.
Estelle lui avait passé un ensemble deux pièces noires dont le soutien-gorge contenait tout juste la très belle poitrine de sa soeur. Elle devait faire un 90C et remplissait copieusement le petit 85B du maillot de sa soeur. Elle avait également plus de hanches et de fesses et le bas couvrait juste une partie des fesses.
Elle avait détaché ses longs cheveux blonds et posé ses lunettes et j'avoue que je n'avais jamais remarqué à quel point elle pouvait être jolie. Son mari ne se gêna pas pour lui faire une remarque sur sa tenue,lui disant que c'était limite sa taille... je rigolais et observais les deux femmes entrer dans l'eau.

Ce jour là fut une révélation pour moi et je me mis à fantasmer sur ma belle soeur.

Quelques jours plus tard, Estelle me demanda d'aller récupérer les enfants à l'école et de prendre également ceux de sa soeur. Cette dernière avait un empêchement et passerait les récupérer à la maison vers 18h.
Une fois à la maison, je fis goûter les enfants et les installais devant un film en attendant leur mère.
Il pleuvait des cordes dehors et on sonna à la porte. J'ouvris et découvris Hélène complètement trempée. Elle n'avait pas réussi à se garer très près, son parapluie s'était retourné avec le vent. Je la fis rapidement rentrer et lui tendis une serviette.
On se fit la bise, ses joues étaient toutes fraîches. De l'eau coulait sur son visage. Je lui proposai d'aller dans la salle de bain se sécher avant qu'elle n'attrape mal. Elle alla d'abord faire une bise aux enfants qui, plongés dans leur film, se rendirent à peine compte de sa présence.

J'allais dans notre chambre chercher des vêtements secs pour Hélène tandis qu'elle se séchait les cheveux dans la salle de bain. Je frappais à la porte mais le sèche cheveux couvrait le bruit. Je décidais de pousser la porte. Ce que je découvris alors me sidéra. Hélène était en sous-vêtements, penchée en avant et elle se brossait les cheveux tout en les séchant. D'où j'étais j'avais une vue plongeante sur ses superbes fesses, à peine cachées par une petite culotte en coton blanc.
Suivant mon instinct primaire de mâle, je pénétrais dans la pièce et posais mes mains sur ses hanches. Elle eut un sursaut, se releva brusquement et se tourna vers moi. Je plongeais mes yeux dans les siens et tentais de lui voler un baiser. A peine mes lèvres allaient rencontrer les siennes que je pris une gifle mémorable. Je me reculais mais revint rapidement à la charge, la saisissant de nouveau par les hanches. Une deuxième gifle s'abattu sur ma joue. Mais je ne renonçais pas et continuais à avancer. Je l'attrapais par les cheveux et la tirais vers moi. Mes lèvres trouvèrent enfin les siennes. Sa bouche céda et je sentis rapidement sa langue s'enrouler autour de la mienne.
Je me saisis de ses fesses et les pelotais sans vergogne. Nous étions autant déchaînés l'un que l'autre. Sa main s'aventura vers ma braguette et elle me malaxa le sexe au travers du pantalon. Je la retournais. Elle prit appuis sur le lavabo. Je lui écartais sa culotte et dégrafais mon jean. Mon sexe bandé vient alors cogner sur ses fesses. Je posais mon gland à l'entrée de son vagin et poussais d'un coup sec, lui arrachant un cri de surprise et plaisir mélangé. Je me mis à la pilonner avec force, mon bas-ventre claquant sur ses fesses. Elle eut rapidement un orgasme très flatteur pour moi, je sentis ses jambes se dérober sous elle. Je la tenais toujours par les hanches, continuant de prendre du plaisir à baiser cette femme.

Je la saisis par les cheveux et la redressais, l'embrassant fougueusement dans le cou, attrapant ses gros seins et les malaxant. J'avais envie de jouir mais également de profiter de ce corps. Je nous voyais dans le miroir de la salle de bain. Je voyais son visage épanoui par le plaisir. Elle non plus, ne semblait pas vouloir que cela s'arrête.
Je me retirais d'elle. Elle se retourna et me regarda. Mon sexe était dressé entre nous. Elle le regarda et eut un instant de stupeur. C'est vrai que la nature m'a particulièrement gâté. Elle posa ses mains sur mon sexe et commença à lentement me caresser. Je posais ma main sur sa nuque et l'encourageais à se baisser. Elle me regarda avec un air inquiet et laissa échapper qu'elle n'avait jamais fait cela...

Je fus très surpris de cette révélation. C'est vrai qu'elle avait rencontré son médecin de mari très jeune mais je pensais qu'il l'avait un peu déniaisé!! Je lui répondis par un simple sourire et continuais à la faire plier. Je sentis alors son souffle chaud sur mon sexe puis elle ouvrit lentement ses lèvres et je me sentis glisser en elle. Je l'encourageais d'une voix douce, la faisant insister sur ce que j'aimais.
Cela m'excitait terriblement d'avoir ma belle soeur à mes pieds entrain de me sucer. Je me sentis monter. Je plaquais mes mains sur sa tête et la prévins de ma jouissance. Elle voulut se retirer mais je la maintenais devant moi et j'éjaculais au fond de sa gorge. Elle manqua de s'étouffer tellement ma semence était abondante et je lui chuchotais d'avaler, qu'elle allait aimer.
Elle obéit et je la vis déglutir. Je lâchais mon étreinte mais elle continua à me sucer, nettoyant complètement mon sexe.

Je l'aidais à se relever et lui tendis les affaires que j'avais pris dans l'armoire de sa soeur. Nous n'échangeâmes pas un mot jusqu'à son départ avec ses gosses.

Le soir, j'eus des remords, et si Hélène en parlait à son mari ou pire à sa soeur. Quel con! Elle m'avait rendu complètement fou et le manque aidant, je n'avais pas pu résister...

Le week-end suivant, Estelle me dit que sa soeur l'avait appelé pour un problème sur son évier et que ce serait sympa que j'aille la dépanner. Fausse excuse ou vrai soucis.
Dès le lundi matin après avoir mis en route mes gars, je suis donc allé chez ma belle soeur. Je sonne et là je découvre Hélène en déshabillé en soie. Elle m'attrape par le col et me fait rentrer. Je pose ma besace avec mes outils et l'enlace. Elle se jette sur mes lèvres. Je la repousse,je n'ai pas envie que ce soit elle qui décide, j'ai senti la dernière fois qu'elle avait aimé être dominée et j'avais aimé ça.
- Sers moi un café d'abord, lui dis-je sur un ton autoritaire.
Je m'assoie dans le canapé et la vois revenir tout intimidé avec la tasse. Elle me la tend.
- Fous toi à poil...!!
Elle hésite un court instant puis fait glisser le vêtement, découvrant son corps particulièrement mis en valeur par de la très belle lingerie... je n'en crois pas mes yeux. Soutien-gorge noir en dentelle, string, porte-jarretelles et bas assortis.
J'ai laissé échapper un petit sifflement et ai ajouté que je la préférais comme ça plutôt qu'avec ses culottes de grand-mère!!
Je l'ai observé quelques instants puis me suis levé. J'avais terriblement envie d'elle mais je voulais garder le contrôle. Je me suis levé et ai tourné autour d'elle. J'ai posé ma main sur ses seins et les ai malaxé pour les faire sortir du soutien-gorge. Elle tremblait dans mes mains. Elle avait passé ses mains dans son dos et essayait de m'attraper l'entrejambe. Je la saisis par les poignets et la fis basculer vers l'avant.

J'avais ses superbes fesses en visu. Je les tapotais doucement puis vint à les claquer plus violemment. Elle criait à chaque fessée mais remuait ses hanches comme pour mieux recevoir cette caresse brutale. Je tirais brutalement son string vers le bas. Je lui écartais les fesses, découvrant sa petite rosette. Je me mis à genoux derrière elle et fis pénétrer deux puis trois doigts dans sa vulve trempée. J'approchais ma langue de son petit trou et commençais à la faire tourner le sentant frémir et lentement s'ouvrir. J'y fis alors pénétrer un doigt, tentant de distendre l'étroit passage.

Elle gémissait doucement et recevait avec plaisir mes caresses. Je me relevais, baissais mon pantalon et pointais mon sexe entre ses cuisses.
- tu la veux ma grosse queue, hein, t'en as envie !!
Elle ne répondit pas mais baissa la tête et la hocha.
Je la pénétrais lentement jusqu'à la garde. Une fois au fond, je ne bougeais plus, c'est elle qui commença à onduler des hanches, cherchant à ressentir mon membre en elle. J'en profitais pour lui planter mon pouce dans son petit trou. Son cul m'excitait de plus en plus.
- je vais te prendre ton joli cul de salope...
Un timide non ne me freina pas dans mes ardeurs et je sortis mon sexe plein de mouille de sa chatte et le pointait sur son anus. Je forçais dessus et dans la douleur, je fis pénétrer le gland puis millimètre par millimètre, ma queue s’immisça lentement dans le conduit étroit. Elle gémissait de douleur, essayant de me repousser, me demandant d'arrêter. Mais je continuais et entamais de lents et profonds vas-et-viens.
Après quelques minutes de ce traitement, je vis qu'elle se caressait en même temps et y prenait du plaisir.
Je me déchaînais dans son cul qui était maintenant complètement dilaté et n'y tenant plus, je me vidais au fond d'elle.

Je m'affalais sur elle, ma queue toujours au fond de ses fesses, du liquide commençant à couler entre ses cuisses. Nous étions trempés de sueur et je partis prendre une douche avant de retourner bosser.
Alors que j'étais sous la douche, je la vis entrer dans la salle de bain. Elle s'approcha de moi et spontanément se mit à genoux devant moi. Elle prit mon sexe débandé qui reprit rapidement du volume dans sa bouche et me gratifia d'une superbe fellation. L'eau lui coulait sur le visage mais cela ne l'empêchait pas de s'appliquer sur mon sexe.

Je la soulevais sous les bras et elle s'accrocha autour de mon cou, les jambes agrippées à mes hanches. Mon sexe retrouva sans peine l'entrée de son vagin. Je la fis sauter ainsi sur ma queue, sentant ses gros seins s'écraser sur mon torse.
Elle eut un orgasme rapidement et je la suivais me vidant dans sa chatte.

Au moment de repartir, elle me demanda quand je pourrais revenir pour son problème de fuite, j'étais surpris car je pensais qu'il s'agissait d'une excuse pour me voir. Ayant un emploi du temps chargé, je lui proposais de lui envoyer des gars dès le lendemain.

L'après-midi, de retour à l'entreprise, je fis venir deux de mes employés avec lesquels je m'entendais super bien et leur demandais s'ils avaient envie de profiter d'une jolie femme. Devant leur surprise, je leur expliquais qu'une de nos clientes était très chaude et qu'il y avait une intervention à faire le lendemain. Je leur donnais plus d'explications et leur communiquais l'adresse.

Le lendemain après-midi, lorsqu'ils revinrent à l'entreprise, je sus tout de suite que la matinée s'était très bien passée.

Eric et Bertrand lui ont sauté dessus dès leur arrivée. Elle a résisté un instant mais ils l'ont menacé de parler à son mari de ses parties de jambes en l'air. Elle a alors cédé. Ils l'ont déshabillé, l'ont pelotée. Elles les a sucé puis ils l'ont pris à tour de rôle en levrette sur le canapé. Elle avait encore mal à l'anus du coup, ils l'ont laissé tranquille de ce côté. Ils se sont caressés sur ses seins et Eric a jouit dans sa bouche tandis que Bertrand a éjaculé sur ses seins.

Mes deux employés étaient ravis de leur matinée et m'ont dit qu'ils voulaient bien s'occuper du contrat de maintenance de la dame!!
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Commentaires du récit : La belle soeur

Le 25/05/2016 - 23:52 par Bugs
C'est l'histoire d'un stéréotype... Les femmes disent non et veulent dire oui... Pas sûr... Il y a assez de gros lourds qui le pensent. Pas étonnant qu'il y a des publications genre : Non c'est non. Comment faire perdurer un stéréotype ? Faites en une histoire... Dommage si on enlève les gifles et le chantage l'histoire est bonne...

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