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La Directrice

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Lue : 93234 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 20/03/2011

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En fait c’est par téléphone qu’elle chercha à me joindre, c’était plus pratique, plus rapide surtout. Avec sa précision habituelle elle eu vite fait de me renseigner et comme une fois de plus je la remerciais elle me dit :
- J’aimerai faire votre connaissance, si vous êtes libre jeudi je descends à Paris, nous pourrions nous voir
- Ce serait bien dis je mais où et à quelle heure ?
- J’ai réservé au Hilton d’Orly nous pourrions nous voir au bar vers 11 heures
- Du matin ?
- Oui, bien sur, la nuit je dors !

Je donnais mon accord, j’étais tout émoustillé de cette rencontre, il faut dire que sans être un canon cette femme que j’avais peu vue et de loin avait une certaine distinction, les lunettes qu’elle portait, son tailleur strict lui donnaient bien l’allure de ce qu’elle était, une technicienne qualifiée et professionnelle, directrice financière d’une compagnie d’assurance.

Quand je la retrouvais comme convenu au bar de l’hôtel et en m’approchant je m’aperçus avec étonnement qu’elle avait une sacrée allure ; elle se leva en me voyant, elle était grande et mince, elle portait un ensemble veste jupe d’un ton pastel et ses lunettes étaient fantaisie, elle me souriait
- J’étais sûre que c’était vous.

Et comme je m’étonnais, elle me répondit
- Nous nous sommes déjà parlé lors d’une assemblée générale, vos questions étaient pleines de bon sens et judicieuses, vous aller rire mais souvenez vous ce jour là en arrivant j’avais une envie pressante, pardonnez ce détail un peu trivial et c’est en sortant des toilettes que je me suis aperçue que c’était celles des hommes nous nous sommes croisés à cet instant et je me souviens de votre regard amusé.
- Je m’en souviens comme si c’était hier et j’ai trouvé amusant la confusion qui faisait rosir votre visage, j’ai su lors de l’assemblée qui vous étiez et cela m’amusa davantage.

Elle me pria de m’asseoir et l’espace d’un instant ce fut comme un message subliminal, j’eus la vision fugace du croisement de ses cuisses quand elle s’assit près de moi. Après avoir commandé deux cafés la conversation reprit ; mais après ce détail piquant la glace était rompue, rapidement nous en vinrent aux confidences, elle surtout. Oui elle avait une bonne place un bon salaire mais sa vie était trépidante, trop même à son goût, des déplacements fréquents, les restaurants, les nuits seule à l’hôtel, les réunions stressantes, les voyages en avions, en train, la vie de famille en morceaux.

Je n’insistais pas pour savoir si elle avait un mec, des enfants. Elle ne portait pas d’alliance mais cela ne veux rien dire. Par instant elle me tenait le bras, me tirant vers elle pour me parler de plus près, en face. Je remarquais qu’elle était sexy et jolie, son visage, ses yeux, les rondeurs qui gonflaient son corsage, elle avait l’air passionnée et se confiait à moi comme si j’étais son ami depuis toujours.

Au bout d’un moment après avoir bu un scotch bien tassé, elle regarda sa montre et me dit qu’elle devait aller se changer, je trouvais dommage de terminer ce tête à tête quand sans façons en me regardant fixement elle me dit
- Montez avec moi si vous voulez je vous montrerais les chambres impersonnelles des grands hôtels où l’on s’ennuie ferme quand on est seule.

Volontiers m’entendis je dire, mais au fond de moi un drôle de sentiment naquit, j’avais du mal à croire à cette situation et comme je suis un grand rêveur je m’imaginais mille choses.

Nous étions seuls dans l’ascenseur qui montait au 23ème étage et tous les fantasmes liés aux ascenseurs tournaient dans ma tête, elle, me regardait en souriant au troisième elle me dit
- Vous aussi les ascenseurs vous troublent ?
- Oui c’est bien connu

Au cinquième elle s’approcha contre moi et me dit
- Vous me plaisez terriblement

Alors pour ne pas être en reste je la pris dans mes bras et approchant mon visage je lui pris les lèvres, immédiatement je sentis sa langue dans ma bouche, ses lunettes nous gênaient un peu mais pas trop, je la serrais très fort contre moi et je sentis qu’elle avançait son ventre contre le mien, je la plaquais davantage en lui prenant les fesses sur sa jupe, c’est elle maintenant qui aspirait ma langue, elle embrassait bien, passionnément en émettant une plainte continue.

Ses seins écrasés contre ma poitrine, tout son corps ondulait contre moi. Le 23ème nous laissa hagard, la porte s’ouvrit sur un couloir vide. Elle me prit la main et m’entraîna, nous courrions presque ; devant une chambre elle sortit sa clef mais je du ouvrir moi même tant son trouble était grand. La porte se referma sur nous et là le corps à corps repris mais sans retenue cette fois, nous étions seuls tranquilles et rien ne retenait la pulsion qui nous attirait l’un vers l’autre.

Ouvrant sa veste, je fis éclater son corsage pétrissant ses seins je sentis sa main sur moi me saisissant la verge sur mon pantalon, je lui pris les fesses à nu en remontant sa jupe et durant un long moment nous mêlèrent nos corps en tout sens. Nous étions à moitié nus quand elle se ressaisit en s’écartant de moi, je ne m’interrogeais pas longtemps quand elle me dit :
- Pardon mais j’en avais trop envie, tu me plais, j’ai envie de toi depuis la première seconde où je t’ai vu
- Alors dis-je que fait on maintenant ?
- On se calme un peu et on reprend tout à zéro, fais moi l’amour, j’en ai besoin, prenons notre temps pour nous faire bien jouir, tu veux ?
- Bien sûr, moi aussi j’ai envie de toi, ma petite directrice, tu es drôlement gironde, si tu commençais par me sucer ? Qu’en penses-tu ?
- Je n’osais pas te le proposer

Sans rien dire elle s’agenouilla devant moi et tout en me regardant droit dans les yeux elle déboucla ma ceinture, énervée comme devant la porte d’entrée c’est moi qui désagrafa mon pantalon, la suite fut plus facile pour elle. Elle fit glisser la fermeture éclair de ma braguette découvrant mon boxer. Son regard devint plus sombre, déjà ses mains me prenant par la taille s’apprêtaient à baisser le dernier rempart, elle semblait hésiter, ou bien elle retardait l’instant de la découverte.

Je savais qu’elle ne serait pas déçue et je compris que c’était le cas quand elle baissa mon slip découvrant mon sexe bandé plaqué sur mon ventre par l’émotion et quand elle cala l’élastique sous mes bourses mon sexe s’abaissa à l’horizontale le gland décalotté, offert, arqué vers le haut. Je lui souriais
- Comment le trouves-tu ?
Elle était très émue je le sentais et elle mit un moment à répondre. C’est en le saisissant qu’elle me dit
- Il est beau, il est gros, bien lisse, il est long aussi

En parlant par un mouvement de sa main serré sur mon membre elle faisait coulisser la peau de mon zob cachant et découvrant mon gland. Cette douce branlette le raffermit davantage encore.
Son regard était intense fixant à tour de rôle mon sexe et mon regard
- Je peux ? me dit elle
- Tu peux quoi ?
- Le prendre dans ma bouche
- Bien sur, cela te fait plaisir ?
- Oh oui, j’adore, surtout une bitte comme la tienne
- D’accord, moi aussi j’aime me faire sucer, surtout si tu aimes cela aussi, mais attends une seconde.

Délicatement je lui ôtais ses lunettes et les posais sur la commode, en faisant cela je pensais au dicton qui se vérifiait une fois de plus : Femme à lunettes, femme à quéquette. Sans ses verres son regard était changé, me voyait elle encore ? En tout les cas ce fut tout comme, sans hésiter m’abaissant ma verge et avançant son visage d’un coup elle s’empala sur elle au plus profond de sa gorge, je sentis la tiédeur de sa bouche, la moiteur de sa langue, la douceur de ses lèvres arrondies sur moi.

Elle resta ainsi un moment immobile, seule sa langue tournoyait sur la partie de mon membre engagée dans sa bouche, et puis elle commença à s’amuser avec lui. Elle avait du voir des films porno car rien ne me fut épargné, les léchages savants alternant avec les caresses de ses mains, le pointu de sa langue frôlant mon gland par dessous là où c’est si jouissif. Je l’encourageais en gémissant, un peu plus fort quand c’était le meilleur. De son côté elle n’était pas silencieuse, des phrases inaudibles, des onomatopées langoureuses, je distinguais de vagues euhmmm c’est bon ! des ah oui, elle est bonne !

Durant ce temps j’avais entrepris d’enlever ma chemise, torse et ventre nus je savais que cela ne pouvait pas me nuire car sans être musculeux à outrance je sais mon corps bien fait avec ce qu’il faut d’abdominaux. Depuis longtemps mon pantalon était tombé à mes pieds mon slip serré sur mes cuisses. C’est elle qui m’en débarrassa les jetant au loin de nous. Vous l’avez compris j’étais à poils, complètement nu.

Quand elle s’aperçut de mon état, un instant elle abandonna mon sexe pour mieux me détailler, ses mains me caressèrent le ventre, les cuisses, les seins, les fesses, son émoi transfigurait son visage et dans un long cri elle me reprit la verge mais cette fois ses mains avaient pris mes fesses qu’elle malaxait les doigts dans la raie de mon cul. C’était bon, elle savait s’y prendre, jamais mon sexe n’avait été aussi gros, aussi raide, je devais résister pour ne pas jouir précocement dans cette bouche si savante. A un moment j’écartais grand mes cuisses et lui dit :
- Si tu gobais mes couilles ?
- Oh ouiiii c’est bon, fais voir, elles sont grosses, on dirait des œufs
- Des œufs de quoi, de cailles, de pigeons ?
- Tu rigoles ! des œufs de poules

L’instant d’après, son visage relevé entre mes cuisses je sentis qu’en les aspirant l’une après l’autre elle arrivait à mettre chacune de mes bourses dans sa bouche grande ouverte. Pour ne pas être en reste elle branlait ma verge d’une main tandis qu’avec l’autre elle me lutinait l’anus. Jamais je n’avais eu ces sensations, jamais aucune amante n’avait été si savante, si passionnée, si libre d’assouvir ses fantasmes et les miens.

Longtemps je la laissais s’exciter sur moi, cela la faisait jouir je le voyais elle était dans un état second me guidant là où elle voulait, ainsi je me retrouvais sans savoir comment lui tournant le dos le buste penché, cuisses écartées avec son visage entres mes fesses qu’elle écartelait avec ses mains et sa langue qui léchait mon cul par derrière, mes couilles aussi à un moment même un de ses doigts me pénétra après avoir amadoué mon puits mouillé de sa salive. J’avoue que ce fut une sensation nouvelle qui me plut beaucoup.

Mais il était temps de m’occuper d’elle à mon tour, je devinais que je n’aurais pas de mal à lui donner du plaisir, mais qu’il faudrait lui en donner, pas lui en promettre, je savais que j’étais son homme. Je la relevais
- Viens chérie à moi de te faire plaisir
- Mais je suis bien déjà
- Ce n’est rien tu vas voir
- Oui ! occupe-toi bien de moi, merci, il y a longtemps que j’espérais rencontrer un amant comme toi, aussi beau, aussi gentil, aussi viril, oui fais moi jouir.

Elle était debout face à moi, la jupe retroussée, le corsage ouvert, elle était grande, offerte. Je l’enlaçais en lui caressant le dos, cela la fit frissonner, je dégrafais son soutien gorge libérant ses seins. Elle avait une poitrine superbe, ronde et ferme, je pris leurs pointes entre mes lèvres et je fus étonné de sa réaction, immédiatement elle se mit à geindre en se tordant, son ventre plaqué sur moi. Je compris qu’elle faisait partie des rares femmes qui jouissent quand on caresse leur poitrine, j’étais content car j’aime les faire jouir ainsi, je m’y pris si bien que bientôt les seins bandés elle ne fut qu’un cri, qu’un spasme, elle se tordait de plaisir quand à pleine bouche je lui prenais un nichon en tordant l’autre dans ma main, elle aurait joui éternellement si à un moment je lui avais proposé une autre distraction.
- Je vais te caresser la chatte, veux tu ?
- La chatte ? me dit elle
- Oui chérie, avec ma bouche, avec ma langue
- Tu vas me sucer ? c’est vrai
- Oui tu vas voir comme c’est bon
- Ah merci j’ai toujours eu cette envie
- Et alors ?
- Personne encore n’a eu cette attention
- Viens lui dis je en l’attirant vers le lit.

D’un geste je dégrafais sa jupe, dessous elle n’avait qu’une culotte adorable, petite culotte fantaisie en satin, assez ample avec des petits volants autours des cuisses, j’enlevais son corsage déjà ouvert. A par cette culotte nous étions nus tous les deux et je la repris dans mes bras. Jamais je crois je n’avais eu une telle beauté, une femme comme elle aimant le sexe. Je serrais sa taille pour la ployer en arrière doucement je l’allongeais en travers du lit, sur le dos, les fesses au bord de la couche.

Sur le ton pastel du dessus de lit elle était comme une fée, magnifique, offerte tremblante de désir. Je lui écartais les cuisses et m’agenouillant je m’installais entre elles. J’avançais mon visage et délicatement j’écartais sa petite culotte dénudant son sexe. Je fus transporté de bonheur, elle avait une grosse chatte imberbe, seul un petit duvet artistement façonné ornait son pubis. Je pouvais voir ce qu’elle m’offrait, j’allais pouvoir la sucer, la lécher sans l’inconvénient des poils.

Je commençais d’un coup de langue à suivre le cours de ses grosses lèvres fermées pour le moment, plusieurs fois, plusieurs aller et retour du début côté de son anus jusqu’à sa touffe de poils ornant son ventre. Déjà cela fit de l’effet et mon amante commença à se tortiller sous la caresse de ma langue. Je continuais ainsi mais en forçant un peu plus ma muqueuse indiscrète commença à s’enfoncer dans le pli de sa chatte de plus en plus fort, de plus en plus vite, de plus en plus profond.

En remontant je rencontrais maintenant ses petites lèvres bien dessinées et du pointu de ma langue je lapais le clitoris caché dans son nid. C’est maintenant à pleine langue que je la suçais ; avec mes lèvres je tiraillais sur ses petites lèvres. Patiemment je continuais ainsi, ma langue, mes lèvres, mon nez même au seul service de son sexe, de sa grosse chatte, je savais que cela valait le coup, une femme taillée comme elle ne pourrait résister longtemps à mon obstination.

En effet cela commença par une longue plainte, et puis son ventre s’anima peu à peu, ses cuisses s’ouvrirent pour faciliter mes caresses et cela alla crescendo, ma langue maintenant allait et venait entre ses grosses lèvres écartelées, elle s’attardait sur l’anus, s’engageait dans la boursouflure sanguinolente avant de s’agiter longuement comme une folle sur le petit sexe rond de son clitoris, c’est surtout en cette endroit que l’effet était grand, la plainte devenait cris rauques, le ventre en furie ondulait en s’offrant, elle ouvrait et fermait ses cuisses convulsivement, serrant ma tête parfois pour me garder.

Je continuais donc ainsi à sucer son clito en ajoutant toutefois une petite variante que je savais appréciée des femmes un tant soit peu sensible, j’avançais ma main et avec l’extrémité charnue de mon pouce je pressais l’entrée de sa vulve et d’un coup je l’empalais dans son vagin. L’effet fût immédiat la belle devint comme folle, animée de mouvements qui auraient parus grotesques sauf à moi qui voulais lui faire perdre son contrôle, qui voulais la faire jouir comme jamais elle ne l’avait ressenti, le pouce vous l’avez compris laissait les autres doigts libres et je présentais le majeur à l’étage en dessous sur l’anus lubrifié par maints léchages.

Profitant de sa confusion et des mouvements désordonnés de sa croupe en furie je lui fis en douceur une petite enculette et là, avec ma langue, avec la pince de mes doigts dans son cul et sa chatte, ce fut un paroxysme de jouissance qui me rendit tout pantois et heureux d’en être l’instigateur, le maître. Moi, je faisais se pâmer une femme comme jamais je ne l’avais fait jusqu’à présent, qu’elle plaisir de dominer ainsi un être de chair, ses cris, ses mouvements me montraient l’intensité de son plaisir, elle battait des bras, se tordait en tout sens sous mes caresses qui imperturbablement centrées sur sa chatte et son cul la clouaient sur mes doigts et ma langue.

Je restais ainsi tout le temps de son orgasme, tant que sa jouissance éclatait à ma vue, cela dura longtemps ; elle jouissait d’une manière continue sans pause, sans fléchissement. Mais enfin quand je sentis un petit ralentissement dans ses contorsions, quand ses cris redevinrent plaintes, je passais à autre chose.

Délaissant mon amante quelques secondes, si peu de temps que m’étant relevé c’est maintenant mon sexe qui allait et venait entre ses cuisses, je le tenais à la main et le guidais dans la plaie ouverte de sa chatte lubrifiée, je le faisais aller et venir lentement entre ses grosses lèvres, quand mon gland passait sur sa vulve ou sur son anus je m’attardais en faisant une légère pression pour qu’il s’enlise mais très peu, juste pour préparer le terrain ; elle semblait apprécier cette nouvelle façon de la caresser car à nouveau ses plaintes reprirent, ponctuées de petits cris quand mon gland se centrait sur sa vulve et son cul.

Rapidement elle me fit voir son impatience, en avançant son ventre en ouvrant ses fesses. Retirant ma main, je me penchais sur elle, ainsi c’est mon sexe entier qui s’encastra entre ses lèvres et par des mouvements de reptation de mon ventre je me vautrais dans son intimité. Penché sur mon amante je lui pris ses seins à pleines mains et tout en l’embrassant je la pelotais rudement. Je savais qu’elle aimait ça et elle me le montra en s’agitant en tout sens sous moi. Elle devait sentir le cylindre de ma queue aller et venir entre ses cuisses et elle s’y prit de telle sorte qu’à un passage elle capta mon gland sous ses petites lèvres et se cambrant elle le força à s’emmancher dans sa chatte.

La suite fut délicieuse, pour elle et pour moi car petit à petit je m’enfonçais en elle de plus en plus profond à chaque va et viens de ma queue. C’est elle qui se mit à jouir la première violemment, bruyamment, je le voyais à son visage tourmenté, sa bouche ouverte tordue par le plaisir, son regard de presbyte me fixait lui, étonnement lucide et complice qui semblait me dire : « je suis bien, continue, oui, plus fort, plus vite, si tu savais comme j’aime ta grosse bitte, j’ai bien fait de te demander à te voir, j’étais presque sûre que tu baisais bien, j’en ai fais jouir plus d’un dans mes nuitées d’hôtel, mais c’est toi qui me donne plus, ahhhhh c’est pas possible comme tu me fais jouir, ouiiiii caresse moi bien les seins » Je lui pris les cuisses et calais ses jambes écartelées en appui sur mes épaules, offertes ainsi les fesses bien écartées je pus cette fois l’emmancher bien à fond.

J’activais le mouvement de mes reins et je sentis à mon tour monter le plaisir, c’est lors d’un de ses cris de plaisir que j’éclatais en elle, elle du sentir le jet puissant au plus profond de sa vulve, car d’un coup elle se cabra comme si je lui faisais mal, mais non c’est l’orgasme violent qui la tenait, je sentis sa chatte s’ouvrir, se durcir, ma queue d’un coup à l’aise coulissant librement dans son vagin dilaté avec mon sperme qui tapissait sa muqueuse.

En d’énormes va-et-vient de mon sexe je sortais pour mieux l’introduire dans un froufroutement d’air expulsé et cela dura une éternité, la jouissance la tenait sous son joug et moi calmé mais toujours incroyablement raide je me régalais de la voir ainsi le plaisir que je lui donnais. A un moment, brusquement elle arrêta de s’agiter et me regardant calmement je l’entendis me dire d’un ton rauque.
- Encule moi maintenant.... c’est un ordre !
- D’accord j’aime ça moi aussi, je vais aimer déflorer ton petit cul
- Déflorer ! si tu savais……
- Tournes toi, mets toi en position de levrette, c’est le meilleur comme ça
- En levrette oui j’aime , je m’installe où ?
- Lèves toi, mets toi à genoux sur le tapis entre le lit et l’armoire, oui décale toi un peu, là, devant la glace on va se voir forniquer , tu vas aimer ?
- Te voir m’enculer ? voir ta grosse bitte entre mes fesses, dans mon cul, ahhh oui j’adore

Ce disant elle se retourna à genou, les jambes dans la rivière du lit, les fesses bien relevées et écartées, je pouvais voir les grosses lèvres de sa chatte mais surtout son anus, son petit cul froncé de petits plis bistres au fond d’un espèce d’entonnoir, comme si à force de se faire sodomiser son petit trou s’était enfoncé légèrement au fond d’une petite dépression pour faciliter l’introduction d’un membre.
- Tu me vois derrière toi ?.... j’arrive
- Je vois surtout que tu bandes encore et que tu vas bien me défoncer
- Avec un si beau cul devant moi se serait insultant de ne pas bander

En effet en regardant ma bitte entrant dans le champ du miroir je vis que jamais je n’avais été aussi gros, aussi raide. La suite ne peut se raconter tant cet instant fut irréel, j’étais idéalement placé, à genoux derrière elle, mon sexe à l’horizontale à hauteur de ses fesses ; elle frémit de tout son corps quand mes des mains lui saisirent sa taille gracile, je voyais ses fesses magnifiques, bien rondes, ouvertes je l’attirais vers moi et d’un coup sans ménagement je m’enfonçais à fond dans le monde des ténèbres, elle poussa un petit cri de douleur ou de surprise. Je lui demandais
- Ca va ?
- Comme tu y vas !..... à la hussarde !
- Et alors ?
- J’aime ça, va y fais moi jouir par le cul

Je m’y employais, je ressortis complètement mon membre et je replongeais, avec cette petite dépression je n’avais pas à me soucier de bien me présenter, au fond mon gland retrouvait son fondement avant de s’enfoncer, mon ventre tapant ses fesses. Nous avions tous les deux le regard tourné vers la glace de l’armoire fascinés par le spectacle de mon sexe qui doucement mais régulièrement allait et venait dans son cul.

Jamais je peux le dire je n’ai éprouvé un tel plaisir, jamais je n’avais vu un spectacle aussi érotique. Son anus restait ouvert, béant et à chaque aller mon sexe replongeait dans la tiédeur divine. Mais elle se mit à jouir et là ce fut cataclysmique, sa croupe en furie essayait de me tordre en elle, parfois elle me serrait dans sa tripe me forçant à rester à fond et la ondulait des fesses en criant. Elle me libérait et ma verge comme un piston reprenait sa ronde. Moi j’étais calme, raide mais calme, maître de mon plaisir, je savais que si je voulais en une ou deux introspections je pourrais jouir et lui remplir son cul de mon foutre. Mais elle jouissait si fort que je me retenais.

Ce fut un comble quand me penchant sur elle je lui pris les seins par dessous qui chauds comme des pigeons dodelinaient à mon rythme.
- Caresses toi la chatte lui dis je

Je sentis qu’elle passait une main entre ses cuisses sur sa moule. Les cris devinrent grognements, elle était servie de toutes part, son cul par ma verge qui la transperçait avec le claquement de mon ventre sur ses fesses pour marquer la cadence, par ses seins si sensibles mes doigts titillant ses petits tétins durcis, enfin par sa main se masturbant savamment en des endroits de plaisir seuls connus des femmes.

A cet instant j’ai manqué de me laisser aller et de me répandre en elle, mais sans y penser vraiment la prenant par la taille je la relevais cuisses en l’air, elle se laissa faire et complice me facilita la manœuvre, jamais je n’aurais pu la maintenir dans cette position acrobatique sans son aval et son aide. Comprenait elle où je voulais la mener ou me faisait elle confiance après le plaisir que je savais lui donner. Debout je l’enjambais dans le vé de ses cuisses ouvertes et là baissant mon sexe et ployant les jambes je la pris ainsi, son cul en l’air et ma bitte prenant à nouveau son anus de haut en bas. Il faut avoir des cuisses solides pour baiser dans cette position , comme le disait Rocco, mon modèle!

Quel spectacle ! mais nous ne purent garder la position très longtemps, j’avoue qu’elle avait du faire de la gymnastique pour tenir ainsi. D’un coup nous écroulèrent dans la travée et là sans que je puisse esquisser la moindre action je me retrouvais sur le dos avec ma donzelle pour cavalière, cuisses écartées elle me chevauchait face à moi, en rien de temps passant sa main entre nous et saisissant mon sexe elle me guida entre ses cuisses et à nouveau je sentis sa tiédeur.

Etais-je dans son cul ou dans sa chatte ? Peut importe c’est elle qui menait la danse maintenant et le rythme fut endiablé je vous assure, elle hurlait :
« Tu vas jouir ? tu vas enfin te laisser aller ? je ne te plais pas ? mon cul ne te fais pas jouir ? attends que je torde ta queue dans ma chatte »

Et se disant elle agitait sa croupe d’avant en arrière . En arrière j’étais au fond de sa chatte et là elle me tordait le membre en s’agitant, en avant j’avais le gland au bord de ses lèvres avant de replonger. Je lui pris les seins à pleine main
- Alors ça vient ? J’ai besoin de ta semence
- Je suis bien sais tu
- Alors jouis c’est un ordre
- Ca viens Ahhhhh c’est bon, continue à bouger Ahhhhh ouiiiiii Je jouis je décharge tu sens mon foutre dans ta chatte
- Pardi ! tu parles d’un jet, tu m’inondes tu me remplis ahhh je jouis moi aussi ahhh c’est bon c’est boooonnnn !

Vous l’avez compris nous prirent notre panard de concert et ce fut un des moments les plus violents de ma vie de baiseur, je crois que pour la baise j’avais enfin trouvé l’âme sœur, la compagne rêvée pour jouir. Nous nous écroulèrent enfin emmêlés nus l’un dans l’autre, elle me regardait en souriant
- Si je m’attendais, je voulais baiser comme souvent à l’hôtel, mais là chapeau j’étais au paradis et toi ?
- Moi jamais je n’ai jamais eu une partenaire aussi folle du cul que toi, la femme que je voulais rencontrer un jour, c’est fait
-Je t’avais repéré lors des assemblées et je pensais : « je me le ferais bien, il est un peu jeune mais je sens qu’il doit être champion pour la baise » et puis c’est toi qui est venu au devant de moi, je me suis dit « allez ma fille fonce c’est un signe ;j’ai repéré ton nom sur ta vignette et j’ai trouvé un prétexte pour te joindre »
- Et bien moi aussi figure toi je t’avais remarqué et j’ai tout fait pour me faire remarquer, quand tu sortais des toilettes tu as dû remarquer mon regard appuyé et quand je me suis retourné sur toi j’ai pensé quel cul ! quelle allure ! Depuis en y repensant je sentais qu’il serait bon de te faire jouir.
- Est ce que nous nous reverrons, chéri ? me dit-elle en m’embrassant tendrement
- Je le souhaite, un jour en montant à Paris tu auras peut être envie de moi
- Alors cela ne devrait pas tarder mon chou
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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : La Directrice

Le 09/03/2012 - 03:35 par l essayeur
tres belle histoire

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