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La ferme des étalons 10

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Lue : 1475 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/04/2014

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Soirée surprise :

Une idée qu’elle est venue de Jim lorsqu’il a reçu un lien permettant de visionner des brésiliennes de 50 ans défilant avec des minis strings de leur confection, ça se passe dans un hôtel, les soirées silvercah je crois.
- elles sont super bandantes ces nanas ! Même à 54 ans elles sont encore canon ! Les mecs faut voir ça !...

Et les voilà tous les 4 en train de mater ce fameux défilé de maillots minis, bien sur la curiosité nous appelle surtout sur ce plan là, on va aller dans le sens de leur libido et de leurs fantasmes. Les commentaires vont bon train sur chacune des participantes et j’avoue qu’elles sont toutes bien roulées pour leur âge. J’espère être comme elles plus tard…

A visionner ça avec les garçons, c’est pas possible, on se fait copieusement peloter et on arrive pas à détailler comment sont faits les maillots. Alors on file dans la chambre de Julia pour étudier ça sur son ordi. On imprime les modèles qui nous inspirent et nous voilà au boulot avec un feutre à redessiner les strings et les « cache tétons » car là il ne s’agit plus de soutif mais de minuscules cache tétons, pareil pour les strings c’est vraiment du mini de chez mini. Julia rassemble tous les bouts de tissus adéquats ainsi que d’anciennes petites culottes, des strings et, ciseaux d’une main et aiguille de l’autre, au travail !

En moins de deux heures on est arrivées à de jolis résultats : 2 « cache tétons » en forme de bandeau, horizontal pour Julia et vertical pour moi et 2 « cache sexe » de formes identiques pour toutes les deux.

Les cache sexe sont maintenus par 3 fils noués ensemble au creux des reins par une petite rosette. Essayage à tour de rôle devant la psyché, puis ensemble. On rit comme des gamines, Julia me prend les fesses par derrière :
- ça va bander dur à table ! t’es prête ?...
- autant que toi… dis-je en me retournant, lui prenant la tête et l’embrassant tendrement.
- ah oui, t’es prête là !... bon on descend.

Comme d’habitude, applaudissements et sifflets des garçons qui nous attendaient avec beaucoup d’impatience. Pour leur laisser le temps d’admirer nos jolies petites tenues on a marqué un arrêt toutes les deux marches, je peux vous assurer qu’à l’intérieur des pantalons, ça a réagi immédiatement au garde à vous ! Voilà encore une belle soirée en perspective ! Et Julia annonce :
- ho les garçons, ce soir on n’enlève pas nos cache minous, on les garde jusqu’à demain matin, compris ?...
- ok, vu la taille ça va pas gêner beaucoup !
- ça va miauler les p’tits minous…
- les filles, de vous voir comme ça, on va pas pouvoir tenir longtemps…

Ils nous tournent autour, fascinés par nos tout mini caches
- celui de Nat, c’est le plus petit !
- normal elle a le plus petit minou, répond Marc en glissant un doigt le long du tissu.

Cette caresse me fait frissonner.
- le plus petit mais aussi vorace… dis-je
- oh ! mon doigt l’a échappé belle !

Rires, Julia s’approche de moi, m’enlace par l’épaule, je fais de même et nous posons face aux mecs, gonflant nos poitrines.
- Alors les excités d’la foufoune, y’a pas que ça hein…
- c’est vrai ça… ça saute aux yeux… et aux mains !

Nos 4 lascars sont déjà à la découverte de ces mini bandeaux cachant juste nos mamelons sur une largeur de 6cm et reliés par de fins et solides fils argentés.
- là aussi on les garde jusqu’à demain matin… enfin dessus ou dessous c’est pas grave… dit Julia en soupesant ses seins.
- fascinant ce qu’on arrive à faire avec de simples petits bouts de tissu, moi je vous trouve encore plus désirables avec ça qu’à poil !
- allez, à table ! dit Julia
- oh oui oh oui ! dit Marc en me saisissant les seins et plongeant son nez dans l’étroit passage entre mes lolos frémissants.

Inutile de vous préciser que l’habituel frugal repas du soir fut vite avalé et que les discussions tournèrent uniquement sur nos petits caches tétons et la façon dont ils mettaient en valeur la beauté de nos poitrines. Ils étaient tous d’accord sur l’énorme attrait sensuel procuré mais qu’aussi un simple voile…
- tiens, le voile gris que t’avais l’autre soir, Nat, il est terrible ! on distingue tes lolos à 90%, on voit bien tes tétons et ce simple « rempart » flottant sur tes seins magnifiques ça m’attire… enfin surtout mes mains ! dit Marc
- je le remets demain mon chou…
- … avec une p’tite culotte à dentelles ?…
- yes !
- bon alors pour ce soir on va faire avec, hein les gars ? ce sera encore plus excitant ! et du moment qu’il y a de la place pour passer un beau braquemart
- oui mais en fin de parcours, demain matin, ils vont être plutôt bien amidonnés leurs petits cache minous !...
- et j’ai une petite surprise supplémentaire, dit Julia en souriant…. dans une heure Michel vient nous rejoindre avec son nouveau copain hardeur professionnel !
- … vous allez avoir de la concurrence les garçons !
- et toi Nat, ça te dit ?...
- ah « queue » oui !...
- toi t’es toujours partante pour les bons coups, ma chérie dit Julia en me tapotant la croupe.

L’annonce fait l’effet d’une détonation, aussitôt nos mâles passent à l’attaque et puis ça fait déjà un bon moment qu’ils bandent dur !

Ils nous ont pelotées tous les 4 ensemble, nous étions dos à dos puis séparément, d’abord les 4 sur moi et ensuite sur Julia. Du grand art comme pelotage car nos tout petits cache sexe et cache tétons n’ont pas été arrachés ! La vieille est partie se coucher en maugréant alors ils ont vite sorti leurs dards et là ils nous ont prises sur les canapés devant la cheminée. Julia et Jim se pelotent tout en se déshabillant pendant que les trois autres m’entourent et me serrent. Marc et Fred me saisissent les fesses, m’embrassent dans le cou, relèvent mes seins et Jean se contente d’admirer les spectacle tout en se mettant à poil. La soirée va donc se passer là, entre la table, les deux canapés et la cheminée. Et les invités de Julia doivent arriver sous peu, ils seront tout de suite dans le bain, ça promet ! Les garçons me tiennent les bras par derrière et Jean s’avance avec sa grosse bite braquée sur moi :
- Alors le p’tit minou vorace, il va s’en prendre plein les lèvres ce p’tit minou affamé et vorace !...

Il me soulève par les fesses et là il m’a pénétrée d’un seul coup et sans difficulté, j’étais bien ouverte et lubrifiée par ma mouille. Comme les autres me retenaient et tiraient en arrière, le pieu m’a fait crier en rentrant profondément, ça m’a fait l’effet d’un harpon :
- belle prise sur ton gros hameçon Jean !...
- ses lolos sont encore plus excitants avec ce petit bout de tissu qui les retient !... humm ils vont me rendre fou ses putains de lolos !
- eh les mecs ! le défi, c’est d’les baiser toute la nuit sans leur enlever leurs mignons petits cache sexe !...
- putain oui ! c’est super excitant ces petits bouts de tissu !

Le fin bandeau sur mes tétons retenu par un fil argenté bien serré ne fut pas arraché mais a glissé sous ma poitrine. Mon cache sexe, lui, s’est retrouvé dans un sillon de l’aine à côté de ma lèvre droite et bien coincé dans ma raie.

Pendant ce temps Julia s’agrippe au dos de l’autre canapé, Jim la secoue énergiquement en la prenant par derrière. Elle halète, lui il souffle bruyamment, une vraie bête celui-là !

Soudain c’est à peine si j’ai entendu le bruit d’une voiture arriver dans la cour. Là c’est sur car la porte s’ouvre mais ce ne sont pas les copains de Julia mais son oncle, le fils de la vieille, il rentre dans la pièce. Je ne peux le voir du fait de ma posture étirée et maintenue en arrière, les mâles continuent leur affaire avec nous, nullement gênés par la présence du vieux qui se sert un café et s’approche vers nous. J’entends ses pas, je suis terriblement gênée !... mais les bras ne me lâchent pas et la bite de Jean continue ses puissants va et vient qui m’arrachent des gémissements. Le vieux s’est arrêté, il doit être juste sur mon côté, je ferme les yeux, les autres continuent… les secondes me paraissent très très longues… les sensations un peu oubliées reviennent vite, je m’y concentre et laisse mon corps répondre aux sollicitations sexuelles qui l’assaillent… la jouissance arrive vite et accapare mon esprit, tant mieux ! je gémis crescendo… C’est à peine si j’entends :
- dans la grange…
- ok… je la finis…

Jean me serre bien par le dessous de mes fesses, son phallus redouble d’intensité, je sens ses couilles durcir et cogner mon entre cuisses, ma jouissance enfle, maintenant elle me domine tout entière et l’orgasme monte, monte jusqu’à l’explosion finale ! Après avoir déchargé Jean me lâche, heureusement que les 2 autres me retiennent car j’allais m’écrouler. Mes jambes chancellent, ils me déposent sur le canapé :
- wouah tu lui en a envoyé une sacrée giclée !...
- ça lui fait du bien… ça fait plaisir à voir ça !
- wouai c’est signe qu’elle apprécie les bonnes queues ! c’est que l’début de la soirée ma poulette ! me lance Jean.

Jim amène Julia en la tirant par sa crinière et l’oblige à s’agenouiller entre mes jambes :
- tiens lèche le bon sperme de ton homme…
- allez fais lui une petite toilette à sa mignonne petite foufoune qui va resservir dans pas longtemps…

Après m’avoir nettoyée, Julia me rajuste mon cache sexe trempé de foutre mais laisse mon bandeau retenu sous mes seins.
- allez cocotte, direction la grange…
- … quoi ?...
- t’as bien entendu, fais pas l’innocente… quoique ça te va bien avec ton air de sainte mitouche…
- le vieux veut te voir… dit Jean.
- Enfin, pour te voir ça il t’a vue… et en belle position en plus !... dit Marc.
- Bein oui il veut se farcir une jeune poulette !... alors tâche d’être à la hauteur !

Tous les regards sont sur moi, je me lève, siffle une tasse de café qui restait sur la table, vais mettre mes tennis, Julia me jette une chemise d’homme sur les épaules. Je sors dans la cour. La lumière blafarde à l’entrée de la grange m’indique la direction. J’entends une voiture arriver, certainement les copains de Julia, peu importe je dois aller à la rencontre du vieux « qui veut se farcir une jeune poulette », ça m’excite… Arrivée au bâtiment, je prends le couloir de gauche. La grange fait partie d’un vaste bâtiment dont je ne connais pas encore tous les recoins, je m’avance là où c’est éclairé en suivant maintenant un large couloir traversant l’atelier puis d’autres compartiments jusqu’à l’ouverture de l’étage du grenier auquel on accède par une simple échelle. C’est à peine éclairé là-haut mais j’entends des pas, s’il est là il a dû me voir arriver dans le couloir. Puisqu’il n’y a rien d’autre que l’échelle pour accéder là-haut, je la prends, lentement car je n’aime pas trop ce genre d’engin. Arrivée à hauteur du plancher, j’aperçois enfin « l’oncle » de Julia ou le vieux comme ils l’appellent. Positionné à contre-jour je le distingue très mal, il ne bouge pas, j’ai un temps d’hésitation et enfin je m’enhardis à passer les dernières marches de l’échelle pour poser les pieds sur le plancher. Toujours pas un mot, il reste à contre-jour et moi je suis en pleine lumière complètement à poil ! Enfin à part les petits caches… Tout d’un coup il se recule pour se mettre en évidence sous la lumière, et là il m’apparaît nu et avec un très beau sexe bien bandé et de belle taille ! Voyant mon étonnement, il me fait signe d’avancer vers une poutre éclairée :
- accroche-toi aux anneaux

Je laisse glisser lentement, sensuellement, la chemise de mes épaules, comme pour un strip-tease et je saisis les anneaux écartés d’un mètre. Il avance vers moi, très bel homme encore pour ses 50 et quelques années, une force de la nature, torse velu. Il en vient de suite à me peloter et soupeser mes seins. Il empeste le vin et l’ail ! Qu’importe du moment que je sens le vin, odeur qui m’est agréable et surtout que je vais me faire prendre par ce rustique bien gaulé ! Il est chez lui et il a l’occasion de se faire une petite femelle toute fraîche et qui aime baiser, il l’a vue à l’œuvre et il ne va pas passer à côté de cette occase, je le comprends !

Il m’excite déjà le « vieux », ma chatte a mangé mon minuscule cache sexe dont les fils dorés me rentrent dans les chairs, il continue de tripoter mes tétons qu’il martyrise à la limite de la douleur. Soudain il me les tire fort vers lui m’obligeant à lâcher les anneaux et croyant devoir suivre son mouvement je reçois alors une belle gifle !
- j’ai pas dit de lâcher !...

Soumise et joueuse, je reprends ma position et lui se met à me fesser avec ses larges mains, très fort ! ça claque sur mes fesses contractées ainsi que sur le dessous des cuisses, là ça fait mal j’ai crié ! Me prenant par le menton et la mâchoire qu’il tord :
- t’es bonne qu’à te faire baiser ! et t’attends que j’en aie envie !

Et je reçois une série de gifles ! j’ai mal, il a la main lourde, je sursaute à chaque claque et m’efforce de ne pas lâcher les anneaux.
- alors t’as compris ?...
- … oui…
- relève la tête !

Des larmes commencent à couler, mes cheveux éparpillés sur le visage j’entrevoie sa carrure imposante et surtout son pieu bien raide pointé vers moi. Une claque, deux claques sur mes fesses pour me ressaisir et il passe à un pelotage en forme, alors mon corps devient rapidement la proie d’un immense désir d’être prise ! L’animal femelle que je suis se réveille dans tout mon corps ! Mon esprit aussi réclame fortement ce puissant désir d’être pénétrée !

Après m’avoir dégagé le tissu dans ma fente mais sans l’enlever, il m’a bouffé et mordu ma chatte, je me tortillais dans tous les sens et lui me maintenait et m’écartait bien mes cuisses pour m’enfoncer sa langue et aspirer fortement mon sexe, je gémissais et criais de plus belle ! J’avais mal à force de remuer et de tirer sur mes bras suspendus aux anneaux ! Mais le désir enflait toujours en moi ! Soudain il se lève, m’envoie une grosse claque sur les fesses :
- allez, va te coucher !

Affolée par mon désir et la situation ambiante, je regarde autour de moi. Dans une grange à foin, y’a pas 36 endroits, c’est dans le foin que ça se passe… l’endroit est préparé avec un grosse couverture de l’armée jetée à la va vite.

Il me rattrape et me claque violemment les fesses :
- couche-toi j’t’ai dit !...

Il me bouscule et s’affale aussitôt sur moi comme un prédateur prêt à dévorer sa proie, écarte brusquement mes cuisses et pointe son pieu qui me pénètre d’un trait en m’arrachant un cri ! J’aime ça être saisie, forcée et pénétrée à l’arrache après des préliminaires d’excitation ! Il me saisit les seins à pleines mains, s’y accroche et commence un vigoureux va et vient. Complètement offerte je tends mes bras au-dessus de ma tête, il saisit mes poignets d’une main et de l’autre me maintient un sein, il tire dans les deux sens, je crie ! Son regard de mâle dominateur me pénètre, il doit lire dans mes yeux le profond désir d’être ainsi à sa merci et prise pour me voir jouir et il redouble de puissance ! Il me voit et m’entend jouir, ils aiment surtout ça les hommes, entendre geindre et jouir la femme au bout de leur queue ! Et c’est bien ça, sa queue me remplit complètement et commence à m’affoler tellement elle me procure du plaisir, je tends alors mon corps pour mieux la sentir dans mon ventre et aussi offrir de meilleures prises à mon fougueux partenaire. Mon vagin s’adapte rapidement au pieu qui s’agite vigoureusement en moi et maintenant j’arrive à bien synchroniser mes contractions vaginales autour de son gros pénis, c’est bon !... je jouis, je jouis…
- P’tite salope !... tu veux me traire hein !...

Ses deux mains retrouvent mes seins qu’il resserre fortement puis saisit mes tétons électrisés, les pince et les tourne sans ménagement. Je crie de douleur et de plaisir mélangés ! il continue jusqu’à ce que j’arrête mes contractions qui commençaient leur processus de pompage et d’aspiration sur sa queue. En signe de soumission complète, j’écarte un peu plus mes cuisses, lui se cambre et me pilonne grave !
- ah tu veux me traire !...

Il me saisit alors les jambes, les relève
A la hussarde je vous dis ! et il a de l’endurance le « vieux » ! mais j’étais tellement excitée par les préliminaires et l’envie de me faire sauter par ce rustre que j’ai joui sans arrêt ! Arrivée au bord de l’orgasme j’haletais bruyamment depuis un moment, il montait la cadence :
- j’te remplis bien hein !... ta p’tite chatte aime les gros chibres hein !...
- oui… ouiii !... ha !... ha !... oh ouiiii !!!...

Il tenait bon le rustre ! il soufflait fort une haleine de grand fauve en rut ! Sa queue grossissait et j’avais l’impression qu’elle faisait partie de mon corps tellement je la sentais dans tout mon ventre ! Je voulais faire durer ce moment le plus longtemps possible mais je n’étais plus maître de mon corps qui réclamait encore et toujours plus d’intensité dans le plaisir ! Je m’accrochais aux pans des couvertures en serrant le foin tassé, je me contorsionnais, je gémissais, criais, jouissais à n’en plus finir !!! Puis à l’ultime sur gonflement de sa queue électrisée, instinctivement je m’étire et arrive à resserrer mon vagin en folie sur sa grosse queue juste avant qu’elle explose dans mon vagin, déversant par saccades ses longues giclées de sperme chaud. Nous avons eu un orgasme très fort ! Il s’est écroulé sur moi, son sexe toujours planté dans le mien. Encore sous l’emprise de mon orgasme, j’ai plein de sensations qui me picotent entre les cuisses et les hanches. Elles prennent tout leur temps pour s’estomper, je suis comblée ! Je reprends possession de mes seins griffés, je les palpe comme un aveugle découvrant un nouveau fruit, j’étire mes tétons, je suis heureuse d’avoir joui comme ça à la sauvage et d’avoir joui intensément ! De plus le rustre est resté planté dans mon sexe avec sa queue toujours bien gonflée, c’est très agréable cette sensation des deux sexes qui ont coulissé ensemble dans une folle étreinte et qui restent enlacés dans leurs sécrétions et le bain de sperme ! D’ailleurs voilà qu’il commence à se rétracter doucement, son propriétaire se soulève un peu et termine l’extraction de son bel outil qui garde encore une fière allure malgré l’enrobage mousseux de sperme. Mon corps s’abandonne, mon sexe béat libère le trop plein de sauce que je sens couler sur mon entrecuisse. Du coin de l’œil je vois qu’il savoure d’avoir tiré un bon coup et quel coup ! avec une jeunette qu’il devait guetter déjà depuis mon arrivée à la ferme ce fameux soir d’orage ! Ça m’arrange car ce moment de répit me permet à moi aussi de savourer ce bel orgasme ! J’en redemanderais bien ! D’ailleurs qu’a-t-il prévu maintenant ? A-t-il les moyens de revenir à l’assaut ?... peu importe, il m’a comblée !

Comme je me caresse langoureusement les seins tout en croisant et décroisant mes jambes, il revient à la charge :
- suce-moi !

Aussi bien membré que les jeunes, la seule différence notable venait de ce qu’il avait gardé tous ses poils, Un sexe jamais rasé ou épilé comme on peut les voir sur les statues, avec un paquet de poils frisottants. Quand j’étais jeune ado ça me faisait toujours sourire ces statues. Le nez dans la toison frisottante me voilà à le sucer copieusement. Par chance son sexe ne sentait pas l’ail ni le vin mais bien le fauve, ça sentait fort l’animal et comme j’adore ça les odeurs sexuelles il a eu droit à une belle pipe à la limite de réactiver la bête. Après avoir bien travaillé, son gland et son capuchon se voyaient récompensés par mes coups de langue gourmande bien appuyés. J’aurais bien voulu recevoir une petite giclée dans la bouche mais c’était trop tôt. Pour l’instant le fauve se reposait et moi j’attendais la suite tout en savourant une belle bite et ce qui venait de m’arriver dans cette grange embaumée par le foin et les fleurs séchées du printemps juste passé. Odeurs enivrantes du printemps, propices à la reproduction chez les mâles et les femelles de tout poil et de toute plume, mais là c’était dans les poils sexuels. J’étais bien. Mon grand fauve se reposait, ma main se hasarda à caresser sa poitrine velue, je n’osais pas titiller ses larges tétons couleur chocolat qui pourtant m’attiraient. Son sexe de couleur sombre avait rétréci et la tête reposait sur une cuisse, c’était touchant. En fait de toucher j’en avais là aussi très envie mais je devais laisser à l’homme le temps de récupérer espérant qu’il aurait par la suite encore envie de me baiser. Je n’en doutais pas car une jeunette bien roulée, à poil et à disposition immédiate, il ne pourra pas résister !... En attendant j’admirais tout son bel appareil sexuel : la peau était beaucoup plus sombre que celle des garçons que je connaissais, les magnifiques veines bleues aussi grosses bien que l’afflux de sang du à l’érection continue de s’estomper. Quant aux couilles, elles devaient être plus grosses dans leur peau du scrotum très sombre et velue, elles me faisaient penser à celles des lions ou d’autres grands fauves bien garnis de ce côté-là.

Apparemment le printemps et le début de ce bel été ont beaucoup d’effet sur la libido de ce rustre ! Il se réveille, tâte son sexe, malaxe bien son scrotum, sa verge reprend sa forme complète immédiatement. La vue de ce bel outil réveille tous mes sens, mes seins gonflent, mes tétons eux aussi en érection instantanée durcissent, je les pince et me pelote les seins, d’abord nerveusement puis langoureusement, je me fais du bien et en même temps j’appâte l’homme pour qu’il saute sur la bonne chair fraîche à sa disposition ! Le mâle et sa femelle s’attirent et se préparent pour leur prochain coït ! il se lève et me tend la main pour m’aider à me relever aussi. Il m’entraîne aux anneaux, récupère deux lanières de cuir et m’attache avec aux anneaux.
- comme ça tu tomberas pas… il paraît que t’es un peu maso…
- un peu… pour le sexe j’aime être attachée quand on s’occupe bien de moi…
- eh bien ça va te plaire !

Sans un mot, il m’ajuste une espèce de baudrier en cuir sur ma taille, sous les fesses et à mi-cuisse. L’ensemble est accroché à une grosse corde arrimée à une poutre. Dans le silence le plus complet il m’ajuste les sangles de ce harnais, je frissonne lorsqu’il positionne les sangles et les serre sur ma peau ! Attentive et curieuse je suis tous ses mouvements, ça m’excite beaucoup surtout lorsqu’il relève les deux poignées fixées sur l’arrière des sangles de fesses et de cuisses, là je visionne bien comment je suis maintenue pour favoriser des mouvements de pénétration par l’arrière !
Ainsi harnachée il me pousse en avant et je me retrouve à plat ventre dans le vide, retenue par le baudrier et les anneaux.
- tends bien tes bras !

Maintenant je suis complètement à plat, en suspension comme sur une balançoire et là évidemment je vois bien que la position avantageuse va permettre d’accentuer les mouvements de pénétration par l’arrière ! Apparemment satisfait de me voir complètement à sa merci, il tourne autour de moi, me caresse tout le long et viens se camper face à mon visage, juste à la bonne hauteur de son phallus pointé comme un canon prêt à faire feu.
- mouille-le bien car il va aller profond !

En me prenant par les cheveux il me guide pour happer sa bite et se branler en douceur, j’ai le temps de saliver et d’enrober le membre.
- bien… on va jouer à la balançoire maintenant, t’aimes ça la balançoire hein, toutes les filles aiment se faire balancer par leur petit copain…

Le sexe dégoulinant de bave il vient derrière moi, m’envoie quelques claques sur les fesses, je frissonne et suis impatiente d’être prise dans cette nouvelle position. Mon impatience monte d’un cran quand il saisit les poignées et, à la manière d’un soufflet, les écarte puis les rapproche et les écarte de nouveau entraînant dans les mêmes mouvements mes cuisses maintenues et bien sur mon sexe ouvert sur lequel il doit avoir une sacrée vue… ainsi que sur ma rondelle…

A l’aide des poignées, il écarte mes cuisses, me tire vers lui, je sens son sexe buter contre mon périnée, se promener dans ma fente puis venir se positionner entre mes lèvres…
- aïe !...

Poussé par le dard mon cache sexe rentre et me cisaille les petites lèvres :
- tu veux encore garder ton truc là ?...
- … c’est les garçons… Julia aussi…
- c’est pas ça qui va m’empêcher de rentrer !

Il l’écarte d’un doigt et brusquement tire à fond sur les poignées :
- aïe !!!...
- t’as un chouette de p’tit minou toi !... allez, cramponne-toi !

Et là en jouant avec les poignées qui me maintiennent il s’est amusé à me balancer sur son phallus dans différentes cadences qu’il alternait et recherchait celles où je jouissais le plus fort. Quand j’y repense c’en était presque une recherche musicale. Il savait y faire !
- comme tu chantes bien ma poulette ! allez un peu plus haut… plus aiguë…

Il lui suffisait d’écarter un peu plus mes cuisses tout en tirant et poussant à fond sur les poignées ! Effet garanti ! Je criais et gémissais plus fort ! puis je soufflais, haletais avec des « ouiii » « hummm », « han » «aaah, aaah, aaah » de façon ininterrompue !
- j’te finirais bien dans le troufion avec ton beau p’tit cul mais moi j’aime pas ça… c’est bon hein ma grosse queue bien profond dans ta mignonne p’tite chatte !

Un sacré lascar le « vieux » ! Il m’a pilonnée encore un bon bout de temps pour une jouissance en continu. Quand il s’est retiré pour me présenter sa queue gonflée dans la bouche j’ai cru qu’il voulait y dégorger son foutre, mais non, il l’a frottée sur mes lèvres avant de l’enfourner :
- tiens suce-moi le gland il est plein de ta mouille de chienne en chaleur !

En fait comme ça l’excitait, il a fini par me prendre la tête et se masturber dans ma bouche, j’ai cru qu’il allait lâcher la sauce mais s’est arrêté pile ! il a soufflé un moment, m’a relevé la tête entre ses deux mains, écarté les mèches pour me caresser :
- t’aimes les gros chibres hein… et en plus t’es une sacrée bonne baiseuse… j’comprends qu’les garçons ne veulent plus te lâcher !

là il tenait bon et infatigable a repris sa position pour une série effrénée de balançoire ! J’en avais les cuisses chauffées par le frottement des siennes et la foufoune brûlante jusqu’au fond de mon vagin ! Pour finir, sa puissante éjaculation m’a fait l’effet d’un feu d’artifice dans mon ventre ! Au bout des deux cordes qui me retenaient suspendue je me tortillais dans tous les sens !

Il m’a laissée suspendue ainsi, inerte, savourant mon orgasme. Toujours à poil devant mon visage qu’il a pris entre ses mains, elles sentaient les sexes mélangés où dominait l’odeur de sperme :
- si je te laisse ici dans cette position, les garçons vont en profiter pour t’enculer grave ! tu préfères aller les revoir en bas ?
- oui…
- ok, j’te libère, mais tu peux garder le harnais sur toi, ça pourra leur donner des idées !
- ah et aussi, maintenant quand je viendrai à la ferme je veux te voir aussitôt à ma disposition, juste pour un p’tit coup, t’es pas à un coup près dans la journée hein…

Non je ne garde pas le harnais mais reprend la chemise sur mes épaules avec laquelle je m’essuie de tout son foutre. Il m’aide à redescendre par l’échelle, m’envoie une claque sur les fesses :
- file, je crois que t’es désirée là-bas !

J’ai du mal à traverser la cour, mes jambes flageolent encore sous l’effet des assauts répétés entre mes cuisses et mon bas ventre. Quand je rentre dans la pièce, une forte odeur de sexe mêlée à celle du feu de bois titille mes narines, ils n’ont pas dû chaumer avec Julia d’autant qu’ils sont six avec les invités ! Et quel tableau ! ils sont tous à poil et Julia se retrouve allongée sur un petit banc posé sur la table face à la cheminée ! Bras et jambes lestées avec des bûches de moyenne taille qui pendent de chaque côté du banc. Sa tête pend en arrière de l’avant du banc dont la dimension correspond à la longueur de son tronc. A genoux entre ses cuisses écartelées, Marc la pilonne lentement, elle gémit. Fred monte sur la table, lui maintient la nuque et c’est parti pour une gorge profonde ! Elle n’a pas dû avoir de répit depuis que les autres sont arrivés au moment où j’entrais dans la grange. Les preuves sont bien visibles dans ses cheveux et sur ses cuisses, la table aussi a reçu des traînées de foutre encore gras et blanc !

Captivée par le spectacle, je n’ai pas vu arriver Jean qui vient me présenter l’un des 2 nouveaux, Sam le hardeur. Beau gosse le hardeur ! belle allure style éphèbe musclé, bronzé, et, bien entendu, pourvu d’un magnifique sexe complètement épilé avec de belles veines saillantes ! Encore un peu écopée de mon passage dans la grange, j’ai du mal à détourner mon regard qui reste fixé sur ce nouveau sexe que j’estime rapidement entre 20 et 21cm. Son propriétaire s’en aperçoit, sourit, me dévisage de la tête aux pieds, sourit de nouveau, envoie un clin d’œil à Jean :
- décidemment y’a du beau monde ici ! d’abord Julia… et maintenant c’est ?...
- Nat… Nat est, disons en pension pour quelques jours encore… elle apprécie l’ambiance chaleureuse…
- Normal… une aussi belle fille mérite toutes les attentions…
- Eh bien dis donc vous n’avez pas chômé ! dit Jean en voyant un pan entier de sa chemise tâché de sperme lorsque je me suis essuyée.
- … oh, désolée…
- un rien qu’il a dégorgé le vieux !... tu lui a vidé les couilles Nat ! allez fais pas ta timide, viens prendre un verre avec nous devant le beau spectacle que nous fait Julia.
- Elle a pas voulu attendre que tu reviennes, donc elle a eu la primeur de nos burettes… mais t’inquiètes pas il en restera un peu pour toi… me dit Jean en me tapotant la croupe.

En réponse, mon regard gourmand sur sa bite pendante mais toujours bien gonflée lui indique que j’y compte bien. Sam sourit, sa queue s’étire, je commencerais bien à faire une petite reconnaissance vers ce nouveau jouet moi. Me tenant par la main il m’entraîne vers la cheminée, on passe à côté de la table où s’affairent Marc et Fred sur Julia qu’on entend gémir lorsque sa gorge est libérée de temps en temps du phallus baveux de Fred. Jim et Michel, un verre à la main, devant la cheminée, se contentent de commenter le spectacle mais je vois surtout qu’ils attendent mon arrivée.
- alors les boys on reprend des forces ?... lance Jean en remarquant qu’un certain intérêt se manifeste au niveau de leur entre cuisse.

Jim me tend un verre, whisky :
- après ta petite visite à la grange, ça va te faire du bien ma belle…
- il est encore bon le vieux ? poursuit Jean.
- … pas mal… il a de la ressource…

On discute et à côté, les deux autres garçons continuent de travailler Julia qui gémit en continu, ils ont tous dû se la faire dans cette position pensais-je. Autour de moi, les 4 garçons restent calmes, enfin d’apparence car leur sexe trahit déjà une impatience de reprendre du service… Etant la seule à porter, si j’ose dire un vêtement, je trouve la situation cocasse au milieu de ces 4 garçons complètement nus avec leur queue en demi-érection et un verre à la main ! Me dévisageant des pieds à la tête, Sam me propose de retirer ma chemise :
- tu dois avoir chaud avec ça devant la cheminée… et pis elle est un peu longue pour toi, elle te tombe jusqu’aux fesses… j’suis persuadé qu’il doit y avoir des merveilles là-dedans… j’suis curieux…

J’esquive un grand sourire en le voyant se présenter devant moi, la bite bien tendue et m’enlever délicatement ma chemise, découvrant ainsi complètement mon torse mais surtout ma poitrine. Mes seins frémissent, ils trahissent leur impatience, tout gonflés qu’ils sont avec leurs tétons en érection, mes irrésistibles appâts s’offrent pour accueillir les regards masculins et les mains, surtout les mains !
- ah oui quand même !... elle était bien remplie ta chemise Nat ! t’as vu ça Michel ? viens voir ça de près…
- wouaou !... j’me doutais bien qu’il y avait quelque chose de beau là-dessous, on peut toucher ?...
- on peut toujours essayer… dis-je en frôlant rapidement la bite la plus proche, celle de Sam.

Et les voilà tous les deux en train de m’effleurer sur la pointe des doigts comme des aveugles à la devinette d’un objet, cherchant sa forme et ses dimensions.
- Alors ?... dit Jean.
- Ah oui là y’a de quoi s’occuper pour un bon moment !

Mes seins frémissent, entraînant tout mon corps, un grand moment de volupté m’envahit, je tends la gorge en arrière, on m’embrasse dans le cou, derrière les oreilles, puis sur ma poitrine. Leurs mains deviennent plus pressantes, elles s’affolent sur mes aréoles et surtout mes tétons. Ils continuent par caresser tout mon corps, le désir m’envahit, m’affole, mes gémissements encouragent les mâles, ils me préparent et me mettent en condition, je deviens leur objet sexuel sur lequel ils vont assouvir leurs besoins de baiser. Je sens maintenant leurs queues raidies collées sur mon ventre, mes fesses et mes hanches au fur et à mesure qu’ils tournent autour de moi en me tripotant. Je fonds ! Sam se plaque sur mes fesses, ses bras m’enrobent la poitrine puis il saisit mes tétons pour les étirer dans tous les sens et surtout pour me faire geindre car il a tout de suite reconnu leur extrême sensibilité ! Et il en joue le coquin, j’ai du mal à rester en place, je me cambre en avant, forçant ainsi mon cul sur sa tige dressée contre mes fesses. Je me tortille sous l’effet de cette trituration excitante. Sam saisit mes seins à pleines mains, je me cambre en arrière pour me donner et leur offrir tous mes appâts, Michel en profite pour caler sa main sur mon sexe ! Là j’en peux plus, ça me picote de partout surtout à l’entre cuisses, je gémis ! Les deux lascars continuent de me chauffer.

Jean et Jim, tout près, savourent le spectacle. Ils bandent comme des ânes mais laissent faire les deux invités. Et moi je fonds de plaisir, mes mains parviennent à attraper une verge, elle est brûlante je coulisse mes doigts autour, j’attrape la deuxième que je branle en même temps mais dans la position debout j’ai du mal à garder mon équilibre avec toutes ces sollicitations sur mon corps en proie au désir d’être baisée ! J’ai hâte de passer à l’action, de bouffer de la queue et baiser comme une folle avec ces deux-là !

Mais voilà que Jean interpelle Sam :
- on reprend un petit verre ensemble les gars ?...
- volontiers répondent Sam et Michel !

En me lâchant j’aurais presque titubé tant j’étais, durant ces quelques minutes affolantes, un pantin entre leurs mains expertes. C’est quoi ça ? … ils me chauffent et me laissent tomber lorsque je suis à point…
- Nat, tu veux aussi un verre ?...
- Euh… oui…

Echevelée, les pupilles dilatées, les seins gonflés et pointés, la chatte trempée, j’essaie de reprendre mes esprits au milieu de ces quatre mecs qui jouent avec mes émotions et mes envies sexuelles. Mais eux aussi ont une furieuse envie de me prendre ! Ils font durer le plaisir de l’attente et de l’imprévu. Ah vous voulez jouer les mecs ? ça tombe bien, j’aime ça ! Ce petit interlude ne fera qu’activer mes pulsions sexuelles et déjà elles reprennent le dessus car je sais que je ne vais pas être déçue, ils ne sont pas venus ici pour rien… déjà avec Julia ils ont dû bien s’amuser… et la nuit ne fait que commencer…

La tension est palpable, ils finissent leur verre tout en me regardant :
- elle a une sacrée paire de lolos !
- pour moi le meilleur point de vue, c’est de profil en se baissant légèrement comme ça, dit Jim.

Michel fait pareil :
- ah oui ! là on voit bien qu’ils ressortent comme en suspension dans le vide !
- Pour le reste, dit Sam, c’est que du beau… de la très belle qualité… vraiment Nat t’as un corps de rêve, enfin j’veux dire un corps taillé pour donner l’envie aux hommes de te faire l’amour.
- Et tu dois aimer ça hein ?... faire l’amour ?...
- Devines… lui dis-je.

C’est pari pour le deuxième acte, les garçons posent leur verre et viennent aussitôt se coller à mes appâts. Là je crois qu’on va passer aux choses sérieuses ! Mais j’ai beaucoup apprécié le premier acte d’approche, déconcertant à la fin mais qui m’a mis l’eau à la bouche.

C’est reparti de plus belle surtout que nous étions tous dans l’attente fébrile de la suite ! Ils m’ont pelotée pendant cinq minutes, j’en pouvais plus, tous mes sens réclamaient du sexe, du sexe pur et dur ! soudain :
- elle est à point !... eh Jean, dégage Julia, elle va prendre sa place sur le banc !

Encore haletante, ils m’ont promptement hissée sur la table et couchée sur le dos sur le banc dont le rebord, côté fesses, dégoulinait et collait du foutre déversé sur Julia.

Julia, justement, je la voyais mais à l’envers car ma tête pendait en arrière. Allongée sur le canapé, elle se caressait les seins puis l’entrejambe en gardant une main sur ses seins. Apparemment les 6 garçons l’ont honorée copieusement. Mais mes pensées reviennent rapidement à ma position, mes sensations et l’attente de ce qui va suivre, l’excitation sur mes sens commencent à s’estomper alors que celle de l’attente m’envahit de plus en plus. Veulent-ils m’attacher avec les bûches comme Julia ? Le hardeur et son copain Michel montent sur la table, ils commencent par me lécher en prenant soin de caler de côté le cache-minou. Une langue passe entre mes lèvres, les ouvre, s’aventure, ressort, puis deux doigts s’y glissent :
- hé les mecs, y’a déjà eu de la visite là, c’est encore plein de foutre !
- bein wouai pendant qu’on s’occupait de Julia elle était avec le vieux, apparemment il lui en a balancé un bon paquet… et Jean aussi il l’a baisée en premier.
On m’envoie un claque sur les cuisses :
- mais c’est une vraie salope celle-là ! allez, tourne-toi salope !...

En fait c’est eux qui me retournent et me plaquent sur le banc en ajustant mon entrecuisse juste sur le rebord. Je fais face à la cheminée et les deux canapés. Julia me sourit, sa main coincée dans sa chatte, l’autre sautant d’un sein à l’autre. Les quatre autres garçons, en spectateur pour l’instant, se caressent gentiment leur sexe dans l’attente d’intervenir. Comme je ne peux reposer ma tête sur le banc trop court, je pose mon menton entre mes mains croisées.
- bon faut réchauffer tout ça…

Une série de claques s’abat sur mes fesses et mes cuisses, je sursaute !
- il en veut ce p’tit corps bien roulé ! il attend qu’on s’occupe de lui hein !...

Deux mains écartent mes fesses, on crache dans ma raie et un doigt commence à chatouiller l’entrée de ma rosette, force un peu, s’aventure plus loin et tourne autour de mes sphincters vite excités. Deux doigts s’agitent dans mon fion, puis deux autres dans ma chatte ! Que c’est bon ! Je ferme les yeux, j’entends à peine le souffle des 4 garçons juste devant moi à m’observer avec leur queue à la main, fesses tournées vers la cheminée qui crépite de temps en temps. Dans ce doux bien être, tendrement excitant, c’est le contact d’une grosse bite brûlante qui tapote sur mes joues :
- allez mouille-moi bien le gland, fais ça bien ça va aller dans ton p’tit cul !

Sa bite me paraît énorme tant en grosseur qu’en longueur. Cela provient du fait de la surprise et aussi de la voir là sous mon nez. Je m’empresse donc de saisir l’engin par la base avec les couilles, ça me remplit les deux mains et je gobe le gland. J’aurais tant voulu le sucer et m’en occuper plus longtemps ! mais c’était juste pour l’enrober de toute ma salive et surtout que le mec est fier de son sexe et de me le montrer avant de me pénétrer ! Je vois les garçons et Julia sourirent car ils savent combien j’affectionne de m’occuper longuement d’une queue. Maintenant il s’est accroupi derrière moi et passe son sexe dans ma raie en prenant tout son temps, je visionne bien sa belle queue se promener entre mes fesses, caressant mes deux orifices excités et jaloux l’un de l’autre, lequel aura la primeur d’être envahi ? les deux à la foi ?... non, pas dans cette position sur ce banc… quoique je les sens capables de toutes les acrobaties ces 2 nouveaux amants.
- t’en as envie hein ?.... t’as envie d’être enculée hein ?...
- oui… oui…
- aïe !...

Ca a forcé au départ et maintenant ça rentre ! Mes sphincters s’électrisent pour accueillir le phallus tout chaud et lui offrir le plus agréable passage possible. Je visionne la lente pénétration jusqu’à ce qu’elle me remplisse complètement. Ca y est les lourdes couilles viennent de buter sur le bas de mes lèvres devenues jalouses ! Et là comme d’habitude le mâle m’envoie un puissant et brutal coup de reins, il est au fond du sexe de sa partenaire, il la domine, la tient au bout de sa queue et entre ses mains ! Il va la faire jouir ! Il dirige la situation pour assouvir ses pulsions et celles de sa femelle.
- aïe !!
- t’es au bout là… dit Marc

Les garçons rient, Julia tente de se lever péniblement puis se rallonge, reprenant ses caresses tout en m’observant. Le hardeur entreprend de lents va et vient comme pour m’accoutumer aux dimensions de son sexe. C’est bon, que c‘est bon !... malgré la présence de 6 paires d’yeux autour de moi je prends tout mon plaisir à me faire tringler sur ce banc monté sur une table devant la cheminée où dansent les flammes comme pour m‘accompagner.
- tu le trouves comment mon sexe ?...
- gros… long… très bon !... humm…
- t’aimes ça de t’faire enculer hein ?...
- oui… hummm c’est bon… je l’sens bien… hummm…
- elle aime ça dit Jean
- elle aime tout… surtout les bonnes queues !...

Puis subitement il ralentit et demande à Michel de lui passer un vêtement :
- n’importe, 1 ou 2 chemises… tiens le jeans là, plie-le en deux et mets-lui ça sous le pubis.

Michel me soulève légèrement par la taille pour caler le jeans, le hardeur toujours planté dans mes fesses dirige la manœuvre :
- soulèves-toi sur tes bras bien tendus et mets tes jambes comme une grenouille prête à sauter
- ah ça pour être prête à sauter, ça oui elle aime ça se faire sauter…

En bougeant pour obtenir la position demandée, je sens bien son sexe très dur comme s’il faisait partie de mon corps. Surtout qu’en positionnant mes cuisses comme il dit, ma chatte collée sur le jeans s’ouvre, mais par contre, mes fesses se contractent et se resserrent entraînant mes sphincters à se resserrer autour du pieu.
- cambre-toi encore plus…

Il me prend par les cheveux, les tire violemment !
- cambre-toi j’te dis !... ton ventre ne doit pas toucher le banc !

Je force sur mes bras et mes reins tout en contractant mes jambes à moitié pliées et bien écartées, je suis sur la pointe des pieds.
- tu veux jouir hein, tu veux jouir longtemps ?...
- cambre-toi mieux que ça !

Je reçois des claques sur les cuisses et les fesses, je crie de surprise ! Des flashes crépitent, Marc et Jim prennent des photos et Julia me filme ! Non mais c’est quoi ça !... Mais le plaisir me rattrape et m’accapare entièrement.

Arrivé au maximum de la position, il recommence à remuer en moi, tout doucement, un peu plus vite puis lentement, c’est bon, c’est très bon…
- allez j’t’emmène faire une chevauchée dans les grandes prairies de la jouissance !

Et là il tire et maintient ma tête en arrière d’une main, de l’autre il presse fermement une fesse contre l’autre et tous les 3 ou 4 coups de piston il me claque comme on fouette un cheval. J’haletais rapidement, la jouissance montait, même mon clitoris participait car il frottait sur le bord du banc ! Les autres se sont mis aussi à m’exciter les seins qui suivaient la folle cadence !
- profitez-en les mecs ça ballote lourd devant !

J’haletais fort, parfois je criais quand il tirait fort mes cheveux au moment où il m’envoyait son burin au fond de mon cul ! Les flashes crépitaient de temps à autre et j’apercevais Julia, caméra en main, faisant des plans serrés sur mon visage :
- t’es très belle ma chérie quand tu t’fais baisée… continue…

Les boys ont la queue en feu, ils bandent comme des ânes ! Je vois qu’ils ont tous une grosse envie urgente de me baiser ! D’ailleurs ils passent tous sous mon nez pour se faire lécher le bout du gland quand j’ai un répit, Julia commande :
- c’est la tournée les garçons ! offrez à cette belle petite salope une tournée de glands !

Je lape donc les petites gouttes collantes de leurs sexes, Julia filme la scène. Puis le rodéo reprend, la cadence augmente jusqu’à me faire crier, ça ralentit car mon cavalier reprend son souffle lui aussi. J’en profite pour me reposer les reins en me soutenant par les bras tendus et en reposant mon ventre sur le banc. Je garde toujours la queue bien enfoncée en moi. Mon cavalier se caresse les couilles, ses doigts touchent ma chatte en feu, alors là une énorme envie m’envahit ! Et comme je ne peux pas me toucher, en gémissant je me frotte instinctivement sur le rebord du banc en espérant satisfaire mon clitoris en manque de sensations.
- c’est une vrais chienne cette petite !... putain je voudrais avoir deux queues pour lui rentrer dans ses deux trous à celle-là !...
- les garçons ont de quoi la satisfaire dit Julia en ricanant !
- allez ma cocotte on repart pour une balade !

Deux claques sur chacune de mes fesses, cheveux tirés fort en arrière, poitrine assaillie, cambrée au maximum avec mon cul bien relevé, la queue du hardeur redémarre. Dans cette position mon ventre suit la cambrure de mes reins, je sens la longue queue comme si elle allait ressortir par mon nombril.
- putain ce cul !... une merveille à baiser ! t’es rudement bonne toi ! j’ai hâte de te prendre par la chatte…
- elle est clito ou vaginale ?...
- les deux, elle est bonne dans tout !

Et pour accentuer leurs dires, ils me tirent les tétons, je crie ! je gémis encore et encore… les claques pleuvent sur mes fesses et surtout sur mes cuisses ! Ils y participent tous les salauds !
- hue cocotte !... allez crie !... hue !...

Y’en a un qu’a eu la bonne idée de m’insérer sa main sous mon ventre pour aller titiller mon clitoris coincé sur le jeans et le rebord du banc : réaction immédiate ! je crie de plaisir !
- oh oui ! oh oui !... humm !... humm ! aaah ! aaaaah !
- profitez-en elle est plutôt clito en ce moment… dit Julia qui continue de se masturber.

Vicieuse la Julia ! elle jouit de me voir aux prises avec les mecs et elle les dirige en indiquant que je suis plutôt clito en ce moment, donc continuez à l’entuber profond par derrière ! Alors que ma préférence, et elle le sait très bien, est de me faire prendre par la voie nacrée pourvue de tous les récepteurs hyper sensibles. Par chance, l’un des mecs, je ne sais pas lequel, saute sur l’occasion pour me voir jouir et entendre gémir plus fort et une deuxième main passe sous mon ventre. Les doigts chauds se rencontrent, explorent ma vulve gonflée puis s’entendent pour se partager les tâches : 1 main s’occupe de mon clito pendant que l’autre écarte mes lèvres pour y passer deux doigts. Je monte rapidement d’un cran au niveau des sensations ! Mon clitoris semble vouloir réclamer toutes les sensations pour lui seul, instinctivement je m’efforce d’accentuer de moi-même ma cambrure pour faciliter les passages et l’action des doigts, et surtout, surtout, augmenter mon plaisir. Il enfle, il enfle, mon plaisir augmente graduellement !
- oh oui ! oh oui !... aaah ! aaah ! aaah !... encore ! tire !!!... aaaah !... aaaah !... aaaah !...

Mon cavalier ne s’en prive pas, il tire ma crinière, je me cambre encore plus, les doigts s’affairent, mon clito exacerbé me fait geindre, gémir et crier en continu sous les regards des mecs qui apprécient ça au plus haut point ! Ça les excite de m’entendre et voir ainsi jouir ! La longue et forte queue continue de coulisser dans mes chairs, toutes ces sensations s’ajoutent les unes aux autres, c’est le délire ! J’en deviens hystérique ! Je n’entends plus Julia et les 3 autres devant moi pendant que mes 3 partenaires s’affairent sur moi. Malgré ma position inconfortable, ma jouissance s’amplifie, mon orgasme arrive, je deviens folle, mon corps ne m’appartient plus mais réclame le plus haut pallier de son plaisir ! Mon esprit se brouille, l’onde se propage, tout mon corps vibre !... j’ai eu comme l’impression de recevoir de multiples décharges électriques dans mon corps… Je ne ressens presque plus la longue queue qui vient d’éjecter ses tirs de foutre, si, elle bouge encore, le mâle dessert son étreinte sur mes cuisses endolories et reprend son sexe.

Je me sens vaciller mais suis toujours maintenue par plusieurs bras. Je ne sais plus où j’en suis… mes partenaires ont dû arrêter… non… un autre se calle derrière moi et m’enfile au même endroit, les excitations reprennent là où ça donne du résultat. Leur but est de me voir et entendre jouir au maximum au bout de leurs queues ! Bien sûr ils s’amusent aussi à renouveler leurs performances sur la petite chaudasse que je suis, la putain d’salope, la chienne à baiser... Mais si je suis leur chienne à baiser je sais que je ne suis pas un vulgaire trou à bites, un vide-couilles. Pour mon plus grand plaisir ils ont alterné dans mes deux petits trous aux pourtours gonflés de désir insatiable et des multiples passages des grosses verges. Quand la tournée des 6 se termina, j’étais dans le même état que Julia, hébétée, dans un corps électrisé, jambes pliées et mon échine cambrée presque bloquée. Je suis restée ainsi sur le canapé face à la cheminée, j’aurais voulu dormir mais je ressentais encore les délices des excitations passées qui prenaient tout leur temps à s’estomper. J’étais reconnaissante à mes organes érectiles et sensuels qui enregistraient bien le plaisir qu’on leur donnait. Julia offrait une tournée whisky aux garçons, ça discutait sur leurs performances et des miennes bien sûr. D’après ce que j’entendais par bribes, la nuit allait être très chaude pour Julia et moi… Ensuite, à moitié inconsciente, ils m’ont transportée dans la chambre de Julia, là on s’est retrouvées toutes les deux à se partager les 6 garçons. Et ils n’avaient pas envie de dormir eux ! Juste le temps de leur phrase réfractaire, enfin au bout de la troisième tournée ils se sont calmés pendant 2 heures. Après on se les ait partagés ou plutôt c’est eux qui se sont partagés nos corps puisqu’ils étaient trois pour chacune. Une fois ils nous ont laissées ensemble, nous encourageant à jouer les gouines, ça m’a permis de me reposer un peu, mais pas longtemps car lorsqu’on étaient enlacées à se bécoter, ils sont revenus à la charge par derrière Julia et moi :
- continuez ensemble les filles, nous on vous apporte ce qui vous manque…
- un bon braquemart dans vos petites chattes en manque, ça se refuse pas…

Et là on s’est fait tringler face à face, on pouvait se voir encaisser leurs coups de butoir et gémir ensemble, de temps en temps y’en a un qui glissait sa queue entre nos bouches, on l’enlaçait lèvres contre lèvres et il se branlait au milieu. Lorsqu’il y avait éjaculation on se partageait la récolte en s’embrassant, leurs semences bien mélangées avec nos baves respectives, ça moussait, on en avait sur tout le visage et on se léchait comme des chats. C’était bon et on en redemandait surtout qu’il y avait toujours un pour nous présenter son phallus turgescent en main et qu’il nous le laissait pour jouer. Les mecs jouissaient bien eux aussi car une queue prise entre deux bouches expertes ça réagissait en gémissements et râles, bien sur on faisait durer au maximum et nos mâles se payaient de beaux orgasmes ! Dans l’heure qui suivait, les batteries rechargées, ils en redemandaient tous ! Vu de loin, ça en devenait presque de l’abattage, mais nous aussi on en redemandait !

Après cette nuit chaude, très chaude, tout comme nous les garçons accusaient une certaine fatigue. Julia et moi toutes courbaturées on a eu du mal à se lever. Ils sont descendus les premiers pour préparer le petit déjeuner. Après s’être rapidement rafraîchies et habillées seulement d’une nuisette, nous sommes descendues les rejoindre, nous nous aidions mutuellement pour descendre l’escalier dans un tonnerre d’applaudissements et de sifflets. En remarquant ma cambrure, Jean sortit :
- Nat, plus elle baise et plus elle se cambre !...
- Et plus on a envie de la baiser ! poursuit Marc.
- Ça c’est sûr, vous avez là de belles pouliches !... vous avez pas le temps de regarder mes films porno, dit Sam en riant, son regard s’était porté sur mon cul jusqu’à ce que j’arrive devant lui pour lui faire la bise.
- Et toi Nat, t’as un sacré potentiel… si tu voulais …
- Oh ! on t’a invité ici pour baiser, pas pour nous piquer nos femmes !...
- c’est juste une appréciation hein..
- oui mais elles sont libres que pour le fun, hein ma belle ?... dit Jean en me pinçant les fesses pendant que je lui faisais la bise.

Et comme je faisais ensuite la bise au suivant, je me penchais encore plus pour présenter ma croupe aux mains de Jean qui ne se priva pas de la tapoter.
- .. oui, belles pouliches…
- ah au fait dit Marc en montrant nos cache minous, je les ai retirées ce matin pendant qu’elles dormaient.
- Fais voir…

Il fait tourner nos minuscules bouts de tissu de main en main, ils les reniflent ! ils sont terrible les mecs !
- vous les remettez ce soir les filles ?...

J’avais à peine fini ma tasse de café, Julia me fait signe :
- mon oncle va partir, il désire te voir…
- et voilà, ça redémarre pour Nat !... le vieux s’est reposé et pis avec ce qu’il lui a mis hier soir, il doit avoir une sacrée trique ce matin !
- vrai qu’elle a un bon potentiel la p’tite… oh elle a les tétons qui pointent déjà !

Je baisse mes yeux sur mes pointes de seins et avec un grand sourire je sors de table :
- excusez-moi mais j’ai pas fini mon service…

Démarche chaloupée et bien cambrée, tous les regards se portent sur ma croupe.
- fais-lui ça vite et bien.

Mais moi je savais que j’en avais pour un bon moment, vu la façon dont il m’a prise hier soir. Je vais le retrouver dans sa chambre, les voets juste entre ouverts laissent filtrer un beau rayon de soleil traversant la pièce en biais. Il sort de la salle de bains :
- ah te voilà ma belle !

A poil avec une belle trique il s’avance vers moi, ses mains m’enserrent aussitôt la taille et remontent sous ma poitrine, entraînant la fine nuisette ce qui me dégarni complètement le bassin.
- pas trop fatiguée de ta nuit avec tous ces jeunes coqs ?...

En prenant sa grosse queue à pleines mains pointée sur mon ventre :
- un peu… surtout que les deux premiers coups avec toi c’était du costaud !...
- ça t’a plu hein !...
- j’aime les belles bites qui me font vibrer !

J’attrape alors son trois pièces à pleines mains et le tire vers moi :
- j’en ai encore envie… une grosse envie…

Je lui malaxe sas couilles, il me malaxe les seins.
- je commencerais bien par une petite sucette…

Je suis sortie de sa chambre après trois quarts d’heure. De nouveau à la salle à manger, la tablée semblait m’attendre, on me sert un café :
- je pense que t’as déjà eu la crème ?...
- eh bien non, on a fait ça à l’ancienne…
- il tient le coup le vieux ! y doit avoir un beau braquemart pour faire durer 40 minutes !

Je m’étais pourtant bien essuyée mais voilà que ça coule encore dans mon vagin, il m’a envoyé une sacrée bordée ! le vieux coquin !
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Histoire de olibid

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