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La ferme des étalons 12

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Lue : 2705 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 08/11/2014

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Au repas du soir, nous en étions à la traditionnelle soupe, lorsqu'un fermier voisin arrive. Visiblement habitué de la maison car il entre sans frapper. Une rapide salutation à la tablée puis accapare Jean, ils discutent à côté de la cheminée dans le canapé. De leur position ils peuvent nous voir, et le fermier regarde souvent vers nous, je veux dire Julia et moi, côte à côte dans nos tenues habituelles avec nos très courtes nuisettes et nos culottes à volants. Nos boys se lancent des clins d’œil, ils savent quelque chose, mais quoi ? Je vais être rapidement au parfum, Jean nous appelle, Julia me jette un clin d’oeil :
- n’aie pas peur ma chérie, il n’est pas méchant… fais c’que j’te dis…
- Julia, Edmond vient voir pour éventuellement… un échange…
- Ah oui… bonsoir Edmond, ça s’était bien passé la dernière fois, tout le monde y a trouvé son compte ?
- Oui bien sûr, sais-tu si elle repassera dans le coin ta blondasse pulpeuse ?... mes gars l’ont vachement appréciée hein !
- Elle est retournée en Bretagne, elle voulait s‘établir là-bas, mais bon c’est pas facile en ce moment. Enfin pour l’instant je n’ai pas de nouvelles.
- Si elle revient dans la région, tu penses à moi, elle sera toujours la bienvenue celle-là.

Le fermier, malgré son âge 55, a un beau visage, bien mat et peu ridé, cheveux encore bien noirs, moustache épaisse mais un regard lubrique, surtout quand il me reluque :
- une nouvelle ?...
- oui, c’est Nat, elle passe quelques vacances à la ferme…
- j’en ai entendu parler…
- …si ça t’intéresse…

Julia se lève, m’invite à faire de même et, tout en me tenant la main, me positionne devant Edmond.
- Avance poulette…
- tourne-toi un peu ma chérie que notre ami puisse apprécier tes jolies formes…

Heureusement que Julia garde ma main car je me sens mal à l’aise, ce vieux vicelard me reluque des pieds à la tête en caressant ses moustaches, on dirait un maquignon à la foire aux bestiaux !
- d’accord !... mais elle devra mettre les mêmes sous-vêts que Gigi.
- no problème, j’ai encore ceux que j’avais mis l’année dernière… et comme on est de la même taille… dit Julia.
- Tu sais Edmond, t’es vachement gagnant car nous on te propose de la variété et toi en échange on a toujours la p’tite Gigi.
- Wouai mais je sais que vous vous en lassez pas de notre p’tite garce, et qu’avec vous elle ne chôme pas !
- … c’est pas faux… elle a de beaux morceaux Gigi…

A table les garçons gloussent, je suppose que leurs commentaires me concernent. Edmond s’est levé, il m’agrippe par l’épaule :
- alors j’l’embarque maintenant…
- Ca va être la surprise, mes gars vont se régaler… dit-il en me tâtant la croupe :
- J’la prends à l’essai pour deux soirs.
- ok ça marche, le temps de la préparer et on te suit dans 10 minutes

Tout va très vite, Julia va chercher la fameuse tenue exigée par le rustre. Devant la cheminée, j’ôte ma nuisette et ma culotte. Sur ma poitrine Julia m’affuble de ce que je qualifie d’une guenille retenue par un cordon et en guise de culotte d’une autre guenille, déchirée elle aussi mais sans fond… De couleur marron, cet « ensemble » semble sortir tout droit d’un hameau perdu du moyen âge mais apparemment fait son effet sur les mecs. Julia me défait ma queue de cheval :
- là… comme ça t’es la sauvageonne… là-bas ils veulent une sauvageonne !
- ici aussi, on aime bien les sauvageonnes… les petites comme les grandes… disent en chœur Marc et Fred
- Nat va faire un p’tit stage à la ferme d’Edmond… et nous on va se-ré-ga-ler !... y’avait longtemps qu’on s’l’était pas mise sur le bout la p’tite Gigi !...
- eh, Edmond ! elle est toujours aussi bandante ta p’tite Gigi ?...
- toujours les gars, mais évitez de la faire boiter, la dernière fois elle est revenue en boitant… sinon la vôtre on lui fait pareil hein !
- C’est Jim, avec sa queue tordue il a dû tirer dans les coins…
- wouai c’est ça, dans les coins, ce s’rait pas plutôt en double ! recommencez pas les gars, nous on aime pas cette pratique.

Les garçons se bidonnent et se lèvent pour admirer mon accoutrement :
- comme t’y est belle comme ça… humm cette croupe à l’air…j’ai envie de te bouffer l’cul !

Ils me pelotent et commencent à s’exciter autour de ces guenilles sur mes appâts, je souris en me laissant tripoter :
- trop tard mes lascars, mais vous allez retrouver votre Gigi… elle est mignonne au moins ?...
- tu parles qu’elle est mignonne ! bon elle est pas aussi bien foutue que toi mais… mais elle est très bandante la p’tite salope !
- eh Nat, tu reviens quand ?
- demain soir ou après demain soir, on verra ça avec Edmond, répond Julia qui enfile un collant et une grande chemise par-dessus sa nuisette. Avant d’ouvrir la porte Julia m’enveloppe d’une grande bure de berger qui traîne à terre. Jean conduit, Julia m’explique l’affaire. Il s’agit d’un échange avec la fille de la ferme, elle est déjà venu chez nous. Mais en ce qui me concerne, pour être admise chez eux je dois passer un petit test, si je le réussis l’échange se fait dans la foulée. J’étais curieuse de vivre ça d’autant que Julia l’avait pratiqué plusieurs fois et les garçons de chez nous, d’après ce que j’ai compris, appréciaient en contrepartie la visite de la fameuse Gigi…

Après une demi-heure de route, arrivés à la ferme, Julia m’ajuste un bandeau sur les yeux avant d’entrer. Elle me tient par la main, je reconnais la voix du vieux qui nous accueille, beaucoup de brouhaha, odeurs lourdes de cuisine et de vin.
- ils sont encore à table, me dit Julia, ils t’attendent avec impatience ! Avance encore un peu, là ne bouge plus… tout va bien, je reste à tes côtés… Edmond arrive, laisse le faire.
- pas de culotte hein ?...
- tu peux contrôler, vieux vicieux…

Julia entrouvre ma cape et je sens une main se faufiler vers mon bas ventre, passer sous la guenille et tripoter entre mes cuisses.
- ok c’est bon

Plus de bruits de couverts, les voix se sont tues. Postée derrière moi, Julia libère ma tête de l’immense capuche… j’entends seulement le feu chuchoter dans la cheminée. Au bout d’une vingtaine de secondes, Julia dénoue lentement le cordon de ma grande capeline, je trouve le temps encore plus long… l’assistance aussi je pense, chacun a le souffle suspendu… mon cœur bat fort…
Cette attente devient presque insupportable et m’excite en même temps ! Brusquement elle tire la cape qui tombe à mes pieds…

Le silence est toujours là, lourd et presque infini… puis brusquement fusent cris et sifflements bien masculins ! Ça commente fort, cru, très cru ! Mes formes, mes appâts, reçoivent toutes les appréciations imagées propres au langage des mecs, surtout ceux habitant le pays profond. Julia très attentive au look et à l’effet procuré pour les mecs, m’arrange les cheveux pour laisser tomber mes grandes mèches ondulées sur mes épaules, moitié en arrière, moitié en avant sur ma poitrine. Une tape sur mes fesses me fait sursauter, tout le monde rit ! C’est le vieux, il me prend la main et m’aide à me faire tourner sur place afin qu’on m’admire sous tous les angles. Un tour, deux tours puis trois, ça siffle dans l’assemblée j’ai l’impression qu’ils sont une douzaine. Il m’emmène ensuite au bout de la tablée, en passant je sens les souffles impatients autour de moi ainsi qu’une forte odeur d’ail, de viande grillée, de vin. Il m’ôte alors le bandeau devant un jeune mec assis mais retenu par son voisin. Visiblement c’est un demeuré, il bave, il trépigne des pieds. Le vieux avec son sourire vicieux me dit :
- pour valider l’échange, tu dois faire une pipe à ce jeune homme… il paraît que t’es bonne pour tailler les pipes…

En regardant l’assemblée, je compte 4 mecs en plus du vieux et la fameuse Gigi assise sur les genoux d’un grand gaillard, yeux mi-clos, le regard perdu, je l’entends geindre doucement. Quant au demeuré baveux qui me bouffe des yeux, il trépigne de plus en plus et tout le monde s’impatiente !
- alors sainte mi touche tu l’suces ?...
- dépêche-toi, sinon y va dégorger dans son slibard !
- mademoiselle fait la difficile… pourtant t’as une bouche à bouffer d’la bite toi aussi !
- là d’où tu viens tu dois pas chômer ! dit le vieux en lançant un clin d’œil à Julia qui s’est rapprochée de nous… allez, suces-le !

Je me lance donc et déboutonne rapidement la braguette qui laisse surgir une immense queue… Jamais vu de pareil engin ! Surprise mais sans plus réfléchir, c’est pas le moment, je la saisis, elle est molle bien que gonflée mais avec un tout petit gland. Son propriétaire est toujours solidement maintenu, je crache et gobe rapidement la chose tout en astiquant le membre avec mes deux mains pour en finir au plus vite ! Les autres ont bien vu mon manège :
- Oh là ! plus doucement !... donne-lui du plaisir !.. allez suce-le bien !… t’es qu’une chienne !
- et donne-lui un peu tes lolos, lui aussi il aime les gros lolos bien fermes…

Et le mec me plaque ses grosses mains calleuses sur mes seins, il me faisait mal le salaud ! il me les écrase si fort que j’ai dû lâcher la sucette.
- doucement Jeannot, ne casse pas la belle marchandise, on va s’en servir nous aussi !

Heureusement j’ai pu reprendre ma fellation pour en finir avec ce type, et ça n’a pas tardé, il a rapidement dégorgé son foutre, toute petite quantité mais quel goût amère ! ça puait le chou !...
Un autre vient aussitôt me présenter une serviette dans laquelle je crache la sauce et m’essuie. Avec un sourire ravi il m’offre aussi un grand verre de vin rouge, bein oui je vais rester et donc ils vont se payer la petite nouvelle, je le siffle d’un trait sous leurs regards amusés, leurs pupilles complètement dilatées.

Assise sur un grand gaillard, Gigi paraît toute petite. Le mec habillé l’a fait sauter doucement sur son dard. Les cuisses épaisses pendent des deux côtés, son corps bronzé ressort magnifiquement dans cette posture. Voyant mon attirance vers le spectacle, le vieux sourit :
- elle est bien roulée notre Gigi…
Et s’adressant au mec qui la monte :
- montre donc les beaux jambonneaux de la petite !

Alors le solide gaillard lui saisit le dessous des genoux pour relever les jambes, sortie de sa torpeur la petite ouvre les yeux et nous regarde vaguement au travers de ses mèches.
- plus haut !... dit le vieux

Participant à s’afficher, elle attrape ses pieds avec beaucoup de souplesse, et là ses cuisses s’écartent et remontent presque à la verticale découvrant effectivement de beaux morceaux. En prime on peut voir le bas d’une grosse hampe enfoncée jusqu’à la garde dans la fente vulvaire aux lèvres gonflées rouge vinasse.
- alors c’est du beau ça hein ?... c’est pas des cuisses de mouche ça !
- j’en ai l’eau à la bouche… dit Jean.

Affaire conclue donc, Julia m’adresse un clin d’oeil et Jean va chercher Gigi qui se déboîte du grand gaillard. Elle est jeune, à son âge je m’éveillais tout juste au sexe pour jouer à touche pipi. Ses robustes cuisses, humides de traînées blanchâtres bien visibles sur sa peau bronzée font envie. Il est de ces chairs qui donnent envie de croquer dedans tellement elles sont appétissantes. Vêtue des mêmes haillons que les miens, brunette aux cheveux courts, grands yeux écarquillés par des pupilles dilatées et une très belle bouche aux lèvres étonnamment pulpeuses au milieu d’une petite frimousse toute ronde. Plus petite que moi mais super bien roulée, très appétissante effectivement… sa guenille sous la poitrine met encore plus en valeur ses tout petits seins fermes, écartés, bien droits avec des tétons surdimensionnés, très étirés, au sommet de larges aréoles gonflées comme des poires… Belle cambrure aussi… et un cul !... Et là aussi bien mis en valeur par sa guenille à peine nouée sur les hanches !... un cul et des cuisses à croquer !... Je comprends l’impatience de mes étalons !... ils vont avoir de quoi se mettre sous la dent les cochons !!!... et Julia aussi je suppose… Elle me glisse à l’oreille :
- c’est un saisonnier qui l’a amenée ici, c’était pas sa fille, elle a voulu rester dans une famille. Elle est de « service tous les jours… ça fait maintenant deux ans. A l’époque elle était toute gracile ».
- ah oui quand même, elle est jeune pour…
- oui mais elle aime ça…

En moi-même je pensais à une lecture où un couple avait recueilli une beurette pour le plaisir de leurs soirées entre amis : « …elle avait en permanence le sexe gonflé et rouge comme le cul d’un babouin… »
Je pensais aussi à Julia qui, comme elle, avait commencé très tôt.
- c’est normal quand on est appétissante… l’âge… dit Julia.
- wouai dit Edmond, elle était maigrichonne quand on l’a recueillie, mais on l’a élevée et engraissée au jus de couilles…

En reluquant Julia, il continue :
- toi aussi t’as commencé tôt hein ! t’étais pareille mais t’as vachement grandi toi !... dis donc t’aurais pu garder ta nuisette, ça leur aurait fait plaisir à mes gars, ils gardent un bon souvenir de ton dernier passage tu sais !

Je regardais la petite mignonne, une vraie créature de fantasmes sexuels, elle ferait des ravages en ville !
- enlève ça, dit Jean en montrant ses guenilles tâchées de foutre.

Elle revient vite fait de sa chambre. Corsaire bien moulant où on devine une fine culotte dessous. Pour le haut, juste un soutien-gorge à volants qui enrobe bien ses petits seins pointus et dont les gros tétons forcent le tissu. Elle est belle la petite, encore plus désirable ainsi habillée ! Un vrai joujou sexuel ! Blottie à côté de Jean qu’elle regarde en tendant le cou vers le haut, on dirait qu’elle a hâte de se faire sauter ! Jean lui passe la main aux fesses :
- eh bien voilà, t’es prête mignonne ?... tu sais les garçons t’attendent de pied ferme !
- C’est pas vrai qu’ils vont se la tringler avec leurs de pieds dit l’un…
- Y ont mieux que ça pour s’en occuper, répond Julia.

La gamine, cou tendu vers Jean, esquisse un sourire.
- ah oui dit le vieux, elle a hâte de se faire sauter par Jean !... elle a jamais voulu nous dire combien tu mesurais… pas vrai ma p’tite chatte ?... y doit avoir un beau braquemard le Jean ! Bon tachez de pas nous l’esquinter hein…
- en attendant on va s’occuper de la remplaçante, elle doit être impatiente de faire connaissance !

Julia et Jean emmènent Gigi et me voilà seule au milieu de ces cul-terreux qui me dévorent du regard ! Le vieux m’accroche et me force à m’asseoir :
- ici c’est pas le foutoir… il n’y aura jamais plus d’un mec à te sauter !

Et là tout de suite, première mise en pratique : le mec d’à côté ouvre sa braguette, me saisit la taille, me soulève et m’empale direct sur son dard ! les mecs applaudissent et me lâchent pas du regard ! j’ai honte… tout en appréciant le beau pieu qui me remplit bien et qui me fait sauter. Pour baiser à tout va, pratique cette culotte-guenille qui n’est pas une culotte puisqu’elle n’a pas de fond, oui beaucoup plus pratique qu’un string ! et apparemment les mecs adorent, c’est moins sexy conventionnel mais limite sexy viol sur une donzelle sauvage faussement effarouchée qu’a envie de s’faire sauter par un ou plusieurs hommes !
- eh les gars, c’est rentré comme dans du beurre, elle mouillait déjà !... bon signe ça… hein poulette, on va voir si t’es aussi bonne que notre p’tite salope de Gigi…
- en attendant elle lui a fait une belle pipe ! hein notre Jojo il est content, il a bien dégorgé…

Comme ses mains s’occupent rapidement de ma poitrine qu’il malaxe à m’étouffer, les autres se foutent de lui :
- et comment tu vas bouffer maintenant ?... elle te donne sa chatte, ses lolos et tu crois qu’elle va aussi te donner la cuillère ?…
- y sont plus gros q’ceux de Gigi…
- mets-lui les seins à l’air, j’veux voir comment ils se ballottent !

Il m’arrache la guenille, la jette loin de la table. Après m’avoir étiré les tétons, il soupèse mes seins et les fait tourner dans tous les sens, ça m’excite autant que j’ai mal car il les laisse retomber lourdement !
- dépêche-toi d’en finir pour me la refiler… rien que d’les voir ça m’donne le tournis !
- ce s’rait pas plutôt des démangeaisons ?
- wouai ça m’démange dans les mains mais surtout sur l’bout, j’ai hâte de m’la mettre sur l’bout celle-là !...

Le vieux, qu’arrêtait pas d’me reluquer, n’en pouvait plus, il se lève, vient derrière nous et, tout en me tripotant les seins, dit :
- alors on l’a pour 48h, il faudra bien en profiter car elle est juste de passage dans la région. Après elle retourne à la ville la cocotte, pas vrai ma belle t’es là pour en profiter toi aussi !
Le vieux continue de me peloter, je suis toujours empalée sur le braquemart qui s’agite de plus en plus, la situation me paraît irréelle aussi je ferme les yeux.
- elle jouit !...
- déjà ?... s’exclame un autre.
- Ah oui !... elle à l’air d’être bonne !... dépêche-toi de dégorger !
Ils ont pas tort, je jouis… malgré l’ambiance et le décor, disons gaulois, je me suis laissée prendre au jeu avec mon allure sauvageonne aux prises avec ces primitifs qui me baisent et me p’lotent à table ! Maintenant j’ai du mal à me retenir. En me tenant par la taille le mec me fait sauter de plus en plus fort sur ses genoux.
- cramponne-toi salope ! tu vas jouir, j’te l’dis moi !...

Effectivement, suis obligée de serrer le bord de la table pour me cramponner ! Je gémis en me mordant les lèvres, j’halète, lui aussi il souffle fort dans mon dos. L’orgasme me vient assez rapidement, court, violent, la tablée apprécie par des commentaires que j’entends à peine et maintenant couverts par les halètements rauques de mon baiseur qui dégorge sa queue ! Je suis encore sous l’emprise de ma jouissance quand on m’oblige à desserrer mes mains de la table où je me cramponnais et qu’on me soulève pour me dévisser du phallus. Je ferme toujours les yeux, je dois être sur l’épaule de quelqu’un, avec mon cul en l’air, on me promène ainsi autour de la table, je reçois des claques sur les cuisses et les fesses :
- vous avez vu les gars comme c’est beau une petite chatte qui vient de se prendre une grosse bordée d’foutre ! Elle est bien huilée maintenant !... à qui l’tour ?...

Et me revoilà sur les genoux d’un autre, aussitôt « assise », aussitôt empalée ! le contact est plus agréable car lui, au moins, il a baissé son pantalon et c’est chair contre chair avec mes fesses collantes de foutre, mais ça le gêne pas, au contraire :
- ah oui, bien huilé !... wouaou ! elle est appétissante la cochonne !… c’est un top modèle comme dit Jean, mais pas aussi dodue que notre petite Gigi.
- faudrait p’t’être la laisser manger la p’tite…
- bein oui, sinon elle va pas t’nir l’coup !
- allez mange cocotte, moi j’ai tout mon temps pour t’envoyer ma crème…

Il m’a donné des morceaux de viande que j’ai dû avaler et bien sûr je devais sucer ses doigts…
- moi j’ai hâte de la voir sucer autre chose…
- ce s’rait pas plutôt que t’as hâte de te faire sucer ?
- les deux… et pis tirer mon coup !

J’ai vite compris leur manège, pour que chacun puisse profiter du spectacle et me prendre, ils faisaient durer le repas. Alors que j’étais prise par un seul à la fois, ils discutaient, reprenaient plusieurs fois dans le plat principal et surtout les tournées de fromages ! Ce grand plateau de fromages, je l’ai vu passer et repasser cinq fois ! Eh oui j’étais pour ainsi dire aux premières loges puisque continuellement assise sur les cuisses d’un mec, puis le suivant. Moi aussi j’étais comme le plateau de fromages, je faisais le tour de la table ! Bien sûr je devais m’empaler sur le chibre suivant, on pouvait suivre le sens de la tournée de baise car une fois désempalée, pour aller à la place suivante mon vagin se vidait d’un pantalon sur l’autre. Au début j’ai trouvé ça écœurant puis à partir du troisième, en fermant les yeux je me concentrais sur mon plaisir et j’y ai vraiment pris mon pied car ils m’ont fait jouir les bougres ! Mais je me retenais quand même de gémir trop fort, alors au début je couinais en me mordant les lèvres. Je les entendais rire de ma situation, ils bouffaient, baisaient et me donnaient en spectacle autour de cette tablée. Julia m’avait prévenue que ça me plairait mais qu’il me faudrait un temps d’accoutumance. En dernier de la tournée c’est le père Edmond, même position, même dose de foutre sur le pantalon. Quand il m’a éjectée, avec mes cuisses dégoulinantes de sperme, la culotte sans fond toute tachée, le bandeau de poitrine de travers avec les seins complètement à l’air, j’étais hébétée mais heureusement cachée par les mèches de mon abondante chevelure. J’attendais donc la suite puisque tout le monde s’était servi et m’avait baisée !... Une grosse claque sur mes fesses me fait sursauter ! et la tablée rire !
- eh la garce ! va nous chercher une autre bouteille !...

Et il me tendit la bouteille vide, la vieille qui me surveiller m’indiqua l’étagère. Evidemment tout le monde me suivait du regard car la « culotte » ne couvrait qu’une toute petite partie de mes fesses. Les rires moqueurs m’indiquèrent des traces de foutre sur mon cul et le derrière des cuisses :
- encore une qui sait pas s’laver !
La bouteille à la main, le visage empourpré, je ne rougis pourtant pas d’habitude, mais là…
- eh bien sers-nous à boire la garce ! tu vois bien que mes gars ont soif !

A chaque verre servi, j’avais droit à une main sur les fesses ou sur ma chatte. J’avais du mal à me contenir pour servir les verres correctement.
- moi j’reprendrais bien encore un peu de fromage, pas vous les gars ?
- rien de tel qu’un bon fromage, faut pas s’en priver…

Et là-dessus, le premier de la tablée me tire par le bras pour m’asseoir sur ses cuisses :
- toi aussi la garce, tu reprendras bien du fromage hein…

Pour réponse, c’est moi qui ai sorti sa bite de sa braguette ouverte pour me l’enfiler dans ma chatte baveuse de foutre, j’ai poussé un « aah » et j’ai tout de suite commencé un balancement du bassin sur les côtés puis d’avant en arrière, tout doucement. Alors le mec m’a pris les hanches pour accompagner mes mouvements, sa queue durcissait. Rapidement j’ai vu que la tablée restait bouche bée, le vieux se ressaisit le premier :
- ça va comme vous voulez les gars ?... vous avez faim ce soir, mais y’a ce qu’il faut sur la table, profitez-en !
S’adressant au jeune idiot retenu par la vieille :
- toi montes dans ta chambre et tapes-toi une branlette… t’as eu ta gourmandise, t’en auras une autre demain soir.

J’ai eu raison de prendre ça du bon côté car le mec qui me faisait sauter prenait lui aussi son temps, pas comme tout à l’heure où tous me larguaient la sauce rapidos ! Là il jouissait et moi aussi maintenant sans retenue. Mais c’était quand même du travail à la chaîne du fait que son voisin attendait son tour pour me prendre ! Les yeux à moitié fermés sous mes mèches, j’ai même vu la vieille, debout à côté du buffet, se masturber sous son tablier ! A ce deuxième tour de table, j’arrive sur le père qui m’enfile lui aussi sans attendre, il me propose même de manger en même temps :
- alors p’tite garce, je t’ai pas vu manger, faut prendre le temps de manger !... tiens prend ce morceau avec un verre de vin.

En s’adressant aux autre tout en me pelotant énergiquement :
- elle est pas grosse, mais bon, y’a ce qu’il faut où il faut pour nous, c’est bien garni partout et elle a d’la croupe !... pas vrai qu’elle a une putain de croupe ?...
- ah oui ! une putain d’croupe !... maintenant si elle veut pas manger, moi j’la forcerais pas ! dit un autre.

En attendant, ce gros plouc m’a fait avoir un orgasme pas possible ! je me suis cramponnée à la table pour recevoir ses belles giclées de foutre ! Sous le regard amusé des autres, j’ai eu du mal à me dévisser de son dard. A peine debout, toute fébrile et tremblante, il m’envoie une grosse claque sur les fesses :
- allez, va t’coucher !

Ça coule sur mes cuisses jusqu’aux genoux, je n’ai pas d’autre solution que m’essuyer avec les pans déchirés de ma culotte-guenille déjà bien tâchée. Les mecs rigolent en me regardant faire, ça les amuse ! Je me surprends à ne pas être gênée, après tout c’est leur foutre !
La vieille me fait signe et me montre l’escalier en souriant de sa bouche largement édentée, les yeux moqueurs :
- tu prends la chambre de Gigi

Comme j’allais lui demander laquelle, aussitôt et en chœur les garçons crient :
- c’est celle qu’à pas d’porte !

Je ramasse ma guenille de poitrine.
Ils rient encore quand j monte l’escalier mais ça dure pas, et pour cause, ils doivent avoir une sacrée vue sur mon derrière ! Arrivée sur le palier, la vieille, d’une voix nasillarde :
- la salle d’eau est au début du couloir.

Le couloir faiblement éclairé par une seule ampoule blafarde, immense, j’ai compté 4 chambres de chaque côté. Et la mienne, celle qui n’a pas de porte, c’est la dernière. Alors pour aller aux toilettes ou se laver, et j’en ai grand besoin, faut traverser tout le couloir ! Je sens qu’il va y avoir de l’activité cette nuit !
On verra bien, pour l’instant je vais me doucher car j’ai les cuisses collantes et le bas ventre couvert de foutre.
J’étais à peine endormie, oui j’ai réussi à m’endormir because la fatigue, que j’ai droit à ma première visite, et comme je m’y attendais, c’était pour se faire sucer car à table cela ne s’était pas présenté tant ils avaient tous envie de m’enfiler. Ah ça a été rapide, il m’a tout envoyé dans la bouche et est reparti comme un voleur, alors sans avaler son foutre je suis partie vers la salle d’eau pour recracher et me rincer. Mais dans le couloir une porte s’ouvre et un autre m’attire dans sa chambre, là aussi c’est pour une fellation et celui-là il prend son temps ! J’ai dû avaler à contre cœur la première bordée puis la seconde. Apparemment ils s’étaient donné le mot car je suis passée dans toutes les chambres pour une sucette à chacun. J’avais terriblement soif après tout ce foutre avalé ! Je comprends maintenant ce que disait le père : « si elle veut pas manger, elle se contentera d’un petit régime maison… »

Un autre piège redoutable dans cette maison c’est que les parquets grincent, surtout celui du couloir et lorsque je le prenais ils savaient tous que c’était moi et où je me trouvais exactement. Alors qu’eux je ne les entendais jamais arriver dans ma chambre, ils connaissaient les passages où ça ne grinçait pas.

Je n’ai pas dormi de toute la nuit, ils se sont relayés jusqu’à une heure du matin et même qu’ils étaient deux dans ma chambre pour me prendre en double, pratique pourtant interdite par le vieux. Mais je n’allais pas m’en plaindre car j’y ai pris mon pied ! Le hic c’est qu’ils ne parlaient pas, sauf à tale ; j’aime bien quand on me traite de tous les noms de salope avec des commentaires sur mes appâts.

Le lendemain, journée calme, enfin que je croyais. Ils étaient tous partis aux champs. La vieille semblait satisfaite de ma « prestation » de la veille, j’étais aux petits soins. Pendant qu’elle faisait le ménage en bas, en visitant les chambres des garçons, j’ai vu leurs murs remplis de photos érotiques et pornographiques. Au milieu de tout ça, j’ai trouvé des photos de Gigi, dans une magnifique posture, assise sur le plancher, bras tendus en arrière, les seins tendus avec leurs gros mamelons sombres pointés, une jambe repliée avec le pied sous une fesse, l’autre jambe croisée devant montrant une superbe cuisse et cachant ainsi son sexe. Toutes ces photos datées à trois d’intervalle dont la dernière en avril de cette année. Superbe ! C’est l’œuvre d’un photographe qui doit venir passer la soirée pensais-je. D’autres photos d’elle, plus anciennes, la montrait habillée d’un simple short.
Absorbée par ma curiosité, je n’avais pas entendu arriver le tracteur. La vieille a dû leur indiquer où j’étais car ils sont montés dans la chambre pour me surprendre. Ils étaient trois :
- on a bien fait de revenir pour les outils…

Et là, bien sûr, ils ont fait travailler les leurs, ils m’ont prise brutalement tous les trois ensemble. Je me débattais, c’était plutôt un viol ! Mais j’ai rapidement succombé à ces barbares quand mon cul fut rempli par 2 pieux et un autre pour me faire taire. Dès le début j’ai entendu craquer dans le couloir, la vieille venait assister au spectacle ! 5 minutes, pas plus pour m’envoyer leur foutre dans tous mes orifices ! Ils sont repartis comme des voleurs, en rigolant et me laissant assommée, laissant place à la vieille avec son air vicieux :
- vous n’avez rien à faire dans cette chambre, allez, ouste !

Le soir au dîner, même folklore : démarrage avec sucette du demeuré, grand verre de vin rouge pour rincer la bouche et deux tournées de table qui durent plus longtemps que celles de la veille. Je n’ai pratiquement rien mangé. A part quelques haricots et des morceaux de lard qu’ils m’ont fait avalés et obligée de sucer sur leurs doigts.
- c’est dommage que tu sois pas plus enrobée que ça… allez, mange !
- elle se réserve pour les saucisses au lit !... ah ah ah !

Et ça discutait gras tout en me baisant à table. Au cours de la nuit, idem, ils sont passés à tour de rôle. Surprise c’est quand ils ont amené le demeuré ; comme ils s’attendaient à ce que je refuse, ils étaient deux à me tenir pendant que l’autre asseyait de me fourrer sa nouille. Moment pénible, elle était toujours flasque, ils l’ont aidé en écartant mes lèvres, ils m’ont fait mal les salauds avec leurs gros doigts, heureusement l’éjac est venue rapidement.
- allez, va te laver… et rejoins-nous dans notre chambre.

C’étaient les deux mêmes qui m’avaient prise en sandwich la veille, ils avaient apprécié.
Le troisième et dernier soir, ma délivrance approchait vu qu’on devait venir me chercher à 20h. Manqué ! on est passés à table à 18h30 ! ce qui fait que je me suis retrouvée à faire la « tournée » jusqu’à l’arrivée de Jean et Julia. Ils ont eu droit au spectacle jusqu’à 20h sonnantes, j’étais mal à l’aise d’autant que la petite Gigi y assistait avec un certain sourire. Je suis repartie telle quelle avec mes haillons puant la sueur et tâchés de foutre. Julia m’a jeté la grande bure sur les épaules. Dans la voiture me ramenant :
- alors, ça t’a plu ?
- bof…
- j’comprends… la blonde, elle était restée une semaine.
- Et Gigi aussi ?...
- Bien sûr ! Elle était déchaînée ! à croire qu’elle n’avait pas baisé depuis longtemps ! les garçons s’en souviennent bien, hein Jean ?
- Ah oui… qu’est-ce qu’elle est souple la p’tite dodue !
- J’l’ai pas vue boiter… dis-je en souriant.
- Et pour cause, cette fois je lui ai frictionné le troufion à l’eau froide pendant toute la matinée.
- Tu…
- Bien sûr, tu connais mon appétit pour tous les sexes… j’allais pas me contenter d’assister au ébats, les garçons ne l’ont pas ménagée, moi non plus ! deux nuits bien chaudes !
- Ah oui, à fond ! j’ai hâte de la revoir à la ferme… dit Jean
- Gros cochon…
- Patiente un peu, je me l’échangerais le mois prochain, ça me changera de vos grosses pattes… et d’avoir vu Nat attablée…

Julia continue dans son fantasme :
- y’a des nuits où j’aimerais bien être un mec, quand je vois comment vous étiez à quatre sur Gigi !.. elle est vraiment craquante… et croquante la petite !
- Julia m’embrasse goulûment et me fourre sa main sur ma chatte :
- - y’a pas que les garçons qui ont hâte de te retrouver…

Elle soulève ma bure, renifle entre mes cuisses :
- ça pue là-dessous dans ces guenilles ! tu vas prendre un bon bain en arrivant. Pis t’a déjà « mangé ».
- à peine…
- tant mieux tu seras plus d’attaque pour les retrouvailles ! la petite chienne est attendue de pied ferme.

Moi aussi j’ai hâte de retrouver mes beaux étalons. Pendant que Jean conduit, je caresse son poitrail en l’embrassant dans le cou.
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