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La ferme des étalons 8

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Lue : 1839 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 31/03/2014

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Nina invitée à la ferme des étalons.

Marc nous dit qu’au village il y a une nouvelle serveuse, jeune, super canon mais très réservée. Tous les jeunes du coin viennent la draguer mais rien n’y fait. J’ai ma petite idée, j’accompagne Marc qui devient mon cousin et Fred mon petit ami.

Ca fait une semaine qu’elle est arrivée au village et toujours pas de mec. Quand je la vois pour la première fois je me dis « comment est-ce possible, avec un physique pareil et des seins, wouah !... comment est-ce possible de ne pas avoir de mec à qui les offrir ?... » Même moi j’ai envie de les toucher, de les peloter ! Nous sommes assis à une table où on peut la voir évoluer dans toute la salle sans avoir à tourner la tête. Son pantalon blanc taille basse met bien en valeur une superbe silhouette qui se laisse deviner par le chemiser flottant sur ses hanches. Elle vient prendre la commande, Marc et Fred ont du mal à détacher leurs regards de sa poitrine surtout lorsqu’elle se penche, quelle présence !... à couper le souffle ! Ça doit fantasmer dans tout le village ! Le patron doit être content de l’afflux de la clientèle. Je la trouve vraiment très jeune pour servir dans un bar.
- c’est la nièce de la patronne me dit Marc, c’est une étudiante et elle vit chez son oncle et sa tante pour la durée des vacances et se faire un peu d’argent pour la rentrée.

Comme il y a peu de femmes dans le bar, j’entame la discussion avec elle, notre point commun c’est de ne pas être de la région et ça contribue à la mettre en confiance, et pis on a que trois ans d’écart. D’autant plus qu’elle n’est pas insensible à la présence de Marc, le beau gosse, qui lui adresse fréquemment la parole, enfin… la parole, plutôt des regards…

Nous sommes revenus trois soirs de suite. Et là juste avant la fermeture, malgré qu’il y ait encore pas mal de monde j’arrive à lui glisser que mon cousin Marc est un peu timide, elle s’en est aperçu et qu’elle lui plaît bien, ça aussi elle s’en est aperçu. Et blablabla, que nous sommes dans une ferme pas très loin chez ma cousine Julia et que si ça lui dit nous l’invitons à dîner. Yes ! Elle est vraiment en confiance et accepte l’invitation après avoir demandé à sa tante qui semble très cool car elle a bien vu que la petite attirait du monde.

1ère SOIREE
Nous n’arrêtons pas de nous bécoter avec Fred pour les encourager à faire de même
Elle reste toujours très réservée, mais c’est normal car elle se trouve en terrain inconnu, donc tout doit se passer naturellement et dans la bonne ambiance. Nina, elle s’appelle Nina, prend de l’assurance, elle découvre et interroge sur les activités de la ferme, le travail de chacun. Bien sur les garçons ajoutent des anecdotes sur leurs explications, histoire d’en rire et de mettre Nina encore plus en confiance, surtout quand les anecdotes concernent Marc.

J’avais mis comme une brassière genre sportif avec un chemisier ouvert par-dessus. Devant cheminée et canapé j’ai enlevé chemisier car garçons avaient alimenté cheminée grosses bûches, ça carburait bien.
Julia conseille à Marc de sortir la fille dehors voir les étoiles car ici, loin des grandes agglomérations, la pureté du ciel offre de belles vues sur la voie lactée. Comme je jouais un rôle d’amoureuse en couple, Fred et moi nous sortons aussi pour nous bécoter mais surtout pour voir si leur affaire avance.

Ils se tenaient par la main vers la grange à foin « il ne va tout de même pas se la sauter dans la grange ? » « non c’est pas le genre » lui dis-je, « jeune effarouchée mais pas si effarouchée que ça, tiens regarde ! » Effectivement elle se laisse embrasser, alors nous approchons, ils sont presque sous la lanterne d’entrée de la grange dans la lumière jaune, je les distingue suffisamment : elle est pendue à son cou et Marc a déjà descendu ses mains sur ses fesses. Quand leurs têtes se décollent, elle se cambre complètement en arrière les bras dans le vide, il remonte ses mains à sa fine taille d’ado. Dans cette attitude, y’a pas de doute, elle donne son accord pour la grosse envie de baiser qu’elle doit ressentir durcir contre son ventre.

Bras dessus, bras dessous, nous nous dirigeons vers eux
- belle nuit étoilée…
- des soirées comme ça c’est que du bonheur répond Marc en enlaçant sa conquête
- on pourrait rentrer, la fraîcheur tombe vite ici entre les collines.

Devant nous ils n’ont pas arrêté de se bécoter à la sauvette avant de rentrer.
- je le savais, dis-je, tu vois c’est pas le genre à se faire sauter dans une grange, j’pense même qu’au point où elle en est qu’elle a hâte de se retrouver dans un bon plumard pour faire l’amour.
- t’as raison ma belle dit Fred en m’embrassant fougueusement et me pelotant comme un sauvage.
- Elle t’a donné des envies ?...
- Devine…

Et il me saisit les mains pour les plaquer sous sa ceinture. Effectivement ! Dans la salle à manger, Marc et son amoureuse sont suivis du regard, Julia leur demande :
- alors, vous avez vu les étoiles ? ici le ciel est plus profond et les étoiles brillent comme nulle part…

Les autres pouffent silencieusement dans leur coin, car en fait d’étoiles ils se doutent bien qu’elle s’est plutôt intéressée à autre chose.

Installés devant la cheminée, les deux couples d’amoureux ensemble et, face à nous, Julia entre Jean et Jim. Il fait chaud, Jean a chargé la cheminée d’énormes bûches, les flammes montent et suffiraient à nous éclairer, aussi Julia baisse-t-elle l’intensité du lampadaire à la tête du canapé. Elle ne porte qu’un chemisier léger et sans soutif comme d’habitude mais toutefois moins provocant, quoique, à la place d’un mec je serai bien tenté d’aller dégager et découvrir ce qu’il y a derrière les bords du chemisier qui s’entrouvre avec les mouvements du buste. Mais voilà qu’elle me fait signe en tirant sur son col… ah oui, elle me demande ainsi d’enlever le mien puisque j’ai une brassière dessous tout comme Nina.
- ouf, je commence à avoir chaud… dis-je en retirant mon chemisier puis ajustant ma brassière, pratiquement la même que celle de la fille mais la mienne est en polyamide très fin et mes tétons pointus ressortent bien. Tout en discutant, Fred en profite pour me caresser discrètement et fait en sorte que Nina s’en aperçoive puisque nous sommes côte à côte. Marc lui a passé un bras autour du cou et caresse ses joues, elle répond par un baiser furtif et il me semble qu’elle irait rapidement plus loin si nous n’étions pas là. J’essaie de la mettre plus en confiance :
- Nina, si t’as trop chaud n’hésite pas à te mettre à l’aise…
- Oui t’as raison il fait vraiment chaud là.

Elle se lève, retire donc son chemisier et part le ranger sur une chaise, tous les regards sont sur elle. Elancée avec un corps svelte, son jean moule un mignon petit cul porté par de fines cuisses apparemment musclées vu l’aisance avec laquelle elle se lève du canapé. Et comme moi, deux magnifiques seins serrés dans un débardeur et suspendus sur une petite cage thoracique, effet dévastateur et hypnotisant pour les garçons qui ont du mal à retenir leur air admiratif ! Le débardeur soutien-gorge est vraiment minable mais quel effet ! Les lanières pourtant solides semblent vouloir craquer, le gros coton d’aspect pourtant rustique donne l’impression de vouloir offrir son splendide contenu d’autant que les tétons pointent superbement malgré l’épaisseur du tissu. Effet fou je vous dis !... les garçons en bavent… et la fille ne se rend compte de rien… enfin ça j’en suis pas sure…
- c’est vrai qu’on est mieux…
- ah oui, pour être mieux on est mieux, dit Marc, on est entre amis, faut se sentir à l’aise…

Les discussions reprennent, sur tout et rien, là pour mettre dans l’ambiance Fred raconte notre petite virée sur le GR et quelques anecdotes dans le refuge :
- moi ce que j’apprécie le matin quand il faut ranger les affaires dans le sac à dos c’est ma chérie qui a du mal à compresser son sac de couchage… hein Nat…
- ah oui poursuit Marc, faut la voir en petite culotte à califourchon sur son sac pour le compresser… trop rigolo !... vu de derrière ça nous fait un curieux spectacle genre grenouille en train de forniquer…
- Marc t’exagères…
- En attendant, la grande blonde avec son shorty rouge, c’était pas mal non plus… et sa sortie de douche en string !...
- Wouai elle avait un superbe shorty qui lui allait bien faut dire…
Julia en profite pour lancer :
- un short y’a rien de plus beau pour mettre en valeur le popotin mais surtout les cuisses… quand elles sont bien faites évidemment…
- les vôtres sont superbes Nina !... vous seriez beaucoup mieux en short… qu’en pensez-vous les garçons ?...
- oui, une fille debout ou assise, c’est ses cuisses à l’air qui vont attirer les regards en premier bien avant la poitrine… quoique…
- vous Nina, vous avez suffisamment de quoi attirer tous les regards !

Elle rougit un peu, acquiesce et remercie le compliment.
Le bois crépite de temps à autre entrecoupant nos discussions, la cheminée nous accapare comme s’il fallait s’occuper d’elle ou simplement profiter du temps qui passe dans la chaleur qu’elle nous procure. Les flammes rouge et orange nous illuminent en dansant sur nos visages, les mettant dans le clair-obscur puis soudain en les éclairant chaudement mais furtivement. Ambiance propice aux corps rapprochés, Fred m’a enlacée, sa main caresse mon épaule puis redescend se faufiler sous mon aisselle, s’incruste entre mon débardeur pour aller caresser ma peau à la naissance du sein droit. Je frissonne, lui donne quelques baisers furtifs. Nina étant à mon côté doit remarquer cette main qui s’enhardit de plus en plus ! ça doit lui donner une grosse envie de se faire caresser ! Mais qu’est-ce qu’il attend le Marc !... c’est vrai qu’elle est jeune, il y va en douceur mais faut pas qu’il attende de trop car la petite risque de se refroidir… Ca y est c’est bon ! Le bras qui l’enlaçait par l’épaule descend lentement sous l’aisselle et la grosse main de Marc s’active maintenant du côté du beau sein droit sur lequel je jette quelques regards rapides. Ca frissonne chez la jeune pouliche, ses lolos bien gonflés poussent leurs fiers tétons à s’exprimer, à participer au grand jour au plaisir naissant, à vouloir percer le tissu qui les retient ! Ça en devient provocant ! Elle en est consciente la belle, une nouvelle jolie rougeur qui n’est pas due à la proximité de la cheminée enflamme ses joues, elle essaie de faire du change à la situation en décroisant et recroisant ses fines gambettes mais rien n’y fait, au contraire sous l’effet de la main caressant le côté de son sein, elle a du mal à tenir en place et finit par embrasser Marc assez fougueusement ! … est-ce pour se donner contenance ? ou bien pour l’encourager à continuer ses caresses et activer le départ au plumard ? y doit y avoir un peu des deux du fait de sa timidité mais aussi d’un gros besoin physiologique car quand elle a décroisé ses jambes j’ai aperçu à l’entrecuisse une petite tâche naissante. La belle commence à mouiller dans son string qui doit être aussi fin que son futal blanc ! Julia aussi l’a remarqué et comme elle se trouve en face, dès que Nina se décolle de Marc, elle pose son regard vers cet endroit en esquivant un léger sourire comme pour la prévenir. Evidemment Nina s’en trouve gênée et recroise les jambes.
- on va peut-être laisser les tourtereaux entre eux… dit Julia

Marc attendait ce feu vert et se lève aussitôt en tirant Nina par la main :
- c’est une bonne idée… tu viens Nina ?... bonsoir tout le monde…

Les voilà partis tous les deux, main dans la main, montant l’escalier qui offre toujours de belles perspectives sur les corps féminins. Bien sûr, Nina est suivie par 5 paires d’yeux. Allure féline, sensuelle… très sexuelle !
- l’affaire est dans le sac dit Jean.
- Oui et en attendant moi j’ai perdu Marc… dis-je en plaisantant.
- Mais t’y perd pas au change me réponds Fred… en m’embrassant.
- Bon, nous on va se consoler avec Julia, dit Jean en s’adressant à Jim qui la pelotait déjà.

Sur ce nous montons tous dans nos chambres.
Celle occupée par Nina est contiguë à la mienne mais séparée par la salle de bains. En prenant notre douche avant de passer au plumard, nous avons eu droit aux ébats des deux tourtereaux que nous avons suivis en collant l’oreille contre le mur et ce jusqu’à la fin de leur premier coït. Fred m’a portée aussitôt au lit où nous avons commencé une baise sauvage, chacun faisant durer le plaisir et l’attente de l’autre.

Le lendemain matin, alors que nous sommes déjà tous à table, Marc vient rapidement lui chercher son petit déjeuner pour lui porter dans la chambre.
- elle n’ose pas descendre…
- c’est normal dit Julia.
- alors ?...
- bonne… très bonne !...

En s’adressant aux mecs il fait un geste avec les doigts :
- tout petit-petit… mais pas vierge…

Toute la tablée sourit, et comme j’interroge Marc du regard :
- désolée ma belle… mais bon y’a Fred et Jim hein… t’as le choix…
- elle revient ce soir et restera demain, c’est son jour de repos.
- Ah oui ça elle en aura besoin d’un jour de repos dit Jim en plaisantant.

2ème SOIREE
Lorsqu’elle est arrivée à la ferme le deuxième soir, il avait fait très chaud dans la journée, c’était le début de la canicule et Nina ne portait qu’un débardeur, toujours en coton mais plus fin que celui de la veille. Ses lolos comprimés paraissaient encore plus provocants ! Et qu’elle idée là d’avoir mis un jeans avec cette chaleur ! Peut-être par rapport à la petite mouille qui tâchait le fin pantalon blanc hier au soir ?... certainement…

Aussi Julia s’est empressée de la prendre en mains, oui c’est bien l’expression qui convient.
- viens, il faut que tu essayes ma collections de shorts, y’en aura bien un qui t’ira…

Et c’est le déballage d’un grand tiroir d’où Julia sort une pile de short. D’emblée elle extirpe ceux du dessous de la pile :
- ce sont mes premiers shorts, j’avais moins de formes… dit-elle en me lançant un sourire complice et en se lissant les hanches.
- Ah oui, ils sont super !... quel choix…
- Ça devrait t’aller, tiens essayes celui-ci.

Elle lui tend un short court, très très court, effiloché avec les petites poches qui dépassent sous le short. Nina sourit en le prenant puis reste hésitante.
- ça te plaît pas ?
- non, mais… réponds-elle en regardant autour d’elle.
- Sois pas timide, on est entre filles, allez enfiles-le…

Elle défait rapidement son jeans sous lequel apparaît un mignon petit string blanc avec un lapin coquin sur le côté.
- ho, ton amoureux va adorer ton p’tit lapin dit Julia.

Sans répondre, Nina a enfilé le short : il lui va comme une deuxième peau !
- waouh ! ça c’est du sur mesure ! dit Julia. Tourne-toi un peu…

Là j’ai senti que Julia commençait à désirer la petite, elle l’a placée devant la psyché et s’est empressée de lui montrer comment le short l’a mettait encore plus en valeur par rapport à son jeans. Déjà ses doigts, tels ceux d’une couturière, parcouraient les pourtours du short agréablement rempli par cette jeune chair :
- regarde, rien que les petites poches qui dépassent sous le rebord effiloché et sur te jolies petites cuissettes, y’a rien de plus sexy !... surtout avec la braguette à boutons qui laisse entrevoir ton string… et alors derrière c’est magnifique !
- …oui… mais on voit trop…
- tes fesses, mais au contraire il faut en laisser voir un peu, c’est trop mignon !... là on voit que c’est bien ferme et pas compressé ou soutenu par le tissu… et la petite plissure des fesses c’est à croquer…

Là Julia n’a pas pu résister, c’est pas du bout des doigts qu’elle a souligné son propos mais à pleines mains qu’elle a caressé les tranches de fesses à l’air ! Surprise Nina a sursauté, tourné la tête vers Julia, et, ne paraissant nullement gênée, a laissé faire comme pour dire : continue, ça me plaît bien ce genre de caresses. Alors là, chapeau Julia, en un rien de temps elle a apprivoisé la petite ! Ensuite elle lui a fait essayer d’autres shorts, mais là j’ai dû descendre pour aider la vieille à préparer le repas.

Quand elles sont redescendues, Julia toujours en short comme moi sauf pour nos soirées entre nous en petite tenue, était magnifique avec un modèle rose et Nina avait choisi le short jeans avec ses petites poches dépassant sous le rebord effiloché. Superbe cette gamine ! A dévorer des yeux et à croquer !

La tablée est très excitée. A l’évidence Nina devient vite le centre d’intérêts ! Marc à ses côtés profite souvent de caresser ses cuisses maintenant à l’air et surtout exposées aux regards gourmands et à ses mains caressantes. Pendant le repas, quand elle a besoin de quelque chose, Marc l’accompagne pour lui montrer où se trouve une assiette ou autre, et à chaque fois je remarque que c’est le prétexte pour une caresse rapide sur sa croupe. Marc sait y faire et l’habitue à se faire peloter ainsi furtivement, elle apprécie la belle et maintenant c’est elle qui va chercher et provoquer la main de Marc comme un chien ou un chat qui se positionne sous la main de son maître. Pour atteindre un pot de confiture, la voilà en extension, on la voit de derrière, son débardeur remonte haut dégageant son échine, alors le short ressort magnifiquement mettant en valeur les hanches fines et le petit cul bien rond aux fesses fermes ! Marc n’a pas pu se retenir de peloter cette merveille, elle se laisse faire pendant quelques secondes comme si c’était pour l’aider à attraper le pot de confiture ! En se retournant elle a dû nous voir l’observer, ou plutôt la dévorer des yeux ! Elle joue bien son rôle la petite, tout en discutant elle s’approche près de son mec, le frôle, ralentit à portée d’une main, attend la caresse et repart vers la table. Cette nana est en train de découvrir sa sensualité et son extraordinaire pouvoir sur les mecs, là elle passe rapidement à la vitesse supérieure et ose s’extérioriser. Comme quoi une bonne préparation suivie d’une chaude nuit d’amour ça porte ses fruits. Et quels fruits !... la belle est transformée, même appâts bien sûr mais l’allure est déjà complètement libérée. Et le port de ce short fait tourner la tête à nos quatre étalons ! Maintenant nous prenons le café comme hier soir, assis dans les deux canapés, Nina et moi avec nos « amoureux » et Julia entourée de Jean et Jim. Dans son comportement Julia distille lentement une personnalité sensuelle très bi, et visiblement Nina semble apprécier les remarques savoureuses de Julia sur son physique. Bien sûr, remarques confirmées par l’ensemble des garçons. Comme les discussions continuent pendant qu’ils se bécotent, Marc en rajoute en l’embrassant longuement, Julia et moi nous alternons en embrassant chacune notre mec. Mais Julia c’est une fois Jean et une autre fois Jim. Cela ne semble pas contrarier Nina, elle fait semblant de ne pas voir ou ne cherche pas à comprendre. Enfin le principal c’est qu’elle soit détendue et à l’aise parmi nous. D’ailleurs lorsque Jean lui fait un compliment sur ses belles jambes mises en valeur par le mini-mini short, elle sourit, remercie et par un roulement de hanches accentue sa pose montrant ainsi qu’il n’y a pas que les jambes…

Après le café, nous montons tous rapidement dans nos chambres respectives. Ils sont dans la chambre d’à côté de la mienne, de notre salle de bains nous les entendons faire l’amour lorsqu’elle jouit. Nous avions laissé la porte de la sdb ouverte et entendu le deuxième round encore plus bruyant et comme leur chambre ne comporte pas de toilette, Nina a dû aller aux toilettes du palier. Je me suis levée pour écouter à la porte car j’ai cru entendre Julia, elle susurrait :
- alors ma belle, tu t’amuses bien ?...

Puis ça chuchote entre elles, juste devant notre porte :
- laissez-moi…
- tsss, tsss… allez viens…
- mais laissez-moi…

Notre porte s’ouvre… Julia la tire par les mains :
- viens goûter à ça… tu verras y’a rien de meilleur…

D’un coup de pied Julia referme la porte, Fred et moi on se fait tout petit dans un coin de notre chambre, Julia l’entraîne vers notre lit seulement éclairé par une petite veilleuse rouge. Bizarrement Nina ne se défend plus, on distingue mal mais elle ne bouge plus, Julia s’en approche en lui caressant la nuque puis descend lentement le long de l’échine. Ça doit lui faire de l’effet car elle se retourne comme pour se présenter et s’offrir… Julia caresse maintenant les gros lolos de face, l’autre gémit faiblement, au bout d’un moment son corps se penche en arrière, Julia la retient et en profite pour déposer des baisers sur la petite cage thoracique. Le lit est tout proche, Julia y pousse la petite avant de se jeter sur elle, elle tente de l’embrasser partout, on ne voit pas grand-chose mais maintenant Nina se débat, elles roulent l’une sur l’autre, on entend leurs petits cris mêlés à leur souffle, deux vraies sauvageonnes. Soudain deux claques fusent ! Julia vient de lui donner deux claques sur les cuisses et se positionne à califourchon sur la petite et la menace d’une gifle. Avec l’accoutumance à la faible lumière rouge on distingue mieux ce qui se passe entre elles, Nina ne bouge plus, apparemment consentante, Julia lui prend les poignets et la positionne bras en croix tout en descendant lentement vers elle. Leurs deux poitrines se touchent, Julia se contorsionne pour faire jouer ses seins sur les gros lolos de Nina, ça joue un moment puis les deux visages se rapprochent pour un baiser.
- tu verras ça va te plaire ma jolie…

Julia l’a embrassée rapidement, s’est cambrée en reprenant prise sur les bras de Nina toujours étirés, elle a regardé sa capture devenue consentante. Elle lui tire les tétons, les tord, l’autre crie doucement, elle continue, Nina crie et se tord de plaisir puis Julia lui saisit ses seins à pleines mains, les malaxe et fond sur elle pour l’embrasser à l’essouffler. Quand elle se retire, reprenant son souffle :
- tu vois c’est mignon deux filles ensemble… je vais te faire découvrir plein de bonnes choses…

Elle cale son bas ventre sur le sien :
- deux chattes ensemble, laissons-les se coller et se bécoter entre elles… humm elle est mignonne cette toute petite chatte !... j’ai envie de la voir de plus près…

Julia se positionne rapidement pour un 69 et commence à caresser la chatte convoitée. Nous la voyons un peu car elle est en face de nous mais à contre-jour. Sachant notre présence elle regarde vers nous, je m’approche :
- dis à Fred de mettre un bandeau et d’attendre sur le lit d’à côté (ma chambre comporte deux lits)…

Quand je lui rapporte ça, évidemment Fred devient tout excité, il va se payer la petite nouvelle dont pour l’instant seul Marc en a eu le privilège ! En attendant, en silence, je lui fais une fellation pour le nettoyer et préparer sa belle queue pour la petite demoiselle qui le fait bander bien dur. Julia s’active entre les cuisses de sa proie gémissante :
- …je me demande comment une bite peut rentrer dans ton tout petit minou…

D’entendre ça, ça excite encore plus mon Fred impatient et dont je sens la bite durcir encore !
Nina se contorsionne et gémit doucement sous les tentatives des doigts experts :
- il est tout mini-mini ce minou… t’as du avoir une sacrée envie pour laisser rentrer la grosse queue de Marc !... et moi avec mes petits doigts… là… ça passe juste…

Nina ne bouge plus, alors Julia lui écarte bien les cuisses et vient embrasser le petit sexe avant d’y plonger sa langue, slurp, slurp, elle lui bouffe le sexe et enfin au bout d’un moment :
- … c’est bon… continue… aaah... aaah !... continue c’est bon…

Il ne faut pas lui dire deux fois à Julia ! Elle lui a bouffé la chatte, pire que ce qu’elle m’a déjà fait lors de mon arrivée. L’autre n’arrêtait pas de se tortiller en criant et en gémissant ! Derrière moi Marc bandait comme un taureau, il avait callé son dard entre mes fesses et me pelotait les seins, il a même entamé un petit mouvement pour se branler entre mes fesses tellement ça devait le démanger de passer à l’action !
- tu vas te payer une belle tranche de jeunette… lui dis-je dans l’oreille.
- tu crois qu’elle acceptera ?
- laisse faire… Julia a certainement une idée…

Ah pour ça elle a des idées la tigresse de Julia ! En vient de lâcher sa prise. Nina a à peine le temps de souffler :
- tu veux goûter ?... allez, essaies…

Elle se met à califourchon au-dessus de la tête de Nina :
- allez, lèche-moi… fais tout ce que t’as envie, prends plaisir à découvrir…
- humm tu te débrouilles bien… t’apprends vite… ça t’a plu c’que j’tais fait hein ?...
- t’en veux encore hein ?...

Et sans attendre la réponse de Nina, elle se retourne et se positionne pour un 69. Ca a commencé piano puis ça a monté d’un cran, complètement enchevêtrées elles ont roulés d’un bord à l’autre du lit, puis moment d’accalmie où on pouvait entendre les slurps baveux et les aspirations au milieu des petits cris, puis reprise d’une frénésie de bouffe minou acharné !
Soudain Julia se lève, elle prend la main de Nina :
- viens…

Assise sur le bord du lit, la main entre les cuisses, elle semble hésiter :
- on dirait que ça t’a plu, t’en veux encore hein… mais viens voir, j’ai une surprise pour toi…

Je les vois à contre-jour se diriger vers le deuxième lit, elles s’arrêtent, d’une main Julia caresse l’échine de la petite, descend sur ses fesses et de l’autre main caresse les seins en descendant sur le ventre pour finir lentement à l’entrecuisse :
- après cette petite mise en bouche, une bonne queue serait la bienvenue hein… regarde si c’est pas beau ça…

Julia allume la petite lumière rouge du deuxième lit pour découvrir le corps de Fred dans toute sa virile splendeur.

Nina sursaute, Julia la retient toujours avec une main sur les fesses et l’autre sur son minou.
- ne me dis pas que ça te fait pas envie… un beau mâle avec une belle queue prête à servir…
- mais… Marc doit m’attendre, il faut que je retourne le voir…
- laisse, il doit dormir… les mecs dorment un bon moment après avoir tiré un bon coup… là, t’as le temps d’en profiter avec celui-là, tu ne le connais pas et tu ne pourras jamais le reconnaître, il a un bandeau… profites-en et après tu retournes dans ton plumard avec Marc…
- mais…
- quoi mais…, t’en a bien profité avec moi, ça t’as plu… allez t’es prête pour baiser avec un mec ou alors c’est moi et j’te baise avec un godemiché qu’aura pas la douceur d’une vraie queue… qu’est-ce tu choisis ?...
- tu…
- non ma poulette, j’te laisse… je retourne dans ma chambre, je vais réveiller mon mec car moi aussi j’ai maintenant envie d’une queue… avec ce que tu m’as fait… pour une débutante tu promets toi… allez, amuse-toi bien…

En partant Julia me retrouve à tâtons à côté de la porte, m’envoie un baiser :
- désolée ma chère mais tu pourras quand même te rincer l’œil… et pis quand elle repartira Fred aura certainement encore un p’tit coup à tirer pour toi…


J’ai vu Nina se rapprocher du lit, se pencher et entamer de longues caresses sur le corps inerte de Fred. Enfin, inerte pas tant que ça car son phallus se dressait constamment. Après quoi le phallus fut l’objet des petites mains et de la bouche de Nina pendant un certain temps qui me parut très long, cette petite s’en occupait bien ! Puis les corps se trouvent, s’enlacent, s’enflamment. Et quand elle a commencé à gémir sous les caresses de Fred, c’est elle qui a réclamé :
- viens… prends-moi…

J’ai vu sa grosse bite venir se présenter devant le petit orifice que je devinais, elle a crié avant de partir rapidement à jouir fort bruyamment. Malgré l’imposante carrure de Fred, le petit corps fin et svelte bougeait beaucoup en suivant les va et vient, décidemment elle en veut celle-là ! Fred prenait son temps et s’appliquait, ça m’énervait un peu mais j’avoue que le spectacle en valait la peine car c’était un plaisir de l’entendre jouir ! Fred devait prendre son pied et j’attendais le moment où il allait dégorger brusquement… mais non il tenait bon et les deux corps se rendaient la réplique dans une parfaite synchronisation de gestes et de gémissements. Il y eut une petite accalmie, très brève car c’est elle qui se retourne pour s’emparer du sexe et de le laper et de le sucer bruyamment ! Bien sûr Fred se laisse faire, c’est trop beau ça ! Se faire sucer et re-sucer par la petite sauvageonne qu’il vient de tringler, on en redemande hein !... Et elle en veut du sexe car maintenant elle se positionne à califourchon à l’envers pour s’empaler doucement, tout doucement sur le pieu qu’elle maintient d’une main :
- tu me le mets… rentre-le doucement…

Elle se maintient en équilibre sur ses deux mains pendant que Fred ajuste son dard entre les lèvres à pénétrer. Je souris car elle ne se doute même pas que dans cette position le mâle a une belle vue sur son petit trou et qu’il pourrait bien le choisir… mais Fred reste beau joueur et, de toutes façons, la jolie chatte dans laquelle il a déjà trempé sa queue l’attire et l’inspire beaucoup plus, je le comprends aisément et si j’étais un mec c’est bien cette chatte-là que je prendrais dans toutes les positions. C’est bon, le contact est établi et Marc tient la petite sur le bout !... où c’est la petite qui tient le bout de la queue… C’est plutôt ça c’est elle qui décide : elle s’enfonce un peu, entame un léger va et vient, s’enfonce encore et joue véritablement sur le sexe qu’elle retient fermement dans ses chairs. Ses mouvements de pompe s’accentuent, deviennent plus souples, elle a trouvé la bonne coordination de son corps autour du joystick dur et doux à la fois qu’elle est en train de manipuler ! Fred ne va pas tenir longtemps comme ça ! Avec moi c’est faisable mais là avec cette petite sur laquelle il a fantasmé, il va se lâcher ou plutôt c’est elle qui va le faire dégorger rapidement et ça fait maintenant une bonne demi-heure qu’ils ont commencé et qu’en plus elle a bien été échaudée par Julia ! Tout en continuant ses va et vient, elle s’est progressivement couchée sur les jambes de Fred, il doit avoir une sacrée vue sur son joli cul ! Je la vois et la sens manœuvrer comme si j’étais à sa place, les jambes bien campées autour des puissantes cuisses de Fred, son corps fin et gracile ondule de tout son long, sa croupe danse sur la queue qui doit être malmenée dans cette position, ses seins déjà lourds pour son âge se balancent voluptueusement. Ca feule, ça halète de plus en plus fort, le petite féline s’est cambrée pour mieux saisir et manœuvrer la queue étranglée dans sa petite chatte car elle sait, j’entends venir leur orgasme respectif, que son partenaire jouit et va éjaculer sous peu ! Elle a beaucoup de chance cette petite salope ! Fred tient bon, il doit jouir un max tout en se retenant encore un peu ! Maintenant c’est elle qui jouit très bruyamment, prise dans son élan jouissif elle accentue la cadence, elle jouit au plus fort couvrant les feulements de Fred ! Elle crie de façon saccadée, elle se paye un sacré orgasme la petite ! Ça y est, les spasmes orgasmiques les secouent tous les deux ! Fred a dû lui envoyer une belle bordée ! Elle se contorsionne encore autour de la queue toujours maintenue dans sa chatte. Fred essaie de se dégager en écartant et relevant les fines cuisses de la belle, il la culbute sur le côté, toujours gémissante elle se trémousse comme une anguille en coinçant ses deux mains entre ses cuisses.

C’était chaud ! j’aurais bien voulu être à sa place !
Fred met un certain temps pour se lever, il fait semblant d partir en ouvrant la porte mais reste planqué avec moi.

Et nous voilà comme deux godiches, attendant que Nina parte de notre chambre, elle en met du temps à se remettre ! Bon là elle a eu une bonne tranche, elle a eu sa dose ! Par chance une boîte kleenex traîne sur la table de chevet, elle s’essuie copieusement, ramasse son string et sort tranquillement de la chambre, à tâtons, nous frôlant à côté de la porte. Nous l’entendons se diriger vers la sienne sans passer par la salle de bains dans le couloir.
- bien chauffée et bien lubrifiée comme ça, à tous les coups elle va réveiller Marc pour se faire sauter dans la foulée… on parie ?... dis-je à Fred
- p’t’être bien…, on va aller écouter dans la salle de bain… avec ce que je lui ai envoyé à la p’tite !... mais elle est serrée la garce ! j’peux te dire que ça fait du bien !
- ah oui ?... et ça aussi ça te fait du bien ?...

Je m’accroupis pour lui lécher et nettoyer son dard, il se laisse faire bien sûr, alors j’entreprends une belle fellation qui lui ravive son phallus. N’y tenant plus, il me transporte sur le lit pour me prendre en levrette, de mon côté l’attente a été longue, aussi je m’applique à bien le serrer, il jouit mais c’est encore trop tôt, on arrête là. On reprendra tout à l’heure, faut laisser retomber la tension un moment pour repartir avec plus de désir lorsque les batteries seront rechargées ! On va dans notre salle de bains coller notre oreille à la paroi commune avec leur chambre, et là comme j’avais prévu, on a le plaisir d’entendre déjà la petite Nina à l’œuvre, même que ça dure…, Marc doit bien en profiter le cochon ! On l’a entendu gémir puis crier jusqu’à son orgasme très bruyant !...
- t’avais raison, ça l’a rudement excitée tout ça, d’abord avec Julia puis se faire sauter et recommencer avec un autre !

Je retâte les couilles de Fred, lui tire la queue :
- alors mon beau, c’est reparti pour un bon coup à tirer ?… j’suis en chaleur là… il me faut un vrai mâle qui me remplisse bien… j’t’ai vu à l’œuvre, viens me remplir !... viens remplir ta p’tite femelle en chaleur…

J’étais à quatre pattes, il m’a aussitôt prise en me serrant bien la taille, quand il me lâchait les hanches c’était pour me gifler violemment les fesses ! D’avoir sauté la petite lui a donné plein d’ardeur nouvelle, il ne m’a pas ménagée, j’ai crié sous ses coups de butoir, il a fait durer et m’a fait jouir un bon moment !

Dans la chambre d’à côté ils ont remis ça très tôt ce matin, sur le coup de 4 heures. Je suis curieuse de voir la tête de Nina au p’tit déj., après une nuit comme ça elle doit avoir des traces !

Pas loupé, voilà nos tourtereaux qui descendent, ils sont les derniers bien sûr. Fred, tout sourire, ne laisse rien paraître, il est habitué aux « chaudes nuits ». Par contre, Nina, malgré sa jeunesse, accuse un air de fatigue assez visible sous les yeux. Elle aussi tout sourire… une chemisette d’homme nouée sous les seins et le short jeans qu’elle semble ne plus vouloir quitter… debout, la ceinture du jeans baille un peu laissant apparaître les cordons de son string… je parie que les garçons ont envie d’y plonger sous cette ceinture !...

Julia, coquine, après le bonjour, pose sa question :
- passé une bonne nuit Nina ?...
- oui, merci,
- c’est bien la campagne, c’est pas bruyant, répond-elle…
- ah oui c’est calme…
- tu dois avoir faim… thé ou café ?...
- plutôt du thé pour commencer… le café après…
- oh t’as besoin de tout ça… Marc a du t’embêter toute la nuit hein ?...
- faut dire qu’avec ton nouveau short hier soir, ça a dû l’émoustiller…

Nina a voulu répondre à Jean au sujet du short mais en nous voyant sourire elle s’est retenue. C’est Julia qui répond :
- je crois que ça a dû en émoustiller plus d’un ici…

Elle s’est empourprée, gênée mais a vite repris ses esprits :
- j’me doute bien qu’avec un short comme ça à ras la moule et la moitié des fesses à l’air, ça ne laisse pas indifférent les garçons.
- T’as raison ma belle dit Julia, faut se sentir à l’aise et profiter des bonnes choses de la vie.
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