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La Kinesbienne

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Lue : 48809 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 21/12/2009

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Quoi de plus jouissif pour deux femmes qui se désirent, que leurs quatre pointes de seins raidis qui se frôlent et s’agitent. Nous sommes nues toutes les deux, Josette est allongée sous moi sur ma table de massage, je la chevauche, penchée sur elle, mes fesses relevées, mon genou, ma cuisse entre les siennes, massant sa chatte. Nos seins se caressent avant de se mêler avec force et douceur, nos mamelons durs et bien formés se cherchent et se trouvent provoquant de délicieuses décharges électriques dans nos deux corps de femmes avides de jouissance.
Nous nous caressons mutuellement avec tendresse. Je l’embrasse longuement dans le cou et sur ses lèvres en lissant ses longs cheveux blonds tandis qu’elle me caresse le dos, la taille avant de saisir mes fesses à pleines mains.

Je m’excite en ondulant du bassin, ma chatte sur son genou relevé bien rond. Qu’elles sont douces nos caresses, qu’ils sont tendres nos gestes de femmes complices, désireuses de faire monter doucement le plaisir. Nous nous regardons un petit sourire crispé aux lèvres car ce que nous voulons c’est mener l’autre vers le plaisir suprême qui va irradier durablement nos corps, aucune ne cherche à dominer l’autre. Nous nous agitons de plus en plus, nos seins mêlés, imbriqués, écrasés par de savantes circonvolutions qui profitent aussi à nos lèvres intimes pressées, déformées sur la chaude rondeur d’une cuisse complice.

Je me prénomme Manon, j’ai trente ans, je suis une belle jeune femme à ce qu’on dit, assez grande, brune aux yeux bleus comme les femmes de ma Provence natale. Je suis assez coquette et attache une grande importance aux vêtements que je porte et que je choisis assez coquin je l’avoue mettant mes formes généreuses en valeur.

J’ai connu quelques hommes et pourtant j’ai toujours été attirée par les femmes. C’est ce qui a sans doute influencé le choix de ma profession, je suis esthéticienne avec une spécialisation de massage relaxation qui me permet de détendre mes clientes et de satisfaire mes pulsions.

J’ai pu m’installer à mon compte et je reçois sur rendez-vous une clientèle exclusivement féminine de plus en plus nombreuse car je fais tout pour les rendre belles et bien dans leur corps. Je fais attention de ne pas montrer le plaisir que j’en retire et j’essaie de bien séparer mes désirs de mon travail.

Il m’arrive cependant avec certaines femmes de voir l’effet produit par mes mains sur leur corps, il me faut alors faire très attention de ne pas aller trop vite, de ne pas brûler les étapes, d’être sûre de ce qu’elles attendent de moi. Petit à petit au fil des séances mes massages tournent alors aux caresses. Je connais les zones érogènes féminines et j’observe les réactions quand je masse les épaules, le bas du dos au ras des fesses, l’intérieur des cuisses et paradoxalement les doigts de pied.

Des signes qui ne trompent pas ce sont les petits gémissements, les ondulations des fesses, la pression de leur bas ventre sur le coussin que je place sous elle pour bien les cambrer, le durcissement des seins et des mamelons. La fréquence des séances aussi qui augmente et quand certaines cherchant un motif plausible, me demandent de passer le soir en dernier ; après tous les signes que je viens d’énumérer je suis quasiment sûre qu’elles veulent que je les fasse jouir. Si une cliente demande à se faire faire le maillot il me faut la plus grande prudence avant de lui caresser la chatte.

Quand leurs désirs ne font plus aucun doute je fais tout pour les contenter. Mais avant j’attends qu’elles franchissent le premier pas. Elles doivent me dire expressément leur besoin de caresses intimes et l’attirance qu’elles ont pour moi.

Il faut dire aussi que je ne dérape que pour les femmes qui me plaisent, la plupart sont de jeunes femmes comme moi, bien faites, sensibles à mes attouchements, le meilleur test est la sensibilité de leurs seins que j’aime gros et fermes avec des pointes bien formées.

Alors c’est la fête pour nous, sûre de ce que nous voulons, en fin de journée quand nous ne sommes plus que nous deux dans l’intimité de mon cabinet, portes et téléphones fermés, nous nous mettons à notre aise en enlevant nos vêtements délicatement entre deux baisers entre deux caresses sauf si une parure, un string, particulièrement sexy nous excite. Les caresses commencent alors devenant au fil des heures de la tendresse sauvage, tendresse de femmes, mais avec une volonté farouche de jouir enfin après tant de précautions d’approches.

Josette était de celles qui avaient su me montrer leur envie de jouir, son amour charnel des femmes et sa volonté de m’entraîner vers elle. Elle était splendide elle aussi, aussi blonde que je suis brune, grande, bien faite avec des seins magnifiques, fermes, dressés ponctués de tétons roses que mine de rien j’avais su faire durcir en les frôlant. Ses hanches et ses fesses étaient somptueuses, en général elle portait un string que je me gardais d’enlever tant il mettait en valeur sa taille fine, son ventre plat et sa croupe incendiaire.

Josette m’avait convaincue quand, lors d’une séance, l’ayant allongée sur le dos j’avais tout en lui massant l’intérieur des cuisses versé une petite rasade d’huile tiède sur le petit triangle de soie de son string devenu par ce fait translucide cachant à grand peine son minou gonflé par le désir elle avait poussé un petit gémissement de surprise. J’avais pu alors déformer sa chatte en tirant et relâchant le faible rempart d’étoffe inséré dans la raie de ses fesses et entre ses grosses lèvres, pressant son clitoris. Elle n’avait pu cacher alors le plaisir qui l’inondait et m’avait pris la main pour que je continue cette caresse intime.

Ce jour là elle avait pris rendez vous pour un soir de la semaine et en me quittant presque gênée elle avait murmuré les yeux fiévreux:
- Nous nous ferons jouir n’est ce pas ?
Je l’avais laissé partir sans la dissuader

……………Vous l’avez vu au début de ce récit, nues toutes les deux, nos corps enlacés, caressés, Josette et moi faisions en sorte de donner du plaisir à l’autre. Avec une certaine retenue de ma part car je ne pouvais faire céder le barrage de tous mes fantasmes trop longtemps contenus, avec une femme qui sommes toute était ma patiente, déontologie oblige.

Je la fis jouir comme elle le souhaitait, en effleurant longuement ses parties intimes, ses seins, son clitoris qui était sensible à l’extrême. Je sais ce qui fait jouir les femmes et quand nous nous quittèrent elle semblait ravie, et moi frustrée de n’avoir pu profiter à plein d’une telle beauté. Le temps nous permettrait peut être d’aller plus loin et m’autoriserait à substituer au plaisir que j’avais eu à de bons orgasmes dévastateurs.

Je cherche donc fortune sur internet, c’est facile de prendre contact avec des lesbiennes, les sites de sexe ne manquent pas, ça l’est moins de se décider et de choisir celle avec qui on sera en harmonie. J’ai eu de nombreuses expériences plus ou moins jouissives mais j’ai en mémoire des rencontres qui m’ont fait craquer dans la tendresse du moment quand deux âmes qui fusionnent ne font plus qu’une et que les corps enivrés de plaisir sont lovés l’un dans l’autre, les visages proches, les yeux chavirés de bonheur.

Depuis plus d’un mois je corresponds avec Sonia une jeune femme de mon âge, petit à petit nous avons appris à nous connaître, à nous voir. Elle est très belle et elle me trouve jolie. Elle aussi aime mieux la douceur d’une femme à l’égoïsme masculin. Elle aime jouir et aimerait trouver l’âme sœur, pas pour vivre ensemble, non, mais pour connaître enfin le plaisir au féminin.

Son inexpérience m’excite, nos conversations deviennent plus osées, les photos plus suggestives. Un jour elle m’avoue son désir d’avoir une expérience lesbienne. Le temps passe mais l’idée d’une rencontre fait son chemin, je suis toute excitée car j’aime la nouveauté, l’initiation d’une femme curieuse de sensations jusqu’alors inconnues.

L’échange des photos continue et mon envie monte et me dévore, je défaille quand elle avoue désirer une rencontre avec moi, chez elle, à Paris. Est-ce le début d’une nouvelle relation jouissive ?

A la vue de sa beauté quand je la rencontre, mon désir est au paroxysme modéré par le doute ; le doute de savoir si je vais pouvoir aller au bout de tout ce que j’imagine faire avec elle, le doute de savoir si je lui plais, n’est elle pas déçue, me désire t’elle autant que moi pour elle?

Et puis les prémices, le repas, les rires, les regards enveloppants, chacune jaugeant les intentions de l’autre, chacune, mine de rien, prenant connaissance de nos formes. Sonia a des seins superbes et d’adorables petites fesses rondes qui me rendent folles. Comme je saurais la faire jouir si elle voulait ! A un moment nos mains se touchent, c’est notre premier contact charnel, complices, intimes d’un coup nos doigts s’enchevêtrent comme nos pensées, notre désir !

Elle veut voir un film chez elle ! Cela se précise, un prétexte sans doute, je l’espère en tout cas, je m’en fou du film, ce que je veux c’est la serrer dans mes bras, l’initier au plaisir, Je mouille déjà !

Et puis la proximité sur le canapé, elle pose la tête sur mon épaule je lui caresse les cheveux puis la nuque, cela lui fait de l’effet, elle m’encourage sa main caresse ma cuisse….. c’est parti….Je la baise dans le cou, ma bouche ouverte émigre en douceur et agace son oreille, encore un test avant d’aller plus loin. Sa respiration qui s’accélère… elle montre son désir en embrassant mon décolleté et c’est le premier vrai baiser ses lèvres sont magnifiques, elle ferme ses yeux mais se donne à fond me donnant sa langue.

Tous mes doutes s’évaporent oui elle veut jouir, profiter à fond de mon expérience, comme je vais m’appliquer pour lui donner du plaisir, moi je prends déjà le mien, mon désir au paroxysme. Nous nous caressons maintenant nos mains sur nos seins, dans le dos, sur la chair des épaules, dans le cou, nos doigts se perdent dans nos cheveux, massent la nuque. J’ose ma langue dans son oreille et je la sens frémir, elle me serre dans ses bras. Nous reprenons notre souffle en nous regardant intensément, mille étoiles dans nos yeux.

Alors je propose un massage, un classique pour moi, une manière anodine mais que je sais appréciée de se dévêtir et de parfaire nos caresses….
Sonia se met à l’aise nue jusqu’à la taille. Dieu qu’elle a de beau seins Qu’ai-je donc pour avoir sous mes mains une telle beauté ; elle s’allonge sur le ventre, elle sent bon….je m’assois sur ses fesses …elle gémit à la caresse de mes mains huileuses …. Nous rigolons…. Une façade ! c’est jouir que nous voulons…cuisses écartées je rampe un peu sur ses fesses rondes….je me prépare en dévoilant mes seins moi aussi….mes mains passent sous elle, sur sa poitrine…..elle doit savoir ce que je veux maintenant….

Elle frisonne..je tremble…qu’il est jouissif le moment des préliminaires…Je me penche sur elle, mes seins sur son dos, c’est le premier contact de vos chairs nues….Je lèche ses oreilles….Je mouille….c’est bon….Je me vautre sur sa croupe….nous ondulons toutes les deux….elle participe….elle doit me désirer elle aussi…..Je sens sa main entre mes cuisses écartelées …

Les choses sérieuses commencent, je me recule, assise sur ses cuisses…..un zip sur sa fermeture éclair de son jean…ma main qui s’infiltre par devant…mes doigts sur sa petite chatte pour voir….je veux ses fesses et je la déculotte….comme j’aime ce mot , comme j’aime ce moment ….qu’elles sont belles, bien rondes, fermes, ouvertes, ornées d’un string jupette…elles s’offrent à moi…attirantes…je me penche pour embrasser ces trésors, j’écarte la ficelle de sa raie et j’y glisse ma langue, la peau est douce, sans défauts, ma main se glisse entre ses cuisses tapissées d’un fin duvet blond., elle aime….elle aime mes caresses…..

Elle ondule….relève un peu ses hanches……ma langue peut maintenant s’insérer dans la commissure divine….par devant Sonia se caresse le minou sur le frêle rempart de sa minuscule culotte.
Je n’en peux plus, en rien de temps nous sommes nues, enlacées, nos bouches se joignent, nos seins se frôlent, je sens sa main sur moi à nouveau entre mes cuisses, c’est elle qui me domine à cet instant, ses doigts titillent mon clito ; elle suce mes bouts de seins, elle lit mon émoi dans mes yeux, sur ma bouche qui gémit de plaisir, elle susurre : fais moi jouir chérie, tu es ma première fois, apprends moi, j’ai tellement envie de toi

Je suis troublée, à mon tour de la caresser, de lui embrasser la pointe durcie de ses tétons ; Je lui enlève son string. Je la relève assise sur le canapé, je suis assise moi aussi derrière elle, je lui relève ses cheveux pour l’embrasser dans le cou, sur sa nuque. Je prends ses seins à pleines mains, par dessous, je les soupèse, je les remonte, mes doigts sur leurs pointes, je mordille la chair tendre des épaules.

Une de mes mains passe par devant entre ses cuisses ouvertes. Sonia pousse un petit cri quand pour la première fois je la pénètre, sa chatte est inondée, son clitoris bien sorti de son petit capuchon. Je la doigte un long moment, elle se tord en gémissant, elle tourne son visage vers moi et elle gobe ma langue.

Je la laisse un bref instant, je m’agenouille et me glisse entre ses cuisses ; je suis folle devant tant de beauté, nous nous caressons, son minou est près de ma bouche. Avec la pointe de ma langue, comme un petit chat, je lape son clifounet qui se gonfle gorgé de sang. Avec ma muqueuse humide j’écarte ses petites lèvres à l’entrée de sa vulve. J’attire Sonia au bord du sofa et tout en continuant de la sucer, avec mon petit doigt que j’ai oint dans sa chatte, en douceur je l’enfile dans son petit cul cerné de bistre. Sonia se met à jouir en gémissant :

- Ouiiiii ohhh ouiiii, Je jouis… continue… ahhhh que c’est bon… branle moi bien mon petit trou…. Ahhhhh….que fais tu ? oufffff….. je sens ton pouce dans ma chatte…. ta langue sur mon clito…. Suce le Ouiiiiiii… aspire le….prends moi les seins…..ouiiii… à deux mains…. Plus fort….plus fort….. ouiiii…..Manon…..Manonnn…..Manonnnnn…Ahhhhhhh.

Sonia est dans un autre monde, je suis heureuse de l’avoir menée à ce premier orgasme, elle se tord en tout sens. Pour qu’elle soit mieux encore je l’allonge sur le dos et moi sur elle en sens inverse.

Nous nous embrassons l’intérieur si doux des cuisses, les mains sous nos fesses. ma langue continue de frôler les petites lèvres de sa belle petite chatte, je m’applique, ma langue affole son clitoris bien développé, Sonia recommence à jouir pour cette position nouvelle si délicate que j’aime si fort, ma langue virevolte et force l’entrée de sa vulve qui s’agite en tout sens, elle jouit et je veux jouir aussi maintenant.

J’écrase ma chatte en feu contre sa bouche. Nous nous attirons en attrapant nos fesses à pleine main. Je vais l’entraîner dans un orgasme puissant avec une possession plus substantielle. Ses cuisses ouvertes sous mes bras j’écartèle ses fesses et tout en la suçant j’enfonce un doigt puis deux au plus profond de sa chatte, je la branle tout en caressant son ventre.

Elle plonge grâce à moi son initiatrice dans un orgasme puissant et par mimétisme elle me lime aussi. Nos deux corps s’agitent, se vautrent l’un sur l’autre, nous jouissons ensemble je sens ses doigts dans ma vulve, que c’est bon, Je me redresse en massant durement mes seins pétrifiés par l’orgasme qui irradie tout mon corps.

Le calme revient, son regard plonge dans mes yeux bleus, elle est nue comme moi, merveilleuse, les seins encore gonflés de plaisir, elle se penche vers moi et m’embrasse chastement : merci me dit-elle simplement une larme de bonheur glisse sur sa joue.

Je voudrais rester avec elle toute la nuit pour lui faire découvrir l’univers du plaisir lesbien, l’initier comme on avait fait pour moi, tremblante d’émoi, la première fois.

C’était avec une femme d’un certain âge, pas très jolie, assez grassouillette mais qui avait su m’attirer chez elle, comme elle avait su me faire jouir, je me souviens de toutes ses caresses et maintenant c’est moi l’initiatrice avec cette jolie novice.

Je lui montrerais comment je peux la faire jouir avec mes mains, mes doigts, ma bouche, ma langue, avec les quelques objets érotiques, des sextoys cachés au fond de mon sac.

Nous nous caresserions sous les jets d’eau tiède de la douche, nos corps savonneux enlacés se caressant avec nos seins, nos cuisses mêlées, je frotterais mon ventre sur ses fesses et puis allongées toutes savonnées sur le tapis de haute laine de la salle d’eau Je lui masserais ses seins si sensibles et l’écartelant je lui ferais découvrir le plaisir en m’occupant des deux méats mignons cachés au fond de la raie de ses fesses. Je guiderais ses mains sur moi en lui offrant mon ventre, mes fesses, mes seins, ma chatte, mon anus.

Si elle voulait Je lui proposerais de lui faire le maillot ; dans mon métier d’esthéticienne combien de femmes consentantes ai-je fait jouir ainsi allongées sur ma table de travail en leurs savonnant les cuisses entrouvertes et leur chatte poilue avec un blaireau à poils longs et puis en tendant la peau des grosses lèvres pour bien les raser en douceur tandis que mes doigts titillaient leur clito. Et quand le travail serait terminé je pourrais bouche grande ouverte engamer sa grosse chatte imberbe avec ma langue en pointe sur ton clitoris gaillard..
Mais Je sors de mon fantasme, une voix m’interpelle

- Manon je t’en prie reste avec moi cette nuit,….oui… tu me feras tout ? j’en ai une envie folle……Je te ferais jouir moi aussi.. tu me montreras

Il faisait nuit, nous étions nues, Sonia m’entraîna dans sa chambre, elle s’allongea sous la couette et je me collais sur elle, mon ventre sur ses petites fesses bien rondes. J’allais pouvoir avec Sonia faire l’amour comme deux femmes savent le faire quand elles sont complices et ne font qu’une dans le plaisir, avec douceur, avec tendresse, une tendresse sauvage malgré tout comme le décrit si bien une amie très chère, ma lesbienne préférée.

A part mon ventre bien serré sur ses fesses mouvantes, mon corps frôlait le sien, mes dents serrées sur la chair tendre des épaules près du cou, mordillant la nuque, mes mains en la ceinturant caressant sa petite chatte et le dessous de ses seins. Je suçais son oreille et mon ventre profita des mouvements incontrôlés de ses fesses que ces caresses incongrues provoquèrent. Elle se retourna en gémissant plantant ses ongles sur mon cul, zébrant la peau de mes fesses d’une délicieuse douleur.

Je la laissais caresser mon clito raidi et mouillé de mon miel mais je lui pris cette main et lui léchais ses doigts en les faisant aller et venir dans ma bouche, lèvres serrées, je joue avec ma langue, je les suce à tour de rôle et je sais ce qu’elle ressent pour l’avoir ressenti moi-même cette chaleur douce et humide que l’on imagine émigrer entre les cuisses, entre les lèvres intimes.

Nos visages se rapprochèrent et nos bouches s’unirent, nos langues s’emmêlant, nos mains, nos doigts s’agitant entre nos cuisses et dans nos petits trous par devant et par derrière assez longtemps pour que le plaisir monte d’un coup nous encourageant à continuer.

C’est Sonia qui pensa a une caresse jouissive, enlevant la couette elle se positionna, comment dire, sur le côté, à l’envers de moi, ses cuisses ouvertes en ciseau insérée entre mes cuisses et par un mouvement de reptation s’approcha de moi de telle sorte que nos chattes se pressent l’une contre l’autre. Dans l’état où elles étaient pleines de notre mouille, la suite fut délicieuse, jamais caresse ne m’avait fait un tel effet, des glissements onctueux déformant nos grosses lèvres, nos clitoris massés comme jamais ; et puis dans cette position, la possibilité de se caresser les fesses et son petit œil mignon, le ventre, la taille, les seins et en se courbant un peu offrir nos doigts comme de gros clitoris à la succion de nos lèvres.

C’est lorsque l’on commença de se lécher les doigts de pieds proches de nos visages, à se sucer le gros pouce que notre orgasme éclata idéalement en même temps. Nos deux corps ne furent qu’un spasme agités de mouvements incontrôlés mais qui firent durer notre jouissance, le plaisir irradiait tout mon corps, ma tête, mes yeux remplis d’étoiles, mes seins gonflés leurs pointes dressées, je ne parle pas de mon ventre, de ma vulve de mon clitoris. Nos cris stimulaient plus encore nos sens exacerbés, jamais je n’avais joui si fort et si longtemps, Sonia comme moi était en pamoison et quand notre plaisir, comme tombe la nuit, diminua progressivement avant de s’éteindre. Nous nous jetèrent dans les bras l’une de l’autre unies par tous les pores de notre peau en pleurant d’émotion.

Quand enlacées nous nous réveillèrent le matin nous étions heureuses et quand je dis à Sonia que je n’avais pas pensé aux sextoy que j’avais dans mon sac en souriant elle me dit que c’était mieux ainsi, que nous avions bien joui comme savent le faire deux femmes qui s’aiment sans le recours d’objets phalliques incongrus. J’étais d’accord et après une tendre étreinte nous nous levèrent pleines de projets pour la suite qui s’avéra somptueuse.
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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : La Kinesbienne

Le 12/01/2011 - 19:18 par Cloelia
Et bien dis moi Pierre, je suis de plus en plus surprise par tes histoires, je crois que tu a merveilleusement compris la tendresse qu’il y a entre deux femmes. Et si ma quiné été comme ça, je crois que j’irai plus souvent ;). Merci encore pour tes histoires incroyables… Bisous. Clo
Le 08/01/2010 - 00:21 par TanyaSweet
Comme chacune de tes histoires celle ci est super excitante!! J'aime ta façon d'écrire, ta façon de coucher sur le papier les désirs inaouables de tout un chacun... je viens de poster une de mes histoires qui je l'espère sera bientot en ligne... A bientot et continu à nous faire fantasmer avec tes aventures. Ton admiratrice Tanya.

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