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La pizzeria

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Lue : 5160 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 19/07/2016

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Un soir d'été, ma femme n'avait pas trop envie de faire à manger et me demande d'aller commander des pizzas à quelques pas de chez nous. Nous sommes rentrés tard du boulot et elle n'a pas le courage de se mettre devant les fourneaux.

Je me dépêche et pars à une centaine de mètres de chez nous. Le pizzaïolo prend ma commande et m'annonce 40 minutes d'attente. C'est ce que j'avais prévu et je décide de rentrer à la maison. Sur le chemin du retour, je vois arriver en face de moi une femme d'une cinquantaine d'années, brune les cheveux frisés, plutôt quelconque de visage, elle a par contre des atouts qui attirent tout de suite mon regard. Perchée sur des talons hauts, sa démarche fait rouler ses hanches de droite à gauche. Elle a de jolies formes, une taille fine, des hanches larges et surtout une paire de seins énormes. Le tout est moulé dans une robe courte arrivant à mi-cuisses. La couleur claire de sa robe contraste avec sa peau bronzée. Je vois les traces de ses sous-vêtements sous le tissu de son vêtement.

Elle marche sur le même trottoir que moi et je la regarde arriver. Son regard croise le mien à plusieurs reprises. Du haut de mes 30 ans, je suis intimidé par son regard très franc. Je baisse les yeux lorsque l'on se croise. J'ai deviné juste avant un léger sourire sur son visage.

Elle vient de passer à quelques centimètres de moi, les effluves de son parfum atteignent mes narines. Je me sens tout bizarre. Je me retourne et la regarde s'éloigner. Je ne peux m'empêcher de mater ses fesses, larges et rebondies. On devine la marque d'un string sous le tissu de sa robe. Je vois ses jambes fermes perchées sur ses talons.

Je m'arrête et fais demi-tour. C'est plus fort que moi, je la suis. Elle marche d'un bon pas et emprunte une petite ruelle. Le bruit de ses pas résonne sur les pavés. Je ne peux m'empêcher de mater ses fesses qui se balancent en rythme. Elle s'arrête soudain et prend appuis d'une main sur le mur. De l'autre, elle attrape son pied. Il semble d'un cailloux la gêne. Je regarde la manoeuvre, ne loupant rien du spectacle de ses jambes et du fin tissu de la robe qui remonte légèrement. Je me suis arrêté à une vingtaine de mètres derrière elle. Je m'engouffre dans une ruelle adjacente et cours afin de contourner le bâtiment. Je devrais de nouveau me retrouver face à elle quelques mètres plus loin.

Après quelques secondes, je calme mon rythme de marche et tourne dans la ruelle. Je l'aperçois un peu plus loin. J'essaie de retrouver une attitude décontractée. Elle arrive toujours avec un pas décidé. En me voyant, je crois avoir aperçu un nouveau sourire sur son visage. Je ne peux m'empêcher de regarder sa poitrine qui semble vouloir crever le tissu de sa robe. Nous nous rapprochons l'un de l'autre. Elle m'interpelle soudain alors que nous sommes à deux pas l'un de l'autre.
- excusez moi, auriez vous du feu? me demande-t-elle en sortant un paquet de cigarettes de son sac.

Je panique un peu et bafouille en tentant de sortir de la poche de mon jean mon briquet.
- euh...oui, bien sûr...

Elle s'approche de moi et met une cigarette à sa bouche. J'allume mon briquet et elle tend ses lèvres vers la flamme. J'ai alors une vue plongeante sur son décolleté. J'y découvre la dentelle de son soutien-gorge. Je regarde ses lèvres pulpeuses. Je suis très troublée par cette femme que je trouve très sensuelle.
Elle se redresse, me sourit et me remercie. Je suis très troublé et ne bouge pas, me contentant de la suivre du regard alors qu'elle s'éloigne. Je me retourne et la regarde marcher. Son balancement de hanches me paraît encore plus prononcé. Elle se retourne soudain vers moi et me voit entrain de la mater. Elle esquisse un sourire et continue, tournant dans la rue d'à côté.
Je me remets à la suivre. Je tourne dans la même rue et la vois continuer son chemin. Elle s'arrête soudain devant la porte d'une petit maison et sort un trousseau de clés. Elle tourne la tête vers moi. Nouveau sourire et elle rentre dans la maison.
Mon coeur bat à cent à l'heure. Je continue et passe devant la maison sans m'arrêter. Je découvre alors que la porte est restée grande ouverte. Je m'arrête. Un instinct primaire me pousse à jeter un oeil. Le couloir est sombre. Je m'avance un peu plus. Je suis désormais sur le perron de la porte.
Je pose un pied à l'intérieur. Je toc discrètement à la porte, Une petite voix me pousse à entrer. Je suis désormais à l'intérieur. J'avance vers le fond du couloir où une lumière a été allumée. J'arrive dans ce qui semble être la cuisine. Je découvre soudain cette femme, de dos, debout devant la table. Elle ne bouge pas, les bras ballants. Je ne me contrôle plus et avance vers elle. Je pose mes mains sur ses hanches. J'entends un profond soupir s'échapper de sa bouche...
Je me colle contre elle. Ma bouche se pose dans son cou. Je la sens se détendre complètement contre moi. Je bande comme un âne contre ses fesses!!!
Mes mains remontent de ses hanches et empoignent ses deux gros seins. Ils sont fermes et ne tiennent pas dans la paume de mes mains. Je les malaxe.
Elle s'est penchée légèrement et a pris appuis sur la table devant elle. Je suis surexcité!
N'écoutant que mes instincts primaires de mâle, je dégrafe mon pantalon. Mon sexe en jaillit comme un diable de sa boîte. Je retrousse sa robe jusqu'au milieu du dos, un string m'apparaît. Je l'écarte et tiens fermement les deux globes charnus de ses fesses. Je pointe mon gland à l'entrée de son sexe et la pénètre d'un coup jusqu'à la garde. Elle laisse échapper un long gémissement. Elle est trempée d'excitation et mon sexe coulisse avec une incroyable facilité.
Je me mets à la baiser avec force, donnant de grands coups de reins dans ce sexe accueillant. Elle se met à gémir de plus en plus forme puis à crier...
- ah c'est bon, vas-y baises moi!!! ah, je vais jouir, continues!!!

En quelques secondes, je sens son sexe se contracter autour du mien et elle se met à jouir de façon très flatteuse pour moi. Je continue tout de même mon pilonnage en règle voulant profiter encore de la vision de son cul rebondi.

Elle se remet à gémir, je continue contrôlant mon rythme afin de faire durer les choses. Elle est désormais presque couchée sur la table. Une de ses mains s'est glissée sous elle et me caresse les testicules en même temps que je vais et viens dans son ventre. C'en est trop pour moi et je me vide avec force en elle. Je jouis une quantité de sperme incroyable. Je suis secoué de spasmes. Elle reçoit ma semence en gémissant de plus belle. Je me retire et renfile mon pantalon. Je sors précipitamment non s'en jeter un dernier coup d'oeil. Elle n'a pas bougé et allongée sur la table, les fesses tendues vers moi, j'aperçois du sperme qui coule le long de ses cuisses.
Je quitte la maison en courant. Je n'en reviens pas de ce qu'il vient de se passer!!!

Je repars chercher mes pizzas et rentre à la maison. Ma femme ne s'est rendu compte de rien...

Quelques jours plus tard, alors que je suis parti pour mon jogging. Je change mon itinéraire habituel et passe devant la maison en question. J'y passe une première fois, fais demi-tour au bout de la rue puis passe une seconde fois. C'est alors que la porte s'ouvre et que la femme apparaît. Elle s'apprête à sortir et ne me voit pas tout de suite. Je me suis arrêté à quelques mètres d'elle. Elle se retourne et me regarde surprise. Je m'avance vers elle. Je me colle à elle et me jette sur sa bouche.
Notre baiser est passionné, fougueux. Elle cherche à remettre la clé dans la serrure. La porte s'ouvre soudain et nous nous engouffrons à l'intérieur sans relâcher notre étreinte. Elle porte un tee shirt blanc que je lui retire immédiatement. Ses seins volumineux apparaissent, emprisonnés dans un soutien-gorge en dentelle blanche. Elle le dégrafe et le fait glisser au sol. Je découvre une paire de seins énorme avec de gros tétons dressés par le désir.
Je me jette dessus, les embrasse, les tête. Elle me caresse les cheveux, Je la plaque contre le mur, à quelques pas de la porte d'entrée. Je l'embrasse de nouveau. Je sens ses mains baisser mon short. Ma queue n'attend que d'être libérée. Elle s'en saisit et me branle. Que c'est bon!!
Je dégrafe à mon tour son pantalon. Il glisse au sol, suivi de sa culotte. Je la retourne et elle prend appuis sur le mur. Je la pénètre sans autres préliminaires. Ses seins s'écrasent sur le mur. Elle tend ses fesses vers moi. J'admire sa cambrure. Je la baise avec force. Comme la première fois, elle jouit rapidement sous mes coups de reins.
Je me retire. Elle se retourne et j'ai ses gros seins sous les yeux.
Elle attrape mon sexe et se met soudain à genoux devant moi. Elle me gobe littéralement ma queue. Sa langue s'enroule autour. Elle la sort, la coince entre ses seins et me branle avec. Je suis comme un fou. A ce rythme là, je ne résiste pas longtemps et jouis sur sa poitrine. Mon sperme s'écrase sur son cou et ses seins. Elle me reprend dans sa bouche et me nettoie complètement. Elle se relève et se colle à moi, ses deux obus s'écrasant sur mon torse.
Elle continue de me branler et me redonne de la vigueur. Elle en veut encore. Elle m'entraîne vers le salon toujours en me tenant par le sexe. Elle me pousse vers le canapé et je m'y assois, le sexe au garde à vous.
Elle vient m'enjamber et s'installe sur ma queue. J'entre sans peine dans son vagin trempé. Nous avons fait l'amour cette fois-ci plus tendrement et je l'ai laissé faire à son propre rythme, prenant mon pied à voir ses deux gros nichons se balader devant mes yeux.
Elle a jouit de nouveau et je me suis vider en elle dans la foulée.
Nous nous sommes embrassés comme deux jeunes premiers.

Cette femme qui à l'âge d'être ma mère est une amante incroyable et depuis ce jour, mes séances de footing se terminent toujours dans ses bras!!
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