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La Prof à forte poitrine

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Lue : 59690 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/09/2011

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La Prof à forte poitrine : Connaissez-vous les séances de colle en classe de prépa ? Un enfer ! Convoqués par groupe de trois, chaque étudiant post bac après préparation d’une demi heure sur un problème doit soutenir oralement le feu des questions du ou de la Prof.


Les deux premiers étaient déjà passés et partis, le dernier était sur le grill et cela s’annonçait délicat. La prof de physique trônait sur son estrade entre son bureau et le tableau noir, dominante elle regardait d’un air courroucé le pauvre jeune homme un peu sec qui faisait le dos rond durant l’orage.


Il faut dire que cette prof, avait la réputation d’être sévère à l’excès, comme si elle voulait faire oublier sa quarantaine et son visage rébarbatif. Elle régnait sans partage sur ces jeunes gens tous plus beaux les uns que les autres et ne manquait aucune occasion de les rabaisser.


Avec Marc elle avait de quoi l’agresser ; manifestement il n’avait pas travaillé assez cette fois et il pataugeait lamentablement. C’était un bon élément pourtant, jeune, grand, beau, qui plus est.

« Alors c’est tout ce que vous pouvez me dire sur le nombre de Reynolds en régime turbulent ? C’est peu ! »

Et comme Marc ne disait mot elle lui demanda sa feuille de préparation, elle l’examina en ricanant

« Je comprends….c’est nul…..vous êtes un âne mon petit Marc….un âne bâté….il va falloir me faire oublier votre manque de travail évident…..vous m’entendez ? »


L’âne regardait Julie, sa Prof, elle le fixait penchée vers lui accoudée sur le bureau, arrogante derrière ses grosses lunettes rondes masquant ses grands yeux bleus. Lui était un peu ailleurs, entre les seins qu’il devinait dans le décolleté du corsage blanc de sa tourmenteuse. Il se mit à sourire intérieurement en pensant que sa prof avait de sacrés nibards et curieusement il se mit à l’imaginer autrement que comme sa Prof.

« Vous rêvez Marc, où vous croyez vous ici ? En ce moment ? En colle ! »


Elle s’était approchée, assise sur le bureau face à Marc, les bras croisés, ses jambes aussi. Bienveillante d’un coup elle se fit pédagogue

« Ici Marc vous êtes jugé sur vos paroles, pas sur vos écrits ni sur vos pensées mais sur votre manière de parler….uniquement……vous avez une langue Marc ? C’est pour s’en servir…vous comprenez ? »


Marc comprenait ? Oui ! Mais à cent lieues de ce que la Prof essayait de lui dire ; Une langue il en avait une comme tout le monde et il savait s’en servir, ses copines le savaient. Il scrutait le regard insistant de Julie…..et si c’était un appel ….il zieutait ses seins qui débordaient du corsage… sur le début des cuisses au ras de sa jupe retroussée ….. Sur son regard adouci…provocateur presque……tentant l’esclandre il s’entendit lui dire :


« Oui j’ai un langue d’une incroyable agilité quand elle est muette, quand elle s’agite en tous sens…. »
La Prof fronça des sourcils
« Que dois- je comprendre Marc ? Vous vous vantez certainement «
« Oh non mais vous me troublez, vos seins m’attirent, j’en ai jamais vu d’aussi gros, d’aussi beaux…. »

On ne saura jamais qui aura tenté l’autre, lui donnant l’envie d’aller plus loin

« Puisque vous semblez en avoir envie, je vais vous les montrer, petit curieux, j’aimerai connaître cette agilité dont vous vous targuer »

D’un regard amusé fixant son élève stupéfait, Julie dégrafa son corsage qu’elle ouvrit largement, elle abaissa les attaches de son soutien gorge bleue libérant ses seins, gros, ronds, fermes et les prenant à pleine mains elle les resserra l’un contre l’autre

« ouaaaaahhhhhh…. » gémit Marc stupéfait par tant de somptuosité

« Alors cette langue dont tu vantais les mérites ? »

« J’arrive.. » dit Marc en se levant devant sa prof perchée sur l’estrade, son visage à hauteur de ces splendeurs jumelles.

« Tu peux me dire Julie ! C’est plus bandant »


Il n’y avait plus de doute, aussi invraisemblable que cela puisse paraître, Julie, cette Prof sévère, redoutée n’était pas inaccessible et Marc avança ses mains, ses doigts sur ses seins, sur leurs pointes qu’il caressa tendrement. Julie le regardait faire mais poussa un soupir de contentement quand sa bouche, sa langue enfin lui lapa ses tétons qui devinrent longs, durs et sensibles si j’en crois les petites gémissements qui ponctuaient chaque coup de langue.


Avec ses mains elle resserrait les deux lobes pour qu’il soit facile à cette langue de passer de l’un à l’autre, elle les présentait tour à tour à cette bouche qui les butinait.

« Ahhhh ma prof….ah Julie….je suis bien…..vous avez des seins superbes….vous sentez ma langue sur leurs bouts ? »

« Cette question ! tu les fais bander…..oui….ouiiiiii.. continue…. moi aussi j’aime ce que tu me fais »


Marc suça un bon moment les seins de sa Prof, il s’appliquait. Il n’avait pas menti quand il vantait l’agilité de sa langue, il la faisait virevolter autours des tétons érectés par ses caresses humides. Par moment ouvrant grande sa bouche il aspirait la chair tendre et sensible des mamelons, ce qui tirait un gémissement de satisfaction de Julie.
A un moment, n’en pouvant plus semble t’il, elle s’écarta de Marc et lui dit tout en le fixant :
« Puisque cela à l’air de te plaire garnement passons à des choses plus substantielles »


Alors la Prof tout en quittant son corsage avança sa main, entre les cuisses de Marc sur son jean en palpant le paquet comme on dit ; sans hésiter, comme si elle en avait l’habitude, elle dégrafa rudement l’épais tissu découvrant un sexe encore coincé en travers sous son pantalon à mi cuisses. Marc les fesses à l’air se mit torse nu lui aussi.

« Voyons pour voir » dit elle en extirpant la verge de son antre

« Mais Prof on pourrait nous surprendre »

« Et alors cela te gênerait ? »

« C’est pour vous »

« Ne crains rien nigaud, quand Luc est sorti, j’ai fermé le verrou, nous sommes tranquilles, tu vas pouvoir me montrer les pouvoirs de ta langue, si habile d’après toi ….mais avant tu vas juger celle de la mienne….»


Marc devinait que cette prof l’avait choisi à dessein ; pourquoi ? Il se souvenait maintenant de son insistance pour qu’il passe en dernier, ils allaient baiser c’est évident et quand à genoux devant lui Julie lui prit la verge elle avait déjà prit ampleur et raideur.


« Belle queue ! J’espère qu’elle est courageuse…. » Mais déjà elle l’avait engouffrée dans sa bouche et l’astiquait énergiquement entre ses lèvres en la tenant une main au raz des génitoires. Elle n’y allait pas de main morte et joues creusées, faisant le vide dans sa bouche, elle l’aspirait au plus profond de sa gorge avant de déglutir son gland de ses lèvres serrées dans un bruit succion comme celui d’une bouteille que l’on débouche, quand le bouchon saute, comme un claquement de langue.


Marc sentait le sang affluer dans sa hampe qui prenait des dimensions, une raideur insoupçonnée. Sa verge gorgée de sang était d’une sensibilité extrême et il ne pouvait s’empêcher de gémir sous le regard amusé de Julie qui le fixait guettant ses réactions. Il voyait ses yeux bleus qui le fixaient par dessus la monture de ses lunettes rondes, jamais comme à cet instant il n’avait remarqué leur limpidité ; allait-il se laisser dominer par cette femelle et bizarrement il en vint à penser aux cours de sixième où la mante religieuse bouffait son mâle après l’amour.


Pour l’instant c’était extrêmement agréable, Julie était une vraie pro en matière de fellation, elle le branlait avec sa bouche grande ouverte en dodelinant de la tête avec ou sans sa main mais toujours en aspirant ; par moment elle léchait sa verge dressée, plaquée sur son ventre, sa langue largement déployée par-dessous ; elle en profitait alors, ouvrant grande sa bouche pour aspirer une après l’autre ses roubignoles congestionnées.


La danse continua sans fin semble t’il Marc fesses à l’air, dans un état second encourageait Julie par ses plaintes. Elle se régalait aussi heureuse de voir l’effet qu’elle lui inspirait ; elle lorgnait sur l’énorme sexe décalotté qui avait prit une ampleur dont elle allait bénéficier dans quelques instants. Elle le branlait en tout sens en en prenant le plus possible dans sa bouche avant par moment de ne sucer en aspirant que le gland violacé. Souvent elle variait en mettant le sexe d’un côté ou de l’autre dans sa bouche et l’on pouvait voir la forme du gland déformer sa joue.


Au bord de l’explosion Marc lui fit une suggestion :
« Et si tu me laissais faire maintenant ! »

« Me faire quoi….chéri, »

« Relève toi…..retrousse ta jupe…..assis toi sur le bureau…..oui……bien au bord …. »



Pour Marc ce fut comme un éblouissement, comment imaginer pour lui que cette jupe légère, vaporeuse puisse cacher de tels trésors, sous ses yeux apparurent de longues jambes, des cuisses de reine, rondes, lisses, charnues à souhait; il se pencha sur elle, lui releva les cuisses et la prenant par dessous fit glisser son slip démoulant ses fesses. Julie l’aida dans cette entreprise délicate et quand il fit passer la fine culotte aux pieds pour s’en débarrasser, il eut un coup au cœur.


Julie s’était allongée sur le bureau, cuisses entr’ouvertes, offrant à son regard son intimité qui le laissa pantois. Un ventre plat et musclé tapissé d’une toison discrète et entretenue partant du nombril jusqu’aux grosses lèvres de sa chatte, charnues et ouvertes. Jamais Marc n’avait vu une chatte si bien faite, régulière, symétrique et quand Julie y mis sa main pour se caresser elle ouvrit le calice de ses deux petite lèvres fines et souples remontant jusqu’au clitoris qui émergeait de son capuchon rose.


Julie, la tête légèrement relevée le vit s’approcher, elle vit son visage s’insérer entre ses cuisses ouvertes, elle cala ses pieds bien en appui sur le bord du bureau, elle sentit son souffle court et tiède dans la raie de ses fesses et quand elle sentit sa langue humide sur elle dans la boursoufflure de sa chatte dans un râle de plaisir elle se renversa complètement et tout en se laissant faire elle de caressa les seins.


Jamais Marc n’eut plus envie qu’en cet instant sublime de faire montre de son art ; il savait le plaisir qu’il allait procurer avec sa langue et par voie de conséquence trouver le sien : celui de transporter son amante dans un abîme de jouissance.


Quand il s’activa sur Julie, quand le bout de sa langue s’agita comme un fou dans la commissure rose, maltraitant en tous sens ses petites lèvres souples, s’acharnant sur le clitoris bandé, quand il vit le visage de Julie, tourmenté, sa bouche ouverte, son souffle court, ses yeux fermés il redoubla d’ardeur. Il voulait la faire hurler, la faire se tordre. Par moment il déployait sa langue pour d’une lippée aller et venir de sa vulve ouverte pour remonter jusqu’au ventre ou il retrouvait la main de son amante qui se caressait.


Curieuse par moment Julie relevait la tête pour profiter du spectacle de cette langue qui s’acharnait sur elle, quelle agilité, quelle endurance elle déployait pour son plus grand plaisir. Mais submergée, vaincue elle devait s’étendre à nouveau en râlant, se pétrissant les seins, imaginant au fil de ses sensations les mouvements de cette langue folle. Rien à voir avec les cunnilingus faits par d’autres mâles que ce Marc ni par les rares femmes qui l’avaient déjà sucée. Avec lui c’était comme une caresse subtile…..au début….mais au fil des minutes plus rien ne comptait que ce plaisir intense qui irradiait de son clitoris bandé à l’extrême pour gagner ses petites lèvres, son sexe en entier, gagnait son ventre, ses seins avant d’éclater dans sa tête.


Dans les rares moments de répit et avant de replonger dans des orgasmes de plus en plus forts de plus en plus fréquents elle voyait le visage sérieux de son amant bien calé entre ses cuisses qui quand il ne la regardait pas il fixait sa chatte pour mieux la faire jouir. Jamais encore elle n’avait vu une langue si active, sa pointe humide vibrait en fouillant, en lapant là où les petites lèvres se rejoignent vers le capuchon de son clito. Par moment toutes papilles déployées, cette langue largement sortie de sa bouche allait et venait dans sa cicatrice sanguinolente ouverte, pressant l’entrée de sa vulve, en passant sur l’orifice du pipi sensible lui aussi avant de retrouver le centre de son plaisir. Alors elle ne pouvait plus résister au tsunami de plaisir qui l’inondait et en criant, le corps tétanisé elle s’allongeait, bouche grande ouverte sur des gémissements et elle le laissait faire.


Pour en profiter encore plus elle avait levé une de ses jambes pour mieux s’écarteler et avec une de ses mains passée par dessous elle se caressait la fesse, l’intérieur de sa cuisse pour s’ouvrir davantage, pour mieux s’offrir à cette langue qui se vautrait dans sa raie. Jamais son clitoris, chapiteau de ses petites lèvres n’avait été si sollicité, jamais une langue ne l’avait mise dans cet état, elle sentait sa vulve s’ouvrir en ruisselant et elle fut comme soulagée quand elle vit Marc se relever.


Elle vit sa queue dressée, énorme, à bonne hauteur. Marc avait deviné son envie de pénétration qui allait la mener du plaisir à l’orgasme. Il prit sa verge dans sa main pour la ployer, l’espace d’un instant il laissa son gland sur son clitoris, sans s’y attarder toutefois et d’un coup il s’enfonça en elle doucement mais jusqu’à la garde, son ventre soudé sur ses fesses. Julie était prête et dans un cri l’orgasme éclata d’un coup comme un éclair qui tétanisa tout son corps.


Quand Marc ressortit pour la première fois de sa chatte, sa verge était enduite d’une liqueur translucide et les pénétrations suivantes furent d’une onctuosité délicieuse. Il faisait aller et venir sa verge en d’amples mouvements de son bassin ; à fond ses couilles fouettaient les fesses de Julie et il laissait son gland à l’entrée au recul entre la fleur ouverte des petites lèvres.


Marc la tenait bien écartée en lui tenant les chevilles, chaque pénétration tirait à Julie un ahhhhh de plaisir, des ahhhhh ouiiiii, elle se caressait délicatement le clitoris avec les doigts d’une main pour sublimer son plaisir. Le souffle court Marc ponctuait son pistonnage de gémissements jouissifs mais quand d’un coup il sentit par dessous la main de Julie saisir ses parties et les accompagner en les caressant dans leurs vas et viens infernaux il faillit se laisser aller et se répandre. Que c’est bon une main complice qui vous caresse les couilles quand on baise!


Julie pour jouir de ce spectacle regardait son amant, elle avait redressé son buste, son bras gauche en appui sur le bureau, Marx avait relevé sa cuisse droite pour la mettre en appui sur son épaule pour bien l’écarteler, cela ajoutait à son plaisir semble t’il, elle pouvait continuer de se caresser, mais aussi de palper les seins de Marc. Entre deux orgasmes Julie fixait celui qui savait si bien la faire jouir et elle l’encourageait par des phrases où l’ironie n’était pas absente du genre
:
« Je savais que tu allais bien me baiser, Marc ! »

« Ah bon ! tu as vu ça toi ! »

« Oui, c’est une sorte d’instinct ancestral qui permettait aux femelles de choisir le meilleur reproducteur »

« Tu m’inquiètes ! »

« Rassures toi, je veux simplement jouir et je ne me suis pas trompée »


Pour la conforter dans son choix, il accéléra la cadence pour la faire partir de nouveau dans le plaisir. Marc avait lui aussi relevé sa jambe gauche son pied sur le bureau et rien ne gênait plus à ses pénétrations profondes et rapides. A un moment il sorti son sexe et il lui demanda de le sucer à nouveau ce qu’elle fit avec un plaisir évident en se relevant et se mettant de nouveau à genou devant lui.


Dans l’exercice la verge de Marc avait encore prit de l’ampleur, sur sa hampe les veines étaient apparentes comme sur le point d’éclater ; Julie la tenait à la base au raz des parties et l’engouffrai dans sa bouche grande ouverte ; les bruits prenaient de l’importance : celui de borborygmes quand la queue pénétrait cette bouche pleine de salive qui coulait par moment de ses lèvres en longs filets nacrés, le bruit de la succion extrême quand elle déglutissait le gland décalotté de ses lèvres serrées sur lui, les gémissements, les gloussements de plaisir enfin.


Marc lui demanda de se relever et de se retourner en se penchant sur le bureau ; à genoux derrière elle et avant de se relever il la caressa découvrant pour la première fois ses fesses, elle l’aida en les écartant une de ses mains passées en arrière si bien qu’il pu lui lécher la raie en s’attardant sur son petit trou qui lui paru aussi sensible que sa chatte. L’envers valait l’endroit, de grosses fesses mais bien fermes, rondes, bien ouvertes sur une raie profonde, des raccords parfaits avec sa taille et ses hanches.


Quand Marc se releva le sexe dressé à l’horizontale il n’eut pas à chercher longtemps pour présenter son gland sous l’anus entre ses cuisses. Pour l’aider Julie s’ouvrit davantage en relevant sa cuisse droite, le genou bien en appui sur le bureau. Marc la pénétra d’un coup et les mimiques de Julie, ses plaintes, le mordillement de ses lèvres, ses yeux fermés ou dans le vague montraient l’efficacité de ses pénétrations plus profondes, plus rapides, plus variées derrière que par devant.


Collé derrière Julie, en pliant ses jambes Marc faisait varier les angles de pénétrations pour contenter toutes les parois du vagin qu’il défonçait, son ventre claquant ses fesses. Aux mouvements de va-et-vient il conjuguait les ondulations de son bassin pour que sa verge ravage bien la chatte béante serrée sur lui en torturant délicieusement son clito et la corole des petites lèvres gorgées de sang et sensibles à l’extrême.


Lui aussi s’écartela en relevant sa jambe droite, son pied sur le bureau, ainsi ils étaient bien encastrés l’un dans l’autre, la sueur qui perlait de leur épiderme facilitait la reptation de leurs corps, peau contre peau ; la poitrine de Marc contre le dos de Julie, leurs visages proches. Tout en la baisant il l’embrassait dans le cou, lui léchait les oreilles. Il la tenait par les hanches pour mieux la baiser à fond ; il lui prenait les seins à pleines mains en titillant leurs pointes durcies. La tête tournée vers lui elle mesurait son émoi….ahhhh si elle avait pu voir ses fesses qui s’agitaient pour mieux la défoncer, cette énorme verge entre la fleur ouverte de ses petites lèvres, sa chatte arrondie sur ce pieu en elle, elle aurait sans doute joui davantage….si c’était possible.


Julie voulu lui rendre un peu de ce plaisir immense qu’il lui donnait, elle se releva pour positionner Marc dos tourné au bureau en une sorte de debout assis, les fesses calées sur la table ses jambes ouvertes, tendues vers l’avant et s’agenouillant elle lui reprit sa verge dans sa bouche comme il aimait. Il se laissait faire en se retenant de jouir lui aussi ; Julie le fixait jugeait du plaisir qu’elle lui donnait. Elle se redressa un peu plus et prenant la verge elle la mit bien calée entre ses seins qu’elle resserra sur cette bite palpitante. Les deux amants participèrent à cette branlette hors norme ; Marc en s’agitant pour aller et venir entre ses énormes miches ; Julie en se penchant pour saisir dans sa bouche le gland énorme, décalotté au passage quand il émergeait de ses rondeurs parfumées.


Pour varier le plaisir, par moment, Marc prenait en main sa verge et avec elle caressait les seins de Julie en s’attardant sur les tétons. A d’autres c’est elle qui prenait l’affaire en main si j’ose dire et après avoir craché dessus elle se caressait les seins là où elle aimait Mais ces jeux n’avaient de raison que pour maintenir leur désir. Julie força Marc à s’allonger sur le dos sur le bureau et avec agilité se mit debout sur lui, les cuisses écartées, puis elle s’accroupit ses pieds de part et d’autre du corps de son amant ; alors par dessous elle lui prit sa verge dressée et sans hésitation en s’accroupissant elle trouva son chemin, le gland décalotté entre les lèvres de sa vulve.


C’est elle maintenant qui se donnait du plaisir, Marc la laissait s’empaler à son gré, à son rythme, aux profondeurs qu’elle jugeait bonnes pour elle, Marc se contentait de la caresser, de lui peloter ses seins qui s’agitaient devant lui, par moment Julie se penchait pour qu’il lèche leurs pointes. Il faut avoir des jambes puissantes pour exécuter cette figure, Julie s’aidait un peu de ses mains, Marc l’aidait un peu aussi pour bien faire glisser son membre de toute sa longueur dans la chatte écartelée.


Mais bientôt pour mieux profiter de lui sans trop de fatigue Julie se laissa tomber sur Marc et ce n’est que par des reptations de son corps d’avant en arrière qu’elle pu faire jouer la bite dans sa chatte. Une fois encore elle se releva pour bien se branler verticalement, mais fatiguée sans doute le membre lui échappa ; habilement elle put se rassoir dessus et les mains sur la poitrine de Marc elle réussit à nouveau à se faire jouir sur lui.


Ils se désengagèrent non sans mal, encastrés qu’ils étaient. Marc debout se branlait frénétiquement, elle à ses pieds bouche ouverte, offerte elle le regardait heureuse qu’il jouisse enfin après lui avoir donné tout ce plaisir, elle mouilla ses lèvres d’un doigt, elle sentit le moment venir, elle ferma ses yeux, ouvrit grande sa bouche, en tirant sa langue. Le premier jet de foutre giclant dans un cri de Marc manqua sa cible, heureusement, mais le reste inonda sa langue, sa bouche. Heureuse Julie montra les traces de sa victoire à son amant avant de tout avaler.


Vous l’avez sans doute deviné, ce Marc c’était moi et je garde de cette colle un souvenir impérissable.
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Histoire de Pierre le Grand

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