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La récompense

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Lue : 6664 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 17/01/2015

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Un jour, il y a déjà longtemps (je devais avoir 16 ans), j’accompagnais mes parents au cours d’une visite hivernale à notre villa des environs de Béziers. Ramassage des feuilles mortes, taille des arbustes etc… Le travail ne manquerait pas. Mes 2 jeunes cousins nous accompagnaient, qui s’étaient montrés odieux lors de notre descente en voiture depuis Paris. Pour arriver à les calmer, mon père s’était fait arracher la promesse d’aller passer une journée en famille à l’Aqualand d’Agde !

A l’arrivée, mauvaise surprise : pas de courant ! Un rapide inventaire du contenu de la boîte aux lettres montre qu’on a négligé de s’occuper d’un banal incident de prélèvement ; EDF a coupé le compteur. Voilà qui s’annonce bien : pas d’eau chaude, pas de lumière en cette saison où le jour tombe si vite. La cuisine, du genre tout électrique, est inutilisable. Il n’y a plus qu’à aller au restaurant, ce qui ne déplait pas à ma mère, toujours anxieuse de devoir assurer la subsistance de la tribu après 8 heures d’une route fatigante… Pas de télé non plus, les gamins seront donc insupportables. Resto donc, puis on se couche de bonne heure. Comme nous sommes en semaine, mon père suggère qu’on aille demain à l’Aqualand tenir la promesse imprudemment accordée, en passant auparavant régler le problème comptable à l’agence EDF de Béziers.

En ce qui me concerne, aller passer la journée à l’Aqualand me barbe. Je négocie de pouvoir rester à la villa, bien occupé à commencer les travaux. C’est accepté, ouf ! Juste avant le départ, nos 2 adorables loubards arrivent, l’air penaud : ils ont envoyé un avion, du type avec lanceur élastique, dans l’un des arbres du jardin qui refuse de le leur restituer ! Le terrain est vaste et il y a a de quoi gambader. Je leur explique que si leur avion tombe dans le jardin d’à côté, il y restera et je leur fais promettre de se cantonner au côté opposé. C’est acquis : serment d’ivrognes ? Sur ce, armé d’une échelle et d’un balai, je grimpe dans le chêne vert qui jouxte la limite de la propriété. Une fois là-haut, j’aperçois une femme en train de tailler ses arbustes. La conversation s’engage.

« Bonjour ! Il fait beau là-haut ? »

« Comme en bas Madame ; vous êtes la propriétaire ? »

Nous venons à la villa dès les premiers beaux jours et en été : à côté, il n’y a jamais que des locataires et cette dame m’est inconnue.

« Oui. Je viens, comme vous sans doute, préparer la maison pour la saison ; moi, c’est Anne »

« Moi, c’est Romain : j’essaye de récupérer l’avion des gamins ! »

« Je vois : bon courage et ne vous cassez pas la g… »

« C’est d’accord, à plus Anne ! »

Sur ce, après avoir délivré le jouet de l’arbre, je reviens au sol.
Je n’ai vu Anne qu’une ou deux minutes, mais suffisamment pour réaliser qu’elle est fort belle : début de la quarantaine, allure plutôt athlétique mais très féminine, pas de kilos en trop mais des formes pleines idéales. Elle a une très jolie poitrine, épanouie comme dans mes fantasmes : ni pastèques, ni smarties, mais juste un léger cran au-dessus de la moyenne ! Voilà qui me donne à rêver ! En effet, je suis en 2ème année de prépa où chacun bosse comme un fou ; pas le temps de courir les filles, qui font tourner les têtes dans la direction opposée à celle qu’on vise : intégrer au plus vite l’école souhaitée dans les meilleures conditions. De plus, la société d’alors était bien plus rigide qu’aujourd’hui; vous l’aurez donc deviné : à l’époque, j’étais encore puceau !

Tout à ma rêverie, je m’aperçois que mes parents sont sur le point de lever le camp pour la journée. Ca y est, les voilà partis. Je me mets en tenue de travail et commence à nettoyer le jardin. La matinée se passe sans histoires. A midi, j’avale un sandwich préparé par ma mère et je reprends le boulot.

« Coucou Romain : c’est Anne ! »

Ma jolie voisine m’interpelle par-dessus la haie ; je cours la rejoindre.

« Re-bonjour ! Qu’y a-t il ? »

« Si ton emploi du temps le permet, j’ai un petit service à te demander : tu as une minute ? »

« Bien sûr. De quoi s’agit-il ? »

« Voilà. D’habitude, mon mari m’accompagne pour les travaux d’hiver, ainsi que mon fils. Mais cette année, il est parti en Allemagne, invité par les parents de sa copine et mon mari, qui devait être là aujourd’hui, a dû remplacer son patron au pied levé pour le représenter à un important congrès à Barcelone. Me voilà donc seule pour tailler les arbres. Moi, j’ai le vertige pour un rien et grimper hors de la présence de quiconque serait imprudent. Quand je t’ai vu dans les airs tout à l’heure, ça m’a donné une idée : pourrais-tu m’aider dans les travaux aériens : je te guiderai depuis le sol ! »

Elle accompagne sa requête d’un sourire à faire fondre n’importe lequel des glaciers des Alpes.

« Certainement. A votre avis, ça prendra combien de temps ? »

« A ton avis veux-tu dire ! On peut se tutoyer, d’accord ! Peut-être une heure ou deux ! Je te donnerai une récompense !»

« Ah bon ! De toute façon, j’ai ma journée : c’est d’accord ! C’est quoi ta récompense ? »

« Ah, ah ! C’est un secret : tu verras en temps voulu. Tu viens me rejoindre ? »

Bien que nos maisons soient voisines, leurs entrées ne sont pas dans la même rue. Il me faut enjamber la haie. Je déplace l’échelle, Anne me tend la main et hop : c’est fait ! Elle est maintenant devant moi, à moins d’un mètre. De là-haut, je l’avais trouvé jolie, mais de près, c’est un vrai canon et je suis très intimidé. Elle le sent tout de suite.

« Allez, je ne vais pas te manger, détends-toi un peu que diable ! »

Nous passons une bonne heure à tailler, moi en haut dans les arbres, elle en bas avec un bâton pour désigner l’endroit où il faut sectionner (je n’y connais rien !) Je ne compte plus les « Plus haut, non, pas celle-là, oui, à ta gauche, un peu plus bas, là c’est bon : coupe ! » A chaque fois, une grêle de brindilles, branchages, poussières, feuilles mortes lui tombe dessus. Quand nous en avons terminé, elle ressemble à une sorcière hirsute et moi, à une gaillette ! Le jour tombe, il faut s’arrêter : elle m’invite chez elle. Je lui fais part de notre problème EDF et lui demande le bénéfice de sa douche.

« Bien sûr, bonne idée ! D’ailleurs, je vais faire de même. Comme j’aime prendre mon temps sous l’eau chaude, tu passes le premier. La salle de bains est là : il y a ce qu’il faut dans l’armoire »

Quand je reviens de la salle de bains, propre comme un sou neuf, elle poursuit.

« Je trouve qu’il commence à faire frisquet : peux-tu t’occuper de faire du feu ? Tout est là. J’ai vidé les cendres ce matin, il n’y a plus qu’à garnir et allumer. A tout de suite ! »

Elle disparaît. Je m’occupe du poêle et bientôt, ça ronfle agréablement. Quand Anne revient, il s’en faut de peu que je ne tombe dans les pommes. Elle a revêtu, fendue en bas de chaque côté, une robe de chambre en soie jaune paille, imprimée de jolis motifs modernes. Quand elle marche, on aperçoit ses jambes jusqu’au-dessus du genou. Ses seins, qui remuent doucement à chacun de ses mouvements, se devinent aisément. Leurs pointes apparaissent nettement à la surface du tissu. Elle est vraiment très, très sexy. Je lui en fais part.

« Wow ! Tu es magnifique dans cette robe, quelle classe ! »

« Merci, c’est gentil ! Nous avons bien travaillé et j’ai faim. Je vais préparer à goûter. Thé ou café ? »

« Café pour moi, merci ! »

Quand elle revient avec les petits gâteaux, ondulant littéralement devant moi, souple comme une liane, je remarque que le nœud qui enserre lâchement sa taille glisse peu à peu. A l’occasion de l’un de ses mouvements, j’aperçois furtivement son entre-jambes et sa chatte ; elle est nue là-dessous ma parole ! Et l’inévitable, à mon avis fort bien calculé, arrive : le nœud glisse complètement et la robe s’ouvre largement. Comme à ce moment, elle a les mains encombrées de son plateau, plusieurs secondes s’écoulent avant qu’elle puisse régler le problème. Telle un judoka qui renoue son obi à toute lenteur pour voler un peu de repos, elle refait le nœud fautif.

« Excuse-moi » dit-elle, faussement repentante et avec un large sourire.

Cette fois, je suis renseigné sur le but qu’elle poursuit ! La perspective de passer peut-être à la casserole commence à se dessiner… Vais-je me montrer à la hauteur ?

« Pas de quoi, dis-je, c’était fort agréable à voir »

Anne vient s’asseoir près de moi sur le canapé où je me tiens. Elle me regarde droit dans les yeux, les mains sur mes épaules.

« Quand je t’ai demandé de m’aider tout à l’heure, je t’ai promis une récompense tu t’en souviens ? Voilà ce que je te propose : je t’offre de te faire jouir ! Cela te plairait-il ? »

« Tu…tu veux dire ‘faire l’amour’ c’est ça ? »

« Mais non ! C’est une masturbation que je t’offre. Qu’en dis-tu ? »

Complètement interloqué, je reste bouche bée. Elle poursuit :

« Je suppose que tu ne t’es jamais fait branler par quiconque, garçon ou fille, n’est-ce pas ? Car si tel avait été le cas, tu aurais sans doute immédiatement accepté ma proposition et avec gratitude ! »

« Je ne comprends toujours pas Anne ! »

« Eh bien, sache que se faire caresser amoureusement par quelqu’un qui te regarde, attendant avec bonheur que tu prennes ton pied, et cela sans contrepartie, c’est cent fois plus agréable que se caresser soi-même ! Si on prend la peine de se relaxer, sans esquisser un seul geste, en se concentrant uniquement sur le plaisir qui monte, c’est vraiment extra ! Pour les filles, c’est la même chose : peu de gens le savent ! »

Anne ignore sans doute qu’elle parle de ce qu’on pourrait appeler « la montée contrariée ». Normalement, celle-ci s’accompagne d’une mise en tension progressive du muscle de l’anus (muscle PC). Si on s’y oppose par une décontraction volontaire périodique, la tension dont on interdit ainsi la mise en place n’est pas perdue, mais simplement différée. Il y faut une certaine maîtrise de soi car la pente naturelle c’est de laisser aller : lutter contre la contraction devient donc de plus en plus difficile au fur et à mesure que l’excitation causée par la masturbation progresse. Quand ça devient impossible, on y renonce pour de bon et la tension accumulée, un temps différée, reprend ses droits d’un seul coup sous la forme d’un spasme brutal, très intense, extrêmement agréable. L’orgasme suit immédiatement.

« Ah bon ! Comment proposes-tu qu’on s’y prenne ? »

« Tu te déshabilles entièrement ; je te caresse jusqu’à ce que tu jouisses. Tu te rhabilles c’est tout !»

Elle se penche alors vers moi et m’embrasse sur la bouche ; elle entrouvre les lèvres et je sens que sa langue cherche la mienne. Je lui réponds timidement, du mieux que je peux : c’est tellement nouveau pour moi. Sa poitrine est si près ! Allez, j’ose car je pense qu’en fait, vu son comportement précédent, elle n’attend plus que cela : je me mets à palper délicatement les seins qui affleurent sous la soie…

« Je vois que tu aimes ma poitrine, dit-elle mais à même la peau, ce serait encore meilleur pour nous deux, tu ne crois pas ? »

Je m’enhardis alors et reprends mes caresses, sous la soie cette fois. C’est exquis ; elle me roule un patin et pose la main sur mon sexe déjà bien raide. Mes faibles forces m’abandonnent, j’ai le vertige…

« Anne, ce matin nous ne nous étions encore jamais vus ! Me mettre nu devant toi me fout la honte »

« T’inquiète ! Je me mettrai à égalité avec toi ! Regarde : je donne l’exemple ! »

Elle se lève et laisse glisser une robe qui ne demandait qu’à tomber. La voilà nue pour moi, c’est extraordinaire ! Elle me montre un fauteuil de relaxation.

« Ote tous tes vêtements et allonge toi là, en mettant les jambes de côté. Je vais m’asseoir sur le repose pieds, face à toi et près de ton sexe. OK ? »

Je m’installe comme demandé. Au moment où elle enjambe le fauteuil pour se mettre à cheval, je tends la main vers sa chatte. Elle l’en écarte gentiment, avec un sourire.

« Pas maintenant chéri ; aujourd’hui, c’est moi qui m’occupe de toi ! »

Elle commence à me masser délicatement les testicules, les faisant rouler sous ses doigts ; ça ne fait pas mal du tout, juste un effet combiné de légère gêne et de plaisir du palper. Mon sexe est déjà dur, mais pas encore développé. Anne me prévient :

« Romain, voilà ma récompense ! »

D’une main experte, elle tire très lentement, la peau des bourses vers le bas, ce qui découvre délicieusement le gland. Elle prend ensuite un flacon et forme une noisette de quelque chose dans la main.

« ‘Mixa bébé’ ! Qu’est-ce que c’est que ce truc ? »

« C’est de la crème pour les fesses des minots. Avec ça, ma main te semblera aussi tendre, aussi souple, aussi douce que mon vagin, tu verras ! »

Elle éclate de rire.

Effectivement, c’est absolument exquis : Anne a commencé la masturbation promise, sa main glissant le long de la hampe, lentement, alternativement de haut en bas, s’attardant de temps à autre sur le gland pour le palper, comme on ferait sur le haut d’un levier de vitesses pour en apprécier la prise en main. De plus, elle continue de me masser tendrement les bourses. C’est vraiment divin. Elle me regarde en souriant. J’ai le regard humide, rivé sur ses seins qui remuent légèrement au rythme de sa caresse.

« Alors, tu aimes, me dit-elle ? N’est-ce pas bien meilleur que tout seul ? »

J’acquiesce avec un sourire car elle a raison. En totale décontraction, tous muscles relâchés, je ressens avec une précision jusqu’alors inconnue, les changements qui s’opèrent au fond de moi : le plaisir qui irradie peu à peu le bassin, la prostate qui se raffermit, entraînant la contraction des muscles du bas-ventre (comme dans un exercice de Kegel, mais cette fois, c’est involontaire), le cœur et la respiration qui s’accélèrent. Je suis absolument aux anges et je ferme les yeux, dans l’attente du cataclysme final. Anne m’interpelle.

« Sois gentil de garder les yeux ouverts s’il te plaît ? Je veux absolument saisir ce moment unique où, submergé de plaisir, tu rendras les armes ! »

En effet, le moment qu’elle et moi attendons ne va plus tarder. Mon pénis est raide à l’extrême, le gland gonflé, pourpre. J’ai le cœur qui bat la chamade. Mon regard se brouille, je chavire… Comme on surveille la venue d’un orage en comptant les secondes qui séparent l’éclair du tonnerre, je sens venir le tremblement de terre de l’orgasme. Il arrive, je ne peux plus y échapper, c’est à la fois anxiogène et merveilleux de plaisir.

« Anne, ça monte, je sens que mon offrande sera bientôt là, sur tes mains ! »

« Je sais, c’est sans issue, inéluctable. Regarde moi je te prie »

A l’intérieur de moi, le plaisir, auparavant diffus, a gagné tout mon bas-ventre ; je rive mes yeux dans ceux de mon amante qui me sourit tout en continuant à me branler, toujours au même rythme. Le balancement de ses seins m’hypnotise. Je me force à me décontracter périodiquement, relâchant au mieux la tension périnéale malgré cette prostate qui persiste à envoyer l’ordre contraire ! Mais rien à faire : au bout d’un moment plus de décontraction possible, c’est elle qui a le dernier mot, irrésistiblement stimulée par le va-et-vient incessant, inexorable de la masturbation dont Anne me gratifie. Tout à coup, ça y est, le point de non-retour est dépassé. Je ressens un choc quasi électrique. Une immense vague de jouissance m’envahit tout entier. Elle déferle en moi, invincible, me tordant divinement le ventre. Je sens ma prostate, déjà tendue, se contracter à bloc, d’un seul coup, dure comme une pierre. Elle expulse mon liquide de vie. Je ne vois plus rien, à part ma partenaire qui me masse toute la zone génitale en souriant alors qu’un spasme s’empare de mon sexe.

Mon pénis palpite dans la main d’Anne qui, inflexiblement, poursuit sa caresse ; le sperme jaillit par saccades sur ses doigts. Un bonheur gigantesque, total qui ne dure que quelques secondes. Puis, le déluge s’arrête, mon membre revient au repos. Elle se penche alors et l’effleure de ses baisers. A chaque touche de ses lèvres sur le frein, l’organe reprend vie avec un léger soubresaut. Enfin, il s’arrête pour de bon. C’est fini… Je suis au 7ème ciel, Anne m’embrasse tendrement, sa petite langue rose, toute douce, a le goût d’un loukoum.

« Alors ? Comment elle était ma récompense ? Tu as aimé ? »

« C’était génial, fantastique, exquis : les mots me manquent. Quel bonheur tu m’as donné ! »

« Viens avec moi sur le tapis, dit-elle, je voudrais te prendre dans mes bras »

« Bien sûr ! »

Elle se lève. Je remarque un mince filet liquide qui coule de sa vulve. Nous voilà tous les deux enlacés, nus sur l’épais tapis de grosse laine.

« Vois-tu, ce cadeau que je viens de t’offrir, je me le suis donné aussi à moi-même. J’avais tellement envie de faire jouir un homme très jeune, mon cadet de beaucoup d’années. En acceptant ma proposition, tu m’as aussi comblée mon chéri, merci ! Assister au plaisir que l’on offre gratuitement au partenaire, et ce jusqu’à lui faire perdre le contrôle de lui-même, c’est très, très gratifiant et agréable je t’assure : regarde, tu ne m’as même pas touchée et ma chatte est toute mouillée ! »

Tiens donc : Julien Sorel aux bras de Mme de Rénal ? Pas une seconde la différence d’âge ne m’est venue à l’esprit. Qu’importe : elle était fort désirable et désireuse de donner du bonheur sous une forme jadis si décriée. J’ai adoré. Pendant ces quelques instants je l’ai aimée. De même pour elle.

« Il faut que tu t’en ailles, ta famille va rentrer. Je veux t’embrasser, à en perdre le souffle, pour conserver longtemps le goût de ta bouche, de ta langue. Tu veux bien ? »

« Quelle question ! Étends-toi sur moi, s’il te plait : j’aime tant caresser tes seins lorsqu’ils pendent autour de mon cou »

Je pelote encore sa jolie poitrine pendant plusieurs minutes, elle m’embrasse fougueusement.

« Un jour tu t’occuperas de moi comme moi de toi aujourd’hui d’accord ? »

« C’est d’accord »

Elle m’accompagne au pied de l’échelle. Je la prends dans mes bras, l’embrasse une dernière fois en lui caressant les seins. Puis, je retourne chez moi par le même chemin qu’à l’aller.
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Histoire de BerSen

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