ACCUEIL > En groupe > Récit : La voisine

La voisine

+18

Lue : 41136 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 13/11/2005

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Nous venons d'emménager dans la superbe villa que nous avons pensée et dessinée avec mon épouse et faite construire. Donc voilà maintenant un mois environ que nous sommes dans nos murs et nous nous y sentons agréablement biens tous les deux. Nous travaillons non pas ensemble mais pratiquement car nous n'avons qu'à regarder par la fenêtre de nos bureaux nous sommes en vis-à-vis, elle dans un cabinet d'assurance et moi architecte c'est d'ailleurs ainsi que nous nous sommes connus pour finalement nous mariés. Là maintenant nous avons la ferme intention aussi d'agrandir notre famille et nous nous employons dans ce sens, il ne se passe pas une journée sans que soit elle ou moi ne cherchions à provoquer l'autre afin d'assouvir notre désir je suis certes demandeur perpétuel mais je dois avouer que Marika ne refuse pratiquement jamais mais qu'elle met aussi tous les atouts de son coté afin d'exciter mon désir.

Marika est une superbe et authentique brune aux yeux bleus,elle est aussi grande que moi 1m75 pour 60 kg et un bon 95C de tour de poitrine ce qui n'est pas pour me déplaire. Il arrive que parfois je sois légèrement las ce qui n'échappe pas à sa vigilance et là j'ai droit à la séance de naturisme meurtrier, elle déambule dans la maison en string lequel string est pratiquement avalé par sa chatte pour ne laisser croire qu'elle n'est simplement vêtue d'une ficelle. Comme je vous l'ai dit précédemment en général les fins de semaine se déroulent toujours de la même façon c'est-à-dire mon pieu logé dans la foufoune de Marika.

Donc aujourd'hui me sentant en pleine forme je me tourne vers ma bien aimée et me colle littéralement à ses fesses et lentement essaie de m'introduire entre les lèvres de sa douce fente qui sous la pression s'entrouvrent pour me laisser entrer, le gland étant à peine aspiré lorsque la sonnette de l'entrée me bloqua net et nous rappela à la réalité. Abandonnant Marika j'enfilais mon peignoir de bain sur mon corps nu et allais ouvrir, c'était notre voisine une jeune femme d'environ notre âge qui venait chercher de l'aide car son mari avait fait un malaise et se trouvait sur le carreau de la salle de bain sans connaissance. Elle aussi était encore en robe de chambre et me dit.
-"Désolé de vous déranger de si bonne heure Stéphane mon mari à fait une chute et il est inconscient et seule je n'arrive pas à le relever".
-"Pas de problème entre voisins c'est tout à fait normal". Arrivé à la salle de bain Stéphane avait repris connaissance mais se trouvait toujours au sol.
-"Bien je vais vous aider à vous relever" lui dis-je
-"Je crois que je vais avoir un problème je ne sens plus mes jambes".Ne voulant pas envenimer le problème je demandais à son épouse d'appeler le SAMU en portant mon regard dans sa direction. Elle aussi était accroupie et les pans de sa robe de chambre entrouverte laissaient voir son minou très velu à mes yeux, je détournais les yeux et elle s'en fut dans la chambre pour appeler les secours. Vingt minutes plus tard Stéphane était emmener vers les urgences et nous étions là seuls la voisine et moi.
-"Bien,je vais vous laisser madame si toutefois vous avez besoin ne vous gênez pas venez nous voir".
-"Merci encore me dit-elle je me prénomme Lisiane, je vais me préparer et me rendre à l'hôpital".
-"Donnez nous des nouvelles en rentrant ".
-"Oui et merci encore".Je retournais chez moi et trouvais Marika dans la salle de bain, elle était nue et me présentait ses fesses en s'essuyant les jambes. Regardant ce spectacle,je me mis à bander et me recollais à sa croupe pour l'enfilais en levrette ce qu'elle adorait par dessus tout. Elle se releva m'empêchant de l'investir.
-"Dommage mon chéri tu vas devoir te contenter de ma bouche jusqu'à nouvel ordre,il ne fallait pas ouvrir la porte à peine ma douche prise en me séchant je me suis rendu compte que je suis indisponible,mais je ne vais pas te laisser en plan",et elle s'agenouilla pour m'engloutir et me piper jusqu'à ce que j'explose au fond de sa gorge. Une fois terminer elle me demanda ce qu'était le coup de sonnette. Je lui expliquais sans lui dire que j'avais lorgnais sur la chatte de Lisiane.
-"Tu sais mon ange nos voisins s'appellent Stéphane et Lisiane et le SAMU a emmener Stéphane à l'hôpital je crois qu'il a un sérieux problème il ne peut plus bouger ses membres inférieurs".
-"C'est si grave la pauvre femme j'espère qu'il se remettra sur pieds rapidement, bon douche toi et après le petit déjeuner nous irons faire quelques courses".Le petit déjeuner englouti, la maison fermée nous sortions de chez nous quand je vis Lisiane à l'arrêt du bus m'arrêtant à sa hauteur Marika baissa sa vitre pour lui demander si elle voulait que nous l'emmenions.
-"Non c'est vraiment sympa mais je ne voudrais pas abuser".Marika lui dit que nous allions en direction de l'hôpital et que cela ne nous gênais absolument pas. Elle prit place à l'arrière et nous avoua qu'elle n'avait pas de permis de conduire mais qu'elle le passerait avant l'été. Tout le trajet durant elle ne cessait de me regarder dans le rétro. Nous la déposâmes devant les urgences et nous nous rendîmes en centre ville pour nos courses qui furent faites en un rien de temps tout au plus 1h30 et nous étions dans la voiture prêts à regagner notre maison quand Marika me demanda.
-"Mon amour puisque notre week-end est calme et qu'il fait beau si tu m'invitais au restaurant".Ce que je fis avec plaisir. L'après midi se déroula dans un autre secteur de la ville et nous fumes de retour vers 19hrs à la maison et confortablement installés devant la télévision nous sirotions notre apéritif préféré un punch coco quand la sonnette nous dérangeas. Marika alla ouvrir,c'était Lisiane qui venait nous apporter des nouvelles peu rassurantes sur l'état physique de son époux lequel était toujours paralysé et le diagnostic des médecins n'était guère encourageant pour le moment,la réconfortant de notre mieux nous l'invitâmes à rester avec nous pour la soirée elle accepta un verre de punch mais déclina le souper ne voulant nous imposer sa présence qu'elle jugea ennuyeuse et nous quitta une heure plus tard nous promettant de revenir nous voir prochainement.

Le dimanche se déroula lui aussi gentiment et lundi nous ramena à la triste réalité du travail. Il devait être 11hrs lorsque Marika m'appela pour me dire qu'elle partait pour Paris par le train de 12h30 jusqu'à vendredi soir pour une formation sur le comportement et le relationnel, formation prévue pour fin de mois mais avancée pour des raisons de service au sein du bureau pour lequel elle travaillait. Après quelques banalités elle me claqua un baiser et je vis son magnifique sourire et son clin d'oeil me laissant présager une bonne fin de semaine. Le reste de la journée passa rapidement et vers 18h30 j'étais chez moi douché et en tenue de sport qui consistait en un short et un vieux tee-shirt ample que j'aimais porté et dans lequel je me trouvais à l'aise. Après avoir lu les nouvelles de mon journal sportif je me dirigeais vers le bar pour me servir un verre quand on sonna à la porte, j’allais ouvrir et me trouvais face à Lisiane qui venait nous inviter pour un apéritif.
-"Désolé Lisiane mais je suis seul car Marika est à Paris jusqu'à la fin de la semaine ce sera avec plaisir pour quand elle reviendra".
-"Je vous en prie accepter mon invitation car j'ai préparé quelques toasts et je ne me sens pas capable de tout manger et ce serait dommage de tout mettre aux ordures".
-"Bien je me change et je vous rejoins".
-"Non venez comme cela vous êtes acceptable".Je pris mon portable, verrouillais la maison et suivi Lisiane chez elle. Au salon sur la table basse verres et plateaux amuse bouche étaient présent ainsi que différentes bouteilles d'alcool.
-"Installez vous et faites le service si vous le voulez bien je prendrais un Gin avec du soda et servez vous ce que vous voulez"
-"Merci je prendrais la même chose que vous,je m'excuse je vais paraître indiscret que faites vous dans la vie avec Stéphane".
-"Je travaille comme responsable de service à la préfecture et Stéphane est employé à la ville et nous sommes mariés depuis six ans maintenant".Je lui rendis la pareille en présentant notre couple sur le plan travail, sans bien sur m'étendre sur le fait que nous étions un jeune couple. Ce fut Lisiane qui démarra.
-"Vous n'avez pas encore d'enfants, nous non plus j'aimerais bien que cela vienne car l’âge avance et bientôt il sera trop tard pour cela".
-"Vous êtes jeunes et il ne faut pas désespérer, pour notre part nous nous y attelons enfin nous souhaitons en avoir un rapidement cela mettra un peu plus de gaieté dans le foyer.
-"Je vous le souhaite me dit-elle les larmes aux yeux pour moi ce bonheur n'est plus qu'une illusion ".
-"Enfin Lisiane ne soyez pas défaitiste il faudra vous battre pour cela quand Stéphane ira mieux vous pourrez envisager à nouveau ".
-"Hélas non je pense pas,cela fait maintenant deux ans qu'il ne me fait plus l'amour et cela est dut à l'alcool qu'il absorbe tous les jours il est ivre du matin au soir voilà le travail des employés municipaux,j'ai déjà songé le quitter mais pour mes parents cela serait un coup dur et je ne veux pas les décevoir".
-"Mais enfin vous n'allez pas rester toute votre vie avec lui s'il n'y a rien entre vous,je ne sais pas mais il y a bien des moments ou il est à jeun".
-"Même là j'ai beau essayé de diverses façon soit de le masturber et même excusez mon langage le sucer il reste de marbre et j'en arrive à me masturber pour calmer mes ardeurs".Et pendant qu'elle me faisait ce récit je ne sais pourquoi je sentais poindre un début d'érection.
-"Voulez vous un autre verre moi si resservez nous vous voulez bien de toute façon personne ne nous attends nous ne serons pas en retard pour souper".
-"Oui vous avez raison dis-je tout en servant pourrait-on avoir d'autres glaçons ?"
-"Mais bien sur je vais en chercher au congélateur". Elle revint et se plaça sur le pouf face à moi et tout en buvant mon Gin mon regard se porta vers elle et je m'aperçu que la position assise qu'elle avait adoptée m'offrait la vision de sa petite culotte qui elle même était la cible d'un rayon de soleil, et je pouvais même apercevoir les poils qui s'en échappait et cela me fit bander terriblement. Et ayant passé le week-end à la diète cela ne fit que décupler mon envie de femelle. Ma bite commençait à se sentir à l'étroit dans son logement,je repris mon verre et but une autre lampée de gin,Lisiane se rendit compte que quelque chose n'allait pas.
-"Vous êtes gêné par ce que je vous ai dit concernant Stéphane et moi surtout n'en parler à personne ni même à Marika je le lui dirai peut-être un jour"
-"Je vous promets de ne rien dire mais ce n'est pas le problème".
-"Alors qu'est-ce donc ?"
-"Eh bien voilà le problème est que votre position m'offre un spectacle magnifique et sexy et vous comprendrez que mon instinct de mâle se réveille".
-"Oh excusez moi et vous qui êtes seul toute la semaine je comprends et s'appliqua à refermer ses jambes".
-"Il n'y a pas de mal, il est vrai aussi que j'étais à jeun depuis vendredi soir et que devant cette douce vision l'envie s'est réveillée".
-"Bon et si nous parlions d'autre chose car je sens que moi aussi je vais être mal à l'aise".
-"Et comme cela nous serons deux malheureux".
-"Bon arrêtez sinon je vais vous punir".
-"Comment cela vous allez me punir ?".
-"Oui je vais vous remontrez et cette fois intentionnellement cela vous fera plus de mal".
-"Vous en seriez capable ?".
-"Bien sur vous voulez voir ?". Je lui dis que non que cela fût l'effet de l'alcool.
-"Non non l'alcool n'y ait pour rien, c’est le fait d'en parler et de vous écoutez dire que cela vous fait de l'effet qui attise mon envie aussi la je vous avoue que ma petite culotte commence à s'humidifier".
-"Enfin Lisiane arrêtez car moi aussi je ne pourrais pas partir de chez vous dans l'état ou je suis".
-"A ce point je ne peux croire cela levez pour voir".Aussitôt je me mis debout et une énorme bosse déformait mon short.
-"Oui c'est vraiment visible, nous au moins cela ne se voit pas à moins d'y mettre la main".Et joignant le geste à la parole elle se toucha la culotte et me tendit la main.
-"Voilà regardez".
-"Voir n'est rien c'est le toucher qui serait à même d'être cru".
-"Cela est autre chose vous devez croire sur parole"."Tenez d'ailleurs regardez la tache sur le fond de ma petite culotte". Et elle écarta toutes grandes les cuisses et m'exposa sa lingerie. Elle portait un slip rouge et la tache sur le fond se voyait parfaitement.
-"Oui effectivement on ne peut dire le contraire pour être humide çà l'est drôlement et de plus vous bien fournie sur le plan toison au vu de ce qui s'échappe de votre slip la touffe doit être bien abondante".
-"Oh oui c'est que j'hésite à la supprimer car je pense qu'elle repousserait de plus belle, il n'y a que l'été lorsque nous allons à la plage que je coupe ceux qui dépassent, on appelle cela le maillot"."Et Marika est fournie de ce côté là ?".
-"Non très peu et d'ailleurs elle ne supporte pas cela chez elle et se rase le pubis toutes les semaines"."C'est pour cela que j'aimerai voir c'est à dire que vous enleviez votre slip".Elle se leva, ôta son slip et vint se planter devant moi.
-"Allez y vous pouvez regardez". Je saisi le bas de sa robe et le releva dévoilant son bas ventre, un triangle de poils noirs camouflait entièrement son minou je posai mes doigts dessus c'était assez bien épais, puis j'essayais d'appuyer un peu plus et tentais une caresse vers le vagin en direction de la fente et du clito. Là elle se cabra, se débarrassa son slip sans oublier de s'essuyer la fente qui devait être bien poisseuse et se rassit sur le pouf sans même m'accorder un regard.
-"Je sais que je n'aurais pas du mais avec l'apéritif je suis toute chamboulée et je ne sais plus me contrôler parfois, veuillez m'excuser".
-"Oui mais cela va être dur de calmer la tempête aussi bien pour vous que pour moi vous comprenez cela n'est-ce pas ?".
-"Je comprends que pour vous cela doit être pénible, mais au fait j'ai bien vu la bosse qui déforme votre short mais pas l'objet pourrais-je à mon tour voir".Je me mis debout et m'avançant vers elle je baissais mon short et ma verge lui sauta aux yeux".
-"Mon dieu qu'elle est grosse et longue à côté de celle de Stéphane elle est énorme". Et sans même me le demander elle s'en empara. Je lui pris la tête dans mes mains et l'amena de telle sorte que sa bouche vienne au contact de mon gland, elle résista puis lentement se laissa aller à déposer des petits baisers puis lorsque ses lèvres furent sur le bout du gland je la forçais à ouvrir la bouche ce qu'elle fit aussitôt et commença à me pomper. Elle savait y faire parfois elle s'arrêtait pour me lécher la tige du gland au couilles pour ensuite se remettre à sucer. La prenant par les aisselles je l'obligeais à se mettre debout pour lui rouler une pelle, ma bite en feu fièrement dresser appuyée contre son ventre lui faisait sentir que l'envie de la prendre était forte,je saisi la fermeture éclair de la jupe que je manoeuvrais pour la lui ôter ce qui ne prit à peine une dizaine de secondes et mon gland essaya d'emblée de l'investir mais elle se déroba.
-"Non il ne faut pas nous n'avons pas de précautions".
-"De mon côté rien à craindre je suis sain et je pense que pour toi ce doit être pareil n'est-ce pas?".
-"Non ce n'est pas à cela que je songeais mais plutôt au fait que je pourrais être enceinte alors que Stéphane ne me fait plus l'amour".
-"Tu feras une bonne toilette de suite après et rien ne se passera". Et je me remis à la chauffer pour lui faire perdre le contrôle de son corps afin de parvenir à la prendre. Ma main partit à l'assaut de sa chatte et mon index trouva d'emblée l'entrée de sa chambre d'amour, le clito était bandé comme une petite bite et lorsque mon doigt l'effleura elle poussa un petit cri atteignant la grotte d'amour il fut aussitôt comme aspiré elle était trempe une fontaine, des gouttes s'en échappaient pour atterrir sur le sol du salon. Saisissant mon engin je le guidais vers sa fente humide et chaude pour en frotter le clito puis le présentant à l'entrée d'un coup de reins ferme je me propulsais entièrement pour buter contre sa matrice en lui arrachant un grand cri de bonheur je sentais son liquide sur mes couilles elle déversait son trop plein de joie pratiquement deux ans de privation s'échappaient de sa chatte en feu, notre position n'étant pas des plus confortable je m'évacuais de cet antre de plaisir quand.
-"Déjà tu m’abandonnes ?"
-"Oh que non nous allons trouver une position plus confortable et je l'emmenais vers sa chambre tout en lui ôtant le dernier vêtement à savoir son chemisier qui dévoila une superbe poitrine du même gabarit que celle de Marika, après l'avoir basculée sur son lit, je lui écartais les cuisses qui laissèrent apparaître son coquillage qui jusque là était camouflé par son abondante toison. La bite tendue à l'extrême trouva son chemin et la pénétra lui arrachant à nouveau un cri de bonheur, elle aussi en avait autant envie que moi et participa activement en jouant du bassin pour venir à la rencontre du pieu qui la fouillait. Après environ quatre à cinq minutes de combat j'abdiquais en lui envoyant le contenu de mes bourses au plus profond de son antre d'amour.

Après avoir bien fait jouir Lisiane, nous primes une bonne douche et une fois rhabillée elle m'invita à l'aider pour préparer le dîner, j'étais occupé à préparer une bonne assiette de frites pour chacun quand mon portable se mit à vibrer. C'était Marika, là je m'excusais et m'isolais dans le salon.
-"Allo bonsoir mon ange, comment vas-tu depuis ce matin ?", me dit-elle.
-"Oh bien tu ne peux savoir à quel point tu me manques".Quel sacré menteur me dis-je en moi-même.
-"Il va falloir que tu patientes jusqu'à la fin de la semaine mon petit chéri comme de toute façon cela se serait passé si j'avais été prêt de toi.-"Oui, je sais bien mais tu m'aurais gâté aussi autrement peut-être."
-"As-tu des nouvelles de Stéphane? Lisiane est-elle rentrée de l'hôpital ?".
-"Oui, je l'ai vu en rentrant du bureau et les nouvelles ne sont guères bonnes enfin j'espère pour elle que cela s'arrangera."
-"Bon écoute mon ange je vais te quitter pour ce soir gros bisous à demain même heure."
-"Gros bisous à toi aussi ma chérie et bonne nuit".Là je culpabilisais un max, je me demandais ce que je faisais où plutôt ce que je venais de faire, je retournais dans la cuisine et me remis aux patates sans dire un mot.
-"Je crois que tu ne devrais plus penser à ce que nous avons fait, j'en avais envie toi aussi, maintenant c'est terminé nous mangeons et sommes amis un point c'est tout, là s'arrête notre aventure d'accord ?".
-"Oui, je pense que tu as tout à fait raison, nous devons en rester là de cette aventure et ne plus y songer pour le bien de relations futures".Une fois le dîner prêt et ingurgiter, je priais Lisiane de bien vouloir m'excuser mais que j'allais la quitter pour rejoindre mon chez moi.
-"Déjà, tu peux regardais la télé ici si tu veux."
-"Non, merci beaucoup mais je dois rentrer car j'ai un dossier à vérifier pour un client qui a rendez-vous demain à 9hrs."
-"Bien alors bonne nuit et merci pour cette soirée Lisiane."
-"Merci à toi aussi et bonne nuit".Sur ce je réintégrais ma maison et après avoir verrouillé la porte, j'allais à nouveau prendre une douche et me mis au lit complètement nu. Cinq minutes venaient de s'écouler lorsque le portable me tira du demi-sommeil dans lequel je m'enfonçais.
-"Allo j'écoute qui est-ce ?", je savais bien que c'était Marika mais je voulais plaisantais
-"C'est moi mon chéri tu dormais ?".
-"Vous vous trompez de numéro ma chérie est prêt de moi."
-"Oui, je veux bien te croire, si je t'appelle c'est pour te dire que je n'arrive pas à dormir et comme cela avec toi cela fait deux, tu faisais quoi ?".
-"Figure toi que j'étais entrain de sombrer quand le téléphone à retenti."
-"Je suis désolée mon ange, donc tu es au lit si je comprends bien"
-"Oui, au lit, nu et seul."
-"Tu peux toujours aller voir la voisine si elle veut de toi car elle aussi est seule puisque Stéphane est à l'hôpital, et elle n'est pas mal physiquement."
-"Tu trouves cela sympa de plaisanter de la sorte tient rien que d'y penser je commence à avoir une belle gaule vilaine. Crois moi tu ne perds rien pour attendre."
-"Quoi, quoi des menaces prends garde que ce ne soit toi qui demandera grâce, tu sais que mes cartes sont plus fortes que les tiennes"."Bon je vais te lâcher et ne tache pas trop les draps je te bise de partout mon amour."
-"Moi aussi ma chérie".Sur ce après avoir fait le noir dans la chambre je m'endormis aussitôt. La semaine se passa de façon agréable physiquement Lisiane et moi ne nous sommes jamais rencontrés par contre tous les soirs elle me donnait des nouvelles de Stéphane qui ne s'amélioraient pas.
Le vendredi arriva et j'étais impatient de retrouver Marika, non seulement moi mais aussi le gros paquet que je portais dans mon caleçon. A peine rentrée que nous nous retrouvâmes sous la douche, j'adorais la prendre debout tandis que la pomme de douche nous aspergeait.
-"Eh bien mon cochon tu avais une grosse envie".Sans dire un mot je la retournais et la réenfilais en levrette pour son plus grand bonheur et le mien également. Après nous être séchés et habillés, je décidais de l'emmener au restaurant, en sortant de chez nous, nous nous trouvâmes nez à nez avec Lisiane qui arrivait de l'hôpital.
-"Bonjour comment allez vous ?".
-"Bien répondit Marika je viens de rentrer et nous allons au restaurant voulez vous venir avec nous ?".
-"Non je ne veux pas vous déranger"
-"Allez cela nous fera plaisir et vous serez moins seule cela vous occupera l'esprit d'une autre manière et puis nous pourrions nous tutoyer si vous le voulez."
-"C'est d'accord et très sympa j'accepte".Arrivés au restaurant, nous nous installâmes et pour ne pas compliquer nous nous mimes d'accord pour prendre la même chose un chevreuil grand veneur accompagné d'un très bon vin. Au cours du repas Lisiane se détendit et nous raconta comment elle avait connu Stéphane, c'était au mariage d'une de ses cousines et à peine un an plus tard ce fut leur tour, puis elle en vint à dire qu'elle regrettait un peu cela.
-"Je ne comprends pas, vous êtes encore jeunes tous les deux avec un peu de patience...”
-"Non, enfin comment dire bon Stéphane n'est plus l'homme que j'ai épousé maintenant il s'est mis à la boisson et le trois quart du temps il est complètement ivre et parfois même il passe la nuit au salon."
-"Pourquoi ne pas en parler à son médecin et l'orienter vers la désintoxication, cela serait l'occasion du fait qu'il se trouve hospitalisé "lui dis-je ?
-"J'y ai songé et je pense aller voir le médecin de famille pour qu'il prenne contact avec le médecin qui a en charge Stéphane."
-"Sinon il vaudrait mieux que vous envisagiez une séparation, car tu es jeune et tu as le droit d'être heureuse".Lui dit Marika
-"Bon si nous parlions d'autre chose que de mes malheurs".Et le repas se déroula de façon très agréable et pris fin vers 23h30.De retour à nos domiciles respectifs, nous nous quittâmes par la traditionnelle bise de l'amitié. La porte à peine refermée je pris Marika dans mes bras et je commençais à la déshabiller.
-"Ben dis donc t'as si faim que cela, tu pourrais attendre que l'on ait pris notre douche."
-"Non je ne voudrais pas que tu crois que je vais suivre l'exemple de Stéphane". Maintenant nus nous étions arrivés à la salle de bain. À peine les robinets ouvert que Marika était déjà à genou entrain de me sucer la bitte qui était tendue au maximum, saisissant la tête de ma douce moitié je me mis à entrer et sortir de sa bouche tout comme si j'étais dans son vagin, dans lequel je m'engouffrais après l'avoir relevé. Excité comme je l'étais, je ne fus pas long à me vider dans sa chatte alors qu'elle poussait un petit feulement de bonheur. La douche terminée, parfaitement secs nous étions au lit et Marika me dit.
-"Crois-tu que Lisiane parlera au médecin, elle me fait tellement de peine alors que nous nous sommes heureux."
-"Oui, je pense qu'elle le fera et de toute façon pour le moment elle devra se contenter toute seule."
-"Tu pourrais lui donner un coup de mains."
-"Pourquoi pas elle est du genre consommable après tout."
-"Bien sur tu ne dirais pas non, mais je suis là et je veille sur mon bien".Et en disant cela elle se lova contre moi et se saisit de mon gourdin qui ne demandait pas mieux que de se faire cajoler.
-"C'est vrai que si elle avait ce morceau elle serait comblée."
-"Tu pourrais le lui prêter mon amour."
-"Pourquoi insistes-tu, tu aimerais faire cela avec elle, elle te fait envie ?".
-"Non, je plaisantais, tu sais très bien que ce bâton est à toi seulement".Lui dis-je en la chevauchant à nouveau pour l'enfiler jusqu'au plus profond de sa chatte et lui déverser tout le foutre contenu dans mes couilles. Une fois terminé nous étions allongés l'un contre l'autre quand Marika revint à la charge.
-"Si tu es bien sage, j'essaierais d'amener Lisiane dans notre lit pour toi mon chéri".Interloqué je ne savais plus quoi dire
-"Ben mon chéri il semblerait que le ciel te tombe sur la tête tu es tout pâle."
-"Je ne comprends pas ta réaction, tu vas amener Lisiane à faire l'amour avec moi."
-"Non, tu n'as rien compris pas avec toi, mais avec nous."
A quelques jours de là, Marika m'appela au bureau pour me dire qu'elle ne déjeunerait pas avec moi ce midi car elle avait rendez-vous avec Lisiane pour faire une course absolument féminine et qu’elles iraient au restaurant ensembles.
-"Ne t'inquiète pas mon trésor je m'occuperai de toi ce soir c'est promis".
-"J'y compte bien et plutôt deux fois qu'une".
-"Quand je dis que je m'occuperais de toi, je pensais repas en tête à tête, puisque j'ai pris mon après midi j'aurais le temps de concocter quelque chose de bon et si tu es sage un bon dessert,à ce soir mon chéri",et elle raccrocha. L'après midi se déroula de façon paisible et vers 18 hrs je quittais mon bureau et après avoir verrouillé les portes je regagnais la villa passant devant le fleuriste je m'arrêtais et achetais une douzaine de roses pour Marika. Après avoir rangé la voiture dans la garage je retrouvais ma tendre épouse dans le salon en compagnie de Lisiane.
-"Oh si j'avais su que tu était là, j’airais également acheté un petit bouquet pour toi aussi".
-"C'est gentil mais il ne faut pas t'excuser pour cela".
-"Ce n'est pas grave du tout nous allons partager six roses chacune".Lisiane finit par accepter en disant.
-"D’accord, mais je ne veux pas de brouille entre vous, vous êtes assez gentils avec moi que cela m'ennuierait d'être la cause d'une dispute".
-"Mais non", lui dit Marika qui se pencha pour faire une bise sur la joue mais ratant la cible ses lèvres se posèrent sur celles de Lisiane et restèrent en contact quelques secondes avant que l'une et l'autre ne réagissent. Ce fut Marika qui s'excusa la première.
-"Excuse moi ce n'est pas ce que je voulais" lui dit-elle.
-"Non c'est moi qui m'excuse je n'aurais pas dut tourner mon visage".De mon côté je commençais à entrevoir la suite des évènements Marika allait essayait de dévergonder notre charmante voisine.
-"Bien les filles je vous abandonne le temps de me doucher et de me mettre à l'aise pour l'apéro". M'échappant à leurs regards je marquais une courte pause dans le couloir menant à la chambre.
-"Tu sais Marika maintenant que nous sommes seules entre femmes, je ne pense pas que Stéphane pourra un jour remarcher et cela me désole déjà qu'auparavant il ne faisait que boire et dormir alors avec ce problème".
-"Il ne te faisait même plus l'amour ?".
-"Non même plus, j’ai eu beau m'employer à le caresser, jusqu’à lui sucer la queue il arrivait quand même à s'endormir".
-"Ma pauvre fille, alors que moi je ne peux me balader en petite tenue sans que dans la minute qui suit je me retrouve la bite dans la fente et tu peux me croire quelle vaut le coup".
-"Tu as bien de la chance, moi je me contente de mes doigts et parfois de quelque chose faisant office de biroute". Cela me donnait envie de les rejoindre, mais je regagnais ma chambre puis la douche. Tout en me douchant je repensais à la conversation des filles et me mit à bander. Je bandais tellement fort que le gland à la verticale était plaqué contre mon abdomen. A ce moment là je réalisais que je n'était plus seul dans la salle de bains, les filles étaient là et me regardaient, je fis semblant de ne pas me rendre compte de la situation, je leur tournais le dos et j'entendis Marika dire.
-"Tu vois cette grosse matraque, je peux te dire que je l'adore quand elle me laboure le ventre".
-"Je veux bien te croire, je n'ai jamais eut ce plaisir car Stéphane n'est pas aussi bien pourvu que ton mari".Et elles se retirèrent vers le salon me laissant finir de me préparer. Lorsque je les rejoignis les apéritifs étaient prêts et elles papotaient comme des gamines.
-"Alors les filles on dit du mal de moi".
-"Non, nous n'oserions pas seulement nous parlions de ton...”.
-"Non Lisiane pas cela j'aurais trop honte".
-"Nous parlions en fait de ton boulot".
-"Oui je te crois ma chérie ne noie pas le poisson, de quoi parliez-vous ?".
-"En fait je vantais ta virilité à Lisiane et elle me disait que pour elle Stéphane n'arrivait pas à la contenter et même ne la touchait plus du tout".
-"Tu es trop bonne ma chérie mais fais attention à tes arrières car tu pourrais avoir affaires avec mon petit frère et plutôt que prévu".
-"Tu n'oserais tout de même pas devant Lisiane ?".
-"On ne sait jamais".Lisiane était rouge pivoine
-"Pauvre Lisiane, dire qu'avec un si beau corps tu doives te priver des bonnes choses ?"
-"Marika crois-tu que mon corps soit parfait sur ce plan tu me bats".
-"Et si nous nous soumettions au jugement d'Alex" lui suggéra Marika.
-"Tu plaisantes,je n'oserais pas".
-"Oh tu sais nous sommes entre nous personne ne saura, allez imite moi",et sur ce Marika entreprit de se mettre nue,Elle n'avait plus que son string lorsque Lisiane se mit en devoir de l'imiter.
-"Ok je t'attends pour enlever le dernier rempart".Et ce fut ensemble qu'elle ôtèrent l'ultime pièce qui protégeait leur intimité.
-"Tu vois ce n'est pas si douloureux que cela et Alain va nous rejoindre et comme cela tout le monde sera satisfait et tu auras un aperçu de près de sa fierté masculine".Il est vrai que de voir un si joli spectacle je bandais à merveille et j'étais déjà impatient de leur rendre hommage à tour de rôle.
-"Oh mon dieu s'exclama Lisiane quel bel engin que celui-là, c’est le premier que je vois aussi gros".
-"Oui et il est merveilleux quand il te pistonne et qu'il te crache au fond de la chatte, rien que d'en parler je suis trempe pas toi ma chérie ?", et joignant le geste à la parole Marika envoya sa main en reconnaissance entre les cuisses de Lisiane."
-"Oh la cochonne elle ruisselle comme une véritable fontaine cela se voit qu'elle est privée de sexe, Alain touche moi ça »
A la demande de Marika, j'envoyais ma main à la rencontre de la fente à Lisiane qui était tout comme moi une fieffée menteuse qui faisait semblant de voir ma bitte pour la première fois alors que la semaine précédente je l'avais ramonée et faite grimper aux branches. Lorsque mes doigts furent en contact avec sa chatte il était évident que celle ci n'avait rien d'une simple humidité, on aurait pu croire que notre partenaire s'était laissée aller et était en train d'uriner cela ruisselait le long de ses cuisses.
-"A en jugeait je crois que tu as raison mon amour elle ne mouille pas mais lâche les grandes eaux » ".Marika ne répondais pas car elle avait embouché ma queue et me pomper à merveille. Je fis allonger mon épouse sur le dos et me plaçait de part et d'autre de son visage afin de réintroduire ma verge dans sa bouche alors que j'attirais Lisiane vers moi et plongeais la tête entre ses cuisses pour aller lui titiller le clitoris, à peine mes lèvres posées sur celui-ci, au premier coup de langue elle se mit à jouir à gros bouillon. Durant se temps ma bitte était admirablement bandée et gorgée de sang les couilles pleines me faisaient mal. J'obligeais Marika à cesser sa fellation pour me placer de telle sorte à investir le con de Lisiane et aussitôt je présentais mon gland et l'insinuer entre les lèvre de sa chatte, elle était brûlante et d'un puissant coup de reins je me propulsais tout au fond de son ventre tandis qu'elle même venait à ma rencontre.
-"Oui prends moi bien à fond, lime moi, plus fort vas-y...!". Tandis que je la pistonnais, Marika me caressait les bourses, puis vint placer sa chatte devant mon visage, écartant son coquillage elle l'offrait à ma langue qu'elle savait experte et qui bien souvent la faisait jouir.
-"Moi aussi je veux ta bite dans ma moule". Et elle vint se placer à nos côtés à genoux pour une invitation en levrette ce qu'elle aimait également. Propriété oblige, je délaissais le con de Lisiane pour investir celui de ma moitié dans lequel les allers et retours allaient à la cadence d'un marteau piqueur, elle hurlait de bonheur, je ne pouvais pas prendre ses lèvres pour atténuer ses cris et se fut Lisiane qui se mit à l'embrasser à pleine bouche ce qui fut accepté par Marika qui non seulement se laissait mais qui semblait participer. Ma bite démesurément gorgée de sang paraissait avoir grossi plus que de coutume et faisait des "FLOPS" à chaque fois qu'elle sortait entièrement de ma partenaire, ce fut à ce moment là que sentant monté la sève ? Marika me connaissant s'aperçut que j'étais à point et que j'allais envoyer la sauce.
-"Non attends pas dans moi mais dans Lisiane".
-"Non,je ne prends pas de pilule et je risque gros".
-"Tu risques quoi ce que ton mari n'est plus capable de faire, ne t'inquiète pas pour lui il ne dira rien trop content de faire croire qu'il en est le père". N'attendant pas son approbation, je la fis s'allonger et sans plus attendre je l'enfilais et la labourais la fente à grands coups de reins. Je butais au fond lui arrachant des gémissements qui allaient de concert avec mes mouvements de vas et viens et je terminais en la remplissant de mon sperme épais et très abondant, tandis qu'elle sombrait dans l'inconscience. A peine sorti de ce délicieux fourreau du plaisir Marika entreprit la toilette de ma queue avec sa langue, lorsqu'elle jugea la chose proprette, elle s'allongea à mes côtés et me dit.
-"Quand tu auras repris des forces tu t'occuperas de mon minou et j'espère que l'une comme l'autre tu nous auras ensemencer pour que nous ayons un gros ballon à porter pendant neuf mois".
-"Pas besoin de reprendre des forces regarde je suis prêt". Effectivement, je l'étais à nouveau, peut-être est-ce la présente de deux femmes à mes côtés qui décuplait ma vigueur et je ne me fis point prier pour satisfaire ma moitié sur le champ et tout le temps que dura notre accouplement Lisiane ne cessa de nous caresser à tour de rôle. Lorsque enfin nous finîmes je pris la parole en m'adressant à Marika
-"Je ne savais pas que tu avais un penchant pour les filles, c’est la première fois ou tu avais déjà essayé ?".
-"C'est la première et certainement pas la dernière", dit-elle en se penchant sur Lisiane pour lui rouler un patin.
-"Moi je vous aime tous les deux, vous êtes vraiment des amis"

Posté par Xfiles sur l'ancienne version du site (http://histoires.intimes.free.fr)
18 vote(s)


Histoire de Xfiles

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : La voisine


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :