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Le Bûcheron

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Lue : 39790 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 13/06/2013

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Je me prénomme Michel, j’ai trente ans et j’ai déjà pas mal roulé ma bosse. Je suis un homme des bois, bûcheron de métier, je suis un peu rustre, solitaire, j’ai peu d’amis. Grand, brun, bien décuplé, dur au travail et j’ai une bonne réputation dans le métier. Je travaille seul, je préfère. Au moment du débardage des troncs je loue un cheval et c’est mon seul compagnon des semaines durant.


Je vais de forêt en forêt, là où il y a du travail, je gagne bien ma vie car j’abats le travail de deux hommes, je discute avec mon employeur du moment, de l’ouvrage à faire , nous fixons un prix, cela nous va mieux au patron et à moi, lui sait où il va et moi je fonce dans le tas pour me faire du blé.


Nous sommes début mai, je viens de finir mon chantier, l’hiver est une période favorable pour abattre les arbres et je m’accorde quelques jours de repos en ce début de printemps. Dans ces intermèdes je change d’allure, Je taille ma barbe très courte, une barbe de trois jours comme on dit, change ma tenue de forestier contre celle de gentleman-farmer et chaque soir je sors en ville, je vais en boîte. Piètre danseur je m’assois dans un coin de la salle, boit quelques bières et j’observe ceux qui s’agitent au rythme de la musique .


J’ai du succès auprès des femmes, va savoir pourquoi, mon allure sauvage sans doute ; elles viennent en douce, l’air de rien et sous divers prétextes me demandent si elles peuvent boire leur verre avec moi . Elles sont jeunes ou matures, certaines sont belles, d’autres moins, mais de soir en soir je devine ce qu’elles attendent de moi. Le bouche à oreilles fonctionne, c’est bien connu et aucune d’elles m’ayant proposé de prendre un dernier verre chez elle ou dans ma chambre d’hôtel ne sont parties déçues le matin, cela doit se dire.


A la bourse du travail je viens d’être contacté par une jeune femme pour un travail dans un bois privé aux environs de Fontainebleau. J’accepte de la suivre pour juger de ce qu’il y a à faire et pour fixer le prix. Sa luxueuse voiture entre par un portail en fer forgé dans une espèce de gentilhommière .La bâtisse, imposante, bien entretenue apparaît au détour d’une grande allée sablonneuse, mais la voiture ne s’arrête que plus loin au cœur d’un bois à l’abandon. La jeune femme me parle en se tournant vers moi.


« Voilà……. ?
« Michel lui dis-je pour répondre à sa question muette
« Bien Michel, j’ai formé un projet pour rentabiliser ma propriété ; aux beaux jours, je compte accueillir des personnes en couple ou non qui aiment le calme, la tranquillité, ils logeront au manoir et la journée je veux leur proposer la fraîcheur de mes bois.
« Qu’attendez-vous de moi ……. lui dis-je sans pouvoir m’empêcher de la reluquer. Elle était magnifique, de longs cheveux fous, la quarantaine, ses formes bien prises dans des vêtement sombres ajustés sur elles, des fesses divines, des seins que l’on devinait dans l’échancrure de son corsage. Je m’obligeais à oblitérer de mon esprit tant de beauté, car je ne mélange jamais mes désirs et le travail.
« Venez, suivez-moi… et elle m’entraîna dans tout son domaine que j’estimais à au moins 10 hectares d’une épaisse forêt …
« Il ne s’agit pas d’éclaircir les bois.. au contraire…il faut simplement redonner aux chemins leur accessibilité…..aux clairières leur aspect d’antan, charmant, secret, on doit les découvrir avec surprise, s’y sentir au calme, tranquille, mes hôtes aiment cela c’est ce qu’ils viennent chercher…vous comprenez, savez-vous que François Premier venait chasser à courre en ces lieux ?


Je ne comprenais que le travail à faire, considérable et sommes toutes différent de ce que j’ai l’habitude de faire


« Et vous voulez cet aménagement pour quand……. ?
« Vous m’appellerez Amandine, ce n’est pas mon nom mais il me plait comme nom pour l’hôtesse que je compte être pour ceux que je vais recevoir…mais pour vous répondre vous avez un mois, les premiers arrivants sont prévus en juin mais vous pourrez continuer jusqu’en juillet……vous pensez y arriver
« Il me faudra au moins un aide
« Pas de problème, je vous paierais au mois tous les deux, un mois commencé sera payé
« je vous prie de m’excuser mais à quel tarif……..elle me le glissa dans le creux de l’oreille un chiffre comme s’il s’agissait d’ un secret….c’était correct autant pour moi que pour mon aide payé moitié et j’acceptais ce prix…. …nous avons topé l’accord dans nos mains comme cela se fait sur les champs de foire ,mais de cette somme chuchotée au creux de mon oreille je n’ai retenu que le parfum suave et envoûtant d’Amandine, il m’a semblé reconnaître un parfum que je connaissais, encore un souvenir enivrant
« Et je logerais où ? Au château ?
« Non…… suivez-moi…… au cœur de la forêt elle me fit entrer dans une sorte de longue bâtisse de plein pied…une seule pièce , le sol en terre battue, meublée sommairement … quelque lits, une armoire à glace ,véritable antiquité, un coffre de rangement, pas d’eau, pas d’électricité
« J’ai envie de refuser, c’est ignoble comme logement…
« Michel avez-vous mieux, dans les bois, l’hiver ? Là c’est pour quelques semaines, regardez il y a un puits, l’eau est parfaite, je vous ferais livrer vos repas pour vous et votre aide…allez j’ajoute deux cent euros pour vous convaincre


Elle était convaincante la bougresse et ses fesses, ses seins, sa beauté étaient ses meilleurs arguments et puis ce travail me permettrait d’attendre l’automne pour des travaux plus à ma mesure et plus rémunérateurs….
………………………………

J’ai choisi pour aide un homme que je connais bien, un peu simple d’esprit mais dur au travail, une sorte de géant et nous nous sommes mis à l’ouvrage et ce fut spectaculaire.


Amandine semblait satisfaite et les beaux jours venant ses vêtements s’allégeaient et quand elle était près de moi, malgré moi je sentais une tension dans mon sexe qui se mettait à pulser dans mon pantalon de velours noir et que je masquais autant que possible. J’avoue que lorsqu’elle était partie je devais m’isoler, dans mon taudis ou au cœur des bois pour me caresser et j’avais plaisir de me masturber en pensant à cette beauté si proche et si lointaine ? Dans la pénombre de mon habitat la glace de l’armoire reflétait l’image de mon sexe tendu, de mes testicules qui s’agitaient, le tain de la glace argentique passablement écaillé renvoyait des reflets bruns comme sur les anciennes photos et cela donnait à mon image un charme suranné qui m’excitait plus encore. Et quand je jutais en approchant mon gland décalotté au plus près du miroir j’aimais voir mes longues giclées de foutre jaillir pour un plaisir immense que je ne pouvais partager et qui allaient souiller la terre battue de ma bauge.


Oui, Amandine était lointaine car elle se comportait avec moi comme ma patronne et ne se privait pas de me dire d’aller plus vite en me fixant des objectifs de plus en plus nombreux et urgents…Juin approchait, la chaleur était là, les bois étaient devenus, grâce à nos soins et aux idées d’Amandine, un véritable petit paradis. Fontainebleau est un pays sans boue, agréable, car l’eau des pluies après avoir rechignée un court instant était bue comme dans un trou par le sable très fin qui compose le sol.


J’étais seul en train de vérifier une espèce d’abri recouvert de branchage que nous avions aménagé dans chaque clairière, je ne savais pas trop pourquoi ; quand je crus perdre la raison, au bout d’une allée, venant vers nous deux femmes approchaient …..complètement nues…j’allais fuir comme fou par un chemin de traverse, ce n’était pas possible, je devais rêver …mais mon nom prononcé de loin comme un appel me figea sur place, je n’osais regarder ces deux femmes splendides qui s’approchaient de moi en souriant comme si leur tenue étaient normale.


Il y avait Amandine nue, je la vis telle que je l’avais imaginée depuis le jour où je l’avais rencontrée et qui s’était précisé avec la venue des beaux jours. C’était encore plus merveilleux que dans mes rêves les plus fous, quelle harmonie, sur le coup je ne vis que ses seins qui ondulaient avec sa démarche et bizarrement quand je vis son sexe je me fis la réflexion….. tiens ! elle a une chatte poilue…il y avait de quoi rire de cette inspection sommaire et ciblée mais en effet son sexe était bien caché par une toison frisée, abondante mais soignée dont l’orée commençait au bas de son ventre pour aller se perdre entre ses cuisses, je crus défaillir.


Il y avait aussi cette femme blonde qui l’accompagnait, aussi belle, aussi excitante sauf qu’elle était parfaitement épilée et on pouvait voir la commissure des lèvres de sa chatte entre ses cuisses superbes


« Dolorés je te présente Michel dont je t’ai parlé……Michel…. Dolorès elle sera mon adjointe durant tout l’été…..mais vous avez l’air étonné ?
« Il y de quoi Amandine…si je m’attendais …….dis-je en balbutiant
« Tu ne t’es pas douté que je t’ai fait aménager cette forêt comme un lieu de séjour pour des naturistes ?
« Non…enfin je comprends mieux maintenant….j’aurais pu le deviner
« Et bien tu vois Michel ceux qui vont venir seront comme nous dans le plus simple appareil, complètement nus, c’est ce qu’ils veulent…mais attention Ce lieu n’est pas un boxon…..il y a bien quelques célibataires qui sans nous l’avouer viennent pour baiser, mais tant que cela se fait discrètement nous n’intervenons pas…n’est-ce pas Dolorès ?
« Oui Amandine nous veillons simplement à ceux dont tu parles soient à égalité en nombre hommes et femmes, ainsi pas de problème…..Nous veillons aussi à ne pas avoir de professionnelles du sexe ni des gigolos. Depuis le temps nous avons nos membres si j’ose dire….. Attitrés et fidèles enfin presque. Et elle se mit à rire de ses sous-entendus, elle était magnifique elle aussi.
« Michel parlons affaire, Juin est là, les pensionnaires arriveront petit à petit à partir de demain, tu as presque fini ton travail, tu pourrais partir fin mai, mais si tu veux, j’en ai parlé à Dolorès tu pourrais rester avec nous trois mois jusqu’en septembre…il y a toujours des petits travaux et comme tu serais là ce serait parfait….nous nous séparerons de ton aide gentil, courageux mais un peu simplet…comment déjà,…… ?
« Blaise …oui s’il le faut il mériterait une petite prime vu le travail accompli…
« D’accord Dolorès tu verras avec lui….
« Oui je verrais Blaise
« Mais Michel autre chose absolument indispensable …..
« Quoi ? vous m’inquiétez d’un coup
« Déshabille-toi
« Comment ? ici ? pourquoi ?
« Tu n’imagines pas rester ainsi habillé alors que tout le monde sera nu dans la propriété ? Tu es d’accord ou non ? si c’est non tu ne peux rester, nous garderons Blaise si il veut.
« Bon je vais le faire, je le ferais…..
« Non tu ne comprends pas déshabille toi, là, maintenant……devant nous…….complètement


J’étais horriblement gêné et pourtant j’entrevoyais les avantages de cette situation, j’allais voir du monde…….pouvoir baiser sans doute et je m’imaginais déjà en train de faire l’amour à toutes ces femmes venues pour çà mais surtout à Amandine dont je voyais tous les appâts. Je n’avais pas grand-chose sur moi et je commençais à ôter ma chemise dévoilant mon torse .


Je me sentis observé quand après l’avoir dégrafé je baissais mon pantalon. Pour quitter mon boxer par une pudeur hors de mise je m’étais tourné. Dévoiler mes fesses me semblait moins gênant que de montrer mon sexe ; pourtant il fallut bien faire face et montrer mon état d’excitation car depuis que j’avais vu ces deux beautés je bandais dur, ma verge décalottée se dressait fière et roide.

« Mais Michel vous bandez, il va falloir vous maîtriser, garder votre émotion si des occasions se présentent mais pas en public, vous comprenez ?


Je comprenais mais qu’y faire, devant ces deux beauté ma verge était devenue énorme et j’essayais maladroitement de la masquer avec mes mains.

« Enlevez vos mains Michel

Alors je vis Amandine se baisser, saisir une petite badine et d’un coup sec me frapper le sexe qui s’écroula comme une chiffe mole, toujours gros, mais mou.


« Michel je ne voudrais pas que vous vous mépreniez sur nous, moi et Dolorès nous ne participons pas aux orgies, nous les inspirons, les facilitons, mais il est hors de question pour nous de faire l’amour. Je vous ai observé depuis un mois, je vois que je ne vous suis pas indifférente mais ne vous mettez pas de mauvaises idées en tête à mon sujet, vous perdriez votre temps car depuis des déconvenues sentimentales je suis, comment dire, devenue frigide, le sexe ne m’intéresse plus, je suis débarrassée de ce qui était devenu un enfer pour moi. Vous avez saisi Michel ?


Tandis que nous continuions à parler Amandine et moi, Dolorès nous quitta en disant qu’elle allait voir Blaise pour sa prime et elle disparut au détour du chemin menant à notre baraquement, j’avoue que l’ondulation de ses hanches conjuguées à celle de ses fesses bien rondes et fermes me fit rebander et Amandine me fit les gros yeux en souriant. J’avoue que baiser Dolorès ne me déplairait pas non plus.

« Michel vous le verrez, vous allez avoir un succès fou , je vous l’ai un peu caché mais il arrive de jeunes femmes très chaudes… et si elles me disent du bien de vous j’arrondirais vos fins de moi…. Vous pensez pouvoir jouer ce rôle ?
« Peu m’importe l’argent, c’est de vous que j’ai envie Amandine …vous le savez dis-je en rougissant
« Impossible je vous ai dit pourquoi

Alors elle aussi me tourna les talons et je la vis s’éloigner, elle était magnifique et ma verge de nouveau se remit au Zénith.


Quand j’arrivais dans ce qui nous sert d’abri, j’entendis des sortes de grognements, je m’approchais en silence et au travers de la porte entre baillée je vis un spectacle qui me fit tomber à la renverse.


Je vis Blaise, le cul nu ; le pantalon tombé aux chevilles ses grandes mains calleuses agrippées aux hanches de Dolorès et aux agitations de son bassin, au bruit de son ventre claquant sur les fesses de l’assistante d’Amandine, je vis qu’il la baisait durement. Apparemment il ne la violait pas car Dolorès avait l’air d’apprécier ce traitement et ses fesses allaient elles aussi à la rencontre du ventre de Blaise.


Sacré Blaise, il cachait bien son jeu et si Amandine voyait le spectacle que j’avais sous les yeux elle lui aurait sans doute demandé de rester, offrir à sa clientèle cette sorte de Yéti aurait reçu l’approbation des invitées les plus chaudes.


Après chaque pénétration je voyais pour la première fois sortir son membre tout luisant, un sexe énorme, un sexe de géant, d’une longueur démesurée. Il n’était pas demeuré de ce côté-là, croyez-moi, et Dolorès semblait apprécier ses facultés cachées, penchée en avant, les mains en appui sur le dossier d’une chaise, ses seins allongés en forme de poires s’agitaient d’avant en arrière au rythme des assauts de ce rustre qui de son regard de fou regardait son membre s’enfoncer entre les fesses ouvertes de sa belle.


A un moment je le vis se reculer légèrement et prendre son sexe d’une main en le laissant dans la raie des fesses et je compris au grand cri poussé par Dolorès qu’il se centrait plus haut, il devait avoir réussi car Dolorès hurlait

« Non…..noooon…….nonnnnn…… pas le cul Blaise …pas le cul….


Elle se débattait comme une forcenée mais Blaise avec sa force herculéenne la maintenait fermement et quand les ha hans reprirent je vis qu’il était bien entré dans l’étroit orifice. Dolorès n’était qu’un cri, et en voyant ce sexe énorme je comprenais la douleur qu’elle devait ressentir.


Les fesses de Blaise avaient repris leurs amplitudes et je compris qu’il la sodomisait bien à fond de toute la longueur de son sexe énorme ; Dolorès ne disait plus rien, les claquements du ventre sur la paire de fesses reprirent en même temps avec les cris de la sodomisée mais ils avaient changés, c’était des


« Oui……ouiiiiiii….Ouiiiiii Blaise…encule moi bien avec ta grosse queue….ouiiiiiiii ….allez …plus vite…plus fort…..aaaaaahhh ouii…. c’est bon….c’est booooonnnn


Et cela dura une éternité, j’étais troublé par ce spectacle, ces bruits, ces claquements, ses plaintes, les grognements de Blaise…..Je me caressais, ma verge était grosse et dure, dressée, je n’en pouvais plus, j’étais excité au possible. Alors presque sans le vouloir je suis entré, me suis approché près de ce couple en train de forniquer, je me suis placé devant le visage de Dolorès qui en plein coaltar me prit dans sa main et tout en me masturbant les couilles me goba dans sa bouche.


J’aurais pu jouir comme eux qui l’avaient fait plusieurs fois déjà en gueulant comme des perdus, mais je me retenais j’avais envie de baiser moi aussi. En soutenant Dolorès en lui tenant les mains je retournais la chaise et tout en restant en place entre les lèvres de Dolorès, je m’assis face à elle et elle du se pencher un peu plus en offrant ses fesses à Blaise plus généreusement, il n’eut pas l’air de s’en plaindre , le bougre qui d’un coup me parut moins benêt que je le croyais, il m’envoya un sourire complice et il me sembla très partageur.


Partageur et complice car il s’adapta bien en ne cessant de la sodomiser redressée quand je guidais Dolorès la faisant se relever, s’avancer vers moi, face à moi, cuisses bien écartées pour enfourcher mes cuisses jointes.


Elle s’avança, debout, la queue de Blaise n’avait pas abandonné ses fesses et quand je l’encourageais à s’assoir sur moi elle du sentir mon gland décalotté entre les grosses lèvres de sa chatte inondée et elle s’enfonça en moi comme elle le voulait, à son rythme, laissant aux deux verges le temps de faire leur place en elle. Je sentis sa chaleur envelopper mon sexe et à trois nous conjuguèrent nos mouvements pour nous faire plaisir. Je sentais la grosse verge de Blaise aller et venir dans l’anus proche du vagin où je me délectais.


Avec ma bouche je suçais la poitrine de notre amante, j’allais jouir moi aussi, Dolorès était déjà loin dans l’orgasme. Blaise presque assis sur moi grognait comme étranger à tout ce qui n’était pas le cul qu’il pourfendait. Alors j’explosais et Dolorès du sentir mes jets puissants au fond d’elle car d’un coup ses gémissements reprirent de plus belle tandis que ma verge d’un coup coulissait onctueusement en elle comme dans de la soie.


C’est Dolorès qui siffla la mi-temps car manifestement elle ne voulait pas en rester là, elle voulait sans doute profiter encore de Blaise et ma venue l’avait émoustillée. En rien de temps elle se redressa nous entraînant tous les deux vers le lit, c’est elle qui commandait elle était dans un état second.

« Allonge toi Blaise……vite …… sur le dos……oui……., redresse toi un peu…met l’oreiller sous ta tête……oui….ouiiiiiii !


Je regardais , je vis Dolorès s’installer face à lui à califourchon, à genoux, cuisses écartelées de part et d’autre des hanches de Blaise, elle se pencha sur lui en se tenant les mains sur le bois du lit offrant ses seins à sa bouche, elle dû relever son bassin pour que la grosse queue de Blaise se place entre ses cuisses, le gland énorme dans la raie de ses fesses et là en ondulant sa croupe d’avant en arrière, en s’affaissant peu à peu sur lui en le pressant c’est elle qui centra sa chatte sur ce pieu et dans un cri elle s’empala sur lui jusqu’aux couilles.


C’était reparti pour eux deux ? je voyais les fesses superbes de Dolorès bien rondes, bien lisses, largement ouvertes qui s’agitaient de haut en bas, je voyais sa chatte arrondie sur l’énorme sexe de Blaise, les petites lèvres inondées qui se retroussaient quand Dolorès se dégageait en montant son cul, je voyais son anus encore entrouvert des assauts précédents ; ? Blaise ce cachotier lui suçait les seins en la serrant dans ses bras.

« Michel, viens toi aussi prends mon cul


Je l’aurais fait sans cet ordre, mais le fait qu’elle en ait envie me déchaîna et je m’installais debout sur le lit chaque pied dans l’espace triangulaire entre leurs cuisses et je m’accroupis sur eux. Pour faire ce mouvement il faut des cuisses puissantes, résistantes ce qui est mon cas. Quand, jambes pliées ma verge se trouva à bonne hauteur, J’écartais un peu mon ventre de ses fesses pour permettre à mon sexe de se placer dans le canyon enchanteur qui les sépare mon gland à l’entrée du petit gouffre.


Je calais mes mains sur les hanches rebondies de Dolorès et je n’eus qu’à m’avancer doucement tout en me regardant entrer et m’enfoncer dans cet anus complice qui s’arrondi sur moi. Dolorès poussa un petit cri, pas de souffrance mais de satisfaction car son anus était encore dilaté et ma verge moins grosse que celle de Blaise, si bien que j’entrais sans peine et à fond d’une seule avancée de mon bassin.


Quelles sensations cette double pénétration car à la douceur de l’anus ma verge ressentait celle de Blaise qui malgré sa position arrivait à bien limer la chatte de Dolorès et au travers des fines cloisons à l’intérieur de son ventre nous sentions la caresse de nos glands aller et venir sur nos hampes.


J’avais quand je sortais ma verge une vue splendide sur les fesses ouvertes de Dolorès, de son ventre collé sur celui de Blaise et sur nos deux queues arquées par nos positions qui allaient et venaient en elle, que c’était beau que c’était bon, j’avais envie de jouir mais je me retenais, j’étais tellement bien. En regardant de côté, je voyais notre image que renvoyait le tain de la glace de l’armoire judicieusement placée.


J’étais collé sur Dolorès mon ventre agité sur ses fesses, ma verge complètement dans son anus, mes testicules entre ses fesses quand la main droite de Blaise m’apparut dans mon champ de vision ; il avait glissé son bras entre son ventre et celui de Dolorès et tout en continuant de la baiser il remontait sa main entre ses cuisses et les miennes, vers mon sexe qui allait et venait dans l’anus de notre partenaire. Je crus à un moment qu’il voulait joindre ses doigts à ma verge quand d’un coup je me sentis saisi aux couilles par sa grosse patte.


Il s’y prenait bien le bougre et le premier étonnement passé, la caresse de cette main calleuse qui m’agitait les testicules l’une après l’autre où les deux ensembles renforcèrent le plaisir que j’avais dans ma verge. Avec ses doigts Il les faisait rouler l’une contre l’autre, indépendantes qu’elles étaient dans leur sac de peau fripée. Son geste semblait motivé par le désir de me plaire, je sentais son gros pouce calé par devant sur la base sous ma verge tandis qu’avec les quatre autres passés dans la raie de mes fesses, derrière mes couilles il les agitait frénétiquement, les accompagnant au rythme de mes pénétrations. C’était agréable et je lui en étais reconnaissant.


Il en fut autrement quand il spécialisa un de ses doigts, apparemment lubrifié de la mouille de Dolorès , je le sentais aller et venir entre mes deux couilles , le bout de son doigt du côté de mon cul proche de mes parties à quelques centimètres seulement. Je dois dire que ce n’était pas désagréable et quand la première phalange de ce doigt entra en moi je poussais une sorte de feulement approbateur qui le conforta dans ses intentions et en moins de temps qu’il ne le faut pour le dire c’est tout son doigt qu’il fit aller et venir dans mon œillet amadoué et ceci tout en agitant mes testicules avec l’araignée des autres doigts…….. Sacré Blaise, si je m’attendais !!


Ce que je ne vis pas arriver par contre tant nous étions collés les uns aux autres, tous les trois c’est son autre main, la gauche, passée de l’autre côté mais qui n’arriva pas seule je m’en rendis compte quand une masse mole remplaçant son doigt vint de coller sur mon cul. En retirant ma main droite des hanches de Dolorès je la passais pour voir ce qui se présentait entre mes cuisses et je crus hurler quand je sentis son gland et sa queue entre mes fesses. Manifestement il avait dégagé sa verge de la chatte de Dolorès, elle était glissante comme une truite, son gland aussi d’ailleurs qu’il présenta sous mes couilles à l’entrée de mon anus.


La longueur phénoménale de sa queue permettait cet exploit et c’est son gland plein de mouille qui me pénétra ; sa plasticité fit que je ne ressentis rien de désagréable, une légère brûlure sans plus, mais il en fut autrement quand Blaise en se décalant sous nous et en relevant son bassin en grognant fit entrer la presque totalité de son sexe lubrifié en moi. Ce fut comme une traînée de feu et d’un coup j’étais comme écartelé, déchiré. J’avoue que j’aime me faire pénétrer par-là, cela m’était arrivé bien des fois étant jeune entre copains dans le feu de l’action à plusieurs avec des copines, parfois aussi en solitaire j’aime me faire jouir de ce côté avec des objets plus ou moins hétéroclites mais là avec cette queue énorme j’avoue que la sensation fut si forte que d’un coup les larmes inondèrent mes yeux . Je me sentais plein et il me fallut un long moment avant que la douleur de cette pénétration brutale ne s’estompe.


Déjà Blaise en bougeant son bassin faisait aller et venir son sexe dans mon anus, je le sentais glisser en moi, aller et venir sans jamais sortir complètement, et le plaisir commençait à naître en moi, un plaisir jamais ressenti. A un moment une sensation exquise, inconnu m’amena involontairement à pousser des petits ouiiiiiii de satisfaction. Je sentais la collerette de son gland énorme caresser à l’intérieur de moi une zone, la prostate sans doute, qui me faisait hurler mon plaisir et je n’étais pas le seul.


Tous les trois la folie nous tenait. Blaise grognait en agitant son bassin frénétiquement de plus en plus fort de plus en plus vite, de plus en plus profond et cela de telle sorte qu’il était en moi complètement, je le devinais aux claquements de ses testicules sur les miennes et à ce plaisir inconnu jusqu’alors qui ne fit qu’aller en augmentant. Dolorès, n’était qu’un cri elle aussi ; en pleine jouissance elle agitait ses fesses en tordant mon sexe dans son anus et je pouvais de nouveau conjuguer mes pénétrations sur celles de Blaise qui me perforait de sa grosse queue quand je sortais la mienne du fourreau dilaté de Dolorès.


Quand j’éjaculais dans le fondement qui me faisait jouir, le sperme ne vint pas par giclées mais comme l’eau bouillonnante d’un torrent, à jet continu en énormes quantités, comme celui de Blaise qui m’inonda éclaboussant mes fesses et celles de Dolorès. Combien de temps restèrent nous ainsi en plein orgasme tous les trois, je ne peux le dire. Tous les trois nous regardions notre image dans la grande glace de l’armoire et cela ne fit qu’augmenter notre plaisir, nous donner des idées nouvelles.


Dolorès embrassait à pleine bouche Blaise qui lui caressait rudement ses seins de ses grosses mains libres de nouveau, moi j’avais passé ma main sous son ventre et avec mes doigts je caressais sa chatte délaissée, inondée. Au bout d’un moment nous nous calmèrent et nous nous vîmes nous désengager de cet enchevêtrement où nous étions si bien .


Seule Dolorès n’était pas calmée et elle voulut que nous la fassions jouir à tour de rôle en la baisant allongée en travers du lit, cuisses relevées, elle hurlait et après qu’à nouveau nous éclations en elle, elle se remit à genoux face au miroir et elle nous suça passant d’une verge à l’autre tout en caressant à deux mains nos couilles. Elle y mit une telle ardeur que Blaise et moi ne purent résister et devant sa bouche grande ouverte nous avons inondé de concert sa langue de notre liqueur nacrée .


On mit un moment à refaire surface, c’est Dolorès qui se désengagea de nous et avant de dire un seul mot nous vîmes ses fesses qui franchissaient le seuil de notre Taudis.

« Tu m’avais caché tes talents de baiseur mon vieux Blaise


Un grognement fut sa réponse, il semblait honteux d’être ainsi nu devant moi. Il remonta son pantalon de velours noir, prit son baluchon et sortit. J’étais seul maintenant et quand Dolorès m’apporta mon repas il ne fut question de rien.
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Au fil des jours les couples de naturistes arrivaient et les bois retentissaient de leurs débats amoureux. Je voyais aussi défiler des hommes des femmes seuls cherchant fortune et des couples se formaient au gré des rencontres et des affinités de chacun.


Moi je continuais d’entretenir la forêt en tenue d’Adam et on me remarqua rapidement. J’arrivais à maîtriser ma bandaison quand mine de rien de jeunes beautés venaient me demander un service ou un endroit tranquille. Alors je les emmenais dans un lieu retiré que j’avais aménagé pour être bien et le plus souvent je leur accordais ce qu’elles attendaient de moi. Il ne se passait pas un jour sans que je baise matin et soir et depuis peu certaines me retrouvaient la nuit dans la bauge qui me servait d’abri. Alors là sous la clarté vacillante de la flamme des bougies, tout en les baisant ou en les sodomisant je pouvais admirer leurs fesses mouvantes sous ce jeu d’ombre et de lumière avec ma queue plantée au milieu de leurs merveilles.


Un jour alors que je profitais de la fraicheur matinale pour retailler un bosquet je fus surpris par l’arrivée inopinée d’Amandine, ma patronne. Nue, elle était magnifique elle me souriait


« On dit grand bien de vous Michel, savez-vous ?
« Je fais de mon mieux patronne, je continue l’ornementation de la forêt
« Je ne parle pas de cela, mais de votre gentillesse avec mes pensionnaires, je n’entends que des éloges à votre égard
« Merci je fais de mon mieux
« Mais que leur faites-vous donc pour qu’elles parlent de vous de la sorte
« Je ne fais rien d’extraordinaire rien de plus de ce que j’aimerais faire avec vous
« Avec moi, vous n’y pensez pas ! je vous ai expliqué pourquoi
« Oui vous m’avez dit que vous n’aviez plus envie, mais je suis sûr que je saurais vous faire jouir, comme les autres…plus que les autres…vous êtes si belle……taillée pour faire l’amour……je vous……
« Arrêtez de fantasmer, j’ai tiré un trait sur les plaisirs du sexe, et j’en suis heureuse, j’ai tellement souffert, je suis comment dire…libérée….et…
« Laissez- moi essayer, je …….
« Non n’insistez pas Michel
« Ecoutez Amandine je suis prêt à travailler pour rien si vous me laissez essayer de vous faire jouir à nouveau
«Non vous perdriez votre argent en pure perte, je n’ai pas envie, je n’ai plus envie, je ne veux plus jouir…..
« C’est bon pourtant, vous ne risquez rien, si je n’arrive pas à vous donner du plaisir, vous ferez de belles économies
« Vous avez cet argument, mais je ne veux pas vous priver du salaire que vous avez mérité, car je sais que vous allez échouer, vous savez Dolorès a essayé elle aussi de m’entraîner par ces caresses
«Dolorès ?
« Oui Dolorès elle est bisexuelle, elle voulait elle aussi me faire jouir
« Et alors ?
« Je suis restée de marbre
« Donnez-moi une chance patronne
« Vous allez perdre votre temps et votre argent
« Dois- je comprendre que vous me donnez ma chance
« Vous n’avez aucune chance, vous allez tout perdre
« Je prends le risque
« Bon puisque vous insistez, cela va m’amuser…venez cette nuit au château
« Ah non….c’est à moi de fixer les règles.. au château vous êtes chez vous …. Dans votre élément……Vous résisteriez…non c’est vous qui allez venir chez moi
« Où dans ton taudis ?
« oui, chez moi…….vous viendrez habillée.. et vous me laisserez la liberté de faire ce que je veux
« J’ai envie de refuser d’un coup, vous me faîtes peur
« Amandine je ne ferais rien de répréhensible, je serais doux et gentil
« Bon mais vous avez perdu à l’avance et j’ai presque honte de vous voler
« Nous verrons, donnez-moi deux heures pour réussir, si au bout de ce temps vous n’avez pas joui, j’aurais perdu…. d’accord
« D’accord Michel…vous m’amusez avec vos certitudes
« je vous amuse Amandine…. C’est un début... ce que je veux c’est vous faire jouir…jouir à en crier…..jouir sans fin…jouir toute la nuit…faire tout ce qui est possible de faire….jouir….
« Ne vous enflammez pas Michel….j’ai presque honte de vous duper ainsi….
« Nous verrons Amandine…..à ce soir alors
« A ce soir…oui


Sur ces dernières paroles elle fit volte-face et s’éloigna avec la démarche d’un ange et le la suivi du regard jusqu’à la perdre de vue……
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J’étais plus troublée que je l’avais fait paraître, il y a quelques années j’aurais été folle de ce Michel, de cet homme des bois. Mais il fallait que je me prépare puisqu’il voulait me voir habillée.


Je pris un bon bain parfumé et décidais de prendre ma longue robe noire très moulante par-dessus une culotte de satin sombre également. A un moment je me suis demandé si j’allais prendre un porte- jarretelles et des bas mais je décidais que non .



Donc culotte et robe noire très décolletée, moulante sur mon haut et large à mes pieds , des escarpins et c’est tout


Bizarrement, d’un coup le temps me parut très long en attendant la nuit. J’étais sûre de moi, de résister mais j’étais curieuse de voir comment Michel allait s’y prendre pour essayer de faire monter mon plaisir.


Je lui laisserais prendre le sien pour ne pas le décourager s’il pouvait jouir malgré ma frigidité c’est la moindre des choses que je pouvais lui offrir.


C’est donc avec une certaine fébrilité qu’à la nuit tombée je m’avançais dans les bois et que je me présentais à la porte de cette sorte de cabane. La pièce était éclairée par une dizaine de bougies posées sur des soucoupes et réparties un peu partout dans la pièce. Michel était là, habillé lui aussi ; il me regardait en souriant. C’est la première fois que je le voyais ainsi dans la clarté vacillante et rougeoyante des flammèches. Il m’apparut sous un nouveau jour, comme une sorte de diable en enfer.


Il s’approcha de moi et me prit dans ses bras, il dut sentir ma froideur et ma réticence, mais j’avais promis de me laisser faire et je le laissais mettre son visage dans le creux de mon cou pour un long baiser. Sa barbe de trois jours était douce et tandis qu’il m’embrassait je sentis ses mains rudes de bûcheron me pétrir les fesses qu’il écartelait une main sur chacune de mes rondeurs, ses gros doigts dans la raie de mes fesses.


Puis ce fut le tour de mes seins qu’il dénuda en écartant les bretelles de mon décolleté et qu’il prit un par un dans sa bouche. Une de ses mains avait repris mes fesses sur la robe tandis qu’avec l’autre passée par devant il me prit la chatte.


Il s’y prenait bien, c’était doux , agréable, il était appliqué sérieux, je le trouvais beau, il m’aspirait la pointe de mes seins. Mais aucune fibre ne vibrait en moi, pas la moindre émotion, j’étais bien la femme frigide que je lui avais dit.


Ma robe était tombée à mes pieds et il fut plus à son aise pour me caresser devant et derrière tout en me suçant les seins. Il me prit la main et me guida sur lui, en bas de son ventre, je l’entendis me dire

« Déboutonnez moi……..oui……..glissez votre menotte….. vous sentez l’effet que vous me faîte ?


Oui je sentais sous son boxer sa verge énorme que je connaissais quand je la voyais au grand jour, elle était arque boutée sous la soie, dressée, verticale

« Ce n’est pas vous qui devez jouir Michel mais moi, rappelez-vous de votre défi
« Oui mais vous devez être docile alors vous allez me déculotter et me caresser le sexe


Je le fis avec un certain plaisir dois-je dire, par curiosité et pour ne pas le décourager, je le trouvais touchant, appliqué, beau, mes pensionnaires devaient aimer ses caresses et les lui rendre. C’est ce que je fis en serrant sa verge et en le branlant doucement.

« Glissez ma queue entre vos cuisses chérie


Les mots d’amour maintenant, qu’il était mignon malgré sa virilité qu’il faisait aller et venir et glisser sur ma culotte

« Otez votre culotte et remettez mon sexe en place


Je sentais maintenant sa hampe aller et venir sur la toison de ma chatte, s’y frayant son chemin en écartant mes poils. Michel lui avait l’air d’apprécier. A ce stade la plupart de ses partenaires féminines devaient mouiller et attendre qu’il présente son gland avant que dans un cri commun de plaisir il s’enfonce en elles dans leur chatte inondée.


Mais moi j’étais sèche comme l’amadou. J’étais heureuse pour lui, de son excitation. Il du se rendre compte de son échec quand d’un coup je me sentis prise sous les fesses, soulevée, transportée et allongée sur le dos en travers du lit. Il était à genoux devant mes cuisses écartelées qu’il tenait relevées avec ses mains et il plongea son visage entre mes cuisses et d’un coup avec sa bouche, ses lèvres, sa langue il remplaça ma mouille absente par de sa salive en abondance, en mettant partout sur ma chatte et se frayant un passage entre mes poils avec sa langue, sur l’intérieur de mes cuisses, dans la raie de mon cul.


Alors il commença une ronde satanique en me caressant avec son visage qui glissait en s’agitant sur moi, je sentais les poils de sa barbe toute douce se hérisser sur mes cuisses, je sentais ses joues, son nez, sa bouche, sa langue. J’avoue qu’à cet instant j’aurais voulu jouir devant tant d’application, de délicatesse et pourtant complètement étrangère au plaisir qu’il s’évertuait à me donner j’avais l’incongruité de penser que finalement je lui verserais son salaire malgré l’échec manifeste qui s’annonçait et attendu par moi.


J’avoue que quand je sentis la pointe de sa langue lécher mon petit trou j’eus comme un sursaut, un chatouillis sans doute, pas plus, c’était agréable de la sentir s’agiter comme une folle en pointe en face de mon puits ou largement étalée dans la raie de mes fesses

« Amandine !
« Oui Michel
« Je vais vous raser la chatte
« ohhhhh
« Vous devez me laisser faire, c’est la règle
« oui je sais, mais j’aimais bien ma toison, je la soigne jalousement
« Elle repoussera si vous voulez la retrouver, encore plus drue, plus frisée, ne bougez plus, je prépare ce qu’il faut


J’avoue que j’étais un peu décontenancée, je ne m’attendais pas à çà et quand il me positionna à son gré pour être à son aise pour s’occuper de ma toison je fus prise d’inquiétude.


Il avait disposé mes pieds au bord directement sur le lit, les fesses en dehors de la couche, les cuisses ouvertes, ma chatte et mon cul grands offerts. J’avais le buste relevé par une sorte de coussin si bien que le pouvais voir mon ventre et les poils de mon sexe.


Michel commença avec une paire de ciseaux fins et il s’appliqua en élaguant grossièrement, en coupant les poils par grosses touffes ? C’est quand ce débroussaillage prit fin que les sensations furent toutes autres. Je sentais le froid de l’acier devenir de plus en plus intrusif. La toison devenait plus rase de partout, sur mes grosses lèvres là où c’est assez facile ; là aussi dans le moindres de mes plis, de mes sillons, celui entre mes grosses lèvres et mes cuisses. Mais c’est quand les fines lames œuvrèrent dans la raie de mes fesses pour couper la guirlande de poils qui en tapissait le fond, je crus hurler tant cette sorte de chatouillis était, comment dire, étrange, agréable ?


Un léger froid envahissait mon ventre, mon sexe ; mes fesses et quand Michel se releva je l’entendis me dire

« Amandine je vais vous raser complètement


Une étrange sensation me prit et il me revenait en mémoire le temps où je me rasais moi-même pour amplifier la sensation des caresses et je crus ressentir des réminiscences de mon passé, comme un spasme au plus profond de mon être.


Je voyais tout, Michel préparant la mousse de savon dans une sorte de petite écuelle de caoutchouc, je ne rêvais pas il enduisait les longs poils mouillés d’un blaireau sur un bâton de savon à barbe d’homme et une mousse fine et odorante s’accumulait dans le souple réceptacle. Ce que j’appréhendais arriva et j’eus comme un sursaut quand les longs poils souples du blaireau commencèrent leur œuvre en enduisant mon entrecuisse de cette mousse fine, blanche, impalpable. Michel aurait pu s’arrêter car rapidement j’en fus couverte de partout.


Non il continua à me caresser ainsi promenant la pointe de cette sorte de pinceau dans tous mes plis. Sur l’intérieur de mes cuisses, sur les lèvres, entre les lèvres de ma minette, sur le capuchon de mon clitoris et quand elle s’engagea dans la raie de mes fesses en s’attardant sur mon périnée j’avoue qu’une sensation agréable m’envahit. A d’autres moments plus question de ne faire agir que la pointe du blaireau mais au contraire a le faire agir comme si il peignait un fond de tableau, tous les poils dehors, hirsutes me caressant en tous sens.


Puis je vis la lame du rasoir à main dont la lame scintillait à la lueur des flammes des bougies. Je n’eus pas le temps d’avoir peur ou de me contracter que d’un geste Michel, d’un seul coup de lame, avait mis à nu mon bas ventre. Je ne sentais que le feu très doux du rasoir et la fraicheur qui suivi sur mon ventre devenu tout lisse


Michel était appliqué, il me regardait de temps en temps comme pour me rassurer mais je n’en avais plus besoin tant sa dextérité était grande ; mes poils crissaient sous l’acier flamboyant. De temps à autres il débarrassait la lame de mes poils en l’essuyant sur les bords tendre de la petite auge. Michel devait tendre la peau de mes grosses lèvres avec le bout de ses doigts, pour me raser bien au ras de ma peau ; ce fut le plus facile, mais pour les deux sillons qui séparent mes cuisses de ma chatte il dut me la pincer entre ses doigts pour faire agir le fil du rasoir. Il me prenait me relâchait me reprenait et avec le glissement sur ma peau c’était comme une caresse qui ne me laissait pas indifférente.


Pour ma raie des fesses ce fut particulier, positionnée comme j’étais, mes fesses largement ouvertes c’était facile de me raser mais la sensation fut exquise tant l’habileté de mon bûcheron barbier était grande et d’un coup je pensais que je ne devais pas être la première à avoir eu ce traitement de faveur.


Quand Michel me tendit un miroir pour que je me regarde, je poussais un petit cri de me voir ainsi, ma grosse chatte devenue imberbe. Dans ma raie des fesses il avait laissé au fond un petit liseré de poils allant s’écartant pour entourer mon anus comme un œil sourcilleux avant de se reformer et poursuivre son chemin là où je ne pouvais plus le voir.

Ce qui m’intrigua, c’est de voir que j’étais grande ouverte et qu’un léger mucus sourdait entre mes grosses lèvres. Cela était venu semble-t-il naturellement, ce n’était pas un restant de savon car c’était translucide et filant. Voilà une éternité que je n’avais été ainsi…..Michel me souriait……
--------------------

Oui je souriais devant le spectacle splendide et particulièrement excitant pour moi que cette chatte glabre qui s’offrait à ma vue. Que ce mot glabre est détestable ; je ne l’aime pas, vrai pourtant, il ne me semble pas approprié à la beauté de ce que j’avais sous les yeux


Le sexe d’Amandine offert ainsi tout rose, ses grosses lèvres ouvertes montrant les petites toutes gonflées, gorgées de sang, sortes de petites oreilles prolongeant le capuchon du clitoris tapis dans son antre. Je ne pus m’empêcher de mettre le bout de mes doigts sur cette merveille pour l’écarter davantage et là ébahi je vis la soie rose des deux sillons qui séparent les petites lèvres des grosses. Ces sillons d’où venait cette mouille filante, ce mucus translucide qui les tapissait en les faisant luire. Qu’elle était belle cette vulve, cette entrée mystérieuse du vagin entre ouvert.

« Amandine tu es bien ?
« Oui Michel
« Tu jouis ? Tu as du plaisir ?
« Du plaisir oui mais je ne jouis pas tu sais pourquoi
« Mais tu es inondée, ta vulve est ouverte, ton vagin aussi…alors
« Alors je ne jouis pas tu vas perdre je t’avais averti


Perdre……..perdre, je n’avais pas dit mon dernier mot, il fallait que je communique mon excitation à Amandine, elle mouillait c’était déjà un signe encourageant. Je commençais mes caresses avec ma main, mes doigts, tout en la regardant, cherchant sur son visage le début d’un plaisir que je voulais faire naître. Je faisais aller la pulpe de mes doigts sur sa vulve que j’écartais avec mon autre main, je titillais son clitoris que je sentais maintenant se raidir sous son capuchon..


Avec ma main en forme de pince je resserrais ses grosses lèvres sur les petites qui débordaient largement maintenant toutes congestionnées et sur mon doigt prisonnier que je faisais aller et venir doucement dans cet écrin rose. A un moment une giclée de mouille inonda mes doigts

« Tu mouilles Amandine….tu jouis ……..
« Non ! me dit-elle dans un souffle mais je sentis qu’elle était troublée, qu’elle résistait


Alors ma bouche, mes lèvres, ma langue remplacèrent mes doigts et mes caresses devinrent plus subtiles, plus insidieuses, je lapais les petites lèvres, je les faisais sauter avec le bout de ma langue, en tous sens ; le clitoris aussi. Je crus avoir gagné quand faisant aller et venir la pointe de ma langue dans les deux sillons soyeux autour de ses petites lèvres une petite houle pris naissance du ventre d’Amandine. Cela augmenta quand remontant son pubis d’une main je fis sortir, redresser son clitoris et que je pus l’aspirer dans ma bouche . Mais ce fut un cri quand je plaquais mon visage dans la raie de ses fesses et que je me mis à lécher son petit trou, son anus tout resserré.


Mon visage remonta sur sa vulve et ma langue s’immisça dans son vagin qui pulsait en s’entre ouvrant ; tout en essayant d’entrer, d’enfoncer ma langue plus avant, plus profond. Avec un doigt dans la raie des fesses je cherchais l’entrée de son anus et quand le trouvant je n’eus de cesse que d’enfoncer le bout de mon doigt dans ce petit trou ; le moins lisse et là à contretemps je fis aller et venir, de plus en plus profondément, de plus en plus vite, ma langue dans sa chatte et mon doigt dans son anus.


D’un coup je fus inondé, j’eus plein de mouille dans ma bouche, son bassin battait la chamade

« Là vous jouissez Amandine
« Non non je ne jouis pas
« Vous mentez vous êtes inondée


Il fallait que je sache, j’étais excité à l’extrême, je me redressais et ma verge apparu dans son champs de vision. Elle n’avait jamais été si grosse, si raide. Amandine incrédule devant tant d’énormité me lorgnait. Je mis un pied sur le lit pour m’avancer vers elle

« Amandine sucez moi, caressez moi, enduisez bien mon sexe de votre salive


Mon but n’était pas de lui faire faire une fellation, mais celui de préparer ma verge à d’autres assauts pour la faire céder, la faire jouir, enfin. Amandine prit mon sexe par-dessous et elle s’appliqua sur moi en me léchant de haut en bas. Ma verge, mon gland luisait quand je me retirais debout entre ses cuisses

« Je vais vous baiser Amandine
« Si vous voulez mais vous perdez votre temps
« Perdre mon temps non car moi je vais jouir, mais pendant que je serais bien en vous, dans votre chatte et dans votre petit cul vous allez me parler, je veux vous entendre
« Entendre quoi ? Je n’ai rien à dire
« Si vous allez dire sans vous arrêter : Michel, Michel je ne jouis pas et vous recommencerez jusqu’au moment où j’aurais joui…moi
« Si vous voulez


Alors tandis qu’elle commençait à psalmodier cette ritournelle d’une voix chevrotante je m’approchais le sexe à la main, vertical, à bonne hauteur et c’est avec lui, sur sa vulve, que je repris mes caresses, je sais la douceur de mon gland, le pouvoir jouissif de sa collerette, je le faisais partir de l’anus passant sur le périnée avant de m’enliser entre les grosses lèvres de sa vulve , écraser son clitoris pour émerger sur son ventre avant de replonger en de doux va et viens. Les Michel je ne jouis pas étaient de moins en moins convaincants, de moins en moins audibles.


Interrompant mes caresses avec mon sexe sur sa vulve je n’eus aucun mal à le glisser dans son vagin complètement inondé et je commençais à m’enfoncer et ressortir par des mouvements de mon bassin de plus en plus amples. J’avais envie de jouir mais je résistais ? Je scrutais le visage d’Amandine ravagé, j’allais gagner c’était certain, elle escamotait tous les mots, en oubliait la moitié, s’arrêtait, reprenait, son ventre allait au-devant du mien

« Michel…miche pas.. oui….si…… ahhhhhh ……je jouis…c’est booonnn…Michel baise moi fort ouiiiiiiiicébon……plus fort….plus vite …..ahhhhooouuuiiii
Elle avait craqué…enfin….dieu qu’elle était belle
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Michel me faisait jouir, il faisait aller et venir son sexe en moi, je me sentais pleine de lui, nous nous regardions ; radieux il mesurait mon plaisir. A certains moments il sortait son sexe et le prenant d’une main il me caressait de nouveau avec son gland en écartelant mes lèvres. Qu’il était doux ce gland quant il le faisait vibrer sur mon clitoris.


Comment avais-je pu tomber dans le piège tendu par mon employé, ce Michel, ce Bûcheron qui me paraissait si rustre et qui me baisait avec cette douceur incroyable. Je sentais ses mains calleuses d’ouvrier sur ma peau douce et parfumée. J’étais bien, le plaisir était là et j’eus peur d’un coup ; je connaissais le pouvoir destructeur de mes orgasmes. Dans un passé assez proche j’étais devenue esclave des plaisirs du sexe, j’en étais addicte, j’avais perdu la raison, j’étais devenue dépendante du sexe et j’en étais tombée malade.


Le sexe de Michel avait repris sa place en moi entre mes cuisses ouvertes, la position ne permettait pas des pénétrations complètes mais quand il me releva les cuisses calant mes jambes sur ses épaules, je compris qu’il était entièrement en moi, c’était bon ; il fallait que je résiste, j’entendais le martèlement de son ventre sur mes fesses, qui vibraient à chaque assaut et cela se répercutait dans mon ventre, dans mes seins devenus durs, dans ma tête.


Nos regards étaient rivés l’un sur l’autre. Je voyais Michel au bord de l’explosion mais il se maîtrisait encore, il semblait m’attendre, moi j’essayais de cacher le trouble qui m’envahissait peu à peu. C’était dur, très dur….pourquoi résister…pourquoi ne pas me laisser aller……Michel allait en moi… il sortait complètement sa verge de ma chatte et quand son gland me refourrait j’aurais hurlé …je me contentais de gémir au rythme des pénétrations…la cadence montait…..les claquements de son ventre sur mes fesses plus forts, plus rapides

« Amandine jouis….. je le veux….. laisse toi aller….. je n’en peux plus de t’attendre…..


Ce tutoiement, il perdait pied lui aussi, alors je m’abandonnais, et d’un coup des étoiles plein les yeux la jouissance m’inonda, me ravagea le corps et l’esprit, je me tendis comme un arc soulevant mon ventre en m’agitant moi aussi , ma chatte venant à la rencontre de son sexe en de monstrueuses collisions. Je sentis son plaisir au fond de moi, à chaque claquement un jet m’inondait au plus profond de moi. Le plaisir remontait dans mon calice s’échappait en giclant inondant mon ventre et le sien, je le sentais couler entre mes fesses

« Ah Michel…oui, c’est bon….je jouis…oooouuuuiiii


Je ne pus en dire davantage, j’avais quitté le monde, j’allais redevenir esclave de ce bonheur là…j’étais heureuse de l’avoir retrouvé, quand le plaisir s’apaisait, l’espace d’un instant, je pouvais penser à nouveau, me dire comme c’était bon, comme c’était fort.. et puis les glissements de nos sexe lubrifiés de plus en plus doux me faisait repartit dans le néant, dans les orgasmes puissants dans le monde des plaisirs partagés.

« Michel
« Oui Amandine
« Tu m’as fait jouir
« Oui j’ai vu, tu étais belle
« J’ai encore envie tu sais
« Oui cela se voit
« Tu veux me prendre les fesses, j’aime tu sais , attends je me mets en levrette, tu vois mes fesses, tu vois mon anus ? tu veux me prendre par-là ? Je t’en prie, ne dis pas non
« Oui je vois tout….oui je veux prendre ton joli petit cul…pardon d’être vulgaire, j’ai trop envie moi aussi
« Oui viens…insulte moi, défonce moi …le suis prête
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Oui je voyais tout , je m’étais agenouillé sur la terre battue du sol une fois encore entre ses cuisses mon visage près de ses fesses rondes et fermes. Avec mes deux mains, une sur chaque fesse, les pouces en dedans j’écartais les deux volumes. La raie m’apparut, profonde, inondée ; j’eu envie de sourire en regardant l’anus agrémenté de sa parure de poils ras qui en faisait le tour. Il était vivant, manifestement il m’appelait en pulsant en s’entre ouvrant spasmodiquement.


J’avançais mon visage et Amandine eut un rire nerveux quand de la pointe de ma langue je me mis à laper l’entrée de cette muqueuse brune. Aux caresses de ma langue je joignis celles de mon visage qui comme il l’avait fait par devant le fit entre ses fesses en allant du bas du dos jusqu'à sa vulve,. Je fis jouer toutes ses aspérités ; mon nez, ma bouche, mes joues , mon menton et son collier de barbe, ma langue sur son périnée et sur l’anus où elle put commencer à s’insérer.


Amandine avait l’air d’aimer elle se tortillait, en de gracieuses circonvolutions pour m’encastrer davantage en elle

« Michel mets tes doigts

Je glissais un majeur dans un gloussement de satisfaction

« Dans ma chatte aussi, je t’en prie Michel…….le pouce

Obéissant et excité je glissais mon pouce dans sa chatte

« Branle moi bien……oui…c’est bon….bouge bien tes doigts…….ouiiiiii….sur mon clito….ouaaahhhh …….encore……avec ton autre main, caresse moi les seins….oui……tu peux y aller…plus fort…plus fort…….oui…oooouuuiiii je jouis Michel c’est bon ooouiiiiii !


Je la fis jouir ainsi longuement, c’était bon pour moi de l’entendre crier, de voir ses fesses s’agiter frénétiquement. Je bandais à m’en faire mal tant la tension était forte. Mes couilles pesaient des tonnes

« Michel
« Oui Amandine
« Je veux ton sexe…..dans mon anus …..oui, j’en ai une envie folle…c’est le meilleur endroit pour moi…pour être bien…tu veux ?
« Oui Amandine
« Viens alors mon chéri


Ce chéri affectueux qu’elle m’adressait m’émut au plus haut point. J’étais debout entre ses jambes et je m’avançais tenant mon sexe à ma main. J’adore ce moment où mon gland presse cet anneau jouissif et que je le vois s’enfoncer jusqu’à sa couronne. J’aime rester un moment à boutonner et reboutonner ce gracieux orifice par de simples petites avancées de mon ventre. Et puis je laisse faire au gré des pulsions de celle que je sodomise
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Quel amant ce Michel, j’avais cédé. Depuis le premier jour, depuis que nous avions conclu notre marché, je l’avais deviné, son regard, sa beauté, sa rusticité ; dans mon for intérieur je m’étais dit ; si quelqu’un doit me faire replonger dans le stupre se sera lui ou personne

Et il était là, derrière moi, nu, agrippant ses mains calleuses sur mes hanches, son gland en moi, au bord, attendant semble-t-il mon bon vouloir. Alors d’un coup la folie me prit dans tout mon corps, dans ma tête, dans mon âme , je me penchais les bras en appui sur le grabat de ce taudis et d’un coup, en reculant mon bassin, mes fesses, je m’enfonçais en lui, complètement à fond, son ventre, ses bourses sur mes fesses et je m’agitais en tous sens tordant cette belle queue en moi. Le plaisir d’un coup me submergea en même temps que le sien et pour la première fois j’entendis ces cris, ses ha hans rauques son feulement de jouissance quand il éclata en moi

« Ahhh Amandine……oui …….c’est bon….je suis bien dans ton cul…je vais jouir….je viens…tu veux ?
« Oui viens Michel je t’attends !!!!!
« Ahhhhhhhh ouiiiiiiiii cébooonnnnn


Nous jouissions ainsi tous les deux, sans se lasser, inventant mille positions depuis près d’une heure quand la porte de la baraque se mit à grincer et quand nous vîmes Dolorès nue comme d’habitude, interdite devant le spectacle que nous lui offrions…

« Amandine !....Michel…..pardon ! ….si je m’attendais ?...je me sauve…..je vous laisse…..
« Non Dolorès !.......viens nous rejoindre…si tu veux
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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : Le Bûcheron

Le 18/09/2013 - 16:07 par Kusse2013
Belle histoire. Je pense que pour une femme si une double pénétration en con et en cul est agréable, la double pénétration dans son trou du cul est bien meilleure, en effet ressentir deux grosses bites glisser tendrement dans le trou du cul c'est extraordinaire.Oui c'est bon,bon,bon,bon, super bon, c'est vraiment un délice, c'est exquis de recevoir une belle verge dans le trou de son cul, une grosse pine dans l'anus.
Le 15/06/2013 - 11:15 par Julie592
Bonjour,je vais dire ce que j'en pense réellement pour moi c'est trop soft,pourquoi ne pas l'avoir prise à 5,ça aurait intéressant. J'aurai tant aimer. Ou se trouve cette forêt
Le 13/06/2013 - 19:40 par Veilleur
Pourquoi vouloir tout raconter en une seule fois ? Attention aux changements de temps. Un texte long : et orthographe et conjugaison souffrent " nous conjuguèrent, quelque lits...Nous jouissions sans NOUS lasser. "Oui je souriais devant le spectacle que...qui" construction de phrase incorrecte, la longueur du texte vous fatigue, vous ne dominez plus Mais j'accorde le point.

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