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Le client 13 fin

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Lue : 1942 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 23/05/2017

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Le soir piscine, le jeune est venu, mais pas sa mère, son mari était là et il ne voulait pas l'accompagner, ils se sont engueulés une fois que nous sommes partis, le dimanche matin, on peut avoir le voilier de son copain, on invite le jeune et ses parents, mais son père était parti, sa mère avait une sale tête, je l'ai obligé à venir, elle me raconte que ce matin, ils se sont encore engueulés et il est parti rejoindre sa pouffe.

Elle se lève en disant, "il est parti s'amuser, hé bien moi aussi, je vais m'amuser, il est ou Mr (le client)", comprenant ce qu'elle veut dire, je lui dis que mon mari aime bien chahuter aussi, et que nous ne sommes ni l'un ni l'autre jaloux, étonnée, elle me regarde pour voir si je plaisante ou pas, ce qui fait que je l'encourage en la prévenant qu'avec mon mari, il faut anticiper, que si on lui autorise à nous enlever un pull, il comprend que c'est avec le soutif.

Elle plaisante en disant, mais là, je suis en maillot, il m'enlève la peau alors, comme son fils est devant avec les hommes, je lui mets une claque aux fesses quand elle les rejoint, nous sommes devenues complice, copine, nous nous sommes arrêté dans une crique pour se baigner, mais l'eau était quand même fraiche, nous ne sommes pas resté longtemps, nous avons très peu chahuté.

Nous sommes rentrés et le temps de nettoyer le voilier, comme tout le monde s'y est mis, cela a été rapide, en rentrant, nous avons profité pleinement de la piscine à une température qui nous convenait beaucoup mieux, le client avait emmené ma copine visiter la maison et le jardin, mon mari jouait avec la mère et moi avec le fils.

Mon œil avertit m'indiquait que ça y était, mon mari avait appuyé sur le bon bouton, je dis au jeune, tient, viens, on va faire un peu de muscu, en clair, je lui ai fait une longue pipe dans la salle de sport, laissant à mon mari, le temps de confirmer ce que j'avais deviné, comme son fils n'était plus là, elle a plus vite basculée dans les mains de mon mari, elle n'a eu droit qu'à un doigté jouissif, mon mari se l'est mise sur l'oreille, car le client et la copine revenait.

Comme nous rentrions le lendemain, ils nous ont laissés, soirée coquine basique, la copine avec le client, moi avec mon mari, le lendemain matin, nous rentrons, le lundi après midi, l'entretien avec mes clients s'est bien passé, 15 jours après nous avons rendez-vous pour fusionner les projets, j'amenais une belle affaire, mais j'ai dû travailler en août pour être prête pour septembre, de tous les côtés, quand le chantier a démarré, je n'ai pas eu affaire à des ingrats.

En juillet, je travaillais 4 jours sur paris et un jour sur place, en août, le client m'a donné une pièce à dispos dans sa boite et m'a prêté son bureau chez lui, étant une lève-tôt, je travaillais le matin et l'après-midi, j'étais en vacances.

Comme prévue, mon mari m'accompagnait en juillet, la première fois où nous y sommes retourné, je jeune n'avais pas encore son test, alors capote, et la mère était avec son mari, comme le jeune travaillait, pas de motocross, le soir, j'avais cunni avec le client et finition avec mon mari ou avec le jeune suivant ses horaires.

Le client le savait, mon mari le savait, nous allions dans la salle de muscu, la semaine suivante, il avait son test, par contre, sa mère s'est retrouvée seule encore une fois, un soir où nous l'avons presque forcée à nous accompagner au restau, le jeune travaillait, je suis monté devant avec le client, mon mari en a profite derrière pour la chauffer.

Après le restaurant, nous avons été dansés, j'ai dit que je la prenais pour la première danse, je lui ai glissé à l'oreille, que je n'étais pas du tout jalouse et qu'elle pouvait en profiter au maximum, ce faisant en lui rappelant le code, je l'ai tripotée, elle a frémi, ses tétons ont pointé, elle m'a dit, presque en s'excusant, que ce que je faisais n'était pas désagréable, mais qu'avec une femme, elle ne pourrait pas.

Après le restaurant, nous avons été dansés, j'ai dit que je la prenais pour la première danse, je lui ai glissé à l'oreille, que je n'étais pas du tout jalouse et qu'elle pouvait en profiter au maximum, ce faisant en lui rappelant le code, je l'ai tripotée, elle a frémi, ses tétons ont pointé, elle m'a dit, presque en s'excusant, que ce que je faisais n'était pas désagréable, mais qu'avec une femme, elle ne pourrait pas.

Déçue, non pas du râteau que je venais de me prendre, mais plutôt parce qu'avec ce qu'elle ressentait, j'aie cru voir une ouverture, je lui dis pour ne pas que ma déception se lise sur moi, "tant pis pour moi, je me contenterais juste de ces petits effleurements", en même temps, je lui soupèse un sein, et à ma surprise, elle me répond, "ça, oui ça va", en moi-même, je me dis que rien n'est perdu.

Comme il ne pouvait pas fournir à deux endroits, il se couchait de bonne heure et elle, elle regardait la télé, mon mari lui faisait un signe avec une pile, elle sortait dehors, et ils baisaient en regardant le salon à travers la fenêtre, si son mari arrivait, elle le voyait et elle pouvait faire celle ayant entendu du bruit dehors.

Au mois d'août, ma copine était là, elle sortait avec mon mari, comme je travaillais, quant à la mère du jeune, son mari lui dit que leur couple a besoin de se séparer pour se retrouver ensuite, quand nous étions dans la piscine, elle me dit, "monsieur emmène sa pouffe en vacances".

Me disant ensuite en parlant de mon mari, "je vais te le monopoliser, te l'user", profitant de ma position d'épouse complaisante, je passe derrière elle, et lui attrape ses deux seins à pleines mains, elle ne me repousse pas, disant juste que je ne lâche pas le morceau.

Je lui dis, "non, mais que je n'insiste pas, et puis, je te chauffe pour mon mari", je pince ses bouts qui pointent déjà et je lui fais remarquer, elle se dégage en disant, c'est l'eau qui est froide, c'est ça dis-je, nous continuons à chahuter.

Le soir, le jeune me rejoint après avoir pris sa douche chez lui, quand il part, sa mère appelle, et mon mari l'a rejoint, elle croit qu'il m'emmène danser, le client avait sa part du gâteau, la copine, silencieuse était avec lui, je m'occupais du jeune, le soir ou le matin, quand le jeune me quitte, c'est moi qui appelle chez elle, et c'est mon mari qui la laisse pour me rejoindre, mon mari fait un petit détour pour ne pas le croiser.

La première semaine se passe ainsi, pour rentrer le client à un bip pour le portail voiture, et un code pour la petite porte, tout le monde connaît le code, mon mari, la copine et moi, le jeune et sa mère, il commençait son boulot à 15 h, mais avait dit à sa mère que c'était 14 h, ce qui fait qu'à 13 h 30, il était avec moi.

Le client me laissait travailler tranquille, il mangeait prés de sa boite, et ne rentrait que le soir, mon mari partait avec la copine, le jeune arrive vers les 13 h 45, je range mes affaires, je prends une douche, nous sommes seuls dans la maison, on va dans la chambre, on repousse la porte juste comme ça, je l'embrasse sur le corps et le fais durcir d'une pipe.

Après cela, à son tour, il me caresse le corps, puis me fait un cunni, au début de notre relation, ce n'était pas son truc, mais petit à petit, il s'y est mis, afin de l'encourager, je fais des humm, des oui, des encore, des comme ça, mes gémissements sont plus fort que ce que je ressens, mais c'est pour l'encourager et le guider, je n'y suis pas insensible non plus, une nouvelle langue est toujours excitante

Je profite pleinement, les jambes sont sur ses épaules, lui, il est à genoux au sol aux pieds du lit, tout à mon plaisir, je le regarde, regarde à droite, à gauche, à droite encore et sur l'entrebâillement de la porte, je vois sa mère qui me fait chut avec son index sur la bouche, surprise, j'ai eu un sursaut, qu'il a dû prendre pour une onde de plaisir.

Devant son attitude approbatrice et son sourire, je continue de me laisser faire, la situation nouvelle m'excite encore plus, et je jouis en la regardant, j'appuie sa tête sur mon sexe, je souris à sa mère et je mets mon pouce en l'air pour montrer qu'il a su y faire, il continue à me sucer, elle me fait signe qu'elle va m'attendre ailleurs, mais je lui fais comprendre qu'elle peut rester.

Il me baise en missionnaire, me redonnant un orgasme, je le serre contre moi, je regarde sa mère qui nous mate, il se retire en me disant qu'il a envie de me prendre en levrette, je me mets à genoux sur le lit, en travers, tournant le dos à la porte, il me lime jusqu'à jouir en criant, après le coup de feu, on s'étale sur le lit, face à face, il m'embrasse les seins, avec une main je l'enlace et fait comprendre à sa mère qu'elle aille m'attendre dans la salle de muscu.

Je laisse la douche au jeune et je rejoins sa mère, je lui dis juste qu'elle m'attende, son visage à changé, elle me semble mécontente alors qu'avant, je lisais la joie sur son visage, elle veut me dire quelque chose, mais je lui dis chut, qu'il va partir, je lui demande où elle est garée, je lui dis que c'est bon parce que lui, il est de l'autre côté en sortant, quand il sort de la douche, je lui dis de partir, que sa mère arrive, qu'elle vient d'appeler.

Une fois seules, je lui dis qu'elle peut venir, son premier mot est un reproche, "couché avec mon fils, ne me dérange pas, il est majeur, mais ce qui m'a déplu, c'est le manque de précaution", voyant ce qu'elle veut dire, je lui dis d'attendre, et de mon sac, je lui montre mon test, et lui dis que lui aussi en a passé un, elle s'excuse, je lui dis que pour une mère, c'est normal.

Je lui demande si cela ne la dérange pas, elle me dit qu'elle est contente que son fils soit normal, et qu'il a bon goût, qu'elle le préfère avec une femme d'expérience, plutôt que de faire une bêtise avec une fille de son âge, comme ne pas passer de test par exemple, ou de ne pas se protéger lors de rapport, je lui dis que là-dessus, je le rabâche souvent, que la protection est très importante, même quand on a confiance.

Je lui dis, on se baigne, elle me dit qu'elle n'a pas pris son maillot, je retire ma robe de chambre et je lui dis que moi non plus, j'insiste et après plusieurs arguments, elle se déshabille en me demandant de pas la regarder, je me tourne quand elle se rince avant de rentrer dans l'eau, j'en fais de même et je la rejoins.

En pataugeant, on discute de son fils, elle pose plein de questions, mais je lui dis, "crois-tu qu'il sera content, s'il apprend que sa mère sait tout, parce que je lui ai raconté", je lui en dis le minimum, tout en parlant, je me suis approché d'elle, elle cherche à savoir, je suis derrière elle comme la dernière fois, elle joue la carte de la complicité.

Faisant celle qui va se laisser faire pour que je parle, je lui attrape les seins, elle va pour se dégager, mais je l'empoigne, passant sous ses bras, je prends ses seins à pleines mains, elle cherche à se dégager, mais je lui dis, en parlant de son fils, "il me les attrape comme cela, me pince les tétons pour qu'ils durcissent, il me remonte les seins, les tritures, les malaxe".

Tout en disant ce qu'il me faisait, que bien souvent, j'invente en calquant sur ce que je lui fais, pendant que le malaxent ses seins, je m'aperçois qu'elle n'y est pas insensible, ses bras serraient les miens, maintenant, elle les soulève un peu, j'embrasse son cou sur le côté, en disant que son fils me fait cela, elle penche sa tête pour profiter de mon baiser en me demandant, "et après".

Je lui dis qu'après, il me caressait le ventre comme ça, ma main lâche son sein et je lui caresse le ventre en faisant des cercles de plus en plus larges, je sens qu'elle ressent quelque chose, mais hélas, elle se dégage, je me dis, "toi ma petite, je finirais par t'avoir", comme elle s'est dégagée, de mon côté, j'arrête de lui parler de son fils, je mets dans sa balance, le choix entre se faire tripoter, et savoir pour son fils, ou ne pas se faire tripoter et ne rien savoir.

Une fois dégagée, elle cherche encore à savoir, mais je ne dis plus rien, lui laissant penser que quand je la tripote, je suis plus bavarde, je sors de la piscine et je lui dis de venir, qu'on va se balader, en plus, je dois aller voir le copain, qui cède un peu de son terrain pour le projet, dans la voiture, je ne la laisse pas parler, je parle boulot.

Nous restons une demi-heure chez ce copain pour rappel de ce qu'il souhaite, nous rejoignons le client ensuite, en se promenant, nous retrouvons ma copine et mon mari, nous rentrons ensuite pour profiter de la piscine de façon soft, la semaine se passe ainsi et le vendredi, le client nous dit, restau dansant ce soir, on m'a parlé d'un endroit super, c'est un peu loin, je n'y pensais plus, mais j'y ai déjà été une fois.

Le jeune est au boulot, nous sommes cinq, le parking, malgré qu'il soit tôt, est plein, le client et mon mari vont voir s'il reste des places valables, comme ils ne reviennent pas de suite, on se dirige vers l'entrée, à peine arrivée, ils nous disent que c'est complet et qu'il peut y avoir de l'attente, on retourne à la voiture, et en partant, avant de quitter le parking, la mère nous dit, attendez, arrêtez.

On ne comprend pas, elle ouvre la portière et va voir une voiture, pendant ce temps, mon mari dit que son mari est a l'intérieur, je répond, "oui, et apparemment, elle vient de l'apprendre aussi", elle coure vers l'entrée, mon mari dit de foncer pour l'en empêcher, et une fois arrivée, il sort pour la retenir, il peine à la calmer, mais finalement, en pleurs, elle se calme, la soirée étant foutue, on rentre et le client va chercher des pizza.

En regardant les places restantes au restau, mon mari et le client sont tombés sur son mari avec une jeune qui pourrait être sa fille, d’où qu'ils nous ont dit qu'il n'y avait plus de place, avec ma copine, nous essayons de la réconforter, ce n'est pas facile de trouver les mots qui apaisent, mon mari s'efface pour nous laisser entre femmes.

Nous passons à table ensuite, en mangeant, elle reprend du poil de la bête, disant qu'elle s'en doutait, mais en être certaine, ça fait mal, nous la réconfortons avec l'exemple de nos vécus, de mon premier mari, et la copine de ses intérimaires ou connards comme elle dit.

Après dîner, nous sommes sortis toutes les trois, entre filles, quand j'ai été m'habiller plus décontractée pour me promener, mon mari m'a dit en douce, "c'est quoi ça, les trois, je les baise, et elles vont se balader ensembles, je baise qui moi maintenant, le client", mon mari préfère sauter un repas que sauter une sauterie.

En promenade, elle nous dit qu'elle va demander le divorce, sinon leur vie sera impossible, qu'une baise, elle aurait pu pardonner, mais partir en vacance avec une autre, hors de question.

Après la tristesse, la colère, elle nous demande notre avis, qu'on ne peut pas donner, disant que c'est une décision qu'elle seule peut prendre, et qu'on ne doit en aucun cas influencer, je lui dis que je peux renseigner, mais que je ne peux pas conseiller.

Elle va pour me dire quelque chose, mais stoppe, sachant de quoi il retourne, je lui dis, qu'il n'y a rien que ma copine ne sache, après quelques hésitations, je la rassure à nouveau, elle raconte qu'elle s'est laissé faire par mon mari, parce qu'elle en avait envie et avait ma bénédiction.

Et aussi pour lui rendre la pareille, mais maintenant, elle ne va pas se gêner, elle nous raconte encore une fois, les piètres performances sexuelles de son mari, en lâchant maladroitement qu'elle a eu plus d'excitation à la piscine ce midi, avec moi qu'avec lui.

Se rendant compte aussitôt, elle me regarde et dit, "merde", je lui dis, c'est rien, elle sait aussi, la copine lui dit, qu'elle a raison, qu'il n'y a jamais de mal à se faire du bien, en ce qui me concerne, elle vient de confirmer ce que je savais déjà, qu'elle n'était pas insensible à mes caresses, afin de savoir comment agir, je lui demande ce qu'elle pense dire à son fils.

Elle me dit qu'il doit s'en douter, car entre eux, ça n'allait plus bien comme avant, avec la copine, elles sont en phase toutes les deux concernant les hommes, je les tempère en disant qu'il ne faut pas les mettre tous dans le même sac, que les salauds, c'est comme les salopes, ils braillent tellement pour se faire remarquer, qu'on a l'impression qu'ils n'existent qu'eux.

Après nous avoir raconté sa vie de couple qui ne nous regardait pas, mais qui lui faisait du bien d'en parler, et comme nous avons marché, nous ne sommes pas loin de sa maison, elle nous invite à poursuivre la discussion chez elle, nous acceptons.

J'avais dans la tête, de la faire boire un peu, pour lui donner du courage pour sauter le pas avec moi, ou même avec nous, mais je préfère que cela soit un moment réfléchi et guidé par l'envie, elle me connaît plus que ma copine, je sens qu'elle n'est vraiment à l'aise, qu'elle se retient pour parler, pendant qu'elle va nous chercher des boudoirs, je dis à la copine qu'il faut qu'elle rentre et que je vais rester avec, elle me lance un sourire complice.

Après nous avoir raconté sa vie de couple qui ne nous regardait pas, mais qui lui faisait du bien d'en parler, et comme nous avons marché, nous ne sommes pas loin de sa maison, elle nous invite à poursuivre la discussion chez elle, nous acceptons.

La maîtresse de maison me dit que non, qu'elle peut rester seule, je lui réponds que je ne fermerais pas l'œil de la nuit si je la laisse là, le client vient nous chercher, mais je lui dis que je reste, une fois toutes les deux, elle me raconte sa vie de façon plus intime, mais avec encore quelques hésitations, je lui dis, vient, on prend une bonne douche et tu me raconteras ça au lit.

Pas dans le même lit quand même dit-elle, je lui dis pourquoi, tu as peur que je te mette en cloque, après notre douche séparée, ou je garde mes dessous, et elle sa chemise de nuit, elle me raconte les occasions perdues, les petits frissonnements avec un cousin à son mari, lors d'une fête de famille.

Je raconte aussi mes anecdotes, version très soft au départ, on rigolait, elle ne pensait plus à ses déboires, à mesure où l'on se disait tout, de moins en moins soft, on se tenait le bras en racontant, parfois, on se touchait pour faire comprendre ce qu'on racontait.

Par moment, nous étions le visage à 10 centimètres l'une de l'autre, se tenant les épaules, parfois, nous nous reculons pour reproduire un geste qu'on nous avait fait, nous racontons crescendo nos expériences, à chaque fois qu'elle me racontait moins soft, de mon côté, je surenchérissais, m'arrangeant pour raconter juste un peu plus osé qu'elle.

Je ne pouvais pas raconter ce que j'avais réellement fait, je pense que ça l'aurait effrayée, c'est là que j'ai eu l'idée de lui raconter une aventure qu'il m'est arrivé au cinéma avec mon mari, à savoir que cette aventure était une mise en scène que mon mari avait programmée avec un type, et a mon insu.

Et quand j'y suis, je lui dis, voilà, resserre pour ne pas que j'aille plus loin, c'est jusqu'à là que le type est arrivé. Me faisant confiance, lentement, elle écarte les cuisses, le minimum pour que je passe ma main entre.

Ma main est toujours entre ses cuisses et pendant ce temps, je répète la scène, "tu te rends compte, gonflé le type, avec mon mari à côté, il aurait dû se dire que si je lui disais, il le mettait en pièces, déjà, il me fait de la jambe, comme je n'ai rien dit, il a mis sa main, et comme à chaque fois, je disais rien, il montait plus haut".

Je racontais, elle m'écoutait, ma main était toujours au même endroit, par moment, je lui rappelais une similitude d'un cousin qui l'avait tripoté et ce qu'elle avait ressenti, je savais que le temps jouait pour moi, elle m'avait dit que ça faisait plus d'une semaine que son mari se vidait ailleurs, je me doute qu'elle devait se masturber, mais si cela soulage, ça ne comble pas.

Et il lui arrive la même chose qu'il m'est arrivé dans cette situation, cette main, si prés de la fontaine du plaisir, à force, cela excite, et tout comme j'avais fait, les cuisses se détendent, on espère que cette main va profiter de la situation, mais comme rien ne se passe, que les cuisses sont ouvertes, l'excitation grimpe d'un cran, et au bout d'un moment, on réclame la caresse.

Mais comme on n'ose pas demander, on prend appui sur notre dos au cinéma et sur notre tête dans le lit, pour que notre entrecuisse aille vers cette main, l'excitation balai notre honte à réclamer, et petit à petit, prenant appui sur nos pieds, on commence une légère ondulation de notre bassin.

Ma proie en était à ce stade, depuis quelques minutes, elle ne disait mot, ses cuisses sont bien écartées, sur le dessus de mes doigts, je ne sens plus son autre cuisse appuyer dessus, elle ondule, nos visages sont très prés, j'entends légèrement son souffle, je m'approche, nos lèvres se touchent, elle reste, encore quelques baisers qu'elle accepte et ses lèvres s'ouvrent, nos langues se mêlent, ma main remonte sur son sexe tout humide, elle gémit dans ma bouche.

Elle veut m'attraper le sexe, je la lâche, je retire mes dessous, je lui retire sa chemise de nuit, et je descends pour lui faire un cunni, elle est toute trempée, au bout de quelques coups de langue et sucions, elle jouit en appuyant ma tête contre sa chatte, je remonte vers elle, on se masturbe chacune avec la cuisse de l'autre entre les nôtres, on s'embrasse, on se frotte la poitrine.

Elle prend le dessus, et descend me sucer à son tour, étant moins en manque qu'elle, je suis plus longue à venir, je l'encourage et lui indique la monter vers l'orgasme, j'explose à mon tour, criant aussi fort qu'elle.

Nous nous enlaçons ensuite, nous nous caressons, elle m'avoue en avoir envie depuis longtemps, mais avais peur qu'on la prenne pour une lesbienne, je lui dis, tu es mariée et tu as un enfant, donc on dit bisexuelle, comme moi, et j'en suis fière, une femme apporte ce qu'un homme ne nous donne pas, comme un homme nous donne ce qu'une femme ne peut donner.

Je lui demande si elle a un gode, je ne pense pas qu'elle en a un pour lesbienne, mais au moins, le gode basic pour se soulager, elle fait, "ho non, je n'ai pas ça, d'ailleurs mon mari n'aurait jamais accepté", je lui dis, "en effet, con jusqu'au rupteur, il ne te demande pas de laver le linge à la main quand même".

Je me rappelle qu'elle avait un rouleau a pâtisserie avec les poignées de chaque côtés, de la fois où l'on était passé, je vais le chercher et elle me dit, "ho non pas avec ça" , chut, dis-je, et je lui enfile, elle me sort des non qui signifie oui, je la branle en lui agaçant le clito, elle hurle comme une truie qu'on égorge, elle n'a plus aucune retenue, elle jouie en ondulant le bassin sur l'objet non prévue à cet effet.

En moi-même, je me dis la pauvre, elle n'a pas dû être gâtée sexuellement avec son homme des cavernes, pendant qu'elle jouissait et inondait les draps, je me positionne pour la sucer puis sans qu'elle s'y attende, j'enfile le bout du rouleau dans son anus et lui attrape le clito avec ma bouche, elle a un début de recul, me disant, "mais qu'est-ce que, mais tu, tu".

Elle ne finit pas sa phrase, la voilà repartie sur le chemin du plaisir, une fois qu'elle apprécie l'intrus dans son fondement, je commence à le bouger, elle fait un "ho non, non", mais elle bouge tellement, que je dois faire attention qu'il ne glisse pas vers la sortie, quand je vois qu'elle se rapproche de l'orgasme, j'arrête de sucer et lui demande si elle veut que je le retire, elle ne répond pas, je fais celle qui va retirer, mais elle me dit, non, de continuer, qu'elle va jouir à nouveau.

En effet, la bougresse me jouit dans la bouche en hurlant, haletante toutes les deux, nous enlaçons encore en s'embrassant, nous sommes en sueur toutes les deux, nous allons nous rincer, elle est rassasiée, mais pas moi, une fois retourné dans son lit, nous discutons et je lui demande si je peux rester ici pour son fils.

Nous nous caressons mutuellement sans aller plus loin, tout en discutant, mais si elle, elle a eu son compte, ce n'est pas mon cas, je fais contre mauvaise fortune, bon cœur, après quelques dizaines de minutes de discussion, elle me dit, "tu dors là alors", je lui dis oui et pour ne pas que son fils se doute de quelque chose, elle me prépare la chambre d'ami.

Nous dormons dans le même lit jusqu'à temps que son fils, arrive, c'est moi qui entends le portillon dehors, quand il passe pour regagner sa chambre, sans l'effrayer, je lui fais savoir ma présence, je lui dis que j'ai dormi ici et que je l'attendais, savoir qu'on allait baiser ne l'a pas rendu curieux plus que ça, il passe à la douche.

Sa mère nous a entendu parler et me demande ce qu'il a dit, je lui fais savoir que je vais l'attendre dans son lit, toute contente, elle m'embrasse en me disant, "amuse-toi bien", quand il me rejoint dans sa chambre, je lui dis de laisser la porte entrebâillé, ce qui permettra d'entendre si quelqu'un vient, justifiant que sa mère va dormir comme une bûche, vu l'heure qu'on s'est couché et le repas arrosé.

En réalité, je savais qu'elle serait derrière la porte à écouter, la différence d'âge avec son fils ne la dérange pas le moins du monde, c'est ce qui me faisait un peu peur au début, par la suite, elle me dira que mon mari et moi, nous avons une bonne influence sur lui, contrairement à certains de ses copains, qu'il laisse plus ou moins tomber quand on est là.

Il avait commencé à boire, influencé par son copain qui l'accompagnait en cross, mais mon mari leur a dit, "l'alcool et la moto, c'est le mélange le plus efficace et rapide pour finir au pas dans un corbillard", le copain lui avait dit que c'était des conneries de vieux, et le jeune de répondre, "peut être, mais le vieux, c'est lui qui nous a extirpé du ravin, et qui passait dans des endroits, du premier coup sans mettre le pied par terre, alors que nous, on s'y prenait en plusieurs fois.

Il avait commencé à fumer également, et c'est moi qui lui ai dit, que le tabac, en plus de puer dans la bouche, ça ne faisait pas les hommes, mais les cancéreux qui deviennent des loques avant la phase terminale, mon mari lui a cité l'exemple de connaissances, ou parents de copains morts dans d'atroce souffrance ou alors comme des légumes qui n'auraient peut-être même pas réagi, si on les avait trempés dans de l'eau bouillante.

Pendant que nous faisons l'amour, comme je m'y attendais, sa mère est venue écouter, trahie par la lumière du jour qui passant par l'entrebâillement de la porte, se reflète sur l'armoire, et qui disparaît dés qu'elle se met entre les deux, le fils me baise avec la bénédiction de la mère, pas de retenue à avoir, je vais lui en donner pour son plaisir.

Je détaillais tout ce qu'il me faisait, "ho oui, comme ça ta langue sur mon clito", "humm oui, tu bouffe bien", "ho ton doigt, oui plus vite, oui comme ça", "ta bite, je veux ta bite, oui la va y pousse, hummmm, oui va y bourre-moi maintenant", "haaaa, oui encore, encore", "haaa, ouiiii, je jouis".

Le jour même, nous avons eu une discussion avec la mère, mon mari, ma copine et moi, ou on lui a fait comprendre que divorcer ou rester, il y avait du pour, et du contre, elle a dit à son fils le pourquoi, qu'elle pensait à divorcer, et après quelques larmes et quelques jours, il lui a dit qu'elle avait raison de le quitter, je ne sais pas si de son côté, il n'a pas essayé de dire à son père de revenir.

En tout cas, avec notre aide, elle a pu divorcer à ses torts exclusifs à lui, son escapade lui a coûté cher, moins de 5 ans après, elle se mettait en ménage avec un autre, sans se marier, quand son ex mari se plaint à son fils, il lui répond, tu n'avais qu'à pas faire le con, tu as voulu voir si une séparation allait vous faire du bien, tu as gagné, ça lui fait du bien à maman.

L'été se passe ainsi, je batifole avec le fils, la mère, le client, geppetto que j'ai revu plusieurs fois, je suis retourné aussi voir le client à geppetto, mais pas la femme de la boutique, le fils lui, c'est tapé ma copine, avec ma bénédiction, mon mari s'est tapé la mère, et aussi parfois toutes les deux en même temps.

Je lui ai fait découvrir le plaisir mécanique des godes, la seule chose que je n'ai pas réussi, c'est que la mère se tape ma copine, plusieurs fois, j'ai essayé, mais elle n'a pas voulu.

Aux dernières infos, la mère est toujours avec le même homme, celui qu'elle a pris après son mari, le fils est marié avec enfant, il ne fume pas, ne boit pas, sauf parfois lors de fêtes et ça reste très raisonnable, le client, hélas, n'est plus, geppetto venait me voir une fois l'an, et moi à chaque fois que je venais.

Quand la mère à connu son nouvel homme, nous n'avons plus eu de rapport, dans les mois qui ont suivi, c'est le fils qui a trouvé une copine, et là c'est moi, qui ai "rompu", et la même année, le client nous quittait, notre petit groupe que nous étions, a juste gardé le contact au moment des vœux chaque année.

En se promettant de se revoir, mais les distances des années 1990 et celles d'aujourd'hui, ont presque doublé en temps de route, ce qui fait que personne n'a le temps ou suffisamment de points sur le permis pour se déplacer.

fin.
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Histoire de annizette

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