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Le client 2

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Lue : 3387 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 05/04/2016

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Dans la voiture, il est devant à coté, je suis derrière entre les deux banquettes, et je dis, "après avoir signé le contrat, en ramenant la voiture, il m'a mis la main sur le genou, et dans l'avion sur la cuisse tout le long du voyage", il a eu le souffle coupé, mon mari a répondu, voilà un homme de goût, il me regarde en ayant l'air d'étouffer et je lui dis, "je ne cache jamais rien à mon mari, et je préfère être franche comme vous l'avez été".

Sa respiration revient, je suis gêné dit-il, mon mari dit, pourquoi, vous n'avez pas aimé, il réplique, "si, mais", alors tout va bien dit mon mari, ça doit juste restez entre nous trois, il répond, " la dessus comptez sur moi", nous arrivons, on fait les présentations, pendant qu'on nous sert un rafraîchissement, je vais enfiler un short et un teeshirt, le client n'est pas à l'aise avec son costume.

Il a le gabarit du copain, je lui dis que je lui emprunte un short, venez dis-je au client, il me suit, je sors un short de l'armoire du copain, je lui dis, mettez ça, ça sera plus confortable, je lui retire la cravate, je regarde à la fenêtre, et tous les trois sont assis en bas, je lui dis à l'oreille en me collant à lui, "j'ai adoré dans l'avion", il m'attrape les seins en disant "et moi donc", il n'insiste pas trop longtemps, je rejoins les autres et le laisse se changer.

Nous allons ensuite voir l'ULM, ils ont volé ce matin, il terminait les derniers contrôles et réglages, je crois qu'ils attendaient une pièce, un silentbloc je crois, les trois hommes discutent aviation, je discute avec la copine, je voyais bien que ça n'allait pas, elle a les règles douloureuses, en fin d'après-midi, le client nous invite au restau, la copine ne pouvant pas venir, elle reste et son mari aussi.

Nous allons tous à la douche, bien évidemment, mon mari vient avec moi, pour sa purge dit il, car depuis mercredi, rien, et en effet, je n'ai pas eu besoin de forcer, c'est presque partie tout seul, il me dit que ce soir, ça sera mieux, le client se rhabille, je met une robe de soirée que mon mari avait emmené en voiture, et nous allons au restaurant, à table, le client complimente à tout-va sur mon physique, sur notre largesse d'esprit, ils joutent verbalement pour payer l'addition, le client gagne.

Au retour, mon mari me dit de conduire, et il monte derrière, une fois dans la voiture, je prends la main du client, et la pose sur ma cuisse découverte par la fente de la robe, il tente de regarder mon mari pour savoir s'il peut, il lui répond, "pour la toucher, c'est elle qui décide, moi, je ne m'en mêle pas, vous ne risquez rien, et si c'est moi que vous touchez, comme c'est moi qui décide, là, vous risquez gros", avec son humour, il répond, "alors je ne prendrais aucun risque", mon mari dit, "en plus d'avoir du goût, vous êtes sage".

Il m'a caressé la cuisse tout le long de la route, frôlant par moment mon sexe, mais rien comme j'aurais voulu, la présence de mon mari le bloquait, le lendemain, les hommes vont à l'ULM finir, il me demande pour aller voir son avion, je l'accompagne, nous sommes en short, après s'être rassuré sur la nuit que l'avion a passé dehors.

Il me dit, vous voulez que je vous rapprenne à piloter, connaissant le coût de l'heure, je dis non, je me sentirais mal à l'aise, de plus, apprendre à piloter ce que je ne pourrais pas me payer comme je veux, ça serait du gâchis.

Il va voir au club et revient en disant, j'ai envie de visiter les alentours, vous êtes partantes, je lui dis, d'accord, je téléphone à la copine en disant qu'elle dise aux hommes de se mettre sur la fréquence club avec la radio, il va faire le nécessaire pour louer l'avion, un DR400, dans un club, un pilote de bimoteur, c'est la classe supérieure, ses qualifs et son carnet de vol rassure le club et il loue sans soucis, mais au prix fort, n'étant pas du club.

Je me doute qu'il le prend pour moi, et non pour visiter, refuser l'aurait peiné, et je n'aurais pas piloté, je le suis pour la pré-visite, une fois dans l'avion, il m'explique la procédure, il ne fait rien, c'est moi qui fais suivant ses consignes, je les connais, mais je ne les ai pas toutes en mémoire, roulage, il s'occupe de la tour, essai moteur puis décollage, il a vraiment confiance, il ne touche a rien, sa main est prés du manche au cas où, il me reprend très peu du fait que mon mari m'a déjà appris aussi.

Il me guide sur les zones autorisées, puis une fois éloignée, il me laisse choisir ma route, me disant juste de ne pas survoler les villes, disant cela, il me touche la cuisse en disant, "je peux", je lui dis qu'hier, il ne demandait pas, l'avion est plus difficile à piloter, plus léger, plus lent, plus sensible au vent, plus bruyant.

Par contre, très bonne visibilité et pour apprendre, c'est très bien, pendant le vol, il m'a caressé les cuisses, les seins, il s'est fait plaisir, je l'ai laissé faire tout ce qu'il voulait, mais l'avion, ce n'est pas pratique, il l'a compris et m'a plus appris à tenir l'appareil pendant qu'il tenait ma cuisse, au retour, la copine avait préparé le repas, à table, il s'est mis entre moi et la copine, restant distant, l'après-midi, il a assisté au vol de l'ULM puis est parti, je l'ai ramené seul au terrain.

Il me dit que le temps passe vite, je suis monté avec lui dans l'avion où il a encore promené ses mains en me disant, "je suis emmerdant", j'ai répondu, "j'aime quand vous m'ennuyez", j'allais descendre pour le laisser partir, et se lançant, il me demande s'il pouvait nous inviter ce weekend.

Je lui dis que faire tous ces km (200) par des routes secondaires en plus, il me coupe en disant, "j'avais prévu de venir vous chercher", en 40 minutes, on est arrivé", je rétorque que ça m'embête de lui faire dépenser autant pour un weekend, il répond que pour avoir ma compagnie, il est prêt à dépenser bien plus.

Comme c'est loin d'être un imbécile, il me dit, "vous, en avez-vous envie", je dis oui, mais c'est mon mari, il dit, "alors dites lui que j'ai un très bon porto et que ça sera lui qui pilotera", je lui dis qu'il y a aussi les amis, il répond qu'ils sont prévus dans l'invitation.

Après s'être promené chacun notre tour en ULM (en couple), mon mari avait dit oui, et nos amis, non, se disant qu'il avait l'ULM pour eux tout seul, et il ne voulait pas laisser la maison inoccupée, le client demande à quelle heure, il peut venir nous chercher le samedi, je lui dis que je suis seule au téléphone, il me dit que si c'est lui qui décide, il peut venir tout de suite, je lui demande si le vendredi à 18 heures au terrain lui convient.

Mon mari était le plus impatient, j'ai pris une petite valise de vêtement, il m'avait fait un programme des soirées, ce qu'il ne savait pas, c'est que mon mari ne venait pas avec nous, à l'heure dite, le client avait 30 minutes d'avance, et nous un quart d'heure, nous n'étions pas douchés, il était trop tôt, j'étais en jeans, les amis avaient pris l'ULM pour un petit tour.

Je passe le récit du voyage avec mon mari aux commandes, arrivé sur place, la villa est à la mesure du client, piscine intérieure et chauffée, salle de sport, enfin, le luxe, mon mari lui dit, "super, vous avez tout", il répond, "hélas non, c'est vous qui avez le principal", mon mari dit, "ce n'est pas les filles qui doivent manquer", il répond, "non, mais c'est un cerveau qui leur manque, alors que votre femme", il m'embrasse la main et dit, " ho pardon, je peux".

Mon mari dit, "elle est venue pour ça et moi pour votre porto", j'avais prévenu de l'humour et la franchise exagérée de mon mari, une fois installés dans notre chambre et après avoir fait le tour de la maison, mon mari demande si une douche et une tête dans la piscine sont envisageables, vous faites comme vous avez envie, vous êtes chez vous dit-il.

Après une douche, nous avons fait quelques longueurs tous les trois, il a commencé à me tripoter furtivement, je lui ai dit qu'il allait me déchirer mon maillot, alors je l'ai enlevé, après quelques longueurs, mon mari a demandé s'il pouvait utiliser la salle de sport, il lui a répété, vous faites ce que vous avez envie, avant de passer la porte, mon mari lui dit, vous aussi, vous faites comme vous avez envie.

Dans l'eau, il me tripote partout, il m'embrasse partout aussi où c'est possible, sauf la bouche, comme je dis à tout amant, je lui dis, dans les airs, dans l'eau, il reste le feu et la terre, dans l'eau, comme dans l'avion, ce n'est pas pratique, même si c'est moins dangereux, après encore avoir appris par cœur mon corps, il va rejoindre mon mari, se sentant gêné d'être avec moi tout seul, malgré son accord.

Je le suis en remettant mon maillot, mon mari était en train de soulever des ronds de fonte en étant sur le dos, il était aussi trempé que nous, si nous allions nous préparer pour sortir dit-il, mon mari lui dit, "Mr, pouvez-vous me rendre un très grand service, emmener ma femme au restaurant", je me doutais du coup, je fais, "oui, nous serons plus tranquille pour discuter".

Mon mari dit qu'il va aller se promener en ville, et demande pour qu'il le dépose, il dit, j'ai une petite voiture, plus pratique pour se garer, il lui a prêté sa voiture, après les avoir fait patienter, le temps que je me prépare, il m'a emmené dans sa Mercedes du modèle qui va avec le reste, hé oui, j'aime le luxe, quelle femme normale n'aime pas, en plus, je suis traitée comme une reine.

J'avais mise une robe du soir fendue, un décolleté mi-sage et mi-provocant, il m'avait prévenue que ce soir, le restaurant est basique, enfin, surement pour lui, on a très bien mangé, il sait très bien se tenir en public, aucun geste qui permettrait de laisser penser à quelqu'un qu'on est…., qu'on est rien du tout, il a juste l'autorisation de tripotage, ce n'est pas ce que je considère "amant".

Dans la voiture, il se tient beaucoup moins bien, heureusement, mes seins et cuisses connaissent ses mains, on a bien mangé, mot basique concernant le restaurant est inapproprié, rien à voir avec le meilleur des routiers, c'est petit, mais comme ce n'est pas Paris, et qu'on est le vendredi soir, il n'y a pas foule, nous nous sommes promenés ensuite, au retour, pareil qu'a l'aller, tripotage.

De retour chez lui, il me demande quel est le programme maintenant, il me demande, je dis non, c'est à vous de proposer, il dit non, que c'est a moi, je me doute de ce qu'il voudrait, mais il n'ose pas, je lui demande une pièce de monnaie, et je dis, pile, c'est vous qui décidez et moi, je ferais tout ce que vous déciderez, face, c'est moi qui déciderais, ok dit-il, je lance la pièce, je l'attrape avant qu'il ne puisse voir, et je dis "pile, c'est vous qui avez gagné", en lui rendant la pièce aussitôt.

Il n'est pas dupe, il dit, "les femmes, même quand elles perdent, c'est elles qui gagnent", je veux passer à la douche, mais il me dit qu'il préfère m'avoir nature, j'ai dit, juste pour me rincer, car j'ai été uriné, d'accord a-t-il dit, il m'a emmené dans sa chambre, il me dit, "je décide de tout alors", je dis oui puisque j'ai perdu.

Il m'a déshabillé lentement, me demandant si j'aimais que les hommes soit vicieux, je lui ai répondu que même le plus vicieux, il ne le sera jamais assez à mes yeux, qu'un homme doit être un gentleman en public et le contraire en privé, se mettant à genoux, m'embrassant partout, il me redemande ce qui se passerait si mon mari arrivait et nous voyait comme en ce moment, je réponds, il irait m'attendre dans notre chambre sur la pointe des pieds pour ne pas vous déranger.

Quel homme ouvert dit-il, après m'avoir embrassé partout en étant à genoux, il me dit voyons voir si je peux vraiment tout faire, mettez-vous jambes écartées en appuis sur le lit avec les mains, avez-vous des tabou demande t'il, je dis comme je lui ai déjà dit, que je n'embrasse pas sur la bouche, rien d'autre ajoute-t-il, je dis non, il vient derrière moi et m'écarte les fesses pour découvrir l'anus.

Cela m'excite d'un coup, je donne une petite ondulation, il passe sa langue, je frémis et gémis, il passe en mode tutoiement, "tu aimes", oui dis-je, j'adore, j'aime tout, bien souvent, je ne dis rien, j'attends que l'amant découvre tout ça, avec lui, j'ai jugé l'homme, rien ne sert de perdre du temps à ce qu'il me découvre, autant donner toutes les infos dés le début.

Pour l'heure, j'ai envie de lui appartenir intégralement, pendant qu'il me suce l'anus, il m'insère son pouce dans le vagin, je gémis plus fort, avec son index, il me stimule le clito, tripotée avant le repas, tripotée après, l'orgasme arrive aussitôt, je me baise avec son doigt, il me retourne ensuite sur le lit et me bouffe la chatte.

Comme le copain quelques jours plus tôt, il me bouffe littéralement, il me met son index dans l'anus, il le rentre sans problème, je suis tellement humide, le deuxième orgasme arrive, je lui mets une jambe derrière la tête et l'autre qui l'appuie encore plus, je hurle de plaisir, sans aucune retenue, il remue son doigt, il me bouffe, l'orgasme dure longtemps.

Le fait qu'il n'a pas sorti son sexe après mon premier orgasme, et de ce que j'ai vu dans la piscine, me laisse penser qu'il ne doit plus être au top de sa performance, je lui demande de me laisser faire, il refuse plusieurs fois, j'insiste autant, puis lui tripotant a travers le tissu de son pantalon qu'il avait gardé, je me rends compte que je ne risque pas grand-chose.

L'érection est vraiment minimum, je continue et le déshabille, il me vouvoie à nouveau en disant que je vais être déçue, une fois nue, il est vrai que son corps n'est pas celui d'un jeune premier, mais ça va, son érection est dérisoire, mais je peux le branler jusqu'à le faire jouir, nous nous reposons ensuite, déçue me dit-il, je dis non, les deux orgasmes que j'ai eus, ne m'ont pas déçue.

Après un petit tour a la piscine pour se rafraîchir, on retourne dans sa chambre, on se repose, je suis dans ses bras, nous discutons, et il me demande si lundi soir, il pourrait m'avoir pour un dîner et qu'il ne peut rien me dire, je lui dis que je demanderais à mon mari, il me caresse puis à force, je commence à être excitée.

Ses caresses se font plus précises, plus sexuelles, je lui dis, "oui, continu", et c'est là qu'il me dit pour la première fois, "mais, tu es une petite salope toi, ho pardon, excusez-moi, je voulais dire….", continu dis-je, il continue à me tripoter, je lui redis continu, il continue à me tripoter et je lui redis de continuer, il ne comprend pas, je lui dis qu'au restaurant, un gentleman, c'est bien, mais pas dans le lit, il ne comprend pas encore et me met son doigt dans l'anus, pensant que c'est ce que je voulais.

Je finis par lui dire de continuer à me parler comme il a fait, il dit, "ce qui m'a échappé", je réponds, oui et plus encore, il me demande si j'aime qu'on me parle cru, je fais, " j'adoreeee", et là, il m'a fait jouir en me sortant tous les mots que j'aime, mon mari est rentré tard, j'aurais pu jouir encore une fois sous ses caresses, mais je me suis réservée, en me levant, je lui dis bonne nuit, je passe encore à la casserole.

J'ai pris une douche et mon mari m'a baisé pendant que je lui racontais ma soirée, le lendemain matin, on s'est levé tard, j'ai voulu faire a déjeuner le midi, après une baignade dans la piscine, il m'a accompagné au marché, j'ai eu du mal à payer, mais je l'ai menacé, il a juste acheté tout ce qui accompagne, car il n'avait rien, quand il mange chez lui, c'est ce qu'il se fait livrer.

Au marché, c'est le gentleman, à la maison aussi, sauf dans la piscine où il me tripote, quand on rentre, mon mari est à la salle de sport, il alternait piscine et muscu, il y avait même un sac de sable, jamais servi, le client avait acheté clefs en main les équipements, on a été le voir, et c'est vrai que les coups qui mettait dans le sac avaient de quoi impressionner notre hôte, il me dit, "heureusement qu'avec vous, j'ai sa bénédiction".

Nos conversations lors des restaus à paris, ont fait qu'il savait nos goûts à tous les deux, porto, muscat, pareil pour le vin, à l'apéro, mon mari apprécie, à table aussi, j'en profite pour dire à mon mari pour le lundi, qui dit ne pas vouloir abuser, le client lui dit, c'est moi qui abuse plutôt, c'est un repas chez des amis et je voudrais que professionnellement votre femme soit là.

Mon mari dit que c'est surtout vis-à-vis des amis, ils n'ont qu'à venir dimanche s'ils veulent, mon mari leur téléphone, le copain, dit, qu'il à sympathisé avec un pilote d'ULM et que dimanche, ils vont faire un vol ensemble, mon mari dit qu'on ne rentrera que mardi, il parle de la piscine, de la salle, que le bimoteur, c'est la Rolls de l'avion

Afin de ne pas laisser mon mari en plan, le client à un hors-bord, et il lui propose de skier, mon mari ayant le permis a conduit son bateau, le client a skier un peu, mon mari beaucoup, je me suis essayé un peu, mais cela n'a pas été évident, j'ai quand même pu à la fin, tenir une centaine de mètres d'un coup, mais j'étais crevé, mon mari à repris les skis.

On devait voler en milieu d'après-midi, mais il était trop tard, de plus, il m'avait pris rendez-vous au coiffeur, il me voulait au top pour cette soirée, on était crevés, le client lui propose de venir au restau, par politesse, non dit-il, je vous la confie, elle aime, moi non, il est des endroits ou il vaut mieux que les deux apprécient, il demande s'il peut prendre la voiture pour sortir, le client dit oui, et mon mari nous laisse.

Il me dit, votre mari est hors du commun, je réponds avec humour, oui, le salaud, il s'en va et me laisse avec un pervers, qui va abusez de moi, et ou je vais être obligée de faire absolument tout ce qu'il voudra, il s'approche de moi, baisse mon short, retire mon teeshirt et soutif, cela m'excite, il me chatouille le clito, et à mon oreille, pendant que je gémis, il me dit, "tout, tout ce que je voudrais", je lui répond doucement, oui tout, mais continuez.

Il me dit, "Mme Annie, celle que tous les employés de la Sté…. craigne, et même Mr … (mon patron), elle fera tout ce que je lui demande, et pourquoi ferait-elle tout", je lui réponds, "peut être a-t-elle trouvé son maitre à certaines heures et qu'elle est prête à tout pour le satisfaire", il continue et me dit, "attention, je vous ai prévenu que j'étais un vicieux pervers avec les belles jeunes femmes", toujours à son oreille, je lui réponds, "humm, les veinardes".

Bien dit, il, aller vous habiller pour le coiffeur, je préparerais vos affaires à mettre, je m'habille quelconque, il avait appelé un taxi qui devait aussi me ramener une heure et demi après, quand je suis arrivé, on m'a prise de suite, comme je cherchais à regarder les tarifs, la patronne, me dit, "tout est déjà réglé, nous devons vous faire ce que vous demandiez, on me lave les cheveux, pédicure, manucure, on me conseille plusieurs coupes, je choisis, à l'heure dite, le taxi revient, j'ai voulu donner un pourboire aux filles qui ont dit que cela a été fait aussi.

Le taxi me ramène et en arrivant, le taxi repart sans être payé, je me dis qu'il l'a déjà été, une voiture est là, je pense à de la visite, en fait, c'était une maquilleuse, elle me demande de prendre une douche avant, qu'elle me maquillera une fois habillée, qu'elle a tout son temps, je lui demande ou se trouve mon client, elle me répond qu'il revient pour 19h30.

Après ma douche, je file dans ma chambre pour m'habiller, il m'avait préparé sans grande surprise la robe que j'aurais mise de toute façon, fendue des deux cotés et remontant assez haut, tout le monde aime cette robe, quand je la mets l'hiver, on voit jusqu'au-dessus de l'élastique des bas, la maquilleuse me prépare, elle me dit qu'il n'y a pas grand-chose à faire, que je suis très jolie, elle me fait le regard principalement et un peu, les lèvres.

Je discute avec elle et voyant que je ne suis pas "coincée", elle me dit que si j'étais un homme, qu'elle me violerait de suite, je vais pour me chausser, mais elle me dit, "attendez, Mr (mon client), m'a dit de vous donner ceux-là, une paire de chaussures a talon et a ma taille, il avait prémédité son coup, car pour en avoir à ma taille, il a fallu qu'il les commande.
Les chaussures ne sont pas du bas de gamme, quand il arrive, je lui dis, "je devrais vous gronder sévèrement, mais je n'y arrive pas, je préfère réserver mon courroux à ceux qui seraient plus méritants, alors vous devrez vous contenter d'un merci beaucoup".

Il sort des billets qu'il donne à la maquilleuse, qui le remercie beaucoup et s'en va en nous souhaitant une bonne soirée, comme nous sommes seuls, je rouspète gentiment en lui disant qu'il n'avait pas besoin de faire tout ça, il me dit que ce n'est pas pour moi, mais pour lui, ils disent tous ça.

Coupant court au dialogue, il me dit, "bon, aller, n'oubliez pas que vous êtes prête à tout pour me satisfaire, et inutile que je vous dise que vous êtes plus que magnifique", il m'ouvre la porte, et nous roulons jusqu'à un restau, une ancienne demeure avec un joli parc, avant d'arriver à la grille, il me dit, "voyons si vous allez faire tout ce que je demande, donnez-moi votre string", surprise au début, mais je le fais, c'est le jeu.

Il rentre et arrive devant le restaurant, ou un voiturier ouvre ma porte, et va stationner la voiture au parking, déjà, le voiturier se rince l'œil, en descendant, je me dis, "pourvu qu'il ne voie pas que je n'ai rien dessous, rien que cette pensée m'excite.

Quand je rentre, moi qui suis habitué aux restaurants de qualité, là, je suis impressionné, c'est Versailles, c'est grand, entre chaque table, ils auraient pu en mettre une autre sans être gênés, le maître d'hôtel nous emmène à notre table qui a été réservée, il y a un serveur par table qui accourt et arrive avant qu'un couvert qui tombe de la table, arrive sur le carrelage, dans le même temps, un autre serveur arrive avec un couvert propre.

Je suis étonné, ils n'apportent pas la carte, mais connaissant mes goûts, il avait déjà commandé le menu, langoustes, huîtres, crevettes rose, le vin est dans le même ton, mais je n'ai pas voulu, on est resté au champagne, je n'ose même pas réfléchir au prix que tout lui a coûté, quand j'ai demandé une carafe d'eau, le serveur m'informe qu'il n'y a que de l'eau en bouteille, il me demande de choisir celle que je souhaite, paradoxe, la bouteille d'eau est gratuite.

Il me complimente en disant que je suis ceci, et cela, je lui réponds que celles ici pour certaines, sont aussi jolie, il répond certainement, mais elles n'ont pas votre âge (39 ans), et elles n'ont que l'apparence, leur conversation ne dépasse pas ce qu'elles ont regardé à télé débilité la veille, et encore, c'est peut-être trop intello pour elles.

Et là, il me dit, voyez celle avec la robe verte, c'est 2500 francs, et la blonde qui met sa serviette devant sa bouche, c'est à peu prés pareille, je réponds qu'elles se sont faites avoir par la vendeuse, il me dit, ce n'est pas le prix de leur robe, mais le prix que celui en face d'elle, a du débourser.

Pour plaisanter, je lui dis, "ha ok, et moi comme je suis vieille, c'est gratuit, c'est pour ça que je n'ai rien à me mettre sur les fesses", il me dit, vous croyez que ces types-là qui sont de mon âge, apprécies leur compagnie, avec leurs quarante ans d'écart, si je connais leur tarif, c'est que moi aussi, je suis passé par là, et je peux vous dire qu'elles sont loin d'avoir votre classe.

Il me fait, "ho, attention, quelqu'un que je connais, va surement venir pour me saluer, alors qu'en fait, c'est vous qu'il vient voir", en effet un type s'approche, ils se saluent, il me présente comme une relation professionnel, qu'il a invité avec mon mari, en plaisantant, il lui dit, en me regardant, "je lui ai bien demandé de divorcer pour venir avec moi, mais elle ne veut pas.

Comprenant que je ne suis pas une poule de luxe, il dit qu'il ne veut pas nous déranger pendant notre dîner d'affaires et nous laisse, une fois qu'il est parti, il me dit, "continuez de me regarder, ne tournez surtout pas la tête, vous allez reculer un peu votre chaise, attendre un peu et mettre votre jambe sur le côté, vers l'allée centrale", je m'exécute de la façon qu'il demandait, un type me lorgnait de l'autre côté de l'allée, il me dira en sortant, que c'était son banquier qui était avec sa femme.

Si les couples tarifés se tenaient la main par moment, nous ne l'avons jamais fait, une autre connaissance arrive, et il lui dit la même chose qu'au premier, sauf qu'il m'a maté les cuisses, après les langoustes, il me demande d'aller aux toilettes et de revenir sans mon soutif, et de me lever de ma chaise en écartant bien la jambe sur le côté, le type me lorgne en faisant celui qui s'essuie la bouche.

Même en marchant en essayant de ne pas faire trop de bruit avec mes talons, cela s'entendait quand même, il me dira quand j'étais revenu, que certains doivent avoir un torticolis, je lui demande si cela ne se voit pas de trop, l'absence de soutien-gorge (95 C ou D suivant comment ils taillent) , il répond, "moi, je le vois, mais je le sais", après que le serveur ait amené la suite, une fois qu'il est reparti, il me dit, " le serveur le sait aussi maintenant".

Je suis dans un endroit et une région où je ne connais personne, cela ne me dérange pas, cela m'excite même, je n'avais pas fait attention, mais les types qui viennent le voir, avant de s'approcher font un léger signe auquel il répond par un clignement d'œil, signifiant que celui-ci peut venir, un autre curieux arrive, ou il lui sert le même discours.

Après son départ, il me dit, c'est moi le plus riche ce soir, tous m'envient, le serveur arrive pour nous proposer le fromage, que je ne prends pas après que je me sois empiffré deux langoustes en plus des crevettes, je prends un fruit, en fait, c'est une corbeille, on prend ce qu'on veut à volonté, à chaque fois, le serveur se rince l'œil, je le devine à mon client qui regarde ailleurs, pour ne pas le déranger.

Après le café et thé, je sors cent francs de mon sac en disant que c'est pour le serveur, un jeune très sympathique, il sourit, quand il arrive à mon signe, il dit ne pas pouvoir accepter, qu'ils n'ont pas le droit, il me remercie pour mon geste, le maître d'hôtel nous accompagne jusqu' à la caisse, vers la sortie ou la note est déjà prête, je n'ai pas pu voir et il n'a jamais voulu me le dire, nous sortons nous promener dans le parc, nous n'allons pas bien loin, mes talons dans le gravier des allées n'aiment pas.

Le voiturier nous amène la voiture, il se rince l'œil et je reconnais que j'en joue en écartant mon pan de robe sur le devant, je le remercie pour cette superbe sortie ou je me suis méga régalé, un sans-faute, même le thé était de qualité, il me remercie pour cette soirée, je dis non, c'est moi, il me dit non, c'est moi, nous nous entreprenons sur le sujet, il me dit, "dites-moi pourquoi vous voulez me remercier", je lui dis, "coiffeur, manucure, pédicure, maquilleuse, chaussure, restaurant au top".

Il dit, "oui, mais c'est tout, moi, j'ai eu en principal, votre présence", je réponds, c'est peu, il continue en disant, "j'ai eu votre string, votre soutif, et ensuite, dans les semaines qui vont suivre, j'aurais dans mon cercle d'affaires, des décideurs qui vont discuter et dire, tient, j'ai vu untel, il était accompagné avec une superbe femme……, et tout ces petits curieux vont vouloir trouver un prétexte pour savoir qui vous êtes, le prétexte, ça sera de me proposer une affaire".

"Un homme comme moi, avec une femme comme vous, ils se diront, que pour être avec vous, je dois être un gagneur, quelqu'un qui réussit, et les affaires, on ne veut les risquer qu'avec ceux qui réussissent, ce soir, je n'étais pas avec une midinette sans cervelle, mais avec une femme avec de la classe"

Je lui dis, "de la classe, de la classe, avec rien sur les fesses et rien non plus sur les seins, le serveur en a bien profité", il dit, "ça c'est sur, le pauvre était rouge, le type qui lorgnait vos cuisses était mon banquier, ceux qui sont venus, se sont des hommes d'affaires, des fois, on se retrouve ensemble, comme associés.

A suivre
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Histoire de annizette

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