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Le client 7

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Lue : 1958 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 25/05/2016

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Après mon orgasme sur la table de réunion, nous rentrons, ma copine et mon mari allaient mieux, la copine est rentrée, car elle avait des corvées à faire, mon mari était crevé de son samedi, alors nous nous sommes promenés, le soir, j'ai câliné dans le lit avec le client qui m'a excitée en me tripotant, et c'est prêt à consommer que j'ai été rejoindre mon mari qui m'a baisée, quand nous nous retrouvons, il est des fois où on croirait que c'est la première fois.

Le client est parti le lendemain matin, un soir la copine est venue manger, je lui ai rappelé qu'elle ne devait surtout, ne pas en parler à Marie et Henri, en expliquant les raisons, à ce moment-là, autant, j'étais très proche de ma copine, que je n'y étais pas encore comme à présent, eux-mêmes, me cachaient le degré de complaisance avec leur client, je ne voulais pas être celle plus que l'autre, je sais que j'ai été bête, mais on ne refait pas le passé, mon mari, étant libre, mes horaires, depuis que je ne pointais plus, étaient plus large qu'avant.

Quand je pointais, je faisais mes huit heures, depuis que je ne pointais plus, j'avais peur d'abuser et j'en faisais presque dix, mon mari faisaient des heures aussi, alors cela ne nous dérangeait pas, mon patron en était conscient et jamais, il ne m'a fait de remarque quand je prenais une demi-journée ou partais plus tôt.


Mon mari était embêté de ne pouvoir venir, car piloter le bimoteur, était-ce qu'il ne pouvait pas se permettre à loisir, alors que la copine, il avait juste à me dire que je devrais lui dire de venir manger, ça voulait tout dire, la copine, elle, était à son affaire quand elle n'avait pas de connard (comme elle les appelait) avec elle.

Cette très bonne copine, était trop indépendante, les mecs ne restaient pas, elle voulait un dominateur obéissant, virant les types ou se faisant larguée, au bout de deux semaines, en manque, elle était capable de se taper une statue de Rodin, on s'était plu de suite, mon mari aussi, et comme je préférais qu'elle se tape mon mari, plutôt qu'un pied nickelé, mon mari lui servait de bouche-trou, il appréciait ce rôle, mon mari la baisait sans capote, alors que ses types de rencontre, c'était avec.

De plus, je préférais qu'ils baisent ensemble, car elle s'occupait de lui, de la cuisine, même si ce n'était pas son point fort, mon mari disait, "du moment qu'au pieu, ça ronronne", pendant ces quatre jours, je savais qu'ils baisaient à couilles rabattues comme il dit, toujours poète, ça me faisait plaisir, et à mon retour, pour mon mari, je redevais comme une nouvelle conquête, et j'y avais droit autant.

Elle me met un coup de ceinture sur les fesses, qui n'effraierait même pas une mouche, le deuxième est un peu plus fort, mais il faut attendre le cinquième, pour que je commence à faire la grimace, ayant trouvé le bon dosage, elle me dit, "j'ai envie de continuer, tu veux" comme vous voulez madame, elle m'en remet cinq autres de même puissance, c'est bien dit elle, vient là maintenant, elle m'attrape la tête, retrousse sa jupe pour que je la suce.

La position n'était pas des mieux, mais j'ai réussi à la faire jouir avant qu'on arrive, elle a juste eu le temps de se remettre, elle était rouge, je me suis rhabillée ensuite et j'ai fouillé dans les rayons, je me suis pris deux nuisettes très sexy que je compte laisser chez lui, ça m'évitera d'avoir à en amener, si au début, j'étais gêné de dépenser un argent qui n'était pas le mien, a force, je trouvais cela normale, sans en exagérer non plus.

Comme il m'avait déjà dit, "ce qui est bien avec vous, c'est que même si je vous gâtais dix fois plus, vous m'enverriez autant balader s'il le fallait, il avait entièrement raison, bien sûr que j'aime ses cadeaux, qui est celle qui n'aimerait pas, mais si demain, il changeait de mentalité, je serais autant capable de lui redonner tout en bloc, et de partir sans rien qui lui appartienne, entre chaque cliente, nous discutons pour passer le temps, discussions cliente/commerçante, elle me demande si samedi après midi ou dimanche, je suis disponible, j'indique que je lui téléphonerais.

Quand il revient, plus d'une heure après, mon paquet est prêt, elle lui sourit chaleureusement, contrairement a son sourire commercial d'avant, elle lui demande s'il veut voir, il dit non, en tendant sa carte, elle le fait payer et de dessous sa caisse, donne dix boites de bas sous forme de remise, même s'il n'est pas à ça prêt, il apprécie le geste commercial, il met ça dans son coffre et nous continuons.

Comme je m'en doutais, on entre dans un magasin de vêtements, il ne s'est rien passé de particulier, la vendeuse, habillée sexy dans une jupe, qui était à la limite de craquer de partout, ne devait pas être payé au chiffre d'affaires, a son air, elle avait la tête de quelqu'un qui serait mieux à un guichet de l'administration, la patronne au contraire a fait une petite remise de 5 %, pour trois tailleurs, deux robes du soir et deux chemisiers, elle pouvait.

Une fois dehors, je dis, pour plaisanter, c'est tout, plus de boutiques à faire, il ne dit rien et me demande de le suivre, et bien sûr, en passant devant un magasin de chaussures, ironiquement, je dis, "ha, on ne s'arrête pas là", je suis étonnée qu'il ne réponde pas, on rejoint la voiture, on fait une bonne quinzaine de kilomètres, et on arrive dans un village, quelques commerces qui vivotent, on passe devant une petite rue, ou il y avait une boutique qui ne payait pas de mine, perpendiculaire à celle commerçante, avant de rentrer, il me dit, "soit impudique et allumeuse".

Nous rentrons, et là, un type prés de la retraite, à l'allure de cordonnier, peu causant, bourru, ressemblant un peu à geppetto, (créateur de Pinocchio), il fait principalement les hommes, mais aussi les femmes pour le standard et sinon sur commande, le client avait déjà choisit pour moi sur catalogue, je ne le savais pas, ce que je ne savais pas non plus, c'est que quand j'étais venu m'amuser avec celle qui tient la boutique de lingerie, c'est lui qu'il était venu voir avec une de mes paires de chaussures.

Toutes les étagères sont en vrai bois, pas de placage, le magasin à l'âge de son propriétaire, qui le tient de son père surement, d'un coté, les machines de cordonnerie, de l'autre les étagères avec les modèles et les tailles, un petit banc en bois à chaque bout des deux allées d'étagères, mon client m'accompagne vers ce banc, je m'assois, je suis habillée avec les mêmes vêtements que la veille, puisque je n'ai rien emporté, (sauf un string de rechange toujours dans mon sac ainsi que des bas).

Geppetto amène trois cartons, mon client lui demande ou se trouve je ne sais plus quoi comme chaussures, et va là ou il lui a indiqué, en partant, dans son dos, il me fait signe en écartant ses deux mains pour me dire de le laisser me mater, je comprends qu'il veut que je l'allume, professionnellement, il me montre une paire, jusqu'à là, le commerçant exemplaire dans son rôle.

Je me suis déjà fait chausser par des hommes, soit des types efféminés qui attrape la jambe comme un bout de bois tout en parlant, soit des hommes qui nous l'attrape avec des pincettes, de peur qu'on les prenne pour des pervers, en matant quand même discrètement, lui, il m'attrape le mollet et m'enfile la chaussure et ne me lâche pas tant qu'elle n'est pas bien en place.

Ce n'est pas le geste d'avoir sa main sur mon mollet qui est excitant, c'est de savoir comment il me le tient, je me laisse faire et je comprends ensuite ce que je fais là, le geppetto regarde plus au-dessus de ses lunettes que la chaussure sur mon pied.

Je me dis, allons-y, si je suis là, ce n'est pas sans raison, en posant mon pied-à-terre, je ne peux pas le mettre en face sur Geppetto, je le pose bien à ma droite, écartant ainsi les cuisses, si je regarde à midi, je vois bien entre dix heures et quatorze heures sans bouger mes yeux, je regarde mon pied chaussé, le laissant lui, voir ma culotte, une fois les deux chaussures misent et bouclées, je marche avec, il connaît son boulot, elles me vont parfaitement.

Mon client vient nous voir, et me demande si ça va, nous parlons en langage codé, au lieu de dire impeccable, je dis, "oui, ça va, elles ne me serrent pas", le premier mot étant la réponse, à ce à quoi on pense, geppetto me regarde marcher, mon client me dit, "je dois m'absenter, je reviens dans une demi-heure", qu'il a une course avant que ça ferme, il est gentil, mais moi, je ne sais pas ce que je dois faire, ce qui a été décidé.

Je me rassois en remontant un peu ma jupe, sans que ça se remarque, je vais pour me baisser pour déboucler, laissez dit-il en ayant entendu la porte se refermer, il est évidant qu'avec ma tenue, si je m'assoie devant quelqu'un, c'est que je ne suis pas farouche, il me lève le pied, en me faisant plier le genou, il mate mon string à moins de cinquante centimètres, il ne verra pas le moindre poil, depuis ce matin, c'est glabre.

Il fait pareil avec l'autre pied, en se rinçant l'œil plus longtemps, c'est à ce moment, que ma machine s'est mis sur "on", son regard vicieux commence à me faire effet, prenant les chaussures, il me les pose sur les cuisses, ou plutôt il pose ses revers de main sur mes cuisses et les chaussures au-dessus, puis il me fait l'article du genre, "regardez-vous avez les coutures reprisant derrière, l'épaisseur du cuir…..", je n'y connais rien, je l'écoute, je dis oui à tout.

Je ne l'encourage pas, et il n'ose peut-être pas, c'est là que je me suis dit, qu'il n'y a pas de préméditation, le client a entendu dire que, et il m'envoie en éclaireuse, je ne l'ai pas encouragé, mais je ne l'ai pas repoussé non plus, on passe à l'autre paire, de bonne facture également, là, il me prend derrière le genou d'une main et le pied de l'autre, qu'il me met sur sa cuisse protégée par son tablier de cuir, faisant cela, il regarde mon expression, je garde le sourire.

Il me met la chaussure délicatement, me tenant le mollet, depuis que mon client est parti, geppetto est moins bourru, plus causant, il me complimente, "la chaussure se marie très bien, on croirait le prolongement de votre jambe, etc.", je fais celle qui apprécie ses compliments et contrôle ses dires, je regarde la chaussure, lui, il regarde mon string, ma jupe est serrée, je tire ma jambe afin d'écarter plus, mais je suis limité, je regarde ma jambe tant qu'il me regarde.

Ne pouvant pas s'éterniser, il m'attrape l'autre cuisse d'une main, plus fermement que l'autre, et plus haut aussi, le pied de son autre main et il me met la chaussure, me levant le pied et la jupe par la même occasion, ses regards sont moins camouflés, marchez dit-il, là aussi, elles sont à ma taille, elles sont belles également, je me rassois pour essayer les troisièmes.

En m'asseyant, je remonte encore ma jupe de façon discrète, il a vu qu'elle est plus remontée, mais il ne m'a pas vu, la remonter, le jeu m'amuse, il me refait l'article, et cette fois-ci, il caresse ma jambe en partant de la chaussure, la finesse de ma jambe en harmonie, etc., les trois premiers passages sont furtif et léger, les suivants plus appuyés, je l'écoute avec le sourire en disant soit oui, soit réfléchissant.

Et là, il rajoute, "en plus, vous avez des belles cuisses, si je puis me permettre", souriante, je dis, "vous êtes gentil, mais vous dites cela pour que je les prenne", pas du tout se défend t'il, en me touchant la cuisse avec ma jambe toujours tendue, me prenant bien le milieu du derrière de la cuisse, et de son autre main, le mollet, il me vante "la beauté de mes jambes", comme s'il voulait me les vendre.

Je joue le jeu, il me caresse complètement la cuisse et le mollet, mon regard est sur la chaussure, comme si j'étais étrangère à ce qu'il me fait, je tourne le pied d'un coté, puis de l'autre, je suis excitée, mais j'aime retarder le moment, à chaque passage, sa main fait le tour de ma cuisse, elle est maintenant presque au-dessus.

Je remarche avec, lui dis-je, afin de ne pas éterniser une situation injustifiable, je marche un peu et me regarde dans le miroir incliné, pour voir les chaussures aux pieds, je dis qu'en effet, elles me vont bien, à genoux toujours, il me tient le mollet d'une main et de l'autre, me file la jambe en me faisant l'article, sa main derrière remonte à chaque geste de sa main visible dans le miroir, il est à mi-cuisse, je me tourne en disant et de derrière, je me contorsionne.

Je me regarde, il revient vers moi, mettant sa main sur mon mollet et l'autre sur ma cuisse, au-dessus du genou en me faisant l'article toujours, sa main est plus qu'équivoque, je me pousse en disant à voix basse suffisamment audible, "mais que faites vous, avec votre main, imaginez qu'il rentre au même moment, et qu'il vous voit, il n'est pas jaloux, mais quand même, d'ailleurs, surtout ne lui dites pas, j'en entendrais parler pendant des semaines.

Vous avez raison, excusez-moi, venez dit-il, il m'emmène dans le milieu de l'allée ou les boites sont dans des casiers en vieux bois, il me dit d'attendre là, il me laisse, je me dis, "il ne va pas fermer la porte quand même, non, il fait le tour de l'allée", j'entends un bruit de boite à chaussure, il revient, retire une boite à un niveau plus bas que la hauteur de mes yeux.

Regardez dit-il, que voyez-vous, je me baisse à peine, je ne sais pas quoi voir, vous voyez la porte dit-il encore, je regarde et je dis oui, et là, en me tenant la taille, il me passe son autre main dessous ma jupe, directement au sexe, je fais un haaa de surprise, en disant, mais vous êtes fou, tout en me contorsionnant, regardez la porte crit-il, pensant à un client qui rentre ou à mon client, je regarde, relâchant mes débattements.

Personne à la porte, il me dit, "vous voyez, si quelqu'un rentre, on le verra de suite, ça nous laissera le temps de se mettre bien", je veux protester, mais il me dit, "vous me laissez voir votre culotte, vous me laissez vous tripoter les jambes, et vous ne voudriez pas plus, alors pourquoi vous êtes trempée là".

Imparable, de plus, je n'avais pas du tout envie qu'il me lâche, il m'enfonce un doigt, je ne me débats plus, là, voilà dit-il en me tutoyant, pas besoin de te débattre, tu n'attendais que ça, il me branle avec son doigt, son autre main qui me tenait, pour ne pas que je me débatte de trop, me lâche, je gémis, dans mon plaisir, je ne me rends pas compte qu'il met son tablier cuir dans son dos, déboutonne son pantalon et sort son sexe.

Il me lâche la chatte et me dit, tient, c'est pour toi, en me retournant, je ne crois pas ce que je vois, une bite droite comme un I, je dirais 4.5 x 23, et belle en plus, pas de veines ni de nœuds, il m'appuie pour que je me mette accroupie, le petit goût d'urine au départ me fait grimacer, mais l'excitation est telle, que cela ne compte pas, à ma façon de sucer, il voit que je fais cela avec plaisir, avec envie.

Il m'encourage en disant, "tu ne t'attendais pas à ça petite salope, en me montrant ton cul, humm, tu suces bien, une vraie pro, une vraie putain", je redouble de vigueur au paf, il me dit, "doucement, tend-moi ton cul, que je te récompense, je me remets debout, regardant la porte d’où je suis, il enfile une capote et va pour m'enfiler.

Pas de chance, la porte s'ouvre, un client arrive avec mon client à moi qui le suis, il se remet, moi aussi, il va dans la deuxième allée, tout en me parlant, disant pour faire croire qu'il travaillait, qu'il croyait les avoir rangées ici, mais qu'il ne les trouve plus, je dis, tant pis, mon client vient me voir, je marchais avec les chaussures.

Geppetto va voir le client, celui-ci venait juste lui dire qu'il allait lui amener des chaussures à réparer, souriant, il le reconduit, disant, oui d'accord, excuse moi, je suis avec des clients, je fais signe à mon client qu'il n'a fait que me mater dés qu'il est parti, je lui fais signe qu'il aille voir les chaussures de l'autre coté, je me mets sur le banc de la deuxième allée, le plus éloigné.

Il a repris le vouvoiement, il ne sait pas comment je vais réagir, avoir honte et me sauver, perdant sa vente, il attend de savoir quelle va être ma réaction, en me déchaussant, je lui dis tout bas, que je peux revenir samedi ou dimanche, il me tripote aussi là où ça ne se voit pas, je le laisse faire, j'ai la chatte en feu, comme il a remis devant son tablier cuir, on ne voit pas sa bosse, il me remet mes chaussures en me disant qu'elles auraient besoin d'un ressemelage, ce qui est vrai.

Il me dit que si je viens dimanche, c'est le matin, il est ouvert des fois et il n'y a jamais personne, il fait ses réparations, je lui dis qu'il me donne une carte, j'appellerais, j'avais dans l'idée de venir après mes jeux lesbiens, mais je me dis qu'après, je vais avoir la chatte toute fripée, pendant ce temps, il s'était remis debout, j'étais assise, mon client était toujours coté chaussure sur présentoir.

Geppetto me tripote, je passe ma main sous le tablier, il l'avait rangé, il la sort en laissant son dernier bouton attaché, il veille à ce qu'il n'arrive pas, auquel cas, il tournerait le tablier s'il n'a pas le temps de la ranger, il n'était qu'à moitié débandé, il reprend aussitôt de la vigueur en le branlant, mon client est au même endroit, je suis super excitée par la situation et par son sexe.

Assise, je n'ai qu'à me pencher un peu pour le sucer, il ne cherche pas a se retenir, mais il est long a venir, je m'active, alternant branlette et pipe, mais hélas, mon client, qui a pourtant flâné revient, geppetto se remet et me dit, alors, vous avez choisi ma p'tite dame, je regarde le client et lui dis que j'hésite, geppetto dit, "vous connaissez bien ses goûts monsieur, elle les aime toutes les trois".

Le client dit, alors ça nous fait combien, il regarde son carnet ou il note les tarifs de ce qu'il commande spécialement, vous prenez laquelle, elles sont au même prix quasiment, mon client dit à mon étonnement, vous me faites quoi comme remise, si j'en prend deux ou tient, les trois paires, les trois dit-il, il consulte encore son bloc et dit, je vous fais 10 % sur la deuxième paire, et 20 % sur la troisième paire, mon client réfléchit et geppetto dit, et en plus, je fais le ressemelage de celle que vous portez dit-il en me regardant.


Le pire, c'est que je n'ai même pas de remords, il m'avait dit, "si pour rester avec toi, ça doit me mettre à la rue, à la fin de mes jours, je resterais", j'avais répondu, "holà, on se calme, aujourd'hui, on a fait les fous, toi surtout, mais on arrête les frais, on se met au pain sec et à l'eau.

On prend le chemin du retour, et là, c'est le coiffeur qui m'attend, comment dire non, à 20 heures, j'étais prête, c'est la patronne elle-même qui me ramène chez lui, je prends une douche et sur le lit, tout est prêt, quand je vois ce qu'il m'a offert, je me dis que la moindre des choses, est de le satisfaire, je m'habille avec tout ce qu'il m'a sorti, mes achats de l'après-midi, une des robes du soir très décolleté et fendue comme toujours, avec les dessous et les chaussures.

Quand je suis prête, je le rejoins, charmeur, il me complimente, et nous allons à ce super restaurant, je lui dis avant d'arriver, reconnaissant la route, je n'avais pas dit, "pain sec et a l'eau", il ironise, ici, le pain sec est très bon et l'eau millésimée, le voiturier m'ouvre en me matant comme toujours, et avant d'arriver sur le maître d'hôtel, il me dit, "vous voulez voir un homme heureux, regardez-moi, là, je me sens riche".

Curieux orgueil masculin, exhiber à ses côté une belle femme, moi quand je vois cela, je ne glorifie pas l'homme, je me dis, "combien à telle dû lui coûter", moi-même d'ailleurs, je me fais toute petite, entre le collier, les boucles d'oreille, la broche, la robe, les chaussures, et ce qui est en dessous, j'en ai presque le vertige.

Maintenant, je reconnais aussi que tous ces regards sur moi, les femmes regardent mon collier, ma robe et mes chaussures, certaines également ma silhouette, les hommes eux, en plus de mon visage, sont plus sur ma jambe qui se découvre quand je la mets en avant, sur mon décolleté aussi, ainsi que ma silhouette, quant au reste, chiffons et quincaille, ils s'en foutent.

Quand je passe, je me doute des quolibets féminins, "tu as vu, quel mauvais genre" et le mari de répondre, "ha oui, c'est une honte", alors qu'en fait, il aimerait répondre, "ta gueule connasse, si elle me demandait de l'emmener, je te jette en pleine mer et je pars avec", mais toutes ne sont pas comme cela, certaines me font de beaux sourires sans mauvaises intentions.

Je ne suis pas ici pour me mesurer à celles qui ne sont plus à leur avantage, mais pour m'amuser et faire plaisir à celui que j'apprécie énormément, mon client quand il m'emmène ici, demande toujours la même table, avec le même serveur, je lui demande, "c'est parce que c'est lui qui mate le mieux", il répond, "oui peut être", le repas se passe bien comme toujours, personne n'est venu le saluer.

En sortant, il me dit, "voilà, je vais te demander quelque chose, mais quelle que soit ta réponse, rien ne changera, et déjà, nous n'irions pas, si tu ne veux pas, je dis, "accordé", en fait, c'était un cercle d'imbéciles imbues de leur personne pour la plupart, certains étaient intéressant.

Je me suis ennuyée à mourir, mais je reconnais que cela m'a permis quelques années plus tard, de faire des connaissances qui m'on ouvert des portes, quand je téléphonais pour un problème dans une société, je disais à celle qui filtre, "passez-moi Mr ….. , dite lui que nous nous sommes rencontré à tel cercle.

Je l'avais en ligne presque aussitôt, "bonjour Mr ….., nous nous sommes rencontre un soir avec Mr ….. et je suis embêtée, votre chef de dépôt, Mr machin, ne veut pas m'envoyer les documents demandés", "je fais le nécessaire Mme, comment va Mr truc, et Mr bidule, et toi ça va toi, ça va, moi ça va, etc.

Dans le quart d'heure, celui qui m'avait presque raccroché au nez, me faisait des courbettes verbales au téléphone, et j'avais les documents dans les deux jours ou par fax, j'avais fait plaisir à mon client, il a été là bas se faire briller, montrer qu'il est toujours dans le circuit, de mon côté, j'avais appris, il faut savoir que ceux qui ne fréquentent que les bas-fonds banlieusards, à part niktamère et d'autres mots aussi idiot, ne risque pas d'évoluer.

M'ennuyant dans ces genres de soirée certes, mais ça oblige à surveiller son langage, et nous en apprend un autre, on se cultive par la force des choses, chacun connaissant un sujet, et voulant l'apprendre à un autre pour paraitre plus intelligent, qu'on ne s'y méprenne pas, je n'ai pas dit que dans ce milieu, ils étaient intelligent, mais seulement instruit.

L'instruction s'acquiert, et ne rend pas intelligent, mais l'intelligent, il s'instruit facilement, il y a beaucoup de cons instruits, et rarement de cons intelligents, l'instruction s'achète avec du fric, l'intelligence est un don, par mes nombreuses soirées de ce genre, par expérience aujourd'hui, je serais presque tentée de dire que l'instruction empêche l'intelligence d'éclore.

Se faisant tard, nous sommes rentrés, une douche, puis en sortant, dans une chambre où il me dit d'entrer, comme je m'y attendais depuis sa dernière visite, il avait investi dans du matériel, voyant cela, je mouille directe, il y avait un montage en tube, je savais à quoi cela servait pour l'avoir vu dans certains films qu'on prêtait à mon mari.

Mise nue, il m'attache à l'horizontale inclinée un peu en arrière, pieds attachés, genoux attachés cuisses très écartée, une barre très molletonnée me tient les reins, mes bras, pendant vers le sol sont attachés, mes épaules maintenues, et une barre est sur mon ventre niveau nombril, les seules choses que je peux bouger, se sont mes yeux et mes doigts, ma dorsale est maintenue, ma tête est maintenue aussi et fixée.

La position devant mon client est jouissive, mon sexe est à un mètre du sol, il me caresse, me fait frémir, m'excite, j'ondule du bassin de façon imperceptible tellement je suis bloquée, je suis folle d'impatience qu'il me touche le sexe, le clito, tout ce qu'il veut, mais rien, je n'ai que des caresses indirecte, puis il dit, ça y est, ça suinte.

Ça s'est sur, à force de caresse, il m'avait chauffée à blanc, mes gémissements devenait plus forts, plus fréquent, n'y tenant plus, je lui dis, fais moi jouir, tu veux dit-il, je réponds, oui, il vient me mettre un bâillon-boule, il retourne à son observation de ma chatte, et là, ce fut horrible, horriblement bon, m'enfonçant un gros plug lubrifié de ma cyprine, il me vibre le clito, le plaisir est intense, et je suis obligée de soutenir l'insoutenable, je hurle de ce que permet le bâillon.

Mes hurlements silencieux sont saccadés par le plaisir, la torture était inhumaine, l'excitation à son maximum pendant plus de dix minutes surement, j'étais en sueur, dans le même état que si j'avais fait un cent mètres en plein soleil, il continue encore, mais il se met sur le côté, me tripotant les seins, j'avais cru qu'il allait me fouetter, mais non, j'en avais pourtant envie.

Il recommence à me malmener le sexe, à m'exciter, je pousse des "hu, hu, hu" étouffés, puis encore un laps de temps qui m'a semblé une éternité, il me détache la tête, retire le bâillon, il incline l'appareillage cote tête, il ouvre son peignoir et m'enfourchant la tête, il me met son sexe dans la bouche, son érection ne permet pas une pénétration, mais ce n'est pas non plus une serpillière.


Je le suce pendant qu'il me gode encore, je repense au sexe de geppetto pendant ce temps, ce n'est pas sympa d'être avec l'un et penser à un autre, mais je suis comme ça, avec tout le monde, comme il m'est arrivé en allant voir un libertin, sur le chemin, croiser un type qui me mate en me garant a coté du trottoir, et en me faisant baiser par le libertin, penser au voyeur qui bien souvent, est beaucoup moins beau que le libertin en question.

Je suce goulument, le plaisir me tenaille toujours, j'attends la délivrance de l'orgasme, il donne des coups de bassin, il me baise la bouche, je suis limitée dans mon mouvement, mais pas lui, au bout d'un moment, surement celui où il sent qu'il est presque à jouir, il me pénètre avec le gode et me baise avec, j'arrête de le sucer et je hurle de plaisir.

Je jouis longuement, profitant de chaque soubresaut de ma chatte sur le gode, je gémis de plaisir, une fois l'orgasme passé, je suis complètement vidée, je suis trempée de partout, je souffle comme une bête, il me détache, mais je suis incapable de bouger, ma chatte est comme une bûche de baise, l'orgasme, c'est comme si on avait jeté de l'eau dessus, ça a calmé la température, mais une fois l'eau évaporée, ça recommence à chauffer.

Je lui demande de m'emmener dans la salle de bains, sans me savonner, je me douche pour virer cette sueur, mes esprits et mes forces revenus, je le rejoins dans sa chambre, je me love sur lui, il m'embrasse partout, l'excitation, pas loin revient, j'ondule sous ses caresses, rien que quand je le sais descendre pour aller me sucer, j'en ai la chair de poule, et quand je sens sa bouche me toucher le sexe, je fais un "" de plaisir.

Je m'abandonne complètement à ses caresses ainsi qu'a ses fouilles, je ne pense qu'à mon plaisir égoïste, j'ondule pour accompagner ce qu'il me fait, et fatalement, je jouis dans sa bouche, son doigt dans mon anus, sent les petites contractions de celui-ci, je lance des "je jouis, je jouis, oui, haaa, c'est bon", cela est inutile, ces petites contractions lui permette de le savoir.

Contrairement à la première fois, ou j'ai vu qu'il avait un peu honte de mettre un gode ceinture, cette fois-ci, il se le met de lui-même et me baise, en levrette pour commencer, puis en missionnaire ensuite pour m'entendre, si dans les débuts, j'étais réservé à jouir sans retenu, maintenant, ce n'est plus le cas, contrairement à mon mari où je lui dis des "je t'aime", là, je m'abstiens.

Je m'abstiens aussi de parler, car avec mon mari, lors de nos ébats, lui ou moi, on relate l'inhabituel, par exemple, s'il était mon mari, je dirais, "la gouine, elle m'a fait jouir en me chatouillant, j'embrassais ses seins, elle m'a mis des coups ensuite et je l'ai sucé, après un vieux m'a tripoté et je l'ai sucé, il avait une belle bite", bien souvent, je ne termine pas, je jouis avant.

Là, si avec la gouine, il ne dit rien, j'ai peur qu'avec geppetto, il se sente frustré, de ce qu'il m'a dit en voiture, comme avec celle de la boutique de lingerie, il avait eu des écho sur sa préférence sexuelle, et il en a été de même avec geppetto, ayant entendu par des bigotes, "ho mon dieu, il répare très bien les chaussures, mais il y a intérêt à y aller en pantalon, le sale vicieux nous regarde en dessous.

Mon mari dirait, "elle fantasme, je suis vicieux, mais avec ce genre de cageot, je préférerais me crever un œil, plutôt qu'avoir par inadvertance, regardé leur culotte pleine de toiles d'araignée.

Pendant qu'il me baise, je pense à geppetto, à sa bite qui a la dimension qui me convient en grosseur, sauf qu'elle est trop longue, mais elle est belle, si je ne l'avais pas eu en bouche, j'aurais pensé que c'était une prothèse en plastique, quand je suis prête, je lui serre la tête dans mes bras, et à cote de son oreille, je cris le plaisir qu'il me donne, après cela, je lui fais sa pipe intégralement pendant qu'il m'embrasse les jambes et cuisses.


Je m'en doutais un peu qu'il fût amoureux, j'avais vu ce regard-là dans les yeux du client d'Henri sur Marie, mais il n'y a jamais eu de problèmes, à cette époque, je savais qu'il était amoureux, qu'il "coquinait", j'ignorais juste a quel point c'était, il était comme lui aussi, très très généreux, même avec ma copine et moi, nous le lui rendions dans un domaine qui lui faisait plaisir aussi, et nous ne le prenions pas pour un portefeuille.

La copine, l'a bien récompensé, mais elle l'a fait pour son plaisir à elle, et non pour ce qu'il lui a acheté, si demain, il retourne à paris, et qu'il n'achète rien, sachant qu'il est là, elle va venir le voir et si elle est comme la fois d'avant, délaissée sexuellement, il devra la soulager.

La matinée, on fait le marché, on mange de bonne heure, et en début d'après-midi, on passe voir le jeune copain à mon mari, celui qui avait eu l'accident, je me suis mis en tailleur sexy, je l'avais vu me mater la dernière fois à l'hôpital, quand on sonne, sa mère et lui nous reconnaît et nous fait entrer, ils nous offrent un thé, le jeune va mieux, il a recommencé à faire des ballades moto.

Il appelle son copain pour venir nous saluer, il me demande ou est mon mari, je dis qu'il n'a pas pu venir, mais quand il sera là, qu'il passera les voir, le copain arrive, il y aura toujours une moto pour lui disent-ils, entre chaque coup d'œil sur mon chemisier, ils me proposent même une ballade, si je sais en faire, je rigole en disant qu'en moto, je dois être aussi doué que lui en broderie.

Le copain qui vient d'arriver doit partir travailler, le client voit bien les coups d'œil du jeune, il s'en amuse et il me fait un regard complice, il sait que je me suis habillée pour lui, je lui avais dit qu'il me matait, comme sa mère est là, il mate discrètement, il fait de l'intérim, et en ce moment, il ne travaille pas, la mère nous rappelle que quand mon mari sera là, qu'on est invité.

Au fil de la conversation, elle nous demande si on visite, je réponds que non, on a trainé toute la journée d'hier, et que cet après-midi, on se détend dans la piscine, elle dit "de ce temps-là", le client répond qu'elle est couverte, le jeune dit, "la chance", le client leur propose, "vous voulez venir", la mère dit non, qu'elle ne sait pas nager et quelle a du travail, le jeune, dit, "je ne voudrais pas vous déranger".

Si on vous le propose, c'est que vous ne dérangerez pas dit mon client, aller, venez, si vous tombez dans l'eau, vous vous ferez moi mal qu'à moto, il prend sa voiture et nous suit, je regarde le client qui sourit et dit, il va se régaler les yeux, je lui dis, c'est ce qu'il faisait déjà, à la maison, je me change, eux aussi et ils sont déjà dans l'eau quand j'arrive.

A suivre.
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Histoire de annizette

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