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Le client 8

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Lue : 1186 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 27/03/2017

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Il fait celui qui patauge sans faire attention à moi, mais je vois bien qu'il ne me lâche pas des yeux, on fait quelques brasses, quelques crawls, on fait la course, il gagne, le client va chercher des jouets d'eau, frites, matelas, bouées, on chahute tous les trois, puis le client, va lire un peu sur une chaise longue, je reste avec le jeune, on continue de jouer, il reste correct, c'est moi qui n'hésite pas à le chahuter le plus, je le tape avec un frite, je le renverse à l'eau quand il est sur la bouée.

Timidement, il me rend la pareille, et comme je rigole, il ose plus, je le tape avec une frite, qu'il me prend des mains et ou je me sauve pour ne pas qu'il me tape, il me rattrape par les pieds, par les jambes, quand on est là ou on a pied, il me lance dans l'eau où c'est plus profond, des fois, je me débats, je tombe sur lui ou c'est lui qui tombe sur moi.

On s'amuse comme des petits fous, je lui saute sur le dos en lui disant "hue", comme s'il était un cheval, son corps m'excite, le mien également, car quand il me rend la pareille, je sens quelque chose dans mon dos, je ne laisse rien paraitre, nous chahutons jusqu'au moment ou par inadvertance, en voulant lui échapper, je lui met un coup de pied là ou il ne faut pas.

Le client avait reçu un appel et était dans son bureau, le pauvre jeune, était tout pale, je m'excusais, il disait, "c'est rien", il a mis un bon quart d'heure à récupérer, on était sortie de l'eau, en moi-même, je me disais, "je voulais l'exciter, et en fin de compte, je lui casse les couilles au sens propre", le client, quand il revient et que je raconte mon méfait, nous apporte un thé et café avec des petits gâteaux.

On discute de l'accident moto, parait que mon mari leur avait dit plusieurs fois, qu'ils roulaient trop prés l'un de l'autre, qu'ils ne l'écoutaient pas et qu'ils ont regrettés, j'ai répondu que mon mari, c'est un fou en moto, alors s'il dit qu'il ne faut pas faire une chose, c'est que déjà la limite est bien dépassée.

Le jeune va au WC, je réponds au client que j'ai bien aimé ses mains raisonnablement baladeuses, surtout depuis qu'il a été téléphoné.

J'attends un fax dit-il et je dois téléphoner, je vais vous laisser, quand le jeune arrive, il avait déjà repris des couleurs, le client justifie son départ, je dis au jeune de façon sérieuse, et à voix basse, "vous avez tordu une espèce de plastique sur le bord en vous tenant tout à l'heure", ou ça dit-il et quand je fais celle qui lui montre, lorsqu'il se penche, je le pousse, quand il se met droit et s'essuie les yeux, je plonge à coté.

Je lui dis, aller, c'est comme une chute de cheval, il faut remonter aussitôt, sinon vous aurez peur de l'eau, faisant celui qui veut se venger, il me dit, si je vous attrape, vous allez voir, quand il m'attrape, il me met sa tète entre les genoux et me lève en m'appuyant sur les cuisses pour ne pas que je me sauve, m'obligeant à battre des mains pour rester la tête au-dessus de l'eau.

Je rigole en disant non-pitié pas ça, au bout d'un moment, il me lâche, je fais celle reprenant sa respiration, là ou c'est peu profond, et d'un coup, je lui saute dessus de face, le déséquilibrant, je l'enserre au ventre de mes cuisses, j'ai son corps contre moi, lui en se débattant, me touche les cuisses et le ventre, frôle les seins, mais très faiblement.

On chahute encore un certain temps, puis la fatigue arrive, on remonte, je vais à la douche, je l'oblige à y aller aussi, il ne voulait pas abuser, j'en profite pour téléphoner à la boutique de lingerie pour 15 heures et à geppetto pour le dimanche matin après 9 heures, je dis au client, qu'il ma juste fait des attouchements très léger, il me demande si je veux l'inviter au restau, je dis que je préfère faire à manger et que je ne voudrais pas qu'il pense que je le délaisse pour un jeune.

Il me répond que de m'entendre rire, comme cet après-midi, il était content, il me dit même que je peux lui dire de rester dîner, je le propose au jeune, qui par politesse, dit qu'il a déjà trop abusé, mais je vois bien qu'il a envie de rester, car lui demandant ce qu'il fait ce soir, il dit "rien", je force en disant, appelle ta mère, tu manges avec nous, et je te promets de ne pas te mettre de coup de poêle.

Repas frugal, le resto, c'est bien, mais pas sans arrêt, j'ai cuisiné pour le jeune, qui lui n'avait pas de ligne à surveiller, j'étais en short avec un tablier pour faire la cuisine, mais pour manger, je m'étais rhabillée sexy, le jeune me matait quand j'allais chercher les plats, le client souriait, et à la fin du repas, au moment de sortir, il nous dit, "ça vous dérange, si je ne viens pas, j'ai un souci professionnel que je voudrais régler".

Disant cela, à son air, je vois bien le mensonge, confirmé par son sourire que le jeune ne voit pas, je suis surprise par la réaction du jeune homme, qui dit, "ha non, quand même pas', je lui demande si c'est parce que je lui fais honte, il répond, surement pas, mais votre mari, je comprend alors, qu'il a un peu peur de ce que dira mon mari, j'attrape le téléphone, et l'appel, coup de chance, il est là.

Après les petites banalités de couple, je lui dis en mettant le haut-parleur, "j'ai ton petit copain qui est là, il va mieux, on a chahuté dans l'eau tout l'après-midi, il a mangé avec nous, et il refuse de me sortir ce soir, me trouvant trop vielle et moche probablement", je jeune fait un air pour dire qu'il n'est pas d'accord avec ce que je viens de dire, je retire le haut-parleur et je lui passe.

Après le bonjour et comment il va, il lui dit qu'il n'a pas dit cela, mais ne pouvant pas parler comme il voudrait, il s'empêtre dans des explicitations qu'il ne peut terminer, mon mari lui dit, tu ne vas quand même pas la laisser sortir toute seule, il lui faut un garde du corps, je jeune lui répond, "si ça ne te dérange pas, je veux bien".

Je reprends le téléphone, je l'embrasse et je dis au jeune, alors, il répond, "moi bien sûr que je suis d'accord", je lui demande où il a l'intention de m'emmener, car je ne connais pas les endroits pour, il en énonce plusieurs, pendant que je débarrasse, il retourne chez lui s'habiller pour sortir, et le client me tripote quand j'ai fini, il me demande si je suis contente, je ne peux que dire oui, il me déshabille, m'embrasse, il me donne un orgasme avant son retour, je vais aussitôt dans la salle de bains.

Profitant de ce laps de temps, le client l'a forcé à accepter quelques billets, en lui disant, qu'il ne va quand même pas m'emmener a ……………., (endroit mal famé), je reviens en robe du soir avec décolleté, je reconnais que je suis taquine, quand je vois sa tête qui parle pour lui, de son coté, je reconnais bien là l'homme qui est plus au loisir qui remue, qu'à la mode des impotents, mais autant j'aime être très bien habillée, autant pour un homme, je m'en moque, du moment qu'il est propre.

Je m'amuse comme une folle, je lui tends mon bras pour qu'il m'emmène, il m'ouvre la porte, je crois que sa mère à deux ans de plus que moi, je pourrais donc l'être sa mère, on dira ce qu'on veut, mais quand on sait, qu'on fait fantasmer un jeune qui a la moitié de notre âge, ça fait quelque chose, j'ai mis le pan de ma robe sur le côté, ça me découvre les jambes à mi-cuisses, qu'il ne manque pas de regarder quand on passe sous un lampadaire.

Pendant le trajet, il n'a fait que de parler de mon mari, il est sympa, il sait rouler, il est ceci, il est cela, il était moins une, que je lui demande, s'il ne voulait pas l'épouser, mais je savais qu'il essayait de meubler l'ambiance, ne pas s'humilier par son silence, on arrive, je suis étonnée, je pensais qu'il allait m'emmener dans un endroit pour ceux de son âge, là ou on est, c'est plus calme, plus pour les quinquas, moi ça passe encore, mais lui.

Je vais pour payer, car je me doute qu'il n'a pas les moyens, j'avais préparé deux billets, car je n'emmène jamais mon sac dans ces endroits-là, mais il m'avoue que le client lui a donné de quoi régler la soirée, je lui demande de prendre mes billets, autant personne ne remarque ou trouve à redire quand je suis avec quelqu'un qui a plus de trente ans que moi, autant avec un qui en a vingt de moins, ça les choque, surtout que, là, j'en parais sept de moins (d'après ce que me disent, ceux qui n'ont pas intérêt à mentir, ni à me faire plaisir), j'ai donc l'air d'en avoir treize de plus.

On prend une table avec nos boissons, il a l'air aussi à l'aise que je le serais sur sa moto, je lui dis en plaisantant, car il était là physiquement, mais absent mentalement, ne sachant pas quoi faire, je lui dis, "allô la lune, ici la terre, si on se mettait en piste", il me dit, "vous voulez danser avec moi", je réponds, "non, je suis venue ici pour faire la vidange des bagnoles des clients, aller vient, nigaud, si je suis venu avec toi, ce n'est pas pour que tu ne me serves que de chauffeur".

On va sur la piste, et là, il me tient comme si j'avais la lèpre, je lui fais remarquer que dans la piscine, il faisait moins le dégouté quand il m'attrapait, il me dit, "oui, mais qu'est-ce qu'ils vont dire ceux autour", je lui réponds, ça te préoccupe tant que ça, l'avis des imbéciles", répondant non, je dis, "alors moi, je m'en moque encore plus, et puis, tout à l'heure dans la voiture quand tu regardais mes cuisses, et à table dans mon décolleté, tu ne t'occupais pas des autres".

Il a voulu se défendre, je lui ai, dis, "si tu ne l'avais pas fait, je me serais dit que tu es un PD, tu n'es pas PD j'espère", se défendant aussitôt, je lui dis, " alors", et là, il m'attrape comme un homme, et pour bien lui faire comprendre, je me mets complètement contre lui et je lui murmure à l'oreille, "laissons les croire que nous sommes un couple amoureux".
En dansant, collé l'un à l'autre, je lui demande s'il aime, il fait " wouuu", et je lui dis, que je suis contente qu'il se soit remit de ma maladresse à son encontre, lui rappelant le coup de pied involontaire dans les bonbons, il répond, "ha oui, il y a longtemps déjà", je luis dis, "oui mais moi, je ne m'en rends compte que maintenant, ce qui par moment, je sens sur le haut de ma cuisse.

Il s'excuse en se poussant, je le retiens et je lui dis, "non reste, ça ne me dérange pas du tout", il s'est frotté, il a voulu en parler à table, j'ai dit, "chut, je me rappelle plus, et si on danse encore et que tu recommences, après la danse, je ne m'en rappellerais plus non plus, je vois un type qui arrive pour m'inviter, je lui prends la main et quand le type me demande, je lui dis que ce soir, je suis réservé pour la soirée, il repart peu content.

Mon jeune me demande pourquoi je ne danse pas, je lui dis, "ho ça ne me dit rien, si je dois sentir quelque chose sur ma cuisse, je préfère que se soit toi qui en profites, on a fait plusieurs danses, il s'est bien frotté, mais il avait la peur de mon mari et j'avais aussi un petit blocage pour plusieurs raisons, son âge, et ses rapports avec mon mari.

Ce qui fait que ce soir-là, ou j'avais dans l'idée d'être enclin à être cool, la peur de mon mari a fait, qu'il n'en a pas profité, et comme je ne prends jamais ce genre d'initiative, je joue les gourdes, je joue celle qui n'est pas farouche, je joue toujours les victimes, celle qui s'est fait avoir, celle qui n'a pas fait attention, mais jamais, je ne fais les pas en avant.

Il m'a ramené à la maison, j'avais mis mon pan de robe beaucoup plus haut qu'à l'aller, je le vois qu'il regarde et il voit que je l'ai vu, il dit, "vous avez dit que je pouvais", je réponds, "je n'ai rien dit là", on s'est dit au revoir, et je lui ai dit en rentrant, j'espère qu'on se baignera à nouveau, et quand il répond quand, je réfléchis et dit, peut être dimanche après midi, je te le dirais le midi.

Le client était au lit, je l'ai rejoint, il a éteint en moi, le feu que le jeune avait allumé, le matin comme d'habitude, nous avons été nous promener en bord de mer et comme le soir, on allait au restaurant, on à manger de bonne heure à la maison, il savait que l'après-midi, je n'étais pas là, ayant une course à faire, je pars tôt, j'avais vu une gourmette dans une bijouterie en se promenant.

Je l'achète sous condition de gravure rapide, faisant du forcing, que je doive repartir sur paris, on me promet, mais que pour dimanche matin, je dis ok et à l'heure dite, j'arrive au magasin de lingerie, je vois qu'elle ne ferme pas, une vendeuse est là pour la remplacer, elle ne me fait pas rentrer, elle sort avec un sac et me dit de la suivre.

Nous roulons peut-être trois kilomètres, elle rentre dans un pavillon, je la suis, je n'ai pas peur, elle sait qu'on sait avec qui je suis, je m'étais habillée, mais elle me donne d'autres vêtements, plus hard, genre tenue de travail sur les trottoirs, elle me dit, quand tu es prête, tu descends, et à partir de maintenant, je suis "madame" je t'appellerais pour venir, "oui Mme", je m'habille et descends quand elle me le demande, j'ouvre la porte, elle la referme derrière moi.

Elle est habillée comme je me doutais, en dominatrice sexy, allant là ou elle me fait comprendre, je sursaute, J'ai la surprise de voir deux femmes avec un petit masque, habillée sexy aussi et comme elle, en dominatrice, je me dis, que je vais encore "souffrir", je sens que je mouille, les deux femmes ont le même âge qu'elle apparemment, elle me pousse d'un coup de cravache sur la fesse, les deux femmes ne bouge pas, elle me fait lire un mot que je dois répéter aux deux autres", je suis la putain de madame…….. , Je me suis mise volontairement à son service, elle a tous les droits sur moi et peut m'utiliser à sa guise, et elle me donne à vous".

Elles ont toutes les trois les pointes des seins à l'air, ainsi que le sexe et l'anus, moi, j'ai un soutif qui ne tient que le dessous et je n'ai que le porte jarretelle avec les bas, une jupette, ras de la moule, une femme se lève et me dit, alors, tu es une salope de bourge qui vient se faire dresser, à chaque fois, je dois dire "oui madame", (je ne l'écrierais plus, pour éclaircir la lecture).

L'autre femme se lève aussi et s'étale le ventre sur une table préparée avec des couvertures, va te mettre accroupie derrière et lèche lui le cul, c'est toujours un moment que j'appréhende, mais ça va, le cul est propre, je la suce, je prends un coup de cravache avec un "mieux que ça putain", j'y mets plus d'entrain, l'a femme m'enfourche pour me tenir les seins et peu après, je sens une main sur mon sexe qui est très humide.

Elles me stoppent, celle qui me pelotait se met sur la table, sur le dos, elles me mettent à genoux entre ses cuisses, elles me ménagent, j'ai une mousse pour mes genoux, j'ai ses jambes sur mes épaules et je la suce, la patronne de la boutique me dit de lui tenir les jambes et de la faire jouir, puis avec l'autre femme, elles vont de chaque côté la tripoter et la tenir, ses cuisses sont sur mes épaules, je commence à la sentir partir pour le merveilleux voyage, elle se raidit, elle se cambre plusieurs fois.

Puis à un moment donné, elle veut se soustraire au surplus d'intensité, les deux autres la tiennent, je continue à la maintenir au bassin, je la suce, je lui pince le clito entre mes dents, je le fais rouler entre mes lèvres, pendant qu'elle reste immobile puis c'est l'explosion de plaisir, elle gueule sa jouissance, elle m'enserre de ses jambes pour que je n'en perde pas une goutte.

Une fois terminée, l'autre femme prend sa place, aller suce moi sale pute, sauf que là, elle est plus sur la table, j'ai le cul à hauteur, pendant que je suce, derrière, on m'écarte les pieds, et on me les attache à un tube pour garder l'écartement, j'ai également les genoux fixés et tenus par les pieds de table, mes poignets sont tendus en avant et fixé de l'autre côté de la table.

Une fois fait, on me tripote la chatte, on me doigte, je gémis pour faire savoir que j'aime, une fois bien humide, j'ai un plug d'enfoncé, en même temps qu'on s'occupe de mon clito, j'apprécie fortement ce qu'elles me font, celle dont je m'occupe aussi apprécie ma prestation, j'aime autant ce que je lui fais que ce qu'elles me font.

Pour le moment, c'est le ralenti, les choses sérieuses commence, dessous la table, l'autre femme qui me doigtait à allumer un gode et me vibre le clito, je tente un mouvement, mais je ne peux pas bouger, puis d'un coup, j'ai un coup de martinet qui me cingle les fesses, le gode me vibre, le martinet me cingle, j'ai dû en recevoir dix coups, le cul me chauffe, mais le gode me fait tellement de bien, je ne suce plus, je hurle vouloir jouir.

Les coups sont finis, celle dessous continue à m'exciter, et celle que je suce me dit, dés que je jouirais, je lui dis de t'enfiler le gode, je m'applique, on me retire le plug, et on me sodomise, le fait d'être fixée, empêche de se mettre dans la meilleure position pour jouir, ce qui fait que l'excitation monte toujours, mais n'explose pas, c'est tellement bon, que je fais tout ce qu'il faut pour qu'elle jouisse et qu'on me donne la délivrance de l'orgasme, ce que je ressens est intenable.

Le gode ceinture va lentement, accentuant l'excitation déjà au plus haut niveau, je commence à ressentir une ondulation qui me fait dire que je suis sur la bonne voie, je suce en alternant avec son clito que je roule sous ma langue, elle gémit, elle ondule, contrairement à moi, elle peut bouger pour se mettre dans le bon chemin de l'orgasme, arrivé a un stade, on n'attend pas qu'il arrive, on va le chercher, c'est ce qu'elle fait, et elle jouis.

Elle m'enserre aussi la tête aussi, et là, le gode me rentre dans la chatte, elle branle mon clito, cela ne dure pas, elle continue à me maintenir aux portes du plaisir, mon anus est libéré du gode ceinture, mes mains et chevilles aussi, la table est vide, elle me demande de m'allonger dessus pour que je me finisse au gode, l'une des femmes regarde ma chatte en me tripotant l'entre cuisse et le clito, les deux autres me tripotent fermement les seins et me regarde le visage.

A part la patronne de la boutique, les deux autres sont masquées, j'ai honte de ce que je fais, mais c'est tellement excitant, je souffle comme une baleine, je gémis, je me cambre en levant le bassin à fond, puis j'explose, la femme au masque se penche sur moi, elle teste ma bouche, je me laisse embrasser, nos langues se mêlent, celle sur ma chatte, me pousse le gode et me lèche.

La patronne va derrière celle qui me suce et la baise, puis elles échangent de places, c'est elle qui me suce maintenant, celle qui me caressait, monte sur la table et me met son sexe sur la bouche, elle continue à me tripoter les seins, la patronne en me suçant, se fait baiser par celle derrière.

Si quand j'étais jeune, d'être sucé par un ou une novice était excitant, bien souvent, c'était l'effet nouveau partenaire, qui faisait qu'on apprécierait, mais a force, l'expérience, je dois reconnaitre, qu'être sucé par une autre femme, est très excitant, plus pointu, les deux femmes sucent très bien, mais la patronne, elle est divine, elle m'approche du plaisir et quand elle voit que je suis partante, elle stoppe tout.

Elle me met complètement nue, je n'avais pas tout vue, mais il y a un petit piton au milieu du plafond, elle accroche une poulie avec une corde, les autres m'attache les poignets ensembles puis sur la corde, elle tire sur l'autre bout, en fait, la corde est accrochée à la poulie, j'ai une poulie au poignet, il y a cela sur les voiliers, quand elle tire 20 cm, mes bras sont levé de 10 cm, c'est un effet de levier, ça lui permet de me tendre au maximum en forçant moitié moins.

Avant de tendre, une autre me fixe les chevilles ensembles, une fois que je suis un peu tendue, avec du sparadrap, elle me fixe un boîtier, celui-ci est relié à des boules vibrantes, elle me met ensuite une petite barre entre mon cou et me bras, m'obligeant à avoir la tête en arrière, mes bras sont tendus.

Elles sont autour de moi, avec un martinet, je sais ce qui m'attend, j'en suis tout excitée, on me met les boules en marche, pleine puissance, j'ondule de ce que je peux, puis les coups pleuvent, sur mes seins, sur mes cuisses, sur mon cul, dans mon dos, je me contorsionne, je me tourne d'un coté, l'autre me frappe derrière, et comme à chaque fois, combinée aux boules qui vibrent, à ces trois femmes sexy autour de moi qui m'insultent à tout-va, à l'humiliation, les coups qui piquent au départ, finissent par devenir plaisir.

À l'expression de mon visage, la patronne devine que je suis passé de l'autre côté, coté plaisir, tu veux qu'on arrête salope dit-elle, je réponds non, sans dire madame et elle me met un coup bien plus fort, je crie de douleur, mais j'apprécie en disant le oui madame, elles continuent à me frapper comme avant et je finis par jouir.

Elles arrêtent de me frapper et viennent me caresser, prolongeant mon orgasme, elles me détachent et m'emmènent sur la table où je m'allonge, elles me passent ensuite une crème qui calme, car quand l'excitation n'est plus, ça cuit, l'étalement de la crème, est une caresse de plusieurs mains, mon cœur bat vite, les deux femmes, prennent congé en m'embrassant sur les lèvres.

Nous finissons toutes les deux dans un lit chez elle, dans sa chambre, comme des amantes, s'embrassant sur tout le corps, elle m'a sodomisée et baisée avec le gode ceinture, je l'ai baisée à mon tour, et nous avons fini avec Gaston (gode a deux bouts), nous nous sommes reposées, nous avons discuté et je suis repartie de chez elle.

Elle m'a informée, que les deux femmes risquent un jour d'être à la boutique et d'abuser de moi, si elle décide de me faire confiance, et elles le feront, elles n'auront plus le masque, cette info est une manière déguisée de me demander mon accord.

Après cela, je vais dans une bijouterie que j'avais repéré la fois d'avant, au retour, sachant que je sortais, je passe voir au salon, si me coiffer est possible.

Ça ne l'était pas, mais elles m'ont prise quand même, le client avait du leur faire la leçon, car elle n'a pas voulu que je paie, en rentrant, je passe à la douche, ma tenue était prête, sans string ni soutien gorge, le client adore m'avoir à sa table, il me répète souvent, ne plus vous caresser me ferait de la peine, mais ne plus vous avoir comme compagnie à table, ça me peinerait beaucoup, je lui ai répondu, vivons les moments présents, ce que vous craignez n'est pas à l'ordre du jour.

Nous sommes sorties dans un bon restaurant, mais classique, un serveur me lorgnait, mais il ne me faisait rien ressentir, contrairement à celui du restau huppé, il était pourtant plus beau, mais on ne commande pas ce qu'on ressent, nous sommes passés là où on danse, et ou nous avions rencontré un type, mais on ne l'a pas vu, j'ai dansé avec quelque un qui m'ont tripotée légèrement, mais sans plus, et puis peut être aussi, mon après-midi m'avait repue en excitation.

En rentrant, dans son lit, il m'a embrassé partout, et se doutant surement de ce que j'avais fait à la boutique, il me laisse tranquille, être dans ses bras lui suffit, pendant ce temps, je me dis que j'aurais dû décommander geppetto, car j'étais en surdosage sexuel.

Le lendemain matin, je me réveille, j'avais le client dans mes bras, il était déjà réveillé, mais il n'a pas voulu rompre le charme, d'être dans mes bras disait-il, nous déjeunons et je le laisse, je m'étais habillé en tailleur, porte jarretelle, au lever, l'envie était modéré, mais à mesure que le temps passait, l'excitation montait.

J'arrive à sa boutique, geppetto m'ouvre puis referme ainsi que les lumières du magasin, il me tend mes chaussures en disant, prend les maintenant pour pas que j'oublie, une fois fait, il change de ton et me dit, viens là salope, j'ai une petite surprise pour toi, il m'entraîne là ou la première fois, on avait été, entre les allées, je vois qu'il a mis par terre de la mousse avec une couverture dessus.

Il me retire mon chemisier, ma veste et ma jupe, il retire son pantalon et chemise, pour l'âge, il n'est pas mal foutu, son slip est déformé, il me dit va-y, c'est pour toi, je lui dis, j'aime les surprises, on verra dit il, j'ai l'agréable surprise qu'il se l'est lavé avant que j'arrive, je le suce, je me régale, il me traite de pute, de salope, il me demande d'écarter les genoux.

Pendant que je le suce, il me tient la tête, les mains au niveau des oreilles, je suce avec plaisir, je ne regrette pas d'être venue, d'un coup, je sens une main qui me prend la chatte, je veux me dégager pour voir ce qui se passe, mais geppetto me retient, la surprise passée, cette main me procure excitation.

Pour l'instant, peu importe ce qui se passe, le plaisir l'emporte, je me laisse faire, je ne sais pas qui est-ce, je pense à sa femme surement, geppetto lui, m'encourage, "vas-y suce ma salope, elle est bonne ma bite, vas-y oui comme ça, bien, après, je vais te la mettre dans la chatte et dans ton cul".

Pendant qu'il m'informait du programme, derrière, on me baisse mon string, jusqu'aux genoux, je les rapproche, je lève un genou puis l'autre, mon string n'est plus, une langue me lèche l'anus, je gémis, geppetto me dit de continuer à sucer, chose inutile, car le plaisir d'être léché, décuple mon envie de sucer.

Après cela, la personne derrière me fait écarter les genoux et va mettre sa tête dessous, le plaisir me fait ouvrir toute grande la bouche pour gémir de plaisir, je me remets aussitôt à sucer, je sens un doigt qui se presse a mon anus, un pouce, celui-ci rentre sans peine tellement c'est mouillé, privilège de l'âge surement, je suce, mais il se retient bien, il est pourtant bien dur, moi par contre, je commence a basculer vers l'orgasme.

Ma jouissance éclate, j'ai lâché sa queue et je cri mon plaisir, je termine mes derniers soubresauts en me la remettant en bouche, une fois l'hystérie de l'orgasme passé, nous changeons de position, je suis toujours à genoux, je me retourne et découvre non pas sa femme, mais un complice, un homme de son âge au premier abord mais qui n'aurait que 55 ans, moins atypique, geppetto, capoté, m'enfile aussitôt ne levrette, je ne suis plus qu'un objet de plaisir prêt à faire tout ce qu'on lui demande.
Le type devant moi, retire aussi son pantalon et sort sa bite, plus grosse, mais bien moins longue, moins belle aussi, une bite ordinaire mais propre, lavée il y a peu, je lui prends en bouche, pendant que je le suce, il dégrafe mon soutif puis m'attrape les seins d'une main pendant que l'autre me tient la tête.

La bite de geppetto, bien trop longue me fait mal parfois, mais surement le ressent il, et ne me rentre pas tout, par contre, il me bourre bien en me traitant, ils discutent ensembles de la salope que je suis, mon sucé dit, "ça c'est vrai qu'elle suce bien ta salope, je regrette pas d'être venue, tu avais raison, elle doit être secrétaire de direction pour sucer aussi bien".

Apres cela, geppetto m'allonge sur la couverture, se met derrière et me sodomise, il me fait rouler, je me retrouve sur lui qui est sur le dos, il se cramponne a mes seins, l'autre s'allonge et me suce la chatte ainsi que le clito, je suis au paradis, geppetto me demande, si je ne regrette pas qu'il ait demandé du renfort, je réponds qu'il a eu entièrement raison.
Le type n'a rien d'un beau gosse, mais sa langue est divine et il s'affaire à la tache, fatalement, à force de travail acharné, l'orgasme m'arrive et je jouis en hurlant, dans la bouche du type qui me boit jusqu'à la dernière goutte, il n'arrête pas pour autant, geppetto lui, ne bouge pas, il donne juste des petits coups de bite, il profite de l'ondulation provoqué par les coups de langue qu'on me donne.

Geppetto me dis, "tu veux qu'il te baise", je dis oui, il me répond, "demande-lui alors", baisez moi dis-je au type, il enfile sa capote, geppetto me lève et me dit de me mettre en levrette, cul vers l'autre, il retire sa capote, puis me la présente à ma bouche, je lui suce avec plaisir, l'autre me pénètre enfin, je ne tarde pas à jouir, tout en continuant à sucer cette queue magnifique.

Pendant que je jouissais et suçais, il continuait de me donner des coups de bite, quand j'ai eu finit mon orgasme, il se retire et me sodomise, je ne donne aucun signe négatif, il me la met sur la rondelle puis pousse, ça rentre tout seul, geppetto avait assouplit mon anus déjà, je reprend le chemin de l'orgasme, mais cette fois ci, c'est mon partenaire derrière qui ne tient pas il jouit en me traitant de tout et mettant des grands coups de boutoir.

Dans ma bouche, je sens cette bite qui commence à avoir quelque soubresaut, geppetto le sent également, quand l'autre s'est retire, il me couche sur la couverture et me prend à la missionnaire, je découvre alors que s'il bande dur, qu'il est endurant, il peine à jouir, j'ai calqué sur lui le moment de jouir pour être de concert, mais il à beaucoup tardée, c'est moi qui ai du jouir avant lui, n'y tenant plus.

Quand mon orgasme est arrivé, il a redoublé d'effort et y est arrivé à son tour en criant que c'était bon, , nous sommes resté ainsi, puis rapidement, j'ai senti que ça débandait rapidement, mon geppetto avait perdu le nez de Pinocchio, j'ai commence à le sucer à nouveau après avoir retiré sa capote ou il y avait le paquet, mais rien n'y à fait, il m'a dit en se remettant, qu'a son âge, pour recharger, ça demandait plus de temps qu'à vingt ans.

Je me suis rhabillée sous leur yeux, avec des compliments, disant qu'il regrette de ne pas avoir plusieurs coup disponible dans l'immédiat, en partant, il me dit, "tu reviendras", j'ai répondu oui, revient quand tu veux, elle t'attendra toujours me dit il, je suis passé au bijoutier qui a tenu parole, la gourmette était gravé.

Arrivé a la maison, je prépare le repas, quelque chose de léger, il avait été acheté ce que j'avais listé, je téléphone au jeune pour qu'il vienne a la piscine s'il veut, il répond ok, on prend l'apéro et je lui donne mon petit paquet, il ouvre et me dit, mais ça ne va pas, mais non, il ne fallait pas, il lit, j'avais fait graver, " à ……, que j'aime, Annie".

Il était autant content que gêné, ce n'était pas un bijou qu'on pèche dans la sciure dans une fête foraine, elle m'avait coutée, mais avec tous ses cadeaux, je ne pouvais pas faire moins, nous mangeons ensuite, un repas de pauvre, des pattes, on termine vite, et après, je suis toute à lui, le temps que le jeune arrive, il m'embrasse partout et me tripote.

Etant rassasiée, je ne m'envole pas, il se régale de mon corps dit-il, je suis déjà en maillot de bain, il entreprend de me sucer, même si je suis déjà gavée, à force, je réagis, c'est le moment ou arrive le petit jeune, ne voulant pas que cela se voit à ma tête, il va lui ouvrir, et je plonge dans l'eau, l'air sérieuse, je vais vers lui pour lui dire bonjour, et arrive au bord, je l'asperge d'eau.

Il retire short et teeshirt, plonge et me courre après, il me rattrape, je crie, là ou il n'y a pas pied, il monte sur mon dos, je m'enfonce, il me ramène à la surface, je lui saute dessus sur le torse, c'est lui qui va sous l'eau, sans se l'avouer, nous avons passé la première heure à nous tripoter de façon soft, j'attrapais son torse, il m'attrapait les cuisses, les hanches, le ventre, le dos.

A suivre.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Le client 8

Le 27/03/2017 - 15:37 par vieuxmec
Quel plaisir de retrouver toutes ces personnes de votre entourage. Il y avait si longtemps.... le plaisir de lire cette suite n'en est que décuplé. A bientôt.....

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