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Le comprimé

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Lue : 10146 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 06/12/2012

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C’était un vendredi soir. Un vendredi soir précédant une longue semaine d’examens finaux et j’étudiais dans mes livres depuis le souper. J’en avais marre alors j’allai sur Facebook voir qui était en ligne pour discuter. Ça me changerait les idées.

Sébastien était connecté. J’allai lui parler. Il n’étudiait pas et il n’étudierait pas davantage le reste de la soirée. La procrastination faisant son œuvre, je lui proposai de venir me rejoindre chez moi pour jouer à des jeux vidéo. Quelques minutes plus tard, parce qu’il demeure tout près, il arriva. 6 pieds 2 pouces, beau brun, mince et athlétique joueur de rugby, Sébastien entra. Depuis les tout débuts de mes études, en première classe, je fantasmais sur lui, mais il était hétéro. Il était aussi un grand con. Il couchait avec toutes les filles qui passaient devant lui et faisait tout pour que j’aie un œil sur lui. Par exemple, il me parlait souvent de sexe et m’avait même révélé la taille de sa queue : 9,5 pouces.

Ce soir-là, j’avais envie de déconner et surtout de le faire un peu chier. Quand je lui préparai sa bière, j’y jetai alors un comprimé de viagra que j’avais au préalable écrasé. Nous jouâmes à des jeux pendant une bonne heure avant qu’il ne commence à se tortiller sur le divan. Visiblement, quelque chose le rendait mal à l’aise et je savais ce que c’était : il commençait à bander. Il portait des pantalons de sport, ce qui n’aidait en rien à ce qu’il dissimule parfaitement son début d’érection. Plus les minutes passaient, plus je le voyais s’impatienter. Me retenant de rire, je lui demandai alors :
- Est-ce que ça va? Tu agis bizarre depuis quelques minutes!
- Non, ça va… J’ai juste le goût de fourrer une fille là.
- Haha! Ok! Tu n’es pas obligé de rester, tu sais! Tu peux retourner chez toi et appeler une fille!
- On finit cette partie-là et j’y vais.

Lorsqu’on eut terminé la partie, il lança sa manette sur le divan et se leva d’un bond. À ce moment, je sursautai :
- Oh mon Dieu, Seb!
- Quoi?
- Tu es vraiment bandé!
- Tabarnak …

Pendant que je riais aux éclats, il mit son manteau et le boutonna. Puis, il se regarda. La bosse dans ses pantalons paraissait maintenant plus grosse avec son manteau. Imaginez un pénis de 9,5 pouces bandé dans tes pantalons de jogging : 9,5 pouces qui pointent droit devant!
- As-tu mis de quoi dans mon verre?
- De quoi j’ai mis quelque chose dans ton verre?
- Je suis bandé, criss! Je ne bande pas de même pour rien!
- Je ne sais pas moi! Tu es peut-être facilement excitable!
- Je bande devant une fille, pas devant la télé…
- Bon ok je l’admets! J’ai mis un comprimé de viagra dans ta bière pour me marrer un peu! Hahaha! Et ça a fonctionné! Si tu te voyais la face!
- Tu es vraiment con. Pourquoi tu as fait ça? Tu as jamais vu ça un 10 pouces bandé?
- 9,5 pouces, Seb. 9,5 pouces.
- Même chose.
- Si tu le dis … mais oui j’en ai déjà vu. Pour ton information, j’en ai déjà eu un dans le cul.
- Je ne veux pas le savoir.
- Alors tu rentres chez toi, Monsieur le bougon excité? Haha!
- Oui. Bye.
- Bye! Bonne branlette!

Il ouvrit la porte. J’éclatai de dire en me laissant tomber sur le divan. Un instant plus tard, il rentrait.
- Je peux savoir ce que tu fais?
- Je ne peux pas marcher de même dans la rue… le monde que je vais croiser va penser que je veux les enculer.
- Bon! Bon! Bon! Alors reste ici … le temps que tu débandes!
- Ouais bien je ne suis pas prêt de débander.

De sa main, il désigna sa queue d’un air fâché.
- En tout cas, tu ne pourras pas dire que tu ne m’as jamais vu bandé.
- Non, en effet. Pis c’est gros en criss!
- 9,5 pouces, man. Tu ne croirais même pas à ça.
- Bien, j’y crois là, je l’ai devant les yeux!
- Ouais! En tout cas, pas touche. Je sais que tu voudrais bien…
- Inquiète-toi pas! Je vais aller faire ma vaisselle!
- Bonne idée! Ça va te faire autre chose qu’à regarder ma queue.

Lui assis à ma table de cuisine, je m’affairai à laver ma vaisselle tout en discutant. Se sentant coupable de ne rien faire, il se leva dans l’intention de venir essuyer les assiettes. Pour ce faire, il dû passer derrière moi, dans le très petit espace me séparant de la table. Lorsqu’il passa, je sentis sa queue dure me frôler le bas du dos.
- Excite-toi pas trop, je ne compte pas te violer.
- En ce moment, ce n’est pas moi qui est excité, mais bien toi! Haha!
- Va chier, man. Si tu étais une fille, je te mettrais sur-le-champ pendant que tu laves ta vaisselle.
- Je ne suis pas une fille, alors tu vas devoir te satisfaire autrement!
- C’est ce que je vais faire quand je vais revenir chez moi.

Quand j’eus lavé la dernière assiette et qu’il continuait d’essuyer les autres, j’entrepris de ranger celles qu’il avait terminées. Dans l’étroitesse de la cuisine, il me fallut passer devant lui pour ouvrir la porte d’armoire et glisser une après l’autre les assiettes sèches. En faisant cela, je devais me hisser sur le bout de mes pieds pour les placer, redescendre pour en prendre une autre et ainsi de suite. À chaque mouvement, je faisais exprès pour me frotter les fesses sur la queue bien dure de Sébastien. Et il s’en rendit compte.
- Qu’est-ce que tu fais?
- Je range les assiettes, tu le vois bien?
- Non, je ne parle pas de ça.
- De quoi parles-tu dans ce cas?
- Tu te frottes sur ma queue.
- Tu n’aimes pas ça? Haha!
- Ce n’est pas parce que j’ai le goût de fourrer que je vais subitement devenir gay et que je vais te baiser dans ta cuisine, man.
- Dans ce cas, je vais arrêter! Je voulais que tu aies du fun!
- Tu veux que j’aie du fun? Je vais te montrer comment je veux avoir du fun.

Il me serra brutalement par la taille, m’accota contre le comptoir et plaqua son bassin contre mes fesses pour m’imprimer des coups de va-et-vient brusques et fermes. Puis il me lâcha. Il passa derrière moi et disparut de la pièce. J’entendis une porte claquer, celle de ma chambre. Je m’y rendis. Il était à l’intérieur et ouvrait mon ordinateur.
- Ferme la porte, je vais me branler. Je ne suis plus capable.
- Comme tu veux.

Je refermai la porte et allai continuer de ranger ma cuisine. Une dizaine de minutes plus tard, il n’était toujours pas sorti de ma chambre. Je cognai à la porte et il ne répondait pas. J’entrai. Il était assis sur mon lit et se masturbait.
- Ça fait 10 minutes que je me branle et je ne viens pas, tabarnak. Je ne sais pas ce que tu as mis dans mon verre, mais je suis bandé comme jamais sans pouvoir jouir.
- Excuse-moi, je pensais que ce serait drôle!
- Bien, ça ne l’est pas. Osti que c’est plate se branler, man. Je ne pensais pas devoir refaire ça un jour …

Je m’approchai de lui.
- Qu’est-ce que tu fais?
- Aucune idée. Je ne sais pas quoi faire.
- Tu ne peux rien faire, man. Sauf si tu as une chatte.

Prenant mon courage à deux mains, je m’agenouillai devant lui et lui retirai mon ordinateur.
- Je sais ce que tu as envie de faire, mais je ne suis pas gay, man.
- Je sais. Sauf que tu ne veux pas te branler. Alors j’ai une meilleure idée.
- Oublie ça, tu ne touches pas à ma queue.

Je descendis ses pantalons jusqu’à ses chevilles et attendis qu’il se calme. Il n’avait pas l’air fâché. Peut-être juste un peu effrayé. Puis, en soupirant, il arrêta de se masturber. Il prit son pénis et le pointa vers ma bouche. Je le regardai dans les yeux, vérifiant que c’était bien ce qu’il voulait. J’approchai lentement ma bouche de son gland et déposai mes lèvres. Je le léchai lentement et descendis le long de sa queue. Je revins, ouvris plus grand la bouche et fixant son regard, je couvris son sexe. Je le suçai longuement avec plein de salive qui dégoulinait de chaque côté de son pénis, le sachant relaxe et prenant plaisir à ce que je lui faisais. Au moment où allait venir, il m’avertit :
- Je vais jouir dans pas long.
- Vas-y quand tu veux, je suis prêt.
- Tu ne prends pas de papier mouchoir?
- Seb, j’ai ton pénis dans ta bouche et tu vas me venir dans la bouche, d’accord?
- Tu es une petite salope!

À mon tour, sans l’avertir, j’activai mon mouvement de va-et-vient avec ma main autour de son pénis tout en continuant de le sucer. Son sexe de 9,5 pouces se raidit soudainement, Sébastien aussi dont la respiration devint plus bruyante. Il saisit ma tête de sa main droite et me donna le rythme pendant qu’il m’éjaculait à grands coups de pénis dans le fond de la gorge. Je le suçai encore un moment pour profiter de ses secondes d’érection post-éjaculation. Cependant, il ne débandait pas.
- Tu ne débandes pas?
- Apparemment non.
- Ok …
- Je pensais que ça allait fonctionner, mais ça m’en a l’air du contraire. Je ne peux toujours pas rentrer chez moi comme ça.
- Je suis désolé …
- Ce n’est pas grave, tu t’es bien excusé! Haha!

Je me laissai tomber sur mon lit. Je commençais à être fatigué alors je m’étendis sur le ventre, la tête sur mon oreiller prêt à m’endormir. Je sentis le lit bouger. Sébastien se levait. Je sentis le lit bouger de nouveau. Je vis deux mains apparaître de chaque côté de mon visage, creusant le matelas du poids qu’elles supportaient. D’une main, Seb attrapa mon pantalon et le glissa. Il fit de même avec mes boxers. Puis, il écarta mes cuisses. Je l’entendis verser de sa salive dans sa main qu’il appliqua ensuite dans le creux de mes fesses et sur sa queue. Je rouvris subitement les yeux lorsque je sentis une pression sur mes fesses, comme un 9,5 pouces qui cogne pour entrer. Seb pris son temps pour glisser son pénis entre mes cuisses. Lorsqu’il fut au fond, il me prit par la taille et me leva rapidement pour me mettre sur mes quatre pattes. J’étais tellement excité que je tremblais de tout mon corps. Il m’attrapa brutalement par les cheveux et m’attira sans ménagement vers lui. Je dus me cambrer pour ne pas qu’il me casse le dos. Me tirant les cheveux, il me parla.
- Vas-tu recommencer encore à mettre de quoi dans mon verre?
- Non, c’est promis, je ne recommencerai plus.

Il me tira encore les cheveux, plus fort, presque pour me faire mal.
- Je veux t’entendre me dire que tu t’excuses.
- Je m’excuse, Seb. Je ne remettrai plus jamais quelque chose dans ton verre.

À ces mots, il me lâcha les cheveux et m’encula en doggy style, son 9,5 pouces entrant et cognant au fond de mes fesses, Seb me fourrant comme si jamais été l’une de filles qu’il a l’habitude de baiser.
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Commentaires du récit : Le comprimé

Le 15/02/2015 - 19:03 par micheljgay9a
j'ai bien aimé, tu dois avoir un trou du cul énorme, depuis plus de cinquante ans que je me fais enculer je n'ai jamais pu recevoir une bite de 24 cms, elle était de quel diamètre car 24 cms mais un max de 4cms c'est prenable mais plus grosse ?????

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