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Le covoiturage

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Lue : 8007 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 08/09/2016

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Cette année, j’avais décidé de ne pas prendre de vacances. En galère financièrement, je n’avais pas les moyens de partir et puis un coup de fil d’une copine d’enfance plus tard et tout était remis en question. Elle m’invitait dans la maison de ses parents sur la Côte d’Azur, il fallait juste que je me débrouille pour me rendre sur place.

Je me suis donc mise en recherche de billets de train ou d’avion par cher mais à 15 jours du départ, peu de choix au niveau des prix j’ai rapidement déchanté. Tout était hors budget. Ne me restait que les cars longues distances ou le covoiturage. J’optais pour cette deuxième solution, le bus et la promiscuité me déplaisant fortement.

Je surfais sur le site numéro 1 en France et tombais sur différents annonces. Les prix étaient très raisonnables et je contactais finalement un homme prénommé Michel, 51 ans, qui disposait d’une voiture spacieuse dans laquelle il restait une place pour une personne et un sac de voyage.

Après avoir échangé quelques mails, je me retrouvais le premier samedi du mois d’août à 4 heures du matin en bas de mon immeuble à attendre mon « chauffeur ». Un 4x4 BMW s’arrêta à ma hauteur et le fameux Michel me salua. Il descendit de la voiture, me serra la main et prit mon sac. Il m’invita à monter dans la voiture et je fis la connaissance de Pierre qui voyageait avec Michel. Les deux hommes devaient avoir sensiblement le même âge et étaient de primes abords très sympathiques. Michel, petit et dégarni avait le rire facile et communicatif alors que Pierre, plus réservé, semblait plus grand et plus costaud.

La voiture démarra et nous quittâmes sans encombre la région parisienne. Le début du parcours se passa tranquillement. Michel était concentré sur la route avec le soleil qui pointait le bout de son nez tandis que Pierre s’était rapidement rendormi. Je tombais à mon tour dans les bras de Morphée jusqu’à ce qu’une voix douce me réveille. C’était Michel qui était tourné vers moi. Il s’était arrêté sur une aire de repos et proposais une petite pause café.

J’en profitais pour aller aux toilettes puis rejoignit les deux hommes qui discutaient en buvant leur café. Ils me regardèrent revenir vers eux, Pierre ne se gênant pas pour me détailler de la tête au pied. J’étais un peu gênée mais restais impassible.

Nous reprîmes la route qui s’était considérablement chargée, nous avions passé Beaune et l’axe était désormais presque saturé.
Du coup, Pierre commença à me poser des questions sur moi et nous échangeâmes un petit moment sur nos vies respectives. J’appris ainsi que les deux hommes rejoignaient enfants et épouses du côté de Cannes pour passer 15 jours dans la maison de famille de Pierre. Ils étaient associés dans la vie professionnelle, tenant une brasserie dans le 15ème arrondissement, à quelques minutes de chez moi !!

Je leur confiais que je passais des vacances chez une amie d’enfance à Nice, que j’étais en 4ème année de médecine et que j’étais célibataire, puisque cela avait l’air d’intéressé Michel.

- Dommage que ton fils ne soit pas descendu avec nous, mademoiselle aurait été à son goût lança Pierre à son ami dont apparemment le fils avait mon âge.
- En même temps, Estelle doit être au goût de beaucoup d’hommes !! rétorqua Michel en me regardant dans le rétroviseur.
Je baissais les yeux et tentais de ne pas rougir.
- Et au fait pourquoi le covoiturage ? me demanda Pierre.
- Bah cette année, financièrement je suis un peu juste… je n’avais pas prévu de partir en vacances mais mon amie m’a proposé de venir et quand j’ai vu le prix des billets d’avion ou de train pour descendre, j’ai opté pour le covoiturage.
- Ah ok… et tu bosses en parallèle de tes études… ?
- Non pas vraiment, c’est pas simple de concilier les deux…
- On cherche parfois des extras, si ça t’intéresse, tu nous laisseras tes coordonnées…
- C’est gentil, oui, ça serait bien…
- En même temps, y’a plein d’autres manières de se faire de l’argent me dit Michel en me fixant depuis le rétroviseur…
Devant mon air interrogateur, il enchaîna…
- Bah oui, une jolie fille comme toi, tu as de sacrés atouts pour te trouver des hommes pour t’entretenir…

Je le trouvais un peu cavalier et ne répondis pas, jetant un froid dans la voiture. Pierre rompit le silence.

- Michel a raison, tu sais on a quelques jeunes filles comme toi qui viennent souvent au restaurant et qui pour quelques billets font passer un bon moment à des vieux comme nous… attention, ce ne sont pas des prostitués, juste des escorts girls. Le plus souvent, ça ne va pas bien loin mais ça leur arrondit considérablement leur fin de mois.

Je n’en revenais pas qu’ils me racontent ça et j’écarquillais de grands yeux surpris. Michel me regardait toujours.
- Nous par exemple, deux vieux gars comme nous, on aime bien admirer des jolies filles comme toi… on donne un petit billet et tout le monde est content… rien n’est obligé, on ne force personne et on passe un bon moment…

Je ne savais pas trop quoi dire mais j’étais en même temps très intriguée par cette conversation.

- Et ça vous est déjà arrivé ?
- Oui, quelques fois…
- Et qu’est ce qu’il se passe exactement ?
- Rien qui n’est pas souhaité par la femme… on paie soit pour voir, soit pour toucher et plus si elle le souhaite…
- Et vous payez cher ?
- Cela dépend de la prestation…
- Par exemple, toi, tu accepterais combien pour… je ne sais pas,… te mettre nue dans cette voiture… bien sûr, c’est un exemple…
- PFFF… je ne sais pas, je n’ai aucune idée…
- 50, 100, 200 ??
- 200 euros ?? pour me déshabiller sans que vous me touchiez, juste que vous me regardiez ???!! Non ??
- Si pourquoi pas… !!
- Vous rigolez, vous me faites marcher !
- Non pas du tout… tiens regardes, j’ai 200 euros ici… Ils peuvent être à toi très facilement…
Il venait de sortir deux billets de 100 euros et me les montrait. J’étais surprise et très troublée…
- Vous voulez dire, que si je me déshabille dans la voiture, devant vous, vous me donnerez 200 euros pour… pour vous rincer l’œil… ??!!
- Oui mais on est sûr que cela en vaut le coup… sinon je t’aurais dit moins… !!
J’hésitais un court instant puis dis :
- Ok !! j’accepte !
- Super !! attends, Michel va se garer… faudrait pas qu’on ait un accident.

Michel les yeux pétillants me regarda rapidement dans le rétroviseur et prit la première sortie. Passé le péage, il roula deux ou trois kilomètres et trouva un petit chemin isolé. Il l’emprunta quelques dizaines de mètres et stoppa la voiture. Ils se tournèrent alors vers moi et Pierre me tendit les billets.

Je les pris timidement, me demandant un court instant si je ne faisais pas une connerie… après tout, je ne reverrais peut être jamais ces deux hommes et je ne risquais pas grand-chose.

Je glissais les billets dans mon sac et commençais à dégrafer mon jean. Je me redressais un peu pour le faire glisser jusqu’à mes chevilles, découvrant ma petite culotte blanche. Je n’osais croiser leurs regards que je devinais écarquillés sur mon anatomie.

Je continuais mon effeuillage, retirant mon tee-shirt et dévoilant ma poitrine enserrée dans mon soutien-gorge…

- Tu vois, je te l’avais dis qu’elle avait une belle poitrine…

Ils avaient dû échanger sur moi lors de notre pause à la station service.

J’étais désormais en sous-vêtements et m’apprêtais à dégrafer mon soutien-gorge libérant subitement mes deux seins lourds (je fais un 90C) sous un sifflement d’admiration de Michel.

- Magnifique, ajouta Pierre… quelle paire de nichons !!!

Je me sentais bizarre, troublée et en même temps excitée de me déshabiller devant deux inconnus.

Je fis enfin glisser ma petite culotte le long de mes jambes, dévoilant mon sexe entièrement épilée…

- Mmmmhh… comme c’est mignon cette petite chatte tout lisse… on en mangerait !!!
Les deux hommes semblaient surexcités devant le spectacle que je leur offrais….
- Ma chère Estelle, vous êtes magnifique et dotée d’un corps parfait… je ne sais pas dans quel état est Michel mais moi, je dois vous avouer que vous avez réveillé une partie de ma personne !!

Je souriais maladroitement, gênée, flattée et fière de l’effet que je faisais.
- Je crois que je suis dans le même état que toi mon pauvre Pierrot… je bande !!!

Je fus très troublée par cette révélation… j’avoue que j’étais également excitée par cette situation et que mes petites lèvres s’humidifiaient considérablement.

- Estelle aussi aime cette situation dit Pierre en avançant ses doigts vers mon entrejambe… je devine un sexe bien humide.

Son doigt entra alors en contact avec mes lèvres et me caressa habilement. J’eus un mouvement de recul mais une vague de chaleur s’empara de moi.

- Attends Pierrot, ce n’est pas correct… on avait dit juste un effeuillage… n’est ce pas Estelle ?
- Euh… oui… c’est vrai…
- Sauf si vous avez envie d’aller plus loin… dans ce cas, je suis prêt à rajouter un petit quelque chose…

Et il sortit deux nouveaux billets de 100 euros… je tendis la main pour les prendre mais il ne les lâcha pas…

- De quoi avez-vous envie Estelle ??
- Euh… je ne sais pas…
- Dites le, Estelle, de quoi avez-vous envie ?? Je suis sûr que vous savez… !

Le bougre avait raison, j’avais envie d’eux, j’avais envie de me faire prendre par ces deux hommes, dans cette voiture, au milieu de ce chemin de campagne…

- J’ai envie… de… faire l’amour…
- Et plus exactement ??

Le doigt de Pierre m’avait pénétré et il jouait avec mon clitoris, faisant monter encore d’un cran mon désir.

Je me libérais complètement…
- J’ai envie de vous… j’ai envie de vos queues, je veux que vous me preniez là…

Je ne me reconnaissais plus. Je vis le regard satisfaits des deux hommes. Pierre continua de me caresser, tandis que Michel sortit de la voiture. Il ouvrit la porte à coté de moi et me tendit la main. Je sortis et me retrouvais face à lui. Il posa ses mains sur mes hanches et embrassa mes seins. Sa main glissa sur mon entrejambe et empoigna mon sexe.

- Effectivement, vous êtes trempée et prête à nous recevoir.

Il me saisit le bras et plaqua ma main sur la bosse volumineuse que faisait son sexe dans son pantalon. Je le caressais maladroitement.

- Allez ma belle, venez goûter à ma queue.

Il me fit plier devant lui et je me retrouvais avec mon visage à hauteur de sa ceinture. Je dégrafais son pantalon et son sexe jaillit. Il était de belle taille avec un gland très gros, gonflé par le désir.
Je le fis glisser entre mes lèvres et me mis à le sucer. Il apprécia cette caresse et m’encourageait d’une voix chaude, me caressant le dos et les fesses avec ses deux mains.

Je sentis alors son acolyte s’approcher et découvris un deuxième sexe qui se présentait à ma bouche. J’allais alternativement d’une queue à l’autre. Pierre était plus long et plus gros que Michel.
Après quelques minutes de cette fellation, ils me redressèrent. Pierre vint s’assoir à l’arrière de la voiture et me demande de continuer à le sucer tandis que je sentis Michel se caler derrière moi. Il me pénétra d’un coup sec et commença à me limer profondément, me faisant ressentir chaque centimètre de son sexe.

Je m’appliquais sur le sexe de Pierre qui me tenait la tête et m’encourageait avec des mots crus.

J’eus un premier orgasme sous les coups de reins de Michel qui ne put se retenir beaucoup plus longtemps, il se branla sur mes fesses et je sentis les jets de sperme s’écraser sur le bas de mon dos.

Pierre m’attira alors à lui et je réussis tant bien que mal à lui grimper dessus. Son sexe s’engouffra sans difficultés et il me fit l’amour divinement bien, m’embrassant les seins et s’agrippant à mes hanches lorsqu’il se déversa en moi, me procurant un deuxième orgasme d’une rare intensité.

Nous reprîmes chacun nos esprits et nous rhabillèrent avant de reprendre la route. Un silence gêné s’installa dans la voiture puis au bout d’une petite heure, Michel s’arrêta et demanda à Pierre de prendre le relais. Il vint s’installer à l’arrière à côté de moi et dégrafa son pantalon.

- Tiens, un petit billet supplémentaire pour une douce fellation dont tu as le secret…

Il me tendit le billet mais je le refusais et me jetais malgré tout sur sa queue déjà bien dure !!

Le voyage dura facilement deux heures de plus car nous fîmes d’autres arrêts. Pierre me prit dans les toilettes handicapés d’une aire de repos alors que nous entendions les gens passés derrière la porte.

C’est à ce moment là que j’ai ressenti le plaisir le plus intense de ma vie. Il m’a fait jouir deux fois en quelques minutes, assise sur le bord de l’évier, sa queue bien au fond de moi.

Finalement nous sommes arrivés à destination mais j’ai conservé leur numéro de téléphone et je risque de faire le voyage de retour en leur compagnie… j’ai hâte !!!
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Histoire de LN78

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Commentaires du récit : Le covoiturage

Le 24/03/2023 - 18:25 par Al09
Sympa ce voyage ! J adorerai vivre ça ;)

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